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De la génération yé-yé aux icônes de la haute couture

Quatre têtes de Beatles coincées les unes sur les autres au travers d’une porte rouge. Sylvie Vartan allongée sur un fond à rayures, en train de lire, à demi cachée par des piles de livres. Voilà le genre de photographies auquel le nom de Jean-Marie Périer est associé à jamais (et que vous ne verrez pas exposées en ce moment à l’hôtel Sofitel de Los Angeles). On ne connait pas forcément son visage, celui d’un homme de 70 ans sur lequel un fort sens de l’humour a dessiné des traits rieurs, mais on connait tous ceux qu’il a immortalisés. Des rockeurs britanniques aux chanteurs de pop française de la génération yé-yé. C’est l’époque Salut Les Copains, ce magazine incontournable des jeunes créé en 1962 par le magnat de la presse Daniel Filipacchi. Sont passées devant l’objectif : Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Johnny Hallyday (celui-ci a d’ailleurs fait une apparition lors du vernissage de l’exposition actuelle)… ou même des acteurs hors norme tels Delon, Bardot et Deneuve. « Mes photos étaient collées au mur de toutes les chambres d’ado, c’était populaire, ces photos ne valaient rien à l’époque », note-t-il, modeste, sur la terrasse du chic hôtel de Beverly Hills, marque de luxe du groupe Accor.
Dans ce décor branché loin de l’esprit sixties, il expose un tout autre aspect de son travail : les maîtres de la haute couture. Ce revirement à 360 degrés illustre son passage de Salut Les Copains au magazine Elle. Mick Jagger cède donc la place à Yves Saint Laurent, France Gall à Sonia Rykiel. Peut-être parce qu’encore une fois appelé à shooter des gens à la notoriété ou à la personnalité démesurée, Jean-Marie Périer en a tiré une humilité remarquable.
« Je ne suis pas un grand, et je n’ai jamais dit que j’étais un artiste », glisse-t-il. Avant de se marrer : « Ils m’ont invité à passer dix jours ici, c’est bien gentil, mais franchement je suis là en pied nickelé».
La douzaine de clichés exposés dans le lobby de l’hôtel qui fait face au Beverly Center ont été réalisées dans les années 1990. Sa sœur est alors rédactrice en chef de Elle ; lui commence à s’ennuyer ferme à Los Angeles, où il fait du cinéma et de la publicité depuis une dizaine d’années. Anne-Marie Périer (en couple avec Michel Sardou depuis 1999) vole donc à son secours et lui demande de mettre son don de la mise en scène, prouvé trente ans plus tôt, au service du magazine. Merci les connexions familiales. Périer confesse aujourd’hui : « La mode, j’y suis arrivé comme un chien dans un jeu de quilles ! Ce n’est pas mon monde ».
Passionné de musique, notamment de Miles Davis et d’Eric Clapton, il voit pourtant une certaine continuité entre les deux univers. « Les Mick Jagger and co se sont embourgeoisés, alors que des couturiers comme Galliano, ce sont eux les rock stars aujourd’hui ! » John Galliano est ici représenté dans le château de Champlâtreux, la pièce au lustre somptueux semble quasi à l’abandon, alors qu’un mannequin en robe jaune imite le sommeil sur un coin de canapé.
«Je fais du spectacle, du mensonge d’une certaine façon. Je cherche une idée de scène, et une fois que je l’ai, ça va vite, on n’est pas là pour s’embêter ! », explique-t-il. Il se souvient aussi, avec autodérision, de ses premières tentatives d’utiliser Photoshop, comme sur ce portrait de Christian Lacroix affalé par terre, avec ses crayons et ses feuilles de dessin, entouré de Carla Bruni et son double.
Aujourd’hui, Jean-Marie Périer vit reculé dans l’Aveyron, aimant les « gens normaux ». Il continue la photo, et s’adonne depuis peu à l’écriture. En définitive, il se voit comme un dilettante. Photo, cinéma, publicité, écriture… son regret profond : avoir renoncé à la musique à 16 ans. « J’ai voulu me démarquer d’Henri Salvador quand j’ai appris qu’il était mon père biologique ». « Je suis un raté qui s’en est bien tiré, un visiteur de ma vie », poursuit-il avec le sourire. Il faut bien le dire, cette modestie, en tant que photographe, lui vaut d’être un outsider. «Beaucoup de photographes veulent prouver que ce sont des artistes. Ils se prennent au sérieux mais, dans les magazines, je vois très peu d’idées originales aujourd’hui, les photos sont des portraits assez simplement cadrés ». Il adule tout de même le travail de Jean-Paul Goude et d’Annie Leibovitz. Et même s’il « se fout de faire de l’art », il s’estime heureux d’être désormais visible dans de vraies galeries, comme celle de Fahey-Klein à L.A. qui exposait l’an dernier ses icônes sixties. « Il y a sans doute une sorte de nostalgie de cette époque-là qui alimente la valeur de mes photos. Et moi, ca m’assure une retraite ! » Humour, toujours.

Vitalic, artiste français au Théâtre El Rey

La scène électronique française est à l’honneur ce samedi 2 octobre 2010 au théâtre El Rey avec un artiste français visionnaire, Vitalic, et le duo français, Teenage Bad Girl. Le spectacle produira une ambiance incendiaire, des visuels électriques spectaculaires et fera danser les accros au « dancefloor » avec des rythmes ravageurs !
Vitalic (Pascal Arbez) a choisi le groupe Teenage Bad Girl (Guillaume Manbell et Greg Kazubski) pour assurer la première partie de son concert et mettre le feu aux poudres. Le célèbre DJ du mouvement indie, Franki Chan, fera  tourner les platines et les synthétiseurs. Ce concert, « V Mirror » promet d’être un spectacle d’une grande originalité musicale.
Où : El Rey Theatre, 5515 Wilshire Blvd., Los Angeles, CA 90036.
Tel : 323-936 4790
Quand : Samedi  2 octobre 2010 à 21h00
Pour plus de renseignements : www.theelrey.com et http://www.vitalic.org/
Entrée: $22.50 sur http://www.ticketmaster.com/ http://www.ticketmaster.com/event/2C004535BFFA2D62?brand=goldenvoice

Exposition « Fashion Stills / Si la mode m’était contée »

L’hôtel de luxe Sofitel de Los Angeles, en collaboration avec la galerie parisienne Polka, présente « Fashion Stills », une exposition de photos qui regroupe le travail de quatre  photographes : Derek Hudson, Cathleen Naundorf, Jean-Marie Périer, et Gérard Uféras.
Les clichés immortalisent divers aspects fascinants de la haute couture, dévoilent les coulisses des défilés de mode et les ateliers des grands couturiers tels que Dior, Chanel, Jean-Paul Gaultier, Christian Lacroix ou encore Yves Saint Laurent.
Où : Sofitel Los Angeles, 8555 Beverly Blvd., Los Angeles, CA 90048. Tel. 310-278 5444
Quand : Jusqu’au 31 octobre 2010
Pour plus de renseignements : www.sofitel.com
Entrée : gratuite

« Harmonie », Irvine Global Village 2010


« Harmonie », une société musicale suisse, fut créée par quelques immigrants suisses au début des années 1920 à La Puente en Californie. Depuis, la chorale offre des chants provenant de différentes régions helvétiques en suisse allemand, français, italien et en romanche.
Les festivaliers pourront danser au milieu des yodleurs accompagnés par les cors des Alpes et les accordéons.
Où : Bill Barber Park, 4 Civic Center Plaza, Irvine, CA 92606
Quand : 2 octobre 2010 à 11h00
Pour plus de renseignements : http://www.cityofirvine.org/globalvillage/ et   http://www.swissharmonie.com/
Entrée: gratuite

Quand Picasso rencontre Einstein

“Picasso at the Lapin Agile” imagine une rencontre qui n’a jamais existé, celle de Pablo Picasso et Albert Einstein. Ecrite par l’acteur Steve Martin et dirigée ici par Deborah Mello, professeur au Miami Dade College, la pièce se déroule en 1904 au Lapin Agile, le bistro culte de Montmartre à Paris.

Les deux génies se croisent alors qu’ils sont encore anonymes, avant que Picasso ne révolutionne l’art avec le Cubisme et Einstein la science avec sa Théorie de la Relativité. Des personnages tous plus loufoques les uns que les autres viennent apporter une touche d’humour à ce tête-à-tête.

Où ? Miami Dade College-Kendall Campus, 11011 SW 104th St, Kendall, FL 33176
Tél : 305-237-2282 ; 305-237-2203
Quand ?
Jeudi 30 Septembre à 20h
Vendredi 1er Octobre à 20h
Samedi 2 Octobre à 20h
Dimanche 3 Octobre à 14h
Jeudi 7 Octobre à 20h
Vendredi 8 Octobre à 20h
Samedi 9 Octobre à 20h
Dimanche 10 Octobre à 14h
Combien ? Gratuit
Contactez Deborah Mello par mail : [email protected]

La Floride accueille la finale de l'IndyCar Series

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La course Cafes do Brasil Indy 300, dix-septième et dernière épreuve du championnat IndyCar 2010, aura lieu au Homestead-Miami Speedway. Cette finale se jouera surtout entre les deux favoris, l’autralien Will Power et l’anglais Dario Franchitti, tenant du titre… mais les outsiders peuvent toujours nous surprendre !

Où ? Homestead-Miami Speedway, Speedway Blvd, Homestead, FL; Tél : (305) 230-5000
Quand ? Samedi 2 Octobre à à 19h
Combien ? Billets à partir de 30$ sur Internet

Un samedi après-midi à Paris

Les 2, 16 et 23 Octobre, l’Alliance Française propose un cycle de six documentaires sur Paris. Ces six aperçus différents de la ville et de la vie quotidienne de ses habitants posent un regard nostalgique et intime sur la capitale.

Des rafraichissements seront servis après chaque projection.

Programme :

Samedi 2 Octobre de 16h à 19h

16h | “Sur les toits de Paris” d’O. Lassu (2002) – 55min – en anglais
Ce documentaire s’intéresse aux toits parisiens et à ceux qui les connaissent mieux que les autres. Il suit des parisiens, professionnels ou amateurs, ramoneurs, artistes ou simples passionnés qui connaissent une toute autre facette de la capitale. Des commentaires, lus par l’acteur Philippe Torreton, accompagnent les images de la ville telle qu’on ne l’a jamais vu.

17h | “Jusqu’au dernier saltimbanque” de L. Canches (1999)- 52min – en français sous-titré anglais
Le film part à la découverte d’artistes de rue qui travaillent depuis les années 70 sur la place en face de Beaubourg. Le documentaire, contenant un témoignage de Renzo Piano l’architecte du musée, analyse aussi le rôle que cet espace joue dans la vie du quartier en général.

18h | “Au fin Moka” de B. Joseph (2005) – 53min – en français sous-titré anglais
Le documentaire dresse le portrait de Georgette, la patronne d'”Au fin Moka”, un bistro situé au pied de la butte Montmartre dans le 18e arrondissement, ainsi que de Fernande, une de ses fidèles clientes. Les deux vieilles femmes, nous racontent leur Paris où le temps semble suspendu.

Samedi 16 Octobre de 16h à 18h

16h | “5-7 rue Corbeau” de T. Pendzel (2007) – 58min– en français sous-titré anglais
“5-7 rue Corbeau” nous fait découvrir le destin de l’immeuble devenu le plus grand taudis de Paris et invite le spectateur à une réflexion plus large sur la ville et le logement. Le bâtiment accueillit pendant des années des immigrés de toutes les nationalités. Ses 350 occupants durent séjourner dans la rue durant plusieurs mois après le rachat et la démolition par la Mairie de Paris en 1998.

17h | “Blanche nuit à Paris” de J. Caza et A. Ngatcha (2002) – 54min – en français sous-titré anglais
Depuis quelque temps, la Nuit Blanche est devenue l’évènement culturel parisien le plus attendu de l’année. Le documentaire, consacré à la première édition de cette manifestation artistique initiée en 2002 par la Marie de Paris, suit le périple nocturne d’un groupe de curieux. Il explore aussi l’envers du décor et dévoile les premières installations et performances artistiques à avoir été présentées aux parisiens.

Samedi 23 Octobre de 16h à 19h
16h | “A Portée de Paris” d’A. Imbert (2008) – 150 min – en français sous-titré anglais
Les musiciens Mozart, Prokofiev, Faure, Debussy, Offenbach, Stravinsky, Liszt et Verdi ont tous vécu à Paris. Dans “A Portée de Paris”, on découvre les rues et les quartiers qui les ont influencés, pour ainsi en apprendre un peu plus sur ces talentueux artistes et le Paris de leur époque.
Où ? Alliance Française South Florida – 618 SW 8th Street, Miami, FL 33130, Tel: 305.859.8760
Combien ? $5 conseillé

"Un amor de Borges" à l'Alliance Française

L’Alliance Française de Miami a pour rôle de représenter la France, mais ce n’est pas pour autant qu’elle oublie les autres langues et les autres cultures. Jeudi soir, c’est l’Amérique Latine et l’espagnol qui investissent ses locaux avec la fiddusion d’« Un Amor de Borges ». Le film retrace la vie de l’écrivain argentin Jorge Luis Borges. Il s’intéresse particulièrement à la relation de l’auteur avec sa muse, l’écrivaine communiste Estela Canto, qu’il rencontra en 1944.
L’évènement aura lieu en compagnie de la journaliste et auteure Adriana Bianco, qui commentera et expliquera l’oeuvre. Histoire d’être totalement plongé dans l’ambiance latino, une dégustation de vins argentins accompagnera la projection.
Où ? Alliance Française South Florida – 618 SW 8th Street, Miami, FL 33130, Tel: 305.859.8760
Quand ? Jeudi 30 Septembre à 19h00
Combien ? Entrée gratuite

La France de Bondy, d'Assayas et de Monet

La semaine dernière, Le New York Times s’est intéressé à ces Français se sentant « offensés » par leur pays mais « respectés » par les Etats-Unis. Le quotidien a en effet consacré un article à un programme de l’ambassade des Etats-Unis pour aider les banlieues françaises en difficultés. L’une d’entres elles, Bondy, s’est par exemple vue devenir en quelques années le centre de l’attention de l’ambassade des Etats-Unis à Paris alors qu’elle se sentait abandonnée et stigmatisée par les autorités françaises. Avec un budget d’environ 3 millions de dollars, l’ambassade américaine de Paris a soutenu de nombreux projets, aussi bien de « rénovation urbaine », que culturels. Une des premières à considérer l’« élite économique et politique émergente » de ces quartiers à sa juste valeur, l’ambassade américaine a bien sur gagné le respect de la part des populations locales. Mais l’envers du décor, c’est que ce programme, apparemment désintéressé, s’avère en fait faire partie d’une initiative plus large, celle d’améliorer l’image des Etats-Unis dans les communautés musulmanes du monde entier après les évènements du 11 Septembre 2001. La France, avec ses 5 à 6 millions de musulmans, soit “la plus importante population musulmane d’Europe” est rapidement devenue la zone à privilégier. Obama, très populaire dans les banlieues françaises car interprété comme un symbole d’espoir, s’est finalement révélé être un « puissant instrument diplomatique » et a entrainé une sensibilisation plus visible. A en croire les réactions à un article du Bondy Blog, écrit par deux journalistes de retour d’un voyage aux Etats-Unis, et qui ne tarissent pas d’éloge sur le Nouveau Continent, le sujet ne laisse pas indifférent en France non plus.
Les médias américains se sont aussi concentrés sur l’évènement culturel français de l’automne, l’exposition parisienne « Claude Monet 1840-1926 ». La rétrospective a ouvert ses portes mercredi dernier au Grand Palais, où elle sera présentée jusqu’au 24 janvier 2011. Elle accueille plus de 200 oeuvres de l’artiste culte, qui, comme le souligne le New York Times, proviennent de 70 musées différents dont 27 aux Etats-Unis. Il s’agit de la plus importante jamais présentée depuis 30 ans, précise le Chicago Sun Times. L’exposition part de la volonté de faire redécouvrir l’artiste au public français, qui s’avère le connaitre moins bien que le public international et notamment américain. Le Wall Street Journal, qui regrette la présence de la foule, trop dense pour apprécier à leurs justes valeurs les oeuvres proposées, parle tout de même d’une “réussite”, à ne manquer sous aucun prétexte. Le New York Times se penche surtout sur les rivalités internes liées à l’exposition, notamment révélées par l’absence de l’oeuvre “Impression : soleil levant” qui a pourtant donné son nom au mouvement impressionniste. Comme le souligne le quotidien, le Musée Marmottan Monet a en effet tenu à conserver le tableau pour l’intégrer à sa propre exposition sur Monet, ouverte au public à partir du 6 Octobre. Comprenant des dessins, carnets et croquis elle ne se considère cependant pas comme une « rivale » mais comme un “complément” à l’exhaustive exposition du Grand Palais.
Enfin, ce weekend, le cinéma français a investi les pages du New York Times Magazine, qui a consacré un long article à Olivier Assayas. La revue dresse un portrait du réalisateur français, et analyse sa filmographie en profondeur. Olivier Assayas est d’ailleurs mis à l’honneur en ce moment au New York Film Festival. Son dernier film, Carlos, qui retrace la vie du célèbre terroriste Ilich Ramírez Sánchez toujours incarcéré en France à l’heure actuelle, y sera projeté samedi, et le réalisateur donnera une conférence le lendemain. Le film, d’une durée de cinq heures et demi, sera aussi diffusé à partir du 11 Octobre sur la chaine Sundance.
CORRECTION: contrairement à ce qui était indiqué par erreur dans une première version de cet article, le post du Bondy Blog intitulé “New York chéri, France moisie” n’a pas été écrit par “deux banlieusards ayant bénéficié du programmen de l’ambassade des Etats-Unis” mais par deux reporters pour le blog et pour France Inter, Mehdi Meklat et Badroudine Said Abdallah, qui ont effectué ce voyage à leurs frais. Qu’ils veuillent bien accepter nos excuses pour cette confusion. Nous faisons bien volontiers cette correction à leur demande. Nous y ajouterons pour être complet que les deux auteurs ont néanmoins bien bénéficié de l’aide de l’ambassade des Etats-Unis pour un précédent voyage, au printemps dernier, comme ils le racontent dans ce post.

Olivier Pojzman, la Californie XXL

L’Ouest américain est sa source d’inspiration. Sa marque de fabrique : les grands formats. Olivier Pojzman est passé maitre dans l’art de la photo panoramique explorant les déserts, plages et vastes plaines californiennes. Ses toiles sont à l’échelle des paysages qu’il photographie.
Olivier Pojzman expose au multiplex cinéma Arclight à Hollywood du 30 septembre au 18 novembre.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=aJeKQCOSEaM]
Crédits vidéo :
– Reportage/montage : Cécile Grégoriades
– Musique : Stephen Rowe
– Images extérieures : AC Productions
– Remerciements à la gallerie Lurie de Santa Monica

La France à l'honneur au New York Film Festival

Depuis vendredi dernier, le New York Film Festival a investit les locaux du Lincoln Center, et ce jusqu’au 10 Octobre. La sélection comporte comme pour les éditions précédentes de nombreux films de nationalités différentes, dont plusieurs films français. Dimanche 3 Octobre à 14h30, le réalisateur français Olivier Assayas interviendra lors d’une conférence où il reviendra sur son histoire cinématographique personnelle, juste après la projection de son dernier film, “Carlos”.
Programme :
Film socialisme de Jean-Luc Godard
Mercredi 29 Septembre à 18h et vendredi 8 Octobre à 15h
Copie Conforme de Abbas Kiarostami
Vendredi 1er Octobre à 21h15 et dimanche 3 Octobre à 11h30
Carlos d’Olivier Assayas
Dimanche 2 Octobre à 11h
La Venus noire d’Abdellatif Kechiche
Jeudi 7 Octobre à 18h et samedi 9 Octobre à 20h30
Misterios de Lisboa de Raoul Ruiz (film franco-portugais)
Dimanche 10 Octobre à midi
Tous ces films sont projetés au Alice Tully Hall et le prix de la place pour une séance s’élève à $20.
Pour plus d’informations, appelez le 212.875.5050, suivez @filmlinc sur Twitter ou consultez le site

Broadway à Brooklyn

La comédie musicale “Fela!” retrace l’histoire de Fela Kuti, musicien et homme politique nigérian. A la fin des années 1960, il crée l’Afrobeat, un mélange de musiques traditionnelles du Nigeria et d’Afrique, mais aussi de funk et de jazz. Il utilisera ensuite ce mouvement musical comme instrument politique pour promouvoir les droits civiques dans son pays d’origine, le Nigeria.

Le show, sera présenté dans une version allégée au Brooklyn Bridge Park, qui accueille son dernier évènement culturel de la saison.

Où ? Brooklyn Bridge Park’s Pier 1 (Old Fulton Street et Furman Street dans DUMBO), Tél : (718) 254-8779]
Quand ? Lundi 4 Octobre à 18h30
Combien ? Gratuit
Plus d’informations
(Sur Broadway, Fela est au Eugene O’Neil Theater)