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La fête nationale Belge à New York

C’est le groupe d’enfants Sidewayz qui ouvrira le spectacle. Le groupe flamand De Kreuners se produira pour la premire fois aux Etats Unis et interprétera les titres de son tout nouvel album en live. La chanteuse Wendy Nazare viendra également pour représenter la Wallonie et proposera un medley de ses meilleures chansons.
Comme les années précédentes, un loterie mettra en jeux des billets d’avion, un vélo ainsi qu’un Ipad. Pour les fans de football, une vente aux enchères proposera des maillots signés par tous les joueurs de l’équipe d’Anderlecht ainsi qu’un brunch à vie pour deux dans les établissements Petite Abeille.
Les petits belges pourront se faire maquiller et ouvriront grand leurs yeux devant des sculptures sur ballon. Pas de fête belge sans bons petits plats et bonne bière, il y en aura pour tout le monde!
Belgium Day Celebration
Le 25 juillet au Frying Pan
Pier 66 entre 26th et Westside Highway, New York, NY
Entrée 20$ pour les adultes, gratuit pour les enfants de moins de 12ans.
L’entrée inclut un tee-shirt avec un dessin du gagnant du concours United Belgium. Les 100 premières entrées vendues se verront offrir un billet de loterie.
Plus d’informations, ici

La Restaurant Week joue les prolongations

L’édition Summer 2010 de la Restaurant Week a commencé le 12 juillet pour offrir aux gourmands gourmets un tour du monde gastronomique de deux semaines dans plus de 250 grands restaurants. Et face au succès de l’opération, la Restaurant Week a été prolongée jusqu’au 6 septembre (au lieu du 25 juillet). Encore de longues semaines donc pour profiter de l’offre gastronomique de la Grosse Pomme à peu de frais (24 dollars à midi et 35 dollars le soir). Et notamment le restaurant Adour Saint Regis Park du grand chef Alain Ducasse, inscrit dans le parcours. Ne pas oublier de réserver.
Les restaurants français participant à la Restaurant Week:
Adour Saint Regis Park, Artisanal, Bar Boulud, Benoît Restaurant and bar, Brasserie, Brasserie 8 1/2, Brasserie Ruhlmann, Café Boulud, Café Centro, Cafe D’ Alsace, Capsouto Freres, Carlyle Restaurant, Chez Josephine, Marseille, db Bistro moderne, DBGB Kitchen and Bar, Le Perigord, Les Halles Downtown, Les Halles Park Avenue, Le Perigord, The Modern – Bar Room, Nice Matin, Nougatine at Jean Georges, Opia, Orsay, Petrossian – New York, SHO Shaun Hergatt, Steak Frites Union Square, Terrace in the Sky.
NYC Restaurant Week, du 12 au 6 septembre. Pour plus d’informations et réserver, cliquer ici.

La "French Touch" des Penelopes débarque à New York

L’electro-rock française rocks, et ce n’est pas The Penelopes qui vous diront le contraire. Vincent Trémel et Axel Basquit, le duo du groupe parisien, débarquent à New York pour une série de deux concerts et un DJ set à Manhattan et Brooklyn.
Découverts par Agnès B en 2005, le groupe enchaîne depuis concerts, participation à des festivals et tours dans le monde entier.
Le 30 juillet à partir de 23h au Piano’s
158 Ludlow at Stanton, New York, NY
Entrée gratuite avant minuit, ou 10$
Le 31 juillet au Rock Shop (début de soirée)

249 Fourth Ave., Brooklyn, NY 11215
Le 31 juillet au Church Lounge du Grand Tribeca Hotel (pour un DJ set)

2 Avenue of the Americas, New York, NY

Phoenix au Madison Square Garden

Surfant sur la vague des groupes français comme Daft Punk ou Air, Phoenix a réussi à prouver que les Français étaient capables d’écrire en anglais les meilleures chansons pop du moment. Ecoulés à 350 000 exemplaires à l’étranger, leurs deux premiers albums sont un véritable carton mondial. Pas de doute sur le fait que leur concert sera pris d’assault par des milliers d’amateurs de la légendaire “french touch”, une bonne raison pour courrir aller acheter vos places dès maintenant.
Phoenix
Le 10 octobre 2010 à 8pm
Madison Square Garden, 7th Ave & 32nd Street, New York, NY 10001
Tickets ici

Kusmi Tea dans l’Upper East Side

Rachetée en 2003 par l’entrepreneur français Sylvain Orebi, la très branchée marque de thé russe continue de propager sa positive attitude malgré un contexte économique difficile. Dépoussiérée, colorisée, et repositionnée, Kusmi tea est devenu en quelques années le thé à la mode, en particulier chez les femmes. Le bien-être du corps et de l’esprit grâce aux vertus du thé, le tout vendu dans un packaging qui pique les yeux, s’avère être un positionnement réussi puisque la marque affiche aujourd’hui un chiffre d’affaire de 7,5 millions d’euros.
Fondée en 1867 par Pavel Michailovitch Kousmichoff à Saint Petersburg, la maison a tout de suite hérité d’une image de produit de luxe en étant le fournisseur officiel de la famille du Tsar. Une implantation à Paris en 1917 a ensuite permis une exportation du thé aux arômes d’agrumes vers l’Europe notamment vers Londres et Berlin.
La marque vieille de 140 ans n’a pas hésité à utiliser des couleurs “flashy” et des noms qui suscitent la curiosité pour être « cool » et coller à l’air du temps. Le mélange Detox purifie le corps et l’esprit, Sweet Love stimule les sens et Be Cool, une combinaison sans caféine, aromatisée à la réglisse et menthe poivrée, calme et apaise.
Avec cette nouvelle adresse New Yorkaise, Kusmi Tea prend une longueur d’avance sur ses concurrents français tels que Mariage Frères, Dammann Frères et le Palais des Thés qui n’ont pas encore ouvert d’enseigne aux Etat-Unis.
Kusmi tea
1037 Third Avenue (61st Street)
Aussi disponible chez Dean and Deluca, Zabar’s, Balducci’s et Citarella.

Hommage à l'actrice Edwige Feuillère au Fiaf

Le Fiaf a présenté tout au long du mois de juillet une sélection des films d’Edwige Feuillère (1907–1998), la “first lady” du cinéma français des années 40 et 50. Ces films capturent les différents jeux de cette actrice mythique qui a travaillé avec les plus grands réalisateurs de son temps. Le Monde écrivait à propos de la comédienne qu’elle pouvait être “en même temps Marlène Dietrich comme Irène Dunne ou Greta Garbo”.
Le dernier film proposé le 27 juillet sera Julie de Carneilhan, réalisé par Jacques Manuel en 1950.Adaptation cinématographique d’un roman de Colette, il raconte l’histoire d’une femme fraîchement divorcée, prête à tout pour reconquérir son ex-mari.
Florence Gould Hall / au Tinker Auditorium
55 East 59th Street
Projections à 12h30, 16h et 19h30
Tickets
FIAF Membres Gratuit ($2 advance tickets)
Non membres $10
Etudiants avec ID $7
Pour acheter vos tiquets, c’est ici

Hassan, de Bron à Hollywood, via NBC

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Il est l’homme caoutchouc : une flexibilité à toute épreuve, une résistance remarquable le tout couronné d’un humour irrésistible. Hassan El Hajjami, alias Haspop, compte parmi les finalistes de l’émission ultra-regardée aux Etats-Unis : America’s Got Talent, équivalent de La France a un incroyable Talent sur M6. Dans sa prestation d’une minute trente, le Français d’origine marocaine a réussi à épater le jury de l’émission.
Marionnette désarticulée, moonwalk en série, jeux de mime, mouvements rapides et précis suivis de gestes ralentis au maximum. Quand on regarde danser Hassan El Hajjami, on a l’impression de le voir évoluer sur du coton. La chorégraphie est parfaitement maitrisée et le tout semble d’une facilité déconcertante. Mais son style est le résultat d’années de travail et d’un passage par la célèbre troupe du Cirque du Soleil.
Hassan El Hajjami vient de la banlieue lyonnaise, précisément de Bron, une commune aux quartiers sensibles. Adolescent, il pratique la boxe : “hors de question de dire à mes parents que j’aime danser – pas assez masculin”. Mais c’est lorsqu’il assiste à un concert de Michael Jackson que le jeune Hassan a le déclic.
“J’ai demandé à un ami de m’apprendre ma première wave”, se souvient Hassan, en référence à un mouvement d’ondulation du corps en partant de la main, se prolongeant au bras, à la tête puis au reste du corps. Le jeune homme intègre alors un groupe, les Pokemon Crew, et ensemble, ils gravissent les échelons des compétitions de “popping”, une danse proche du breakdance.
Les Pokemon Crew remportent les Championnats du monde de breakdance en 2003 et ceux d’Europe en 2004, mais les débouchés sont limités : “Le breakdance est considéré comme une danse de cités en France, alors qu’aux Etats-Unis, ça fait partie de la culture populaire”, souligne Nabil du groupe Killafornia Crew, un danseur originaire de Stains (Seine-Saint-Denis) et installé depuis quelques années à Los Angeles.
Hassan El Hajjami ne pense toutefois pas à s’expatrier pour vivre du “popping”, mais entend parler d’une audition pour la troupe du Cirque du Soleil. “Au début, je croyais que c’était un cirque avec des animaux!”, se souvient Hassan. Le Cirque du Soleil est en réalité une troupe de cirque contemporain d’envergure mondiale qui met l’accent sur les jeux de comédiens et les numéros d’acrobaties.
“Je suis monté sur Paris en prenant le train en fraude”, se souvient-il. L’audition est un succès. La machine se met alors en route pour le jeune banlieusard : “vol pour Montréal, à l’arrivée, une énorme voiture m’attend, on me met dans un super appart“. Hassan a du mal à y croire. “Le lendemain, on me fait venir au siège du Cirque du Soleil et on me dit d’improviser sur une chanson des Beatles “I am the Walrus”. A l’issue de sa prestation, Hassan El Hajjami a droit à une standing ovation. Il devient le danseur principal du spectacle Love, un hommage aux Beatles.
Pendant près d’un an, il s’entraîne et répète pour le spectacle à Las Vegas. De juin 2006 à juin 2009, Hassan El Hajjami enchaine deux spectacles par jour, dix par semaine et 40 par mois. “j’ai fait au moins 1400 représentations au total, c’était vraiment intense”, souligne-t-il. “Certes je gagnais bien ma vie – et j’en ai d’abord fait profité mes proches”, insiste ce jeune père de deux enfants restés à Lyon. “J’ai fait construire une maison au Maroc et je n’ai pas cédé à la flambe comme beaucoup ici”, indique-t-il. Mais la routine et la fatigue s’installent. Hassan El Hajjami sent qu’il atteint ses limites au Cirque du Soleil : “l’idée de repartir de zéro ne m’effrayait pas car je suis parti de rien dans la vie.”
Muni de sa carte verte obtenue grâce au Cirque, Hassan décide d’aller tenter sa chance à Los Angeles. Et son expérience à Las Vegas lui ouvre pas mal de portes. Il apparait dans les clips vidéos “Gettin’ over you” et “One Love” de David Guetta. Mais financièrement, cela reste juste. Chaque week-end depuis juin 2009, le danseur danse seul ou au sein d’un groupe dans la rue piétonne de Santa Monica et dans la galerie marchande d’Universal Studios à Hollywood. “J’ai un égo à toute épreuve!”, s’exclame le jeune homme “hier, je me produisais face à 5000 personnes, et là je danse sur un trottoir devant 20 personnes pour quelques dizaines de dollars de pourboires!”
Malgré la rudesse de l’atterrissage, Hassan éprouve un vrai sentiment de liberté. Celle de créer ses chorégraphies, d’apprendre plus en profondeur l’art du “popping”, et régaler les touristes de la Third Street Promenade à Santa Monica. C’est là qu’il entend parler d’America’s Got Talent, l’émission de NBC qui dévoile le talent de chanteurs, danseurs, magiciens, comédiens et autres artistes amateurs de tout âge concourant pour le premier prix d’un million de dollars.
Plus que l’argent, Hassan pense que participer à cette émission peut lui servir de tremplin dans le monde du cinéma, monde auquel il aspire secrètement. Sur 70 000 candidats, Hassan – qui se produit désormais sous son nom de scène Haspop – compte parmi les 48 finalistes de l’émission. “Dans ma présentation vidéo destinée au public, America’s Got Talent a préféré faire l’impasse sur mon expérience au Cirque du Soleil, car les candidats sont censés être complètement amateurs”, souligne le danseur de 32 ans.
Le trac sur scène, Haspop n’en a aucun – sauf pour une chose : la langue. “J’ai eu peur que les gens me jugent sur mon niveau d’anglais”, se souvient-il, lors de l’audition de Los Angeles en juin dernier. Mais la prestation délurée d’Haspop fait mouche auprès des trois membres du jury. Si bien qu’il n’a même pas besoin de passer par la seconde sélection : il est automatiquement propulsé en finale. Résultat des courses les 27 et 28 juillet sur NBC.
Cécile Grégoriades

La femme française vieillit mieux que le sarkozysme

Cette semaine, comme les précédentes, l’affaire Bettencourt – la « magouille » Bettencourt comme la nomme le New York Times – continue d’intriguer la presse américaine. Voire de l’amuser. Le New York Times revient avec un humour cinglant sur cette saga de l’été, estimant que « les efforts de M. Sarkozy, parfois maladroits, pour contenir le scandale sont similaires à ceux de BP dans le golfe [du Mexique, ndlr] ». La plaisanterie vise juste.
Steven Erlanger a choisi de se pencher dans son article sur le passé trouble de la famille Bettencourt  : « C’est [l’Oréal, ndlr] un champion de l’industrie française mais qui a aussi une histoire politique compliquée, que ce soit avec la droite ou avec la gauche ». Le journal revient donc sur les premières heures de gloire de la dynastie et expose sans ambages ses liens avec les nazis durant la Seconde Guerre mondiale : « Son fondateur [de l’entreprise, ndlr] en 1909, Eugène Schueller, le père de Madame Bettencourt, soutenait les Nazis; le mari de Madame Bettencourt, André, écrivait pour un hebdomadaire antisémite financé par les Nazis dans les premières heures de la guerre ». André retournera sa veste pour rejoindre la résistance et deviendra un proche de François Mitterrand qui le protègera des attaques anti-nazis…
L’article fait ainsi l’historique de la famille Bettencourt et de ses liens complexes avec les arcanes du pouvoir faisant apparaître bien plus qu’une histoire de gros sous. Se dessine en fait, tout au long de l’article, une tranche de l’histoire française, du début du XXème siècle à aujourd’hui. Erlanger conclut en citant malicieusement Arthur Goldhammer, un historien de la politique française au centre d’études européennes d’Harvard : “Cette saga est la version française du Roi Lear : un enfant ingrat qui attaque un parent défaillant et un régime chancelant »
La semaine dernière, l’autre grand sujet de préoccupation en France était le 14 juillet. Fox News a préféré parler du jour qui précédait l’anniversaire de la prise de la Bastille : le 13 juillet, où les mouvements féministe célébraient les valeurs de “la liberté, l’égalité, la sororité ». L’interdiction du voile décidée par le gouvernement est analysée par Phyllis Chesler (professeur des universités) dans son édito comme le signe que « une fois encore la France est leader dans la lutte pour la liberté des femmes et les droits de l’homme ».
Il s’interroge ainsi sur la pertinence d’un refus d’interdire le voile dans certains pays occidentaux : « Pourquoi les pays occidentaux respecteraient la subordination des femmes en tant que sous-hommes et protègerait [le voile,ndlr] comme un droit « religieux » ? Une fois que l’on a compris que le voile n’est pas un commandement religieux mais plutôt une affirmation politique ou religieuse – au mieux une coutume ethnique – pourquoi notre propre tradition de tolérance religieuse nous enjoindrait à faire ainsi ? “.
L’angle pris pour cet editorial est à mettre en regard d’un autre editorial publié dans le New York Times. Martha Nussbaum (professeur de droit, philosophie) estime dans ce dernier qu’au même titre que le voile est un signe de la suprématie masculine : « Les magazines porno, les photos de nus, les jean moulants – tous ces produits, sans doute, traitent les femmes comme des objets, comme le font tant d’aspect de notre culture des médias de masse ». Un argument que réfute Chesler estimant que le voile rend la femme « socialement invisible » et peut être assimilé à de la « torture ».
Et pour rester chez le beau sexe cette semaine, Ann M. Morrison correspondante à Paris pour le New York Times estime dans un article que les Françaises vieillissent mieux que les Américaines… Tiens donc, les femmes de l’Hexagone auraient-elles trouvé le secret de l’élixir de jouvence ? Il s’agirait plutôt d’une question d’attitude : les Françaises avec l’âge « n’oublient jamais leur sens du style », et la journaliste de prendre en exemple notre icône nationale Catherine Deneuve mais aussi Juliette Binoche ou encore Ségolène Royal.
Flattées? Peut-être, sauf qu’on ne vous en voudra pas si vous avez  quelques difficultés à vous retrouver dans la “femme moyenne française” vue par le NYT: elle fait forcément son shopping « rue du Faubourg Saint-Honoré» et pour laquelle “contrôler son image est aussi naturel que nouer parfaitement un foulard ou porter des stilettos sur des rues pavées ». Thalassothérapie, massages, onguents en tout genre, visite chez le coiffeur toutes les deux semaines: puisqu’on vous dit que c’est ainsi que vivent les Françaises…

Le cinéma français s'installe à Fort Lauderdale

Le Perrier French Film Festival revient cette année pour sa 9ème édition, à Fort Lauderdale du 29 juillet au 2 août. Et comme on ne peut célébrer la culture française sans goûter de ses mets, le festival Perrier a également prévu de sustenter les cinéphiles. Le festival a pour but affiché de promouvoir le cinéma indépendant et de mieux faire connaître les films étrangers.
Programme
PARIS EXPRESS
par Herve Renoh, le 29 juillet, 7.30pm (précédé d’un cocktail avec une sélection de plats française: Coq au vin, gratin dauphinois, cassoulet, crêpes)
Le 30 juillet
THE ANGRY SISTERS (LES SOURS FÂCHÉES)
de Alexandra Leclère le 30 juillet, 5pm
MICMACS de Jean-Pierre Jeunet; 6.45pm :
COULD THIS BE LOVE? (JE CROIS QUE JE L’AIME) de Pierre Jolivet, 8.30pm
Le 31 juillet
FAB French Kids Films, Kids program
, 10am
TWO IN THE WAVE (DEUX DE LA VAGUE) de Emmanuel Laurent, 12.30pm
CAUSE TOUJOURS! de Jeanne Labrune, 1.15pm
DREAMS OF DUST (RÊVE DE POUSSIERE) de Laurent Salgues, 3pm :
FATHER OF MY CHILDREN de Mia Hansen-Love, 4.50pm
COCO CHANNEL & IGOR STRAVINSKY de Jan Kounen, 6.45pm
MA VIE EN L’AIR de Rémi Bezançon, 9pm
Le 1er août
AALTRA
de Gustave Kevern et Benoît Deléphine, 11am
VILLA JASMIN de Férid Boughedir, 1.15pm
DUMAS de Safy Nebbou, 3pm
LET IT RAIN (PARLEZ-MOI DE LA PLUIE) de Agnes Jaoui, 5pm
Pour réserver ses tickets, c’est ici ou appelez le 954 525 FILM (3456)
Cinema Paradiso
503 SE 6th Street
Fort Lauderdale, FL 33301-3416
954 525 3456

Cinéma en plein air, 24 juillet 2010

Le plus grand écran en plein air sur la côte ouest des Etats-Unis vous invite pour la projection de Pulp Fiction, le film de Quentin Tarantino, sorti en 1994. Le grand réalisateur raconte trois histoires sanglantes et burlesques de petits malfrats à Los Angeles. Ne manquez pas cette palme d’or du festival de Cannes!

Exposition Park, 700 Exposition Park Drive, Los Angeles, CA 90037, tel : 323-602 0608
Renseignements sur www.outdoorcinemafoodfest.com
Samedi 24 juillet:
Ouverture des portes à 18h00, concert à 18h30, Projection du film à 20h30
Billets en vente jusqu’à 15h le jour même: $8

LA Street Food Fest's Summer

La gastronomie est de retour à Pasadena. Le Rose Bowl invite tous les bons vivants à venir déguster de nouvelles recettes et breuvages, rencontrer des grands chefs et juger du meilleur plat.
Cet événement se déroulera dans une ambiance rock avec Warpaint et The Deadly Syndrome.

Rose Bowl, 1001 Rose Bowl Drive, Pasadena, CA 91103
Renseignements sur http://lastreetfoodfest.com
Samedi 24 juillet de 17h30 à 21h00 (ouverture à 16h00 pour VIP)
Billets sur http://summertastingevent.eventbrite.com
($45, $65 VIP. enfants de moins de 7 ans gratuit avec un adulte payant)

Jessica Fichot

Artiste internationale mais française de coeur, Jessica Fichot vous emmènera de la traditionnelle chanson française au gipsy jazz en passant par la musique folklorique de Chine et d’Amérique latine.
Petits et grands découvriront divers styles de musique pour se plonger dans des univers variés et imaginaires.

The Skirball Center (Family Amphitheater) 2701 Sepulveda Blvd., Los Angeles, CA 90049
Samedi 24 juillet 2010 à 12h00 et 14h00
Renseignements sur www.skirball.org
Performance comprise avec admission au musée