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L'Afterworks au High Bar Rooftop

Avec une vue imprenable sur l’Hudson River et le reste de la ville, le High Bar est le lieu du prochain rendez-vous organisé par l’Afterworks le jeudi 10 juin à partir de 7pm.
Highbar 251 W. 48th St., (et 8ème avenue). Tel: 212-956-1300
Plus d’infos ICI

Philippe Vasseur expose ses toiles à New York

Pour ses nouvelles oeuvres, l’artiste français explore la condition de l’existence humaine, laissant le spectateur subjugué par la beauté des tableaux à la fois ambigüe et spécifique. Il peint des bâtiments, des paysages représentants des scènes de Paris, en passant par Deauville au Maroc.
Le peintre né à Lisieux en 1954, s’est nourri du talent artistique de son père, menuisier, pour imaginer ses premières oeuvres. Alors qu’il est encore étudiant à l’Ecole Supérieure des Beaux Arts de Paris, Gallimard (éditions) se sert de l’un de ses dessins pour la jaquette d’une de ses parutions. Son travail est alors exposé à des millions de lecteurs. Plus tard, Philippe Vasseur se concentre sur la peinture, et particulièrement la peinture à l’huile. Avec sa formation classique, il ouvre un monde de possibilité dans chacune de ses toiles.
Exposition du 3 Juin au 3 juillet 2010 à Axelle Fine Arts Galerie, 535 West 25th Street, NY, NY.

Les dix bonnes adresses pour chiner à New York

Dans la maison de Francine Gardner, il règne un air du Midi. Les nombreuses baies vitrées laissent entrer généreusement le soleil, le vent soulève doucement les voilages blancs suspendus aux fenêtres. Au milieu d’une forêt d’arbres, dans le sud-ouest du Connecticut, la décoratrice française a transformé d’anciennes écuries en une chaleureuse maison où la pierre, le bois et la tomette sont rois. Objets et meubles mélangent leurs origines: une corbeille de Birmanie repose sur une table basse contemporaine en bambou, à deux pas d’un fauteuil d’Afghanistan.
A modern soulful living, c’est ainsi que la designer définit son style et que l’on retrouve dans son showroom, 58th Street à Manhattan. Avec un léger accent de son Lot-et-Garonne natal – elle est originaire de Clermont-Dessous, près d’Agen –, Francine Gardner explique avoir créé son enseigne Intérieurs, il y a 15 ans, comme « une extension » de sa façon de vivre: simplicité et confort proviennent de la mixité des matières (chêne et bambou côtoient acier et cristal), des cultures (un jeté de lit du Tibet se marie à des coussins du Brésil et une poterie de Belgique) et des histoires (meubles anciens et contemporains). Le tout avec une pointe d’humour apportée par des objets industriels transformés, telle une charrette en acier convertie en table basse. « Le style industriel, très en vogue depuis quelques années, est venu de Belgique. Il a forcé les Français à s’épurer », explique Francine Gardner.
Elle répond à toutes les envies de ses clients: elle chine des antiquités rares  pour un appartement de collectionneurs new-yorkais, elle importe des meubles de Provence en pierre de taille pour une maison des Hamptons. Son prochain défi: décorer un appartement dans le récent immeuble conçu par Jean Nouvel à Manhattan. Un goût éclectique et assuré, une guide à suivre. Elle nous livre ses meilleures adresses:

Stamford, Connecticut:
« La plupart de mes achats d’antiquités et de brocantes, je les fais à Stamford car c’est moins cher qu’à New York. » La ville du Connecticut est en effet réputée pour ses centaines de dealers regroupés dans une ancienne zone industrielle.
Parmi les plus gros antiquaires: The Antique & Artisan Center: 69 Jefferson St., Greenwich Living: 481 Canal St. Francine Gardner a une préférence pour Hamptons Antique Galleries: 441 Canal St. Profusion d’objets d’art populaire Folk Art, de meubles américains et européens, à tous les prix. Coup de cœur (français!) de French Morning pour un panier de boulanger des années 1940 à 850 $.
New York:
Olde Good Things: à Union Square: 5 E 16th St., et à Chelsea: 124 W 24th St. Antiquités et brocantes américaines, françaises, suédoises, anglaises et asiatiques. De tout, à tous les prix, y compris des accessoires à quelques dollars. On peut y trouver des bancs et tables rustiques (farm tables) pour moins de 1.000 $ et des meubles à restaurer. Notre coup de cœur pour les strapontins XIXe de la salle de spectacle du Cooper Union : 350$ la paire.

Wyeth: 315 Spring St. (à Greenwich St.). Spécialisé dans le mid-century et le style industriel. Parfait pour décorer un appartement du genre loft.
Amy Perlin: 306 E 61th St. (entre 2nd et 1th Ave.). Antiquités impeccablement restaurées des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Beaucoup de choix en meubles français, prix élevés. Coup de foudre pour une commode espagnole patinée XVIIIe à… 8.500 $.

Florian Papp: 962 Madison Ave (entre 75th et 76th St.). Très haut de gamme. Pour collectionneurs.

Internet:
Étonnant pour les Français mais courant pour les designers aux États-Unis: l’achat en ligne. « Une fois que je connais le dealer, je peux acheter en ligne les yeux fermés », estime Francine Gardner.
www.1stdibs.com: une mine pour les chineurs. Ce site regroupe des milliers de dealers, classés par villes (une 20aine aux États-Unis) ou par régions. Le plus souvent, les prix sont affichés.
www.jeffbridgman.com: style Folk Art, le paradis pour les fans de drapeaux américains anciens. Collection très riche en meubles de Nouvelle Angleterre notamment.

Design moderne:
Ochre, 462 Broome St. (entre Mercer and Greene St.): objets originaux, notamment en verre soufflé et céramiques.
Pour les photographies: Clic Gallery de la française Christiane Celle, 225 Centre St. (à Grand St.). Clichés uniques et éditions limitées. Tous les mois sont exposés de jeunes photographes.
Et puis, bien sûr, Intérieurs, 225 E 58 St. (entre 2nd et 3rd Ave.). 70% de collection propre (fabrication en Caroline du Nord et dans l’État de New York) sur 370 m2, avec jolie terrasse. A découvrir les luminaires contemporains de José Esteves, Pouenat Ferronnier et Emmanuel Lussot,  les meubles en bambou de Henry Becq (Modénature), et les commodes et tables basses en acier signées Jason.
Le blog de Francine Gardner: fg-artdevivre.blogspot.com

Une pièce de théâtre inspirée de Madame Bovary à l'IRT

Musique enregistrée et live, vidéo et danse, cette pièce mélange les styles et les moyens afin d’évoquer la difficulté de combiner les notions idéalisées de romance et de glamour avec la triste réalité de la vie quotidienne.
Du 9 Juin au 26 Juillet à l’IRT Theater, 154 Saint-Christophe, Buzzer 3B
Prix: $15-$20
Plus d’infos ICI

Tournoi de pétanque à Brooklyn

Pour cette première compétition en doublette organisée par le New York Pétanque Club, des équipes des quatres coins des Etats-Unis mais aussi de France, de Belgique, du Canada et d’Espagne se réuniront à Brooklyn.
Paul Ricard Pétanque Courts, 1054 Caton Avenue, Brooklyn
Prix: $65 par joueur
Plus d’infos ICI ou au (646) 896-4448

"Le père de mes enfants" de Mia Hansen-Love

Présenté à Cannes en 2009 dans la catégorie “Un certain regard”, Le père de mes enfants est un portrait d’Humbert Balsan, le producteur français, dans les derniers jours de sa vie. Décédé en 2005, il s’est battu tout au long de sa vie pour sa compagnie, Moon Films, accablée de dettes. A travers son combat, c’est aussi le monde de la production indépendante qui est dépeint dans ce film.
Il s’agit du deuxième long métrage de Mia Hansen-Love après Tout est pardonné, nominé en 2008 pour le César du meilleur premier film. La jeune réalisatrice française est également actrice, elle a notamment tourné à deux reprises avec Olivier Assayas.
IFC Center, 323 Avenue of the Americas, (212)924-7771
Lincoln Plaza Cinemas, Broadway entre la 62 et la 63ème, (212) 757-2280

Rachid Taha au Highline Ballroom

Rachid Taha, plus connu pour sa participation à l’album 1,2,3, Soleils en compagnie de Faudel et Khaled, s’inspire du rai, de la techno et en particulier de la pop pour son album intitulé Bonjour, sorti en 2009. Pour ce dernier, Rachid Taha a notamment collaboré avec Gaëtan Roussel et Louise Attaque.
Le 13 juin à 8PM (ouverture de la salle dès 6PM) au Highline Ballroom, 431 West 16th Street
Prix: $18 à l’avance et $20 le jour même.
Plus d’infos ICI

La mauvaise réputation de Pierre de Gaillande

Tout commence par une remarque de son père, fan de Georges Brassens, qui lui suggère de traduire les textes de son idole. « Mon père m’a envoyé une de ses traduction. Mais elle était étrange alors je l’ai retravaillée, et ce petit jeu m’a plu. » nous explique Pierre de Gaillande. La tâche s’avère tout de même plus compliquée qu’on ne le croit : « Traduire les textes comme ça c’est facile, mais ensuite garder le rythme, les rimes, la musicalité, c’est une autre histoire… ».
Pari réussi : les rimes audacieuses, la dimension jazzy et le flegme dans la voix sont bien présents. Petite déception tout de même lorsque l’on découvre que l’homme a tombé la moustache, qu’il arbore pourtant fièrement sur la pochette de l’album. Une sorte d’hommage. « J’ai évité la pipe, nous confit-il, mais j’y ai pensé ». Comme tous les artistes qui traduisent des classiques français de Brel, Piaf ou Brassens, Pierre de Gaillande se défend de faire dans l’imitation. Inconsciemment, il y a toujours un certain mimétisme dans l’interprétation, ce que le chanteur admet tout de même : « J’ai essayé une fois de me positionner comme lui quand il chantait, le pied sur la chaise. Mais je n’y arrivais pas. Je veux le faire à ma façon. Le plus important c’est de respecter son travail. »
La véritable originalité de Pierre de Gaillande se trouve finalement dans l’intérêt qu’il porte à la langue. « Les gens ne savent plus s’exprimer. C’est dommage, je pense qu’il faut protéger la langue » nous dit-il. L’attitude de Brassens, ses valeurs, ses messages n’ont rien de ringard, et s’associent plutôt bien à la langue anglaise. Les deux participations de la chanteuse folk Keren Ann sur « To die for your ideas » et « Ninety-Five Percent » ajoutent à la modernité de cet album. La française, qui a déjà chanté avec Pierre de Gaillande au City Winery récemment, devrait le retrouver en novembre, pour un concert du World Music Institute.
A l’occasion de la sortie de Bad Reputation, Pierre de Gaillande sera le 12 juin à The Bell House :
Le 12 juin à 8pm: CD Release Party
THE BELL HOUSE, 149 7th Street, Park Slope, Brooklyn

Les Jeunes Talents 2010 de la photographie

Ces jeunes photographes talentueux originaires de Los Angeles (Otis, ArtCenter, CalArts), New Orleans (Loyola) and New York (Parsons) s’étaient vu offrir un voyage de 10 jours tous frais payés dans une ville parmi 6 proposées afin de capturer “l’essence de la vie française contemporaine”. Le résultat de ce travail est une imagerie complètement différente de ce qu’il ressort traditionnellement de la France.
Les 52 photographies de l’exposition donneront aux visiteurs une nouvelle vision de villes comme Aix en Provence, Arles, Lille, Marseille, Toulon ou encore une des îles de Tahiti, pour le plus chanceux des 8 photographes !
Entrée gratuite
Du lundi au vendredi de 11h à 6h (fermé le week end)
Service culturel de l’Embassade française, 972 Fifth Avenue (at 79th St)
Informations : www.frenchculture.org

[Replay] Saisir les opportunités du marché immobilier américain

Ce mardi 2 juin, French Morning organisait un webinaire sur le thème de l’immobilier et des opportunités du marché américain, en particulier de la ville de Détroit.
Retrouvez l’intégralité du webinaire en replay ci-dessus, ou directement sur YouTube.

Contactez nos experts

Justin Fontenelle,

CEO de JustInvestNow, spécialiste de l’investissement immobilier à Détroit.
Email : [email protected]

Guillaume Tardivat

Account Manager France – Currencies Direct.
Email : [email protected]
Téléphone : + 44 7715059514

Inscrivez-vous via ce lien en citant ce webinaire pour bénéficier d’un service préférentiel : 

Jean-Philippe Saurat

Asssocié – Cabinet franco-américain d’experts-comptables Massat Consulting Group.
Email : jean-philippe.s@massat-group.com

Les mardis cinéma avec Sylvie Testud

Entre éclat et sagesse, Sylvie Testud est une comédienne hyperactive qui affiche à 39 ans près d’une quarantaine de films à son palmarès. Egalement sénariste et réalisatrice, la lyonnaise a obtenu le César de la meilleure actrice pour Stupeur et Tremblements en 2004. Le FIAF a voulu lui rendre hommage en projettant chaque mardi de juin un film où l’on retrouve l’actrice.
Parmi ces films, Les blessures assassines, le 8 juin, pour lequel elle a reçu le César du meilleur espoir féminin, et Sagan, de Diane Kurys, dans lequel la comédienne interprète l’écrivain français à travers tous les âges.
Le 8 juin: Les Blessures assassines, de Jean-Pierre Denis
Le 15 juin: Sagan, de Diane Kurys
Le 22 juin: La France, de Serge Bozon
La 29 juin: La Captive, Chantal Akerman
Plus d’infos ICI

La nouvelle collection de Juliette Longuet

Avant d’envahir les Galeries Lafayettes de Paris en septembre, Juliette Longuet présente sa collection été 2010 dans les Hamptons. Elle vous accueillera le samedi 19 juin dans la maison de son amie Amélie à Bridgehampton, afin de vous présenter en personne ses nouveaux vêtements autour d’un coktail.
Le samedi 19 juin de 3 à 7pm
Chez Amélie Lonergan, 11 Montrose Lane, Bridgehampton, NY.
RSVP: [email protected]
Pour découvrir la collection de Juliette, cliquez ICI