Pour sa dernière apparition au Carnegie Hall cette saison, le Metropolitan Opera Orchestra sera dirigé par le chef d’orchestre français Pierre Boulez. L’orchestre interprètera le ballet de Bartók, Le prince de bois, ainsi que Erwartung de Schoenberg, avec la soprano Deborah Polaski.
Plus d’infos et réservation: ICI
Les billets sont également disponibles au Box Office du Carnegie Hall, 154 West 57th Street
Prix: Entre $53 et $169
Pierre Boulez au Carnegie Hall
Aurélien Pontier à Miami
Né dans une famille de musiciens, Aurélien Pontier se passionne très vite pour le piano. Après avoir connu les plus grandes salles parisiennes comme l’Opéra de Paris à 9 ans, il donnera son deuxième concert aux Etats-Unis. Il interprètera les œuvres de Medtner, Rachmaninov, et Liszt.
Samedi 22 mai
Maurice Gusman Hall
University of Miami- 1314 Miller Drive Coral Gables, FL 33146
Plus d’infos: 305 372 7474 7474
Le Bass Museum présente "Kolkoz"
« Kolkoz » est un collectif français composé des deux artistes Samuel Boutruche et Benjamin Moreau. Samuel et Benjamin touchent à tout (sculpture, photographie, l’installation vidéo…) Les deux compères font le voyage de Paris pour présenter une exposition sur le thème du cadrage de l’oeuvre et de sa déconstruction.
Du 15 mai au 8 août
Bass Museum of Art
Adresse: 2121 Park Avenue Miami Beach, FL 33139
Plus d’infos: www.bassmuseum.org
"Parlez-vous Français" au Cinema Paradiso
Mélange de one-man show et de comédie musicale, ce spectacle a été entièrement créé par Frederic Strouck, que l’on retrouvera seul sur scène au Paradiso de Fort Lauderdale. Le spectacle raconte l’histoire d’un professeur de français, attiré depuis l’enfance par les États-Unis. Il s’agit également d’une histoire d’amour et d’humour sur fond de grands classiques français qui ont notamment été repris de l’autre côté de l’Atlantique comme My Way ou Beyond the sea. Présenté au même endroit l’année dernière à l’occasion du 14 juillet, Parlez-vous Français? a été reprogrammé cette année pour cinq spectacles tout au long des mois de mai et juin.
Cinema Paradiso, 503 SE 6th Street, Fort Lauderdale
Prix: $28
Plus d’infos ICI
Croire ou ne pas croire…
La querelle qui va suivre vous concerne que vous soyez de l’avis de l’un ou de l’autre des deux personnages.
Cette pièce prend sa source dans la littérature Yiddish « My quarrel with Hersh Rasseyner » de Chaim Grade et met en scène d’une manière plus moderne, deux hommes du même âge, juste après la deuxième guerre mondiale. Ils ont tous les deux perdus, en 1942, leur femme, leur famille (ascendante et descendante), et tous les deux ont survécus à l’holocauste.
Ils se croisent dans un parc en 1948, à Montréal, ne sachant pas que l’autre a survécu. Une querelle qui les avait opposées pendant leur jeunesse (querelle sur la foi) est réactivée maintenant par leur tragique destin. La querelle, et vous l’aurez compris c’est l’existence de Dieu, mais à travers un nouveau filtre. La question devient : « Que faisait Dieu à Auschwitz ? »
L’intelligence de leur argumentation nous interpelle, et dépasse le simple stade de la foi. La non croyance devient une croyance comme une autre. « Dieu n’était pas responsable de la mort d’un million d’enfants innocents, c’était l’homme… » … « ….mais l’homme n’est t-il pas l’émanation de Dieu ? ».
Les deux acteurs font preuve d’une extraordinaire justesse et leur propos est clair. Le plaisir de réfléchir à l’existence de Dieu vous apparaîtra plus stimulant qu’un cours de théologie à l’université.
Gable Stage, jusqu’au 23 Mai.
Jeudis, Vendredis, Samedis à 8 pm
Dimanche à 2 pm et 7 pm
Conversation avec Eric Elmosnino et Julie Ferrier
Si le film “Gainsbourg…Je t’aime moi non plus” sorti le 20 janvier en France, n’a pas encore trouvé de distributeur aux Etats-Unis, le récent prix du meilleur acteur du festival de Tribeca de New York décerné à Eric Elmosnino pourrait changer la donne.
Quant à “L’Arnacoeur”, une comédie de Pascal Chaumeil avec Romain Duris et Vanessa Paradis sur un briseur de couple professionnel, il a été très bien reçu par le public du festival, un bon baromètre avant sa sortie prochaine dans les salles aux Etats-Unis. En attendant, les rumeurs vont bon train concernant un remake américain du film, puisque Jeremy Doner, l’un des auteurs de la série Damages, a confirmé lors du festival de Tribeca de New York, où le film était également présenté, qu’il serait chargé de l’écriture du remake.
French Morning a rencontré Eric Elmosnino et l’actrice Julie Ferrier qui est aussi à l’affiche de Micmacs à tire-larigot de Jean-Pierre Jeunet, en salle à Miami dès cet été.
Combien de temps a duré le tournage de Gainsbourg?
Eric Elmosnino : Trois mois et demi.
Vous en êtes sorti indemne ?
Oui, sauf que je me suis remis à fumer.
Quels sont vos prochains films?
Je vais tourner avec Julie Delpy en France. Le film Skylab raconte ses vacances quand elle était môme. Je vais jouer le rôle du père de Julie. Elle va jouer sa mère. C’est une famille déjantée. C’est elle qui réalise le film qui est très drôle. Le “skylab” va nous tomber sur la tête…
Vous aimeriez tourner aux Etats-Unis?
Si David Cronenberg ou James Grey veulent travailler avec moi, je veux bien. Je pense qu’avec mon anglais ça va être un peu compliqué mais j’apprends phonétiquement. Cela me plairait beaucoup de passer du temps ici. Ce n’est pas la même énergie.
Comment était-ce de tourner avec Romain Duris et Vanessa Paradis?
Julie Ferrier : J’ai beaucoup appris. Romain Duris a une très grande maîtrise. C’est un grand artiste. Vanessa est comme Romain. Elle met un petit peu de distance au début, mais c’est de la protection. Elle est adorable. Elle m’a offert ma première robe Chanel. Je l’ai portée à la projection à Prague.
Quelle a été la réaction du public du festival de Tribeca à L’Arnacoeur ?
Les gens semblaient très contents. C’est intéressant. Quand nous présentions le film en France, il n’y avait pas de question. Ici, les gens posent quarante questions et pas toujours les plus évidentes !
Quelle est la différence entre le métier d’acteur en France et aux Etats-Unis?
On a un statut plus confortable en France, du fait du statut d’intermittent du spectacle. Il y a cette blague sur les Etats-Unis : “Ma fille est actrice. Ah oui ? La mienne aussi ! Dans quel restaurant travaille la vôtre?”
Que pensez-vous de New York?
J’adore. Je me suis baladée à Central Park. J’ai l’impression que tout le monde s’assume ici. Nous étions à une soirée pour le festival. Les hôtesses d’accueil dansaient, je me suis mise à danser aussi. Personne ne m’a regardé bizarrement.
The Do au Vagabond
Le duo français révélé par la chanson folk On My Shoulders est en tournée dans tous les Etats-Unis jusqu’en septembre. A Miami, le groupe jouera sur la scène du Vagabond le 31 mai. Olivia Merilahti et Dan Levy se sont rencontrés lors de leur collaboration sur la musique du film L’Empire des Loups. Leur premier album, Mouthful, s’est classé premier des ventes en France la semaine de sa sortie en janvier 2008.
Initiation au vin et au vignoble français
La conférencière Leticia Boschetti de Webel fera découvir tous les secrets du vin et vignoble français. La conférence sera suivie d’un verre de vin des Côtes du Rhône.
Le 7 mai de 6.30pm à 8.00pm
Adresse: Alliance Française de Fort Lauderdale: 618 Southwest 8th Street
Prix: 10$ pour les membres, 15$
Réservation: 954-523 9052
Daniel Boulud consacré
Daniel Boulud a le mojo. Après avoir décroché sa troisième étoile au Guide Michelin 2010, Daniel Boulud a remporté le prix du Meilleur restaurant. C’est son compère alsacien Jean-Georges Vongerichten qui a lui remis la médaille lundi soir sur la scène du Avery Fisher Hall au Lincoln Center où se déroulait la cérémonie.
C’est la première fois que son restaurant “Daniel” à New York était nominé dans cette catégorie, qui récompense le meilleur restaurant de plus de 10 ans. (Daniel Boulud a ouvert son restaurant il y a 16 ans mais a déménagé à son emplacement actuel à New York il y a cinq ans). Les nominés de cette catégorie étaient Babbo de Mario Batali à New York, Boulevard à San Francisco, Highlands Bar & Grill à Birmingham en Alabama et Spiaggia à Chicago. Daniel Boulud a gagné son premier “James Beard Awards” en 1992, lorsqu’il était au restaurant Le Cirque.
Zach Bell de Café Boulud à Palm Beach, nominé dans la catégorie Meilleur chef Sud (qui regroupe cinq états du sud dont la Floride) pour la troisième année consécutive a perdu face à Michael Schwartz de Michael’s Genuine Food & Drink à Miami. Mais il en faudrait plus à Zach pour se décourager. Il espère bien que l’année prochaine sera la bonne.
Parmi les autres victoires françaises aux Oscars de la restauration, celle du restaurant Jean Georges qui a remporté le prix du Meilleur service pour le vin, et celle de Claude Le Tohic du restaurant Joël Robuchon au MGM Grand Hotel & Casino, Las Vegas est le Meilleur chef pour la région Sud-Ouest.
Timothy Hollingsworth de French Laundry, le restaurant de Thomas Keller en Californie et candidat américain au Bocuse d’or 2009 est élu jeune chef prometteur de moins de 30 ans. Keith McNally, le plus britannique des propriétaires de bistros français (Pastis et Balthazar à New York), est élu Meilleur restaurateur.
Pierre et Charlotte Calmels du restaurant Bibou à Philadelphie, nominés dans la catégorie Meilleur nouveau restaurant ont perdu face au restaurant italien Marea sur Central Park South. Dans leur restaurant de 30 places assises sans license d’alcool, les Calmels servent une cuisine très française comme les tripes, cuisses de grenouille ou encore le pied de cochon. Un ancien de Daniel et du Bec-Fin à Philadelphie, Pierre se réjouit d’avoir été finaliste aux James Beard.
Isabelle Bellis déride l'Upper East
« M’installer dans ce quartier est une sorte de provocation», s’amuse Isabelle Bellis. Cheveux blonds, visage mutin, large sourire, la trentaine et sans aucune ride, Isabelle est la meilleure égérie de son approche : une approche “holistique” de la beauté qui inclut notamment la nutrition. Isabelle ne se pose pas en fer de lance d’un mouvement anti-chirgurgie pour autant. Quand le mal est fait, sa technique peut aussi accompagner le bistouri. Isabelle pratique par exemple le soin “sculpture” (qui irrigue les muscles et réoxygène la peau), le massage bucal (qui atténue les rides d’expression et remplace les injections), le drainage lymphatique (qui élimine le côté bouffi après une opération). La combinaison des trois soins baptisée “sculpture 3D” est à $250.
Après avoir travaillé pour une entreprise de cosmétiques en France, cette Bretonne originaire de Dinan prend ses cliques et ses claques et s’installe à New York il y a quatre ans. Elle réalise qu’il y un besoin d’éduquer les Américaines à une philosophie plus globale de la beauté. Elle complète sa formation de nutritionniste par des études auprès de mentors comme Joelle Ciocco, la gourou parisienne de la beauté (dont elle a l’exclusivité de la ligne de produits aux Etats-Unis), Dr Andrew Weil et se forme à la médecine ayurvédique. Dernière étape, le diplôme d’une “beauty school” américaine, condition sine qua non pour exercer.
C’est par hasard, en se rendant chez un acuponcteur dans une clinique de Soho, qu’elle trouve un cabinet pour se mettre à son compte il y a trois ans. “J’ai mis ma petite plaque à l’entrée et c’était parti”, se souvient-elle. Le bouche-à-oreille fonctionne et le carnet de rendez-vous se remplit. Venir s’installer dans l’Upper East marque une nouvelle étape : avoir son propre espace. Chapeau de paille épinglé au mur, beaux livres, Georges Brassens en musique de fond, l’espace lumineux est à l’image de la maîtresse de lieux. Evoquant un récent article paru dans le New York Times sur Hollywood où les visages refaits ne font plus recette, Isabelle se réjouit : “Les mentalités commencent doucement à changer”.
Conversation avec Eric Elmosnino et Julie Ferrier
Si le film “Gainsbourg…Je t’aime moi non plus” sorti le 20 janvier en France, n’a pas encore trouvé de distributeur aux Etats-Unis, le récent prix du meilleur acteur du festival de Tribeca décerné à Eric Elmosnino pourrait changer la donne.
Quant à “L’Arnacoeur”, une comédie de Pascal Chaumeil avec Romain Duris et Vanessa Paradis sur un briseur de couple professionnel, il a été très bien reçu par le public du festival, un bon baromètre avant sa sortie prochaine dans les salles aux Etats-Unis.
UniFrance, l’organisme de promotion du cinéma français à l’étranger espère continuer sur sa lancée et organiser un “French weekend”, une séléction de films français dans le cadre du festival l’an prochain, explique Florence Charmasson, chargée de mission à UniFrance. French Morning a rencontré Eric Elmosnino et l’actrice Julie Ferrier qui est aussi à l’affiche de Micmacs à tire-larigot de Jean-Pierre Jeunet, présenté hier à Columbia University.
Combien de temps a duré le tournage de Gainsbourg?
Eric Elmosnino : Trois mois et demi.
Vous en êtes sorti indemne ?
Oui, sauf que je me suis remis à fumer.
Quels sont vos prochains films?
Je vais tourner avec Julie Delpy en France. Le film Skylab raconte ses vacances quand elle était môme. Je vais jouer le rôle du père de Julie. Elle va jouer sa mère. C’est une famille déjantée. C’est elle qui réalise le film qui est très drôle. Le “skylab” va nous tomber sur la tête…
Vous aimeriez tourner aux Etats-Unis?
Si David Cronenberg ou James Grey veulent travailler avec moi, je veux bien. Je pense qu’avec mon anglais ça va être un peu compliqué mais j’apprends phonétiquement. Cela me plairait beaucoup de passer du temps ici. Ce n’est pas la même énergie.
Comment était-ce de tourner avec Romain Duris et Vanessa Paradis?
Julie Ferrier : J’ai beaucoup appris. Romain Duris a une très grande maîtrise. C’est un grand artiste. Vanessa est comme Romain. Elle met un petit peu de distance au début, mais c’est de la protection. Elle est adorable. Elle m’a offert ma première robe Chanel. Je l’ai portée à la projection à Prague.
Quelle a été la réaction du public du festival de Tribeca à L’Arnacoeur ?
Les gens semblaient très contents. C’est intéressant. Quand nous présentions le film en France, il n’y avait pas de question. Ici, les gens posent quarante questions et pas toujours les plus évidentes !
Quelle est la différence entre le métier d’acteur en France et aux Etats-Unis?
On a un statut plus confortable en France, du fait du statut d’intermittant du spectacle. Il y a cette blague sur les Etats-Unis : “Ma fille est actrice. Ah oui ? La mienne aussi ! Dans quel restaurant travaille la vôtre?”
Que pensez-vous de New York?
J’adore. Je me suis baladée à Central Park. J’ai l’impression que tout le monde s’assume ici. Nous étions à une soirée pour le fesival. Les hôtesses d’accueil dansaient, je me suis mise à danser aussi. Personne ne m’a regardée bizarrement.
Comment se constituer un patrimoine?
Compte tenu d’un contexte ou les taux d’emprunt sont historiquement bas, la meilleure façon de se constituer un patrimoine actuellement, est d’utiliser le crédit. En effet, sur certains types d’immobilier, on peut réussir à trouver des rendements qui sont supérieurs aux taux des crédits proposés actuellement.
Immobilier à crédit : un véritable plan retraite
400 euros de cotisation pour 2000 euros de revenus dans 20 ans !
Un exemple : acquisition de 300 000 euros de parts de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier), produit d’épargne et complément de retraite à crédit sur 20 ans :
• Aucun apport personnel.
• Effort d’épargne moyen mensuel pendant la durée du crédit : environ 400 euros/mois (loyer – crédit – impôts fonciers).
• Rente en fin de crédit : plus de 2000 euros/mois (selon l’évolution des loyers, liée à l’inflation)
• Capital immobilier revalorisé
Pourquoi investir en SCPI?
Diversifier son patrimoine et accéder au marché immobilier quelles que soient ses ressources
Face aux autres produits de placement, l’immobilier garde, à juste titre, une place importante dans le patrimoine des Français. A ce sujet, les SCPI permettent de diversifier ses placements vers le marché de l’immobilier, et notamment le marché de l’immobilier d’entreprise, généralement peu accessible mais rémunérateur. Le prix unitaire d’acquisition des parts de SCPI ou des actions d’OPCI varie de quelques centaines à quelques milliers d’euros. Il est donc aisé de déterminer son investissement en fonction de ses ressources disponibles.
Obtenir des revenus réguliers et bénéficier du potentiel des plus-values
Grâce à une gestion rigoureuse et dynamique des immeubles et des actifs mobiliers confiés à des professionnels des marchés immobiliers et financiers, les SCPI offrent aux associés des revenus distribués périodiquement.
Constituer et transmettre son patrimoine
L’achat à crédit de parts de SCPI peut s’avérer une bonne solution pour se constituer un patrimoine. En fonction des taux d’intérêts pratiqués, les rendements offerts peuvent couvrir les coûts liés au crédit. De plus, les intérêts peuvent être déduits des revenus fonciers. La SCPI sont des produits immobiliers divisibles en parts ce qui facilite la transmission et donc la répartition entre les héritiers.
Mutualiser ses risques
Comme tout marché, l’immobilier est soumis à des variations cycliques. En constituant son patrimoine sur plusieurs années, en investissant dans des SCPI avec des orientations (immobilier d’entreprise versus immobilier murs de magasins) et des répartitions géographiques différentes, en sélectionnant un placement dont le cycle est peu corrélé à celui des marchés financiers, les associés et actionnaires diversifient leur portefeuille. De plus, ils bénéficient de la perspective de revenus, distribués régulièrement.
Pour plus d’informations sur les solutions d’épargne retraite vous pouvez contacter :
Eric THOBY 917-684-3599 [email protected]
Jérôme KHASKI 516-477-0373 [email protected]