Le New York Times parle d’un nouveau « psychodrame présidentiel » et compare la suite d’événements à une véritable « farce française moderne.» L’enquête menée par la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) sur ordre de l’Elysée, afin de remonter le fil de la rumeur d’infidélité au sein du couple Sarkozy est commentée dans la presse américaine avec stupéfaction et humour. «C’est Tartuffe à l’ère de Twitter », selon le quotidien. La rumeur a déclenché la frénésie médiatique, et « M. Sarkozy, comme à son habitude, est devenu incandescent », raconte le quotidien. «Sentant le complot », il lance une enquête qui accuse dans un premier temps Rachida Dati. « L’élégante et intelligente » Dati se voit privée de ses anciens privilèges de ministres (voiture de fonction, chauffeurs et gardes du corps). Enfin, le quotidien rapporte des propos de Claude Guéant, qu’il qualifie de «cardinal sombre de l’administration Sarkozy » : « La vérité d’hier n’est pas celle d’aujourd’hui », pour les tourner en dérision : « Une phrase qui pourrait servir de devise pour ce divertissement ».
Cela est assez rare dans la presse américaine pour être souligné : un article du Wall Street Journal qualifie la mesure qui vise à l’interdiction du voile intégral en France de « légitime ». Si « une interdiction du voile intégral dans les États-Unis serait impensable. (…)La France est différente. (…)Pour beaucoup de Français, la laïcité a acquis un sens militant, selon lequel le gouvernement doit limiter la religion à la sphère privée. » Pour le journaliste, «l’interdiction risquée » de Nicolas Sarkozy est destinée à envoyer un double message culturel : « 1/A la minorité musulmane: la majorité estime que le voile couvrant tout le corps est incompatible avec la culture de la liberté politique en France. 2/A la majorité non-musulmane: c’est votre droit et votre responsabilité de veiller à ce que tous les citoyens français puisse jouir de leurs droits et honorer leurs responsabilités d’hommes et de femmes libres. »
Depuis le vote de la réforme santé aux Etats-Unis, le modèle français semble être la référence pour les Américains. Dans le Washington Post cette semaine, le journaliste économique Ezra Klein commente le système de santé français. «[…] Il est difficile pour les gens de concevoir combien notre système est pire que le système français.» Le journaliste renvoie également à un article du même journal datant de septembre 2009, au moment où le débat venait d’être lancé aux Etats-Unis par le Président Obama. « La plupart des Français ont grandi avec l’idée que le gouvernement est l’ultime garant de la santé, même pour les personnes qui ne peuvent pas se permettre de payer. Le concept est tellement ancré depuis un demi-siècle qu’il est un élément intangible du paysage politique, ce qui rend le débat sur les propositions du Président Obama à Washington “tout à fait surréaliste.”»
Enfin, la journaliste française Laurie Cholewa a été citée plusieurs fois dans la presse à scandales pour avoir été vue dans Paris en compagnie de l’acteur écossais Gerard Butler, notamment connu pour ses rôles dans 300 et PS I Love You. Les photos du couple mettent d’ailleurs fin aux rumeurs qui le disaient avec Jennifer Aniston, sa partenaire dans le film The Bounty Hunter, sorti il y a quelques semaines aux Etats-Unis. Contactée par le magazine Us, la journaliste qui travaille pour la chaîne Direct 8 aurait déclaré que l’acteur habitait tout de même trop loin pour qu’une relation sérieuse soit envisageable… Cependant, selon le magazine People, l’acteur aurait eu le coup de foudre pour la Française lorsqu’il faisait la promotion du film en France et aurait déjà oublié Jennifer Aniston. Affaire à suivre… Ou pas.
Psychodrame présidentiel, laïcité militante et coup de foudre hollywoodien
La Promenade des artistes
Beaucoup d’artistes francophones et francophiles comme le peintre Patrick Bancel, la créatrice de bijoux Isabelle Johansen ou encore la sculptrice Anne de Villeméjane exposeront leurs œuvres à l’occasion de cette “Promenade” dans le village de Larchmont.
Trente-six artistes en tout exposeront dans six maisons prêtées par des membres de la communauté. Comme à chaque édition, les artistes reverseront 15% de leurs bénéfices à des associations caritatives, cette année Abraham House et l’Entraide Francaise.
La Promenade des artistes est également l’occasion de découvrir la région du Westchester au printemps. Cette année elle se tiendra dans le quartier du “village” de Larchmont, près de la gare. La ville se situe à 35 minutes de Grand Central en train (Metro North, New Haven Line).
Plus d’infos :http://www.promenadedesartistes.org/
Quatuor Parisii à la Morgan Library
Les séries DOUBLE TAKE sont composées de plusieurs concerts autour d’un thème : cette fois-ci, ils seront dédiés à l’expérience de l’interprétation. A cette occasion, le quatuor français Quatuor Parisii, créé en 1981 par quatre étudiants du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, donnera une de ses rares performances.
Le mardi 13 avril à 7:30pm à Morgan Library & Museum, 225 Madison Avenue @ 36th Street
Prix: $35 pour les non-membres, $25 pour les membres.
Réservations: (212) 685-0008 ext. 560 ou www.themorgan.org
Le Royaume de Nicolas Touron
Une exposition intitulée “The Kingdom” rassemble les peintures, sculptures et collages de l’artiste Nicolas Touron.
Virgile de Voldere Galerie, 526 West 26th street – 4ème étage – Salle 416
Heures d’ouverture: du mardi au samedi 11 -6 pm et le samedi de 12 à 6 pm et sur rendez-vous
Plus d’infos: 212-343-9694 ou www.virgilgallery.com
Cours de cuisine méditerranéenne
La sculptrice française d’origine marocaine envisage la cuisine comme art, qu’elle a décidé de partager, en proposant des cours de cuisines. Chaque cours (les mercredis soirs) portera sur un menu méditerranéen différent à 3 plats. Au programme : tajines d’agneau aux amandes et aux pruneaux, couscous aux sept légumes, méchoui d’agneau, soupe provençale au pistou, tortilla aux pommes de terre et aux poivrons, salade de lentilles, anchoïades, et plus…
Prix : $130 pour un cours, $260 pour les deux et $480 pour deux personnes. Ceci comprend les deux cours, et le coût des ingrédients.
Dates : Premier menu le mercredi 21 avril et deuxième menu les mercredis 14 ou 28 avril
Enfin, pour des anniversaires ou événements, Danièle Pollitz propose également de faire le cours chez vous.
Pour plus d’infos, contacter : Danièle POLLITZ, 121 West 17 St, 917-495-4398 ou [email protected]
Le Taxi passe à New York
Tout commence à Londres, en 2005, quand Maud Franklin se fait percuter par un taxi, alors qu’elle traversait la rue. Cette ancienne étudiante aux Beaux Arts de Strasbourg est hospitalisée à l’hôpital de Garches pendant plusieurs mois. Là elle réalise des portraits de ses amis en fauteuil roulant, à l’aide d’un appareil photo qu’elle pose sur ses genoux et se met à écrire : « Après l’accident, je me suis rendue compte que j’étais devenue anachronique par rapport aux autres. Les gens vont vite, et ne te voient pas. Il fallait que je m’adapte et me reconstruise. Au fur et à mesure que je redécouvrais mon corps, par fragments, j’avais des poussées d’écriture.» nous explique-t-elle. De ces “poussées” naît donc Le Taxi, dans lequel Maud raconte son corps, sa reconstruction et ses désirs, avec brutalité et fraîcheur. “Avant de commencer à écrire je connaissais déjà et appréciait beaucoup les peintures de Francis Bacon ou les photos d’Eadweard Muybridge. J’ai toujours travaillé sur le corps. Dans un société où il existe un tel culte du corps parfait, je trouve cela important d’en parler.”
Pour illustrer Le Taxi, Nathalie Trovato n’est pas entrée en contact avec Maud : « Le texte était déjà écrit quand j’ai commencé mes dessins, mais je ne voulais pas être influencée», nous raconte Nathalie. Pour ponctuer l’histoire, elle décide d’utiliser la linogravure (technique qui consiste à creuser la partie blanche du dessin), afin d’accentuer les contrastes, et cette vie qui bascule du blanc vers le noir.
Installée à Brooklyn depuis deux ans avec son mari, Nathalie Trovato, également artiste, a voulu amener Le Taxi jusqu’à elle, à New York, l’occasion de rencontrer Maud Franklin pour la première fois. « Je l’ai découverte de manière déstructurée, à l’image de son livre. D’abord à travers ses textes, puis par mail, téléphone et cette fois ce sera en personne.» De l’autre côté de l’Atlantique, Maud Franklin, ayant déjà vécu à New York, est ravie de faire le voyage. C’est en riant qu’elle nous raconte: « Un an après mon accident, j’ai voulu regarder le ciel, mais comme je ne sens pas le sol, j’ai levé la tête et là je me suis retrouvée par terre… Je ne suis pas revenue à New York depuis mon accident, mais une chose est sûre, je devrais faire attention à ne pas trop regarder les grattes-ciel ! »
Lectures au Rizzoli Bookstore (31 West 57th Street) le 13 avril, puis à Brooklyn, le 16 avril à Greenlight Bookstore (686 Fulton Street) et le 22 avril à BookCourt (163 Court Street).
EXTRAIT:
MON CORPS a deux vitesses. je vais vieillir mais en même temps récupérer petit à petit des capacités physiques. je me suis naïvement dit que ça allait m’aider à vieillir. jeune avec une canne, ça a encore son charme, on se demande dans la rue, on s’interroge, mais plus tard vieille je serai une canne parmi tant d’autres. le fait de récupérer des capacités ne va pas me faire rajeunir ni même m’enlever ma canne ! c’est horrible d’être vieux ! ils marchent avec une canne et parce que tout le monde trouve ça normal personne ne les regarde. quand je croise un vieux dans la rue avec une canne, je lui dis bonjour avec la mienne. on se sourit. mais c’est parce qu’on a le temps de se dire bonjour merde !
Le blog de Maud Franklin : http://letaxidemaudfranklin.blogspot.com/
Le site de Nathalie Trovato: www.nathalietrovato.com
Montréal: l’euphorie du printemps!
Bien que prévenu par un ami journaliste que j’allais arriver à Montréal dans la période de l’année la plus « folle », je n’imaginais pas que c’était dès les couloirs de la Maison de Radio Canada que j’allais pouvoir vérifier l’extraordinaire souffle d’optimisme et l’énorme envie de se lâcher qu’engendrent les premiers beaux jours, les premières chaleurs. Incroyable ce vent nouveau qui soufflait dans les bureaux et les studios de radio et TV.
J’avais, jusqu’à présent, séjourné à Montréal et dans la province de Québec exclusivement en hiver et l’hiver est long ici. Si pendant les mois les plus froids tous ne sombrent pas dans la dépression, s’instaure tout de même une certaine pesanteur, comme une lassitude.
Et puis voilà que tout d’un coup, lorsque le mercure remonte, les sourires réapparaissent, les visages se détendent, les jupes remplacent les pantalons des filles et les cols roulés laissent place à des décolletés plus ou moins vertigineux, ce qui ne manque pas d’en affoler certains.
Et ce ne sont que les premiers signes. Partout ensuite, du centre ville au Vieux Montréal, en passant par le plateau et ses cafés branchés, les Montréalais semblent revivrent, sortir de la nuit, bénir le soleil, jeter les doudounes certifiées Moins 15, moins 20 ou moins 30 degrés. L’hiver est fini, que la fête commence. Alors, si vous passez du temps à flâner dans les rues, que ce soit pour « magasiner » ou pour visiter les monuments, à prendre un verre en terrasse, au mont Royal ou sur le Vieux Port, et surtout, en soirée ou au cœur de la nuit, dans les bars et discothèques qui font le plein, vous côtoierez des garçons et des filles, peut être plus de filles que de garçons d’ailleurs, bien décidés à faire une fête énorme et durable. L’hiver a assez duré. Les corps et les esprits semblent avoir grand besoin de tout lâcher alors, tout est possible.
Cette sympathique euphorie collective est effectivement bien palpable au quotidien et c’est sans aucun doute pour cela que tout semble aller mieux et être plus facile à Montréal lorsque vient le printemps. Même la police est plus arrangeante… pour les fautes bénignes.
C’est bien pourquoi je vous conseille vivement de préférer cette saison à l’été ou même à l’automne pour visiter Montréal. Si vous avez besoin de retrouver la « positive attitude » ce sera parfait pour vous.
Comment y aller ?
En avion : forcément le plus rapide. 1h22 de vol et un bon tarif actuellement chez Continental, 309 $ l’AR, par exemple pour le week-end prochain.
Par la route : 374 milles, environ 6h30 de route avec un temps d’attente à la frontière qui peut rallonger la durée du voyage
En train : pas vraiment pratique, long et plutôt cher. Pas fait pour un week-end en famille.
Quel hébergement ?
Pour un court séjour, il convient d’être dans les quartiers qui bougent. Vous choisirez ainsi un hébergement (hôtel ou gîte, c’est comme cela que l’on appelle les chambres d’hôtes) situé au Quartier latin, au Village ou au Plateau.
L’Alexandre Logan propose cinq chambres charmantes dans une ancienne demeure du Village.
Dans le quartier latin, vous pourrez descendre à l’hôtel Armor Sherbrooke.
Sur le plateau Mont-Royal, mention spéciale pour l’Auberge La Fontaine et sa vingtaine de chambres et pour un budget moins élevé, le Couette & Café Cherrier offre un bon rapport prestations/prix si vous optez pour les chambres supérieures.
Manger, boire, danser ?
Dans le Vieux Montréal : la boulangerie café Olive Gourmando pour ses sandwichs.
Sur le plateau, l’incontournable Schwartz’s, la file d’attente devant chez ce traiteur semble exister depuis 1928 !
Le soir, commencez par commander une bière maison au Réservoir, sur le Plateau, poursuivez par l’une des plus belles cartes de la ville à L’Express rue Saint-Denis puis, après le dîner, un verre au Saint-Sulpice dans le Quartier latin et enfin pour danser, le Tokyo Bar, sur le Plateau.
À voir absolument
Le Vieux Montréal, autour de la place Jacques Cartier, la basilique Notre Dame, le Vieux Port, le quartier du Plateau Mont-Royal et, si vous avez le temps, l’une des îles du Saint-Laurent, soit l’île Sainte-Hélène, soit l’île Notre Dame.
À faire absolument
Monter au dernier étage de la tour Ville-Marie afin de prendre un verre en terrasse tout en profitant d’une vue panoramique sur tout Montréal. Le bar ouvre à 17 heures.
Passer une heure ou deux dans le Musée des Beaux Arts, l’entrée est gratuite.
Magasiner sur la rue Sainte-Catherine, la grande artère commerçante de la ville et arpenter quelques-uns des 32 kilomètres de galeries de la ville souterraine, plus vaste domaine piétonnier au monde (1700 boutiques !!!)
Le dimanche, après un copieux brunch, aller danser sur les rythmes des Tams Tams du Mont-Royal. L’ambiance y est toujours excellente.
Le dernier conseil ?
Évitez absolument le week-end du 13 juin car c’est celui du Grand Prix de Formule 1 et tous les hébergements sont réservés depuis un an.
Pour en apprendre plus:
Les guides Ulysse, écrits et publiés par des québécois.
Le site www.bonjourquebec.com
Yvan Attal, magistral dans Rapt
Il s’agit certainement du plus grand rôle de sa carrière jusqu’à présent. Yvan Attal explique: « On attend ce genre de rôle, ils vous nourrissent en tant qu’acteur.” Le terme choisit est intéressant, car il lui aura fallu perdre 20 kilos pour le tournage. « L’un des ravisseurs est interprété par un champion du monde de culturisme », raconte Lucas Belvaux. « Il expliquait à Yvan les techniques pour assécher le corps. C’était très dur pour lui. » Le principal intéressé confirme : « Je savais que c’était nécessaire pour bien montrer l’état de fragilité dans lequel se trouve cet homme. L’avoir fait m’a aidé dans mon interprétation, j’étais dans le même état d’esprit, j’avais les mêmes frustrations. L’isolement était nécessaire aussi, notamment parce que je ne pouvais pas voir les autres manger le midi sur le tournage ou les enfants qui mangeaient des coquillettes le soir… »
L’histoire est librement inspirée de l’affaire du baron Empain, enlevé en 1978 à la sortie de son domicile parisien. Pourtant Rapt n’est pas une reconstitution. Ni Lucas Belvaux, ni Yvan Attal n’ont souhaité entrer en contact avec le baron pendant le tournage. « Si je l’avais rencontré, nous explique le réalisateur, je serais tombé dans l’empathie, dans l’anecdote. Plus tard, il nous a confié avoir aimé le film. »
La performance a été remarquée par l’Académie des Césars, qui a nominé Yvan Attal dans la catégorie meilleur acteur, mais 2009 était l’année du Prophète. Les deux films partagent en commun le thème de l’enfermement. Dans Rapt, le personnage reste captif, même après sa libération. « A son retour, il est blessé. Il découvre que toute sa vie a été révélée dans les médias, et surtout il est traité en coupable plus qu’en victime car on croit un moment à la théorie de l’auto-enlèvement », explique Lucas Belvaux. « Les médias n’ont pas de pitié » commente Yvan Attal. Lucas Belvaux se défend cependant d’avoir réalisé une critique de la société moderne: « Nous vivons dans une époque violente, certes, mais je n’ai pas voulu y poser un regard moral. » Si le film suscite malgré tout de nombreuses réflexions, Rapt est avant tout un thriller captivant. Le film n’a toujours pas de date de sortie prévue aux Etats-Unis, mais est présenté dans le cadre de nombreux festivals. Après Rendez Vous With French Cinema, le film sera présenté ce week end à Greenwich dans le cadre de Focus On French Cinema, puis au festival ColCoa de Los Angeles.
Avril, ne te découvre pas d'un fil…
En l’honneur du génie de la mode Alexander Mc Queen décédé récemment, Housing Works Thrift Shops à Hell’s Kitchen organise une vente aux enchères des robes, shorts et autres créations. Les plus paresseux peuvent aussi leur faire directement sur le site: http://shophousingworks.com/. 143 w 17th st. Jusqu’au 11 avril
Pour être chic, la marque BGN Paris brade ses prix et vous offre de moins 30 à moins 70% sur les petites robes d’été, les vestes en cuir, ses hauts, pulls, vestes et beaucoup d’autres. Tout le week-end. 250 W. 39th St.
Pour shopper en amoureux, la marque Kenneth Cole brade ses prix sur sa collection femme et homme. Craquez pour leurs célèbres longs gilets, chemises pour hommes, ou encore des petits top pour l’été. Tout le week-end. 595 Broadway.
La marque Judith Leiber offre moins 30% sur tous ses bijoux, sacs et accéssoires. Pochettes en diamant, porte-clef, tout pour se couvrir de bijoux à petits prix. 317 W. 33rd St. Tout le week-end.
Le denim est l’accessoire de mode incontournable en ce moment. La marque américaine de jeans Anomane vous en propose à petit prix. Le denim boyfriend est à 77$ au lieu de 110$, le cigarette est aussi à 77$. Pour l’été, les shorts sont entre 50$ et 72$ ainsi que les bermudas. Jusqu’au 30 avril, en ligne: http://cutdrop.com/
Qui dit début du mois dit début de soldes et ça Tusk l’a bien compris. Le temple du cuir vous offre moins 15% sur ses sacs, accessoires, portefeuilles. Le porte monnaies est à 25$ au lieu de 40$ et les sacoches en cuir sont à 75$. De plus pour 200$ d’achats, Tusk vous offre moins 5%, et pour un total de 300$ comptez 10%. 242 W 26th St. Tout le week-end.
La boutique Jane’s Closet vous propose des articles et accessoires des marques Huit-Huit, Deborah Sweeny et bien plus encore à petits prix. Tout pour vous faire plaisir et faire plaisir sans culpabiliser. Jusqu’au 4 Avril. 60 N.6th Whyte Ave, Williamsburg.
Le concept store Kisan est la boutique des bons plans. Vous tomberez sur des vêtements femmes: Vanessa Bruno, Joseph, Ella Luna, Hanii Y ou encore Prairies de Paris et Sonia Rykiel, des accessoires Sophie Digard, Oyuna, des sacs Jérôme Dreyfuss, Jamin Puech… Ces messieurs pourront trouver la marque Hartford et 66° North. Vous pourrez aussi couvrir des cadeaux vos bambins avec des vêtements, jouets, livres, DVD… 125 Greene Street.
La marque DSW ( designer shoe warehouse ) offre 15$ sur toutes les paires de chaussures : ballerines, tennis, talons tout pour vous chausser cet été. Jusqu’au 14 Avril. 40 East 14th Street.
Une des plus célèbre boutique de chaussure New-Yorkaise Steve Madden solde! Boots, bottes, chaussures à talons, baskets, ballerines rouges, bleues, noires, tout pour vous chausser pour l’été ou l’hiver prochain…Tout le week-end et dans toutes les boutiques Steve Madden.
Des chaussures, encore des chaussures et toujours des chaussures. La marque Moreschi brade ses prix et vous offre moins 50% sur toute sa collection. Les Teatro sont 322$ au lieu de 654$, Les Stradas passent de 545$ à 272$. Pour aller avec vos nouvelles chaussures, craquez aussi pour les ceintures à 125$. Tout le week-end. 515 Madison Avenue.
L’été arrive et vous commencez à organiser des week-ends. Rendez-vous chez Tumi. La marque spécialisée dans les valises et accessoires de voyage fête ses 35 ans et vous offre 100$ pour tout achat au-dessus de 300$. Jusqu’au 4 Avril. Dans toutes les boutiques.
La Spa Week est de retour. Plus de 100 spas à travers la ville proposent soins de visage et du corps à prix réduits. Ne tardez pas à réserver. Voir la liste des spas: http://www.spaweek.com/ du 12 au 18 Avril.
TAO Saxophone Quartet
Formé en 1991, le Tao Saxophone Quartet est composé de 3 saxophonistes et d’un percussionniste français. Le Quartet propose des compositions de jazz issues du repertoire contemporain, de Coltrane à Ellington, ainsi qu’un grand nombre de compositions personnelles.
Mardi 13 Avril 2010 à 18h15
United Nations International School
Sylvia Howard Fuhrman center For the Performings Arts
24-50 F.D.R Drive (au croisement avec East 23rd Street)
L'Epine dans le coeur de Michel Gondry
Pour chacun de ses films, Michel Gondry ne peut s’empêcher de réinventer le cinéma, même quand il s’agit d’un documentaire. Dans L’Epine dans le cœur, Gondry filme avec une tendresse infinie sa tante Suzette, la matriarche du clan Gondry, enseignante dans l’école d’un village rural. Au fur et à mesure, on découvre que cette tante représente une véritable source d’inspiration pour le réalisateur, originaire de Versailles. Il s’agit donc bien d’un documentaire semi-autobiographique, raconté à travers l’image de Suzette.
Installé à New York, le réalisateur avait présenté son film lors du Festival Rendez Vous With French Cinema, et avait également participé à une soirée spéciale en son honneur au Lincoln Center. A cette occasion, le réalisateur était revenu sur sa carrière et avait dévoilé les raisons qui l’avaient poussé à sortir ce film : « Ce n’est pas seulement un film sur ma famille, ce serait trop narcissique. Je voulais explorer les relations filiales à travers Suzette et son fils Jean-Yves, ainsi que la construction de l’identité. »
Village East Cinema, 181-189 2nd Avenue
Toutes les séances ICI