La prochaine édition du Café des Sciences se tiendra le 25 mars prochain à partir de 17h30 au Consulat Général de France à Los Angeles.
Julien Emile-Geay, Assistant Professeur au sein du Département de Sciences de la Terre à USC, donnera une présentation intitulée « Du Climat et des Hommes » et qui traitera de l’impact de l’activité humaine sur le climat.
Cette présentation en Français sera suivie par une discussion autour d’un verre de vin.
Quand ? Jeudi 25 Mars à 17h30
Où ? Au Consulat Général de France
10390 Santa Monica Blvd, suite 410 (4e étage)
Los Angeles, CA 90025
Entrée libre et gratuite
Pour plus d’information et pour RSVP (avant le 24 mars), contactez :
Thomas Biedermann
[email protected]
Cell : (310) 922-0407
Café des Sciences du Consulat Général de France
Le Québécois Sugar Sammy en spectacle à Hollywood
Le 20 Mars, l’humoriste québécois Sugar Sammy, lauréat du prix de la Révélation de l’année au dernier Festival Juste Pour Rire, sera sur scène au café-théâtre Hollywood Improv.
Quand ? Samedi 20 Mars, à 19h30 et 21h30.
Où ? Hollywood Improv
8162 Melrose Avenue, Los Angeles, CA 90046
(323) 651-2583
Pour plus d’information : http://www.improv.com/
Soirée Dîner et Film au Chalet Edelweiss
Le 7 Avril, venez au Chalet Edelweiss, déguster un repas traditionnel et voir un film suisse. Christophe Vauthey, en charge des affaires culturelles pour le Consulat Général de Suisse, introduira la projection du film “Jeune Homme”, réalisé par Christoph Schaub, et qui conte l’histoire existentielle et amoureuse d’un garçon suisse-allemand de 18 ans qui va travailler comme «jeune homme au pair» en Suisse romande.
Quand ? Mercredi 7 Avril à 19h
Où ? Au Chalet Edelweiss
8740 Sepulveda Blvd. Westchester/LAX, CA 90045
Pour réserver (fortement recommandé) et pour plus d’information : (310) 645-8740
Roy Teeluck, la fierté de l'artisan-coiffeur
Le salon est situé à l’étage, avec d’immenses baies vitrées donnant sur la 57ème rue, entre Park et Madison. Bienvenue chez Roy Teeluck un salon cosy où l’on se fait coiffer et manucurer en musique, un verre à la main.
Depuis le mythe de Samson, tout le monde connait l’importance de la chevelure chez les humains. Roy, un grand sourire aux lèvres confirme: “Les cheveux, c’est le seul accessoire que nous portons tous les jours. C’est la force de la première impression, la personnalité, la confiance, la perception de soi… Pour les clientes qui viennent nous voir la première chose que l’on fait, c’est d’être à leur écoute et de les satisfaire”.
Né en Angleterre, Roy est venu à la coiffure un peu par hasard. Sans vraiment d’ambition, ‘just pay the bills’ comme disent tous les anglo-saxons. Le jeune homme a du talent, se fait vite repérer et se retrouve en France. Marié à une française, Roy porte un regard clair sur la France, pays souvent décrit comme la Mecque de la coiffure: ‘Les écoles ne sont pas meilleures qu’ailleurs et d’ailleurs, personne ne donne des lecons de talent, seulement de la technique. Et c’est là que les francais excellent car ils apprennent que ce metier demande une rigueur extrême. Pour ma part, j’ai été formé comme un artisan puis j’ai developpé le côté artistique.’
Apres Londres et Paris, Roy fait le grand saut et s’installe aux USA. “Venir ici sans s’adapter, c’est la mort. Il faut construire un univers en même temps que se bâtir une clientèle. C’est le secret. J’ai mis sept ans à construire mon équipe et je ne me considère pas comme le point central du salon, plutôt comme un parapluie. Quand il pleut on partage le parapluie, les gens qui viennent ici ne désirent pas forcément etre coiffés par Roy. Non, ils viennent au salon car je privilégie l’esprit d’équipe, une vision commune de notre métier”.
Une équipe de professionnels
Pour constituer son ‘team’ Roy emploie la même technique: “Je vois toutes les personnes qui désirent me rencontrer. Je suis toujours intéressé par ceux qui partagent la même passion que moi, dans l’industrie de la beauté, que je pratique depuis 25 ans”. Roy en a vu des apprentis, des artistes… Mais le jeu en vaut la chandelle car la patience et la persévérance a fait qu’il a maintenant une equipe de professionnels qui travaillent dans le même état d’esprit, où la cliente est prioritaire, en delivrant un service de qualité, dans une ambiance amicale
Un nouveau salon à Miami
Roy rentre de Los Angeles où il a coiffé de nombreuses stars que l’on a vu sur le tapis rouge des Oscars. Lesquelles? Des noms? Au moins une? Il reste discret. ‘Je ne parle jamais des gens que je coiffe, jamais de mes relations avec le monde de la mode, du cinema ni des personnes du milieu politique américain… Parfois, je lis des articles sur des so-called stars de ma profession qui me font bondir. On oublie encore qu’un coiffeur, même connu, est une personne qui manie le peigne et les ciseaux. Je ne me vante pas, je ne vends pas le salon en citant des noms de clients, les connus comme les inconnus. La seule manière de réussir, c’est le travail’.
Dernier point: le prix des coupes. “Je pense que les gens, même argentés, ne veulent plus dépenser des centaines de dollars pour une coupe de cheveux. Cette époque est révolue. Depuis que j’ai ouvert New York, j’ai toujours voulu que les clients trouvent une grande qualité sans se ruiner. J’aurai pu, peut-être, gagner plus d’argent mais je préfère durer. Je vais appliquer la même politique à Miami où j’ai decidé de construire un deuxième salon après avoir été convaincu par des relations de travail de venir en Floride”.
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Avertissement: Cet article est une publicité financée par l’annonceur. Il ne saurait engager French Morning ni impliquer un quelconque soutien de la rédaction de French Morning aux produits ou services présentés.
Norah Jones au Madison Square Garden
Chanteuse, musicienne et actrice Norah Jones, New-Yorkaise d’origine, a vendu depuis le début de sa carrière plus de 39 millions de disques et a remporté 8 Grammys. Elle fait partie des artistes jazz soul les plus populaires.
Au cours de ce concert Norah Jones interprétera son dernier album the Renaissance ainsi que ses nombreux succès.
Le 27 mars 2010
Madison Square Garden
Réservation: http://www.thegarden.com
Shopping Printanier
Parce que le soleil commence à taper sur New-York ne sortez pas sans votre chapeau! Still Life vous propose toutes les formes et couleurs en promotion! Les casquettes à carreaux sont à partir de 100$ et les chapeaux melons à 70$. Les chapeaux peuvent se porter pour toutes les occasions, le soir, la journée… Jusqu’au 31 Mars 77 Orchard street entre Broome et Grand.
Des chaussures, encore des chaussures et toujours des chaussures mais cette fois à petit prix. La marque Moreschi brade ses prix et vous offre moins 50% sur toute sa collection. Les Teatro sont 322$ au lieu de 654$, Les Stradas passent de 545$ à 272$. Pour aller avec vos nouvelles chaussures craquez aussi pour les ceintures à 125$. Jusqu’au 30 Mars. 515 Madison Avenue.
La marque DSW ( designer shoe warehouse ) vous offre 15$ sur toutes les paires de chaussures. Ballerines, tennis, talons tout pour vous chausser cet été. Jusqu’au 14 Avril. 40 East 14th Street.
Vous avez remisé vos manteaux au placard et vous voulez vous refaire une garde-robe sans culpabiliser? La boutique Jane’s Closet vous propose des articles et accessoires des marques Huit-Huit, Deborah Sweeny et bien plus encore à petits prix. Jusqu’au 4 Avril. 60 N.6th Whyte Ave, Williamsburg.
Tout doit disparaître! C’est le nouveau mot d’ordre de la marque Kenneth Jay Lane au Plaza. Pendant tout le mois de Mars, la marque solde ses collections passées, les prix varient entre 50 et 1000$! Jusqu’au 31 Mars. 1 W. 58th St., at Fifth Ave.
Pour fêter ses 35 ans, Tumi la marque spécialisée dans les valises et accessoires de voyage vous offre 100$ pour tout achat au-dessus de 300$. Jusqu’au 4 Avril. Dans toutes les boutiques.
Vêtements et accessoires d’Orla Kiely, Erickson Beamon, Kova & Te et bien plus à moins 90% au Showroom Seven. Plus aucune excuse pour ne pas craquer sur un sac en cuir à 104$, un collier tigre à 372$ au lieu de 930$. Jusqu’au 30 Mars. 263 Eleventh Av.
Les stars raffolent toutes des sacs Lauren Merkin. Pour fêter l’arrivée du printemps la boutique affiche moins 80%, sacs, accessoires, vêtements tout est à petits prix. Le sac serpent Louise est à 100$ au lieu de 200$, le sac en raphia Tatum perd 175$ et est donc à 100$. Et les boites de maquillage sont à 5$! Jusqu’au 20 Mars. 231 W 29th street.
Pour se couvrir de bijoux la marque Wendy Mink solde. Vous trouverez des colliers de 50$ à 150$, des boucles d’oreille avec des pierres vertes de 40$ à 120$, tous plus raffinés les uns que les autres. Tout le week-end. 72 Orchard.
Le beau temps est arrivé et l’heure d’exposer vos jambes aussi. Pour ne pas avoir l’air ridiculement pâle le Eve Salon vous propose des séances d’UV pour faire bronzer vos gambettes à petits prix 20$ au lieu de 40$. Jusqu’au 30 Mars. 55 W 8th street.
Faire son vin à Soho
Apiculture sur les toits, potagers urbains, cours de boucherie : les activités manuelles et rustiques ont la cote à New York. Jusqu’ici, ce mouvement Do It Yourself était plutôt l’apanage des jeunes barbus tatoués de Brooklyn, mais pour le rustique chic, il y a maintenant la City Winery de Soho, où plus de 200 amateurs ont déjà créé leur propre cuvée, sans trop se salir les mains.
Votre nom sera sur toutes les bouteilles (environ 250), mais c’est l’œnologue français David Lecomte qui aura fait presque tout le travail. Certains participants aident à trier les raisins, viennent régulièrement goûter le jus en fermentation, puis faire des assemblages de vins avant la mise en bouteille. Mais il s’agit surtout d’«observer sans participer », explique-t-il. « Il y a des pompes 220 volts, du CO2 qui se dégage dans les cuves. Il faut une bonne connaissance de l’équipement, et les réglages sont très minutieux.»
Suivre le processus de vinification, même de loin, permet de comprendre comment le breuvage évolue. C’est ce qui attire les passionnés de la vigne, prêts à payer entre 6 000 et 9 000 dollars pour l’expérience. Et puis il y a aussi ceux qui veulent leur nom sur des bouteilles pour impressionner leurs amis ou leurs clients. Plusieurs cabinets d’avocats, hedge funds et agences immobilières, ainsi que le « New York Daily News » et NBC ont déjà leurs tonneaux en cave. Le catalogue propose des Syrahs, Pinot Noirs, Cabernets et Rieslings, et vous pouvez composer votre étiquette comme il vous plaît. Les grappes font le voyage depuis la Californie et l’Oregon en camion réfrigéré, d’Argentine en bateau et bientôt de France.
C’est donc sur Varick Street, loin du terroir, que David Lecomte presse le raisin, bercé par des concerts de rock alternatif. A la City Winery, l’espace de vinification côtoie en effet une salle de concert qui fait aussi bar-restaurant. Michael Dorf, le fondateur de la Knitting Factory (où Sonic Youth a fait ses débuts) est à l’origine de ce lieu multifonctionnel. Le triage, la fermentation et le pressage, tout a lieu ici, et les passants peuvent tout observer depuis le trottoir. Le « winemaker » rhodanien fait aussi ses propres créations (environ 20 pourcent de la production), dont le Spring Street Pinot Noir et le Varick and Vine Chardonnay. Ils sont déjà en bouteille et servis au bar à la tireuse (directement à partir du baril), un système qu’il voudrait introduire à Paris.
Bernard Esquenet, un des membres new-yorkais, s’apprête à embouteiller son Cabernet Sauvignon de Napa Valley. Ce chimiste originaire d’Epernay est très fier de son Domaine Esquenet 2008 (« je trouve que c’est le meilleur », assure-t-il). Sa femme a peint l’étiquette, qui représente toute la famille, en habits 17eme siècle. Pour ceux qui se lassent de leurs créations, il y a la possibilité de troquer quelques caisses avec d’autres membres, mais la revente est illégale. Il est donc recommandé de bien écouter David Lecomte (et ses 15 ans d’expérience) : « Il y a 21 caisses chacun…Il vaut mieux que le vin soit bon, alors les membres me font confiance ».
Simon Hantaï à la galerie Paul Kasmin
Simon Hantaï n’avait pas exposé depuis 2001 aux Etats-Unis. Peintre français d’origine hongroise, il s’installe à Paris en 1949 et intègre le groupe surréaliste mené par André Breton. Il devient alors immédiatement connu en Europe pour ces toiles abstraites et saturées de couleurs. Tout au long de sa carrière il expérimente plusieurs techniques comme le collage, le frottage ou encore le pliage.
Très attiré par Pollock, il rompt avec André Breton et s’intéresse aux peintres expressionnistes américains. Sa peinture évolue alors vers un style plus abstrait et plus lyrique, il développe une gestuelle redéfinissant le rôle de l’artiste et restructurant les plans du tableau.
Simon Hantaï a exposé dans les plus grands musées comme la galerie Kléber Centre Georges Pompidou en 1976, la Biennale de Venise 1982 et se trouve dans les collections permanentes du Centre Georges Pompidou et du Musée national d’Art Moderne. Admiré par les artistes comme Buren, Parmentier, Viallat et Buraglio, il continue d’influencer l’art abstrait.
Du 19 Mars au 24 Avril
Paul Kasmin Gallery : 293 10th Avenue New York
Plus d’infos: http://www.paulkasmingallery.com
Focus on French Cinema
Le cinéma français continue d’être à l’honneur grâce à Focus on French Cinema, le festival du film français de Greenwich. Situé à une heure au Nord de Manhattan, ce festival a pour volonté de faire connaitre les films français récemment sortis en France, et de permettre une rencontre entre le public et les acteurs et réalisateurs des films sélectionnés. Cette année, l’invitée d’honneur du festival est la talentueuse actrice et romancière Sylvie Testud, à l’affiche de Gamines, l’histoire de son enfance adaptée du roman éponyme. La réalisatrice Léa Fazer sera également au rendez-vous pour présenter Ensemble c’est trop, le dernier film de Jocelyn Quirvin, avec également Nathalie Baye et Eric Cantona. Enfin, les frères Malandrin amèneront de leur Belgique natale leur premier film, Où est la main de l’homme sans tête ?, avec Cécile de France dans le rôle principal.
Programme détaillé et réservations : http://www.focusonfrenchcinema.com/
Angélique Kidjo au Town Hall
Originaire du Bénin, Angélique Kidjo fut découverte il y a 20 ans à Paris par le fondateur jamaicain d’Island records, Chris Blackwell. Elle chante dans ses 4 langues natales, le français, l’anglais, le fon, langue du Bénin, et le yoruba, langue nigéro-congolaise. Elle sera au Town Hall le 26 mars à 8:00pm pour présenter son nouvel album, Õÿö, sorti en février.
Réservations: Ticketmaster.com ou 800-982-2787
Béatrice Coron au FIAF
Béatrice Coron est une autodidacte française devenue une artiste new-yorkaise, ayant débuté comme guide touristique pour finalement vivre une vie d’artiste spécialisée dans les illustrations en papiers découpés, des créations très esthétiques et originales. Elle a exposé ses œuvres au Metropolitan Museum of Art ou encore à la Bibliothèque Nationale de France. Elle est en ce moment au Museum of Art & Design de New York (Salsh : Paper Under The Knife, jusqu’au 4 avril). Elle sera donc au FIAF le mercredi 24 mars à partir de 7:00pm pour discuter de son parcours et de ses œuvres.
The Silhouette World of Béatrice Coron, mercredi 24 mars, 7pm, Skyroom du FIAF, 22 East 60th Street
$20, plus d’infos et réservations: fiaf.org