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Un prophète de Jacques Audiard enfin à New York

Prodigieux, époustouflant et perturbant… le dernier film de Jacques Audiard suit l’ascension de Malik El Djebena, 19 ans, condamné à six ans de prison. A la Centrale, la prison où il purge sa peine, les Corses font la loi. Le plus influent d’entre eux, César Luciani, le prend sous son aile et lui permet d’accéder petit à petit au pouvoir.
Depuis son premier film, Regarde les hommes tomber, Jacques Audiard semble fasciné par le thème de la trahison entre les générations, indispensable à la survie de ses héros. C’est l’éternel histoire de l’élève qui dépasse le maître, le cycle de la vie. Après Mathieu Kassovitz et Romain Duris, c’est le remarquable Tahar Rahim, sans conteste la plus belle découverte du cinéma français ces dernières années, qui se glisse dans la peau du jeune apprenti. Quant à la prestation de Niels Arestrup en parrain corse, elle est tout aussi magistrale.
Salué par la critique et accueilli chaleureusement par le public français, Un prophète a reçu le Grand Prix du Festival de Cannes l’été dernier. Il est nommé 13 fois aux Césars et repartira peut-être avec un Oscar le 7 mars prochain.
Dès le 26 février au Walter Reade at Lincoln Center, 165 Wst 65th Street, (212) 875-5600.

Catherine Malandrino is Power

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Avant chaque concert de Mary J. Blige,  Catherine Malandrino lui envoie un message d’encouragement. Et réciproquement, la chanteuse de hip hop lui souhaite bonne fortune avant ses défilés. Les deux copines affichent désormais leurs messages d’encouragement sur les T-shirts. La collection estampillée de messages tels que “I’m Love” et “I’m Power,” sera  en vente à partir 17 Février dans les boutiques de Catherine Malandrino et à Bloomingdale’s de la 59ème rue où Catherine Malandrino ouvre un nouveau comptoir. Une partie de bénéfices sera reversée à  FFAWN ( Foundation For the Advancement of Women Now), la fondation pour les femmes de Mary J. Blige et Steve Stoute.
Mary J. Blige ne manquera pas d’envoyer un message à la créatrice ce dimanche, jour où Catherine Malandrino présente sa nouvelle collection Automne-hiver à la Fashion Week. Dans la lignée de sa collection printemps-été 2010 pour laquelle elle avait puisé son inspiration en Afrique, la nouvelle collection est “inspirée du monde.”Elle poursuit donc le virage par rapport au style Malandrino de ces dernières années. “Cela fait un peu plus de 10 ans que je vis à New York. Je me suis nourris de cette ville magnifique en imaginant une féminité urbaine. Aujourd’hui je n’oublie pas New York, bien au contraire. Je m’inspire toujours autant de son patchwork de cultures mais j’avais envie d’une rupture, d’un grand voyage”, explique-t-elle à French Morning. Cette infatiguable voyageuse a désormais des boutiques à travers le monde et décline sa marque. Les messages d’encouragement semblent bien fonctionner.

Vous avez réalisé le design de la bouteille Cointreau. La marque Catherine Malandrino s’apprête-t-elle à se décliner en produits dérivés ?J’envisage cette évolution davantage vers un « espace découverte »  qui s’oriente vers la maison et son agencement en général. J’aime prendre en compte la vie des femmes d’aujourd’hui. Le flacon Cointreau est un bon exemple d’un objet qui appartient davantage à un univers masculin que j’ai essaye de déplacer vers l’univers féminin. Le monde de la maison est fait d’héritage et de traditions et j’aime l’idée que les objets aient leur propre évolution.
Quel a été l’impact de la crise sur l’industrie de la mode ?
La crise n’a pas épargné l’industrie de la mode. Elle a favorisé des événements comme Fashion Night Out [l’initiative d’Anna Wintour et Michael Bloomberg pour relancer le commerce qui a eu lieu en Septembre 2009]. Ici dans ma boutique du Meatpacking, j’avais invité d’autres marques françaises telles que Caudalie,à venir présenter leurs produits. Il y avait aussi un stand de crêpes vendues à l’extérieur de la boutique. On avait l’impression que tout le block était en fête, on se serait cru dans le Marais à Paris. Ce genre d’événement offre la possibilité de se rendre accessible. La production de masse, les volumes, le marketing, tout cela cède désormais la place à quelque chose de plus personnel, de plus sensible et aussi de plus sincère vis-à-vis de la clientèle. Cette Fashion’s Night Out incarne le changement du positionnement de la mode.
Quels sont vos nouveaux endroits favoris à New York ?
J’aime beaucoup le Monkey Bar (60 E. 54th St), au Waverly Inn pour boire un verre. Le restaurant de Keith  McNally, Minetta Tavern (113 MacDougal St) est un restaurant que j’aime aussi beaucoup et il m’arrive de terminer la journée au Boom Boom Room (dans le Standard Hotel; 848 Washington St), dont le propriétaire est mon ami Andre Balazs. La vue y est absolument splendide.
Stéphanie Beauval et Laure Guilbault

Jane Birkin à New York

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=6GozgDnNhiA]

Viendra, viendra pas

Suite de la saga The Bad Life.  La venue du Ministre à New York à l’occasion de la parution américaine de La Mauvaise Vie, son livre qui a fait polémique en France fin 2009, était prévue début Mars. L’éditeur américain Soft Skull Press l’avait confirmée à French Morning en Décembre 2009.
Plusieurs scénarios avaient été envisagés : il était question qu’il profite de sa visite outre-Altantique pour aller tirer les oreilles de Google en Californie. Frédéric Mitterrand  déclarait en effet en Janvier qu’il planifiait une visite au siège de la firme californienne pour négocier les points sensibles du projet de partenariat  pour la bibliothèque numérique française. Il était question aussi qu’il participe à la soirée de cérémonie des Oscars. Un autre scénario était une tournée qui incluait le Mexique car 2011 sera l’année du Mexique en France.
Plusieurs événements culturels à New York justifiaient aussi sa venue début Mars : le vernissage au Metropolitan Museum d’une exposition sur les sculptures médiévales de Bourgogne dans le cadre de Must’Art, une série d’événements organisés par la ville de Dijon. Qu’est-ce qui en a décidé autrement? “Des complications de calendrier”, explique Carrie Dieringer, publiciste de Soft Skull Press qui évoque aussi l’accident de scooter du Ministre.
Le livre sortira mi-Avril. Pour la promotion, la maison d’édition a prévu un passage dans l’émission de Charlie Rose et sur la radio WNYC, rapporte Carrie Dieringer. Au programme également, un déjeuner organisé par le FIAF le 20 Avril. Sa venue est donc confirmée, sauf si ses conseillers tentent de l’en dissuader à la dernière minute de peur d’une reprise de la polémique, cette fois-ci du côté américain. 

Catherine Malandrino is Power

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Avant chaque concert de Mary J. Blige,  Catherine Malandrino lui envoie un message d’encouragement. Et réciproquement, la chanteuse de hip hop lui souhaite bonne fortune avant ses défilés. Les deux copines affichent désormais leurs messages d’encouragement sur les T-shirts. La collection estampillée de messages tels que “I’m Love” et “I’m Power,” sera  en vente à partir 17 Février dans les boutiques de Catherine Malandrino et à Bloomingdale’s de la 59ème rue où Catherine Malandrino ouvre un nouveau comptoir. Une partie de bénéfices sera reversée à  FFAWN ( Foundation For the Advancement of Women Now), la fondation pour les femmes de Mary J. Blige et Steve Stoute.
Mary J. Blige ne manquera pas d’envoyer un message à la créatrice ce dimanche, jour où Catherine Malandrino présente sa nouvelle collection Automne-hiver à la Fashion Week. Dans la lignée de sa collection printemps-été 2010 pour laquelle elle avait puisé son inspiration en Afrique, la nouvelle collection est “inspirée du monde.”Elle poursuit donc le virage par rapport au style Malandrino de ces dernières années. “Cela fait un peu plus de 10 ans que je vis à New York. Je me suis nourris de cette ville magnifique en imaginant une féminité urbaine. Aujourd’hui je n’oublie pas New York, bien au contraire. Je m’inspire toujours autant de son patchwork de cultures mais j’avais envie d’une rupture, d’un grand voyage”, explique-t-elle à French Morning. Cette infatiguable voyageuse a désormais des boutiques à travers le monde et décline sa marque. Les messages d’encouragement semblent bien fonctionner.

Vous avez réalisé le design de la bouteille Cointreau. La marque Catherine Malandrino s’apprête-t-elle à se décliner en produits dérivés ?
J’envisage cette évolution davantage vers un « espace découverte »  qui s’oriente vers la maison et son agencement en général. J’aime prendre en compte la vie des femmes d’aujourd’hui. Le flacon Cointreau est un bon exemple d’un objet qui appartient davantage à un univers masculin que j’ai essaye de déplacer vers l’univers féminin. Le monde de la maison est fait d’héritage et de traditions et j’aime l’idée que les objets aient leur propre évolution.
Quel a été l’impact de la crise sur l’industrie de la mode ?
La crise n’a pas épargné l’industrie de la mode. Elle a favorisé des événements comme Fashion Night Out [l’initiative d’Anna Wintour et Michael Bloomberg pour relancer le commerce qui a eu lieu en Septembre 2009]. Ici dans ma boutique du Meatpacking, j’avais invité d’autres marques françaises telles que Caudalie,à venir présenter leurs produits. Il y avait aussi un stand de crêpes vendues à l’extérieur de la boutique. On avait l’impression que tout le block était en fête, on se serait cru dans le Marais à Paris. Ce genre d’événement offre la possibilité de se rendre accessible. La production de masse, les volumes, le marketing, tout cela cède désormais la place à quelque chose de plus personnel, de plus sensible et aussi de plus sincère vis-à-vis de la clientèle. Cette Fashion’s Night Out incarne le changement du positionnement de la mode.
Quels sont vos nouveaux endroits favoris à New York ?
J’aime beaucoup le Monkey Bar (60 E. 54th St), au Waverly Inn pour boire un verre. Le restaurant de Keith  McNally, Minetta Tavern (113 MacDougal St) est un restaurant que j’aime aussi beaucoup et il m’arrive de terminer la journée au Boom Boom Room (dans le Standard Hotel; 848 Washington St), dont le propriétaire est mon ami Andre Balazs. La vue y est absolument splendide.
Stéphanie Beauval et Laure Guilbault

Le crocodile mord la grosse pomme

“Chacun des défilés de Lacoste ici à Bryant Park est meilleur que le précédent. Ils n’arrêtent pas de  grandir et d’être toujours meilleurs”, explique Fern Mallis, vice présidente d’IMG, qui organise la Fashion Week à French Morning. “Les couleurs de la nouvelle collection et les leggings en laines étaient très rafraîchissants.” L’explosion de couleurs a conduit certaines éditrices à parler de “collection de l’optimisme”.

La marque dans le giron du groupe Devanley (Gant, Aigle) a 67 boutiques en propre aux Etats-Unis, dont huit boutiques à New York et 21 “outlets”. Le chiffre d’affaire total de Devanlay aux Etats-Unis était de $320 millions en 2008. (La marque Lacoste a enregistré un chiffre d’affaires d’ 1,5 milliard d’euros in 2008.) “L’identité française fait partie de l’ADN de la marque. On reste la marque du “sportswear” élégant à la française” note Bruno Luppens, directeur général marketing offre globale Devanlay.  Le secret de la marque : allier subtilement son image française aux goûts du marché : “Il y a aux Etats-Unis des looks plus près du corps, plus colorés. 25% de la collection vendue aux Etats-Unis a été conçue spécifiquement pour le marché américain”, explique Bruno Luppens.
Si la crise n’a pas épargné la marque, le crocodile a la peau dure. L’arrivée à la tête de Davenlay USA de Steve Birkhold devrait aussi lui redonner des forces. Steve Birkhold, l’ancien PDG de Diesel USA a pris les rênes de la filiale américaine en Janvier, remplacant Robert Siegel, parti à la retraite. Birkhold entend diversifier l’offre de la marque : actuellement, 30 à 40% des ventes aux Etats-Unis est réalisé par les chemises polo. Le lancement au printemps dernier de Red, une  nouvelle ligne plus trendy et jeune va dans ce sens. Lacoste convertira cet été son magasin de Soho en nouveau concept shop pour Red. A venir aussi en Mars, une collaboration avec un grand magasin américain et un créateur européen “majeur”, rapporte le magazine américian WWD.
“On est fidèle aux sports qui sont nos racines : le tennis et le golf”, dit Bruno Luppens. Les éditions Assouline viennent de publier The Element Of Style (Préface d’Olivier Margot du journal L’Equipe, 50$). Le livre retrace notamment l’histoire de René Lacoste qui était dans les années folles était le meilleur joueur mondial. La légende rapporte que le logo du crocodile a été choisi suite à un pari entre Réné Lacoste et un des ses amis sur un costume en alligator vendu dans un magasin de Boston. Réné Lacoste regardait  donc déjà outre-atlantique.

Bons baisers de Russie et de Notre Dame

Cette semaine, le Washington Post commente avec ironie les relations commerciales entre la France et la Russie. En 2008, Nicolas Sarkozy  s’était félicité de son intervention dans le conflit qui oppose la Géorgie à la Russie. Peu de temps après avoir rompu toutes ses promesses, la Russie a tout de même reçu “pour la Saint Valentin” un porte-hélicoptère en provenance de la France. Selon le quotidien, cela n’est pas réellement surprenant : “la France n’a jamais caché son penchant à abandonner ses principes lorsqu’il s’agit de maintenir une relation commerciale profitable avec une nation qui fournit tant de pétrole et de gaz “. Le Président français “semble être à l’abri de l’embarras” souligne le quotidien.
Le débat sur l’identité nationale aura fait beaucoup de bruits dans la presse américaine ces derniers mois, et les mesures qui en découlent risquent d’en faire autant. Selon le New York Times cette semaine, ce débat, “farouchement défendu par Sarkozy” n’a mené nulle part, “sauf vers les élections régionales de mars” et les détails des mesures qui seront mises en place “sont vagues“. Pour le Christian Science Monitor, le débat risque de porter préjudice au Président français, après avoir été “ridiculisé par les médias français” et être devenu “un «paratonnerre» des peurs sur l’immigration et l’Islam”. Pour le quotidien, le vrai perdant semble pourtant être Eric besson, choisi par Nicolas Sarkozy pour conduire le débat.
Le débat sur l’identité nationale est donc clos, et celui sur la réforme des retraites est ouvert. Pour le Financial Times, les élections de mars ne sont pas non plus une coïncidence et permettrait de “déstabiliser les syndicats et de contenir les protestations” contre des réformes “impopulaires“.
L’affaire Botul-Bernard Henri-Levy a également traversé l’Atlantique. L’intellectuel français cite en effet dans son dernier essai le philosophe fictif Botul, créé par Frédéric Piagès. Le Time souligne que BHL, “le plus célèbre philosophe contemporain” est “plus connu pour sa célébrité que pour son écriture“. L’article questionne également la capacité de BHL a faire oublier cette affaire cocasse et à garder toute sa crédibilité.
Enfin, le célèbre blog américain Perez Hilton, félicite l’initiative prise par une centaine de couples homosexuels, bi et hétérosexuels à Paris dimanche, à l’occasion de la Saint Valentin, pour lutter contre les préjugés. Ces couples se sont tous retrouvés place Saint Michel pour…s’embrasser. Pour Perez Hilton, il s’agit d’une “Tré magnifique” (en “français” dans le texte) façon de montrer “de manière pacifique la force de son amour” et de “demander l’acceptance de ceux qui les insultent“.

Les fabuleux Français de la Fashion Week

Christophe Lemaire est le wonder boy de Lacoste. Le directeur de la création de la marque au crocodile a fait sensation à la Fashion Week samedi. “Chacun des défilés Lacoste ici à Bryant Park est meilleur que le précédent. Ils n’arrêtent pas de  grandir et d’être toujours meilleurs “, explique Fern Mallis vice présidente d’IMG, qui organise la Fashion Week à French Morning. Les couleurs de la nouvelle collection étaient très rafraîchissantes. J’ai trouvé l’interprétation des leggings  était fantatisque”, s’enthousiasme-t-elle. L’explosion de couleurs a améné certaines éditrices à parler de “collection de l’optimisme”. Si la crise n’a pas épargné la marque aux Etats-Unis, le crocodile a la peau dure. LIRE ICI.

Catherine Malandrino is all about love. La créatrice française a présenté sa nouvelle collection à la Fashion Week le jour de la Saint Valentin. Dans la foulée, la créatrice française lance une nouvelle collection de T-Shirts estampillés “I’m Love” et “I’m Power” avec la chanteuse Mary J. Blige. Dix ans après son arrivée à New York, Catherine Malandrino poursuit son ascension. LIRE ICI.

Sophie Théallet ou le rêve américain devenu réalité. Elle présente sa nouvelle collection ce soir a la Fashion Week. Le défilé de la créatrice française qui vit à Brooklyn est très attendu. Encensée par Anna Wintour, la prêtresse du Vogue américain,  Sophie Théallet a remporté le prix CFDA/Vogue en 2009. Michelle Obama aussi a succombé au style bohémien chic et “so French” de sa ligne. LIRE ICI.
François Nars était à l’oeuvre hier soir dans les coulisses du défilé de Marc Jacobs à l’Armory. “Je me suis inspirée du film La Vie des Autres,” dit le “makeup guru” français. “Je voulais que les modèles aient des looks sales comme si elles avaient dormi avec leur maquillage,”explique-t-il. François Nars a fêté en 2009 les 15 ans de sa marque éponyme. LIRE ICI.
Cyril Chapuy est président mondial de Maybelline New York. La marque dans le giron du groupe L’Oréal est le sponsor officiel de la Fashion Week de New York depuis Septembre 2009. Quand il n’est pas backstage avec les mannequins, Cyril Chapuy est au premier rang des défilés. LIRE ICI

Le crocodile mord la grosse pomme

“Chacun des défilés de Lacoste ici à Bryant Park est meilleur que le précédent. Ils n’arrêtent pas de  grandir et d’être toujours meilleurs”, explique Fern Mallis, vice présidente d’IMG, qui organise la Fashion Week à French Morning. “Les couleurs de la nouvelle collection étaient très rafraîchissantes. J’ai trouvé l’interprétation des leggings fantastique” L’explosion de couleurs a conduit certaines éditrices à parler de “collection de l’optimisme”.

La marque dans le giron du groupe Devanley (Gant, Aigle) a 67 boutiques en propre aux Etats-Unis, dont huit boutiques à New York et 21 “outlets”. Le chiffre d’affaire total de Devanlay aux Etats-Unis était de $320 millions en 2008. (La marque Lacoste a enregistré un chiffre d’affaires d’ 1,5 milliard d’euros in 2008.) “L’identité française fait partie de l’ADN de la marque. On reste la marque du “sportswear” élégant à la française” note Bruno Luppens, directeur général marketing Offre Globale de Devanlay.  Le secret de la marque : allier subtilement son image française aux goûts du marché : “Il y a aux Etats-Unis des looks plus près du corps, plus colorés. 25% de la collection vendue aux Etats-Unis a été conçue spécifiquement pour le marché américain”, explique Bruno Luppens.
Si la crise n’a pas épargné la marque, le crocodile a la peau dure. L’arrivée à la tête de Davenlay USA de Steve Birkhold devrait aussi lui redonner des forces. Steve Birkhold, l’ancien PDG de Diesel USA a pris les rênes de la filiale américaine en Janvier, remplacant Robert Siegel, parti à la retraite. Birkhold entend diversifier l’offre de la marque : actuellement, 30 à 40% des ventes aux Etats-Unis est réalisé par les chemises polo. Le lancement au printemps dernier de Red, une  nouvelle ligne plus trendy et jeune va dans ce sens. Lacoste convertira cet été son magasin de Soho en nouveau concept shop pour Red. A venir aussi en Mars, une collaboration avec un grand magasin américain et un créateur européen “majeur”, rapporte le magazine américian WWD.
“On est fidèle aux sports qui sont nos racines : le tennis et le golf”, dit Bruno Luppens. Les éditions Assouline viennent de publier The Element Of Style (Préface d’Olivier Margot du journal L’Equipe, 50$). Le livre retrace notamment l’histoire de René Lacoste qui était dans les années folles était le meilleur joueur mondial. La légende rapporte que le logo du crocodile a été choisi suite à un pari entre Réné Lacoste et un des ses amis sur un costume en alligator vendu dans un magasin de Boston. Réné Lacoste regardait  donc déjà outre-atlantique.

William Blanchet, expert comptable

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(Article Partenaire) Depuis 20 ans, William Blanchet est CPA (Certified Public Accountant), ou expert comptable, aux Etats-Unis. Il est installé depuis 2001 à Philadelphie et conseille principalement des PME et des particuliers.
William Blanchet offre toute la gamme de services habituellement rendus par un cabinet d’expertise comptable: comptabilité, fiscalité, paie, audit légal (commissariat aux comptes) et contractuel, représentation auprès des autorités fiscales.
Son cabinet effectue tous travaux de conseil et d’assistance liés à une mission d’expertise comptable: établissement de budgets, de comptes prévisionnels, mise en place de systèmes informatiques, acquisitions de sociétés, assistance dans les négociations avec d’autres entreprises, etc.
Passé par de grands cabinets (Deloitte& Touche et Coopers & Lybrand, aujourd’hui Pricewatherhouse Coopers), ainsi que par le département des services comptables internationaux de la Chase Bank, William Blanchet a également l’expérience des grandes entreprises.
Le cabinet Blanchet CPA PLLC sert particulièrementles entreprises européennes, notamment françaises, désireuses de s’implanter sur le marché nord-américain. Il conseille également des entreprises nord-américaines souhaitant se développer en France et en Europe.
Il dispose d’un réseau de correspondants situés en Amérique du Nord et en Europe (principalement France et Royaume-Uni). William Blanchet parle couramment français. Il est également membre de la Chambre de commerce franco-américaine, délégations de New York et Philadelphie.
Blanchet CPA PLLC
757 Third Avenue, Suite 2133
New York, NY 10017
Tel: 212 376 4737
Fax: 212 376 4981
www.blanchetcpa.com

NY Fashion Week Party

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Pour cette soirée, Piper-Heidsieck offre la possibilité de gagner une paire de Crystal Stiletto par Christian Louboutin. De son côté, le coiffeur Jean-Claude Biguine offre aux 200 premières personnes qui se présenteront un sac de cadeaux accompagné d’un coupon de $30, en plus d’animer la soirée en proposant une coupe de cheveux gratuite.
Le jeudi 18 février à partir de 7pm, Empire Hotel Rooftop, 44 West 63rd Street

Shopping de fashionista

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La petite Princesse offre aux lecteurs de French Morning,  moins 10% sur l’achat de deux bijoux. Craquez pour ses créations uniques de bijoux très originaux entièrement faits mains. Couleurs acidulées, plaqué or ou argent ou encore de grosses bagues et bracelets incrustés de pierres précieuses en or massif, le tout à des prix decontractés.  232 Elizabeth st.
Transformez vous en vamps pour la Saint-Valentin grâce à la lingerie Simone Pérèle (www.SimonePerele.com) Cette marque française de lingerie réchauffera vos nuits d’hiver. L’ensemble Joséphine: demi cup bra est  à $105 et le string à $55. Cochez l’option “Gift Bag” durant le “check out”, entrez le code: SPValentine.
La marque sexy et chic Tribal Couture offre exceptionnellement 15% (sauf sur les pièces uniques) à tous les lecteurs de French Morning. Vous allez fondre pour une bague, un collier, un bracelet… Dite French Morning à la caisse et recevez votre réduction. 501 Lexington Avenue. Du 13 au 17 Février.
American Appparel est en soldes! Ici vous trouverez des sweat-shirts basiques, leggings, débardeurs. Rien que pour vous, un article acheté un offert, mais aussi moins 50% sur certains articles et moins 30% sur les collants. Dans toutes les boutiques. Jusqu’au 21 Janvier
Vêtements et accessoires d’Orla Kiely, Erickson Beamon, Kova & Te et bien plus à moins 90% au Showroom Seven. Craquez pour un sac en cuir à 104$, un collier tigre à 372$ au lieu de 930$. 263 Eleventh Av. Jusqu’au 19 Février.
Vous avez toujours rêvé de porter du Isabel Marrant, Robert Geller ou Alexander Wang? La boutique Stuart & Wright solde entre moins 30 et 75%. Pour homme et femme. 85 Lafayette Jusqu’au 14 février.
La boutique de bijoux Bittersweets offre moins 15% le jour de la Saint Valentin. Entre bagues, bracelets et colliers tout est là. Un bracelet en or et 14 carats est à 276$ au lieu de 325$, une bague en or et 14 carats passe de 125$ à 104$. Seulemement Online: Ici. Le 14 Février.
Du chic et du tendance à petits prix? Ne cherchez plus. La boutique Aloha Rag va vous combler. Entre Alexandre Wang, Elizabeth & James, Jil Sander tout est à moins 50 et 70%! 505 Greenwich St. Jusqu’au 15 Février.
Chocheng : tout est à moins 75%. 51 E. 63rd St.Jusqu’au 28 Février.
La boutique Bird brade ses prix et vous offre moins 10%. les plus belles collections sont là: entre Giles& Brothers, Wendy Nichol, Etten Eller, Wendy Mink, tout pour vous chouchouter. Dans tout les magasins. Jusqu’au 14 Février
Parce que un peu de girly et de passion ça ne fait pas de mal surtout pendant la Saint-Valentin… La boutique AC Gears offre moins 15% sur tout les articles rouges et roses! 69 E. 8th St. Le 14 Février.

Parce que l’hiver new yorkais ne s ‘arrête jamais, courez dans cette boutique pour vous réchauffer! La collection hiver de Daryl K et Kerrigan affiche moins 60%  21 Bond St. Jusqu’au 22 Février.
Envie de bottes, de chaussures ou de sacs à mains? La vente Dusica Dusica brade ses prix et offre moins 50%. Jetez-vous sur les bottes Becta à 447,50$ et les bottines Jill à 485$. D’autres bottes sont à 250$ et les chaussures à 150$. 67 Prince St. Jusqu’au 28 Février.
Les boutiques Odin et Pas de Deux bradent leurs prix et soldent jusqu’à 90%. Vous trouverez des bijoux, accessoires, chaussures et les collections passés. 199 Lafayette St Jusqu’au 13 Février.
Parce que le vintage ne vieillit jamais, emmenez Jules chez Laurel Canyon Vintage. Tous les T-shirts, bottes, vestes à moins 50%. 63 Thompson St. Jusqu’au 1 Mars
La boutique Ted Baker solde et à moins 60%. Vous y trouverez des blazers, des pantalons, des costumes et des accessoires tout doit disparaitre. 107 Grand Street Jusqu’au 14 Février.