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Les "Fauves" s'exposent au FIAF

C’est grâce à la création en 1852 de l’atelier Mourlot à Paris que de nombreux artistes redécouvrent l’art, alors peu connu, de la lithographie. Leur intérêt pour ce nouveau genre fut encouragé par un homme Fernand Mourlot, propriétaire de l’Atelier. Passionné d’art, il décida alors de développer cette technique d’impression permettant la création et l’impression de plusieurs exemplaires qu’est la lithographie.
Il rencontra alors les plus grands maîtres de notre temps, Picasso, Leger, Delacroix… certains comme Matisse furent au début réticent, par peur que l’impression « abîme » ses œuvres. Il leur apprit les techniques complexes et les encouragea à travailler directement sur la lithographie afin de promouvoir eux-mêmes leurs œuvres et de créer des affiches uniques diffusées en édition limitée. Grâce à la lithographie Picasso, Matisse, Chagall, Miró, Braque, Dubuffet, Léger, Giacometti ont enrichi leurs expressions propres et l’art contemporain en se plongeant dans ce nouveau domaine.
Pour la première fois en 1930, une affiche d’exposition de Delacroix fut traitée comme une œuvre d’art. C’est alors que la lithographie acquit à la fois une forte personnalité mais aussi un avenir certain. Cette combinaison d’artistes de génies et d’un maître de l’imprimerie ne reflète pas que les techniques complexes de cet art mais la liberté artistique qu’il offre.
Le FIAF en collaboration de l’Atelier Moulort New York installé à New York dans l’Upper East Side depuis 2006 vous propose une exposition unique montrant l’envol de la lithographie depuis le 19ème siècle et son évolution en tant qu’art contemporain. Une référence importante dans l’histoire de l’art à ne pas manquer.
Du 6 Novembre au 12 Décembre 2009- The Great Masters of Lithography : Vintage Posters by Calder, Chagall, Dufy, Léger, Matisse, Miró, Picasso and Other- FIAF Gallery 22East 60th Street NY, NY.  Plus d’INFOS

Une soirée de piano avec Michel Legrand

Plus d’une centaine d’albums, trois Oscars et cinq Grammys, c’est ce que ce virtuose français détient à son actif. Michel Legrand, qui s’est produit avec les meilleurs orchestres du monde de Saint-Petersbourg à Vancouver en passant par Montréal, Atlanta et Denver est aussi connu pour les musiques de plus de 200 films. Il a accompagné les plus grandes vedettes du jazz comme Frank Sinatra, Sarah Vaughan, Jack Jones, Tereza Kesovija, Regine Velasquez ou encore Ella Fitzgerald.
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Le 21 Novembre, c’est au Lincoln Center qu’il se produit. L’occasion de découvrir ou redécouvrir le compositeur de nos classiques Les Parapluies de Cherbourg, Les demoiselles de Rochefort, Peau d’Ane.
Le 21 Novembre à 8pm au Lincoln Center, Avery Fisher Hall, 10 Lincoln Center Plaza (Columbus Ave at 65th St).

Invisible Dog fête la chute du Mur

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The Scar Berlin témoigne de ces 160km de mur qui ont séparé l’Est et l’Ouest de la ville allemande, symbôle de l’absurdité du Rideau de Fer en Europe et de la Guerre Froide. 20 ans après son éradication, le réalisateur dévoile depuis un hélicoptère cette “cicatrice” en voie de guérison qui encercle encore aujourd’hui la partie ouest de la ville.
The Scat Berlin sera projeté en parallèle au Musée Historique de Berlin et au State Theatre de Stuttgart.
Lundi 9 Novembre à 7pm à Invisible Dog – Accès libre – 51 Bergen Street – Brooklyn NY 11210 – between Smith and Court Streets

Solo de violoncelle

La violoncelliste Julia Kent viendra faire vibrer les murs de Invisible Dog et l’installation de l’architecte Giuseppe Stampone samedi 7 novembre. Après avoir joué des années avec de nombreux artistes comme Antony, les Johnsons ou encore Rasputina, Julia Kent s’est consacrée à enregistrer ses propres compositions, en s’inspirant des ses nombreux voyages à travers le monde.

Samedi 7 novembre à 7pm à Invisible Dog

51 Bergen StreetBrooklyn, NY 11 201 between Smith & Court streets
Subway F or G, Bergen Street stop

Une discussion avec Christophe de Margerie

Dans le cadre de son Programme d’alliance avec les grandes écoles françaises, la Columbia University reçoit Christophe de Margerie, PDG de Total, pour une discussion avec John Coatsworth, Doyen de l’Ecole des Affaires publiques et Internationales (School of International and Public Affairs) et Ghassan Salame, Professeur des International Relations de Columbia University et de Sciences Po. Cette conférence est co-sponsorisée par la School of International and Public Affairs.
Le 12 Novembre de 6pm à 8pm – Room 1501, International Affairs Building 
Alliance Program de Columbia University – 1232 International Affairs Building
420 West 118th Street
New York, NY 10027, USA
Phone: 212-854-2056 

RSVP to [email protected]

Wiseman s'invite au Palais Garnier

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Le réalisateur et metteur en scène américain s’est toujours intéressé à l’expérience humaine à l’intérieur d’institutions comme l’école, la prison, l’armée, l’hôpital ou le tribunal. Cette fois, c’est au Palais Garnier qu’il a baladé sa caméra, pour suivre en coulisses et sur scène l’une des plus grandes compagnies de ballet au monde, la troupe de l’Opéra de Paris. Grincements de parquet et souffles de danseurs en action, les 2h45 de film transforment le spectateur en visiteur privilégié de cet édifice du 19e siècle, invité jusqu’à ce toit où sont élevées les abeilles les plus convoitées de Paris…
Frederick Wiseman s’invite aux entraînements de grands ballets tels que Genus de Wayne Mac Gregor, Paquita de Pierre Lacotte ou Romeo et Juliette de Sasha Waltz. Peut être tout autant que le spectateur, il s’attache progressivement à quelques danseurs, les Etoiles Nicolas Le Riche, Marie-Agnès Gillit et Agnès Letestu. Et les regarde apprendre, s’entraîner, douter et se perfectionner avec les chorégraphes. « J’ai toujours voulu faire un film sur des danseurs et chorégraphes qui représentent le niveau le plus haut de réussite dans l’utilisation de leur corps pour exprimer pensées et sentiments », explique t-il  à propos de La Danse.
Des chandeliers surchargés de cristal aux sombres labyrinthes du sous-sol, en passant par l’administration et les ateliers de cours -dont on sentirait presque l’odeur de l’effort, Frederick Wiseman offre un tableau complet de ce qui peut se passer dans les coulisses d’un grand théâtre. Sans omettre de s’asseoir de longues minutes sur un des 2200 sièges en velours écarlate, contempler les performances des danseurs et la touche du peintre Chagall au plafond.

La mode pend la crémaillère !

Meubles, bottes et accessoires
– Après 21 ans à Soho, Leekan Designs déménage dans Lower East Side. Pendaison de crémaillère oblige avec 20% à 70% de réduction sur tous les bijoux ethniques, les céramiques et meubles importés directement de Chine, d’Inde, de Thaïlande, d’Afghanistan, Maroc, Afrique, Nouvelle Guinée… Et surtout, craqués sur les châles du Laos à $60 au lieu de $160 et les bracelets afghans à $150. Samedi de 11am à 6pm, dimanche de midi à 5pm et en semaine de 11am à 6pm, jusqu’au 15 Novembre au 4 Rivington Street à Lower East Side.
– Les bottes d’hiver ne se font plus prier. Elles deviennent pourtant tellement plus belles quand on les achète soldées ! Le Butter Showroom vous a entendues. $200 la paire au lieu de $475 mais aussi des talons Something Blue à $100 au lieu de $260, des Bettye Muller à $100 au lieu de $355 et des petites merveilles perlées de chez Tibi à $100 au lieu de $352. Jusqu’au 12 novembre de 10am à 7pm au 307 Seventh Ave à Chelsea.
– Pour égayer ces premières journées d’hiver, le designer anglais Lulu Guinness solde ses accessoires du Banzai Showroom. Les sacs à mains et bijoux d’anciennes collections seront à $80, les colliers en perles à trois rangs à $50 au lieu de $140, et les grands sacs fourre-tout en toile à $40 au lieu de $140. Samedi 7 de 11am à 5pm au 39 Worth St dans Financial District.
L’Alaska House, une maison d’artistes entre l’ONG et l’atelier de mode, fête son premier anniversaire. Pour l’occasion, elle solde tous ses produits faits main : manteaux, vestes, gants et bottes, mais aussi ballerines, bijoux et bien d’autres choses encore. Vous y trouverez des colliers de perles en ivoire passés de $400 à $300, des gants fourrés et perlés à $187 au lieu de $250 et des mocassins à faire pâlir Sarah Palin à $225 au lieu de $300. Dimanche de midi à 6pm et du lundi au samedi de 11am à 7pm jusqu’au 31 décembre au 109 Mercer Street à Soho.
Hommes
– « Le style anglais rencontre New York » voilà comment le designer Andrew Buckler décrit sa ligne de vêtement. Classique et détail choc ! Cela vous tente ? Alors rendez vous dans sa boutique du Meatpacking, où vous vous verrez offrir une coupette de bulles. Au menu : manteaux en laine et cuir à $390 au lieu de $825, pull en laine merino à $45 au lieu de $220 et jeans foncé à $75 au lieu de $215. A partir du 6 novembre de 11am à 9pm, samedi de 11am à 7pm et dimanche de midi à 6pm au 13 Gansevoort Street.
Femmes
– Budgets serrés ? Cela fait longtemps que vous n’espérez plus porter une fringue de chez Bendel ou Barneys ? Lauren Moffatt Studio vous rendra chèvres, en soldant des robes en soie d’une valeur de $373 à $120 et des jupes en mousseline à $90 au lieu de $310. Du 10 au 12 novembre, de 9am à 7pm au 214 W 29th Street à Chelsea.
Vous ne faîtes pas une taille 0 ? Pas de panique, la designer Shoshanna Lonstein aime mettre en valeurs chaque corps de femme. Deux journées à moitié prix et vous  trouverez forcément votre bonheur : vestes imprimées à $150, cardigans à grand col à $100, robes en tweed à $150. Mais aussi des jeans, du skinny au large à $75. Les 11 et 12 Novembre de 10am à 6pm au 231 W 39th Street à Midtown West.  
– Opération Friends and Family pour Clarins, qui offre 20% de réduction et la livraison gratuite sur tout achat en ligne, en entrant CLARINSFF à l’étape 1 de l’enregistrement. Du 2 au 11 novembre sur clarins.com.
Femmes… et hommes
– Parce que la lingerie sexy n’est pas seulement réservée aux occasions particulières, La Perla offre 80% de réduction sur une coquine sélection de vêtements légers. Les nuisettes à dentelle blanches ne sont plus à $490 mais à $50 et les robes en satin tombent à $55, pour une valeur de $460… Foncez ! A partir de dimanche 8 novembre de 1pm à 6pm, et jusqu’au 11 novembre de 10am à 6pm au 4 West 58th Street au 4e étage.
– Bons plans d’hiver chez White+Warren, qui propose pour hommes et femmes de « cozy » cols roulés à $85 au lieu de $220, de longs pulls en cashmere encolure en V à $125 au lieu de $275 et des châles en cashmere normalement à $275 au prix de $125. Les  10 et 11 novembre de 8am à 7pm et le 12 novembre de 8am à 3pm au 80 W 40th Street dans Midtown West.

Bauhaus 1919-1933 : Workshops for Modernity

Depuis sa création à Weimar en 1919, l’Ecole du Bauhaus –de l’allemand « maison du bâtir »- a fuit les pressions politiques, pour finalement être fermée sur ordre nazi  en 1933. Joseph Goebbels y voyait même « l’expression la plus parfaite d’un art dégénéré ». Deux déménagements (à Dessau puis Berlin) et trois directeurs n’ont pourtant pas empêché cet Institut d’avant-garde de poser les bases de réflexion de l’architecture moderne, comme l’entendait son manifeste : « Architectes, sculpteurs, peintres ; nous devons tous revenir au travail artisanal, parce qu’il n’y a pas d’art professionnel. Il n’existe aucune différence essentielle entre l’artiste et l’artisan. ».
L’exposition du Moma le lui rend bien. Les œuvres choisies pour Workshops for Modernity sont un étonnant aperçu de l’étendue du travail des artistes du Bauhaus ; du design industriel à la céramique, en passant par les meubles, l’architecture, la photographie, le textile, la sculpture, le théâtre ou la peinture, la large palette artistique de l’Ecole ferait presque croire à un courant de pensée : « Voulons, concevons et créons ensemble la nouvelle construction de l’avenir, qui embrassera tout en une seule forme : architecture, art plastique et peinture ». Peut être pas si faux, quand on sait que de nombreux artistes du Bauhaus étaient membres du Parti Communiste. Hannes Meyer, deuxième directeur de l’Ecole est d’ailleurs forcé de démissionner en 1928, soupçonné de vouloir politiser l’Institut…
De belles toiles de Paul Klee et de Kandinsky –maîtres du Bauhaus- valent le déplacement, tout comme les troublants portraits photo de Lucia Moholy et les différents luminaires très années 30 de Marianne Brandt. Mais aussi la série de tapies de Gunta Stölzl et les nombreux posters d’expositions qui seront familiers à certains.
Du 8 Novembre au 25 Janvier 2010 – The Joan and Preston Robert Tisch Gallery au 6e étage – Moma 11 West 53 Street, NY – 212 708 9431 – infos sur moma.org

Isabelle Huppert déclare sa flamme

C’est un cri d’amour qu’a lancé Isabelle Huppert à son Pygmalion Robert Wilson. « Je veux dire à tout le monde combien j’apprécie d’être vue par vous, mise en scène par vous et aimée par vous », a-t-elle déclaré lundi au gala du FIAF (French Institute Alliance Francaise) à l’hôtel Plaza où elle lui remettait le Trophée des Arts.
Isabelle Huppert est à New York où elle joue dans la production de Robert Wilson Quartett au BAM jusqu’au 14 Novembre, une pièce d’Heiner Müller inspirée des Liaisons Dangereuses de Laclos. En référence à Quartett et aux Fables de la Fontaine, une production de 2004 à la Comédie Française, elle explique : «  Bob explore la limite entre l’animalité et la vie humaine ». Un clin d’œil aussi à Isabella Rossellini, une autre muse de Robert Wilson présente parmis les 450 invités du gala : l’actrice a elle-même exploré cette limite dans Green Porno, une série de courts-métrages qu’elle a réalisée en 2008 et où elle mime les rites de reproduction des insectes.
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Robert Wilson a lui dit tout son amour pour la France. Pour la première parisienne de Deafman Glance en 1971, il quitta la salle 30 minutes avant la fin, craignant la réaction de la cabale quant à cet opéra muet de plus de quatre heures. «Les Français sont très verbaux », pensait-il. Il fut abassourdi quand, de retour à sa chambre d’hôtel, on lui dit de revenir au théâtre où le public lui faisait une standing ovation. «Les Français ont donné un foyer à Stravinsky, Picasso, Peter Brook, moi et d’autres », a-t-il déclaré dans un discours louant la politique culturelle de la France.
Le Pilier d’Or est quant à lui allé à Bernard Poussot, PDG de la société bio-médicale Wyeth. Il est l’architecte d’une méga-fusion avec les laboratoires Pfizer pour un montant de 68 milliards de dollars.
La crise était une autre invitée du gala : la levée de fonds a atteint $680 000, un chiffre en baisse d’environ 7% par rapport à 2008.  Mais la directrice du FIAF Marie-Monique Steckel se réjouit d’être parvenue à une marge nette équivalente, qu’elle attribue aux bons résultats des enchères (la semaine à Saint Barth est partie pour $20 000) et à une très bonne gestion des dépenses : des fleurs moins luxueuses, un programme moins épais. Elle conclut :  “Les petits ruisseaux font les grandes rivières”.
Voir le diaporama:

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Miami fête le cinéma français

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Pendant plus de 20 ans, Patrick Gimenez a parcouru le monde, en tant que producteur et distributeur afin de dénicher des blockbusters et les importer en France. Puis il a un beau jour décidé de venir s’installer en Floride pour y lancer un festival du film français. L’idée avait germé au cours d’un voyage en Italie, au Festival du film français de Milan. Quelque mois plus tard il s’installait à Boca Raton et lançait le premier “France Cinéma Floride”, à Miami.
Patrick GimenezDepuis, la greffe a pris. On vient de Key West ou d’Orlando pour voir des films français, sous-titrés en anglais, si bien qu’il y a trois ans, Patrick a dupliqué son festival à Boca Raton. Il faut dire que notre homme n’est pas un novice en matière de cinéma. Avec French Feeling Films, la société qu’il a créée avec son associé et ami André Lazare (décédé d’une crise cardiaque en 2008)  ils ont produit et distribué en 20 ans plus de 180 films : « A Map of the World » en 1999 avec Sigourney Weaver et Julianne Moore (Co-produit et distribué), « Undisputed » en 2002 avec Wesley Snipes (co-produit et distribué) et plus récemment  « Contre-enquête » avec  Jean Dujardin produit en 2006.
Chaque année, Patrick met un point d’honneur  à sélectionner des films sortis en France au maximum il y 8 mois. «Ce festival doit avoir le goût de l’exclusivité  de la fraicheur, je travaille toute l’année directement avec les producteurs en France pour faire ma sélection». Il avait ainsi sélectionné « Neuilly sa mère ! » en janvier 2009, alors que le film était encore sur la table de montage. Intuition confirmée par la sortie réussie du film en France en 2009. Le programme se veut équilibré et éclectique, même si les plus grosses affiches sont des comédies: Coco, avec Gad Elmaleh, Safari, avec Kad Merad ou Tellement proches (voir ci-dessous la liste complète). Grande première cette année, avec un dessin animé à l’affiche: « Mia et le Migou ».
Le festival est aussi l’occasion de rencontrer acteurs et metteurs en scènes. Cette année, l’actrice Marina Tomé (Béatrice dans « Quelque chose à te dire ») et Jérôme Soubeyrand, scénariste de « Quelque Chose à te dire » viendront présenter le film et expliquer à des étudiants  la genèse d’un scénario et le parcours d’un film de la production à la distribution. Et puis, Patrick Gimenez se fait mystérieux: “il y aura peut-être une visite surprise”. L’an dernier, il avait réussi à décrocher Dany Boon et Kad Merad pour la projection de «Bienvenue chez les Ch’tis». Il se refuse à donner aucun nom mais espère “une belle surprise”.année dernière, pour clôturer le festival nous avions eu la surprise d’avoir Dany Boon et Kad Merad pour la projection de « Bienvenue chez les Ch’tis ».
ATTENTION cette année le festival de Miami est au « Tower Theater » sur la Calle Oche.
LE PROGRAMME:

BAMBOU, de et avec Didier Bourdon, et Anne Consigny, Pierre Arditi.
BLAME IT ON MUM (Quelque chose à te dire). De Cécile Telerman, avec Mathilde Seigner, Pascal Elbé, Olivier Marchal, Charlotte Rampling. 
-COCO, de et avec Gad Elmaleh, et Manu Paillet, Pascale Arbillot.
LOL LAUGHING OUT LOUD , de Lisa Azuelos, avec Sophie Marceau.
-MIA AND THE MIGOO, dessin animé.
-NEUILLY(Neuilly-sa-mère!)
-NO HARD FEELINGS (Sans rancune), de Yves Hanchar, avec Thierry Lhermite.

-SAFARI, d’Olivier Baroux, avec Kad Merad.
-SO CLOSE SO FAR (Tellement proches, de Eric Toledano et Olivier Nakache,  avec Vincent Elbaz, Elizabeth Carré.
-SPY(IES), (Espions) de Nicolas Saada avec Guillaume Canet, Géraldine Pailhas.
-THE ONE I LOVE (Celle que j’aime), d’Elie Chouraqui, avec Gérard Darmon, Barbara Schulz et Marc Lavoine.
Voir le Site officiel

A la maison comme au spa

Son palmarès se lit comme un annuaire des hôtels de luxe: le Plaza de New York, The Moorings Village à Islamorada, l’hôtel Victor à Miami, le Royal à Evian… Partout, Stéphanie Sémonin a conçu, ou participé à la conception, des spas. C’est son métier:  designer de spas. On imagine plus stressant, on a bien-sûr tort…
Stéphanie est une entrepreneuse acharnée qui vient d’ajouter une corde à son arc: les spas dans les condominiums. L’idée peut paraître excentrique en temps de crise immobilière et de condos vides. Stéphanie y a au contraire vu une opportunité.  “En offrant des services supplémentaires,  les Condominium Associations (les associations de co-propriétaires, qui ont intérêt à voir leurs immeubles occupés au maximum pour diminuer les charges par appartement) peuvent ainsi se démarquer de la concurrence” explique-t-elle.
Accessoire indispensable de l’hôtel de luxe, le spa correspond aussi à l’image que les immeubles qui ont poussé dans la région de Miami par centaines entendent se donner. Valet parking, piscine et salle de sport sont devenus le minimum attendu. Le spa permet de faire la différence. “La perspective de pouvoir venir se relaxer une heure sans avoir à prendre sa voiture” fait le reste. En quelques mois, Casa Spa, la société de Stéphanie Sémonin est parvenue à convaincre le Continental Group, qui vient d’ouvrir une première cabine de soins dans le luxueux 10 Aragon, à Coral Gables, d’autres vont suivre un peu partout dans Miami.
Avec Casa Spa, Stéphanie se démarque totalement de tous les Spas que vous pourrez trouver à Miami. Les soins qu’elle propose sont sur mesure, issus de la fascia thérapie, et adaptes à chaque clients. Cette technique manuelle douce et sans manipulation agit sur toute les structures du corps et sur son mouvement interne.
Plus d’infos sur : www.semonincorp.com
Stéphanie Sémonin est une artiste qui expose ses photos à Miami pour Art Basel du 3 au 6 décembre 2009, à Cannes, Paris et Buenos Aires.

Restaurants français

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Annuaire des restaurants français


 
LES BOULANGERIES/ CAFE/SANDWICHES/SALADES
 

  • PAUL “Bakery Café”:

450 Lincoln road. Miami Beach, FL 33139 Tel: 305 531 1200
14861 Biscayne Boulevard. North Miami, FL 33181. Tel: 305 940 4443

  • La Provence:

433 W 41st street (Arthur Godfrey Rd). Miami Beach, FL 33141. Tel: 305 672 4951
2200 Biscayne Boulevard. Miami, FL 33137. 305 576 8002
1627 Collins Avenue. Miami Beach, FL 33139. Tel: 305 538 2406
1064 Brickell Avenue. Miami, FL 33131. Tel: 786 425 9009
2300 Ponce de Leon Boulevard. Coral Gables, FL 33134. Tel: 305 476 0530

  • Chocolate Fashion: 248 Andalusia Ave. Coral Gables, FL 33134. Tel: 305 461 3200
  • La Brioche Doree: 4017 Prairie Ave. Miami Beach, FL 33140. Tel: 305 538 4770
  • La Sandwicherie: 229 14th Street. Miami Beach, FL 33139. Tel: 305 532 8934
  • Le Royal: 7370 SW 57 Street. South Miami, FL 33141. Tel: 305 665 6631

RESTAURANTS:
MIAMI BEACH:
 

  • Au Pied de Cochon: 81 Washington Ave. Miami, FL 33139. Tel: 305 674 1844 (Lire ici)
  • A la Folie Cafe:

516 Espanola Way. Miami Beach, FL 33139. Tel: 305 538 4484
1701 Purdy Avenue. Miami Beach, FL 33139. Tel: 305 672 9336

  • Café Maurice: 419 Washington Avenue. Miami Beach, FL 33139. Tel: 305 674 1277
  • Ratatouille: 821 Washington Ave. Miami Beach, FL 33139. Tel: 786 276-3850
  • Lemon Twist: 908 71st St – Miami Beach, FL 33141
    305 865-646

BISCAYNE BOULEVARD up to 69 street

  • Uva 69: 6900 Biscayne Boulevard. Miami, FL 33138. Tel: 305 754 9022
  • Moonchine. 7100 Biscayne Boulevard. Miami, FL 33138. Tel: 305 759 3999
  • Anise: 620 NE 78 Street. Miami, FL 33138. Tel: 305 758 2929 (Lire ici)
  • Petit Rouge 12409 Biscayne Blvd – North Miami, FL 33181-2520
    305  892-7676

COCONUT GROVE

  • Au Bouchon Du Grove: 3430 Main Hwy. Miami – Coconut Grove, FL 33133. Tel: 305 448 6060
  • George’s in the Grove. 3145 Commodore Plaza. Miami- Coconut Grove, FL 33133. Tel: 305 444 7878
  • Le P’tit Paris. 3464 Main Highway. Miami – Coconut Grove, FL 33133. Tel: 305 445 7331
  • Green Street Café. 3468 Main Highway. Miami – Coconut Grove, FL 33133. Tel: 305 444 0244

 CORAL GABLES

  • La Palm d’Or (Biltmore Hotel): 1200 Anastasia Avenue. Coral Gables, FL 33134.
  • Pascal’s on Ponce. 2611 Ponce de Leon Boulevard. Coral Gables, FL 33134.
  • Les Halles: 2415 Ponce De Leon Boulevard. Coral gables, FL 33134. Tel: 305 461 1099
  •  Le Provencal: 266 Miracle Mile. Coral Gables, FL 33134. Tel: 305 448 8984. (Lire ici)
  • Le Boudoir: 169 Miracle Mile. Coral Gables, FL 33134. Tel: 302 442 0801

BAL HARBOUR

  • La Goulue: 9700 Collins Ave. Bal Harbour, FL 33154.

 SOUTH MIAMI

  • Café Pastis. 7310 SW 57th CT. South Miami, FL 33143. Tel: 305 665 3322

 
 
 
 MIAMI SHORES

  • Côté Gourmet: 9999 NE 2nd Avenue. Miami Shores, FL 33138. Tel: 305 754 9012. Lire ici

 
 
DESIGN DISTRICT/BUENA VISTA

  • Buena Vista Bistro: 4582 NE 2nd Ave. Miami, FL 33137. tel: 305 456 5909

 

  • W Wine Bistro: 3622 NE 2nd Ave. Miami, FL 33137. Tel: 305 576 7775