New York a la plus grande concentration de people à l’inch carré.
Vous aussi, vous pouvez vivre comme des stars…
Restaus
Barbuto, 775 Washington St:
Diane Von Furstenberg
Nectar. Coffee Shop sur Madison Avenue et 79ème rue:
Le maire de New York Michael Bloomberg et le gouverneur de New York
Eliot Spitzer,
Tao. 42 E 58th St:
Sylvester Stallone
Gobo, 401 Avenue of the Americas:
Will Smith
PJ Clarkes, 915 Third Ave:
Renee Zellweger
La Esquina – 106 Kenmare:
Tommy Hillfiger
Sardi’s, 234 W 44th street:
Cynthia Nixon
Serendipity 3, 225 East 60th street:
Warren Beatty
Tabla, 11 Madison:
Brangelina
Nobu, 105 Hudson:
Lenny Kravitz
Craft, 43rd E 19:
George Soros
Bus Stop Café, 597 Hudson:
Julianne Moore
Cafés
Starbucks, 57th et 7th Avenue:
Monica Lewinsky
Shopping
Barnes and Noble, Union Square:
Nathalie Portman
Barney’s:
Cameron Diaz
Hilary Swank
Bergdorf, 745 Fifth avenue:
Paris Hilton
Goldie Hawn
Greenwich Letterpress:
Jessica Lange
Lee’s Art Shop, 220 W 57th street:
Brangelina
Epilations du maillot
Non, mais vous pensez vraiment qu’on a ces infos là à French Morning ?
Celeb spots
Small is the new big
Parce que New York, ce n’est pas vraiment les Etats Unis et qu’ici, on aime se démarquer du reste du pays, il n’est pas question de super size me. Bien au contraire, tout comme white is the new black, vous serez contents d’apprendre que small is the new big. En cuisine tout du moins. Un vrai raz de marée de la portion réduite déferle dans les assiettes des chefs new-yorkais. Qu’ils s’appellent omakase, tapas, mezze ou encore degustation menu, les chefs, en vogue on non d’ailleurs, ont abandonné la portion géante si typiquement américaine – donc tellement vulgaire – pour des plats d’une taille lilliputienne qui nous rappellent étrangement la nouvelle cuisine d’il y a 15 ans.
Que ce soit le nouveau bar à tapas Boqueria, sous la houlette de Seamus Mullen, et ses délicieux Cojonudo (littéralement, euh, vous savez, well, couilles… en fait ce sont des œufs de caille et du chorizo), ou bien l’atelier de Joël superstar Robuchon et sa machine à fabriquer de la haute-omakase, (les plats de Robuchon n’ont de japonais que le nom), le plat standard est miniature.
Allez, c’est vrai que le velouté d’oursin en gelée de langoustine est une explosion gustative, un peu comme manger une bouchée d’océan, un mets d’une telle complexité qu’on serait tenté d’attribuer des vertus magiques à Joe. Et qu’importe si on a encore faim après le sixième plat. C’est une réflexion triviale. Tout comme on n’achète pas des Louboutin pour marcher, on ne va pas cher Joël Robuchon pour se nourrir.
Vous l’aurez compris, comme disait notre bon Rabelais, qui n’était pas New-Yorkais mais qui connaissait une ou deux choses sur la bonne bouffe, ce qui compte, c’est la substantifique moelle, la saveur pure, le goût renversant, le bouquet ensorcelant, la succulence irrésistible.
Choisir, c’est renoncer. Rien de plus agaçant que de voir deux ou trois plats alléchants au menu et les New-Yorkais ne veulent pas faire de compromis. Le vétéran du genre, Il Buco, offre depuis longtemps des petites portions à partager entre potes avec un bon verre de vin. Relooké ethnique, moderne, branché, tendance, hip et tout ce que vous voudrez de marketingement approprié, dans sa version traditionnelle, on appelle ça le menu dégustation.
La formule parait illogique et pourtant écoutez : Pourquoi choisir le porter house for 2 quand on peut manger le même soir le lapin braisé, le confit de flétan, la langouste à la nage et le veau mijoté, le tout organic et locally grown, of course. Donc, moins égal plus. Small IS the new big. CQFD.
Les small plates préférées des Pintades:
L’Atelier de Joel Robuchon : 57 E. 57th St., proche de. Park Ave. 212-350-6658. PLAN
Boqueria : 53 W. 19th St., entre 5th & 6th Ave 212-255-4160 PLAN
Il Buco : 47 Bond St., entre Lafayette & Bowery 212-533-1932 PLAN
Parea : 36 E. 20th St., entre Park Ave. S. & Broadway 212-777-8448 PLAN
Bar Masa : Time Warner Center 10 Columbus Cir., 4th fl. angle 60th St. 212-823-9800 PLAN
Linguini à la sauce mafia
C’est le début de la fin. Et cette fois-ci, c’est pour de bon. Carmela, Tony et tous les affreux vont aller retrouver les Corleone, Henry Hill, et Sonny LoSpecchio au panthéon des personnages mafieux.
Le compte à rebours a commencé. Encore 7 épisodes et puis, ce sera fini des fat fuck et des who’s gonna get wacked.
Alors, si ça vous démange de prolonger le bonheur et que les re-runs n’y font rien, vous pouvez aller à la découverte du real stuff. Rien de tel qu’un dîner dans un restaurant mafieux, entouré de gros messieurs aux cheveux gominés qui s’appellent Vitto, Joseph ou Franky.
On pourrait avoir l’impression que New York a été gentrifiée à mort, pourtant, l’Italian Connecion est toujours là.
Pour les hard-core sopranistes, commencez dans le Niou Djoyzee, avec I Cavallini, qui s’autoproclame « ristorante & Lounge ». Une réplique de Nuovo Vesuvio, avec lambris dans la salle à manger, tentures plissées aux fenêtres et statues de chevaux à l’extérieur. Du grand kitch italianisant. Et le serveur Vitto qui vous accueille en vous suggérant de ne pas tourner le dos à la porte d’entrée, « parce qu’on ne sait jamais ». La clientèle est plutôt éclectique, mais quelques spécimens méritent une mention spéciale. Le soir de mon passage, un monsieur en costume arrive accompagné d’une femme beaucoup plus jeune que lui, coiffée aux bigoudis. Il s’absente pour aller aux toilettes. Quand il revient, il place une liasse de billets dans le sac à main de la dame et elle se met à pleurer. Face à mon air décontenancé, ma copine Denise, qui a grandi avec les frères Bonano à Staten Island, me propose une explication de texte, « Oh, il vient sans doute de la quitter. Ca veut dire que c’est fini entre eux ! » Gulp. Vous reprendrez bien un peu de spaghettis with meatballs.
Allez, en route pour le Bronx. Direction Arthur Avenue, une avenue qui n’est plus de son temps, dans un restaurant qui n’est plus de son temps non plus. Dominick’s. Ne leur dites pas que c’est un « mafia joint ». Ici, on appelle ça un restaurant « family style ». Pas de menu, pas d’addition, pas de cartes de crédit, pas d’embrouille. Tellement décor de cinéma, qu’il y a même l’allée sombre sur le côté, où l’on imagine que plein de rotules ont dû connaître leurs derniers jours. Dominick’s sert de la cuisine italienne qu’on ne trouve nulle part ailleurs que dans ce genre d’établissements, des praires à l’ail, de l’artichaut farci et du veau braisé. Quant aux pâtes, elles dégoulinent de red sauce. Arrosez le tout d’une bouteille de chianti et pas de grimace quand arrive l’addition. Inutile de traîner dans le quartier. Le patron à qui on demandait où aller prendre un verre après un dîner gargantuesque, répondit, très sobrement « Eh, retournez dans le West Village ! »
Ah, le tour d’horizon ne serait pas complet sans Rao’s. La Mecque du restau mafieux, un temple sacré de la sauce causa nostra. Vous pouvez dès maintenant commencer à travailler sur vos connections, parce qu’à moins d’être connecté, vous n’y mangerez jamais. Alors, si le cousin du frère de votre comptable a un plombier d’origine italienne qui connaît la sœur du barman et qui peut peut-être vous avoir une table dans 3 ou 4 ans, allez-y bichonnez tout ce petit monde.
Rao’s est le dernier vestige de l’Harlem italienne. Une devanture pleine en rouge, un petit bar surplombé de guirlandes, 8 tables, et basta. Une réservation ? fuggetaboutit ! Ici, on possède sa table, à l’année. On est le « premier jeudi du mois », ou le « 3e samedi ».
Rao’s est une légende qui a vu défiler tout ce qui se fait de mafieux, de connu, de politique. Quand Madonna est arrivée un soir à l’improviste, elle a gentiment été expédiée dans le prochain taxi. Sorry lady, we’re fully booked. Le patron Franck Pellegrino est aussi acteur. C’est lui qui joue le rôle de l’agent du FBI dans les Sopranos. On vous jure, c’est un décor plus vrai que nature, où les gros messieurs ont tous la poche intérieure de leur costume boursouflée. S’il doit se passer quelque chose, c’est là que ça arrivera. Comme c’est arrivé il y a 3 ans, quand Louis (Lump Lump) Barone a dézingué un client qui avait insulté la chanteuse. Pas de bol pour moi, Louis, c’était ma connection pour Rao’s, le cousin de mon plombier qui avait sa table. Damn it !
Nuitées audacieuses à New York
Si la capitale du Nouveau monde compte quelques établissements historiques, comme le Waldorf Astoria, l’hôtel le plus beau et le grand du monde à son ouverture en 1931, on trouve évidemment à New York des adresses derniers cris, audacieuses et anti-conventionnelles. Depuis quelques années, on assiste en effet au réveil d’une nouvelle génération d’hôtels contemporains et stylisés. Chacun y va de son concept: « boutique hôtel », hôtel « haute couture » à l’architecture parfaitement réfléchie, ou encore «hôtel à principes holistiques», prenant soin de votre esprit aussi bien que de votre corps.
Hudson et Royalton: le délire selon Starck
Nés de l’imagination du développeur immobilier new-yorkais Ian Shrager et de son comparse le designer français Phillip Starck, les hôtels Husdon et Royalton repoussent les limites du luxe en l’inscrivant dans le XXIème siècle. Situé près de Central Park, l’Hudson frappe par sa façade lisse et contemporaine, alors que le lobby est accessible en empruntant des escalators, baignés d’une lumière verte fluo très futuriste. Le réaménagement de cette ancienne résidence pour jeunes filles de 1000 chambres s’est fait sur le mode du « chaos organisé ». Le mobilier
contemporain de Starck donne un coup de jeune à la brique rustique. La bibliothèque d’origine a été transformée en bar, un club ultra branché côtoie une terrasse extérieure au confort oriental. Les chambres ne sont pas spacieuses, mais à l’image d’un campus étudiant, l’hôtel recèle de nombreux lieux de détente et de rencontres, comme son restaurant baptisé « la cafétéria » ou son toit-terrasse pourvu de chaises longues, d’où l’on aperçoit jusqu’à la statue de la liberté.
Le hall de l’hôtel Royalton, dans le quartier des théâtres, est tout à fait approprié à la tenue d’un défilé de mode. Totalement ouvert, le lobby, comprenant un espace de détente, la réception et le restaurant, s’organise le long d’un long tapis bleu électrique frappé de petits génies dessinés par Starck. Obsédant, le bleu nuit profond des couloirs mène à des chambres inspirées de l’architecture paquebots, avec des baignoires rondes et des lampes de chevets incrustées en tête de lit, tels des hublots. Le brun chaud du bois Mahagoni accompagne harmonieusement la moquette pistache. Certaines vues s’ouvrent sur l’effervescence de Times Square, tandis que le Champagne Bar est une minuscule pièce intime toute ronde, tendue de cuir du sol au plafond.
Le SoHo et le TriBeCa Grand: le passé revisité
Le deux « Grands » sont installés à quelques blocs d’intervalle, au cœur des quartiers « bobo », ou « bohème branchés », de SoHo et de TriBeCa. Construits respectivement en 1996 et 2000, ils signent la revitalisation immobilière des quartiers de Downtown. Le SoHo Grand est un exemple très réussi d’architecture inspirée du design industriel. L’impressionnant escalier en acier laisse apparaître ses boulons, les poutrelles métalliques sont apparentes et les portes sont griffées pour une effet « usé ». Deux chiens en fer forgé vous accueillent à l’entrée en vous laissant admirer des lampes art déco suspendues au plafond. Les chambres ne sont pas très grandes, mais l’hôtel possède un jardin et une terrasse aérés, très appréciés pendant la canicule estivale new-yorkaise. Le bar propose une trentaine de cocktails « maison » inspirés de recettes anciennes.
Le TriBeCa Grand a ouvert ses portes dans le quartier hétéroclite de Tribeca, où se mêlent les pavés ronds du XIXème siècle, les entrepôts désaffectés, et les maisons de ville aux célèbres escaliers de secours. La touche fantaisiste signée “downtown” s’incarne dans la façade de fer, de verre et de brique, et cette lumière naturelle qui tombe directement depuis la verrière du huitième étage. L’ambiance relaxante se décline dans les tons bleu et crème. Le mobilier des chambres est contemporain. Le Church Lounge, à l’entrée de l’hôtel, est l’un des bars les plus côtés de la ville, farouchement à la mode, comme seuls le sont les endroits les plus pointus de New York. Les deux « Grands » accueillent une clientèle du monde de la mode et des spectacles, qui se sentent bien dans leurs ambiances savamment mise en scène.
60 Thompson: le chic minimaliste
Niché dans une ruelle calme au coeur de SoHo, 60 Thompson ravira les architectes, les designers et tous les amoureux de belles proportions. Dès l’arrivée, sa façade anthracite et sa terrasse ornée d’arbustes donnent le ton. Dans le lobby, le sol de marbre noir évoque le fond d’une piscine pompéienne, les meubles deviennent sculptures: fauteuil “Swan” d’Arne Jacobsen, tabourets en bois de Charles Eames et sofa capitonné sur pieds chromés de Florence Knol. Situé au premier étage, l’accueil bénéficie d’immenses baies vitrées s’ouvrant sur les buildings de SoHo. L’ambiance, signée Thomas O’Brien, y est chaleureuse, comme dans un salon privé: larges sofas capitonnés, mobilier de cuir et bois sombres, luminaires en bronze, coussins de velours colorés…. Les chambres et les salles de bains sont cohérentes avec le reste de l’établissement: le sens du détail et la rigueur y sont rois. Surprise sur le gâteau: le toit terrasse possède une des plus belles vues de New York ;
Hotel on Rivington: le jeu de la transparence
Le design résolument contemporain de l’Hotel on Rivington est une première pour le Lower East Side, un quartier de Manhattan jusqu’ici un peu en marge. On peut dire que cette tour de verre vert de 21 étages contraste clairement avec les maisons basses du quartier. Les fenêtres sur toute la hauteur des chambres offrent une vue impressionnante sur la ville, même depuis la douche. Cet hôtel-boutique avant-gardiste se distingue par ses immenses canapés de velours et son linge Frette… mais encore plus par ses salles de bain avec mosaïques italiennes, plancher chauffant et bain japonais pour deux. Les chambres disposent d’ingénieux mécanismes comme le réveil téléphonique synchronisé avec l’ouverture électronique des rideaux.
Dream: surréaliste
Lieu de rencontre du gratin de la mode et de la mouvance New Age, le hall de cet hôtel rappelle l’univers de Freud, avec des fauteuils en cuir et une vitrine où sont exposés un corbeau empaillé et ce qui ressemble à d’anciens instruments médicaux. Le bar s’appelle d’ailleurs « Subconscious ». Si la déco des espaces publics est hyper branchée au point d’avoir un petit côté provocant, l’ambiance sereine des 228 chambres est tout à fait propice au sommeil: blanches couettes légères et peignoirs en chenille, éclairage bleu apaisant, télés à écran plasma géant, et même iPod (avec musique judicieusement choisie) qu’on peut emprunter à la réception. Les commodités ont été choisies selon les principes ayurvédiques du gourou Deepak Chopra, dont le centre de mieux-être holistique de 372 mètres carrés ouvrira à l’hôtel en janvier prochain.
Bryant Park Hotel : fashion fashion
Logé dans le magnifique American radiator Building construit en 1930, cet hôtel de luxe au luxe minimaliste est situé en plein cœur de la ville. Il offre d’ailleurs des vues surprenantes sur son fier voisin l’Empire State building, et surplombe Bryant Park et la très classique Public Library (bibliothèque publique). Rendez-vous de la mode, surtout à l’époque des défilés qui se tiennent à sa porte sous les tentes de Bryant Park, l’hôtel a été fraîchement rénové. Le cuir rouge flamboyant domine les espaces publics. Le mobilier est signé B&B Italia. Les chambres sont spacieuses et les lits sont recouverts de couvertures tibétaines. L’hôtel dispose d’un salon, offrant une superbe vue sur Bryant Park. Au sous-sol, le ” Cellar Bar ” est un lieu exquis pour les gens ” branchés ” où un DJ mixe en direct pour les célébrités.
Pratique
Hudson
356 West 58 Street
New York, NY 10019
Réservations : + 1 800 444 4786
Tél : + 1 212 554 6000
Prix à partir de 330 dollars
Royalton
44 West 44 Street
New York , NY 10036
Réservations : + 1 800 635 9013
Tél : + 1 212 869 44 00
Prix à partir de 300 dollars
Soho Grand
310 West Broadway at Grand Street
New York, New York 10013
Tél : + 212 965 3000
Prix à partir de 270 dollars
TriBeCa Grand
Two Avenue of the Americas
New York, New York 10013
Tél : + 212 519 6600
Prix à partir de 350 dollars
60 Thompson
60 Thompson Street
New York, NY 10012
Tél : + 1 212 431 0400
Prix à partir de 300 dollars
Hotel on Rivington
07 Rivington Street
New York, NY 10002
Tél : + 1 212 475 2600
Prix à partir de 200 dollars
Dream
224 W 55th St
New York, NY 10019
Tél : + 212 247 2000
Prix à partir de 200 dollars
Bryant Park Hotel
40 W 40TH Street
New York, NY 10018
Tél:+ 1 212 869.0100
Prix à partir de 450 dollars
Patiner à Central Park
Wollman Rink in Central Park
Niché dans les rochers et les collines de Central Park, avec les grate-ciels pour arrière-plan, le Wollman Rink est la patinoire la plus célèbre de Manhattan. Ouverte d’octobre à avril, elles accueille des milliers des patineurs chaque jour.
C’est un don de la famille Wollman qui permit, dans les années 1950, de construire la patinoire et de remplacer les sorties aventureuses sur les plans d’eau gelés du parc.
Prix: Adultes: $8.50-$11; enfants de moins de 12 ans: $4.25-$4.50; seniors: $4.25-$7.50. Location de patins: $ 4.75.
Où: A Central Park, au niveau de la 65ème rue. Tel: 212-439-6900
Horaires. Lundi-mardi: 10am-2:30pm; Mercredi-jeudi: 10am-10pm; Vendredi-samedi: 10am-11pm; Dimanche: 10am-9pm.
Lasker Rink in Central Park
Plus abordable et nettement moins encombrée, la patinoire municipale Laser Rink située tout au nord du parc est une piscine en été. La piste est immense (deux terrains de hockey y tiennent).
Prix: $4,50 par adulte, $2,25 par enfant de moins de 12 ans. Location: $ 4,75.
Où: Au niveau de la 106ème rue. Tel: (917) 492-3857.
Horaires: Lundi au jeudi de 10am à 3h45pm; vendredi: 10am-10pm; samedi: 1pm-10pm; dimanche: 12h30pm-4h30pm.
Je sue donc je m'aime
Transpirer et raffermir son corps ne sont plus suffisants; la féminité, la sensualité, la confiance en soi sont devenus les nouveaux credos des salles de gym. Les new-yorkaises, en raffolent. Trois exemples pour faire exploser son estime de soi.
Stiletto Strength
Apporter ses talons aiguilles pour se rendre à son cours d’aérobic préféré? C’est ce que proposent les salles de sports « Crunch ». Créée à la requête d’une cliente qui se plaignait de souffrir dans ses chaussures, la classe Stiletto Strength a été pensée pour muscler les jambes et corriger la posture.
Après 30 minutes d’intenses exercices cardio-vasculaires rythmés, pendant lesquels on sculpte les mollets, on renforce les chevilles, on muscle les cuisses et on travaille en profondeur la sangle abdominale pour permettre un meilleur maintien; le fun peut commencer. Les élèves
abandonnent leurs baskets, chaussent leurs talons hauts et déambulent dans le studio telles des mannequins professionnels. On leur apprend à marcher avec fierté et confiance et à pivoter gracieusement avec quelques centimètres en plus. Le cours se termine en ligne, avec jeux de jambes et de coups de pieds synchronisés. Un cours plein d’entrain qui fait du bien au moral.
Stiletto Strength dans les clubs de sports Crunch
Intensati
Développée par Patricia Moreno, Intensati est une classe de fitness qui combine yoga, danse et arts martiaux le tout en se répétant bien haut tout le bien qu’on pense de soi. On bouge son corps pour toucher son esprit. “Entraîne ton corps, discipline ton esprit et ouvre ton coeur” tel est le leitmotiv de Patricia.
Le jour où je l’ai rencontrée, elle avait choisi pour thème la beauté. Sur les miroirs, au rouge à lèvres, elle a écrit : “je suis belle” comme pour le graver dans l’esprit de ses étudiantes qui auraient tendance à se sous-estimer. La classe d’une heure s’est déroulée dans une atmosphère positive, dynamique et enthousiaste ; ses élèves répétant des affirmations ciblées telles: “je suis belle parce que je choisis de l’être”; “j’honore, je respecte, j’aime mon corps”…
Cette répétition combinée au travail physique semble réellement faire la différence. Patricia explique en effet que, “les pensées ont un pouvoir; toutes les pensées” d’où l’idée de les rendre positives le plus souvent possible.
Comme elle le fera remarquer en fin de classe, aucune des étudiantes n’a perdu ses quelques kilos en trop et pourtant, “toutes sont étincelantes, lumineuses et rayonnantes”. Puisqu’elle le dit…
Intensati dans les clubs de sports Equinox et aux studios de yoga: Yoga works
S Factor
La classe S Factor, imaginée par l’actrice Sheila Kelley pendant sa préparation pour son rôle de strippeuse dans le film “Dancing at the Blue Iguana”, est la plus sexy des nouvelles tendances de remise en forme. Pour se mettre d’entrée dans l’ambiance, le cours est réalisé dans un studio aux lumières très tamisées. Commence alors une succession de mouvements sensuels au sol et autour de poteaux.
Et pour cause: “Les femmes ne se rendent pas compte qu’elles font un travail physique jusqu’au moment où elles réalisent qu’elles n’ont jamais eu un aussi beau corps de toute leur vie” explique Sheila. Mais il s’agit aussi et surtout de deux heures d’enchaînements libérateurs vous donnant l’occasion de vous sentir bien dans votre peau et d’apprivoiser votre corps.
L’exercice qui associe yoga, pilates, danse et déhanchements suggestifs; muscle, raffermit, assouplit le corps et vient même ajouter quelques munitions à votre arme de séduction. Les courbes féminines sont mises à l’honneur avec S Factor. Le dénuement y est complètement optionnel. Quant à l’absence de miroirs, elle permet d’oublier sa propre image et de se laisser aller librement aux rythmes envoûtants de la musique. Le travail au poteau vous apprendra des positions très sensuelles comme la luciole, le serpent ou bien encore l’ange descendant. Tout un programme…
S Factor NYC 239W 23rd St
Tél: 1-212-989-8030
480$ les 8 classes de 2 heures
Soho essential
Bijouterie:
GirlProps: du faux qui brille. La référence du bijoux en toc.
153 Prince Street (entre West et Thomson) PLAN
Tel:212 505-7615
Dans un genre beaucoup plus sérieux, Belenky Brothers vend depuis six générations des bijoux de designers et sur-mesure. De 1500 à 500 000 dollars la bague de fiançaille.
151 Wooster St. (@ Houston St.) PLAN
Tel: 212-674-4242
Vêtements
La boutique exotic chic Vivienne Tam est une oasis de calme au coeur de l’agitation Sohoienne. Depuis ses débuts dans les années 1980, la créatrice n’a rien regné des ses inspirations asiatiques.
99 Greene Street (près de Spring) PLAN
Tel: 212-966-2398
Nanette Lepore excelle dans l’ultra-féminité, mais ses créations restent éminemment portables. Elle est une des coqueluches de Hollywood.
423 Broome Street (entre Crosby et Lafayette) PLAN
Tel: 212 219 8265
Design
Les boutiques de design ne manquent pas à Soho. Toutes luxueuses. Nuevo Melodromo est une exception. On y trouve des reproductions des grands classiques de la création internationale, de Mies Van Der Rohe à Saarinen ou LeCorbusier, à des prix très raisonnables.
60 Greene Street, près de Spring PLAN
212-219-0013
Murray Moss est un grand-prêtre du design. Sa boutique, Moss, tient autant du musée que du magasin.
146 Greene Street, près de Houston PLAN
Tel: 212-204-7100
Balade en boutiques
Le lèche-vitrines le plus cher du continent c’est, sans surprise, celui de la 5ème avenue et de Madison, à New York. Posséder une vitrine dans ce quartier est déjà tout un symbole, mais les marques font de plus en plus de folies pour sortir du lot et attirer les passants. Le résultat, ce sont des dizaines de magasins-vitrines, qui mettent en avant un mode de vie, une idée plus qu’un produit. Le principe des « concept-stores » est né à Paris, mais il a très vite pris à New York. Sur la 5ème avenue, presque toutes les boutiques sont impressionnantes, mais voici quelques étapes indispensables d’une visite à New York.
Sous le cube, le merveilleux monde de Mac
La ressemblance est frappante: une construction toute en verre en plein coeur de la ville, des escaliers en colimaçon qui donnent accès à un monde caché… Non, nous ne sommes pas à Paris devant la pyramide du Louvres, mais à New York, devant le magasin Mac le plus design du monde.
Un cube en verre de 10 mètres de haut et une célèbre pomme dessinée sur la façade… à l’étage inférieur, des dizaines d’ordinateurs et d’ipods en exposition : la Mecque de la technologie Mac.
On a envie de se découvrir un aficionado de la marque, rien que pour le plaisir d’entrer dans ce magasin à trois heures du matin et d’en ressortir avec un nouveau joujou ! Vente et conseils 24/24 tous les jours de l’année : une armée de 300 « Mac spécialistes » est à la disposition des clients derrière le « bar ». Et en cas d’insomnie, des DJ mixent dans le magasin tous les vendredis soirs à minuit…
767 5th Avenue, entre 58th et 59th Street PLAN
212-336-1440
[email protected]
La blancheur immaculée de Louis Vuitton
LV par Jun Aoki, l’architecte japonais qui a dessiné ses magasins de NY et de Tokyo. A l’extérieur, l’ancienne façade art déco a complètement disparu pour laisser place à une paroi de panneaux blancs, crémeux, plus ou moins translucides selon les fenêtres et l’heure de la journée… Dedans, un grand hall très clair, des étagères transparentes et des valises exposées comme des œuvres d’art. Tout le magasin est en fait une vitrine géante pour les produits de la marque. Vêtements et chaussures homme ou femme, foulards, montres et sacs, tout y est !
One E 57th Street PLAN
212-758-8877.
Le modèle est dans la boîte
A quelques mètres de l’élégance épurée des Louis Vuitton, Armani et autres Prada, Abercrombie & Fitch joue la carte de la provoc. Dès qu’on passe sur la 5ème avenue, on aperçoit la cause d’un attroupement de passants : il y a un mannequin dans l’entrée, torse nu, posant pour des photos avec les clients. L’intérieur d’Abercrombie & Fitch est aussi incroyable pour tous ceux qui ont dépassé l’adolescence. La musique est tellement forte qu’il faut crier pour se faire comprendre. Pas un seul rayon de lumière qui atteigne les rayons de polos ou de chemises à carreaux. Les employés sont tous jeunes et sexys… on dirait plus une boîte de nuit qu’un boutique de fringues.
750 5th avenue PLAN, 212-306-0936.
Impossible is nothing
Changeons de quartier, direction Noho-Soho. Un bâtiment de verre bleuté, aux courbes plutôt féminines, cache un univers en noir et blanc : le plus grand magasin Adidas de New York. Environ 9’000 mètres carrés de chaussures, ballons de basket et vêtements de sport aux trois bandes blanches, dont la collection dessinée par Stella McCartney. Allez, si ça ne vous suffit pas, vous pourrez même « customiser » votre paire de pompes ! Par contre, pas moyen de ressortir du magasin avec « sa » paire aux pieds : le processus de fabrication prend quatre semaines.
Pour les amateurs du swoosh, retour à la 5ème avenue, aux cinq étages du Nike Town.
Adidas Sport Performance Store, 610 Broadway PLAN 212-529-0081.
Nike Town, 6 E 57th street PLAN 212-891-6453.
Glaces et poupées
Bienvenue dans un monde où Spirou existe pour de vrai, où les boules de glace mesurent un mètre de diamètre et où un mammouth en peluche grandeur nature tient la garde. Ce monde, c’est celui de FAO Schwarz. Entre un magasin et un parc d’attraction, il propose trois étages de jeux, jouets et robes de princesse, un simulateur de vol, une cafétéria, un magasin de bonbons et j’en passe. La foule est impressionnante et les enfants doivent faire la queue pour tester les « patins sur moquette » et le piano géant… Mais si vous avez toujours voulu avoir une poupée sur mesure, c’est l’occasion : style et couleur de la coiffure à choix, tout comme la couleur de peau !
767 Fifth Avenue PLAN, 212-644-9400.
La route des vins New-Yorkais
N’en déplaise aux Californiens, New York State a longtemps été le premier producteur de vin des Etats-Unis (il est maintenant le deuxième). Bien sûr, la côte nord-est des Etats-Unis ne bénéficie pas du climat exceptionnel de la Napa Valley pour faire pousser un raisin gorgé de soleil et de sucre. Le temps ici est plus froid et plus humide, il n’empêche que l’on produit des millésimes primés dans les compétitions internationales. Le vin de New York est produit dans trois grandes régions viticoles: la vallée de l’Hudson, la région des lacs Finger, non loin des chutes du Niagara et surtout, Long Island, plus particulièrement la « North Fork », la partie nord de cette île de 190 kilomètres qui se termine en forme de pince de crabe.
VOIR: LA ROUTE DES VINS PRATIQUE
Long Island, le Bordelais de New York
Les vignerons de Long Island aiment à signaler que leurs vignes sont situées sur une latitude identique à celle des vignobles bordelais, même si en réalité, elles se trouvent un peu plus au sud. L’île bénéficie parait-il d’un microclimat, ce qui en fait la région la plus ensoleillée de l’Etat de New York. Ces différents facteurs qui déterminent le terroir ont motivé les producteurs à se spécialiser dans le Merlot, une grappe originaire du sud-ouest de la France. Mais on trouve aussi sur Long Island une vingtaine d’autres variétés, pour la plupart importées d’Europe comme le Cabernet Sauvignon ou le Cabernet Franc, le Chardonnay, le Pinot noir, de très bons Sauvignons blancs et du Riesling. La liste des vins new-yorkais comprend aussi quelques variétés “hybrides” franco-américaines comme le Baco noir, le Vidal blanc, la Traminette ou le Maréchal Foch. Enfin, quelques grappes “natives” comme le Niagara ou le Concord poussent encore sur cet ancien territoire indien.
New World expérience
Il y a aujourd’hui 165 vignobles dans l’Etat de New York. Ils produisent tous ensemble 200 millions de bouteilles par an. Les vingt-cinq “maisons” de la North Fork s’égrènent le long de la route 25, littéralement LA route des vins de Long Island. A partir d’ici, il est conseillé de laisser son expérience européenne au vestiaire et de se préparer psychologiquement à une aventure totalement américaine. Long Island, ce n’est pas le Bordelais ni la Toscane, et les “châteaux” de la région ressemblent davantage à des saloons qu’à de belles demeures en pierre de taille. Les “winemakers”, l’équivalent de nos maîtres de chais, sont bien souvent des Français en quête d’innovation. “Les vins de New York ne sont pas moins bons ni meilleurs que les vins européens, ils sont simplement différents. Mon plaisir est de créer de nouvelles saveurs à partir de variétés connues. Cette part de création n’est pas possible en Europe où l’on doit se conformer à des modèles établis,” explique Gilles Martin, “winemaker” chez Martha Clara. Les vins rouges de Long Island sont donc plus fruités et ont moins de tanin que les vins français par exemple. Les blancs sont plus secs et plus acides, parfaits pour se marier avec le plat typique de la région, les fruits de mer. Mention spéciale pour le vin de glace, particulièrement celui de la famille Macary, réalisé avec des grappes qui ont gelé avant la récolte, plus doux et plus sucré encore que notre Sauterne. “Il faut replacer les choses dans leur contexte. Les Américains aiment les vins plus fruités, avec des saveurs plus marquées que les Européens,” affirme Robert Ransom, propriétaire de deux bars à vin spécialisés en vins de New York.
Une journée complète est nécessaire si l’on veut prendre le temps de flâner dans les vignobles de la North Fork. Greenport, au bout de la route 25, est une bonne destination pour passer la nuit avant de s’attaquer à la South Fork. Un bac relie Greenport à Sag Harbor, de l’autre côte de la baie. La South Fork, plus connue sous le nom “The Hamptons”, ne comprend que trois vignobles, mais ses plages bordées de maisons de stars et de millionnaires valent le détour. Après vous être rafraîchis au vent du large, vous pourrez refermer la boucle en descendant la route 27 jusqu’à Riverhead puis rejoindre New York City par la voie rapide. Si la nuit est tombée, vous bénéficierez alors d’une vue imprenable sur le rideau de lumière pointilliste qu’offrent les gratte-ciels illuminés.
Tous les vins new-yorkais en un espace
Pas de panique toutefois si vous voulez aussi vous familiariser avec les vins de la vallée de l’Hudson et des Lacs Fingers, ou si vous avez une hésitation sur un assortiment vin mets. Il existe à New York deux “wines bars” spécialisés qui proposent pas moins de 225 crus du terroir. Le premier magasin Vintage a été ouvert par Robert Ransom en 2000 dans le quartier animé de Soho. Fort de son succès, il a ouvert un second établissement dans le quartier hautement résidentiel du Upper West Side. Dans une ambiance moderne et raffinée, vous pourrez tester cinq vins pour 5 dollars.
LES VINS DE NEW YORK PRATIQUE
[pratique<-]
Y aller :
En voiture:
De Manhattan, allez à Queens et, de là, prenez la 495 East (Long Island Expressway) jusqu'au bout. La dernière sortie (la 73) vous amène naturellement à la 58, qui se transforme en 25. C'est autour de cette route 25 et de sa parallèle nord, la 48, que se concentrent tous les vignobles de la région qui s'appelle North Fork. Pour aller sur la South Fork, prendre le north ferry (5 minutes) a Greenport, traverser la Shelter Island, puis prendre le south ferry (5 minutes) vers Sag Harbor.
En train:
Depuis Manhattan, prendre le Long Island City Line à Penn Station. Descendre à Riverhead ou à Greenport (compter 2 heures 30 de trajet) et louer les services d'un tour opérateur comme Jo-Anne Perry qui connait le coin comme sa poche.
Vintage Tours
Jo-Ann Perry
Peconic, NY
+ 1 631 7654689
www.northfork.com/tours
New York Wines & Grapes Foundation
350 Elm Street Penn Yan
New York 14527
USA
Tel:+1 315 536 7442
Fax: +1 315 536 0719
[email protected]
www.newyorkwines.org
Long Island Wine Council
PO Box 74 Peconic
NY 11958
USA
+ 1 631-477-84-93
[email protected]
www.liwines.com
Bonnes adresses :
MACARI vineyards
PO BOX 2
15O Bergen Avenue
Mattituck, NY1195
+ 1 631 –298 -0100
http://www.macariwines.com/
Martha Clara vineyards
6025 Sound Avenue
Riverhead, New York 11901
Tel : + 631 298 0075
Fax : + 631 298 5502
http://www.marthaclaravineyards.com/
À Manhattan
Vintage Soho
482 Broome Street
New York City 10013
+ 1 212 226 9463
Vintage Upper West Side
2492 Broadway & 93rd Street
New York City 10025
+ 1 212 721 9999
[email protected]
www.vintagenewyork.com
Se loger
Darolyn et Christopher Augusta ont un très beau Bed&Breakfast de 5 chambres dans le style “Farmhouse” a proximite de 7 vignobles importants de la North Fork.
Harvest Inn Bed & Breakfast
40300 Main Road
Peconic
New York 11958
+ 1 631 765 9412
www.harvestinnbandb.com
A Greenpport
Hotel & Spa The Greenporter
326 Front Street
Greenport, NY 11944
+1 631-477-0066
+ 1 631-477-2317
[email protected]
www.thegreenporter.com
Ski : Derniers week-ends de la saison
Ce n’est ni Val d’Isère ni Courchevel, ni une station à proprement parler, mais à moins de 200 km de New York, Hunter Mountain est l’endroit idéal pour une journée de ski. En arrivant au pied des pistes, on achète un forfait et loue skis ou snowboard au même endroit.
Actuellement, la plupart des pistes sont ouvertes et la neige, bien qu’en grande partie artificielle, reste agréable à skier (le site de la station indique l’enneigement et l’étendue du domaine skiable ouvert). Les nombreuses pistes bleues se descendent assez rapidement. Et les quelques pistes noires, hormis le mur de bosses, font plus penser aux pistes rouges des Alpes.
Mais la fin de saison et la faible fréquentation permettent d’éviter l’attente aux télésièges et de profiter de leur ouverture jusqu’à 17 heures. Hunter Mountain convient particulièrement aux surfeurs débutants avec ses pistes larges en pente douce et son petit snow park. Les bons skieurs ne s’ennuieront pas pour autant s’ils y restent deux jours.
Et après la fermeture des remontées, l’hôtel en bas des pistes, The Kaatskill Mountain Club, dispose à l’extérieur d’une piscine chauffée et de deux jacuzzis, idéals pour éviter les courbatures, et ouverts jusqu’à la tombée de la nuit.
Hunter Mountain, NY
Ouvert 7-8 avril et 14-15 avril
– Y aller : George Washington bridge puis North 287 – 2h30
– Prix : remontée journée : 50$ – avec location de ski : 90$
– Bus : excursion d’une journée, transport + forfait+ location : 86$ . Départ 7h – retour 19h.
– Informations : Temps, enneigement, domaine ouvert
– Conseil : prévoir un pique-nique, la cafétéria ne propose pas grand-chose d’autre que des hamburgers
Pour un week-end, hors de l’état de New York :
Stratton, VT
station coquette équivalent à une station française de taille moyenne, vaste domaine skiable avec des pistes variées
Ouvert 7-8 avril
– Y aller : prendre I-87 North – 4h
– Prix : forfait journée 75$ – ski et chaussures : 33$
Propose des « hot deals » hôtel + forfait
Guide du ski à New York (liste des stations, excursions,…)
Associations françaises de New York
Une cinquantaine d’associations françaises (ou francophones) sont actives à des degrès divers à New York et dans la région.
La plupart des associations listées ici sont regroupées au sein du Comité des Associations françaises., qui co-organise notamment chaque année le bal du 14 juillet.
Associations régionales
Associations professionnelles
Associations religieuses
Associations culturelles
Associations militaires
Social/solidarité et Divers
ASSOCIATIONS REGIONALES [#associations régionales<-]
Association Corse des Etats Unis
c/o Richard Ortoli,
Rubin, Bailin, Ortoli, 405 Park Ave
New York, NY 10022-4405
email: [email protected]
tél: 212 935 0900
Association Provence Méditerranée
300 E 40 St
New York, NY 10016
email: [email protected]
tél: 212 949 0095
Club Normandie- Amérique / Souvenir Normand
229 E 79 St
New York, NY 10021
tél: 212 737 8503
Union Alsacienne
16 forest street apt.402
MONCLAIR, NJ 07042
email: [email protected]
tél: 973-744-3908
Le Stade Breton
311 W 51 St
New York, NY 10019
email: [email protected]
tél: 212 265 0190
contact: Jean Pierre Touchard
Les Lyonnais de New York
c/o Quint Amasis, LLC
New York, NY 10010
email: [email protected]
tél: 212. 839.0530
contact: Victoria Dellinger
BZH New York
Association of Bretons and friends of Britanny in the New York area
email: [email protected]
Associations professionnelles [#Associations professionnelles<-]
French-American Chamber of Commerce – New York Chapter
122 East 42nd Street
Suite 2015
New York, NY 10168
email: [email protected]
tél: 212-867-0123
Amis des Grandes Ecoles
64 East 86th St.
Apt. 9-D
New York, NY 10028
email: [email protected]
contact: Anne de Louvigny Stone
Académie Culinaire de France
540 Hoagerburgh Rd.
Wallkill, NY 12589
email: [email protected]
tél: 401 598 1130
contact: Jean-Jacques Dietrich
American Association of French Speaking Health Professionals
54 W 16th St, 4F
New York, NY 10011
email: [email protected]
tél: 212.989.1519
contact: Dr. Micheline Dugué
Association des Maitres Cuisiniers de France
c/o Olica 145 E 50 St
New York, NY 10022
web: www.maitrescuisiniersdefrance.com
email: [email protected]
tél: 212 572 3419
contact: Jean Yves Piquet
Association des Français fonctionnaires internationaux de New York
338 E 30 APT 1
NY, NY, 10016
New York, NY 10044
email: [email protected]
tél: 917 367 20 45
contact: Geoffroy POIRE
Barreau des Avocats et Notaires Franco Americains
1674 Broadway, Suite 502
New York, NY 10019
email: [email protected]
tél: 212 246 7766
contact: Me Claude-Henri Kleefield
Club des Jeunes Financiers – NY
284 Mott St, Apt 7E
New York, NY 10012
email: [email protected]
tél: 212.805.1308
contact: Stephane Bonnet
Commanderie des Cordons Bleus de France
455 East Allen Street
Hudson, NY 12534
email: [email protected]
tél: 917-566-1884
contact: Luc Pasquier
Ordre des Compagnons du Beaujolais – Devoir de New york
135 Watts Street
New York, NY 10013
email: [email protected]
contact: Jacques Capsouto
Société Culinaire Philantropique
305 East 47th Street – Suite 11B
New York, NY 10017
email: [email protected]
tél: 212 308 0628
contact: Jean-claude Blazy
Societé des Ingénieurs et Scientifiques de France
68-21 150 Street
Flushing, NY 11367
email: [email protected]
tél: 718 544 6929
contact: Roxane Sirotto
Société des Professeurs Français et Francophones d’Amérique
FDR Station
Po Box 6026
New York, NY 10150
email: [email protected]
tél: 718-951-5313
contact: Clément M’Bom
Vatel Club, Inc.
51 Mac Dougal St PBM 369
New York, NY 10012
email: [email protected]
tél: 201 854 3416
contact: Alain Eigenmann
Associations religieuses [#religieuses<-]
Aumonerie Catholique de Manhattan
14 E 77 St, #2
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212.935.0619
contact: Valerie Meijer
Aumonerie Catholique du Westchester
596 The Parkway
Mamaroneck, NY 10543
tél: 917 777 1806
contact: Veronique Cesbron-Lavau
Centre Communautaire Juif Francophone de New York
353 KINGSTON AVE
Brooklyn, NY 11213
email: [email protected]
tél: 212 202 1448
contact: Mikhael & Esther Cohen
The Huguenot Society of America
122 East 58th Street
New York, NY 10022
tél: 212-755-0592
contact: F.H. Fabend
Associations culturelles [#culturelles<-]
French Institute Alliance Française
22 East 60 St (between Park Ave & Madison)
New York, NY 10022
email: [email protected]
tél: 212 355 6100
French American Foundation
28 W 44th Stret Suite 1420
New York, NY 10036
email: [email protected]
tél: 212.829.8800
The French-American Conservatory of Music
Carnegie Hall
154 West 57th Street, Suite 136
New York, NY 10019
tél: 212 246 7378
contact: Anne Frothingtham Cross
Association Culturelle Francophone
c/o Françoise Cestac
400 East 56th Street, Apt. 12H
New York, NY 10022-4147
email: [email protected]
tél: 212 888-0003
contact: Francoise Cestac
Militaires et anciens combattants [#militaires<-]
Association des Cadres de Réserve Français aux EU
c/o Mercantile Capital Partners
535 Madison Avenue
3rd Floor
New York, NY 10022
email: [email protected]
tél: 212 593 7383
contact: COL (R) Antoine Treuille
Le Souvenir Français
18 E 41 St, #401
New York, NY 10016
email: [email protected]
tél: 212 213 0812
contact: Mathieu Petitjean
Fédération des Anciens Combattants Français
18 E 41 St, #401
New York, NY 10017
email: [email protected]
tél: 212 213 0812
contact: André Ferrara
Social/Solidarité et Divers [#social<-]
AALFNY – Alumni Association of the Lycée Français de New York, Inc.
1382 Third Avenue, No. 338
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212.289.8891
contact: Alessandra Gagliardi
Accueil New York
934 Fifth Ave
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212 717-9570
contact: Michele Altier
Westchester Accueil
111 Larchmont Av
Larchmont, NY 10538
email: [email protected]
tél: 914 834 1085
contact: Catherine Laleuf
Association Démocratique des Français a l’Etranger-Francais du Monde
P.O. Box 331
Larchmont, NY 10538
email: [email protected]
tél: 718 535 6103
contact: Marie-Helene Benzine
Association des Parents d’Elèves du Lyçée Français
505 East 75th Street
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212 452 4718
contact: Antoinette Fleisch
Club Chevalier
926 Summit Av
Westfield, NJ 07090
email: [email protected]
tél: 908 233 2383
contact: Armand Cosquer
Club Jeunes France Amérique
232 East 81st Street, Apt 5A
New York, NY 10028
email: [email protected]
tél: 646.339.2056
Comité du Souvenir de Lafayette
176 E 77 St
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212 249 2875
contact: Dr Pierre Van Bockstaele
Conseil National des Femmes Françaises
220 E 72 St
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 212 879 4019
contact: Marie therese Maurice
Entraide Française INC.
40 E 78th Street
New York, NY 10021
contact: Nicole Moulin
F.R.A.N.C.E
5 Fair Meadow Dr
Brewster, NY 10509
email: [email protected]
tél: 845 279 4935
contact: Joelle Mahoney
France Etats Unis
222 Central Park South
New York, NY 10019
email: [email protected]
tél: 212 397 3937
contact: Jean Perrette
France-Clemente Amitié Cosmopolite
FLCAC
71 West 23rd Street Box#A3
New York, NY 10010
email: [email protected]
tél: 212 679 6632
contact: Jean-Paul NEDELEC
French American Aid for Children, Inc.
117 West 58th Street, Suite LL
New York, NY 10019
web: www.aidforchildren.org
email: [email protected]
tél: 212 486-9593
contact: Marguerite Mangin
French Heritage Society
351 East 84th Street, 22 B
New York, ny 10038
email: [email protected]
tél: 212.861.9683
contact: Laura Meadows Taggart
Heart’s Home USA
1544 Shakespeare Avenue
Bronx, NY 10452
email: [email protected]
tél: (718)901-1276
contact: Aude M. Rey
L’Atlantide
email: [email protected]
contact: [email protected]
L’Avenir, Inc.
Franklin D. Roosevelt Station
P.O. Box 972
New York, NY 100150-0972
email: [email protected]
tél: 212 799 0363
contact: Pierre Despaux
Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Anti-Semitisme
Lenox Hill Station
PO BOX 126
New York, NY 10021
email: [email protected]
tél: 646.220.6581
contact: Martine Trink Rubenstein
OM New York.com
Le site officiel des supporters de l’Olympic de Marseille à New York. e-mail: [email protected]
Société Mutuelle de la Communauté Française
561 Soundview Av
Bronx, NY 10473
email: [email protected]
tél: 718 353 2514
contact: Lucie Elio
Union des Français de l’Etranger, Section New York
48 West 55th Street
New York, NY 10019
email: [email protected]
tél: 212 247 4500
contact: Pierre Cournot
Ouvrir un compte bancaire
Si vous avez un N°de Social Security, c’est simplissime. La banque vous demandera en outre :
-passeport avec le visa, ou votre carte verte si vous en avez une.
-justificatif de domicile (pas toujours)
et la démarche ne prendra pas plus de 20 mns. Avoir un N° de Social Security permet même dans le plupart des banques d’ouvrir un compte online.
Si vous n’avez pas de Social Security, les choses se compliquent un peu, mais il est néanmoins tout à fait possible d’ouvrir un compte. Les exigences varient d’un établissement à l’autre, mais toutes demanderont :
-2 documents d’identité (ID’s), généralement avec photo. En général, les deux documents peuvent être étrangers (votre passeport plus permis de conduire étranger, par exemple). Le certificat de naissance est parfois accepté, mais pas toujours car il n’a pas de photo.
-une une preuve de résidence (facture de téléphone, de gas, d’électricité ou d’abonnement au cable)
En outre, beaucoup vous demanderont une preuve d’établissement dans la ville: contrat de travail, inscription dans une école… C’est le cas de HSBC ou Bank of America notamment.
L’une des banques les moins exigeantes est Chase. Comme les autres, elle demande deux documents d’identité : le premier doit être le passeport, mais le deuxième peut même être une carte de crédit ! Attention tout de même: parfois, des contrôles supplémentaires ont lieu et Chase vous rappelle pour vous demander aussi une preuve de domicile ou de travail. La Commerce Bank a également la réputation d’être plus accueillante que la moyenne.
En tant qu’étudiant (Columbia, New York University, …), il n’y a rien de plus simple que d’ouvrir un compte. A la rentrée, chaque banque tient un stand aux alentours de l’université. Elles proposent d’ouvrir un compte “maintenant, dans la rue”. Pour moi, ça s’est passé dans un taxi ! J’ai signé une série de documents assise dans un “cab” aux couleurs d’HSBC, pendant que le vice-président de la succursale prenait des photos de mon passeport avec son téléphone portable. En dix minutes, j’en suis sortie avec un chéquier, mon numero de compte et le cadeau de bienvenue de ma nouvelle banque: de la lessive!
Voir: Quelle banque choisir?