Plus d’une demi-heure passée à parler avec Christophe Le Lannou ne suffit pas à faire le tour du personnage. Car cet entrepreneur quinqua, qui vit à Londres depuis plus de vingt-cinq ans, regorge de passions, et multiplie donc les activités quotidiennes. Son métier à lui seul révèle bien cet éclectisme. Car ce diplômé de Polytechnique et des Mines ne s’est pas arrêté aux mathématiques. Il s’est pris de passion ensuite pour le business, le commerce, l’écologie ou encore l’humain. Et pour conclure ce portrait d’un entrepreneur différent, ajoutons qu’il place sa vie personnelle à un très haut niveau de priorité dans son quotidien. Ses deux enfants ont aujourd’hui 25 et 23 ans. Et lui profite, de plus en plus et de mieux en mieux, de la vie – entre autre culturelle – que lui offre la ville de Londres.
Mais Christophe est avant tout le fondateur et le président de Data Learning, créée en 2014 dans la capitale anglaise et qui conseille des entreprises, principalement anglaises et françaises, dans leur stratégie digitale. Elle fait appel, pour ce faire, à un réseau d’experts-consultants tous indépendants. Ce qui lui permet d’offrir un service sur mesure à chacun de ses clients. La formule marche bien mais ce mathématicien, cet homme du chiffre, peine à en annoncer quand on entre dans le détail de la profitabilité de son entreprise. Tout juste fait-il état, dans un murmure, d’une croissance à deux chiffres. À l’évidence un succès pour cet homme de 51 ans qui, tous les jours de sa vie, se forme encore. Pour n’avoir pas appris ce métier à l’école. Il y a trente ans, la Data n’existait pas.
Il faut avoir de l’endurance pour suivre Étienne Wiik dans les rues de New York. En l’espace d’une quarantaine de minutes, l’entrepreneur nous emmène au pas de course voir trois de ses cafés, Ground Central Coffee, concentrés dans le quartier de Midtown. Tout en répondant à nos questions, il salue des gens qu’il ne connaît pas sur son chemin, remercie une cliente qu’il croise dans la rue, prend quelques minutes pour expliquer à une employée comment réchauffer un sandwich pour qu’il garde toute sa saveur…
« Je ne rêve pas de conduire une Ferrari, je veux juste prendre soin de ma famille et faire ce que j’aime. La plus grande richesse de mon parcours à New York, c’est la liberté. Personne ne me dit quoi faire. Je décide, j’échoue, je réussis… », dit-il en sortant de son nouvel établissement au 1166 6th Ave., au coin de la 45e rue.
D’Aubervilliers à NYC
Au total, le Français a ouvert neuf Ground Central Coffee, soit peu ou prou un par an en moyenne depuis la création de la marque en 2013. Un beau rythme de croisière pour l’homme d’affaires, arrivé à New York l’année d’avant pour suivre sa femme, employée d’une grande boîte d’informatique. « On est venu pour une semaine avant qu’elle ne demande sa mutation. Je suis tombé amoureux de la ville. Je veux mourir ici ! »
Peut-être est-ce parce que la Grosse Pomme, son dynamisme, son melting pot lui rappellent la terre de son enfance : Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) ? « Le béton fait partie de mon ADN. Je puise de l’énergie dans tout ça », lance-t-il en montrant les rues bourdonnantes de Midtown. « Il y a des gens que ça oppresse. Moi, ça me nourrit ».
À son arrivée aux États-Unis, il met d’abord son énergie au service d’un projet de création de terrains de foot à cinq et approche Thierry Henry, qui jouait à l’époque pour les New York Red Bulls. Quand l’aventure footballistique tourne court, il décide de se rabattre sur un business qu’il connaît: le café. En France, au sortir de HEC, Étienne Wiik avait monté une entreprise de services pour cafés et hôtels-restaurants.
Ville du café
Avec l’aide d’un associé, il ouvre le premier Ground Central sur la 52e rue, entre Lexington et la 3e avenue. « J’ai pris un local pour un loyer de 17 500 dollars par mois. Tout le monde pensait que j’étais fada. Quelques années plus tard, ce coffee shop faisait 1,8 million de dollars de revenus, se félicite-t-il. À New York, on boit trois à quatre fois plus de café qu’ailleurs dans le pays. Dans la rue, on voit toujours des gens se balader avec un gobelet dans la main. Certes, il y a énormément de compétition, mais cela veut aussi dire qu’il y a un marché énorme. »
Son ambition : proposer une alternative aux grandes chaînes comme Dunkin Donuts et Starbucks qui dominaient le paysage à l’époque. Pour se démarquer, il fait donc le pari d’établissements accueillants aux allures de lounges, avec sofas et fauteuils confortables et décoration individualisée – des fresques murales qui évoquent l’histoire et l’architecture du voisinage. Des livres sont aussi proposés à la vente sur des étagères.
Il prend l’adage « location, location, location » très au sérieux : presque tout ses commerces sont situés à Midtown, le quartier des affaires de Manhattan qui bénéficie d’un trafic piéton très important, synonyme de revenus volumineux. « Au début, j’ai envisagé d’ouvrir un café français à Bryant Park, mais je me suis rapidement dit que personne ne voulait d’un énième commerce comme ça. Ground Central, c’est le cadeau d’un ‘new New Yorker’ à la ville. »
Un 10e café à Grand central
Le passage de l’ouragan Covid, période qu’il a traversée en « faisant beaucoup d’économies, comme si j’étais en guerre », ne l’a pas freiné dans ses ambitions. Un dixième établissement est en cours de travaux en face de Grand Central. L’entrepreneur envisage également de monter sa propre torréfaction pour produire son café en interne et lancer une école pour baristas. « Nous sommes en processus de levée des fonds », glisse-t-il.
« Quand je suis arrivé aux États-Unis, j’ai convaincu mes interlocuteurs d’investir ou de miser sur des projets de développements grâce à mon approche humaine. En France, il aurait fallu que je fasse partie du sérail », reprend-t-il. Il s’arrête au carrefour de la Sixième avenue et de la 45e rue, à quelques pas de son nouveau café. « J’ai l’impression d’être devenu qui je devais être. Regarde autour de toi. On est au cœur du monde ! ».
Les Français ont les cloches, les Américains les lapins. Pourquoi les Américains fêtent-ils Pâques à grands renforts de ces mignonnes bé-bêtes ? C’est la Question bête de la semaine.
Selon Kevin Shortsleeve, professeur à l’université Christopher Newport, en Virginie et spécialiste de la littérature pour enfants, l’origine du lapin de Pâques remonte à l’Allemagne pré-chrétienne. Les Teutons (les Allemands de l’époque) vénéraient Ēoutre, déesse du printemps et de la fertilité. Une fête était célébrée tous les ans lors de l’équinoxe en mars. Le symbole de la déesse est… le lapin, connu pour son activité reproductive. Ēoutre donnera par ailleurs son nom à la fête de Pâques en anglais (Easter).
Quand la religion chrétienne est devenue dominante en Allemagne au XVe siècle, cette tradition s’est greffée aux coutumes païennes existantes et le symbole de fertilité a été associé aux œufs, représentant la renaissance de Jésus. Mais attention, à l’époque les œufs n’étaient pas en chocolat, mais décorés et placés dans des nids.
Pendant ce temps, de l’autre côté du Rhin, en France, c’est une autre légende qui prend forme. Les églises étaient tenues de garder le silence en signe de deuil les trois jours précédents la résurrection de Jésus. Pour répondre aux interrogations des enfants, apparemment troublés par ce silence, les parents leur disaient que les cloches étaient parties se faire bénir à Rome et que le trajet prenait du temps. Au fil des années, les cloches étaient censées ramener des cadeaux aux bambins pour fêter leur retour.
Comment les lapins allemands ont-ils franchi l’Atlantique ? Dès 1680 et jusque dans les années 1900, environ huit millions d’immigrés allemands se sont installés aux États-Unis, plus particulièrement en Pennsylvanie, pour profiter des opportunités économiques et de la liberté de culte du nouveau monde. Ils ont apporté avec eux différentes traditions, comme le sapin de Noël, les hot-dogs et les hamburgers – merci l’Allemagne !
Une immigration tellement importante que les Allemands constituent encore aujourd’hui, selon le recensement, le groupe ethnique le plus important avec 17% de la population qui revendique des origines allemandes, devant les Irlandais. Il ne fallut ensuite pas très longtemps pour que la magie américaine fasse son travail, les nids se transformèrent en paniers et les œufs furent remplacés par des friandises, du chocolat et des petits cadeaux.
Aujourd’hui, les églises organisent des offices spéciaux pour Pâques. La décoration des œufs se fait toujours, que ce soit sur de vrais œufs durs ou en plastique. Les œufs sont également utilisés dans des jeux, comme le « roulement des œufs », fêté jusqu’à la Maison blanche.
Une première version de cette Question bête a été publiée le 16 avril 2016.
Nos adresses 2023 où acheter des chocolats de Pâques :
Ça va swinguer à Miami. La société événementielle French & Famous organise sa traditionnelle Roaring 20’s Party annuelle, une soirée sur le thème des années folles, inspirée du célèbre long-métrage « Gatsby le Magnifique » avec un certain Leonardo DiCaprio, adapté du best-seller éponyme de l’écrivain américain Francis Scott Key Fitzgerald.
Les festivités se dérouleront le samedi 15 avril à partir de 8pm à l’hôtel Eden Roc de Miami Beach, au sein de la Pompeii Ballroom, une mythique salle de spectacle ayant accueilli des personnalités comme les crooners Frank Sinatra et Nat King Cole ou encore le chanteur new-yorkais engagé Harry Belafonte.
La robe de cocktail et le costume devront bien évidemment habiller les convives souhaitant se déhancher en solo ou en groupe au rythme effréné du charleston, l’une des danses les plus populaires de l’entre-deux-guerres. « Nous seront intransigeants sur le dress code », insiste Éric Even, le cofondateur de cette société événementielle qui, depuis plus d’une demi-décennie, créé de grandes soirées autour du lifestyle français.
Bernard Pivot débarque à la Brooklyn Technical High School (BTHS), du moins dans l’esprit. Le lycée de Fort Greene accueillera, samedi 1er avril, une dictée en français ouverte à plusieurs établissements publics de New York. Au total, près de quatre-vingt élèves issus de sept lycées (liste en encadré) participeront à cette première, organisée par la Société honoraire de français de « Brooklyn Tech ».
Un concours «typiquement français»
L’an dernier, ce club de lycéens suivant des cours de français avait monté un spelling bee, compétition où chaque concurrent épèle des mots plus ou moins compliqués jusqu’à ce qu’un vainqueur soit désigné, dans la langue de Molière. Il était réservé aux seuls élèves de BTHS.
Face au succès de l’initiative, les organisateurs ont voulu voir plus grand et différent. « Nous voulions que le concours final soit typiquement français », explique Pascale Midy, professeur de Français Langue Étrangère (FLE) au sein du lycée, considéré comme le plus important des États-Unis avec 6 000 inscrits. « On sent que nos jeunes, du moins, sont amusés par l’aspect logique de la dictée qu’on ne retrouve pas dans l’exercice américain du spelling bee par exemple ».
Les établissements ont choisi leurs compétiteurs sur la base du volontariat ou de leur niveau. Les douze élèves qui porteront les couleurs de Brooklyn Tech ont été sélectionnés, eux, à partir d’un spelling bee interne. Seul un d’entre eux est un locuteur natif. « Certains élèves de langue maternelle française n’ont pas été retenus. Écrire et parler la langue sont deux choses différentes », glisse Pascale Midy, qui fut économiste à la Banque Mondiale et la Banque interaméricaine de développement dans une autre vie.
S’amuser avant tout
Quatre niveaux de français seront représentés lors de la compétition. Les participants seront jugés sur la base d’un paragraphe du texte lu par Fabrice Jaumont, attaché éducatif à l’Ambassade de France aux États-Unis et animateur du podcast de French Morning, Révolution bilingue. Les copies seront corrigées par des enseignants sur place en une petite heure.
Que les autres soient prévenus : Brooklyn Tech, un établissement axé sur les sciences et la technologie, est gonflé à bloc pour cette compétition d’écriture. Les organisateurs – des jeunes Américains emmenés par Lucy Chen et Paul Semon, deux élèves passionnés de français – ne ménagent pas leurs efforts pour faire de l’événement une réussite. « C’est cette génération qui va porter le flambeau de la langue ».
D’autant que d’autres éditions sont déjà dans les cartons. L’ambition de Pascale Midy : attirer plus d’écoles l’an prochain et ajouter d’autres épreuves, comme une compétition de poésie. « L’idée, c’est de s’amuser, pas de punir les élèves. On ne redistribuera pas les copies corrigées ! »
Pâques sera le dimanche 9 avril cette année. Pour célébrer cette tradition, quoi de meilleur que lapins, poulettes ou oeufs en chocolat ? Voici notre sélection de boutiques où les trouver dans la Bay Area. Une liste non exhaustive, donc si vous n’y figurez pas, faites-vous connaître, écrivez-nous !
Lapins aux grandes oreilles, poules bien dodues ou œufs brillants…Les boulangeries-pâtisseries créées par Débora Ferrand à Menlo Park, Redwood City et Palo Alto proposent des moulages de Pâques tous confectionnés en chocolat Valrhona, lait ou noir pour les puristes…Le design est particulièrement réussi et les chocolats sont joliment présentés. On va se régaler. 816 Santa Cruz Ave, Menlo Park; 499 Lytton Ave, Palo Alto; 2401 Broadway, Redwood City. Site.
Cette année encore, les chocolatiers de chez One65, sous l’égide du chef étoilé Claude Le Tohic, se sont surpassés : ils proposent des créations en chocolat si artistiques qu’on hésiterait presque à les casser pour les manger. Oursons, lapins, œufs, en chocolat au lait ou blanc… tous ces moulages sont aussi beaux que bons. 165 O’Farrell St, San Francisco. Site.
En plus d’offrir des pâtés en croûte et des tourtes à l’agneau pour Pâques, l’épicerie fine de Nicolas Delaroque propose cette année des mignons petits lapins en guimauve recouverte de chocolat noir, blanc ou au lait. Les commandes sont conseillées, et à passer jusqu’au 30 mars. 710 Montgomery Street San Francisco. Site
Chocolate Covered
Les amateurs de chocolat connaissent bien cette boutique minuscule de Noe Valley qui recèle des trésors de gourmandise venus des quatre coins du globe. Moulages au chocolat noir ou au lait, lapins vegans, œufs de toutes les tailles et petites poulettes à croquer, l’échoppe déborde de friandises pour fêter Pâques. 4069 24th Street, San Francisco. Site.
Oeufs en chocolat peints à la main et remplis de surprises, lapins qui gambadent ou en voiture de sport, mini chocolats, ce chocolatier situé dans le quartier de Rincon Hill a de quoi ravir toutes les papilles. 535 Folsom street, San Francisco. Site.
Le petit magasin rose bonbon situé dans Hayes Valley a fait le plein de petits œufs en chocolat, lapins, bonbons pralinés, biscuits et bonbons acidulés. La bonne nouvelle, c’est qu’on peut trouver les mêmes petites douceurs pascales chez ses cousins du Ferry Building, de Larkspur, San Ramon et Oakland. 449 Octavia Street, San Francisco, CA 94102. Site.
Cette petite épicerie fine située à proximité de l’animation de 4th street recèle bien des trésors, et particulièrement au moment de Pâques. Oeufs colorés, poules chocolatées, coccinelles et lapins à croquer, il ne reste qu’à choisir… ou pas ! L’enseigne se trouve également dans le quartier de Rockridge à Oakland. 1786 Fourth St, Berkeley. Site.
Dans les enseignes World Market
Pour les nostalgiques des lapins et œufs en chocolat que l’on trouve en quantité dans les supermarchés français, direction les magasins de déco et d’alimentation Cost Plus World Market. À Daly City, Corte Madera ou Redwood City, cette enseigne propose des friandises importées d’Allemagne, principalement du chocolat au lait. On peut aussi acheter de jolies couronnes et plein d’autres accessoires pour décorer votre maison en tons pastels. 150 Serramonte Center, Daly City; 101 Clay St, Oakland; 2040 Redwood Hwy, Greenbrae. Site.
Dorénavant basé à Los Angeles, M83 est un groupe français de musique électronique formé à Antibes en 1999. À l’origine de M83, un duo mais après le départ de Nicolas Fromageau, Anthony Gonzalez est devenu le principal auteur-compositeur et chanteur. M83 a sorti huit albums dont « Hurry Up » et « We’re Dreaming », nominés aux Grammy Awards. Anthony Gonzalez enregistre principalement seul, avec de nombreux musiciens invités. Le groupe est surtout connu pour le single « Midnight City», sorti en 2011.
Pour 2023, M83 a prévu 28 dates de concert dans 25 villes différentes ! On retrouvera les musiciens à partir du lundi 10 avril 2023 à Phoenix, le mardi 11 avril à Albuquerque, du jeudi 12 au dimanche 16 avril au Texas (San Antonio, Austin, Houston et Dallas), le mardi 18 avril à Nashville, le mercredi 19 avril à Atlanta, le vendredi 21 avril à Philadelphia, le samedi 22 avril à Washington DC, le dimanche 23 avril à Boston, les mardi 25 et mercredi 26 avril à New York, le vendredi 28 avril à Montréal, le samedi 29 avril à Toronto, le dimanche 30 avril à Royal Oak (Michigan), le mardi 2 mai à Chicago, le mercredi 3 mai à Saint-Paul, le vendredi 5 mai à Denver, le samedi 6 mai à Ogden (Utah), le lundi 8 mai à Portland, le mardi 9 mai à Vancouver, le mercredi 10 et le jeudi 11 mai à Seattle, le samedi 13 mai à Pasadena, le dimanche 14 mai à Pasa Robles, le mardi 16 mai et le mercredi 17 mai à Oakland.
Le Printemps est là et, avec lui, sa fête emblématique : Pâques ! Et qui dit Pâques dit œufs, lapins, poules en chocolat et autres déclinaisons animales délicieusement régressives. Si ces créations envahissent généralement les vitrines des chocolatiers en France, New York n’est pas en reste. De nombreux artisans et professionnels de la gourmandise rivalisent d’imagination pour nous proposer leurs chocolats à l’occasion des festivités pascales. Voici notre sélection d’adresses pour aller chasser le meilleur des créations chocolatées made in NY. Une liste non exhaustive, donc si vous n’y figurez pas, faites-vous connaître, écrivez-nous !
Kreuther Handcrafts Chocolate
Le Trio Marshmallows @GabrielKreuther
Et si cette année, vous offriez des chocolats étoilés… Chef de son établissement éponyme, double étoilé au Michelin, Gabriel Kreuther est également à la tête d’une chocolaterie où il met son savoir-faire au service d’une expérience de dégustation haut de gamme. En collaboration avec le chef pâtissier Marc Aumont, l’Alsacien d’origine propose, via son site, des coffrets de bonbons fruités aux saveurs inédites, pêche melba, ananas-coco, citron vert (40$ les 12 bonbons), un coffret sélection spéciale Pâques (80$ les 24 pièces) ou encore ce Trio de marshmallows rigolos goût vanille, chocolat et carrot cake enrobés d’un chocolat noir fin (45$). À commander en ligne (livraison dans tout le pays ou à venir retirer au restaurant). Gabriel Kreuther, 41 W. 42nd Street, New York – 212-201-1985
Thierry Atlan
L’œuf géant aquarium. @ThierryAtlanNY
Plongez dans l’univers de Thierry Atlan avec une réalisation en chocolat hors du commun autour du thème de l’aquarium. Le chocolatier et son chef Antoine Tremblay ont façonné une impressionnante sculpture en chocolat qui sera en vitrine jusqu’au dimanche de Pâques. Pesant 20 kilos, cette œuvre de gourmandise (totalement comestible !) a nécessité pas moins de 20 heures de travail et sera mise aux enchères au profit de l’association The New York Women’s Foundation. Venez l’admirer et profitez-en pour choisir parmi les plus classiques sujets cacaotés : un lapin en chocolat noir au lait grand format (24$) ou une poule (17$). Également des poissons multicolores pour égayer vos paniers ! À commander en ligne et à venir chercher sur place. Pas d’envoi. Thierry Atlan Soho, 436 West Broadway, New York – (646).476.8149
Lysée
L’œuf de Pâques par Eunji Lee @Lysée
Bien connue des gourmets au bec sucré, cette pâtisserie épurée propose également sa version de l’œuf de Pâques pour les fêtes. Sa chef, la Coréenne Eunji Lee, passée par de grandes maisons parisiennes (Ze Kitchen Galerie, Le Meurice) a décidé de réinventer le classique œuf en le déclinant en trois pâtisseries à l’esthétique et au goût jamais vus : l’œuf blanc pistache-yuja (agrume asiatique, ndlr), le doré chocolat noir-riz et pécan et le marron au chocolat au lait-noisettes. 52$ les 3. Le prix de la Haute-Pâtisserie. Disponibles en magasin et pré-commandes sur le site pour un retrait entre les mercredi 5 et dimanche 9 avril. Lysée, 44 E 21ST St, New York.
L’Atelier du Chocolat
À Jersey City, l’Atelier du Chocolat du Français Eric Girerd, élu dans le Top 10 des chocolatiers d’Amérique du Nord il y a quelques années, régale toujours les gourmands du New Jersey avec ses créations originales. Optez pour le canard à 5,50$, l’œuf XXL et sa garniture à 48$ ou le plus classique lapin à 18$. Toutes les formes, toutes les tailles, tous les prix… Vous trouverez forcément votre bonheur. Vous pouvez vous rendre sur place ou commander en ligne en amont. L’Atelier du Chocolat, 251 Newark Avenue Jersey City – (201) 332-9220
Jacques Torres Chocolate
Le panier garni @JacquesTorresChocolates
« Adorables et délicieuses, vous ne voudrez pas cacher nos gourmandises de Pâques ». Pas de doute, Jacques Torres sait attiser notre curiosité et nous mettre l’eau à la bouche quand il vante ses créations chocolatées. Au menu : un lapin rigolo tout en sourire à 19$, un panier garni pour toute la famille à 116$ ou un coffret de bonbons chocolatés à 45$ pour régaler aussi les grands gourmets. Jacques Torres met les petits chocolats dans les grands quand il s’agit de Pâques ! À retrouver sur son site internet ou en boutiques. Dumbo, 66 Water Street Brooklyn – (718) 875-1269. Grand Central Terminal, 17 Grand Central Terminal – (929) 427-0988.
Michel Cluizel
Le Pirate en Chocolat @CluizelParis
Sortez des classiques et frottez vos papilles à des animaux chocolatés inédits avec Michel Cluizel : un panda aux deux chocolats, un lémurien garni ou un pingouin à 20$. Misez sur l’originalité cette année ou partez à l’abordage cacaoté avec l’œuf pirate à 35$. Également plus classiques sachets de minis œufs et de friture. Boutique en ligne. Et une boutique dans le New Jersey. Chocolat Michel Cluizel, 575 NJ-73 Bldg D, Suite 5, Berlin Twownship – (856) 486-9292
Chocolat Moderne
L’assortiment de 6 œufs @ChocolatModerne
« Art To Eat ». Sur son site, Joan Coukos, la fondatrice de Chocolat Moderne, annonce la couleur. Du design à la chocolaterie, il n’y a qu’un pas (et quelques fèves de cacao) que la créatrice a franchis avec brio depuis déjà 20 ans. Les artistes et les gourmets vont adorer customiser leur coffret d’œufs en chocolat. Disponibles par boîtes de 6, 9 ou 16 pièces ($69, $99, and $149, respectivement), ils sont également vendus à l’unité (13$) et sont aussi originaux dans leur esthétique que dans leur saveur : orange à l’amande, couleur corail à la noisette, jaune à la passion ou tacheté à la framboise… Et même une version vegan. À noter : pour la deuxième année consécutive, 10% des ventes seront reversés au World Central Kitchen qui vient en aide à la population ukrainienne. À retrouver dans la boutique de Chelsea ou en ligne jusqu’au dimanche 16 avril (qui correspond à la date de la fête orthodoxe). Chocolat Moderne, 27 West 20th Street, Suite 904, New York – (212).229.4797
Ladurée
L’œuf en chocolat au lait. @Ladurée
It’s aussi « Easter Time chez Ladurée » ! Fidèle à leur univers romantique pastel, la célèbre maison de pâtisserie de la rue Royale réinvente sa collection pascale autour de l’idée d’un jardin fleuri peuplé d’adorables lapins, d’œufs sérigraphiés et autres douceurs pralinées. Lapins trop mignons déclinés en 4 chocolats différents (15$),œufs en chocolat au lait ou noir, version Small ou Large (29$ et 41$), sachets de minis œufs à partir de 12$. Délicieusement poétique. A commander en ligne ou à aller chercher en boutique. Soho, 398 W Broadway – (646) 392-7868. Madison, 864 Madison Avenue – 626 558-3157
La Maison du Chocolat
Avec ses trois adresses à Manhattan, la Maison du Chocolat reste une valeur sûre en terme de créations traditionnelles pour honorer tout l’esprit de la fête de Pâques. Craquez pour le grand coffret à 200$ comprenant tous les favoris de la maison, ou la Bouchée en forme d’œuf au praliné de cacahuètes et fleur de sel à 24$. Pour les plus petits, le lapin Peek-a-boo à 45$ est à croquer ! Également disponible un coffret de petits œufs à la noisette à 70$. En ligne (livraisons gratuites à partir de 150$) ou en boutiques. Rockefeller Center : 30 W 49th St – (212) 265-9404. Upper East Side, 1018 Madison Avenue – (212) 744-7117. Columbus Circle, THE SHOPS AT 10 Columbus Circle – (718) 215-7058. Penn Station, 383 West 31st Unit 56
Épicerie Boulud
La boîte de 6 œufs @EpicerieBoulud
Le plus célèbre des chefs français aux Etats-Unis, Daniel Boulud, sait lui aussi faire plaisir aux petits et aux grands avec ses créations de Pâques. Six œufs en chocolat peints à la main présentés dans une jolie boite colorée, et des saveurs innovantes : café-cardamome, chocolat-framboise, praliné-noisettes, citron-noix de cajou. 65$ la boîte. Uniquement en commande via Goldbelly pour une livraison dans tout le pays.
Venchi
La franchise de « Chocogelateria » a aussi sorti sa collection de Pâques. Boites de minis œufs crémeux, poussins en chocolat au lait (12$), œufs mêlant chocolat noir et nougatine ou chocolat au lait et éclats de noisettes (15$) pour un côté encore plus décadent, il y en a pour tous les goûts ! En ligne ou en boutiques (liste complète sur le site)
Neuhaus
Impossible de boucler une liste de boutiques spécialisées sans citer la plus connue des marques belges, présente dans le monde entier depuis 1857. Une valeur sûre qui propose cette année toute une gamme d’œufs pralinés (leur spécialité) emballés dans des papiers de toutes les couleurs dans des contenants pastels de tous les formats. Assortiment Easter Cracker de 6 œufs à 14,90$, assortiment de 9 chocolats dans un lapin à 22,90$. En ligne et en boutiques (liste complète sur le site)
Les candidats à la présidentielle américaine de 2024 commencent à se faire connaître. Chez les républicains, Donald Trump a tenu son premier meeting de campagne le 25 mars au Texas et Nikki Haley s’est lancée dans la course le mois dernier; côté démocrate, Marianne Williamson est la première candidate officielle à l’investiture mais les Américains attendent toujours la décision de Joe Biden, le président sortant. Sa vice-présidente aussi : Kamala Harris sera, quoi qu’il arrive, sous le feu des projecteurs dans deux ans – voire avant en cas de pépin de santé de son boss –, soit en tant que VP, soit en tant que candidate, dauphine naturelle du président sortant. Mais qui est-elle vraiment ? Serait-elle prête pour le poste suprême ? Est-elle destinée à devenir la première femme de l’histoire des États-Unis à diriger le pays ou sa carrière s’arrêtera-t-elle aux portes de la vice-présidence ?
Alexis Buisson, journaliste de French Morning, a voulu en savoir plus sur cette personnalité politique, fille d’immigrés jamaïcain et indien, ancienne procureure de Californie et ex-sénatrice au Congrès américain, sur les personnes qui ont influencée sa carrière et sur l’impact qu’elle a aujourd’hui sur les Américains. Ses recherches l’ont mené à écrire un livre « Kamala Harris l’héritière », publié aux éditions L’Archipel et qu’il présentera à l’Alliance Française de Berkeley, le vendredi 7 avril à 6:30pm, lors d’une conversation avec Charlotte Attry, journaliste à French Morning. Une séance de signatures clôturera la rencontre.
La conversation se déroulera en français. Réservation ici (gratuit).
Le printemps est là et la fête de Pâques, qui aura lieu cette année le dimanche 9 avril, approche à grands pas. À Los Angeles, les vitrines de vos boulangeries et chocolateries préférées s’emplissent d’œufs, de lapins ou d’autres créations en chocolat plus inattendues. French Morning vous indique les adresses qui feront le bonheur des petits et des grands. Une liste non exhaustive, donc si vous n’y figurez pas, faites-vous connaître, écrivez-nous !
À Culver City, Milla Chocolates est une maison réputée pour ses créations aux motifs géométriques et ses grands cacaos de République Dominicaine, du Pérou ou du Venezuela. Pour Pâques, en plus de son assortiment de chocolats fins, la boutique propose des demi-œufs dorés fourrés d’un praliné noisette-framboise ainsi que ses fameux lapins en chocolat très graphiques. Ces bunnies cachent un cœur de praliné pistache fait maison. Ils sont vendus dans d’élégants coffrets cadeaux noirs qui se déclinent en plusieurs versions, de 25 à 115 $, avec un ou deux lapins, accompagnés d’orangettes, de douceurs au chocolat, d’un thermos à chocolat chaud… Un cadeau gourmand à offrir à Pâques. Ouvert du mardi au jeudi de 10 am à 5 pm, le vendredi de 10 am à 4 pm, le week-end de 10 am à 5 pm (fermé le lundi). Commande en écrivant à [email protected] ou par téléphone (310) 876-1021; 9414 Venice Blvd, Culver City
Entre tradition et modernité chez Valerie Confections
Dans sa nouvelle boutique de Glendale, Valerie Confections propose une farandole de créations chocolatées pour Pâques. Trois sortes d’œufs sont proposées dans de jolies boîtes à rubans : un œuf en chocolat doux-amer fourré de caramel liquide et décoré à la feuille d’or (40$ la boîte de 12); un œuf en chocolat blanc crémeux incrusté de framboises et de pétales de roses (18$ la boîte de 6); un œuf en chocolat au lait fourré d’une ganache crémeuse au chocolat noir (18$ la boîte de 6). De jolies tablettes en chocolat noir, au lait ou blanc (13$ chacune) ornées de moulages old-school de lapins vous replongeront en enfance. Côté modernité, la maison propose la boîte de truffes au chocolat Eat me, avec son topping rose inspiré d’Alice au pays des Merveilles (25$ la boîte de 9). Valerie Confections, 1936 W Glenoaks Blvd. Glendale – 213-739-8149
À l’approche de Pâques, les vitrines de Pitchoun, à Downtown et Beverly, débordent de springs treats : desserts, œufs et truffes en chocolat, friture, lapins, cookies… Des spécialités faites maison à partir de chocolat Valrhona. En chocolat noir, au lait ou blanc, l’œuf « signature » de 7 inches (23$) est décoré à la main de délicates fleurs de cerisiers et de papillons. Comptez 20$ pour un assortiment de 6 œufs en chocolat présentés dans une boîte à offrir (ou s’offrir). La maison vend aussi des sachets de friture (7$) et d’œufs en chocolat emballés à cacher dans le jardin (7$ les 10 ). Si vous êtes nombreux, vous opterez peut-être pour une boîte de truffes en chocolat d’½ lb (32$) ou d’1lb (54$). Celles-ci sont déclinées en trois versions : chocolat au lait praliné, chocolat noir grand marnier et chocolat blanc cointreau. Il est conseillé de passer votre commande à l’avance. Pitchoun Downtown 545 S Olive St. Los Angeles – 213.689.3240 [email protected]; Pitchoun Beverly 8500 Beverly Blvd. – #103 Los Angeles – 323.381.5328
Des escarpins en chocolat chez Sweet Lily Bakery
Chez Sweet Lily Bakery, les créations en chocolat sont réalisées par Thibaut Leymarie, propriétaire de l’enseigne avec sa compagne Marine Lefaucheur et pâtissier depuis 28 ans. Au terme d’un travail long et minutieux, ces pièces seront vendues à Pâques sous des cloches en verre façon « La Belle et la Bête » dans leurs boutiques d’Hollywood et de Culver City, ouverte récemment. Le couple proposera par ailleurs les escarpins en chocolat (25$) qui ont connu un grand succès l’année dernière. Sans oublier les oeufs en chocolat noir, au lait ou blanc remplis de friture (20$ les gros oeufs, 15$ les moyens), les lapins, les pâtisseries en forme de nids (8$) et les sacs de petits crustacés et poissons en chocolat (10$). Des gourmandises qui se vendent en un instant ! Commande possible via mailSweet Lily Cahuenga 3315 Cahuenga Blvd Los Angeles – 323.499.1888; Sweet Lily Culver City 9516 Culver Blvd, Culver City – 424.603.4064
Cette année encore, le chocolatier Compartés a réalisé de véritables bijoux en chocolat pour Pâques. Difficile de choisir parmi ces dizaines de trésors aux parfums recherchés, dont certains sont vegans ou gluten free. Lapins en chocolat dorés ou argentés, œufs fourrés au peanut butter, panier géant en chocolat rempli d’un assortiment de gourmandises, déclinaisons de boîtes de truffes en chocolat de tous genres… À quelques jours de Pâques, le choix est vaste dans sa boutique très chic de West Adams. Les commandes sont également possibles en ligne. Compartés Chocolatier, 5735 West Adams Blvd Los Angeles.
Chez Ladurée, à Beverly Hills, Pâques rime avec finesse et tradition. Lapins, œufs et macarons sont présentés dans de jolies boîtes aux allures printanières. Avec ses longues oreilles dressées sur la tête, « Lala » le lapin s’habille en chocolat noir, au lait, blanc ou teinté de rose (15$). Gravés d’une couronne de fleurs, les gros oeufs en chocolat, noir ou au lait, existent en deux tailles, small (29$) ou large (41$) et renferment des chocolats Ladurée. La maison propose aussi des boîtes de 20 petits œufs fourrés, des sachets de chocolats maison et des œufs emballés. Sans oublier ses fameux macarons, disponibles dans des boîtes de 8 (30$) ou de 18 (67$). La spécialité du chef Julien Alvarez ? Un « coated » macaron tout chocolat enrobé de cacao indonésien. Certaines créations sont disponibles à la livraison – commander en ligne. Ladurée, 311 N Beverly Drive Beverly Hills – (310) 623-1100.
Organisée par le Consulat Général de France à Los Angeles et la Paris Saint-Germain Academy LA, « La Journée Olympique et Paralympique 2023 » célèbrera, le samedi 8 avril à l’International School of Los Angeles, le sport dans tous ses états… et la nomination de Paris comme ville hôte des prochains Jeux Olympiques de 2024.
Toute la journée, de 10am à 7pm, le public est invité à participer à des ateliers autour du sport, particulièrement du basketball et sa version fauteuil, du football et sa version cécifoot pratiquée par des athlètes déficients visuels, et aussi du volley-ball, de la danse et même de l’e-gaming.
La Journée Olympique à Los Angeles
Pour animer la journée, les organisateurs ont réuni la crème de la crème des athlètes, avec entre autres, les Français Emilie Gomis, médaillée olympique en 2012, le spécialiste du triple saut Cheikh Touré, double médaillé aux Jeux Olympiques, et Joël Bouraïma, coach des stars. Des professionnels de l’e-gaming viendront également partager leurs expériences et connaissances.
L’événement fera également rencontrer tout un panel d’experts, des pros du fitness à la production de films et du cinéma d’animation, des compositeurs et paroliers en musique, des danseurs et directeurs artistiques. Une somme de talents pour célébrer la créativité et l’esprit d’équipe, avec musique et bonnes cuisines au rendez-vous.
Chaque collection présente 10 artistes contemporains et 10 marques choisies dans 10 catégories différentes (design, beauté, parfums, maison…) pour une période de 10 semaines. C’est le concept original de Maison 10, une galerie concept-store au cœur de NoMad et une plateforme ayant pour principe de base le consumérisme éthique. Chaque client peut en effet choisir, parmi 10 organisations de bienfaisance, celle qui va recevoir un don à hauteur de 10% de son achat.
Un concept qui a séduit G & O Art. L’agence d’artistes, créée il y a 23 ans par Odile Gorse et son mari Ghenadie Burlacu, aime trouver des lieux insolites pour exposer des œuvres d’artistes contemporains d’horizons divers et « provoquer des coups de cœurs ». G & O Art a notamment collaboré avec l’Ambassade et le Consulat de France aux États-Unis, le FIAF, l’agence « Parks & Recreations » de la ville de New York ou encore les Nations Unies.
G & O Art et Maison 10 collaborent donc ensemble sur la collection NOUVELLE VAGUE exposée jusqu’au samedi 15 avril. Les prix des œuvres commencent à un peu moins de 1500 dollars. Sur la dizaine d’artistes présentés, trois le sont par l’agence d’Odile Gorse et de Ghenadie Burlacu : la sculptrice Olivia de Saint Luc, le peintre Paul Boulitreau et le photographe David Arky. Et parmi les marques présentes, celle, française, de cosmétiques Carlina.