Rendez-vous à Brooklyn, en bordure de l’East river, face à Liberty Island dans le quartier de Red Hook pour notre défiFamily Way du mois. L’accès le plus simple se fait par voie d’eau (en utilisant le Ikea waterway ferry ou le NYC ferry). Mais rassurez-vous si vous avez le mal de mer, des bus sont aussi disponibles (B61 ou B57 depuis la station de métro Borough Hall). Dépaysement assuré dans ce quartier qui offre l’une des meilleures vues sur New York et la statue de la liberté.
Ce lieu n’a pourtant pas toujours été aussi paisible. En effet, vous vous trouvez au milieu d’un des ports les plus actifs du pays dans les années 1850. Avant de voir ses activités portuaires décliner et se délocaliser juste en face dans le New Jersey, rappelons en effet que le principal attrait de New York tenait en sa position stratégique face à l’Atlantique, et à l’embouchure de l’Hudson River. En construisant le canal Érié qui a permis de relier l’Hudson River aux grands lacs, New York s’est donné un accès maritime vers l’intérieur du pays et les territoires du Midwest au début du XIXe siècle.
Le défi
Partez à la recherche de traces de ce riche passé maritime en longeant la rive de Van Brunt Street jusqu’à Valentino pier park. Retrouvez le seul exemplaire entièrement en bois et encore à flot, de barge ferroviaire caractéristique de cette époque. Cette barge qui naviguait dans le port de New York servait à transporter des cargaisons. Mais, au fil des ans, la construction de ponts et de tunnels et surtout la modernisation de l’industrie du transport maritime avec l’arrivée des containers l’a rendue obsolète. Et si vous ne l’avez pas trouvée, rendez-vous sur le site Family Way.
À ne pas manquer
Ce quartier aujourd’hui coincé entre l’East River et l’autoroute a su conserver tout son charme avec ses rues pavées, sa petite plage, sa vue imprenable et son architecture d’antan. Ne manquez pas de vous y balader et de profiter de ces quelques adresses exceptionnelles.
Brooklyn Crab est le restaurant emblématique du coin. Vous y dégusterez des plats de bord de mer, vous pourrez y profiter de la vue exceptionnelle depuis la terrasse supérieure, le tout dans une atmosphère nautique .
Steve’s Authentic Key lime pies vous propose ses fameuses tartelettes réalisées à partir de citrons verts en provenance directe des Keys.
Si vous voulez goûter une glace artisanale locale, rendez-vous chez Ample Hill, véritable institution à Brooklyn.
À Red Hook, au détour des rues et en particulier sur les docks, vous profiterez de nombreux ateliers d’artisanats. Et ne manquer pas de regarder le programme proposé par Pioneer Works, un lieu d’accueil et de mise en avant des artistes.
Broadway est indissociable de New York. Mais jusqu’à présent, le quartier artistique n’avait pas de musée dédié. Julie Boardman et Diane Nicoletti, deux amies qui se sont rencontrées sur les bancs de l’université, ont décidé de rectifier ce non-sens historique.
Retardé par la pandémie qui a mis tout le secteur à genoux, le Museum of Broadway a enfin ouvert ses portes à la fin d’année dernière à côté du Lyceum Theater, une institution de la 45e rue, pour le plus grand plaisir des fans de musicals et de théâtre du monde entier. Les fondatrices espèrent qu’ils profiteront d’un spectacle pour découvrir cette nouvelle adresse. Entre la musique omniprésente, les installations visuelles et l’app qui propose une visite en français, même les cancres en anglais y trouveront leur compte.
Immersion dans l’histoire de Broadway
« Quand Julie m’a fait remarquer qu’il n’y avait pas de musée de ce genre, on s’est dit que c’était quelque chose qu’il fallait inventer. Que ce soit nous ou quelqu’un d’autre, peu importe, mais cela se devait d’exister ! », explique Diane Nicoletti, qui a fait carrière dans le marketing expérientiel.
Le résultat est une immersion musicale et visuelle dans l’histoire de Broadway, des premiers spectacles jusqu’aux shows d’aujourd’hui. La première pièce de la visite donne le « la »: c’est une salle décorée d’affiches de musicals et d’œuvres de théâtres actuels (Book of Mormon, Wicked, Death of a Salesman…). Elles sont équipées de code QR pour réserver des tickets.
Le personnel nous invite ensuite à prendre place dans une salle obscure, pour visionner un court film retraçant l’histoire du quartier. Certains seront surpris d’apprendre que celui-ci n’a pas toujours été près de Times Square. À ses origines, la scène artistique était concentrée dans le sud de Manhattan, autour du Financial District. Elle est « montée » à mesure que la population new-yorkaise a grandi, pour élire domicile autour de la 42e rue, une zone mal famée « nettoyée » par les maires successifs dans les années 1980 et 1990.
Le musée est organisé chronologiquement. Il commence par les origines du monde du divertissement new-yorkais, au XVIIIe siècle, et l’influence importante des dramaturges européens (George Bernard Shaw, Oscar Wilde…). En suivant la fresque qui se déploie sur plusieurs étages, le visiteur voit le Broadway moderne prendre forme. Il traverse des univers variés, racontant successivement les histoires de 500 œuvres marquantes: Show Boat (1927), Porgy and Bess (1935), Le Fantôme de l’opéra (1986), Hamilton (2015)… Le tout ponctué de décors immersifs et interactifs pour la photo Instagram de rigueur (un champ de maïs évoquant Oklahoma !, le bar des Jets de West Side Story…).
Guerres mondiales, 11-Septembre, Covid : le musée raconte aussi comment Broadway a été touchée par les grands événements du XXe et XXIe siècle. Ainsi, une pièce entière est-elle consacrée aux ravages du Sida, qui a décimé la communauté artistique dans les années 1980. « On se rendait aux répétitions et, avant qu’on en arrive aux avant-premières, des amis et collègues avaient disparu. Certains tombaient malade et allaient à l’hôpital. Certains en sortaient, d’autres non », peut-on lire sur un texte collé au mur.
5 ans de travail pour collecter les pièces
On a tout particulièrement aimé les nombreux costumes originaux qui ponctuent l’itinéraire, comme une tenue portée par Lin-Manuel Miranda dans Hamilton, un manteau des Jets dans West Side Story (ci-dessus), les vêtements extrêmement soignés de personnages du Fantôme de l’opéra ou encore une robe issue de Cats… Ce n’est pas tous les jours qu’on peut les voir d’aussi près. Ils ont été donnés par des compagnies de production, des sociétés de locations, des théâtres, des artistes… « On a entendu beaucoup d’histoires de costumes laissés dans des salles de stockage qui finissent par être vidées. C’est triste », raconte Julie Boardman, qui est aussi productrice de musicals et de pièces de théâtre primés.
En plus des habits, d’autres éléments retiennent l’attention : une partition manuscrite de Richard Rodgers, le célèbre compositeur américain à qui l’on doit quelques-uns des plus grands musicals (Oklahoma !, South Pacific, The Sound of Music…), une marionnette et des masques du Roi Lion… « Cela fait cinq ans que nous travaillons sur le musée. Au début, quand nous demandions des accessoires ou des costumes, c’était difficile d’en obtenir, mais cela est devenu plus facile à mesure que le projet est devenu réalité, reprend Julie Boardman. Beaucoup de gens sont enthousiastes à l’idée de faire partie de l’aventure ! »
L’univers des théâtres et musicals
Le clou du spectacle, ou en tout cas l’un de ses moments forts, se trouve au rez-de-chaussée : une salle reproduisant les coulisses d’un théâtre (avec piano, câbles, console technique…). On y découvre des interviews sur le travail des petites mains de Broadway – les stage hands (électriciens, menuisiers, charpentiers…), éclairagistes, metteurs en scène, chorégraphes, producteurs, attachés de presse… – à travers des textes explicatifs et entretiens filmés. « Ce sont des professions que personne ne connaît sauf si on travaille dans ce milieu, poursuit Julie Boardman. Le public adore Broadway, que ce soit les pièces de théâtre ou les musicals, mais ne sait pas comment ça marche. Cela montre aux plus jeunes qui veulent rejoindre la communauté qu’ils n’ont pas besoin d’être des acteurs. Il y a plein d’autres professions en dehors de la scène qui permettent de faire partie de cet univers ».
Le thriller social d’Eric Gravel, « À temps plein » (« Full Time » dans sa version américaine), sort enfin aux États-Unis. Et en plein mouvement de contestation contre la réforme des retraites en France, ça ne manque pas de sel. Ou de souffle car il en faut pour suivre Laure Calamy durant ces 87 minutes effrénées. L’actrice y est remarque, une nouvelle fois, en mère célibataire, qui s’épuise dans la course folle de son quotidien.
Laure Calamy interprète le rôle de Julie, une quadra divorcée qui se démène seule pour élever ses deux enfants à « la campagne » (la grande banlieue parisienne) et garder son travail, modestement remunéré, dans un palace parisien. Elle a fait des études et aurait pu rêver bien mieux, mais la vie en a voulu autrement. Quand elle obtient enfin un entretien pour un poste correspondant à ses aspirations, une grève générale éclate, paralysant les transports. La course contre la montre quotidienne bascule alors en calvaire…
On sort de ce film épuisé d’avoir couru avec une Laure Calamy époustouflante. Après avoir reçu le prix Orizzonti au festival de Venise, l’actrice se présentera à la cérémonie des César, le 24 février à l’Olympia, dans la catégorie Meilleure actrice, prix qu’elle a déjà remporté en 2021 pour son rôle dans « Antoinette dans les Cévennes ».
Le film, distribué par Music Box Films aux États-Unis, sort ce vendredi 3 février à New York (au Quad Cinema), et une semaine plus tard, le vendredi 10 février, à Los Angeles (Laemmle Royal) avant une diffusion nationale. « À temps plein » sera notamment projeté au Miami Film Festival le mois prochain.
Nous vous donnions rendez-vous en ligne mardi 31 janvier 2023 pour un webinaire dédié aux expatriés souhaitant investir dans l’immobilier en France, depuis leur pays d’expatriation.
Au programme :
[Introduction – Bien investir] – Les 3 aspects de l’immobilier rentable (financement, rénovation, fiscalité) – Les spécificités de l’investissement depuis les États-Unis
[Focus sur le financement] – Qui peut emprunter, quoi & comment ? – Comment choisir la bonne banque pour votre profil ? – À distance, comment ça se passe ?
[Focus sur la rénovation] – Comment doubler la valeur d’un bien ? – Où sont les bonnes affaires ? – La bonne séquence pour réussir
[Focus sur la fiscalité] – L’imposition française – Les régimes les plus intéressants
Contactez nos experts Jeevanthy Nivert, 15 ans d’expérience en Private Equities (PE) en France et en Thaïlande, fondatrice de Société2Courtage
? [email protected]
Manuel Ravier, conférencier, spécialiste dans les domaines du financement et de la fiscalité immobilière, co-fondateur de la société Investissement Locatif
? En savoir plus et prendre rendez-vous ici
Le 2 février, c’est le jour de la marmotte (Groundhog Day) en Amérique du Nord et la Chandeleur en France (40 jours après Noël). Dans les deux cas, on attend le renouveau avec l’arrivée du Printemps mais côté français évidemment, on en profite pour se régaler. Une tradition qui, avant d’être marquée par des crêpes, était célébrée à la lumière des chandelles (fête des chandelles, festa candelarum en latin), origine du nom Chandeleur.
Pourquoi manger des crêpes ? Rondes et dorées, ces fines couches de pâte évoquent le soleil et les jours qui s’allongent, symboles autrefois de l’approche des premières semences.
Le chef new-yorkais Dominique Ansel se souvient des crêpes de son enfance, « le premier dessert que j’ai réalisé en cuisine » a-t-il confié à Frenchly, le site en anglais du groupe French Morning et destiné aux francophiles américains. Il a partagé la recette de ses mère et grand-mère de la crêpe Suzette (vidéo ci-dessous).
Pour la pâte à crêpes :
0,5 lb (225 gr) de Farine :
17 oz (1/2 litre) de lait entier
0,15 lb (65 gr) de sucre
3 tablespoons (40 gr) de beurre
3 œufs
0,5 oz (14 gr) de sel
Dans un grand bol, mettre la farine et le sucre, le sel, puis casser les 3 œufs et battre à la main avec un fouet. Puis ajouter petit à petit le lait pour obtenir une pâte lisse et assez liquide. Finir en ajoutant le beurre (fondu).
Faire chauffer la poêle à crêpes (idéalement, en fonte et très plate). Dominique Ansel graisse légèrement la poêle d’huile (recette de sa grand-mère) à l’aide d’un papier cuisine ou un essuie-tout. Pas besoin d’en ajouter sans cesse entre deux crêpes.
Mettre une petite louche de pâte dans la poêle chaude, bien répartir uniformément la pâte sur la poêle. Quelques secondes suffisent pour cuire un côté, retourner la crêpe avec les doigts, une spatule ou en faisant sauter la crêpe et cuire l’autre face quelques secondes. Cuire ainsi toutes les crêpes et hop ! Dans l’assiette, c’est prêt.
Pour les gourmands, la crêpe Suzette (caramel et Grand Marnier), voici la vidéo de Dominique Ansel (en anglais pour Frenchly) :
Bruno Maltor n’est pas expat, il vit aujourd’hui en France, mais il a tout de même vécu en Chine, au Pérou, en Allemagne, au Canada et en République Tchèque. Depuis son enfance, il est passionné par les voyages. À 5 ans, il dévorait des yeux la carte du monde accrochée au mur de sa chambre et apprenait par cœur les noms de pays et de leurs capitales en rêvant de découvrir cette planète qui lui paraît bien loin de son Auvergne natale.
Après des études à la Kedge Business School, c’est lors d’un stage en Chine pour le Groupe TF1 que sa passion pour les voyages et pour les nouvelles technologies le pousse à créer un blog dédié au voyage. Loin de s’imaginer l’ampleur que celui-ci prendrait dans sa vie, son blog Votre Tour du Monde fêtait en décembre 2022 ses 10 ans. Son but ? Inspirer des gens comme vous et moi à explorer le monde, et ce en commençant par la France.
Aujourd’hui Bruno Maltor est connu pour ses vidéos voyage et pour ses engagements pour la planète. Peut-on être bloggeur voyage et éco-responsable ? S’il se défend bien d’être parfait, il fait partie de ces personnes qui utilisent leur influence pour partager de bonnes idées pour l’environnement et limiter notre impact sur la planète.
French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.
[Article partenaire] Dans le contexte d’une expatriation, le poids de la rénovation peut effrayer lors d’un investissement immobilier, et même dans certains cas, être un frein à l’achat. En effet, comment gérer des rénovations en France lorsque l’on vit de l’autre côté de l’océan ? À qui s’adresser, comment trouver des artisans de confiance ? Reno, cabinet d’architecture français, vous conseille.
Pourquoi investir en France ?
Selon l’Organisme Mondial du Tourisme (OMT), la France se situe en haut du podium des pays les plus touristiques au monde. Qu’il s’agisse d’un voyage saisonnier ou de longue durée (études, travail), le besoin de se loger y est donc omniprésent.
À titre d’exemple, la France est également le quatrième pays au monde à accueillir des étudiants étrangers chaque année. Ces flux humains participent au dynamisme économique des grandes métropoles (Lille, Paris, Lyon, Bordeaux ou encore Marseille). Cela permet notamment aux pouvoirs publics locaux d’investir dans leurs collectivités (infrastructures, équipements) – lesquelles connaissent un essor de plus en plus important et engageant pour les investisseurs.
À l’aune de la mondialisation, disposer d’un logement en France présente aussi la possibilité pour les expatrié·es de disposer d’un point de liaison avec leurs racines, un pied-à-terre, qu’ils pourront potentiellement retrouver ultérieurement.
Enfin, investir en France lorsque l’on vit à l’étranger présente aussi l’avantage de diversifier géographiquement sa stratégie d’investissement dans un territoire où l’économie est stable. Pour preuve, la France demeure le pays de l’Union Européenne le moins touché par l’inflation dans un contexte géopolitique exsangue (crise du covid, montée du prix du pétrole et de l’électricité). La France tire cet avantage de son système providentiel. Le retour d’expérience de Reno montre aussi, à juste titre, que la France permet aux investisseurs étrangers de bénéficier d’une résidence fiscale en France avec toutes les possibilités d’optimisation fiscale correspondantes (défiscalisation des travaux…).
La recette d’un investissement à succès
Depuis près de dix ans maintenant, le cabinet d’architecture Reno accompagne une multitude de clients dans la diversité de leurs projets (investissement locatif, résidences principales et établissements recevant du public). Cette décennie au service de leurs clients a permis à Reno d’en tirer plusieurs enseignements.
1. Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement : il est important de penser son projet dans sa globalité
Si le lieu dans lequel vous vous apprêtez à investir est d’une importance prépondérante, le coût des travaux n’est cependant pas à considérer comme le poste sur lequel il est possible de faire des sacrifices. Beaucoup de personnes pensent qu’il est possible de faire des compromis importants sur les travaux. Or, ce qui compte, c’est véritablement de trouver le meilleur rapport qualité/prix, car ce n’est pas un secret : le moins cher finit toujours par coûter plus cher sur le long terme et la qualité s’oublie moins vite que le prix dépensé.
En effet, il y a énormément d’éléments qui sont interdépendants dans les travaux (par exemple, l’isolation des murs ne peut être réduite à la simple isolation : elle nécessite d’enduire, de peindre, de reprendre l’électricité etc.). Il faut en moyenne compter 1300 euros TTC du mètre carré pour une rénovation totale d’intérieur destinée à de l’investissement locatif en France.
2. Se faire accompagner par des professionnels de confiance : le rôle de l’architecte
Chez Reno, les équipes travaillent de manière rigoureuse. C’est ainsi que la réalisation des plans d’agencement leur apparaît comme étant la clé de voûte d’un budget bien maîtrisé et d’une entente fluide sur le projet. Pour ce faire, les experts se déplacent directement chez vous en compagnie de leurs artisans afin de faire un état des lieux de l’existant, de se rendre compte des proportions, possibilités et contraintes techniques de vos logements. C’est l’occasion de prendre toutes les mesures qui leur permettront par la suite de conceptualiser le projet techniquement et esthétiquement.
L’idée est de vous mettre à disposition cinq plans (existant, projet, électrique, démolition/construction et matériaux) pour vous entendre sur ce que votre logement devra advenir après travaux. Une fois l’accord trouvé, l’équipe de Reno est en mesure de réaliser un cahier des charges qui tiendra compte des choix arbitrés ensemble (besoins métrés en termes de peinture, type de revêtements souhaités pour les sols, SDE etc.).
C’est après tout une évidence : comment faire confiance à un chiffrage lorsque les points clefs n’ont pas été abordés ? Quelle quantité de peinture exactement acheter ? Combien de spots installer ? Partir sur un parquet stratifié ou un parquet massif ? Poser un cadre protecteur par le biais d’un projet clair vous évitera d’avoir une mauvaise expérience de rénovation/travaux.
L’architecte vous enverra des compte-rendus de chantier et la garantie que les échéances soient respectées. C’est la force de son rôle d’intermédiaire entre l’artisan et l’artisan, sa probité, qui lui permettront d’assurer la bonne exécution du calendrier et des volontés du client. C’est par ailleurs lui qui se chargera des commandes, livraisons et mises en place pour qu’à distance, vous n’ayez strictement aucun détail à prendre à votre charge et ce …. jusqu’aux ustensiles de cuisine ! Voilà donc pourquoi il est primordial de travailler avec un architecte de confiance.
La rénovation est un travail d’équipe : bien choisir son artisan
Au-delà de l’architecte, il est important que la société qui sera en charge de vos travaux puisse être une société digne de confiance. Cela fait maintenant dix ans que Reno a lancé les consultations dans toute la France auprès d’artisans de proximité pour en faire une sélection.
Leur volonté est tripartite :
? Connaître au concret la viabilité des partenaires qu’ils recommandent ? Entretenir l’entreprenariat de proximité dans une logique RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ? Obtenir une réactivité imbattable en termes de démarrage de chantier pour leurs clients.
L’une des préconisations de Reno consiste à recourir à des sociétés TCE (Tout Corps d’État) afin de fluidifier les échanges entre l’architecte et le conducteur de travaux au service de la tenue des calendriers de chantier.
Maîtriser les normes architecturales et réglementaires françaises
À plusieurs reprises, il est arrivé à Reno de récupérer des dossiers de clients sur lesquels des demandes d’arrêts de chantier avaient été formulées faute d’avoir pu bénéficier d’un accompagnement technique sur la phase de consultation des copropriétés ou encore services municipaux.
Il existe en effet plusieurs zones protégées en France, dans lesquelles le patrimoine est classé. Par exemple, dans certains quartiers du premier arrondissement de Marseille, vous ne pourrez pas installer de panneaux solaires sur vos toitures. À Melun, vous ne pourrez pas conduire de projet de division de studios. Ces règles sont un point vital à connaître en amont du projet pour avoir le temps de penser à des alternatives. Ces restrictions ne sont qu’une liste exhaustive des éléments à prendre en compte pour ne pas franchir un point de non droit.
En sus de ces règles architecturales, les pouvoirs publics français ont entendu se lancer dans une bataille contre la passoire thermique. Dans cette perspective, les gaz à effets de serres (GES) émis par le parc immobilier français devront être réduits de 40% à l’horizon 2040. C’est pourquoi, progressivement, les logements classés G, F et E seront interdits à la location en 2023, 2028 et 2034. Pas d’inquiétude toutefois, les architectes de Reno disposent de toutes les astuces pour faire remonter la note de vos logements !
Visionnez le portrait d’une cliente expatriée de Reno et son projet d’Airbnb et transformation d’un T2 en T3 dans le XVIe arrondissement de Paris :
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Les voyageurs internationaux débarquant dans le hall D de l’aéroport international Dulles, en Virginie, sont souvent surpris à leur arrivée. Après la descente de l’avion et une marche dans un long couloir, les passagers se retrouvent dans une étrange salle d’attente. À attendre quoi ? C’est le mystère jusqu’à ce que deux grandes portes s’ouvrent sur un salon rempli de sièges en rang. Mais le mystère persiste. Au fur et à mesure que les gens s’entassent, des agents de l’aéroport quémandent la même chose : « Déplacez-vous au fond. Faites de la place pour les autres passagers ». Les portes se ferment, et ce salon sur roues emmène les passagers en direction de la douane, sans explication.
Les Mobile Lounge de l’aéroport de Dulles sont d’énormes véhicules blancs, pesant chacun 76 tonnes avec une vitesse de croisière maximale de 26 miles par heure. Ils peuvent transporter jusqu’à 100 personnes fraîchement débarquées d’un long vol, avec seulement 71 places assises. Cet étrange mode de transport a été conçu il y a plus de 60 ans par l’architecte finlandais Eero Saarinen pour la Chrysler Corporation et la Budd Company.
Le but de ces vaisseaux roulants ? « Donner une nouvelle expérience aux passagers et minimiser le temps de marche entre les terminaux et l’avion, explique Janene Shaw, responsable des opérations aéroportuaires à Dulles. On protégeait les passagers des intempéries, du froid, c’était un vrai progrès». En 2023, le design de ces étranges bus n’a pas changé : le look rétro dans années 60 a été conservé mais l’intérieur a été plusieurs fois rénové.
« Au départ, c’était vraiment des lounges, où les passagers attendaient leur vol, on y servait même des boissons !», rappelle-t-elle. Ces « salons mobiles» ne sont pas à la porte de chaque avion. Ils sont surtout utilisés pour ramener et emmener les passagers dans le Hall C et D, qui ne sont pas encore rattachés à la ligne de train de l’aéroport construit en 2009. Seuls les voyageurs internationaux et les clients de United Airlines passeront un moment dans ces fameux lounges pour aller à leur terminal. Malgré le coût onéreux pour les maintenir en fonction, Dulles utilise activement 17 Budd (les bus qui amènent les passagers d’un terminal à un autre) et 20 Plane Mate (du terminal à l’avion).
« Pour l’instant, je pense que l’on va utiliser ce mode de transport pour encore un bon moment », souligne Janene Shaw. L’utilisation des Mobile Lounge est très rare aux États-Unis et Philadelphia International Airport est le seul autre aéroport a en avoir encore en service.
Pour ce nouvel épisode de Révolution bilingue, la sociolinguiste Maya Angela Eipe Smith, de l’Université de Washington à Seattle et auteure du livre Sénégalais de l’étranger, nous aide à explorer le rôle de la langue dans la formation des identités linguistiques. Star montante des études françaises, elle y enseigne la langue et la francophonie, en accordant une place importante aux questions d’équité et de justice raciale.
Dans Sénégalais de l’étranger, Maya Angela Eipe Smith s’appuie sur des entretiens approfondis avec des adolescents d’origine sénégalaise, à Paris, Rome et New York. Le choix de ces trois sites révèle comment des contextes et des communautés spécifiques contribuent à façonner la dynamique entre les langues (en particulier le français, le wolof, l’italien et l’anglais) et la formation d’identités nationales et transnationales. Grâce à cette étude ethnographique des expériences individuelles de la migration, Maya Angela Eipe Smith dévoile le paysage fascinant et complexe des interactions linguistiques dans le monde francophone postcolonial.
C’est une première à Los Angeles pour Daniel Rose. Le chef américain vient d’ouvrir Café Basque, un nouveau restaurant de l’hôtel The Hoxton, dans le quartier de Downtown, qui fait découvrir aux Californiens le charme et la gourmandise de la cuisine basque.
Un nouveau pari pour ce chef né dans l’Illinois, tombé amoureux de la cuisine française, formé à l’Institut Bocuse de Lyon avant de rejoindre l’Hôtel Meurice sous la direction du chef Yannick Alléno et d’ouvrir en 2006 son premier restaurant, Spring, dans le 1er arrondissement (fermé en 2017) suivi des tables La Bourse et la Vie et Chez la Vieille.
Le décor du Café Basque, à l’hôtel The Hoxton, Downtown Los Angeles
Aussi à la tête du restaurant Coucou à New York, la ville où il réside désormais, Daniel Rose s’associait l’année dernière avec le groupe hôtelier The Hoxton pour ouvrir Café Basque. Un restaurant à la gloire de la cuisine du Sud-Ouest, au décor inspiré de la culture basque, avec banquettes couleur bordeaux, piments d’Espelette aux fenêtres, clins d’œil picturaux à la pelote basque, et serveurs en chemise blanche et tablier rouge, les couleurs emblématiques de la région.
Des racines basques aux États-Unis
« Ouvrir un restaurant français dans une ville américaine commence toujours par la question des ingrédients disponibles à cuisiner. Après 5 minutes passées au Farmer’s Market de Santa Monica, j’ai tout de suite compris que les Angelenos avaient la chance d’avoir accès aux meilleurs produits, explique Daniel Rose. En sélectionnant les plus frais, les plus gourmands et en appliquant un point de vue « basque », une cuisine que je connais depuis mes débuts en France, nous tenions la bonne recette. »
Le chef de Chicago rappelle combien « Los Angeles est la ville de la diversité » et qu’en raison de l’immigration basque dans l’Ouest américain au début du XXe siècle, « la cuisine basque a des racines profondément ancrées aux États-Unis. »
La tortilla de Saint-Jean-de Luz
À la carte du Café Basque, l’expérience commence d’abord par un cocktail, l’Espelette Negroni ou le Fleur d’Anis au gin, à la menthe et au pastis, ou un verre de vin français, quelques olives, une assiette de calamars, l’excellente tortilla de Saint-Jean-de-Luz plus vraie que nature ou le thon à l’huile. « Un plat parfait, à l’huile d’olive à l’Espelette, simple et direct, synthétisant tout l’esprit du Café Basque et l’élégance de la cuisine française. »
Txangurro, canard grillé et crevettes à l’Espelette
La suite fait voyager en un instant quelque part du côté de Biarritz, Bayonne, Guétary et Sain-Jean de Luz avec une série d’assiettes à partager, allant d’une réinterprétation du Txangurro, un gratin traditionnel du Pays basque préparé à l’origine à base d’araignée de mer et revu ici à la chair de crabe, au canard grillé « souvenir d’Irouleguy » qui régale avec sa purée d’amandes et sa confiture de cerise. Favori du chef, le « California Rockfish Ttoro », fait goûter aux Angelenos au très bon ragoût de poissons, moules et crevettes à l’Espelette et au safran, comme si on y était.
« L’esprit de Los Angeles correspond parfaitement à la cuisine du Pays basque, avoue Daniel Rose, tout sourire. On parle ici plus de grande cuisine que de grand restaurant. Un peu moins de formalité, plus d’attention et de plats délicieux, sans enlever le sérieux, voilà l’esprit du Café Basque. »
[Article partenaire] C’est le matin. Mr Ouattara prépare son matériel, le sourire aux lèvres. Ses élèves jouent au hockey. Pour certains, ce n’est pas leur sport préféré. Mais une fois sur place, ils ne cachent pas leur joie. « Sur ce nouveau campus, on peut utiliser des gymnases spacieux, pratiques. Cela a changé notre quotidien » note l’enseignant, présent depuis quatorze ans au sein de Rochambeau, the French International School.
Ouverture d’un nouveau campus
« Maplewood ce n’est pas Rollingwood ! On n’avait ni le même espace, ni les mêmes équipements, ni les mêmes moyens ». Elodie Corbel, professeure de français, vient d’arriver à l’école. Elle raconte : « J’apprécie l’accès à la technologie. Les tableaux numériques dernière génération sont un plus pour les enseignants et les élèves ». Mère de deux enfants à l’école, elle apprécie la la joie qu’on ressent lorsqu’on les voit heureux d’être ici.
En cuisine, ça sent aussi le bonheur. Les enfants de la maternelle préparent, sous le regard bienveillant de leurs enseignants, la galette des rois. Ce moment est leur préféré. En face, un cours de musique se tient. Les CE2 se préparent pour leur prochain concert. On entend des mots en plusieurs langues. Du français, de l’anglais de l’espagnol, de l’arabe, de l’hébreu, du wolof, du slovaque… Une harmonie plurilinguistique musicale présente partout à Rochambeau. La bibliothèque en est le parfait exemple.
Elle offre une vue surplombante sur l’extérieur du campus. « On me répète que c’est le plus bel espace de l’école. Je suis d’accord. J’y passe la majorité de ma journée et je confirme son potentiel incroyable » note Elodie Sutton Domenge. Depuis 2011, cette franco-américaine est la bibliothécaire de l’école élémentaire à Rochambeau.
Ici, des élèves lisent une bande-dessinée, rencontrent des auteurs. « Ce qui est le plus important, c’est que ce lieu permet l’échange entre les niveaux. Avant, la maternelle et l’élémentaire étaient sur deux campus différents. On était plus restreints ». Elodie Sutton Domenge prépare un projet entre la petite section et le CE1 portant sur la maison. Après l’exposition et la lecture, les enfants proposeront leur demeure de rêve en 3 D. Ici, il y a aussi des parents qui liront des histoires en étant déguisés.
« Durant le COVID, beaucoup de choses se sont arrêtées. C’est en train d’être remis en place » explique Elodie Sutton Domenge, mère d’une fille en CE2 et épouse d’un ancien élève de l’école. « Ma fille est parfaitement bilingue. Elle suit un programme rigoureux qui lui permet d’avoir un bagage académique solide. Ici, elle se sent à l’aise. Elle grandit au sein d’un univers ouvert ». À Rochambeau, son mari croise des anciens amis de classe. Tous sont contents. Ils transmettent à leurs enfants et parfois leurs petits-enfants leur confiance en un système français international auquel ils croient.
À propos de Rochambeau, The French International School
Rochambeau, The French International School est la seule école accréditée de l’Education nationale française dans la région de Washington DC. Rochambeau accueille les élèves dès 2 ans et jusqu’à la Terminale. Les élèves reçoivent le High School Diploma et peuvent choisir entre le Baccalauréat Français ou le IB (International Baccalaureate). Pour en savoir plus, rendez-vous directement sur le site de l’école.
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Pour fêter ses 15 ans d’existence, la troupe La D-boussole de San Francisco viendra à New York présenter l’une de ses productions, Rupture à domicile, le samedi 25 février sur la scène du Cloud City à Brooklyn.
La pièce de Tristan Petitgirard, mise en scène par le fondateur de La D-boussole, Frédéric Patto, raconte l’histoire d’Eric Vence, à la tête de l’agence Rupture à Domicile spécialisée dans l’annonce, en personne, des ruptures. Un soir, alors qu’il se rend en mission pour annoncer à une femme que son compagnon la quitte, il fait une rencontre plus qu’inattendue : il retrouve son grand amour de jeunesse… « Cela donne lieu à toute une série de quiproquo très drôles », expliquait récemment Frédéric Patto à French Morning.
La pièce est interprétée par les comédiens Grégory Galin, du cours Florent, Lionel Rougé et Claire Hamard, une enseignante du Lycée français de San Francisco qui a suivi les cours de théâtre dispensés par l’établissement. C’est d’ailleurs un ancien élève de la section théâtre du Lycée qui a invité La D-boussole à venir se produire à New York. À découvrir donc au Cloud City le samedi 25 février à 7pm.