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Sauver l’agriculture, le pari de Camp Verde en Arizona

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Que se passe-t-il quand l’un des plus grands cours d’eau des États-Unis disparaît ? Quelles sont les conséquences économiques, sociales, environnementales et politiques de cet assèchement ? Est-il possible de sauver un fleuve de cette envergure ? C’est à ces questions qu’a voulu répondre « Colorado, le fleuve qui refuse de mourir », un nouveau podcast en huit épisodes réalisé par Alexis Buisson pour le quotidien français La Croix et French Morning, en partenariat avec le programme Alliance.

Les fermiers du sud-ouest des États-Unis nourrissent le reste du pays avec fierté depuis des générations. Cette tâche leur serait impossible sans la présence du fleuve Colorado, dont l’eau est utilisée à 80 % par le secteur agricole.

En parcourant le fleuve, on entend souvent dire que les agriculteurs sont en grande partie responsables de la crise de l’eau. Ils ne seraient pas prêts à changer leurs méthodes de production, d’après leurs critiques.

Mais qu’en est-il réellement sur le terrain ? Dans ce 4e épisode, Alexis Buisson, le correspondant de La Croix aux États-Unis et journaliste à French Morning, s’éloigne du fleuve pour se concentrer sur ses affluents. Direction le comté rural de Pinal, en Arizona, l’un des plus touchés par la déclaration de pénurie d’eau de 2021. Plus au nord, dans la petite ville de Camp Verde, agriculteurs, entrepreneurs et associations s’unissent pour préserver l’eau en faisant un pari audacieux…

Une pétition pour un nouveau programme bilingue à Manhattan

Ils n’ont pas dit leur dernier mot. Trois ans après avoir démarré leurs efforts pour lancer un nouveau programme d’immersion français-anglais à Manhattan, les parents francophones de l’Upper East Side, Nadia Levy et Stéphane Lautner, ont mis en ligne une pétition pour démontrer au Département de l’Education (DoE) new-yorkais l’intérêt continu pour un tel programme. Ils ont reçu le soutien de leur conseillère municipale, Julie Menin.

L’opposition des autorités new-yorkaises

Les signataires demandent l’ouverture d’une petite section maternelle (3k) pour compléter le Pre-K bilingue public ouvert à la rentrée de 2020-2021 dans un centre du DoE sur East 76th Street. Ils militent aussi pour le lancement de classes bilingues de Kindergarten-5th ou 8th Grade dans une école publique du District scolaire 2 (qui s’étend de l’Upper East Side jusqu’au sud de Manhattan). «Le Pre-K tourne très bien. Il y a systématiquement une liste d’attente. Malgré tout, il n’y a pas de débouchés pour les enfants qui veulent continuer leur éducation bilingue dans le quartier», déplore Stéphane Lautner.

Jusqu’à présent, le projet s’est heurté à l’opposition du DoE. L’an dernier, l’administration a refusé de donner son feu vert au lancement d’un programme bilingue de K-5th Grade à PS 290 pour permettre aux enfants inscrits dans le Pre-K de poursuivre leur formation. Lors d’une réunion animée sur Zoom en présence de nombreux parents, les représentants du DoE ont mis en avant des contraintes financières et de recrutement pour justifier leur décision. Ils ont aussi indiqué vouloir attendre un éventuel retour des enfants partis à cause de la pandémie pour évaluer la viabilité d’un programme bilingue dans l’école.

Appel aux familles d’UES

Depuis, le vent a tourné. New York a un nouveau maire, Eric Adams, et le Département de l’éducation, un nouveau chef, David Banks. « Avec le changement d’administration, beaucoup de nos interlocuteurs d’hier sont partis. Plusieurs couches d’administrateurs au sein du DoE ont changé », poursuit Stéphane Lautner.

En plus de devoir trouver des appuis dans les cercles de décision, le Franco-Américain et Nadia Levy, deux des quatre parents à l’origine du projet de filière bilingue, ne ménagent pas leur peine pour motiver leurs troupes. « Un groupe de parents nous suit depuis le début, mais nous cherchons chaque année à en recruter de nouveaux, à trouver de nouvelles familles avec des enfants en crèche », explique Nadia Levy. Le combat continue.

Raphaël Trapp, nouveau consul général de France à Miami

Il ne sera resté que six mois. Après avoir assuré l’interim à Miami, suite au départ anticipé de Laurent Gallissot le 7 janvier dernier, Vincent Floreani, appelé à d’autres fonctions, quitte son poste de Consul général de France. Il est remplacé par Raphaël Trapp, dont la nomination par décret a été officialisée dans le Journal Officiel (JO) daté du 29 juillet.

Ce diplomate de 45 ans arrive d’Autriche, où il était numéro deux de la Représentation permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies et des Organisations internationales à Vienne, depuis trois ans.

Titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en droit public des activités économiques, Raphaël Trapp a également fréquenté les Instituts régionaux d’administration (IRA) de Nantes (promotion Léopold Sédar Senghor en 2002/2003). Marié, le quadra arrivera à Miami à la fin de l’été pour prendre ses nouvelles fonctions sur Brickell Avenue.

Chère “A/C”, je t’aime et je te hais

Chaque année, c’est le même rituel. Je ne parle pas des bûches de Noël, mais de l’installation de mon A/C à la fenêtre de mon appartement new-yorkais – la fameuse “window A/C”. Et à chaque fois, je ne peux m’empêcher d’éprouver des sentiments contradictoires.

Certes, la clim’ est nécessaire à New York et surtout dans certaines parties du pays soumises à des températures encore plus élevées l’été, mais les effets négatifs de ces appareils, qui contiennent des agents chimiques nocifs pour l’environnement, sont bien connus. Sans parler de leur coût, du poids qu’ils font peser sur le réseau électrique et donc le changement climatique, et les conflits qu’ils génèrent au sein des couples – et entre collègues hommes et femmes – sur la “bonne” température, quand l’allumer, pour combien de temps…

Même si 90% des ménages aux États-Unis sont équipés d’une forme ou d’une autre de climatiseur (fenêtre, central…), bon nombre d’Américains se posent des questions. Il suffit de voir les tribunes qui sortent dans la presse tous les ans sur ce thème. “A-t-on besoin de la clim’ ?” “Est-ce qu’on l’utilise trop ?” “Et si on veut s’en passer, comment faire ?” sont quelques-uns des sujets récurrents. En 2016, la journaliste du Washington Post, Karen Heller, mettait les pieds dans le plat. “Je n’ai pas besoin d’air conditionné et vous non plus”, écrivait-elle dans les colonnes du quotidien. Dans son article, cette habitante de Philadelphie explique qu’il y a “plusieurs milliers de raisons” pour lesquelles sa famille s’en passe. Et de citer pèle-mêle le coût que représente l’installation d’un climatiseur, la sensation hermétique de l’air créé… Elle mentionne aussi l’auteur d’un livre sur l’air conditionné qui affirme que la technologie a réduit nos interactions sociales en dehors de nos logements parce qu’on passerait plus de temps chez soi. “L’air conditionné a rendu les Américains gourmands et bêtes. Une fois que le pays est devenu accro, des choses bizarres se sont matérialisées: des fenêtres qui ne s’ouvrent pas, des pulls dans les bureaux en août, des rhumes estivaux, Las Vegas, le football à Phoenix“, énumère Karen Heller.

C’est un argument difficilement audible pour des millions d’Américains. D’abord, dans beaucoup d’endroits, l’accès à la clim’ est une question de vie ou de mort, surtout à l’heure où les vagues de chaleur extrême se multiplient. En moyenne, dix New-Yorkais sont décédés chaque année entre 2011 et 2020 des conséquences directes des températures élevées, selon les données de la Ville. La plupart des victimes sont issues de la communauté noire, conséquence d’inégalités d’accès aux soins médicaux, et vivaient dans des logements non-climatisés. Ce n’est pas un hasard si la Grosse Pomme propose des financements pour aider les plus défavorisés à s’équiper.

Ensuite, de nombreuses habitations ne sont tout simplement pas conçues pour se passer de clim’. “Après la Seconde guerre mondiale, il y a eu un boom de logements individuels au moment où l’air conditionné portable devenait abordable pour l’acheteur immobilier moyen. Beaucoup de maisons ont donc été dessinées et construites avec l’idée qu’elles seraient dotées d’équipements de refroidissement mécanique. D’ailleurs, elles n’auraient pas été confortables sans ce type de technologie“, souligne Gabrielle Brainard, une consultante spécialisée dans “l’enveloppe des bâtiments” qui enseigne l’architecture à l’université Columbia. “Le boom de la construction après la guerre visait à créer des logements low cost pour les vétérans revenant du front. Les entreprises du bâtiment ont utilisé des cadres de bois légers comme structure. Les logements construits, certainement peu isolés, pouvaient être assez inconfortables. L’industrie de l’air conditionné a convaincu les développeurs immobiliers de réduire encore plus les coûts en retirant certains éléments du design, comme les fenêtres qui s’ouvrent, les volets, etc, qui servaient de sources de ventilation et de refroidissement“.

Pour les immeubles, c’est le même combat. Ils n’ont pas été construits pour favoriser l’aération naturelle et d’autres “stratégies passives” destinées à maximiser le recours aux sources naturelles pour chauffer, refroidir ou illuminer les appartements. Par exemple, les fenêtres-guillotines des immeubles, composées de deux vitres qui glissent verticalement, ne se prêtent pas à l’installation de volets. “Dans de nombreux climats aux États-Unis, particulièrement les environnements chauds et humides, ces stratégies passives ne sont pas suffisantes pour parvenir au confort thermique en été. Il y a aussi des types de bâtiments qui ne sont pas optimisés pour la ventilation. Dans des immeubles avec des plaques de plancher profondes, il ne sera probablement pas possible d’ouvrir des fenêtres des côtés de l’appartement pour créer un courant d’air“, poursuit Gabrielle Brainard.

Le secteur a encore de la marge. À la suite d’une vague de chaleur en 2021 dans le Nord-Ouest, Seattle, l’une des grandes villes américaines les moins équipées, a connu une ruée vers l’A/C. On n’a donc pas fini d’adorer de la detester.

Bourses scolaires 2022-2023 : les dossiers collectés jusqu’au 2 septembre à Houston

Pour les familles françaises récemment installées dans la circonscription de Houston ou pour celles dont la situation financière a brutalement changé depuis la clôture de la première campagne boursière, c’est le moment de déposer une demande de bourse scolaire. Le consulat général de France à Houston a lancé la seconde campagne pour 2022-2023 : il acceptera les dossiers jusqu’au vendredi 2 septembre inclus. Cette campagne est également ouverte aux parents qui, pour une raison majeure telle une maladie, n’ont pas pu présenter leur dossier lors de la première campagne boursière et à ceux qui souhaitent solliciter un réexamen de leur dossier.

Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, dans le cadre d’une scolarisation dans un établissement relevant de l’AEFE, les enfants qui remplissent les critères suivants :

  • être de nationalité française 
  • résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal) 
  • être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur) 
  • pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
  • fréquenter régulièrement les cours
  • au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).

Pour déposer un dossier au Consulat, il faut prendre rendez-vous auprès du service des Affaires sociales. Les demandes de renouvellement doivent également se faire sur rendez-vous.

L’Assurance Vie permanente américaine pour les expatriés : un actif incontournable ?

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[Article partenaire] L’Assurance Vie est l’instrument financier préféré des Français, mais qu’en est-il de son homologue américain ? La réponse est simple : l’Assurance Vie permanente américaine1 est un instrument à sérieusement envisager, et cela même si vous retournez en France !

USAFrance Financials, expert de la gestion privée aux États-Unis, a compilé pour vous dix raisons de considérer l’Assurance Vie permanente américaine au sein de votre stratégie patrimoniale internationale :

  1. Protection familiale (assurance décès)
  2. Instrument d’épargne sur-mesure et portable à l’international
  3. Rendements compétitifs
  4. Accès, liquidité et contrôle
  5. Collatéralisable
  6. Sécurisé par des garanties
  7. Confidentiel et protégé
  8. Actif incontournable pour votre stratégie de retraite
  9. Avantages fiscaux
  10. Options personnalisables.

Il existe de nombreux types de contrats d’Assurance Vie permanente aux États-Unis. Pour le besoin de cet article, USAFrance Financials a mis l’accent sur celle considérée comme la plus appréciée par la communauté française aux États-Unis : le type Whole Life.

1. Protection familiale grâce à une assurance décès intégrée

C’est un actif unique en son genre qui peut vous permettre de protéger votre famille indéfiniment dans le temps, tout en épargnant. La couverture décès de l’Assurance Vie permanente est conçue pour vous accompagner tout au long de votre vie, contrairement à une couverture décès temporaire qui, elle, est destinée à vous couvrir uniquement pendant un certain nombre d’années, avant d’expirer.

2. Instrument d’épargne sur-mesure et portable à l’international

Cette Assurance Vie nécessite peu d’argent pour démarrer. Vous commencez avec des versements adaptés à vos besoins, que ce soit 5 000 dollars ou 100 000 dollars par an. Si votre situation change, comme pour un retour en France par exemple, vous pouvez toujours ajuster vos contributions au fur et à mesure, sauter ou ajouter des versements facultatifs, ou encore à terme simplement arrêter toute contribution.

3. Rendements compétitifs

Bien que cette Assurance Vie ne soit pas un compte d’épargne bancaire traditionnel, les primes versées à votre police au fil du temps vous permettront d’accumuler une épargne à imposition différée que vous pourrez ensuite emprunter ou retirer en espèces. Ces polices d’Assurance Vie contiennent un élément d’épargne important appelé valeur de rachat. À savoir, la valeur de rachat dépend du type de produit, du montant nominal, de la durée de validité, ainsi que de la durée et du montant des primes. C’est pourquoi être accompagné par un professionnel vous permettra d’affiner au mieux la structuration de votre police d’assurance à vos besoins.

4. Accès, liquidité et contrôle

À l’inverse de nombreux véhicules d’épargne et d’investissement qui sont limités dans l’accès, le contrôle et l’utilisation de vos fonds, votre contrat d’Assurance Vie vous assure la liberté d’utiliser vos liquidités accumulées comme bon vous semble.2

Par exemple, vous n’avez pas besoin de justifier la raison de l’utilisation de vos fonds, ou d’attendre 59 ans et demi, ou encore d’avoir à demander la permission à votre employeur.

5. Collatéralisable

Vous avez l’opportunité de créer un haut degré de vélocité patrimoniale en permettant à votre argent de pouvoir jouer plusieurs rôles en même temps.

Pendant que votre épargne travaille au sein de votre contrat, vous pourriez avoir la possibilité d’utiliser cette épargne une deuxième fois grâce à son attribut collatéralisable.

Que vous souhaitiez faire un apport pour un bien immobilier aux États-Unis ou en France, payer pour les frais de scolarité de vos enfants, vous offrir des vacances ou encore avoir les capacités de lancer votre propre projet d’entreprise, vous pourriez avoir la possibilité de le faire !

6. Sécurisé par des garanties3

Votre contrat d’Assurance Vie de type Whole Life peut être garanti d’augmenter année après année, tant que les primes de votre contrat sont administrées, que ce soit par vos soins ou simplement par l’auto-alimentation du contrat par lui-même.

Ces garanties s’appuient sur la solidité financière de compagnies mutuelles d’assurance sûres. À ce titre, les banques l’adorent ! Elles le positionnent stratégiquement dans leur bilan car certaines banques le considèrent comme du Tier One Capital, le niveau le plus sûr de leurs fonds propres.

C’est précisément pour cette raison que votre contrat pourra jouer un rôle clé en termes de gestion des risques dans votre stratégie de gestion d’actifs. Il offre une stabilité, isolée des marchés financiers ou immobiliers.

Ainsi, vous bénéficiez d’un actif solide permettant à vos autres actifs à vocation de rendement (immobilier, marchés financiers) de pouvoir réellement jouer leur rôle, tout en ayant un sentiment de confiance dans votre stratégie holistique.

7. Confidentialité et protection des actifs

L’épargne de votre contrat, ainsi que sa croissance, ne sont pas signalées à l’IRS, ni prises en considération lors d’une demande d’aide aux étudiants (FAFSA). Les prêts ne nécessitent aucune qualification de crédit et ne figurent jamais sur votre « credit report ».

De plus, dans la plupart des États, l’Assurance Vie offre une protection contre les poursuites judiciaires et créanciers. Cette protection patrimoniale peut être absolue ou limitée selon la réglementation de votre État. Ce type de contrat est généralement émis par des compagnies mutuelles d’assurance qui ont plus de 160 ans d’existence.

8. Actif incontournable pour votre stratégie de retraite

L’Assurance Vie permanente américaine peut être considérée comme un actif indispensable quand détenue à la retraite. Elle permet la mise en place de deux stratégies fondamentales peu accessibles en France : « Bucketing » et « Anchoring ».

Ces stratégies permettent de pouvoir potentiellement à terme :

  1. Augmenter vos revenus de retraite
  2. Augmenter la probabilité de succès de votre stratégie patrimoniale en réduisant bon nombre des vingt risques de retraite
  3. Réduire l’impact fiscal sur vos finances
  4. Assurer votre succession et la transmission efficace de votre patrimoine international

9. Avantages fiscaux, même en cas de départ à l’international

Lors de la mise en place de votre Assurance Vie, vous pouvez bénéficier d’avantages fiscaux importants. Lorsqu’elle est structurée proprement, vous pouvez être en mesure d’éviter toute imposition à la fois durant votre phase d’accumulation, puis pendant votre retraite, et enfin lors de votre succession.

Et, surtout, vous conservez une grande partie de ces avantages financiers, fiscaux et légaux même si vous rentrez en France ! (selon les lois et conventions fiscales en vigueur).

L’Assurance Vie, un instrument financier qui s’adapte à vos besoins

En conclusion, votre contrat d’Assurance Vie est un instrument financier regroupant à la fois une épargne sûre et un capital-décès. Il peut être adapté sur-mesure à vos propres besoins tout en offrant, dans certains cas, des rendements compétitifs et stratégiques. Il peut par ailleurs vous faire bénéficier d’avantages financiers, fiscaux et juridiques, tout en assurant un haut niveau de confidentialité et de protection de vos actifs. Votre Assurance Vie peut enfin constituer un atout essentiel pour optimiser vos stratégies de retraite et de succession à l’international.

Ce ne sont là que quelques-unes des raisons pour lesquelles la possession d’une Assurance Vie de type Whole Life pourrait contribuer à optimiser votre stratégie patrimoniale globale.

Pour en savoir plus et pour vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine, n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Partenaire associé chez USAFrance Financials, et conseiller en gestion de patrimoine.

1L’Assurance Vie permanente se compose de deux types : l’Assurance Vie entière et l’Assurance Vie universelle. La valeur de rachat d’une police d’Assurance Vie entière avec participation croît grâce aux dividendes, qui sont déclarés annuellement par le conseil d’administration de la compagnie et ne sont pas garantis. La valeur de rachat d’une police d’Assurance Vie universelle croît grâce aux intérêts crédités et à la diminution des coûts d’assurance. La valeur de rachat des deux types de polices augmente lorsque le titulaire de la police verse un montant supérieur à la prime requise.
2Les prestations de la police sont réduites par tout prêt ou intérêt de prêt non remboursé et/ou par les retraits. Les dividendes, le cas échéant, sont affectés par les avances sur police et les intérêts sur les avances. Les retraits supérieurs au coût de base peuvent entraîner un revenu ordinaire imposable. Si la police tombe en déchéance ou est rachetée, toute avance en cours considérée comme un gain dans la police peut être assujettie à l’impôt sur le revenu ordinaire. Si la police est un contrat à capital variable (Modified Endowment Contract – MEC), les prêts sont traités comme des retraits, mais d’abord comme des gains, soumis à l’impôt ordinaire sur le revenu. Si le propriétaire de la police a moins de 59 ½ ans, tout retrait imposable peut également être soumis à une pénalité fiscale fédérale de 10 %.
3Toutes les garanties, y compris le versement de la prestation de décès, dépendent de la capacité de paiement des sinistres de la compagnie d’assurance émettrice.
4Les avenants peuvent donner lieu à une prime supplémentaire. Les avantages des avenants peuvent ne pas être disponibles dans tous les États.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La Polynésie Française, îles paradisiaques francophones à quelques heures de la Californie

[Article partenaire] Des eaux turquoises, des paysages à couper le souffle, une culture aussi passionnante que dépaysante … La Polynésie Française est un trésor tropical souvent oublié des voyageurs en mal de vacances ensoleillées.

Aujourd’hui, French bee, la compagnie aérienne française smart cost, vous fait voyager et vous présente ces îles paradisiaques vers lesquelles elle propose des vols directs depuis San Francisco et en partenariat avec Alaska Airlines depuis Los Angeles.

La Polynésie française, un territoire d’Outre-Mer de la France

La Polynésie Française est composée de 118 îles situées au milieu du Pacifique Sud. Les îles sont petites, mais s’étendent sur une immense superficie, équivalente à la surface de l’Union européenne ! La Polynésie française est un territoire français, mais elle dispose de sa propre autonomie et a même son propre président.

Le climat y est tropical, avec une température d’environ 26°C tout au long de l’année, agréablement rafraichie par les vents du Pacifique.

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Cinq archipels, couvrant une surface équivalente à celle de l’UE

Comme dit précédemment, la surface de la Polynésie Française est incroyablement vaste. Les îles sont réparties en cinq archipels :

☀ L’archipel de la Société : cet archipel comprend les îles du Vent (Tahiti et Moorea) et les îles sous le Vent (Huahine, Raiatea, Tahaa, Bora Bora, Maupiti).

☀ L’archipel des Tuamotu, qui comprend pas moins de soixante-seize îles réparties sur 20 000 km2.

☀ L’archipel des Gambier, composé de cinq îles hautes et de dix-huit motu (îlots) réunis en un seul lagon.

☀ L’archipel des Australes, qui comprend cinq îles et bénéficie d’un climat plus doux et plus frais.

☀ L’archipel des Marquises, qui vous émerveillera par ses sommets vertigineux et ses trésors archéologiques.




Que faire en Polynésie Française ?

Même si la Polynésie Française est surtout connue et appréciée pour son climat et ses eaux limpides, elle a bien d’autres choses à vous offrir. French bee vous a préparé un guide de voyage :

Côté terre

  • Visitez le Musée de Tahiti et de ses îles
  • Profitez d’une ascension inoubliable sur le mont Orohena, qui culmine à 2241 mètres d’altitude.
  • Découvrez les trois chutes d’eau de Faarumai
  • Rencontrez la culture polynésienne au marché de Papeete
  • Visitez la grotte de Maraa à Paea, avec son eau douce et fraîche.
  • Rendez-vous sur le plateau de Taravao, un magnifique point de vue.

Côté mer


Si vous êtes en Polynésie française, prenez un cours d’initiation au “wa’a”, ou canoë à la polynésienne. Vous ne le regretterez pas ! Ensuite, allez nager avec les raies manta et les requins à pointe noire. La Polynésie française est également célèbre pour ses paysages sous-marins, alors pendant que vous êtes ici, prenez vos masques et tubas pour une expérience

exceptionnelle de snorkeling et/ou de plongée sous-marine. La région offre également d’incroyables spots de surf !

Côté culture et gastronomie

La culture polynésienne est un héritage de leurs ancêtres Ma’ohi. La Polynésie, c’est notamment la musique, la danse, les fleurs, le surf et les tatouages. Les Polynésiens sont extrêmement généreux, spontanés, amicaux et croient en l’accueil du voyageur avec gentillesse et hospitalité.

Avis aux gourmands : la Polynésie Française est un véritable jardin d’Eden, où les influences européennes et asiatiques se mêlent au traditionnel pour vous faire découvrir des saveurs exceptionnelles à partir de fruits, légumes et poissons locaux. French bee vous a concocté une liste de plats typiquement polynésiens :

  • Le plat authentique par excellence : le poisson cru à la Tahitienne
  • Le Poulet fafa (avec des épinards locaux)
  • Le Poe à la banane, un savoureux mélange de manioc, de bananes et de lait de coco.
  • Le Chao Mein, un succulent plat à base de nouilles, typiquement asiatique.




Pour que vous soyez encore mieux préparés, French bee a dressé une liste de mots tahitiens pour vous aider à rencontrer les locaux :

? Bonjour : Ia ora na

? Bienvenue : Maeva

? Au revoir : Nana

? Merci : Mauruuru

? Bon appétit : Tama’a Maita’i

Alors, c’est parti ?

Prêts à découvrir cette région époustouflante et tout ce qu’elle a à offrir ? French bee, la première compagnie aérienne française smart cost, propose des vols direct vers Papeete au départ de San Francisco et en partenariat avec Alaska Airlines au départ de Los Angeles.

Créez vos vacances de rêve directement sur le site de French bee !


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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

5 boîtes de nuit où sortir à New York

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Touchée mais jamais coulée. Si la pandémie a mis un coup à la « nightlife » new-yorkaise, la ville qui ne dort jamais s’est relevée et n’a jamais aussi bien porté son nom que maintenant. Entre nouveaux établissements et lieux réputés depuis des années, tour d’horizon des meilleures boîtes de nuit où sortir à New York.

Nebula

Ce nouveau venu sur la scène new-yorkaise ne fait pas dans la dentelle avec près de mille mètres carrés de dancefloor sur trois étages. Ouvert à Midtown près de Times Square en novembre 2021, Nebula accueille les plus gros DJ’s du moment dans des styles musicaux allant du disco, nu-disco à la funk, house et dance music. L’expérience est très immersive grâce à un système de son et de lumière dernier cri, en plus de plusieurs écrans géants au-dessus de nos têtes. La décoration du lieu est futuriste et épurée avec tons de noir et des néons bleus et blancs. Comptez entre 20 et 60$ l’entrée selon les artistes. Nebula, 135 W 41st St.

Le Bain

Le Bain reste un incontournable des nuits new-yorkaises. Cette boîte de nuit est située dans les deux derniers étages de l’hôtel The Standard dans le Meatpacking District. Le premier niveau, en intérieur, dispose d’une piste de danse et d’un grand jacuzzi où les corps se rapprochent au fur et à mesure que la nuit avance. L’étage supérieur, en extérieur, dispose d’une vue fabuleuse sur le sud de Manhattan et l’Hudson River. La musique change selon les événements et les DJs (hip-hop, funk, disco, house, electro). The Standard, High Line, 848 Washington St.

Nublu Classic

Pour une soirée moins guindée, direction Avenue C dans l’East Village. Ce quartier éclectique accueille le Nublu Classic, qui fête ses 20 ans cette année. À la fois club de jazz, studio d’enregistrement et boîte de nuit, l’établissement accueille des artistes et DJs variés dans tous les styles de musique. La salle est elle aussi originale avec des escaliers de chaque côté de la piste de danse, d’où les gens peuvent également se déhancher. L’atmosphère est très rétro et festive. Le Nublu dispose d’un autre établissement cinq blocs plus haut, le studio 151, idéal pour débuter la soirée. 62 Loisaida Ave.

Brooklyn Mirage

On ne présente plus le Brooklyn Mirage, gigantesque complexe à ciel ouvert à East Williamsburg (Brooklyn) qui peut accueillir jusqu’à 6.000 fêtards. Les meilleurs DJs de la planète viennent y jouer chaque week-end de mai à octobre, dans un décor de palmiers et de plantes tropicales. L’établissement fait partie de l’Avant Gardner, un espace trois en un avec le Great Hall et le Kings Hall, deux salles en intérieur ouvertes toute l’année. Le Brooklyn Mirage a été rénové cet hiver et dispose désormais d’écrans géants pour des shows son et lumière impressionnants. La crème de la crème à New York. 140 Stewart Ave.

House of Yes

Pas très loin de là, à Bushwick, se trouve House of Yes, un club réputé qui s’est inspiré du festival de Burning Man. L’établissement se veut un espace de liberté et d’expression artistique. Vous y trouverez des personnes toutes plus excentriques les unes que les autres, des spectacles et danseurs burlesques sur fond de musique house & dance. Déguisements et paillettes recommandées pour entrer. 2 Wyckoff Ave.

La Martinique en été : un authentique paradis francophone pour les amoureux de la nature

[Article partenaire] Sa riche histoire, l’accueil chaleureux de ses habitants, ses délices culinaires et ses prestigieux rhums font de la Martinique, île des Antilles françaises, une destination fascinante. Et, cet été, American Airlines propose quatre vols sans escale (les mardi-jeudi-samedi-dimanche) de Miami à Fort-de-France… une escapade s’impose !

Mais c’est surtout avec ses paysages naturels les plus impressionnants des Caraïbes et son mélange unique des cultures française et créole, que cette île nichée au cœur des Petites Antilles vous promet une expérience de voyage sans pareille. Voici quatre raisons pour lesquelles la Martinique est une destination de rêve pour les amoureux de la nature.

Plage des Salines Martinique ©A.Petton

1. Des paysages spectaculaires

Littoral vierge, forêts tropicales, mangroves sauvages, montagnes escarpées : les paysages naturels de la Martinique nous en font voir de toutes les couleurs. Puisque les deux tiers de l’île sont des espaces protégés, la végétation est magnifiquement préservée. Ne passez pas à côté de la montagne Pelée, un volcan imposant près de la pointe nord de l’île qui est actuellement candidat à l’inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. La région environnante foisonne de forêts denses, de plages de sable noir, de rivières cristallines et de chutes vertigineuses. Prenez la route pendant deux heures pour atteindre l’extrémité sud de l’île et découvrir un tout autre monde, où des vallées désertiques côtoient des promontoires rocheux et de longues étendues de plage de sable blanc.

Ville de Saint-Pierre et Montagne Pelée

2. Une biodiversité remarquable

En 2021, l’UNESCO a ajouté toute l’île de la Martinique à son Réseau des Réserves de Biosphère mondial, qui promeut la conservation de la biodiversité et le développement durable. En plus de son épatante géologie, l’île regorge d’une faune et d’une flore colorées. En effet, les forêts de la montagne Pelée et les sommets voisins des Pitons du Carbet abritent le plus grand nombre d’espèces endémiques des Antilles. Visitez deux vastes parcs naturels, le Jardin de Balata et le Domaine d’Émeraude, récemment labellisés « Jardins remarquables », pour constater par vous-même pourquoi la Martinique est surnommée l’île aux fleurs.

Gauche : Jardin de Balata © CMT | Droite : Gorges de la Falaise © CMT TropiXPhoto

3. Un tourisme durable et une détente assurée

La Martinique a depuis longtemps reconnu l’importance de la préservation de son extraordinaire beauté naturelle et de ses écosystèmes variés. Pour profiter du grand air sans alourdir votre empreinte écologique, une multitude d’activités s’offrent à vous, notamment faire du canyonisme dans la forêt tropicale, de la plongée libre dans des eaux cristallines, du kayak le long des îlets et des baies, du vélo et de l’équitation le long de la côte. 

Pour rendre votre voyage encore plus inoubliable, séjournez dans l’un des gîtes écologiques de l’île. Découvrez une expérience de relaxation unique à Sainte-Luce, à l’Ecolodge Eden Paradise Spa : un petit coin de paradis niché au cœur d’une végétation tropicale qui promet des moments de détente vraiment magiques. Vous pouvez aussi profiter d’une expérience de bien-être exceptionnelle au Domaine des Bulles au Vauclin. Dormez dans une « bulle » transparente entourée de verdure et profitez de soins relaxants au centre de bien-être.

Domaine des Bulles

4. Des excursions exaltantes

La randonnée est l’un des meilleurs moyens de découvrir toute la beauté naturelle de la Martinique, qui offre plus de 240 kilomètres de sentiers reliant le littoral, les forêts et les montagnes. Si l’envie vous prend de sillonner les eaux, vous pouvez louer un catamaran ou un voilier, ou encore partir en excursion en bateau avec un équipage pour la journée. Sous la surface de l’eau, il y a des centaines de sites de plongée exceptionnels pour tous les niveaux, des épaves de Saint-Pierre au nord jusqu’au monolithique rocher du Diamant, un espace naturel protégé. 

Gauche : Rocher du Diamant et plage | Droite : Plongée en Martinique ©Pakiela

Et ce n’est pas tout…

En plus des vues panoramiques et des aventures en plein air, la Martinique offre un mélange attrayant des cultures française et créole. Cette richesse culturelle rayonne à travers la cuisine alléchante, le rhum de renommée mondiale et les monuments et musées fascinants qui parsèment l’île. Pour en apprendre plus sur la Martinique.

Crédit photo de couverture : Plongée en Martinique ©Pakiela

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Huttopia Paradise Springs, camper à la française en Californie

C’est un écrin de verdure perdu au milieu des canyons de la Angeles National Forest, une oasis au milieu de paysages désertiques. Huttopia Paradise Springs, le dernier né de la chaîne de camping nature française Huttopia, porte bien son nom. Une douzaine de tentes « trappeur » et « canadiennes » (sans salle d’eau) se fondent sur 75 hectares, comme autant de petites maisons de toiles. Ici, camper rime avec confort : lits et matelas, ventilateur plafonnier, ustensiles de cuisine, barbecue, et une terrasse permettant d’admirer la nature environnante. 

© Huttopia Paradise Springs.

« On cherchait un lieu pour ouvrir notre premier établissement dans l’Ouest américain, et on est tombés amoureux du site. C’est un petit joyau, bordé d’une rivière, d’un étang, de montagnes et de forêts. Un havre de paix. On n’est pourtant qu’à 1 heure de Los Angeles, mais on se sent sur une autre planète, c’est assez magique », confie Margaux Bossanne, 28 ans, la fille des fondateurs d’Huttopia, chargée du développement et de la marque de l’entreprise sur le continent nord-américain. 

La nature accessible à tous

Le petit dernier a nécessité 4 ans de travail pour voir le jour. « Entre les permis, la pandémie  et les délais d’approvisionnement rallongés en conséquence, ça a pris beaucoup plus de temps que ce qu’on avait pensé, alors c’est un vrai plaisir de voir les premiers clients enfin arriver ! », partage Margaux Bossanne, tout en faisant un dernier tour d’inspection sur la propriété. Si le site a ouvert ses portes discrètement en août 2021, ce mois de mai 2022 a lancé la première vraie saison de Paradise Springs. Face à un sommet aux couleurs rougeoyantes surnommé Red Rock, les tentes prennent forme, certaines sur la vallée, d’autres nichées dans les hauteurs entre les roches et les arbres.  Notre but, c’est vraiment de rendre la nature accessible à tous, c’est de cette envie qu’est né Huttopia. »

© Huttopia Paradise Springs.

C’était en 1999. De retour de Toronto, Céline et Philippe Bossanne, séduits par la façon de camper nord-américaine, décident de l’importer en France. « À l’époque, quand on parlait de camping, on parlait de clubs de vacances. Mes parents ont voulu remettre la nature au centre, en offrant du prêt-à-camper pour ceux qui étaient attirés par ce mode de voyage mais pas forcément équipés. » Le premier site Huttopia ouvre dans les Alpes au début des années 2000. Vingt ans plus tard, l’entreprise en totalise une soixantaine en France, une cinquantaine en Europe (Espagne, Portugal, Belgique, Pays-Bas…), cinq en Amérique du nord et bientôt un premier en Chine. 

Repaire des stars d’Hollywood des années 1920

Peu importe le pays d’installation, Huttopia a à cœur de garder sa French touch. À Paradise Springs comme ailleurs, le restaurant du site sert des crêpes salées et sucrées, ainsi que des petits-déjeuners typiques (baguette, beurre, confiture, croissant, expresso…) sous fond de musique française. Tout a été pensé pour se détendre : randonnées, jeux de société, baby-foot, soirée ciné en plein air et piscine… d’eau de source. « Johnny Weissmuller, qui a joué Tarzan au cinéma, était aussi le plus grand champion de natation de son époque, et il s’est entraîné ici pour préparer les Jeux Olympiques », raconte Margaux Bossanne. 

© Huttopia Paradise Springs.

Créé dans les années 1920 par les frères Beary, deux acteurs d’Hollywood, le resort devient le lieu de villégiature de nombreuses légendes du cinéma, qui aimaient y venir le week-end pêcher la truite ou festoyer à l’abri des regards lors de la Prohibition dans les années 1930. Clark Gable, Mary Pickford et Charlie Chaplin étaient des habitués, ce dernier avait même sa propre cabine. 

Un siècle plus tard, elle est encore debout, perchée sur les hauteurs du site, à quelques dizaines de mètres de la réception. La bicoque en pierres est en pleine rénovation. « On a vraiment à cœur de préserver l’âme originelle du lieu : le carrelage, l’escalier en bois que Charlie Chaplin a construit de ses mains, tout en apportant le confort moderne avec même un jacuzzi sur la terrasse. » Paradise Springs semble être redevenue une destination évasion dans le vent.

© Huttopia Paradise Springs.

Une nouvelle homologation pour le Lycée international de Houston

C’est une belle réussite pour le Lycée international de Houston (LIH). Depuis son ouverture en 2017, l’établissement bilingue privé a obtenu progressivement l’homologation par le gouvernement français de la majorité de ses classes. D’abord l’élémentaire, puis, l’an dernier, sa classe de 6e au collège. C’est désormais l’ensemble du niveau collège qui rejoint le réseau d’écoles françaises gérées par l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger (AEFE). « Cela signifie beaucoup pour nous », estime, enthousiaste, Margaret Combs, la directrice du LIH depuis trois ans. « De nombreux élèves viennent de pays francophones. Ces familles, quand elles partiront de Houston pour rentrer dans leur pays ou vivre ailleurs, n’auront donc plus à s’inquiéter de savoir si les notes obtenue ici seront acceptées à travers le monde ». Margaret Combs connaît bien ces préoccupations des expatriés : originaire du Tennessee. elle a elle-même habité dans une dizaine de pays – son mari était dans la Navy – avant de s’installer au Texas. 

Deux élèves sur trois francophones

L’école, située au cœur de l’Energy Corridor de Houston, compte 50 nationalités différentes mais 67% viennent de la France (majorité) ou de pays francophones, notamment du Moyen-Orient et d’Afrique. Margaret Combs souligne aussi l’avantage financier qu’apporte cette nouvelle homologation : « les familles peuvent appliquer pour tenter d’avoir une bourse scolaire du gouvernement françaises, c’est important. »

Les cours, proposés de la toute petite enfance (dès 18 mois) jusqu’à la terminale (12th grade), sont dispensés à parts quasi-égales en français et en anglais. « C’est en fait du 55%-45%, précise Margaret Combs, car certaines classes – éducation physique, musique et arts – se déroulent uniquement en français. ». Le collège ne compte que 24 élèves pour le moment, répartis dans les trois niveaux, mais l’intégration au réseau AEFE pourrait attirer des famille, espère la directrice du LIH. Un nouveau souffle après deux années de covid très difficiles. Durant les trois premiers mois de la pandémie en 2020, de mars à début juin, l’établissement a perdu 35 familles « d’un coup ». Comme pour beaucoup d’expatriés dans le monde, le retour a été exigé par les entreprises. » C’était très triste, se souvient Margaret Combs. Certaines familles sont revenues mais d’autres ont été relocalisées ailleurs, dans d’autres pays. »

Recherche de professeurs français

La crise sanitaire a non seulement fait partir les élèves mais également les enseignants. « Nous embauchons des professeurs dont le français est la langue maternelle », fait savoir Margaret Combs, d’autant que l’établissement a également reçu l’accréditation complète du gouvernement américain, ce qui facilite l’obtention des visas et supprime la dépendance à celui du conjoint, comme c’était le cas jusqu’à présent. « Nous recherchons toujours des enseignants français. Il ne faut pas hésiter à nous contacter ! »

Podcast : L’histoire d’expatriation d’Anne-Fleur Andrle, la créatrice de French Expat

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Est-ce que l’on est « expatrié.e » pour toujours? C’est une question à laquelle notre invitée (très spéciale) de la semaine a répondu à la positive. Et oui, ses deux cultures sont une richesse, et même si elle envisage de rentrer en France dans quelques années, elle sait que sa famille est et restera autant américaine qu’elle est française.

Vous l’avez sûrement attendu depuis très longtemps, et c’est avec un grand plaisir que nous vous présentons ENFIN l’histoire d’expatriation d’Anne-Fleur Andrle, l’hôte et créatrice de French Expat le podcast.

Et si passer de l’autre côté du micro n’a pas été un exercice facile pour Anne-Fleur, cet échange mené par Tuyen Bui-Lally (que vous avez découverte dans un épisode en janvier dernier) nous donne l’impression d’une conversation authentique entre amies autour d’un café.

Alors tous en voiture, mettez vos ceintures, on part aux 4 coins des États-Unis, à Buffalo, Boston et Denver pour découvrir celle qui incarne French Expat, dans un entretien teinté de rire, d’amour et de douceur!

Production :

  • Enregistrement et réalisation par Anne-Fleur Andrle
  • Habillage sonore et mixage par Alice Krief (Les Belles Fréquences)