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Un talisman de Napoléon Bonaparte mis aux enchères en Floride

Avis aux collectionneurs à la recherche de pièces rares. Un talisman de l’empereur Napoléon Bonaparte, décédé il y a plus de 200 ans, sera présenté le vendredi 4 février à Palm Beach Gardens en Floride, avant sa mise aux enchères en ligne. Les potentiels acquéreurs auront alors jusqu’au vendredi 4 mars pour se manifester. Une part des bénéfices de cette vente impériale, parrainée par le crooner américain Pat Boone et la légende du golf Jack Nicklaus, sera reversée à des œuvres caritatives.

Représentant un sphinx en cristal de quartz reposant sur un socle d’argent incrusté d’une centaine de pierres précieuses, ce talisman est estimé à 250 millions de dollars. Si sa modélisation est attribuée à l’empereur lui-même, sa création revient quant à elle au joaillier parisien Edmé-Marie Foncier, épaulé par le sculpteur émérite Jean-Antoine Houdon.

Destiné à Joséphine de Beauharnais

Un chef-d’œuvre de l’orfèvrerie française qui aurait été commandé par Napoléon Bonaparte afin de commérer sa campagne militaire en Égypte mais surtout célébrer son amour pour Joséphine de Beauharnais, sa première épouse. « Elle a été son plus grand amour, même s’il s’est montré infidèle et qu’il a été obligé de la répudier au profit de Marie-Louise d’Autriche pour des raisons politiques, indique l’historien français Jean-Paul Guis. Il est donc compréhensible que Napoléon Bonaparte lui ait offert cet objet inestimable, sous forme de talisman, afin sûrement de la protéger durant ses absences répétées. »

Cette curiosité aurait été découverte après la Seconde Guerre mondiale aux Pays-Bas avant d’être échangée en 2005 contre un ensemble de clubs de golf. Son heureux propriétaire, un passionné américain de la petite balle blanche, a ensuite décidé de faire analyser le talisman afin de découvrir son origine, sans savoir à l’époque qu’il avait un lien avec Napoléon Bonaparte.

Aujourd’hui, cette vente aux enchères pourrait attiser les convoitises puisque les objets ayant appartenu à l’empereur connaissent bien souvent un vif succès aux États-Unis. « Plus de deux siècles après sa disparition et malgré les polémiques, le personnage de Napoléon Bonaparte continue de fasciner, plus particulièrement sur le territoire américain où il est notamment considéré comme l’un des plus grand stratèges de tous les temps après Jules César et Alexandre le Grand », confie Jean-Paul Guis.

French Expat : Anaïs à Boston, « My American Dream »

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Notre invitée de la semaine nous reçoit dans le sublime quartier de Back Bay, au cœur du centre historique de la ville de Boston. Un lieu qui fait voyager grâce à ses jolies boutiques, ses briques rouges et ses magasins.

Aujourd’hui, Anne-Fleur vous emmène à la rencontre d’Anaïs Lambert, la cofondatrice de Café Sauvage. Une femme pétillante et sensible qui saura vous toucher.

Suivez nous pour une histoire placée sous le signe de la détermination et du rêve américain qui, à force de travail, se présente à Anaïs et son mari.

Plus d’infos sur Anaïs et son café : https://www.cafesauvage.com/

Production :

Le musée National Geographic rouvre ses portes avec deux expositions

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Après près de deux ans de fermeture, le musée National Geographic rouvre ses portes le mercredi 16 février 2022, avec deux nouvelles expositions : « Once Upon a Climb: Stories from Everest » et « The Greatest Wildlife Photographs ». Célèbre pour ses recherches scientifiques, ses photographies emblématiques et ses explorations uniques, National Geographic Society met en valeur le travail de photographes à travers le monde.

L’exposition « The Greatest Wildlife Photographs » expose le travail de 60 photographes animaliers à travers le monde. En plus des photographies, le visiteur peut apprendre les anecdotes et l’histoire de certaines photographies grâce aux interviews des photographes, qui partagent leurs techniques et leur équipement.

Les passionnés de montagnes peuvent venir admirer l’exposition « Once Upon a Climb: Stories from Everest », pour découvrir l’histoire de plusieurs photographes, scientifiques ou explorateurs qui se sont mesurés à la plus haute montagne du monde : l’Everest. Racontés à la première personne, les périples de ces aventuriers reconnus interrogent également sur les maux de notre planète, victime du réchauffement climatique, même à 8 848 mètres d’altitude.

En plus des deux expositions temporaires, le musée continue également de présenter son exposition permanente. « Once Upon a Climb : Stories from Everest » et « The Greatest Wildlife Photographs » sont ouverts aux visiteurs jusqu’au 1er mai 2022. Les tickets du musée sont gratuits jusqu’au 28 février, à condition de réserver les billets en ligne sur le site du National Geographic museum.

Pourquoi les chapeaux de cow-boy sont-ils si populaires ?

Est-ce que le regard bleu perçant de Clint Eastwood et la carrure de John Wayne seraient devenus légendaires sans leurs célèbres chapeaux Stetson ? Ces couvre-chefs en feutre aux bords larges sont reconnus aujourd’hui comme les chapeaux les plus emblématiques des États-Unis. La légende de cet accessoire vestimentaire popularisé au début du XIXe siècle a largement dépassé les fermiers de l’Ouest américain et les acteurs des films westerns hollywoodiens. S’ils sont souvent réduits au cliché du cow-boy et assimilés, à tort, à une période nostalgique de l’Ouest américain, les chapeaux de cow-boys ne sont pas du tout pris à la légère par une grande partie du pays, dont une quinzaine d’États les utilisent dans leur quotidien. Pourquoi les chapeaux de cow-boys sont-ils si légendaires aux États-Unis ? C’est la question bête de la semaine.

Des origines pas tellement américaines 

Le chapeau n’est pas né dans l’Ouest américain. Les historiens sont tombés d’accord pour estimer l’origine du chapeau en Espagne, au temps des invasions des cavaliers mongols au XIIIe siècle. La calotte ne ressemblait pas exactement à celle du chapeau porté aujourd’hui, mais l’idée était déjà là : une calotte haute et des bords larges pour se protéger du soleil.

Pourtant, ce sont les Américains qui ont popularisé le chapeau de cow-boy tel que nous le connaissons aujourd’hui. Le produit iconique est devenu célèbre en 1865, grâce au chapelier John B. Stetson qui, après un voyage au Far West, décide de créer un chapeau aux bords plats et à la calotte haute, afin de protéger les fermiers des intempéries. Le « Boss of the Plain » est né d’une idée simple : aider les fermiers à lutter contre la rudesse de l’Ouest.

Très « cool » d’être un cow-boy

Qu’ils soient surnommés Diamond, horse shoe, ou quarter horse, les chapeaux ont tous un point en commun : ils sont portés par toutes les classes sociales américaines, du fermier au banquier. « Ce chapeau est avec vous tout le temps, à vos côtés. C’est le symbole américain par excellence, de travail et d’humilité », explique Keith Mundee, président de l’American Hat Company, basé à Bowie, au Texas. La société fondée à Houston en 1915 fabrique près de 175 000 chapeaux par an, dont le très populaire 40x, composé à 40% de poil de castor.

Depuis le lancement de la série « Yellowstone », Keith Mundee a vu bondir les demandes de plus de 50% par rapport à 2020.« C’est un cycle. En ce moment, c’est très populaire et cool d’être un cow-boy, grâce à cette série. Dans les années 1970, le film ” Urban Cow-boy  avait aussi attiré le grand public. »

Les valeurs de l’Amérique 

Hollywood remporte donc la palme d’or pour avoir popularisé les chapeaux de cow-boys ? Pas seulement. Selon Keith Mundee, les Américains sont bel et bien attachés aux valeurs portées par ce chapeau. « Les Américains sont très attachés aux grands espaces, à la poésie, ou encore à la musique qui racontent l’histoire de leur pays. Et le cow-boy, avec tout ce qu’il symbolise, en fait partie. Selon moi, ce ne sont ni les bottes, ni les vêtements, ni la ceinture qui font de moi un cow-boy, c’est le chapeau », assure ce Texan qui admet posséder une vingtaine de chapeaux en feutre, un pour chaque événement important de sa vie. « On achète un chapeau pour ses petits-enfants, pour un mariage, pour le garder près de soi. C’est aussi un symbole de travail, d’humilité et d’aventures, et porter un chapeau vient avec des responsabilités : garder sa porte ouverte, être poli et rester humble… Des valeurs chères aux Américains ».

C’est aussi un moyen de rapprocher les Américains de cette culture parfois lointaine pour certaines parties des États-Unis. « Quand je vais à New York, je fais toujours des rencontres intéressantes et les gens viennent me parler, car ils sont sensibles et curieux de ce que représentent le chapeau et les valeurs qui l’accompagnent. Pas besoin de vivre dans le Far West pour l’aimer ! » s‘enthousiasme Keith Mundee.

Passe vaccinal et dose de rappel aux États-Unis : comment être en règle ?

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Depuis le 24 janvier, la France impose le passe vaccinal aux 16 ans et plus. Comment être en règle dans l’Hexagone quand on a fait sa dose de rappel aux États-Unis ? French Morning fait le point.

Le passe vaccinal, c’est quoi ? 

Le passe vaccinal remplace le passe sanitaire appliqué en France depuis le 9 juin 2021 et concerne toutes les personnes de 16 ans et plus. Il s’applique également aux expatriés français séjournant en France et aux touristes et étudiants étrangers.

Il consiste, comme défini par le gouvernement français, « en la présentation, numérique ou papier, d’une preuve de schéma vaccinal complet, d’un certificat de rétablissement de moins de six mois (4 mois à partir du 15 février) ou d’un certificat de contre-indication à la vaccination ». En clair, les plus de 18 ans et 1 mois doivent fournir la preuve de leur dose de rappel grâce à un certificat de vaccination pour se rendre au restaurant, accéder aux lieux de loisir et de culture, ou encore prendre les transports interrégionaux. À partir du 15 février, cette dose de rappel devra être effectuée 3 mois minimum et 4 mois maximum après la dernière dose.

Les adolescents de 16 et 17 ans n’ont pas l’obligation d’effectuer leur dose de rappel pour conserver leur passe vaccinal, même si celle-ci leur est recommandée. Les 12-15 ans ne sont pas soumis au passe vaccinal. Dans les lieux où le passe vaccinal est exigé, ils peuvent continuer à présenter un passe sanitaire comprenant un test PCR ou antigénique négatif de moins de 24h.

Obtenir un passe vaccinal avant de partir

Le plus simple, pour profiter de tous les lieux publics en France, est de convertir son certificat de vaccination américain (carte CDC) en passe vaccinal français. Il faut se rendre sur le site démarches-simplifiees pour déposer un dossier en ligne. Pas d’inquiétude à avoir quant à la terminologie employée : si le site indique une « conversion d’un certificat de vaccination étranger en passe sanitaire », c’est bien un passe vaccinal qui sera attribué (French Morning l’a testé).

Pour que la demande soit acceptée, il faut joindre plusieurs documents sous forme électronique (les formats png et jpeg sont acceptés) : 

  • le certificat de vaccination fourni par le CDC
  • une pièce d’identité en cours de validité
  • un justificatif de résidence aux États-Unis (permis de conduire avec adresse à jour, facture d’eau ou d’électricité, quittance de loyer…)

La date d’arrivée en France est demandée, pas la photo du billet d’avion. Lorsque la demande sera traitée, le QR code sera envoyé par mail. Celui-ci pourra alors être imprimé et présenté sur papier, ou ajouté dans l’application TousAntiCovid. Le consulat conseille d’anticiper la demande avant le départ en France pour être certain d’obtenir le passe vaccinal dans les temps.

Se rendre en France sans passe vaccinal

La carte de vaccination du CDC reste valide mais pas partout.

  • Peut-on prendre l’avion des États-Unis vers la France ?

OUI, mais à vérifier auprès de la compagnie aérienne. Air France, contacté par French Morning, considère la carte de vaccination fournie par le CDC comme une preuve de schéma vaccinal complet pour monter à bord de l’avion. Néanmoins, le résultat négatif d’un test PCR ou antigénique effectué moins de 48h avant le départ reste incontournable. À l’arrivée en France, les autorités effectuent des tests de dépistages aléatoires.

Air France conseille d’ailleurs d’utiliser son service en ligne Ready To Fly pour préparer son voyage. Ce site oriente notamment vers un « formulaire de localisation numérique des passagers de l’UE » (EU Digital Passenger Locator Form) que tous les passagers à destination de l’UE doivent remplir (pays de destination, adresse durant le séjour, numéro de téléphone…) afin que les compagnies aériennes puissent les contacter après la signalisation d’un cas de Covid à bord. Les données personnelles sont conservées un mois.

  • Peut-on aller au restaurant ?

OUI et NON. French Morning a contacté plusieurs restaurateurs en France, et les réponses sont mitigées. Pour certains, tant que le client justifie d’un schéma vaccinal complet, il lui sera possible de profiter de leur établissement. Pour d’autres, la présentation numérique (via TousAntiCovid) ou papier (via le SI-DEP) du passe vaccinal est obligatoire pour accéder au restaurant.

  • Peut-on aller à des spectacles ou événements sportifs ?

NON. L’accès au spectacle ou aux matches est strictement soumis au contrôle du passe vaccinal grâce au QR code généré sur l’application TousAntiCovid ou sur papier. 

  • Peut-on aller au musée ?

NON. Comme pour les spectacles et les événements sportifs, il faut un passe vaccinal aux normes européennes pour profiter des musées français.

  • Peut-on prendre un train interrégional en France ? 

OUI et NON. La SNCF exige le passe vaccinal sous forme de QR code papier ou numérique pour monter à bord d’un train INOUI, INTERCITÉS ou OUIGO. Il est par contre possible de prendre un RER ou un TER sans pass vaccinal.

Cinquième édition du festival Animation First au FIAF

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Pour son cinquième anniversaire, le festival « Animation First » organisé par le FIAF se tiendra du vendredi 11 au lundi 21 février. Nouveauté cette année, l’événement consacré à l’animation française se déroulera en personne (11-13 février) puis en ligne (14-21 février) avec un programme distinct accessible à l’ensemble des États-Unis.

En qualité d’invitée d’honneur, Florence Miailhe présentera son film multi-récompensé « La Traversée » lors de la soirée d’ouverture du festival. Cette histoire, basée sur le passé de sa grand-mère, raconte l’incroyable migration de Kyona et Adriel, séparés de leur famille, et qui partent à la recherche d’un nouveau foyer. La réalisatrice a fait l’usage de la peinture animée avec des couleurs flamboyantes afin de séduire un public de tous âges.

Une cinquantaine de courts et de longs métrages américains seront présentés en avant-première, tels que « Ma famille Afghane », nominé aux Golden Globes, mais aussi « La belle et le bête » qui sera introduit par une conversation sur l’influence de Disney sur l’animation française. Par ailleurs, de nombreuses productions en cours de réalisation seront mises en lumière, comme « Le Petit Nicolas » de Benjmin Massoubre ou encore « Interdit aux chiens et aux Italiens » d’Alain Ughetto.

Le festival comptera, parmi ses invités, Ilan Urroz, producteur de « The Inventor ». Il sera accompagné du réalisateur Jim Capobianco. Enfin, la soirée de clôture du festival sera marquée par la nouvelle réalisation de Patrick Imbert  « Le Sommet des dieux ». « Animation First » est le seul festival de cinéma aux États-Unis consacré à l’animation française. Un secteur de pointe pour la France qui en est le premier producteur européen et le troisième exportateur mondial.

Collecte de vêtements d’hiver au Consulat de France à New York

On le sait : l’hiver est rigoureux à New York et on en fait l’expérience en ce moment. La Covid ayant encore accru la précarité des plus fragiles, il faut redoubler de générosité. Le Consulat de France accueille lundi 7 et mardi 8 février une collecte de vêtements d’hiver propres pour hommes, femmes et enfants au bénéfice de l’association Carrefour Pastoral de la Francophonie (CPF). Celle-ci vient essentiellement en aide aux immigrés africains francophones de la ville. Les couvertures sont aussi les bienvenues.

Le CPF a été fondé en 2006 par le Père Jacques LaPointe OFM, un prêtre franciscain. Il organise notamment des permanences à l’église Notre-Dame (405 W 114th St à Harlem) pour aider les migrants dans le besoin et gère une banque alimentaire et vestimentaire dans les locaux de l’église tous les mardis (2pm-4pm).

La collecte aura lieu :

  • Lundi 7 février 2022 de midi à 2pm
  • Mardi 8 février de 5pm à 7pm

Où jouer au foot au chaud à New York ?

La tempête de neige et les températures glaciales n’ont pas sapé votre envie de taper dans le ballon ? Bonne nouvelle, la Big Apple dispose de nombreux terrains couverts à Manhattan, Brooklyn et même Queens. Voici une liste d’endroits où mettre des petits ponts.

Socceroof

Le premier Socceroof, créé par le Français Jean-David Tartour en 2018, est situé à Sunset Park à Brooklyn. Il dispose de 10 terrains de 5vs5 convertibles également en 7vs7 pour les groupes plus importants. L’endroit offre une superbe vue sur l’Upper Bay et sur le Downtown Manhattan. Si vous habitez trop loin de Sunset Park, pas d’inquiétude puisque Socceroof vient d’ouvrir deux nouveaux centres en décembre, pile à temps pour l’hiver, à Long Island City (Queens) et Crown Heights (Brooklyn). Là aussi les terrains sont convertibles, comptez entre 130$ et 175$ la réservation pour un groupe de 10 personnes pour une heure de jeu. Socceroof Sunset Park (14b 53rd St, Brooklyn), Socceroof Crown Heights (1700 Atlantic Avenue, Brooklyn), Socceroof Long Island City (36-39 35th St, Long Island City). 

SoFive

SoFive a également été créé par des Français, Charles Lagayette et Jean-Damien Ladeuil. Le groupe a ouvert plusieurs centres de foot sur la côte Est dont un dans le quartier d’East New York à Brooklyn. Comme Socceroof, SoFive met à disposition 10 terrains de 5vs5 ainsi qu’un espace bar et restauration. L’établissement est facilement accessible en métro avec les lignes L, C, J et Z (Broaday Junction ou Liberty Ave). À partir de 135$/h pour 10 joueurs. Autre adresse à Carlstadt dans le New Jersey. SoFive Brooklyn, 2015 Pitkin Ave.

The Ground

C’est un bâtiment original caché au pied du Manhattan Bridge à Chinatown, dont la devanture affiche une peinture géante de Sir Alex Ferguson, l’ancien entraîneur de Manchester United. À l’intérieur, on trouve un petit terrain de 4vs4 original lui aussi par sa taille et sa forme. The Ground organise aussi bien des ligues que des pick-up games tous les soirs à 6 ou 6:30pm où l’on paie 20$ par tête pour jouer jusqu’à la fermeture. Plus d’informations sur le site ou le compte Instagram. The Ground, 130 Madison St.

Street FC

Le football appartient à la rue. C’est le postulat de Kyle Martino, ancien joueur professionnel américain et fondateur de Street FC, une application qui propose des matches dans des endroits improbables à travers la ville. Comme son nom l’indique, Street FC organise principalement des matches de rue en extérieur et sur surface dure, sauf quand la météo ne le permet pas. Cet hiver, plusieurs lieux sont disponibles en intérieur comme le gymnase du One Manhattan Square (un building luxueux du Lower East Side) et le rooftop couvert Gran Siro (Lower East Side). Planning des matches disponibles sur l’application téléchargeable ici.

Meetup et Just Play

Vous n’avez toujours pas trouvé votre bonheur? Rendez-vous sur le site Meetup.com ou sur l’application Just Play qui répertorient tous les deux une longue liste de pick-up games organisés chaque semaine à travers la ville. Le principe est simple, il suffit de sélectionner le match de son choix, de s’inscrire en réglant une cotisation généralement comprise entre 5 et 15$, et de se rendre à l’heure et au lieu du rendez-vous. Enjoy !

Retour en France : faut-il ramener votre véhicule dans vos valises ?

[Article partenaire] Vous vivez actuellement aux États-Unis et souhaitez déménager en France pour des raisons professionnelles ou personnelles ? Vos biens immobiliers seront vendus sur place, mais que faire de votre voiture ?

Tous les véhicules peuvent-ils être importés et homologués ?

Si certains véhicules tels qu’une Ford Mustang ou un Dodge RAM sont, dans la plupart des cas, intéressants à ramener en France, ce n’est pas forcément le cas pour toutes les voitures. Les modifications pour rendre le véhicule français peuvent engager des coûts importants et ce dernier ne sera plus forcément intéressant à revendre. Il sera donc parfois préférable de le vendre sur place avant de partir.

Quelles sont les démarches à effectuer ?

Chaque véhicule a ses spécificités et il est conseillé de s’en soucier avant de le ramener afin d’éviter toute surprise désagréable.

Lors de la préparation de votre déménagement, contactez un professionnel de l’importation et de l’homologation en France qui sera à même de vous expliquer les possibilités en fonction du véhicule et toutes les étapes. Ces démarches sont bien spécifiques et l’homologateur saura s’entourer de partenaires fiables pour mener à bien votre projet.

Le coût est-il élevé ?

Le coût va varier en fonction de ce que vous souhaitez déléguer pour votre projet. Vous trouverez aussi bien des formules clés en main qu’à la carte. Concernant la mise aux normes françaises, les prix varieront en fonction de la configuration d’origine (ou non) de votre voiture.

Pour résumer : rapporter un bout du rêve américain en France, c’est possible ! Le tout est de bien se renseigner au préalable et de s’entourer de professionnels dont c’est le métier !

American Dreams France s’occupe de tout

Profitez de l’expérience d’American Dreams France dans l’importation de véhicules américains !

Depuis 1999, Patrice et son équipe vous proposent de vous aider dans vos démarches. Vous avez des questions relatives au rapatriement de votre véhicule ? N’hésitez pas à les appeler au +33 (0)6 68 48 87 88 ou leur écrire ici, ils se feront un plaisir de vous épauler afin de vous éviter des tracas aux coûts inutiles.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

45 000 euros pour aider les entrepreneurs français à New York

« Je serais ravie d’avoir 40 ou 400 dossiers », explique Katharine Bride, présidente de BZH New York, l’association des Bretons de la ville. Avec l’Union Alsacienne (UA) et le Consulat de France à New York, elle a annoncé, mercredi 26 janvier, la création d’un fonds de 45 000 euros pour venir en aide à tout entrepreneur français dont l’activité a été affectée par la Covid.

Les dossiers sont à déposer entre le mardi 1er février et le dimanche 27 mars (remplir le formulaire ici). « C’est une enveloppe relativement petite, mais si l’on en croit les personnes qui nous ont contactés, cela fait une vraie différence », observe Andréa Markson, la présidente de l’UA, qui rassemble les Alsaciens et les amis de l’Alsace dans la Grosse Pomme depuis plus de 150 ans.

Le fonds découle d’une initiative similaire lancée par BZH à l’été 2020 pour aider les restaurateurs français de la ville. Dans le cadre de sa campagne #BZHNYTogether, l’association avait ventilé près de 5 880 dollars entre différents professionnels de ce secteur très affecté par la crise sanitaire. Cette somme a été rassemblée au moyen d’une campagne de crowdfunding et de la ré-affectation partielle d’une aide accordée par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères dans le cadre du dispositif STAFE de soutien au tissu associatif français dans le monde.

Les 45 000 euros du nouveau fonds proviennent d’un autre programme du Quai d’Orsay qui vise, lui, à subventionner spécifiquement les associations venant en aide aux Français de l’étranger – appelées « Organismes locaux d’entraide et de solidarité » (OLES) dans le jargon administratif. Ces derniers sont complémentaires de l’action des consulats.

Les aides seront réparties entre trente entrepreneurs du Tri State Area (New York, New Jersey, Connecticut) sans condition de secteur d’activité. Pour postuler, il faut avoir la nationalité française, détenir au moins la moitié du business et pouvoir justifier d’une perte de revenus d’au moins 20% entre 2019 et 2020. Priorité sera donnée aux plus fragiles. Les subventions arriveront dans le compte en banque des bénéficiaires en mai. « L’argent peut aider à couvrir une facture d’assurance ou d’électricité, garder un employé, résume Katharine Bride. C’est un tracas en moins dans l’esprit de l’entrepreneur. »

Où trouver de bons plats d’hiver à DC

Il fait bien froid à DC, un temps à dévorer un bon plat familial d’hiver. Fondue, raclette, bœuf bourguignon, cassoulet… notre sélection de restaurants pour vous dorloter, à la française.

Une fondue à La Jambe (Shaw)

Le restaurant français du quartier de Shaw lance sa 5e édition de « Voyagez dans les Alpes françaises ». C’est partie pour se mettre en mode « après-ski » à La Jambe. Un menu spécial est proposé avec des plats alpins de saison, dont la fondue (59 dollars), proposée pour les groupes de 3 à 6 sur réservation. En plus d’une bonne fondue, on peut commander un verre de vin chaud, ou un bouteille de vin de Savoie ou du Jura. Des cocktails spéciaux inspirés de l’après-ski seront également à la carte. Cette année, le restaurant met en arrière-plan le coup d’envoi des Jeux olympiques d’hiver. L’événement dure deux semaines, jusqu’au 6 février. Les réservations sont disponibles sur leur site. Adresse : 1550 7th street NW.

Une raclette Chez Stable (H Street)

Chez Stable, les natifs suisses David Fritsche et Silvan Kraemer préparent des raclettes (35 dollars par personne), servies avec une machine électrique traditionnelle qui permet aux convives de faire fondre le fromage de montagne et de le verser sur des pommes de terre et des cornichons. En bonus : l’aménagement de « chalets » dans la salle à manger et des murs en pin pour la distanciation sociale. Les fromages à raclette sont également disponibles à la vente. Le restaurant a mis en location leurs matériels pour organiser des raclettes chez soi ! Réservation sur leur site. Adresse : 1324 H St., NE.

Une soupe à l’oignon au Diplomate (14th Street )

La soupe à l’oignon française (14 dollars) proposée par le restaurant français ne lésine pas sur le fromage, qui est empilé sur des tranches grillées de la délicieuse baguette maison de la brasserie. Les morceaux d’oignon ne sont pas visibles quand le plat arrive car ils se cachent sous une bonne couche de fromage fondu. Réservation sur leur site. Adresse : 1601 14th St., NW.

Un bœuf bourguignon à Convivial (Shaw)

Si le fromage, ce n’est vraiment pas votre truc, alors il y a toujours le bœuf bourguignon pour se réchauffer les papilles. Celui du chef français Cédric Maupillier se présente évidemment avec champignons, lardons et vin rouge (34 dollars). Réservation sur leur site. Adresse : 801 O Street NW.

Un cassoulet au Bistrot du coin (Dupont Circle)

C’est la recette traditionnelle du cassoulet que propose de déguster le Bistrot du coin. Le ragoût de haricots blancs est accompagné de morceaux de saucisse, de porc, d’agneau et de confit de canard (26,95 dollars). Les propriétaires Yannis Felix et Michel Verdon ont à cœur de partager les plats français authentiques, avec d’autres recettes typiques comme la blanquette de veau ou les ravioles de Royan. Réservation sur leur site. Adresse : 1738 Connecticut Avenue NW.

Un canard rôti à l’orange à La Piquette (Cleveland Park)

Le chef Francis Layrle a de nombreuses recettes qui font saliver, et son canard rôti en fait partie (34 dollars). Accompagné de pommes de terre, d’échalotes, et de kale, le plat est joliment coloré grâce aux oranges, de quoi se réchauffer le cœur en ce plein froid d’hiver. Pour ceux qui préfèrent leur canard confit, vous ne serez pas déçu puisque la recette est également au menu ! Réservation sur leur site. Adresse : 3714 Macomb St NW.

Faustine Hornok, la Française qui sublime les célébrités d’Hollywood

Maquilleuse et coiffeuse des stars à Los Angeles, Faustine Hornok compte à son tableau de chasse quelques noms très prestigieux. Paula Abdul, Teri Hatcher, Paris Jackson. Un carnet d’adresses que la Française entretient depuis sept années et qui fait d’elle l’une des références du milieu.

Son parcours de rêve commence en Normandie, à Rouen. « C’est là que je suis née, et où j’ai grandi, raconte Faustine Hornok, avant de filer à Paris, où, une fois diplômée, j’ai commencé mes premiers apprentissages en salon de coiffure. Mais c’est la mode et les shows qui me passionnaient. Rapidement, j’ai participé aux compétitions et concours et intégré l’équipe de France de coiffure, remporté le titre de meilleure apprentie avant de devenir championne de France. Des récompenses qui m’aideront plus tard à obtenir mon Visa. »

« LA donne sa chance à tout le monde »

Repérée par le photographe de mode Frédéric Meylan, elle l’accompagne en Thaïlande pour la réalisation de son premier lookbook de mode. Essai transformé, elle signe à son retour avec l’agence Backstage Agency et enchaîne les prestations en free-lance. « Pendant un an, je me suis battue pour construire mon réseau, gagner mes premiers cachets comme maquilleuse et coiffeuse sur des séries mode, des campagnes publicitaires et commerciales, et de façon presque naturelle, les choses ont fonctionné. »

En 2014, changement de vie. Faustine Hornok suit son amoureux de l’époque et emménage à Los Angeles. « L’amour m’a donné des ailes, et je suis rapidement tombée amoureuse de LA. Une ville magnétique, où il fait toujours beau, où le sentiment que tout est possible vous submerge, où l’énergie est merveilleuse. Une ville qui donne sa chance à tout le monde. Quel que soit son âge, son passé, son diplôme… ici, c’est le talent qui compte. »

Coiffeuse et maquilleuse de Paula Abdul

Grâce à un concours de circonstance, elle est présentée à la chanteuse Paula Abdul. La star américaine aux 20 millions d’albums vendus, aussi connue pour avoir fait partie du jury de l’émission « American Idol » pendant huit saisons, est à la recherche d’une nouvelle coiffeuse et maquilleuse. « J’ai été là au bon moment, explique Faustine. La connexion a été immédiate. Un vrai coup de foudre professionnel et amical. En trois semaines, j’obtenais, grâce à son sponsor, mon visa pour l’Amérique. »

Depuis huit ans, Faustine suit la star dans tous ses déplacements, des tournées de chant à Las Vegas aux plateaux de télévision et invitations privées, elle voyage aux quatre coins du pays. Reconnue pour son double talent de coiffeuse et maquilleuse, et pour son style effortless – « une manière de faire ressortir la beauté naturelle », explique-t-elle -, elle convainc l’actrice Teri Hatcher (« Desperate Housewives ») de collaborer avec elle, et travaille à diverses occasions pour Paris Jackson et l’actrice Mischa Barton.

Jouer la French touch

« À Los Angeles, la persévérance paie comme le relationnel, capital pour se faire un bon carnet d’adresses, ajoute Faustine. Bien sûr, le milieu exige de devoir gérer des demandes parfois particulières, mais avec de la confiance en soi et une bonne énergie, on y arrive. » Quant à la French touch’, Faustine confirme ce que tout le monde pense : « oui, cela aide évidemment. Nous sommes français, et vus comme les représentants de l’élégance, de la culture, de la mode, du glamour. Cela attire l’œil des Californiens. À nous de savoir en jouer. »

Prête à tous les défis, y compris celui d’être maman, Faustine s’imagine dans dix ans, sous le soleil de LA, la ville qui l’a révélée. « J’espère continuer à faire ce beau métier, à faire de nouvelles rencontres, et qui sait, lancer un jour, une marque sous mon nom. »