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Moi Impat : Après 20 ans à l’étranger Sophie a changé… et la France aussi

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A l’idée de rentrer, Sophie Dubois Perraudin, notre 79ème invitée, a eu du mal à masquer sa déception. Il y avait ce pressentiment, ce doute très présent que l’impatriation allait être compliquée après vingt ans d’expatriation en Afrique du Sud, en Argentine, au Japon et à Singapour. Passés les obstacles d’une administration complexe et les questions d’ordre psychologique qui se posent immanquablement, Sophie était bien décidée à reprendre sa nouvelle vie en main. Et malgré l’amer constat que cette impatriation est peut-être plus difficile que ne le serait une autre expatriation, Sophie a fait le choix de se lancer dans une nouvelle aventure professionnelle enthousiasmante. Après-tout, ne se sent-elle pas fondamentalement française ?

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L’eau de Bonneval choisit Austin pour sa conquête de l’Amérique

La toute jeune marque française d’eau minérale naturelle Bonneval se lance aux Etats-Unis. Et c’est à Austin que les premières bouteilles apparaissent. Commercialisée depuis mars dernier en France, cette eau savoyarde, qui provient d’une source artésienne des Alpes françaises, fait son entrée dans les épiceries fines de la capitale texane, réputée être la ville environnementaliste d’un État en pleine transformation. « La France est un marché très dur, il y a beaucoup plus de résonance à l’étranger. Ici, le consommateur américain a une compréhension plus sereine, commente David Merle, co-fondateur et directeur général de la marque. De plus, l’eau est un vrai problème, elle est souvent imbuvable en Amérique. Actuellement, nous observons une tendance forte du bio aux États-Unis où les gens ont plus conscience des bienfaits de l’eau. Les sodas sont moins prisés. »

« Passeurs d’eau » au Texas

Le lancement, qui se déroulera sur une période d’essai de six mois, devrait permettre à l’entreprise de parvenir, à terme, à s’implanter au Texas et de devenir un produit de référence. Le rêve américain pourrait alors prendre forme. Pour David Merle et son associé Jean Moueix, l’un des héritiers du domaine Petrus, cela les conforterait dans leur expansion. « L’eau minérale est un sujet complexe. Le consommateur a plus de confiance dans des marques de proximité. L’eau de Bonneval est millénaire, c ‘est une source dont nous ne prélevons que 20% des capacités pour ne pas casser le cycle de la nature. Nous sommes juste des passeurs d’eau. Nous souhaitons redonner des valeurs aux consommateurs », explique David Merle qui attache une importance particulière à la préservation de cette ressource et à l’environnement.

Au prélèvement d’une fraction minimale s’ajoute plusieurs choix industriel éco-responsables : les bouteilles sont  constituées à 100% de matières recyclées et recyclables, les étiquettes sont en matériaux bio-sourcés avec de l’encre 100% biodégradable, les bouchons sont entièrement recyclables, le tout conditionné dans des emballages en carton à la place du pack traditionnel en plastique. « Nous essayons de tout faire pour que l’eau reprenne sa place. Bonneval a deux mille ans d’existence et n’a jamais connu aucune forme de pollution industrielle. Elle est d’une pureté exceptionnelle et d’une grande minéralité, notamment calcium et magnésium », ajoute cet amoureux de la Savoie.

Le rêve de deux passionnés d’eau

La source a un débit de 100 m3 par heure, autrement dit elle offre la possibilité d’un embouteillage de 2,4 millions de bouteilles chaque jour. Pour l’instant, les capacités de production se chiffre à plusieurs centaines de milliers bouteilles contre une ambition affichée, avant la pandémie de Covid, de 25 millions de bouteilles par an, 20 000 bouteilles par heure. Car le projet d’exploitation, longtemps dans les tuyaux (dix ans) ne s’est concrétisé qu’en 2017 avec le rachat de la société Bonneval Emergence par Jean Moueix. L’entrepreneur de 35 ans, l’un des négociants les plus connus dans le monde viticole, propriétaire du négoce Duclot, acteur majeur de la commercialisation des grands crus bordelais, est un passionné d’eau et rêvait en secret de posséder une source. Tout comme David Merle fanatique de montagne, ingénieur des Ponts et chaussées, passé par le monde des start-up et de l’investissement dans le secteur de l’énergie. Tous les deux associés ont façonné ce projet pas à pas.

Pour garder le site de la source intégrale, les deux associés ont édifié une usine d’embouteillage (dont l’électricité est 100% verte) à 5 kilomètres de celle-ci, non loin de Bourg-Saint-Maurice, et les camions fonctionnent au bioéthanol. Comme l’eau minérale de Bonneval, ils sont en résonance avec la nature, soucieux d’une clientèle en recherche de marque authentique. Depuis le mois de septembre, la marque, distribuée par Monoprix en France, a sorti une version gazeuse de l’eau dont le caractère tient à ses fines bulles. Bientôt proposées en duo, David Merle et Jean Moueix rêvent de redonner sa « vraie place » à l’eau et surtout la faire vivre et connaître au-delà des frontières française.

Pourquoi New York symbolise aussi bien Noël ?

Que diriez-vous d’un jeu pour découvrir ce qui fait la magie de New York au moment de Noël ? C’est ce que vous propose Family Way avec le défi du mois de décembre.

Un peu d’histoire

Avant tout, sachez qu’il n’y a pas de hasard, l’histoire moderne de Noël trouve de nombreuses racines à New York à commencer par celle du Père Noël. En effet, les Hollandais y sont arrivés avec la tradition de Saint Nicolas (Sinterklaas) dont dérive Santa Klaus. La transformation s’opérera en particulier grâce à la contribution de deux auteurs. L’écrivain Washington Irving le popularisera en faisant de Saint Nicolas le Saint Patron de l’Etat de New York dans son livre « A history of New York » publié en 1809. Puis Clement Clarke Moore, un pasteur new-yorkais, en le décrivant comme un homme joyeux allant de maison en maison sur un traîneau pour livrer des cadeaux, dans son poème intitulé « C’était la nuit avant Noël ».

De fortes traditions à New York 

New York est aujourd’hui perçue comme une des villes incarnant le mieux l’esprit de Noël. Elle se transforme à cette occasion. La magie s’opère grâce à l’ambiance mais aussi grâce à des traditions locales. Ainsi, chaque année, la mise en place du gigantesque sapin de Noël au Rockefeller Center génère un vrai cérémonial. Les illuminations de grands magasins comme Saks sont célébrées. On retrouve les incontournables marchés de Noël de Bryant Park ou de Union Square et les patinoires. Par ailleurs, la ville se pare de décorations très emblématiques. Ainsi, on ne peut pas manquer les Nutcrackers (casse-noisettes), petits soldats en bois originaires d’un conte allemand, adaptés par Alexandre Dumas et qui vont inspirer le ballet du même nom. Ils sont partout dans la ville au moment de Noël et, en particulier, sur les affiches des grandes compagnies de danse. Mais il y en a tant d’autres symboles dans la ville tels que les gingerbread houses, maisons en pain d’épices recouvertes de glaçages colorés et de bonbons, la tradition des the elf on the shelf , lutin sur l’étagère que les parents déplacent tous les jours avant Noël, les films de Noël, le Ugly sweater, pull moche de Noël, les Christmas stockings, chaussettes de Noël, et beaucoup d’autres encore…

Un défi pour découvrir un autre emblème de Noël à New York

À vous de retrouver un autre emblème de Noël à New York. Il s’agit d’une confiserie que l’on déguste principalement à cette période et que l’on utilise pour décorer les sapins. Vous ne pourrez pas la manquer sur la Sixth Avenue entre la 46th et la 52nd St, on en a fait une belle sculpture de Noël. Et petit indice supplémentaire, ses couleurs habillent une partie de l’Empire State Building à partir du milieu du mois de décembre. Si vous doutez de la réponse, rendez-vous sur le site www.family-way.com.

Quelques adresses pour profiter de Noël dans le quartier et ses alentours

Midtown est le centre de l’attraction à New York pendant les fêtes de fin d’année. En longeant la Fifth ou la Sixth Avenue entre Central Park et Bryant Park, vous capterez déjà une bonne partie de l’ambiance. Voici quelques adresses à ne pas manquer pour vivre Noël pleinement à NYC :

  • Les Marchés de Noël ou Holiday markets comme on les appelle à New York pour intégrer toutes les fêtes de fin d’année. On y trouve des idées cadeaux, une atmosphère chaleureuse, des produits souvent locaux ou artisanaux. Ne pas manquer le Winter Village à Bryant Park ou le Union square holidays market.
  • Les centres commerciaux new-yorkais aménagent, eux aussi, leurs espaces pour les fêtes de fin d’année. On s’y déplace d’ailleurs parfois juste pour admirer les installations et profiter de la magie des lieux. Ainsi, Brookfield Place à proximité du One World Trade Center ou Hudson Yards à proximité du Vessel méritent vraiment le déplacement.
  • Evidemment, avec enfants ou pas, la magie s’opère en regardant les vitrines. Saks et Macy’s sont incontournables.
  • Si vous voulez vous plongez dans une ambiance de Noël pour déjeuner ou dîner, alors rdv chez  Rolf’s restaurant. Des murs au plafond, tout est recouvert de décorations de Noël.
  • Vous rêvez d’un bon et vrai chocolat chaud ? Alors rdv chez Angelina tout à côté de Bryant Park.
  • Enfin, si vous avez envie de partager une activité en famille, optez pour une des activités populaires à New York au moment des fêtes, le patinage. Vous pouvez choisir de patiner sous le sapin de Noël du Rockefeller Center, au milieu des buildings emblématiques de New York, au bord de l’Hudson River ou au cœur d’un des deux grands parcs de la ville (Central Park ou Prospect Park).
  • Si vous êtes prêts à vous éloigner un peu, alors rdv à Dyker Heights. Ce quartier résidentiel est situé au sud de Brooklyn. Les habitants y déploient des moyens gigantesques pour décorer leurs maisons. Pour ne rien manquer, baladez-vous de la 83rd à la 86th St, entre la 10th et la 13th Ave. Une des maisons exceptionnelles se trouvant précisément sur la 84th, entre la 11th et la 12th Ave.

Attention, avant de vous rendre sur l’un de ces sites, il est nécessaire de vérifier les dernières mises à jour concernant les mesures spéciales Covid-19.

Une « Nuit des passeports » au consulat de New York

Un passeport pour Noël. C’est l’engagement pris par le consul de France de New York. Jérémie Robert est bien conscient que les Français installés aux Etats-Unis ont hâte de retrouver leurs familles et amis après un an et demi de crise sanitaire et d’interdiction de voyager. « Chaque personne qui doit se rendre en France pour les fêtes de fin d’année aura un passeport », assure-t-il.

Preuve de cette mobilisation, une « Nuit des passeports » est organisée ce jeudi 2 décembre pour répondre aux situations d’urgence : le consulat restera exceptionnellement ouvert de 18h30 à 23h avec quatre agents disponibles pour recevoir les demandes de renouvellement de passeport. 

Pour obtenir l’un de ces rendez-vous de soirée, il faut écrire à [email protected] en joignant à sa demande la réservation du billet d’avion. Le consulat fixera alors un rendez-vous pour cette soirée ou pour l’un des jours suivants avec la liste des documents nécessaires. Cette adresse est d’ailleurs valable pour toute demande d’urgence tout au long de l’année.

La délivrance des passeports a été retardée l’an dernier suite à trois mois de fermeture du consulat, au cœur de la pandémie. « 4800 passeports ont été faits en 2019, 2800 en 2020 en raison de la fermeture entre les 19 mars et 19 juin 2020. Il a fallu résorber les demandes de passeport déposées durant cette période, explique Jérémie Robert. Nous avons traversé la crise en ayant le service des Français à cœur et nos équipes ont toujours été là pour délivrer des passeports. »

Le consulat assure avoir déjà mis les bouchées doubles depuis fin septembre pour faire face aux demandes post-pandémie. « Nous proposons 174 rendez-vous par semaine, soit entre 34 et 35 rendez-vous par jour », précise encore le consul. C’est 50% de rendez-vous supplémentaires chaque semaine. Les heures d’ouverture du consulat ont d’ailleurs été rallongées pour ajouter ces nouveaux rendez-vous : de 8h à 9h et de 14h30 à 15h30 du mardi au jeudi.

Un conseil : pour prendre rendez-vous mieux vaut se connecter en fin de journée, après 18h, au moment où de nouveaux créneaux sont proposés. Il faut compter deux semaines d’impression pour obtenir le passeport.

Le street artiste français Fuzi « défigure » Miami

Alors que la Miami Art Week bat son plein, le graffeur et tatoueur français Fuzi, installé à Los Angeles depuis cinq ans, fait le déplacement jusqu’à Miami afin de présenter son nouveau projet artistique intitulé « Defaced ». Une exposition visible jusqu’au lundi 31 janvier au Museum of Graffiti, un espace entièrement dédié à l’histoire de cet art urbain, implanté au coeur de Wynwood.

Armé de sa petite bombe de peinture, cet artiste autodidacte s’est longtemps servi des gares, trains et stations de métro de la banlieue parisienne comme une toile vierge afin d’exprimer son identité ainsi que ses revendications. « J’ai pris goût au graffiti vandale à la fin des années 1980 lorsque j’étais adolescent, fortement influencé par les graffeurs new-yorkais », confie Fuzi, aujourd’hui âgé de 46 ans.

Une révolte devenue mouvement artistique

À l’époque, l’artiste s’affranchit des règles établies dans le milieu afin d’imposer sa propre technique, désormais connue sous le nom d’« Ignorant Style ». « J’étais dans une démarche sauvage. Je voulais faire quelque chose de différent, volontairement éloigné de l’esthétisme et du conformisme. Un art brut en quelque sorte où l’instinct et la liberté prennent le pas sur la technique, insiste-t-il. On me disait alors que je peignais de la main gauche et que j’étais un ignorant. Assez ironiquement, c’est devenu un véritable mouvement artistique ».

De l’illégalité à la popularité il n’y a qu’un pas, que Fuzi n’a pas hésité à franchir. Aujourd’hui exposé en galerie, l’artiste multiplie les expositions et montre une autre facette de sa personnalité. « À mes débuts, j’exprimais une certaine forme de révolte à travers mes graffitis, mais avec le temps je me suis assagi, assure-t-il, dans un large sourire. Je souhaite désormais échanger avec les gens plutôt que d’être dans une perpétuelle confrontation ».

Les amateurs de street art peuvent ainsi prendre le temps d’interpréter les messages cachés derrière un enchevêtrement de personnages humoristiques, dessinés d’un trait, qui s’invitent dans ses oeuvres au graphisme très cartoon. « Je souhaite représenter la diversité de notre monde et celle de nos parcours, indique Fuzi. Cela peut apparaître comme simpliste de prime abord, toutefois il y a de nombreux détails qui permettent de pénétrer dans mon univers et de se questionner ou encore de rigoler ».

Si ses graffitis et fresques sont éphémères par essence, certaines de ses oeuvres ont quant à elles le privilège de subsister puisque de fil en aiguille Fuzi s’est aussi imposé dans l’univers du tatouage. Toujours à contre-pied, l’artiste a délibérément voulu casser les codes traditionnels de la profession. « Je ne reproduis jamais le même motif et surtout je ne tatoue pas dans un studio mais dans un lieu insolite et différent à chaque fois comme un tunnel de métro, une laverie ou encore un toit d’immeuble ». L’artiste marque ainsi les esprits tout en laissant une marque indélébile sur la peau de ses nombreux clients à l’image du DJ français Kavinsky, sans oublier l’actrice américaine Scarlett Johansson.

En 2022, remontez sur les planches ! Inscrivez-vous à L’Atelier Théâtre

[Agenda partenaire]

C’est l’heure du rappel !

Vous rêvez de (re)prendre le chemin des planches, ou d’apprendre à jouer au cinéma ?

Rejoignez L’Atelier Théâtre pour la session d’hiver/printemps 2022. Au programme, cours d’impro, jeu à la caméra, cours de mise en scène, avec à la clef deux représentations au Theater for the New City et au Hell Phone Cafe de Bushwick.

Retrouvez plus d’informations sur le site de L’Atelier Théâtre.

Et si vous souhaitez venir voir jouer la troupe avant de vous décider, rendez-vous :

Mardi 7 décembre à 20h
au Gene Frankel Theater :

Pour la présentation des cours de scènes classiques américaines sous la direction de Laura Townsend


Tickets en vente ici

Samedi 11 décembre
au Hell Phone Café de Bushwick

Pour une soirée de théâtre endiablée. Au programme match d’impro et l’heure du rappel (scènes contemporaines françaises improvisées) sous la direction respective de Remy S. et Guillaume Roper-Sirvent.


Tickets L’heure du rappel


Tickets Match d’impro

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Vidéo] Réouverture des frontières USA/France : les clés de la réussite pour développer son entreprise aux USA

Suite à la réouverture des frontières, après plus de 18 mois d’attente, et une nouvelle année sur le point de commencer, Isabelle Marcus, CEO de Columbus Consulting Group, Daniel Amzallag, CEO de Ivalua et Clara Bergnier, Managing Director de Columbus Consulting Group, mettent en lumière les clés de la réussite pour implanter et développer son entreprise aux Etats-Unis.

Quels sont les outils essentiels? Quels sont les conseils entrepreneuriaux pratiques à retenir? Et enfin, à quoi s’attendre désormais en matière de procédures de visas et de délais? Ce webinaire a exploré ces questions et leurs réponses à travers une discussion instructive et dynamique !

Visionnez le replay sur notre page YouTube

?  Contacter Columbus Consulting Group : [email protected]

A LA, la saison des marchés de Noël est ouverte !

A peine la dinde de Thanksgiving digérée, il est temps de se plonger dans l’esprit des fêtes de fin d’année ! Et rien de mieux pour se mettre dans l’ambiance que d’aller flâner dans les marchés de Noël, à la recherche des cadeaux à mettre sous le sapin.

  • Winter wonderland at Beverly Center : le marché de Noël pour les familles 

Avec sa forêt « magique » extérieure de sapins (plus de 100 !), le Beverly Center va faire briller les yeux des enfants. Tout a été pensé pour leur faire vivre la magie de Noël : des spectacles chaque samedi de Frosty le bonhomme de neige (gardez vos bonnets, des pluies de flocons seraient à prévoir), et un rendez-vous avec le Père-Noël (masqué et à distance) le 12 et le 19 décembre, pour immortaliser cet instant. Sur place, vous aurez la possibilité d’acheter couronnes et autres sapins (à partir de 35$), et pour les familles de confessions juives, des kits pour cuisiner le Challah et pour Chanukah. Masque (festif) obligatoire !

Infos pratiques :

Jusqu’au 31 décembre, au Beverly Center, 8500 Beverly Bd, Los Angeles 90048, entrée sur W 3rd St. Entrée gratuite. 

 

  • Coucou French Classes : les artisans français à l’honneur

L’école de français branchée du East Side a décidé de mettre sa French Touch dans les traditionnels marchés de Noël de fin d’année. Le 4 décembre, le « French Holiday Market » met en avant une sélection de marques et créateurs français de LA. Olivia Cognet propose à la vente ses bijoux, céramiques, et accessoires ; Sol Y Dune ses bougies maisons ; LalaLing Boutique ses jouets et vêtements pour enfants. Quant à ceux qui ont envie d’un bout de France à se mettre sous la dent pour les fêtes, ils ont l’embarras du choix entre les soupes maisons de Merci Maman, les crêpes et autres foie gras d’Air Food, les gâteaux de Basqueria, les choux de Choux & Co, et les vins naturels de Girls Gone Wine pour arroser le tout ! 

Infos pratiques : 

Le 4 décembre de 13 à 18h, au 2400 Hyperion Ave, Suite 1A, Los Angeles, CA 90027. Entrée gratuite.

 

  • Streetlet x Smorgasburg Holiday Shopping : les artisans angelinos à l’honneur  

Une startup de LA qui promeut les petites entreprises de la ville s’associe avec Smorgasburg, le plus grand marché dominical extérieur de la ville, pour une foire de Noël promouvant plus de 50 artisans locaux. Vêtements, objets de déco, accessoires, produits de beauté… L’idée : permettre aux Angelinos de faire leurs courses de Noël tout en soutenant leur communauté plutôt que d’acheter sur Amazon. Un stand d’emballage des cadeaux sera disponible sur place pour n’avoir plus qu’à les déposer sous le sapin. Pour ceux qui préfèrent choisir depuis leur canapé, il est possible de commander sur le site et de venir récupérer ses achats sur place. 

Infos pratiques : 

Chaque dimanche, du 28 novembre au 19 décembre, de 10h à 16h, à Row DTLA, 777 S Alameda St, Los Angeles, CA 90021. Entrée gratuite.

 

  • Jackalope Arts Burbank market : Noël version artie 

Ceux qui vivent plus au nord de LA ont aussi la possibilité de trouver leurs idées cadeaux en se promenant devant les stands des artisans des environs. Le Jackalope: Indie Artisan Fair, né en 2015 à Denver et Pasadena, a pris ses quartiers à Burbank depuis 2019. Rendez-vous lors du 2e week-end de Décembre pour découvrir des créations artisanales originales et variées : objets de décoration intérieur, des œuvres d’art, des bijoux, mais aussi de la papeterie. Et c’est gratuit !

Infos pratiques : 

Les 11 et 12 décembre 2021, de 10h à 16h, sur San Fernando Boulevard & Downtown Burbank. Entrée gratuite.

 

  • Heather Levine Ceramics Holiday Studio Sale : des céramiques sous le sapin 

Et si vous offriez des œuvres d’art que vous pourriez trouver dans le salon d’Alanis Morissette ou du célèbre designer Jeff Andrews ? La céramiste Heather Levine ouvre son studio pour sa vente annuelle de fin d’année, et la bonne nouvelle, c’est qu’en plus de ses créations, seront aussi proposées à la vente celles d’autres céramistes : Heather Rosenman, Jen E, Pawena Studio, Betsey Carter, MH Ceramics, Funsize Ceramics, Madeleine Pellegren, Alison Nix Ceramics, Matthew Rosenquist et Clare Crespo. Pensez à prendre votre masque, ils sont obligatoires !

Infos pratiques : 

Le 11 décembre, de 10h à 17h, 3024 Carmel St, Los Angeles. Entrée gratuite.

 

  • Eataly Holiday Market : le mercato aux saveurs italiennes

Il est coutume de dire qu’en Italie, les cadeaux les plus précieux sont ceux que l’on peut manger. Eataly Los Angeles honore cet adage : les artisans de bouche du marché ont pris soin de vous réserver les meilleurs produits italiens pour des cadeaux plus délicieux les uns que les autres. Traditionnels panettone et pandoro, biscuits traditionnels, chocolats, charcuterie, fromage, pâtes, huile d’olive, truffe pour les papilles, et aussi des objets maison pour la dégustation de chez Apotheke, Vietri, Ortigia, Bormioli. Des conseillers sont à disposition pour créer votre boîte cadeau personnalisée, si jamais vous ne trouvez pas boîte à votre pied dans celles déjà composées !

Infos pratiques : 

Tous les jours jusqu’à la fin de l’année (sauf le 25 décembre), de 8h à 21h (jusqu’à 18h le 24 décembre), au 3e étage du marché, 10250 Santa Monica Blvd, Los Angeles, CA 90067. Entrée gratuite.

 

  • A Current Affair : le marché de Noël vintage online 

Pour les fashionistas qui auraient à coeur d’offrir les plus belles pièces de designers à leur proches à un prix plus accessible, ou qui voudraient garnir leurs garde-robes auprès de vendeurs particuliers pour un Noël plus écolo, ce pop-up vintage marketplace est le marché de Noël à ne pas louper ! Vêtements, accessoires et bijoux, de l’époque victorienne à aujourd’hui : chacun peut y trouver son bonheur, et surtout celui de ceux qu’ils cherchent à gâter ! 

Infos pratiques : 

Le 3, 4 et 5 décembre, sur le site internet : https://www.itsacurrentaffair.com/

Evan Fournier, à New York : « Joséphine Baker était une femme de courage »

Le basketteur français des Knicks s’est rendu au sommet de l’Empire State Building à New York, le 29 novembre, pour une cérémonie en l’honneur de Joséphine Baker. Le joueur de 29 ans a rendu hommage à la militante franco-américaine qui entre au Panthéon à Paris aujourd’hui, et en a profité pour évoquer ses premiers pas avec son équipe, qui affronte les Brooklyn Nets ce soir.

 

Vous avez répondu à l’appel du Consul général de France à New York, Jérémie Robert, pour rendre hommage à Joséphine Baker ce soir. Pourquoi était-ce important pour vous d’être présent ?

Je ne vais pas mentir en disant que je connais l’histoire de Joséphine Baker par cœur, mais je sais que c’était une femme de courage. Elle s’est battue contre le racisme toute sa vie, un thème qui est encore malheureusement d’actualité. C’était une précurseur et son parcours donne envie de se battre et d’y croire dans la vie.

 

L’Empire State Building est illuminé aux couleurs du drapeau français ce soir, sous votre égide. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?

Je suis très fier. Tous les soirs quand je sors mon chien le long de l’Hudson River, j’ai une très belle vue sur l’Empire. Ce soir, je vais pouvoir observer les couleurs de ma patrie.

 

Au-delà de ses combats antiracistes et pour la libération de la France pendant la Seconde Guerre Mondiale, Joséphine Baker représentait aussi l’amitié franco-américaine. Vous vous partagez également entre ces deux cultures depuis dix ans, date de vos débuts en NBA aux États-Unis. Vous perpétuez à votre niveau ce lien qui unit les deux pays.

Je ne sais pas si je suis un lien entre les deux pays, mais c’est vrai que je suis un Français qui vit aux États-Unis. Mon fils est né ici et est Américain. Nous nous sommes imbibés de la culture et avons appris à vivre ici. Mine de rien, j’ai beaucoup grandi en tant que personne depuis mon départ de France.

 

Qu’est-ce que chacune des deux cultures vous a apporté dans la vie ?

Il y a beaucoup de choses dans la culture US qui nous attirent avec ma femme. À titre plus personnel, je vais forcément parler de la compétition. Les Américains n’ont pas froid aux yeux dans le fait d’afficher leurs ambitions. Ils n’hésitent pas à parler haut et fort de ce qu’ils ont envie de réaliser et mettent les moyens pour réussir. En comparaison, nous sommes un peu faiblards sur ces aspects en France. C’est pour ça que je me sens si bien ici.

 

Parlons basket si vous le voulez bien. Vous allez affronter pour la première fois les Brooklyn Nets avec le maillot des New York Knicks, le 30 novembre. Vous aurez fort à faire face à James Harden et Kevin Durant.

Je suis venu à New York pour jouer ce genre de matches. J’étais habitué à la rivalité entre Orlando et Miami, mais là je pense que ça va être encore autre chose. C’est un vrai « derby » qu’il faut gagner.

 

Ce match va se jouer au Barclays Center à Brooklyn, mais les fans des Knicks se déplacent en général en nombre et font plus de bruits que les supporters locaux.

Oui c’est comme si on jouait chez nous, paraît-il. Ça c’est LA bonne nouvelle (rires).

 

À titre collectif, vous avez très bien commencé la saison avec cinq victoires sur les six premiers matches, mais vous connaissez maintenant une période moins faste qui vous a fait redescendre à la 7ème place à l’Est. Comment l’expliquez-vous ?

On est inconstant en tant qu’équipe et donc forcément les individualités souffrent aussi. Nous sommes cinq sur le terrain, et devons retrouver un esprit collectif. On est quand même sur une pente ascendante depuis trois matches, même s’il nous reste beaucoup de boulot pour retrouver notre rythme du début de saison. Mais vu la qualité de cet effectif, je ne suis pas inquiet pour la suite (NDLR : les Knicks restent sur deux victoires en trois matches. Ils ont battu les Lakers de Los Angeles le 23 novembre, et les Atlanta Hawks le 27).

 

Vous avez vous aussi très bien commencé la saison sur le plan personnel, avant de réaliser des prestations moins abouties ces dernières semaines. Vous connaissez vos premières critiques, dans une ville exigeante avec ses basketteurs. Comment le vivez-vous ?

La seule critique importante, c’est celle que je me fais à moi-même. J’ai vraiment manqué de rythme durant les dix premiers matches de novembre, j’avais un vrai coup de mou. Mais je considère que je suis sur la bonne pente depuis, tout comme mon équipe. Il faut continuer d’avancer, je ne suis pas un joueur différent de ce que j’étais il y a trois semaines. J’ai besoin de prendre mes marques.

French Expat : Chloé (Massachusetts), le woofing pour réinventer sa vie

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Cette semaine, nous rencontrons Chloé, venue de Bourgogne et expatriée dans la campagne du Massachusetts. C’est à une heure environ en voiture de Boston, dans le charmant village de Peperell, qu’Anne-Fleur est partie rencontrer cette woofeuse passionnée d’équitation et de vin.
Et non, ce ne sont pas des détails pour vous la présenter : il s’agit d’éléments importants pour suivre l’histoire de cette invitée aux Etats-Unis et au Canada au cours des trois dernières années.
Le woofing, c’est du volontariat en ferme dans lequel des voyageurs échangent leurs services contre logement et nourriture. C’est dans la ferme dans laquelle elle a été woofeuse que Chloé a rencontré son mari. C’est également là qu’ils se sont mariés et où ils vivent encore aujourd’hui.
Alors c’est parti, direction Peperell à la rencontre de Chloé !
Pour retrouver Chloé sur les réseaux sociaux, c’est par ici :  @chloe_urcissin


À la fin de chaque épisode, nos invités nous proposent de découvrir leur ville/pays d’adoption en partageant les choses qu’ils voient à leur fenêtre, les choses à sentir ou bien même à goûter.

Dans la campagne de Chloé, le maître mot est le travail en extérieur. Si vous allez à Peperell, ce sera l’occasion de visiter sa ferme pendant l’automne pour y faire du leaf peeping : l’observation des feuillages rouges, orange et jaunes du mois d’octobre.

La nature est prédominante dans cette jolie campagne donc soyez préparés à beaucoup de calme, au bruit des oiseaux, aux balades longues avec les chiens et à faire de l’équitation. Point bonus : le brownie fait maison de Chloé !

Production :

Le chocolatier Amaury Guichon s’invite sur Netflix

Depuis le 26 novembre, le chef pâtissier-chocolatier Amaury Guichon est la vedette de la nouvelle émission de téléréalité « School of Chocolate », diffusée sur Netflix. Installé depuis plusieurs années à Las Vegas et fondateur de la Pastry Academy, le jeune chef franco-suisse fait ses débuts sur le petit écran dans une émission qu’il coproduit et dans laquelle il est à la fois animateur et jury. C’est lui qui décidera quel candidat a proposé la meilleure création avec pour critères le goût, la technique et la prise de risque. Il s’agit aussi d’une version télévisée du quotidien d’Amaury Guichon, dans son école de Las Vegas. La seule différence réside dans le fait qu’elle se déroule sous la forme d’un challenge, au cours duquel huit professionnels du monde entier s’affrontent.

Chaque émission est construite selon le même principe. La première partie se déroule en individuel et la seconde se compose de challenges par équipe. « À chaque épisode, je présente une création exclusive qui sera soit de la pâtisserie, soit une pièce artistique en chocolat. Ensuite, j’enseigne aux étudiants, sous la forme d’une master class, une partie clé du travail pour leur permettre d’élaborer les pièces. Après cela, les professionnels-étudiants disposent d’un temps imparti pour réaliser une création de leur choix, en s’appuyant sur la technique enseignée », explique Amaury Guichon, sans cacher que ce show télévisé est l’aboutissement d’un travail intensif et d’une longue attente.

« Je suis aussi très fier de pouvoir faire découvrir mon travail au grand public sous un autre angle », dit-il également. Au terme des huit épisodes, un seul participant sortira vainqueur, avec comme récompense la somme de 50 000 dollars et l’opportunité de venir donner une master class dans la Pastry Academy d’Amaury Guichon à Las Vegas.

HEC Montréal met en place un service de mentorat pour ses nouveaux élèves

[Article partenaire] L’année préparatoire du baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) d’HEC Montréal vous intéresse ? Pour vous accompagner et faciliter votre intégration, la communauté HEC Montréal a mis en place plusieurs actions, notamment un remarquable service de mentorat offert par des bénévoles, étudiants et diplômés.

L’année préparatoire du B.A.A

L’année préparatoire du B.A.A. est une année d’intégration qui s’adresse à des personnes issues des systèmes scolaires hors Québec. Ces étudiants – appelés les prépas à HEC Montréal – doivent opérer une transition vers une nouvelle pédagogie et un environnement différent. Ils se mettent à niveau et acquièrent les méthodes de travail nécessaires à leur réussite en contexte nord-américain. Dans le même temps, ils se familiarisent avec un nouveau cadre culturel : Montréal et le Québec.

Cette situation les expose à une adaptation importante. C’est pourquoi les enseignants du B.A.A. ont mis en place des formules innovantes pour faciliter leur intégration, dont le mentorat par les pairs pour tous les prépas.

Des mentors sélectionnés, préparés et encadrés

Les mentors sont des étudiants des années supérieures et des diplômés bénévoles. Ils connaissent très bien le programme du B.A.A., les attentes des enseignants et les ressources disponibles. Ils sont encadrés par l’équipe pédagogique de la prépa et formés aux techniques d’entraide et d’assistance psychologique. Pour que la formule fonctionne au mieux, ils sont connectés aux prépas en fonction de leur personnalité, de leurs centres d’intérêt et de leur pays de résidence.

Par centaines, venant des cinq continents

Depuis la rentrée 2020, ce sont 320 élèves qui ont été mentoré(e)s par 120 mentores et mentors, de 31 pays de résidence différents (par exemple : Canada, France, Maroc, Tunisie, Sénégal, Côte d’Ivoire ou encore Chine).

Des conseils et de l’aide

Ainsi, les bénévoles sont capables d’accompagner les prépas en leur offrant une écoute et des conseils. Pour l’essentiel, le rôle des mentors est de les aider à s’orienter dans leur nouvel environnement scolaire et à comprendre les attentes des enseignants. Mais on leur demande également d’être attentifs aux signes de détresse chez leurs mentorés. En cas de besoin, ils peuvent leur apporter un soutien et les guider vers les bonnes ressources. Au-delà de cela, ils vont aussi leur apprendre à se débrouiller au sein de HEC Montréal – en s’adressant, par exemple, aux Services aux étudiants, à leurs enseignants ou à l’une des nombreuses associations présentes sur le campus.

Au-delà de l’appui concret qu’elle représente, cette forme de mentorat correspond à l’approche pédagogique de l’année préparatoire. En effet, on y accorde une grande importance au développement de qualités qu’on souhaite trouver chez les gestionnaires en devenir : écoute, empathie, sensibilité culturelle, entre autres.

Et la formule fonctionne !

Jusqu’à présent, le taux d’abandon reste négligeable, et les premiers retours sont positifs : les étudiants s’impliquent, s’accrochent et sentent qu’ils appartiennent à la communauté de HEC Montréal.

Pour plus d’informations sur l’année préparatoire du B.A.A, cliquez juste ici.

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