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My Medical Suitcase : l’alternative française au traitement de votre cancer

[Article partenaire] Coralie*, Française expatriée aux Etats-Unis depuis quinze ans, diagnostiquée pour un cancer du sein en mai dernier aux Etats-Unis, a expérimenté la solution My Medical Suitcase. Elle témoigne.

Témoignage de Coralie

« Âgée de 41 ans et résidant aux Etats Unis depuis plus de quinze ans, j’ai été diagnostiquée avec un cancer du sein (stage 1) en Mai 2021, lors d’un examen de routine.

Environ trois semaines plus tard, à la suite d’un rendez-vous dans le département de cancérologie du sein d’un grand hôpital américain, mon opération pour retirer la tumeur a été programmée et tout m’a été expliqué en détail. De nombreux examens supplémentaires ont été nécessaires (échographies, mammographies, pose d’une puce radioactive pour l’opération…) et j’ai commencé à recevoir les très nombreuses factures correspondantes … Malgré notre bonne couverture santé, les sommes étaient exorbitantes, particulièrement en comparaison aux tarifs auxquels nous sommes habitués en France.

L’opération s’est bien passée et il fallait désormais penser à l’organisation de la phase 2 du traitement : les quinze séances de radiothérapie quasi quotidiennes qui doivent généralement commencer environ quatre semaines après l’opération. Nous étions à ce moment-là début juin, et l’idée de renoncer à notre été en France en famille et de priver mes enfants de leurs grands-parents et cousins était pour moi un crève-cœur. Au-delà de l’aspect financier, l’éloignement de mes parents et amis dans un tel moment n’était pas possible et chercher des solutions fut une réelle source de stress. Après d’innombrables coups de fils à des amis, relations d’amis, hôpitaux et cliniques… aux quatre coins de la France, j’ai vite réalisé à quel point il allait être compliqué pour moi d’organiser mon traitement à distance, et qu’il serait probablement plus sage de renoncer à ce voyage.

Heureusement, grâce à une amie française vivant aux Etats-Unis, j’ai entendu parler de My Medical Suitcase

Grâce à My Medical Suitcase, tout mon traitement de radiothérapie a pu être organisé rapidement, à proximité de mon lieu de résidence en France, à très bon coût et avec la garantie de recevoir des soins d’excellente qualité. Les locaux de la clinique où j’ai effectué mes soins étaient faciles d’accès, propres et le personnel était à la fois très accommodant, compétent et extrêmement gentil. Je suis vraiment heureuse d’être passée par ce service qui a rendu cette expérience facile et m’a permis de passer malgré tout un bon été. Je recommande vivement à quiconque qui souhaite effectuer ses soins de radiothérapie ou de traitement du cancer en France, que ce soit pour une raison financière, pratique ou juste afin d’être entouré de ses proches, de passer par My Medical Suitcase. »

Coralie, USA, le 22 octobre 2021

Grâce à Coralie et aux fréquents échanges avec d’autres expatriés, les équipes de My Medical Suitcase ont pris conscience des difficultés que vous pouviez rencontrer aux Etats-Unis face à la maladie.

My Medical Suitcase, grâce à son réseau d’experts en cancérologie, réparti sur l’ensemble de l’Hexagone, permet aux patients une prise en charge rapide, d’excellence, basée sur la confiance, avec un coût maîtrisé à proximité du lieu de résidence de vos proches et des personnes qui vous sont chères sur le territoire français.

My Medical Suitcase : comment ça marche ? 

Ne restez pas isolé(é) avec votre problématique oncologique. Si vous, un de vos proches ou un(e) ami(e) rencontrez les mêmes interrogations que Coralie, contactez My Medical Suitcase, un contact n’engage à rien !

– Site internet : http://www.mymedicalsuitcase.com
– E-mail : [email protected]
– Whatsapp : +33 619 598 418 (France)

* Le prénom a été modifié pour des questions d’anonymat

Pour en savoir plus : webinaire le 7 décembre 2021

Rendez-vous le 7 décembre 2021 à 12pm ET pour un webinaire avec le Docteur Blanchard, oncologue radiothérapeute et Isabelle Van Renterghem, Présidente de My Medical Suitcase. Vous aurez l’occasion de poser toutes vos questions en direct.

Inscriptions juste ici.

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi « Black Friday » ?

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Promotions monstres en ligne et dans les boutiques, longues queues devant les magasins dans l’attente de l’ouverture des portes, voire batailles entre clients (du moins avant la pandémie) : le Black Friday est de retour vendredi 26 novembre. La tradition veut que les commerçants offrent des rabais exceptionnels le vendredi après Thanksgiving et lancent ainsi les achats de Noël. Mais pourquoi « Black » Friday ? C’est la Question Bête de la semaine.

Abraham Lincoln avait fait du dernier jeudi de novembre le jour officiel de Thanksgiving, décrété jour férié. Une tradition tacite voulait que les grands magasins commençaient leurs offres de Noël après cette fête familiale. Au début du XXe siècle, dans le bouillonnement économique des Roaring Twenties (Années Folles), beaucoup de grandes enseignes se sont mises à organiser des parades et autres rassemblements festifs pour marquer le coup d’envoi des soldes. Macy’s a ainsi créé la sienne en 1924 à New York. Elle existe encore aujourd’hui.

La couleur des profits

Petit à petit, le vendredi est devenu une référence. Le succès commercial était tel que beaucoup d’absences étaient constatées dans les entreprises. En 1939, lors de la Grande Dépression, les commerçants demandèrent au Président Roosevelt de décaler la date de Thanksgiving d’une semaine pour que la période des achats de Noël dure plus longtemps. Ainsi, du dernier jeudi de novembre, Thanksgiving est passé au quatrième jeudi de novembre – certaines années, il y avait en effet cinq jeudis dans le mois. Les promotions monstres du lendemain de Thanksgiving se sont alors uniformisées aux États-Unis.

Quant aux origines du nom de « Black Friday », plusieurs explications circulent. La première, sans preuve historique : au début du XIXe siècle, au lendemain de Thanksgiving, les esclaves auraient été bradés pour aider les propriétaires terriens à passer l’hiver. Bien qu’elle ait été démentie, cette rumeur entraîne chaque année des « boycotts de Black Friday ».

Une autre explication apparaît dans les années 80 : dans leurs registres de comptes, les commerçants marquaient à l’encre rouge les déficits et à l’encre noire les profits. Le vendredi post-Thanksgiving, l’encre passait du rouge au noir grâce aux soldes et bonnes affaires, d’où le surnom de « Black Friday » attribué à cette journée lucrative pour les commerçants.

Jour d’embouteillages à Philly

Une histoire créée de toute pièce selon Bonnie Taylor Blake, chercheuse en neurosciences à l’université de Caroline du Nord et passionnée d’étymologie. Après avoir étudié plusieurs journaux et documents historiques, elle affirme que le terme « Black Friday », utilisé pour désigner le crash de 1929, a refait surface en décembre 1961. Il apparaît dans une publication officielle de la police de Philadelphie. Les agents appelaient le vendredi en question « Black Friday » en raison des embouteillages causés ce jour-là par les fans de football qui venaient tous les ans à Philadelphie assister, le samedi, au derby Navy-Army, entre les équipes des deux académies militaires. Pour ajouter du désordre au désordre, certains supporters en profitaient pour se servir dans les magasins bondés.

« Les policiers de Philadelphie utilisaient ce terme d’une manière humoristique pour décrire une journée qui était désastreuse pour eux à cause de tous les bouchons et du monde qu’il y avait downtown. Ça leur donnait beaucoup de travail en plus » , explique Bonnie Taylor Blake. Le phénomène se reproduisant tous les ans, les habitants de Philadelphie ont adopté l’expression. Au grand dam des commerçants qui la jugeaient trop péjorative. Ils ont même voulu le changer en « Big Friday ». En vain. En utilisant le message des comptes passant du rouge ou noir, ils sont parvenus à donner une acception positive au terme, qui s’est répandu pour devenir, dans les années 1990-2000, synonyme de la cohue commerciale que l’on connaît aujourd’hui.

Une première version de cette Question Bête a été publiée le 25 novembre 2015.

Une épée de Napoléon mise aux enchères aux Etats-Unis

Six artéfacts militaires de l’époque napoléonienne seront mis aux enchères début décembre à Rock Island, dans l’Illinois. Composée de cinq armes à feu et d’une épée, la collection de feu Robert M. Lee est estimée valoir entre 1,5 et 3,5 millions de dollars.

Les quatre pistolets et la carabine n’ont, a priori, pas appartenu directement à Napoléon – mais pourraient avoir été commandés par l’Empereur pour offrir à ses officiers, ses alliés politiques ou à des dignitaires étrangers. L’épée et son fourreau sont en revanche bien passés dans ses mains : il les a reçus du Directoire de la République française en 1797, lorsqu’il était général, et les a portés lors du coup d’Etat du 18 brumaire 1799, après lequel il est devenu Premier Consul de la République.

« Une pièce remarquable »

Joel Kolander, responsable marketing à Rock Island Auction Company, explique qu’« après avoir été couronné en 1804, Napoléon a offert l’épée en question au général Jean-Andoche Junot. A sa mort, sa femme en a hérité. Elle s’en est séparée pour éponger des dettes en 1815 et l’a vendue à un commandant dont le nom reste inconnu ». L’année suivante, l’épée à double tranchant et son fourreau finement sculpté sont exposés à l’oplothèque de Londres, avant de passer par la demeure de Thomas Windus puis par l’armurerie royale. En 1833, le baron irlandais Robert Dillon en devient le nouveau propriétaire. L’épée reste dans sa famille pendant plus d’un siècle, puis est mise aux enchères par ses descendants, en 1976, chez Christie’s.

L’historien J. David Markham, auteur du livre « Napoléon pour les nuls » et lui-même collectionneur d’art napoléonien, explique qu’il n’assistera pas à la vente. D’abord parce qu’il « s’intéresse essentiellement aux objets d’arts décoratifs » (il est particulièrement fier de sa tabatière, que Napoléon aurait offert à son relieur, Cocatrix, à l’occasion du mariage de celui-ci) ; puis « en raison de la fourchette de prix de ces armes ». Il suivra toutefois les résultats avec intérêt. « L’épée est évidemment une pièce remarquable, et il y aura, en plus de ce lot, d’autres articles notables, notamment des mousquets », souligne-t-il.

Napoléon, un homme progressiste

Sa passion pour Bonaparte lui a été transmise par son père, qui lui racontait enfant « les exploits d’Alexandre le Grand, de Jules César et de Napoléon ». La popularité de l’Empereur aux Etats-Unis s’explique, selon lui, par le fait que « les Américains aiment l’idée d’un homme d’action », et que, « comme la plupart des Occidentaux, ils apprécient la grandeur de la cour impériale et du style néoclassique ».

En tant qu’historien, il insiste également sur le rôle joué par Napoléon dans la création de l’Europe moderne. « Il a institué des réformes progressives dans la banque, le commerce, les transports, l’éducation et la liberté religieuse sans précédent en Europe continentale. » Il rappelle enfin que « son frère aîné, Joseph Bonaparte, a émigré aux Etats-Unis après la chute de l’Empire ».

La vente aux enchères clôturera l’année de célébrations du bicentenaire de la mort de Napoléon. Si David Markham regrette que la pandémie de COVID-19 ait empêché la tenue de certaines manifestations, il indique que « de nombreux évènements ont malgré tout eu lieu : des cérémonies au Tombeau de Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène, une exposition à la Vilette à Paris, une série de conférences co-organisées par la Société Historique Napoléonienne (dont il est président émérite, ndlr) et la Société Napoléonienne Internationale (dont il est président, ndlr) ».

Des cadeaux et de la musique française : fêtez Noël avec Le Bal Français à New York

Ça vous manque de vous trémousser sur « Les démons de minuit » ou de vous casser la voix sur Céline Dion ? Bonne nouvelle, la grande soirée des Français de New York est de retour le samedi 4 décembre au Lot45 à Bushwick (Brooklyn).

Maxime Aubin et Valentin Delouis, les organisateurs de l’événement, vous attendent nombreux pour célébrer nos bons vieux tubes français jusqu’au bout de la nuit. Le père Noël sera également de la partie et sortira de sa hotte de nombreux cadeaux (casquettes, t-shirts à l’effigie du Bal Français et surprise pour les 100 premiers arrivés).

Ouvert aux 21 à 99 ans. Preuve de vaccin à présenter à l’entrée (une dose minimum). Le Bal Français a été créé en 2019 à New York. Il est devenu en deux ans la soirée référence des Français et Francophiles, réunissant plusieurs milliers de personnes dans une ambiance toujours conviviale et bon enfant. Il organise également un premier événement à Los Angeles le 11 décembre. 

Rejoindre une école de cuisine et d’hôtellerie en France : session d’information gratuite

Après votre scolarité aux États-Unis, choisissez votre future école en France

Du 15 au 19 novembre, French Morning organise un salon en ligne dédié aux étudiants francophones vivant à l’étranger et souhaitant venir -ou revenir- en France pour leurs études supérieures.

Tout au long de la semaine, nous vous proposons de découvrir une vingtaine d’établissements d’études supérieures français, à travers des présentations par catégories : commerce, cuisine et hôtellerie, ingénierie, audiovisuel et design, ou encore sciences politiques et relations internationales.

Visionnez la session dédiée aux écoles de cuisine et d’hôtellerie

Avec :
– FERRANDI Paris : [email protected]

– FAUCHON : [email protected] / +33 2 35 15 47 74

– VATEL : [email protected] / +33602127930

Un événement French Morning Media Group.

Études supérieures en France : choisissez votre future école d’ingénieur

Après votre scolarité aux États-Unis, choisissez votre future école en France

Du 15 au 19 novembre, French Morning organise un salon en ligne dédié aux étudiants francophones vivant à l’étranger et souhaitant venir -ou revenir- en France pour leurs études supérieures.

Tout au long de la semaine, nous vous proposons de découvrir une vingtaine d’établissements d’études supérieures français, à travers des présentations par catégories : commerce, cuisine et hôtellerie, ingénierie, audiovisuel et design, ou encore sciences politiques et relations internationales.

Visionnez le replay de la session dédiée aux écoles d’ingénieurs

Avec :
– ESTP Paris : [email protected]

– ESCOM Chimie : [email protected]

–  EPITA : [email protected] / +33 (0)1 80 51 71 07

Un événement French Morning Media Group.

Maxime Cressy à LA : « Je serai numéro un mondial »

Maxime Cressy est la nouvelle pépite du tennis mondial. Révélé lors du Grand Chelem de l’US Open l’été dernier, où il atteignait le second tour du tournoi, le joueur de 24 ans et ses 2m01 de haut, enchaîne les bons résultats. Il pourrait intégrer le Top 100 dans les semaines à venir.

Né à Paris, Maxime grandit avec l’amour du sport. Outre sa maman championne de volley-ball à l’USC (University of Southern California), son frère Mathieu, acharné de la balle jaune, lui donne le goût du tennis. « Ado, j’assistais à tous ses tournois. À force de jouer contre le mur, j’ai eu envie d’aller plus loin, de le copier et d’aller me frotter à la compétition. »

Installé à Los Angeles

À 16 ans, le Pôle France de la Fédération française de tennis ne voyant pas en lui un futur espoir, il suit les conseils de sa mère et file tout droit aux Etats-Unis, d’abord dans une académie californienne avant d’intégrer UCLA, la célèbre université de Los Angeles. « Le système américain, beaucoup plus visionnaire, cible les joueurs à potentiel. C’est en Californie que j’ai pu ainsi retrouver ma confiance et enchaîner mes premiers résultats avec un premier titre national en double à la clé. »

Naturalisé américain, « non pas par revanche mais par conviction, par envie de jouer pour ce pays qui me donnait ma chance et pour la joie que cela me procure », Maxime Cressy sort de l’Université, diplôme en poche, à 22 ans. Sous les couleurs du drapeau américain, il enchaîne ses premiers tournois Futures (une catégorie réservée aux jeunes joueurs avant le passage aux Challengers et tournois ATP), installe son camp de base à Hermosa Beach, au sud de Los Angeles, et créé sa structure.

Un jeu de service-volée

En 2019, il décroche son premier titre significatif en remportant le tournoi Challenger de Cleveland, enchaîne l’année d’après avec une victoire au Canada au tournoi de Drummondville et créé la sensation en imposant un style de jeu fondé sur le service-volée délaissé par l’ensemble du circuit. « Après une blessure au coude à 14 ans, j’ai dû faire évoluer mon jeu. Le jeu de volée du tennisman Richard Krajicek visualisé sur Youtube, et les montées au filet de Pete Sampras m’ont convaincu de systématiser mon jeu vers l’avant. Beaucoup de gens m’ont pris pour un fou mais ma détermination était trop forte pour me faire abandonner. »

Entouré de deux coachs et préparateurs mental, Maxime Cressy veut briller. Après New-York en août dernier, où il s’est offert Pablo Carreño Busta, tête de série numéro 9 et médaillé de bronze aux Jeux Olympiques, il franchissait en octobre dernier les qualifications du très relevé tournoi d’Indian Wells, remportait en 3 sets son match contre Laslo Djere avant de perdre, malgré deux balles de match, contre le puissant Diego Schwartzman.

Atteindre le Top 20 en 2022

N’ayant peur de rien ni de personne, le tennisman affiche aujourd’hui ses ambitions. « Intégrer le Top 100 à la fin de l’année, figurer dans le Top 20 en 2022 et devenir numéro un mondial : voilà mes objectifs, explique le joueur. Le secret de la victoire réside d’abord dans le mental et la confiance. Des joueurs de la nouvelle génération, comme Medvedev, Ruud ou Brooksby l’ont bien compris. Le plus important pour moi est de banaliser chaque événement, d’enlever toute source de pression. Après, tout peut arriver. »

En attendant les prochains sacres, Maxime Cressy vient d’atterrir en France. Il disputera plusieurs tournois Challengers en Europe. Six semaines de tennis pour le propulser au plus haut rang.

Combien ça coûte les modes de garde pour enfant à Washington

Faire garder son enfant représente un énorme budget à Washington. Selon Economic Policy Institute, les modes de garde de la capitale fédérale sont même les plus coûteux du pays. En moyenne, il faut compter 24 000 dollars par an et par enfant. Voici quelques informations sur les prix en vigueur à DC.

1- En first class : environ 1000 à 1500 dollars par semaine 

La full time nanny est une nounou qui est au service exclusif de votre enfant, à hauteur d’environ 40 heures par semaine. Depuis la crise du Covid, Washington connaît une pénurie de nounous, ce qui a fait augmenter les tarifs. Actuellement, il faut compter entre 25 et 30 dollars/heure en moyenne pour une nounou à plein temps. À noter que le prix varie en fonction de l’expérience de la personne. Il existe des sites entièrement consacrés à la recherche de nounous dans la capitale américaine, comme White House Nannies ou Metropolitan Nannies. La plupart des nounous ont droit à deux ou trois semaines de congés payés par an, ainsi qu’à un bonus en fin d’année. Le point fort de cette solution est qu’elle offre la liberté d’embaucher des nounous françaises ou qui parlent français en seconde langue.

2 – En classe économie : autour de 500 euros par semaine 

La capitale américaine est reconnue pour ses nombreuses preschools et les prix varient entre 250 dollars par semaine jusqu’à plus de 2 000 dollars par semaine. Disons le clairement, elles restent chères à Washington, en partie à cause du prix de location des bâtiments au sein de la ville. Aussi, la plupart des preschools n’intègrent les enfants qu’à partir de 3 ans, même si certaines acceptent les petits dès 2 ans. Voici quelques exemples de preschool à Washington : Kiddie Academy of DC, The Children’s House of Washington, Montessori School of Washington DC, Embassy Row Child Development Center.

Les daycare centers, ou crèches, acceptent les enfants à partir de 6 semaines, et les prix varient en fonction des horaires d’ouverture. En moyenne, il faut compter au moins 500 dollars par semaine pour une crèche à temps plein. Exemples de daycares à DC : La Petite Academy, Elonda’s daycare, Capital KIDS DC.

3- En classe low-cost : entre 200 et 500 dollars par semaine 

Si vous avez une grande maison, pourquoi ne pas accueillir un.e étudiant.e au pair chez vous pour s’occuper de vos enfants ? Selon la loi américaine, un.e personne au pair doit être rémunéré.e au minimum 195,75 dollars par semaine pendant au moins douze mois et doit recevoir trois repas par jour, ainsi que posséder sa propre chambre. Elle ne peut travailler pour vous plus de 45 heures par semaine et plus de 10 heures par jour. Et elle a droit à des journées de repos : un jour et demi par semaine et au moins un week-end par mois, ainsi qu’à deux semaines de congés payés par an. Vous pouvez trouver toutes les réglementations pour devenir au pair ici. Il existe plusieurs agences dédiées au recrutement de personnes au pair et que vous pouvez contacter : Au Pair International, AuPairCare, Cultural Care Au Pair ou encore Usaupair. Vous pouvez aussi faire un tour sur le site de Mamans autour de DC car des offres sont postées presque chaque semaine.

Une autre solution consiste à placer votre enfant au sein d’une crèche à domicile, aussi appelée home daycare ou home-based child care. En moyenne, il faut compter 250 à 300 dollars par semaine. Souvent, ce sont des assistantes maternelles qui se regroupent dans une maison ou un appartement et gardent plusieurs enfants. Cela peut être aussi, tout simplement, une crèche familiale au sein d’un particulier professionnel et licencié. Ce mode de garde peut offrir une solution agréable pour tout le monde, à condition de visiter l’espace dédié aux enfants et de s’assurer que la crèche est labellisée.

Enfin, il existe la solution ultime du partage de nounou. Le nanny sharing est de plus en plus courant à Washington. Cela peut être difficile à mettre en place, il vous faudra arpenter les différents sites internet et les groupes de parents afin de trouver le bon plan. L’idée est simple et efficace : trouver une seconde famille qui vit dans le même quartier que vous, une nounou et un espace commun (votre salon par exemple). La nounou s’occupe des deux bébés dans l’un des domiciles et vous pouvez ainsi diviser le coût de la nounou par deux. Il existe quelques sites et des forums consacrés au nanny share à DC comme DC Urban mom Nanny share ou encore Mamans autour de DC.

Enfin, si vous avez besoin de quelqu’un pour quelques heures par semaine, un.e babysitter peut être parfait et les prix varient selon le profil et l’expérience.

4 – En classe Système-D : les co-ops de baby-sitters ou les bons copains

Pour les parents qui travaillent à mi-temps, le principe de co-ops de babysitters peut être agréable. Le principe : une famille ou un parent garde les enfants d’une autre famille du même quartier. Pas de frais financiers, mais les familles demandent un échange de services. Il existe plusieurs sites qui proposent des offres, également en français, mais vous pouvez aussi contacter vos voisins.

Radio Monaco Made In New York s’installe dans West Village

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La radio princière, qui émet dans le Sud-Est de la France depuis 2007, a décidé de s’exporter à New York en format web pour satisfaire les Francophones de Big Apple. « L’idée de lancer une web radio nous est venue pendant le confinement de mai 2020. Nous voulions promouvoir les DJs qui ne pouvaient plus exercer leur activité, et offrir aux auditeurs de la musique électro en continu », explique son gérant Thierry Genoud.

Le fondateur de la station n’est autre que Gildo Pastor, consul de Monaco à New York depuis 2015 et amoureux de la ville. « L’objectif est d’informer, de connecter les Francophones et de faciliter la diplomatie française et monégasque », résume Thierry Genoud. Radio Monaco Made in New York a été lancée officiellement le 12 novembre, à l’occasion de l’ouverture d’un studio à West Village destiné aux DJ’s de la station. Une soirée présentée par Joachim Garraud, célèbre producteur de musique électronique en France.

Émissions le jour, DJs la nuit

Le programme de cette toute première radio française à New York reprend ce qui a fait le succès de la station basée à Monte-Carlo : chaque journée débute par « Le Morning Made in NYC », une émission en direct qui mêle infos locales et divertissement et animée par le directeur des programmes Benjamin Ducongé, et les journalistes Nathalie Michet et Giulia Testaverde (6am à 9am). Testaverde anime ensuite « Radio Monaco Feel Good », une émission musicale et culturelle sur le thème du bien-être (9am à 12pm). Les playlists de la station sont diffusées pendant la reste de la journée (12pm à 7pm) avant que des DJs, entre la France et les Etats-Unis, viennent prendre le relais tout au long de la soirée et de la nuit.

« Nous sommes vraiment au tout début de l’histoire à New York. Les mornings sont animés depuis Monaco et nous externalisons pour l’instant l’info locale new-yorkaise à une société toulousaine. Nous espérons, à l’avenir, travailler également avec des personnes localement », commente Thierry Genoud

Radio Monaco dispose de trois web radios en plus de la station radiophonique originelle : Radio Monaco Made in Monte-Carlo, Radio Monaco 100% Mix DJ, et Radio Monaco Made in New York. Cette dernière est disponible sur le site internet ici, ou en application mobile sur l’Apple Store.

Audiovisuel, Design, Gaming : les études supérieures pour créatifs en France

Après votre scolarité aux États-Unis, choisissez votre future école en France

Du 15 au 19 novembre, French Morning organise un salon en ligne dédié aux étudiants francophones vivant à l’étranger et souhaitant venir -ou revenir- en France pour leurs études.

Tout au long de la semaine, nous vous proposons de découvrir une vingtaine d’établissements d’études supérieures français, à travers des présentations par catégories : commerce, cuisine et hôtellerie, ingénierie, audiovisuel et design, ou encore sciences politiques et relations internationales.

Visionnez le replay de la session dédiée aux études pour créatifs

Avec :
– EICAR : [email protected] 
– ECV (AD-Education) : [email protected]

Un événement French Morning Media Group.

Continuer ses études supérieures en France en école de commerce : session d’information gratuite

Après vos études à l’étranger, choisissez votre future école en France

Du 15 au 19 novembre, French Morning organise un salon en ligne dédié aux étudiants francophones vivant à l’étranger et souhaitant venir -ou revenir- en France pour leurs études.

Tout au long de la semaine, nous vous proposons de découvrir une vingtaine d’établissements d’études supérieures français, à travers des présentations par catégories : commerce, cuisine et hôtellerie, ingénierie, audiovisuel et design, ou encore sciences politiques et relations internationales.

?  Visionnez la session dédiée aux écoles de commerce proposant des bachelors : PARTIE 1PARTIE 2PARTIE 3

Avec :
– ESCP Business School : [email protected]

– CEFAM : [email protected]

– SKEMA Business School : aniouvi.gnassounou@skema.edu

– ESSEC : [email protected]

– IPAG : WhatsApp +33(0)6 32 64 22 55

– Forward College : [email protected]

– EDHEC : + 33 (0)7 63 48 15 01

– NEOMA Business School : [email protected]

– ISG : [email protected] / +330784223390

– STUDI : [email protected]

Un événement French Morning

 

 

Alain Allegretti, la passion du Sud dans les cuisines de Fig & Olive

Après 21 ans passés aux États-Unis, le Chef Alain Allegretti a perdu l’accent du Sud, mais il revendique toujours aussi fièrement ses origines niçoises. Et c’est bien cette passion pour le Sud de la France qui l’amène aujourd’hui comme associé et directeur culinaire de Fig & Olive, la chaîne américaine de restaurants inspirés par la fameuse French Riviera. « Etant du Sud de la France, j’adore ce que cette marque représente. Je peux créer des plats de la région, mais aussi inspirés par l’Italie, l’Espagne, le Portugal et toute la côte méditerranéenne. C’est une nouvelle aventure rafraîchissante et excitante pour moi. »Le milieu de la restauration a été, on le sait, très sévèrement impacté par la pandémie. Selon New York Eater, qui recense régulièrement les fermetures d’établissements dans la Grosse Pomme, plus d’un millier d’entre eux ont dû mettre la clé sous la porte depuis mars 2020. Ce chiffre reste difficile à estimer et pourrait être, en réalité, bien plus élevé. Alain Allegretti n’a pas, lui non plus, été épargné : en mars l’an dernier, tout était prêt pour qu’il ouvre un bar à huîtres, le Frenchies oyster bar, à New York. Mais l’arrivée du Covid a totalement bouleversé ses projets, et l’établissement n’a pas ouvert ses portes.

L’ambition d’un renouveau après la pandémie

Le chef cuisinier, qui a connu les hauts et les bas de la scène new-yorkaise de la restauration en deux décennies, n’en est pas à son premier défi. Après avoir notamment fait ses armes chez Alain Ducasse en France, il est arrivé à New York, en 2000, comme Chef exécutif du célèbre restaurant le Cirque d’Upper East Side. Cinq ans plus tard, il a pris les commandes du restaurant Atelier du Ritz-Carlton, où il a obtenu trois étoiles du New York Times et une étoile Michelin. C’est en 2008 qu’il lance son premier établissement, Allegretti, dans le quartier de Flatiron, qui lui vaut le surnom de « Roi de la cuisine française moderne » par le New York Times, mais il doit néanmoins fermer deux ans plus tard. Il ouvrira ensuite La Promenade des Anglais à Chelsea en 2011, puis Azure à Atlantic City en 2012.

De son côté, Fig & Olive a aussi connu des jours difficiles, ces 18 derniers mois. Le groupe a dû fermer deux restaurants, à Los Angeles et à New York, sur Lexington Avenue. Restent aujourd’hui six adresses : deux à New York (Meatpacking District et Fifth Avenue), les quatre autres à Chicago, Washington DC, Houston et Newport Beach. Alain Allegretti a, néanmoins, de belles ambitions pour apporter un renouveau au groupe dirigé par Alexis Blair, avec qui il avait déjà collaboré dans le passé. « C’est comme un retour aux sources pour moi », confie le chef français.

Une cuisine provençale avec des produits de saison

Car celui qui a grandi et appris la cuisine auprès de deux grands-mères aux origines très différentes – italienne et vietnamienne – a retenu les grands principes d’une cuisine généreuse. « J’ai une façon de cuisiner légère et saine qui change de la cuisine française classique, explique-t-il. Une cuisine provençale qui favorise les ingrédients frais et locaux. En utilisant les produits frais quand ils sont à leur pleine saison, nous faisons briller ces plats. Quand le produit est bon, il n’a pas besoin de beaucoup de travail. »

Chez Fig & Olive, il mettra bien sûr à l’honneur l’incontournable bouillabaisse, l’escabèche et la ratatouille, mais aussi un plat de lotte enveloppée dans une feuille de figue avec des figues rôties et de la moëlle. « Les plats que je fais sont les plats que j’aime manger et partager avec ma famille et mes amis, et pour faire plaisir à nos clients », plaide-t-il avec enthousiasme, et on le croit bien volontiers. Le restaurant servira également un menu spécial pour Thanksviging, à un prix fixe de 85 dollars.

Alain Allegretti est optimiste : avec les ouvertures de bureaux et surtout la réouverture des frontières, la clientèle business est de retour à Manhattan, et devrait bientôt être suivie par les touristes. Une chose est sûre, malgré les moments difficiles, ce dernier garde intact son amour pour New York : « Cette ville est devenue ma ville de cœur. Elle m’a donné tant de belles opportunités et j’ai rencontré des gens formidables. Je suis reconnaissant de ce qu’elle m’a apporté et je lui serai toujours loyale, même si j’apprécie d’étendre mon expertise culinaire à d’autres marchés. Je serai toujours fier d’appeler New York “ma maison” ».