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French Expat : Pourquoi les expatriés ont-ils mauvaise réputation ?

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Un nom ? Une dénomination ? Un mode de vie ? Anne-Fleur se souvient, lors du lancement du podcast il y a plus de deux ans, avoir voulu inviter quelques personnes à raconter leur histoire et qu’elles lui ont répondu : « Ben non, je ne suis pas “expat” en fait ». Pour Anne-Fleur, « expatrié » veut simplement dire « hors de sa patrie », peu importe le motif et l’objectif. Elle a ainsi réalisé que le mot « expat » avait particulièrement mauvaise presse et en est venue à la question centrale de cet épisode : pourquoi est-ce que personne ne peut voir les expats ? Ou en tout cas, la vision que l’on en a.

C’est parti donc pour un épisode hors série un peu différent. Avec les interventions de Marjory Murphy (Double Monde, Ex Expat), Lou, Leila Lamnaouer, Milka Pantelic, Nicolas Parodi et François Gemmene.

Production :

Voyager avec du cannabis, quels sont les risques ?

Premier État à légaliser l’usage thérapeutique du cannabis en 1996, la Californie répliquait 20 ans plus tard en légalisant, cette-fois, son usage récréatif. Un marché lucratif, estimé à environ 7 milliards de dollars (pour le seul État de Californie), qui permet aujourd’hui aux habitants comme aux touristes d’acheter librement leur weed (sur présentation d’une pièce d’identité), et même de se faire livrer à domicile.
Devant l’engouement suscité par la libéralisation du marché, Sophie Cilpa, avocate internationale, spécialiste des questions juridiques franco-américaines, et Pierre Hourcade, avocat aux barreaux de Paris, New-York et Californie, tous deux associés au sein du cabinet Action Avocat, font le point sur les risques encourus par les Français qui souhaiteraient faire voyager joints, graines ou bonbons infusés au cannabis.
Ramener du cannabis en France
Le message est clair. « Voyager des États-Unis, et notamment de la Californie, vers la France avec du cannabis, quelle que soit sa forme – joint, bonbon, huile - signifie, plus ou moins, exporter des produits stupéfiants, expliquent les avocats, dans la mesure où le produit transporté est constitué effectivement en une forme o...

Jules Tavernier au de Young : à la rencontre des Amérindiens

L’exposition « Jules Tavernier et les Elem Pomo » s’invite du samedi 18 décembre 2021 au samedi 17 avril 2022 au musée de Young. Elle explore une série de rencontres entre le peintre-illustrateur français et des populations autochtones présentes aux États-Unis depuis des milliers d’années. Elle s’intéresse en particulier aux Elem Pomo, communauté installée à une centaine de kilomètres de San Francisco.

Jules Tavernier a parcouru les États-Unis à partir de 1871. Son objectif ? Raconter ses découvertes en images. Il passe ainsi deux ans à San Francisco où il réalise l’un de ses plus grands chefs-d’œuvre : Dance in a Subterranean Roundhouse at Clear Lake, California. Pièce maîtresse de l’exposition, cette toile se trouve en Californie pour la première fois depuis plus de 140 ans. Achevée en 1878, elle a d’abord voyagé en Europe. Puis, en 2016, elle a rejoint la collection du Metropolitan Museum of Art de New York. Ce tableau capture un rare moment : colons et Elem Pomo participent ensemble à une cérémonie tribale dansée. Un témoignage précieux dans un contexte d’exploitation des terres par les colons blancs.

Trésors historiques

Quelque soixante-dix œuvres de Jules Tavernier – toiles, gravures, aquarelles, photographies – sont exposées. Et d’autres contributions les complètent. Par exemple, des représentations des peuples Pomo par ses contemporains, un film documentaire et une quarantaine de pièces de vanneries et d’art Pomo. Une mise en lumière qui couvre les années 1870-1880 à nos jours, et qui célèbre le patrimoine culturel de cette communauté.

Le chef culturel Pomo, Robert Geary (chef de cérémonie, fabricant d’insignes, professeur de langue et agent de la préservation historique tribale…) co-présente l’exposition. D’autres artistes et historiens offrent aussi un regard inédit sur cette population native. De quoi interroger l’histoire et le rôle de la colonisation sur la survie de ces communautés autochtones aux États-Unis.

Où habiter à Washington ?

La capitale fédérale regorge de quartiers agréables à vivre. Calme ou ébullition, appartement ou maison, charme historique ou modernité, il y en a pour tous les goûts. Tour d’horizon en cinq quartiers.

Georgetown

Boutiques tendance, restaurants étoilés et promenade sur le Potomac : Georgetown est l’un des quartiers les plus pittoresques de DC, situé au nord-ouest du National Mall. On tombe très vite sous le charme des petites rues pavées et du style fédéral des bâtiments. Il faut donc s’attendre à « beaucoup de touristes et de clients attirés par le charme de Georgetown, et les rues et les trottoirs bondés qui vont avec », selon le guide Compass de Washington, fourni par l’agent immobilier Valérie Greene.

Thomas Bonnet, qui vient de poser ses valises à Washington, rêvait d’habiter à Georgetown : « l’ambiance est vraiment magique ». Ce Français s’est donc renseigné pour s’installer dans le quartier, mais a vite été freiné par le prix. Georgetown est en effet l’un des quartiers les plus chers de DC : entre 5 500 et 10 000 dollars par mois, selon le nombre de chambres, pour une rowhouse, maison de ville. « Sans le métro à proximité, j’ai trouvé que le prix ne valait pas le coup ».

Capitol Hill

À l’est du National Mall, Capitol Hill tend les bras à ceux qui rêvent d’une maison de ville, dans une zone ultra-résidentielle. « Si vous cherchez le calme même le week-end, vous êtes au bon endroit » estime Anne, une Américaine qui a habité le quartier pendant deux ans. Ici, pas de touristes mais une vraie vie de quartier à proximité de l’Eastern Market. « The Hill a réussi à garder son petit air de village malgré les hauts et les bas de Washington au fil des ans », selon Compass. On compte environ 3 500 dollars par mois pour une maison de 130 m2 avec 2 chambres.

Le quartier voit également émerger des résidences d’appartements modernes avec salle de sport, parties communes et rooftop. Ces immeubles appartiennent à des entreprises et c’est d’ailleurs à elles de prendre en charge la maintenance des appartements, de A à Z. Il faudra débourser en moyenne 2 500 dollars par mois pour un appartement d’environ 60m2 avec une chambre – eau, électricité et internet non compris.

U street/14 street

Depuis ces dix dernières années, l’offre immobilière fleurit à U Street et sur la 14ème du fait de la gentrification du quartier, riche de son héritage afro-américain. Pour Lisa Setyon, qui habite le quartier depuis deux ans, « c’est le centre animé de DC, le cœur battant de la ville ». Cette Française de 30 ans a choisi U Street pour profiter de ses restaurants, bars et salles de concert.

Des dizaines d’immeubles y proposent des appartements modernes avec rooftop et piscine à des prix qui grimpent en flèche : entre 2 800 et 3 200 dollars pour un pied-à-terre avec une chambre. « Les appartements ont tendance à s’adresser à ceux qui peuvent se permettre de payer un supplément pour la proximité urbaine », selon les informations recueillies auprès de Compass.

Southwest Waterfront

Le Wharf est un nouveau quartier au bord du Potomac. Les Washingtoniens profitent du front de mer flambant neuf où les restaurants tendance se sont installés à côté du marché aux poissons. Ils y viennent pour courir ou y faire jouer leurs enfants dans le bassin d’eau spécialement aménagé pour les petits. Les résidences y poussent comme des champignons, à des prix plus attractifs que sur U Street. « Bien que les nouveaux appartements et condos de luxe sur le front de mer coûtent cher, souligne Compass, les développeurs ont inclus de nombreux condos et maisons abordables. »

Kalorama

Au nord-ouest de DC, Kalorama est une zone résidentielle qui abrite résidences diplomatiques et demeures coloniales sur l’un des plus hauts points de vue de la ville. C’est l’un des quartiers les plus chics de Washington. « La paix et la tranquillité sont les règles de cette communauté très unie », estime encore Compass. Les rues de Kalorama abritent de nombreux condos, appartements gérés par les propriétaires qui louent directement leur bien. Il faut compter 2 500 dollars pour un condo d’une chambre de 65 m2.

Profitez de la détaxe sur vos achats en France pendant les fêtes

[Article partenaire] Si vous habitez hors de l’Union Européenne, vous avez droit au remboursement de la TVA sur vos achats réalisés en France (mécanisme de la « détaxe »). Pourtant, nombreux sont les voyageurs internationaux qui ne profitent pas de cet avantage.

Grâce à ZappTax, une application mobile gratuite, cette procédure devient un jeu d’enfant. Quarante mille expatriés français en ont déjà fait l’expérience.

Les avantages de la détaxe avec ZappTax – un bref aperçu

Si vous êtes déjà passé(e) par la procédure classique de détaxe, il est fort probable que vous ayez été confronté(e) à l’un des problèmes suivants : non-disponibilité du service dans certaines boutiques, procédure laborieuse, taux de remboursement anémiques…

À cause de ces nombreux inconvénients, 85% des millions de voyageurs internationaux, dont trois millions d’expatriés français hors UE, ne profitent pas de ce droit à la détaxe lors de leur passage en Europe.

En quoi le fonctionnement de ZappTax est-il différent ?

Dans le système de détaxe classique, le commerçant collabore avec un opérateur de détaxe. Le bordereau est édité en boutique et peut vite devenir chronophage (file d’attente, encodage…).

Avec ZappTax il suffit de demander au commerçant qu’il vous édite une facture au nom de ZappTax. L’ensemble des factures téléchargées est ensuite regroupé afin d’éditer un bordereau de détaxe qui est mis à disposition sur l’application.

Ce système, agréé par les autorités fiscales et douanières, vous permet alors de détaxer où vous le souhaitez, puisque chaque commerçant est dans l’obligation légale d’émettre une facture si vous la lui demandez. Le fait qu’un commerce ait ou n’ait pas de service de détaxe en propre n’a plus aucune importance.

Comment utiliser l’application ZappTax ?

  1. Téléchargez gratuitement l’application et complétez votre profil.
  2. Renseignez les détails de votre séjour au sein de l’Union Européenne (dates et pays d’arrivée et de départ).
  3. Ajoutez sur l’application les photos des factures (que vous aurez demandées aux commerçants lors de vos achats).
  4. Peu avant votre départ de l’UE, ZappTax vous envoie un bordereau de détaxe qui consolide l’ensemble de vos factures.
  5. Validez électroniquement votre bordereau de détaxe aux douanes (bornes PABLO) avant de quitter l’UE.
  6. Vous êtes remboursés 24 heures après votre retour (hors période de crète).

Téléchargez gratuitement l’application et profitez de ZappTax pendant les vacances de Noël ! 

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

 

 

Pourquoi le surnom de New York est Big Apple ?

Pour ses habitants comme pour les touristes qui la visitent, New York, c’est « la ville qui ne dort jamais », « Gotham » et… « Big Apple ». Mais pourquoi la Grosse Pomme ? C’est la question bête de la semaine.

John J. Fitz Gerald serait à l’origine de l’expression. Ce journaliste sportif pour le New York Morning Telegraph dans les années 1920 couvrait les courses hippiques, très populaires à l’époque. Il a utilisé l’expression « Big Apple » après avoir entendu deux jeunes garçons d’écurie, lors de leur arrivée dans la ville, dire être très heureux de se trouver là où « the big money was ». Ils trouvaient la ville tellement immense et remplie d’opportunités qu’ils commencèrent à l’appeler « Big Apple ». Fitz Gerald se mit donc à appeler sa rubrique Around the Big Apple. Dans son introduction, on pouvait lire : « There’s only one Big Apple. That’s New York ».

L’expression s’est peu à peu répandue. Les musiciens de jazz l’ont reprise à leur compte et popularisée. Ils avaient l’habitude de dire qu’il y avait « beaucoup de pommes sur l’arbre » pour dire qu’il y avait beaucoup de scènes où jouer dans le monde. Mais la plus importante – la Big Apple – était New York, ville la plus branchée et la plus amoureuse de jazz. Jouer à New York était synonyme de succès pour ces musiciens. Lorsqu’ils se produisaient ailleurs, ils disaient qu’ils jouaient dans les branches ou sticks. « Big Apple » est ensuite apparue dans plusieurs livres, dont un ouvrage de 1938 de Cab Calloway, un grand chanteur de jazz et chef d’orchestre, pour désigner Harlem.

L’expression disparaît ensuite jusqu’au début des années 1970. C’est à cette époque que Charles Gillett, alors à la tête du Bureau des Conventions et du Tourisme de New York, a la bonne idée de la faire revivre dans une campagne axée sur le tourisme. Les autorités cherchaient par tous les moyens à attirer les visiteurs à New York alors rongée par la violence. Les classes moyennes fuyaient la ville vers les banlieues plus paisibles, plongeant la ville dans une profonde crise budgétaire faute de recettes fiscales suffisantes. Le symbole d’une belle pomme bien juteuse semblait donc être l’idée du siècle. La campagne que l’on connaît tous aujourd’hui « I ♥ NY » fut financée dans la foulée, accompagnée du logo de la pomme.

Une première version de cette Question bête a été publiée le 14 avril 2014.

French Boss, Gilles Amsallem (Virtual Room) : « Apprenez à vos enfants à coder, c’est le futur »

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Entrepreneur « extra-optimiste » comme il se définit lui-même, Gilles Amsallem a toujours su profiter des crises pour avancer. Du sentiment anti-français en 2003, au moment de l’entrée en guerre en Irak, jusqu’à la pandémie de Covid, il a saisi le moment favorable pour créer des entreprises et fabriquer un bout de France dans cette ville dans laquelle vivraient plus de 30 000 Français : Los Angeles. Gilles Amsallem s’est toujours efforcé de rassembler cette communauté au travers de soirées à succès récurrentes (développées aujourd’hui dans dix-sept grandes villes du monde), de créations de groupes sur les réseaux sociaux, bref de rencontres entre Français. Il a aussi, avec son associé de toujours Pierre Battu, travaillé dans le textile, en important aux Etats-Unis des produits nouveaux, bien évidemment français. Sa vie professionnelle a ainsi été presque totalement consacrée à la France et à ceux qui, en l’ayant quittée, ne l’oublient pas.

Et c’est cette idée encore qui a donné naissance au concept de « Virtual Room », imaginé par des Français avant que Gilles et Pierre l’importent aux États-Unis en janvier 2018. De cet « escape game » du futur, Gilles Amsallem nous parle tout au long de cette émission. Il évoque les difficultés rencontrées liées au développement plus lent que prévu du secteur de la réalité virtuelle – par manque d’ingénieurs. Il laisse parler sa passion sur l’outil lui-même. Cet enthousiasme est la première force de notre invité.

Voir l’interview en vidéo:

Ecouter en podcast:

https://www.spreaker.com/user/10781102/pad-audio_26

The École offrira un programme bilingue au lycée à la rentrée 2022

Jusqu’à présent, les jeunes bilingues de The École ne pouvaient pas poursuivre leur scolarité avec l’établissement au-delà de la 4e. Cela ne sera plus le cas à la rentrée de septembre 2022.

Partenariat avec Léman Manhattan

L’institution franco-américaine de Manhattan a annoncé, jeudi 9 décembre, le lancement d’un programme bilingue de lycée en partenariat avec Léman Manhattan Preparatory School, une école internationale prestigieuse de PreK-12th Grade. Ce nouveau cursus, qui se déroulera dans les locaux de Léman, dans le sud de Manhattan, préparera les élèves au diplôme de l’IB (International Baccalaureate), l’une des clefs pour accéder aux grandes universités du monde anglophone.

L’initiative marque une nouvelle étape dans le développement de The École, un établissement ouvert en 2009 à Gramercy sous le nom d’École Internationale de New York (EINY) et qui s’est progressivement étendu dans le quartier. En envoyant ses élèves à Léman, vers lequel se tournaient déjà nombre de ses collégiens, elle profite de l’infrastructure de son partenaire et d’une « expertise que nous n’aurions pas pu créer du jour au lendemain », explique Jean-Yves Vesseau, le directeur de The École. « Nous étions à la croisée des chemins. Notre population devenait de plus en plus grande. Très attachées à The Ecole, les familles se demandaient que faire après la quatrième. La pression montait de notre côté pour leur offrir une solution. Du point de vue de l’adolescent, vivre une expérience de lycéen est un moment exceptionnel ».

Accent sur les relations franco-américaines

Dans le cadre du futur programme, The École et Léman offriront aux 9th et 10th Grade des cours de littérature francophone et d’histoire mondiale, avec un accent sur les relations franco-américaines. Des enseignants de The École animeront ces cours. Un atelier de mathématiques en français sera offert en after-school en cas de demande suffisante. « On va travailler sur les contenus », précise Jean-Yves Vesseau.

À l’heure actuelle, il est « difficile » d’estimer combien d’élèves de quatrième se dirigeront à la fin de l’année vers cette nouvelle option, mais le directeur est confiant. « Entre les examens et les entretiens, la transition entre le collège et le lycée est traditionnellement un moment de stress. Ce partenariat permet un passage confortable, automatique, vers un établissement excellent qui envoie les enfants vers de belles facs, dit-il. D’après les premiers retours de nos familles, c’est une excellente nouvelle pour elles ».

[Vidéo] Dégustation de champagne Pommery avec Clement Pierlot, 10ème Chef de Cave des Champagnes Pommery

Innovateur d’avant-garde, Champagne Pommery a introduit le Champagne Brut dans le monde en 1874. L’équipe de Champagne Pommery à Reims est restée dévouée à produire un champagne de qualité, année après année, avec un mélange de tradition et d’innovation.

Le 10 décembre 2021, à l’occasion d’un webinaire dédié, Clement Pierlot, 10ème Chef de Cave des Champagnes Pommery, vous a proposé une dégustation en direct de leur champagne.

Vous avez eu l’occasion de commander les bouteilles en amont et de déguster le champagne en même temps que Clément, de l’analyser avec lui, en direct.

L’occasion, pour vous et nous tous, de peaufiner sa culture des vins et de découvrir un futur coup de coeur, pour éblouir pendant les fêtes !

Visionnez le replay du webinaire sur notre page YouTube

Commandez votre champagne Pommery, même aux États-Unis :

?  POMMERY BRUT ROYAL : https://www.wine.com/product/pommery-brut-royal/1770 

?. POMMERY BRUT ROSÉ : https://www.wine.com/product/pommery-brut-royal-rose/1772 

?. CUVÉE LOUISE NATURE MILLÉSIME 2004 : https://www.wine.com/product/pommery-cuvee-louise-brut-nature-2004/681139 

?  Pour toute question ou demande d’informations complémentaires, contactez Mailys Vranken : [email protected]

Les étrangers résidant à New York autorisés à voter aux prochaines municipales

A partir de 2023, les Français de New York, détenteurs d’une carte verte ou autorisés à travailler aux Etats-Unis, auront le droit de voter aux élections municipales et de participer aux scrutins locaux. Le conseil municipal de la ville a en effet approuvé, ce jeudi 9 décembre, un projet de loi permettant aux étrangers de voter aux élections locales dans les cinq boroughs. Plus de 800 000 résidents non américains sont concernés dont plusieurs dizaines de milliers de Français.

Inscriptions dans un an

Les inscriptions sur les listes électorales débuteront dans un an, en décembre 2022. Le conseil électoral de New York éditera d’ici là un formulaire spécialement destinés aux électeurs étrangers. La liste précise des documents à fournir pour s’inscrire, en plus de la carte verte ou du permis de travailler, n’a pas encore été précisée mais les conditions pour voter semblent identiques à celles des New-Yorkais citoyens américains : il suffira d’avoir 18 ans à la date de l’élection et d’habiter la ville depuis au moins 30 jours avant le scrutin.

Une fois inscrits, les Français pourront alors voter aux élections locales à partir du 9 janvier 2023, une année où les 51 sièges du conseil municipal seront notamment en jeu. Cette mesure ne donne pas le droit de vote aux élections de l’Etat de New York et aux élections nationales. 

Recours en justice

New York est la première grande ville américaine à donner le droit de vote à ses résidents étrangers. Neuf petites villes du Maryland et deux du Vermont ont déjà adopté cette mesure pour leurs scrutins locaux. En Californie, San Francisco a été la première ville du pays, en 2016, à autoriser les citoyens non-américains à participer à l’élection des membres du conseil d’éducation (Board of Education) des établissements scolaires. La mesure a été reconduite de façon permanente fin octobre.

Cette nouvelle législation new-yorkaise pourrait être toutefois contestée en justice. Ses détracteurs, notamment l’opposition républicaine de New York, estiment que le conseil municipal n’a pas le pouvoir constitutionnel d’accorder le droit de vote aux étrangers. Le maire lui-même s’est interrogé sur l’autorité légale de la ville dans ce domaine face à l’Etat de New York. Pour autant, Bill de Blasio n’opposera pas son veto.

S’il ne signe pas la loi, celle-ci entrera automatiquement en vigueur dans les 30 jours suivant son adoption, soit le 9 janvier 2022. Bill de Blasio ne sera alors plus maire de New York mais son successeur, le maire élu Eric Adams, partisan du droit de vote accordé aux détenteurs de la carte verte, s’est engagé à vérifier les aspects constitutionnels de la nouvelle loi.

L’autre point de litige du texte qui pourrait être disputé devant les tribunaux porte sur la durée minimum de résidence à New York pour pouvoir voter : 30 jours est jugé trop court par les opposants à la loi qui réclament au moins un an.

Paris en business class à 1600$ aller-retour cet hiver

(Article partenaire) La Compagnie, qui opère des vols tout-business entre Paris et New York, vous fait un cadeau: un tarif exceptionnel de 1600$ aller-retour, valable sur une sélection de vols jusqu’au 31 mars. 

Mais il y a une condition: il faut prendre ses billets entre le 9 décembre et le 12 décembre 2021. Comme c’est le cas pour tous les billets de La Compagnie désormais, ces billets sont modifiables un an à compter de la date initiale de départ, jusqu’à 24h du départ (en cas de modification, une différence tarifaire peut s’appliquer).

Contrainte d’interrompre ses vols pendant la pandémie de Covid-19, La Compagnie les a repris en juin dernier progressivement d’abord, puis à un rythme d’un par jour désormais, opérés sur les Airbus A321neo neufs flambant neufs lancés quelques mois avant la pandémie.

En novembre, la petite compagnie a par ailleurs annoncé le lancement d’une ligne New York-Milan à partir du printemps prochain.

Avec ces nouvelles destinations, comme avec la promotion sur le New York-Paris, l’entreprise entend capitaliser sur le rebond de la demande sur les vols transatlantiques depuis la réouverture des frontières américaines le 8 novembre dernier. Avec seulement 76 passagers par vol, tous en business-class, avec sièges s’inclinant en lits parfaitement plats, la petite compagnie présente une offre particulièrement attrayante pour une clientèle que la « taille humaine » des avions comme de l’entreprise rassure, en ces temps où distanciation sociale et hygiène sont devenus les éléments essentiels d’un voyage serein.

Réserver avant le 12 décembre ici.

 

Le TLF annonce sa nouvelle saison 2022

On l’attendait avec impatience, le Théâtre du Lycée français vient d’annoncer sa programmation jusqu’en juin 2022. Le public de la salle Erick Moreau va enfin pouvoir retrouver des pièces de théâtre et des films, à compter du 12 janvier. Au programme :

« Adieu les cons », film écrit et réalisé par Albert Dupontel (2020).

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l’enfant qu’elle a été forcée d’abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable. « Adieu les cons » a reçu 7 Césars, dont celui du meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur scénario original. Avec Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié. Vendredi 14 janvier, 7pm. Billets

« Vol au dessus d’un nid de coucou », mise en scène et scénographie de Frédéric Patto.

Une libre adaptation du roman de Ken Kesey et de la pièce de Dale Wasserman. Pour échapper à la prison, Patrick McMurphy est prêt à tout, même à simuler la folie. Interné dans un hôpital psychiatrique, il découvre, au-delà de leur folie, des êtres fragiles et attachants soumis à l’autorité oppressive de l’infirmière Miss Ratched. S’insurgeant contre les règles établies, il va alors mener une guerre terrible pour la conquête du cœur et de l’esprit de ce petit monde. Avec Lionel Rougé, Yvette Adida, Nancy Saussac, Grégory Galin, Catherine Sullivan, Thomas Marigne, Carole Neilson, Gilbert Amar. Du mardi 15 au vendredi 18 février, 7:30pm. Billets. 

« Je ne serais pas arrivée là si… » d’Annick Cojean, conception et mise en scène Judith Henry. 

Toutes ont imposé leur voix dans un monde aux règles forgées par les hommes. Judith Henry et Julie Gayet donnent corps à ces témoignages de femmes dont la portée est universelle. « Je ne serais pas arrivée là, si… » Quelques mots posés là par Annick Cojean à Gisèle Halimi, Christiane Taubira, Virginie Despentes, Amélie Nothomb et d’autres femmes fortes, reconnues de notre temps qui ont accepté de les poursuivre. De se raconter. Avec Judith Henry et Julie Gayet. Jeudi 3 mars, 7:30pm. Billets

« Fahim, roi des échecs », un film dPierre-François Martin-Laval (2019). 

Forcé de fuir son Bangladesh natal, le jeune Fahim et son père quittent le reste de la famille pour Paris.
Dès leur arrivée, ils entament un véritable parcours du combattant pour obtenir l’asile politique, avec la menace d’être expulsés à tout moment.Grâce à son don pour les échecs, Fahim rencontre Sylvain, l’un des meilleurs entraîneurs d’échecs de France. Entre méfiance et attirance, ils vont apprendre à se connaître et se lier d’amitié. Alors que le Championnat de France commence, la menace d’expulsion se fait pressante et Fahim n’a plus qu’une seule chance pour s’en sortir : être Champion de France. Avec Assad Ahmed, Gérard Depardieu, Isabelle Nanty. Vendredi 18 mars, à 7pm. Billets

« Nos années parallèles », mise en scène de Virginie Lemoine. Texte, adaptation, musique & au piano sur scène de Stéphane Corbin. 

Deux voix parallèles, une mère et son fils, racontent leur parcours étonnant, tendre et chaotique. Deux regards posés sur le temps qui passe, deux vies qui se croisent. L’une qui commence, l’autre qui s’éteint. Nos années parallèles, c’est l’histoire d’un amour universel, d’un lien indestructible. Un hymne à la vie ! Avec Valérie Zaccomer & Alexandre Faitrouni. Vendredi 8 avril, 7:30pm. Billets

« Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary », un film d’animation de Rémi Chayé (2020)

1863, États-Unis d’Amérique. Dans un convoi qui progresse vers l’Ouest avec l’espoir d’une vie meilleure, le père de Martha Jane se blesse. C’est elle qui doit conduire le chariot familial et soigner les chevaux. L’apprentissage est rude et pourtant Martha Jane ne s’est jamais sentie aussi libre. Et comme c’est plus pratique pour faire du cheval, elle n’hésite pas à passer un pantalon. C’est l’audace de trop pour Abraham, le chef du convoi. Accusée de vol, Martha est obligée de fuir. Habillée en garçon, à la recherche des preuves de son innocence, elle découvre un monde en construction où sa personnalité unique va s’affirmer. Une aventure pleine de dangers et riche en rencontres qui, étape par étape, révélera la mythique Calamity Jane. A partir de 6 ans. Samedi 14 mai, 2pm. Billets. 

« La folie des grandeurs », un film de Gérard Oury (1971)

Don Salluste profite de ses fonctions de ministre des Finances du roi d’Espagne pour racketter le peuple. Mais la Reine qui le déteste réussit à le chasser de la cour. Ivre de vengeance, il décide de la compromettre. Son neveu Don César ayant refusé de se mêler du complot, c’est finalement le valet de Don Salluste, Blaze, transi d’amour pour la souveraine, qui tiendra le rôle du Prince charmant. Malheureusement à force de quiproquos, il ne parvient qu’à s’attirer les faveurs de la peu avenante Dona Juana. Louis de Funès, Yves Montand, Alice Sapritch. Vendredi 10 juin, 7pm. Billets