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French Expat : Paul (Asie Centrale, Afghanistan), à la découverte des cultures perses

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Aujourd’hui, on va raconter deux histoires. Deux histoires dans la grande : on va parler vélo et Afghanistan. Imaginez une envie irrépressible de faire quelque chose d’extraordinaire, de vous dépasser, de vous retrouver seul face à vous-même. C’est le pari un peu fou que Paul Vercoustre a fait quand il a quitté son CDI confortable à Paris pour traverser l’Asie Centrale à vélo, en un an. Stoppé net par le confinement en Inde, il se met à chercher du travail. Et le voilà en Afghanistan quelques mois plus tard.
Aujourd’hui on parle voyage mais aussi amour profond pour une culture et un mode de vie que l’on ne soupçonne pas toujours aux travers les multiples filtres occidentaux.
Belle écoute !
Pour retrouver Paul en ligne, rendez-vous sur son compte instagram : @Paul_Vercoustre
À la fin de chaque épisode, nos invités nous proposent de découvrir leur ville/pays d’adoption en partageant leur top 3 des choses à faire, voir, sentir ou goûter. Pour Kaboul, les lieux touristiques ne sont pas nombreux, Paul nous a donc recommandé deux choses en rapport avec la culture et la gastronomie de l’Afghanistan :
  • À ramener en cadeau de Kaboul, Paul vous conseille les tapis afghans. Faits à la main dans diverses régions du pays, ils sont très colorés et représentent très bien le savoir-faire authentique du pays. De vraies œuvres d’art. D’ailleurs, Paul les aime tellement qu’il en ramené lors de son évacuation en urgence de Kaboul cet été malgré leur poids!
  • À goûter sur place, le Kabuli Palaw est un plat épicé à base de riz, de carottes, de raisins et de morceaux de viande de kebab. Un délice pour les non-végétariens.
  • Bonus : La musique iranienne est très présente en Afghanistan, une belle façon de découvrir une autre facette de l’Asie Centrale.
Production :

Les conditions d’entrée aux Etats-Unis à partir du 8 novembre

La Maison Blanche a précisé les conditions d’entrée sur le sol américain à partir du lundi 8 novembre, date de la levée du travel ban. Lors d’une conférence de presse téléphonique, ce mardi 26 octobre, le département d’Etat a donné les détails sur les vaccins acceptés, les tests exigés et les exemptions. Tout est désormais clair, sauf pour les ex-malades du covid.

« Les voyageurs doivent être entièrement vaccinés », a rappelé d’emblée Douglass Benning, secrétaire adjoint au département d’Etat. Les vaccins acceptés sont ceux autorisés par l’Agence américaine du médicament (FDA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour les Français, Pfizer/BioNTech, Moderna, Janssen (Johnson&Johnson) et AstraZeneca. Et « le mélange des doses de vaccin est accepté », a précisé le Dr Cindy Friedman, l’une des responsables de l’agence de santé publique (CDC) participant à la conférence téléphonique. Les Français qui ont donc reçu des doses de vaccin différentes, rappels compris, auront le droit d’entrer aux Etats-Unis.

Un simple test covid négatif pour les moins de 18 ans 

« Il y aura très peu d’exemptions », a encore prévenu le Dr Friedman. Les enfants et adolescents de moins de 18 ans n’auront pas à montrer leur statut vaccinal mais un test négatif de moins trois jours sera exigé, sauf pour les moins de 2 ans pour lesquels aucune condition n’est requise. Les jeunes constituent une catégorie de la population préoccupante pour les autorités américaines : un quart des nouveaux cas de covid avaient moins de 18 ans la semaine dernière aux Etats-Unis..

D’autres exemptions concernent les employés du gouvernement américain devant voyager d’urgence ou encore les membres d’organisations humanitaires. Si ces ressortissants étrangers, bénéficiant d’une exemption établie par les autorités américaines, ne sont pas vaccinés, ils devront fournir la preuve d’un test covid négatif réalisé dans un délai d’un jour seulement avant leur départ. Ce sera le cas également pour les citoyens américains non vaccinés, âgés de plus de 12 ans.

La nécessité d’être « totalement » vacciné est répétée à l’envi par l’administration américaine, soit deux semaines après voir reçu les deux doses de Pfizer/BioNTech, Moderna et AstraZeneca ou la dose unique de Janssen. Ce qui exclut, de fait, les personnes qui ont contracté le virus du covid et qui n’ont reçu qu’une seule dose de vaccin. Sans spécifiquement le préciser – malgré la question posée lors de la conférence téléphonique – la Maison Blanche sous-entend qu’elle ne considère pas le schéma vaccinal achevé pour ces anciens malades du covid ayant reçu qu’une dose de vaccin après leur convalescence. À moins que les compagnies aériennes fassent preuve de souplesse.

Vérifications effectuées à l’embarquement

Car tout reposera sur les personnels des transporteurs aériens. C’est à eux qu’incombera l’essentiel de la vérification de la conformité des règles sanitaires, selon les directives de l’administration américaine. À l’embarquement, ils devront regarder les documents prouvant le statut vaccinal et la validité du test covid, et vérifier l’identité et l’âge des voyageurs. Ces documents doivent venir de « sources officielles », précise encore les autorités américaines, « être issus soit du gouvernement soit d’une agence publique du pays d’origine », a ajouté le Dr Friedman.

Les compagnies aériennes devront également recueillir les informations sur les passagers, telles que les noms, dates de naissance, numéros de téléphone, adresses électroniques et adresses aux États-Unis, informations qu’elles conserveront pendant 30 jours au cas où elles devraient « assurer le suivi des voyageurs qui ont été exposés aux variantes du covid ou à d’autres agents pathogènes », précise l’administration Biden.

D’ici au 8 novembre, le gouvernement américain conseille de vérifier, avant de prendre son billet d’avion, les conditions d’entrée spécifiées sur le site de chaque compagnie aérienne et sur celui du département d’Etat.

Avec L’Ardente, le chef David Deshaies met le feu à Washington

David Deshaies a dû attendre quelques mois de plus avant d’ouvrir son immense restaurant L’Ardente, qu’il définit de « glam italien », au cœur du quartier moderne de Shaw, au 200 Massachusetts Avenue à Washington DC. Depuis le mardi 5 octobre, le feu ardent de l’immense four à pizza ne se tarit pas et le nouveau-né du chef étoilé est bondé.

« L’Ardente, c’est un restaurant chic où l’on mange des pâtes fraîches et des bonnes pizzas ». David Deshaies résume lui-même, en quelques mots, les secrets de son nouvel établissement qu’il a ouvert avec son partenaire à Unconventional Diner, Eric Eden. Avec un nom qui sonnera autant dans les oreilles des Français que des Américains, le chef français a souhaité rappeler le feu ardent, la passion. « Tout ce qui me caractérise », continue le chef originaire de Sevré dans le Pays de la Loire.

Les pizzas sont cuites au feu de bois. Crédits : L’Ardente.

Il est vrai que David Deshaies s’électrise lorsqu’il évoque les lustres en verre soufflés de Morano venus tout droit d’Italie, les rideaux signés Missoni, le décor glamour des banquettes en cuir et l’immense four à pizza qui parfume la salle de 180 couverts. L’idée lui est venue des années plus tôt, avec son épouse, en Espagne. « Pendant notre lune de miel, nous nous étions arrêtés à Saint-Sébastien et je me souviens d’un restaurant avec une grande cheminée où une cuisse de bœuf rôtissait en face de nous », raconte-t-il.

Un menu inspiré des grands classiques italiens 

Ici, tout est cuit au feu de bois. « Je suis allé en Italie pour faire des recherches. Après être revenu de Naples, je savais que je voulais cuisiner des pizzas italiennes. Mais je trouvais qu’elles manquaient de personnalité alors j’ai rajouté ma touche. » Une note bien française, puisque le chef cuisine ses pizzas au levain. Les pâtes sont confectionnées sur place. « Je voulais faire un restaurant qui a du sens. On mangera toujours ces plats dans vingt ans », estime le passionné de nourriture italienne.

D’ailleurs, l’essentiel du matériel vient du pays à la Botte. « C’est un petit challenge d’ouvrir un restaurant italien », s’enthousiasme celui qui a fondé le restaurant de brunch Unconventional Diner, couronné par un Rammy Award en 2019 et qui a été nommé « Chef de l’année » à DC. David Deshaies n’en est pas à son coup d’essai. Le chef a travaillé plusieurs années pour des restaurants étoilés en France, avant de croiser la route du célèbre chef français Michel Richard. 

Bucatini alla Carbonara. Crédits : L’Ardente.

Pour le menu, L’Ardente sort de ses cuisines des classiques directement inspirés des grands crus italiens, comme les célébrissimes Bucatini alla Carbonara, délicieuses et fondantes ou encore la pizza Margarita avec une pâte fine, à l’italienne. Des plats au goût d’Italie qui font voyager jusqu’à Naples, avec par exemple les Calamarata Nera au homard, ou les spaghettis alla chitarra, originaires des Pouilles pour les connaisseurs.

La Panne Cotta Ricotta au citron avec sa sauce parfumée à l’avocat. Crédits : L’Ardente.

Mais les cuisines de David Deshaies réservent des surprises et des recettes uniques, comme la surprenante pizza Fun-Guy. Mention spéciale pour la Panne Cotta Ricotta au citron avec sa sauce parfumée à l’avocat. David Deshaies pense déjà à l’avenir du restaurant, il souhaite ouvrir un patio au printemps 2022, qui pourra accueillir jusqu’à 100 couverts. L’Ardente est une adresse unique et apporte une touche culinaire dans ce quartier de la capitale en pleine mutation.

Le Club Med fait le pari de Snowbasin dans l’Utah

Implanté en Floride à Sandpiper Bay, dans les Caraïbes et au Mexique, le Club Med prépare son retour dans l’ouest des États-Unis. Le groupe français a prévu d’ouvrir un hôtel à Snowbasin dans l’Utah, dans le cadre d’un vaste programme de rénovation de cette station de ski qui ne compte jusqu’à présent aucune infrastructure de logements. Le Club Med sera le premier à y installer un hôtel, d’ici à décembre 2024.

L’entreprise américaine East West Partners figure aussi parmi les acteurs engagés dans ce projet de refonte de la station, avec la création de logements et de commerces. « Nous sommes heureux d’annoncer ces nombreuses évolutions, tant pour nos clients locaux que pour les touristes qui auront désormais la possibilité de séjourner sur place », a déclaré Davy Ratchford, le directeur général de Snowbasin, lors d’une réunion locale dont le but était d’expliquer le projet d’expansion du site.

Dans la presse locale, Eileen Kett, vice-présidente senior du développement du Club Med, a souligné que « Snowbasin possède une excellente réputation ». À l’horizon 2025, cette station, située à moins d’une heure au nord de Salt Lake City, aura entièrement changé de visage.

Accès direct aux pistes de ski

Pour son implantation, le Club Med prévoit la construction d’un hôtel de 300 chambres pour les touristes et de 120 chambres pour les employés du complexe. Plusieurs équipements seront compris dans le projet : un parking souterrain, une piscine, trois restaurants et des terrains de pickleball, ce sport très en vogue aux États-Unis. L’ensemble sera localisé sur l’actuel parking Wildcat et non loin du day lodge, où les clients peuvent actuellement se reposer et se restaurer.

Le futur complexe du Club Med permettra aussi d’accéder directement aux pistes en utilisant les remontées mécaniques Littlecat Express, dont la modernisation figure également au programme. Davy Ratchford a précisé que le choix du Club Med s’était fait naturellement, car le groupe, dirigé par Henri Giscard d’Estaing, remplissait pleinement les critères du projet avec une clientèle familiale qui réserve généralement des séjours d’une semaine et qui reste sur place pour profiter des infrastructures.

« Nous sommes ravis d’apporter notre expérience du all-inclusive aux États-Unis en nous associant à Snowbasin et à son complexe de renommée mondiale. Nous sommes impatients de présenter cette région à notre clientèle internationale et d’y apporter notre savoir-faire », a déclaré Carolyne Doyon, P.-D.G. de Club Med Amérique du Nord et Caraïbes.

Dans cette petite ville américaine, Alstom est sur de bons rails

Les sous-marins divisent la France et les États-Unis, mais pas les trains. C’est, en tout cas, le sentiment que l’on a quand on se balade dans les rues cossues de Hornell, une petite bourgade de 8 000 âmes près de la frontière canadienne.

C’est ici, dans ce haut-lieu d’érables qui donne tout son sens à l’expression « Small Town America », que la compagnie française de transport Alstom a ouvert une usine en 1997. Ce faisant, elle a apporté une petite touche tricolore à cette commune rurale au pied des collines du nord de l’État de New York. Le magasin de meubles du coin, Davidson’s, datant de 1876, souhaite la « bievenue » (sic) à ses clients français sur une affiche où figure aussi une Tour Eiffel et les bannières française et américaine. Non loin, un drapeau tricolore est accroché dans l’entrée d’une maison.

Entre Hornell et le train, deux siècles d’histoire

Dans son bureau sur Main Street, Jim Griffin a également un drapeau français. Cet octogénaire, véritable légende locale, fut pendant près de cinquante ans le responsable de l’agence de développement industriel de la ville. C’est lui qui a convaincu Alstom de s’installer à Hornell. « C’est ma plus grande réussite, reconnaît-il. Je suis très fier d’avoir continué à miser sur le rail pour le développement de la commune ».

Jim Griffin dans son bureau

Car entre Hornell et le train, l’histoire dure depuis presque deux siècles. Située à un point de jonction le long de l’ancienne Erie Railroad, une ligne gigantesque qui fila au XIXe siècle entre la banlieue de la ville de New York, au sud, et le Lac Erie, au nord, elle a vu fleurir des ateliers de maintenance et d’autres services associés au chemin de fer. Les ateliers emploient notamment des fermiers de tout le comté de Steuben, dont l’éthique de travail et la débrouillardise n’étaient pas de trop pour réparer les trains.

La faillite de l’Erie Railroad

Au pic de l’activité, la commune comptait 15 000 habitants, liés d’une manière ou d’une autre au rail. Le 15 de chaque mois, jour de paie, les nombreux commerces de Main Street, l’artère principale de Hornell, restaient ouverts plus longtemps pour permettre aux employés de dépenser leur argent. « Il y avait un nombre très élevé d’églises et de bars par tête ! Tout le monde se connaissait et s’entraidait en cas de besoin. Les cheminots étaient une grande famille. Nous travaillions dur. Nous ne le faisions pas pour l’argent, mais parce que nous étions fiers de notre activité », se souvient Eugene Baker, un ancien employé de l’Erie Railroad, rencontré au musée de l’Erie à Hornell. Ce repaire de passionnés du rail, abrité dans l’ancienne gare de la ville, est bourré d’objets (uniformes, trains électriques, journaux…) qui retracent cette longue et riche épopée ferroviaire.

Collette Cornish et Eugene Baker au Hornell Erie Depot Museum / ab

Quand « l’Erie » a fait faillite dans les années 1970, en partie à cause de la concurrence de l’automobile, Hornell a perdu un peu de son identité. « Notre Downtown s’est vidé de ses petits commerces car il y avait moins de gens en ville. Des maisons ont été vendues. Beaucoup d’habitants sont partis », ajoute Collette Cornish, l’historienne de Hornell. Les ateliers ferroviaires qui firent la fierté de cette railroad community ont été ballotés de repreneur en repreneur, laissant un goût amer dans la bouche des habitants qui avaient passé leur vie à y travailler, souvent comme leurs parents et grands-parents avant eux.

Premier employeur de la ville

Pour Jim Griffin et le maire Shawn Hogan, aux affaires entre 1985 et 2017, il était hors de question pour autant de tourner le dos au rail. « Le chemin de fer est dans notre sang », insiste le premier. Après un énième abandon des ateliers, il part à la recherche d’un nouveau repreneur sur Internet. Il découvre alors GEC-Alsthom, le nom de l’entreprise à l’époque. « Je n’avais jamais entendu parler d’eux, mais j’ai vu qu’ils avaient fait plus de trains que n’importe quel autre constructeur au monde. Ils n’avaient pas non plus d’opérations aux États-Unis. Quand ils ont accepté de venir en 1997, je me suis dit : mon Dieu ! C’est énorme ! ».

Depuis, Alstom est restée fidèle à Hornell, même dans les moments difficiles. Premier employeur de la ville, l’entreprise fait travailler 800 personnes dans ses ateliers. Elle y fabrique, entre autres, les vingt-huit TGV nouvelle génération commandés en 2016 par Amtrak, la compagnie nationale américaine. Les rames sont testées sur un circuit voisin qu’Alstom a fait construire. Elle a récemment reçu 3,4 millions de dollars de la part du gouvernement fédéral, avec un coup de pouce du sénateur de New York Charles Schumer, pour bâtir une nouvelle usine dans le nord de la ville. Celle-ci accouchera des rames du train de Chicago, Metra, et permettra la création de 250 emplois. Montant du contrat: 1,8 milliards de dollars.

Retour des commerces et nouveaux logements

En outre, pour respecter la règlementation relative à la fabrication américaine des équipements de transports, Alstom a fait venir dans cette région pauvre et rurale de l’État de New York certains de ses fournisseurs internationaux, comme le français Compin, chargé de la fabrication des sièges des nouveaux trains d’Amtrak. En ville, les commerces reviennent. De nouveaux logements sont sortis de terre pour faire face à l’accroissement de la population. Un hôtel, le premier à Hornell, doit également ouvrir ses portes prochainement.

Un petit contingent de Français expatriés figure au sein de la trentaine de nationalités du site de Hornell. Olivier Colson, le directeur de l’approvisionnement, en fait partie. Il est arrivé en 2015 avec sa femme et ses trois enfants. « J’avais le choix entre Dubaï, l’Afrique du Sud, la Russie. Mais j’ai choisi Hornell pour la qualité de vie, explique-t-il. Les gens sont très accueillants. Ils savent que l’expertise nécessaire pour la réalisation des projets n’est pas toujours disponibles en local ». Il a eu un quatrième enfant depuis son installation. « Je ne pensais pas rester plus de trois-quatre ans à Hornell, mais mes enfants se sont américanisés et je suis en processus de carte verte, dit-il. C’est un pays magnifique ».

[Webinaire] L’immigration américaine et la fin des interdictions de voyage dues à la Covid : et maintenant ?

Rejoignez-nous mardi 2 novembre à 12pm ET pour une session d’une heure couvrant les dernières informations en matière d’immigration américaine, suite à la fin des interdictions de voyage dues à la Covid-19.

Cette session vous donnera des conseils pratiques sur les mesures que vous devriez prendre maintenant pour augmenter vos chances de succès pour obtenir un visa américain et entrer dans le pays.

Deux experts aborderons les sujets suivants :

– Sujets brûlants pour les visas de travail et comment développer votre entreprise aux États-Unis

– Dernières nouvelles sur le parrainage familial

– Ce qui est nécessaire pour entrer aux États-Unis

– Situation actuelle dans les consulats américains : quand dois-je commencer à planifier et comment puis-je obtenir un rendez-vous ?

– J’ai été bloqué en dehors des États-Unis : comment puis-je y retourner ?

Rendez-vous mardi 2 novembre à 12pm ET · 11am CT · 9am PT

[Inscription gratuite]

Ron Matten et Arthur Deucher Figueiredo répondront à vos questions en direct.
Vous pouvez également nous les envoyer en amont à : [email protected]

Note : ce webinaire aura lieu intégralement en anglais

« BOOOM! », le festival BD francophone de la côte Ouest américaine

[Agenda partenaire] BOOOM! est le festival de la BD à ne pas manquer, organisé par Made in France. Parrainé par Jean Bastide, illustrateur de Boule et Bill et d’Idéfix. Personne ne peut résister à son appel. 

Cette année, Pascal Gros, invité vedette, nous promet du rire et de la dérision. Célèbre dessinateur de presse, notamment pour l’hebdomadaire Marianne, il a le don de transmettre des messages forts à travers son crayonné si explicite. Il sera accompagné de Damien Glez, dessinateur de presse franco-burkinabé ou encore de Nadia Khiari et de son célèbre chat Willis from Tunis

Hourra ! Les femmes sont à l’honneur avec Claire Bouilhac, Laetita Coryn, et Sandrine Revel, illustratrice des Chroniques de San Francisco et bien d’autres.

Des ateliers pour les adultes mais également pour les jeunes seront au programme, avec Marguerite Abouet, auteure d’Aya de Yapoungo et d’Akissi. Au rendez-vous aussi Jacques Goldstyn et Julien Paré-Sorel, de quoi réjouir les plus jeunes.

Oh là là ! Mais le jour J approche puisque le festival débutera le 5 novembre et sera 100% en ligne alors vite : on clique et on s’inscrit

Plein de surprises vous attendent ainsi que des expositions itinérantes. 

Scoop ! JUL, scénariste de la bande dessinée Lucky Luke, sera jury du célèbre concours BOOOM! qui a lieu du 11 octobre au 20 novembre. Alors à vos crayons les amis, c’est le moment de montrer votre talent en préparant une planche BD sur le thème « Un cow-boy dans ta ville ». Le concours est en partenariat avec l’EFSAC de Sacramento et Lucky Comics, et s’adresse aux enfants de 7 à 16 ans. 

Made in France est une association à but non lucratif ayant pour mission de promouvoir la culture francophone et la langue française. 

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Les rendez-vous du patrimoine et de la mobilité franco-américaine : quid de l’actionnariat salarié

[Agenda partenaire] Bank of the West/ BNP Paribas et Deloitte TAJ ont le plaisir de vous proposer une série de webinaires intitulée « Les rendez-vous du patrimoine et de la mobilité franco-américaine ».

Ces webinars sont destinés à vous apporter :
– un éclairage concret sur votre situation internationale.
– un décryptage de l’actualité patrimoniale et fiscale, américaine et française, à l’aide de professionnels des sujets abordés.

Pour débuter cette deuxième saison, Bank of the West/ BNP Paribas et Deloitte TAJ ont choisi de traiter de l’impact de la mobilité internationale sur l’actionnariat salarié. BSPCE, Stock-options, plan d’épargne entreprise, autant d’outils de fidélisation des employés qui peuvent être mis à mal par une expatriation sans être anticipés.

Des experts viendront apporter leur regard sur les différents aspects fiscaux et patrimoniaux entrant en compte dans la gestion de cet actif particulier.

Parmi les thèmes abordés :

– Quel lieu d’imposition pour des plans accordés avant l’expatriation ?
– Quel fait générateur de l’imposition ? Différences France et US ?
– Quel traitement fiscal en fonction du pays d’acquisition et de cession ?
– Quel impact des prélèvements sociaux et autres cotisations sur des plans acquis dans un pays et cédés dans l’autre ?
– Quelles stratégies de levées et de cession à mettre en place en fonction du pays de résidence ?

Les invités et spécialistes :
– Julie Reynier, avocate et Partner chez Deloitte TAJ, spécialiste de la mobilité internationale, Lyon
– Allan Menini, fiscaliste et Manager chez Deloitte TAJ, spécialiste de la mobilité internationale, Lyon
– Yoann Brugiere, Partner et fondateur d’Orbiss, CPA/ Expert-comptable, spécialisé en questions franco-américaines, NYC
– Margaux Buridant, International Wealth Strategist chez Bank of the West, NYC
– Thomas Simonney (Moderateur), Head of International Clients chez Bank of the West, San Francisco

Rendez-vous vendredi 5 novembre à 9am PST / 12pm EST en vous inscrivant ici :  https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_L9lnT0mzTeWloVWgjNa7eg

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La levée de fonds en question le 4 novembre à la FACC

Comment faire évoluer sa start-up ? C’est le thème de la nouvelle discussion organisée par la Chambre de commerce franco-américaine (FACC) de New York, « Tech Innovators Soirée », le jeudi 4 novembre. La chambre réunira pour une table ronde des investisseurs et des entrepreneurs qui ont réussi à lever des fonds pour leur entreprise.

Le panel sera composé de Pierre-Louis Theron, CEO cofondateur de Streamroot, Murat Aktihanoglu, cofondateur et Managing Partner d’ERA, Shai Tamary, Directeur des programmes chez WEVE Accelerator (anciennement NUMA New York) et Sascha Eder, CEO de NewtonX. Ils partageront leurs expériences pour éviter les pièges de la levée de fonds, convaincre des investisseurs, et, défi que tout jeune créateur d’entreprise doit surmonter, travailler avec différentes sources de capitaux, telles que les amis et la famille, les investisseurs providentiels, les sociétés de capital-risque ou encore les subventions et les prêts du gouvernement.

La table ronde commencera à 6pm. Elle sera suivie d’une séance de questions-réponses. Puis, à 7pm, d’un buffet – avec vin et champagne. Réservations ici. 25$ pour les membres de la FACC, 50$ pour les non-membres.

Un concert entre amis au Carnegie Hall pour Angélique Kidjo

Angélique Kidjo ne fait pas les choses à moitié pour son retour sur la scène de Carnegie Hall. La chanteuse a convié quelques amis pour son concert du vendredi 5 novembre dans la salle mythique de Midtown.

Lauréate de quatre Grammy Awards et ambassadrice de bonne volonté pour l’UNICEF, la Béninoise a rameuté Josh Groban (« You are loved », « You Raise me Up »…), Andra Day (« Rise Up »), Cindy Lauper, Philip Glass, le duo de hip hop Earthgang et le saxophoniste franco-libanais Ibrahim Maalouf pour l’occasion.

Mélange de musique africaine, jazz, R’n’B et d’autres styles, ce nouveau spectacle est inspiré de l’album « Mother Nature » de l’artiste, fruit d’une collaboration avec plusieurs musiciens du monde entier bouclée lors du confinement de 2020. Selon le programme, l’événement explorera en musique les liens entre la nature et l’humanité et rendra hommage à la résilience des New-Yorkais.

Moi Impat : Physiothérapeute en France ou au Royaume-Uni, rien à voir

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Dans la démarche de retour de Maud Cioffi, notre 76ème invitée, récemment rentrée, se dessinaient deux souhaits : pouvoir relancer sa carrière de physiothérapeute en France et ne pas vivre sa retraite en Angleterre. Ces deux paramètres entérinés, c’est à Saint-Germain-en-Laye, en banlieue parisienne, qu’elle a décidé de poser ses valises pour y démarrer une seconde carrière.

Une fois passé le pensum de la paperasse, Maud commence à réorganiser sa nouvelle vie au milieu d’une communauté plutôt internationale. Comme une continuité.

https://www.spreaker.com/user/10781102/pad_45

Investir dans l’immobilier en France : qu’est-ce que le déficit foncier et comment l’optimiser ?

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Qu’est-ce que le déficit foncier d’un investissement locatif ?

S’il y a bien une chose sur laquelle les propriétaires immobiliers s’accordent, c’est la possibilité d’optimiser fiscalement leur investissement. Si certains mécanismes de  défiscalisation sont bien connus, d’autres méritent de gagner en notoriété, comme le déficit foncier. Ce procédé permet aux investisseurs souhaitant se constituer un patrimoine de réduire leur imposition. On vous aide à comprendre tout le dispositif du déficit foncier dans le cadre de votre investissement locatif.

Déficit foncier : comment ça fonctionne ?

Le déficit foncier est la situation dans laquelle le propriétaire d’un appartement ancien ou d’un immobilier locatif en France se trouve lorsque les charges qu’il supporte (travaux de rénovation, charges d’entretien, de copropriété, primes d’assurances, intérêts d’emprunt, taxe foncière…) sont plus importantes que les loyers qu’il perçoit.

La situation est plutôt courante lorsque le détenteur d’un immobilier locatif en France entreprend des travaux de réparation dans un logement, tout en sachant que seules les dépenses relatives à des travaux d’entretien, de réparation et d’amélioration sont déductibles.

Le déficit foncier imputable sur le revenu global

Le déficit foncier est, sous certaines conditions, imputable sur le revenu global, avec un plafonnement maximum à 10 700€ par an. Le bien doit cependant être loué jusqu’au 31 décembre de la troisième année qui suit l’imputation du déficit. Le surplus de charges (au delà des 10 700€), ainsi que la fraction du déficit résultant des intérêts d’emprunt sont, quant à eux, imputables sur les revenus fonciers des dix années suivantes.

Il permet donc de ne pas être imposé sur son revenu foncier à hauteur des charges que l’on supporte, voire de payer moins d’impôts sous certaines conditions. Dans le cas d’un investissement locatif, ce procédé, qualifié de « niche fiscale », permet donc aux propriétaires d’un appartement en location de valoriser certaines de leurs charges en les déduisant de leurs revenus fonciers.

Comment bénéficier du déficit foncier ?

Conditions d’application

Avant de pouvoir profiter des nombreux avantages fiscaux du déficit foncier et de réduire votre niveau d’imposition, il est nécessaire de respecter certaines conditions d’application. Tout d’abord, il est impératif de réaliser un investissement immobilier locatif.

Suite à votre investissement dans l’immobilier locatif, d’autres conditions s’appliquent. Le logement doit par exemple être destiné à la location meublée et affecté à l’usage d’habitation principale ou secondaire du locataire pour une durée de 3 ans minimum. Le propriétaire doit être sous le régime réel (et non sous régime micro-foncier).

Déficit foncier et charges déductibles

Toutes les charges ne sont pas déductibles des revenus et ne participent donc pas au déficit foncier.

Parmi les frais et charges imputables pour la détermination du déficit foncier on retrouve :

– Les charges non financières liées à l’exploitation du bien immobilier : honoraires d’agences, cotisations d’assurances (incendie, dégât des eaux, assurance loyers impayés, assurance vacance locative…), charges de copropriété (dépenses de maintenance, de fonctionnement, d’équipement des parties communes de l’immeuble, de travaux…), impôts et taxes liés au bien loué (taxe foncière, taxe d’équipement…), dépenses acquittées pour le compte des locataires et restant définitivement à la charge des propriétaires, frais de procédure pour le règlement de différends liés au bien loué (honoraires d’avocat, huissier, notaire…)

– Les charges liées aux travaux : travaux de réparation et d’entretien, travaux d’amélioration apportant un équipement ou élément de confort nouveau, dépenses

A noter : les dépenses correspondant à des travaux de construction, reconstruction ou agrandissement ne sont pas déductibles.

– Les charges financières : intérêts d’emprunt pour l’acquisition du bien mais aussi intérêts d’un prêt effectué dans le cadre de travaux de réparation ou d’amélioration de celui-ci, frais associés aux intérêts (frais de dossier, frais de garantie, cotisations assurance emprunteur…).

Investissement Locatif a une parfaite connaissance du marché immobilier en France et propose à ses clients d’investir dans l’ancien en LMNP. Les chasseurs immobiliers sont toujours à la recherche de bonnes affaires. Ils interviennent partout en France depuis près de 10 ans avec 500 projets par an. Ils vous accompagnent de la recherche du bien jusqu’à la mise en location, et vous conseillent sur le choix du régime fiscal de façon à vous garantir la meilleure stratégie. Contactez-les pour lancer vos projets.

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