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Le B.A.A avec année préparatoire de HEC Montréal : trois bonnes raisons de tenter le coup

[Article partenaire] Voilà des mois que vous y réfléchissez… Et si j’allais étudier la gestion à l’étranger ? L’idée est enivrante, mais est-elle réaliste ? Poursuivre ses études à l’étranger, c’est un projet de vie en soi ! Heureusement, HEC Montréal a LA formule qui vous permettra de transformer ce rêve en réalité : le baccalauréat en administration avec année préparatoire (B.A.A).

Soyons franc, l’installation dans un nouveau pays est un défi de taille. Difficultés d’adaptation culturelle, méconnaissance du système d’enseignement, changements saisonniers, démotivation : les écueils potentiels sont nombreux et peuvent en rebuter certains…

Qu’à cela ne tienne, HEC Montréal a mis en place l’année préparatoire (familièrement appelée prépa) afin d’aider les étudiants ayant fait leurs études ailleurs qu’au Québec à bien s’adapter tant à l’enseignement de la gestion en Amérique du Nord qu’au contexte québécois et montréalais.

Les cours proposés à la prépa permettent aux étudiantes et aux étudiants de se familiariser avec de nouvelles manières d’enseigner, tout en acquérant ou en mettant à niveau les outils pratiques et théoriques essentiels à leur réussite académique en contexte nord-américain.

L’objectif est clair : intégrer le réputé baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) de HEC Montréal au terme de la prépa. Ça vous intéresse? Ces trois arguments devraient vous convaincre de tenter l’aventure.

1/ Le soutien constant

À HEC Montréal, nous savons que les capacités académiques ne font pas foi de tout : les liens tissés entre les membres de la communauté (les étudiants, les enseignants, le personnel administratif et de soutien) sont également un gage de réussite. À ce titre, l’École offre un service de mentorat destiné à toutes celles et à tous ceux qui intègrent l’année préparatoire. Les mentors sont des étudiants ayant vécu la prépa ou des diplômés bénévoles, et sont familiers avec le B.A.A, avec les profs et leurs attentes, de même qu’avec les nombreuses ressources disponibles à HEC Montréal. Ces mentors, supervisés par l’enseignant responsable de l’année préparatoire et encadrés par l’équipe pédagogique de la prépa, sont formés aux techniques d’entraide et d’assistance psychologique, et peuvent accompagner les étudiants de la prépa dans les bons comme dans les moins bons jours. L’empathie, c’est un peu le mot-clé de la prépa ! ?

2/ L’École et ses nombreux services

Faire sa prépa à HEC Montréal, c’est mettre le pied dans l’une des plus prestigieuses écoles de gestion francophones du globe. Situés dans le quartier cosmopolite de Côte-des-Neiges, les pavillons de HEC Montréal sont dotés de vastes salles de classe éclairées, d’aires de travail ouvertes et de nombreuses salles de rencontres. L’École vibre aussi au tempo de sa vie étudiante riche et diversifiée, avec la présence de plus de 25 associations et de regroupements, et la présentation d’événements divers (activités d’accueil et d’intégration, 5 à 7, conférences, activités culturelles et sportives, etc.). Mais surtout, les étudiants de la prépa ont accès en tout temps aux nombreux services qui leurs sont destinés, comme l’accompagnement relatif aux modalités d’immigration (obtention du permis d’études, de travail et de résidence permanente une fois le diplôme acquis), le soutien psychologique, l’aide en situation de handicap, la recherche d’emploi, et bien d’autres ! 

3/ Montréal, cadre de vie exceptionnel

La métropole a-t-elle encore besoin de présentation ? Reconnue par le QS World University Rankings 2020 comme ville n°1 en Amérique du Nord avec Boston et figurant dans le Top 10 Mondial, Montréal a de quoi plaire à tous les goûts et à toutes les bourses ! Coût de la vie abordable, offre culturelle abondante (et souvent gratuite avec les nombreux festivals), offre de sports et de loisirs tout aussi impressionnante, ville bilingue, multiculturelle et sécuritaire : Montréal a tous les avantages d’une grande ville… à dimension humaine !

Vous hésitez encore ? Ne nous prenez pas au mot, mais croyez-en plutôt les centaines d’étudiantes et d’étudiants qui, diplôme en poche, ont vécu l’expérience du B.A.A avec année préparatoire.

Pour plus de détails, visitez la page du programme ou écrivez-nous.

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Retour aux États-Unis après des vacances en France : les réponses à vos questions

Sur Twitter, dans les groupes Facebook d’expatriés français ou encore au coeur des conversations Whatsapp, les mêmes questions (et préoccupations) reviennent sans cesse. Chacun cherche à connaître les conditions d’entrée sur le territoire américain après un séjour en France. French Morning a répertorié vos interrogations pour y répondre.

Je n’ai pas de carte verte, comment puis-je revenir légalement sur le territoire américain ?
Le “travel ban”, interdisant l’entrée sur le territoire américain aux personnes étrangères (immigrants ou non-immigrants) qui ont passé les 14 derniers jours dans l’espace Schengen, au Royaume-Uni (à l’exclusion des territoires d’outre-mer en dehors de l’Europe), en Irlande, au Brésil et en Afrique du Sud, a été étendu lundi 26 juillet. Les ressortissants de nationalité américaine et les résidents permanents aux États-Unis détenteurs d’une carte verte ne sont pas concernés par cette mesure. De la même manière les enfants mineurs et les époux de citoyens américains ou résidents permanents ainsi que les parents d’enfants (de mons de 21 ans) américains ou titulaires de carte verte peuvent entrer librement sur le territoire. Les autres, considérés comme étrangers, ne sont donc pas autorisés à entrer aux États-Unis en provenance de la France. A une exception près : les Français(es) sous certains VISA peuvent faire une demande de NIE (National Interest Exception) auprès de l’ambassade américaine à Paris, leur permettant l’entrée sur le territoire américain.

Qui peut obtenir un NIE ?
Le NIE, mis en place sous Trump, est destiné à plusieurs catégories et sous-catégories de visas “non-immigrants” qui ont été clarifiées sous Joe Biden. Sont concernés les titulaires de visas I (médias), certains visas J et étudiants (visas F et M) et les fiancé.e.s de citoyens américains. Certains autres, comme les titulaires de visas E ou L peuvent être admis mais seulement s’ils participent de manière directe et indispensable au soutien à l’un des secteurs d’infrastructure essentiels définis par l’administration américaine (ces derniers cas sont rares et appliqués de manière restrictive par les consulats).

Combien de temps faut-il attendre entre la demande et l’obtention d’un NIE ?
Selon nos dernières informations, il faut désormais au moins un mois pour obtenir le précieux sésame (contre une dizaine de jours en décembre) auprès des autorités consulaires américaines ([email protected]). La demande se fait une fois que vous êtes présent sur le territoire français (le premier jour de votre arrivée, à notre humble avis). Et entre temps, il faut fournir pléthore de justificatifs, dont une lettre d’employeur, votre VISA et passeport scannés, ainsi que répondre à des questions pour expliquer pourquoi vous devez absolument revenir sur le territoire américain. Le NIE est désormais valable pour une durée de 12 mois depuis le 29 juin. Cette mesure est rétro-active, une bonne nouvelle pour tous ceux qui ont obtenu un NIE sur la dernière année, et peuvent le réutiliser.
Pour les expatriés qui font une demande de renouvellement de VISA, l’ambassade peut délivrer le NIE en même temps que le VISA, permettant d’accélérer les démarches.

Peut-on entrer sur le territoire américain avec un ESTA ?
L’ESTA, (Electronic System for Travel Authorization) qui permet aux voyageurs/touristes de séjourner moins de 90 jours aux États-Unis ou d’y transiter, est toujours délivré. Pour pouvoir l’utiliser, il faudra toutefois effectuer une quarantaine de 14 jours dans un pays exempté de “travel ban”, ainsi qu’un test (PCR ou antigénique) de moins de 72 heures.

Quelles sont les alternatives pour revenir sur le sol américain ?
Étant donné que les frontières sont toujours fermées aux non-Américains, nombre d’expatriés cherchent des alternatives. Il faut donc surveiller quels sont les pays exemptés de “travel ban”. Certains effectuent une quarantaine en Turquie, d’autres au Mexique, avant de prendre l’avion pour les États-Unis, respectant alors la règle des 14 derniers jours non passés dans l’espace Schengen. Mais les décisions changent vite, ces alternatives sont à vos risques et périls.

Je suis déjà vaccinée aux Etats-Unis. Ai-je besoin en plus d’un test Covid avant d’embarquer ?
Pour rentrer aux États-Unis, la carte de vaccination ne suffit pas. Il est demandé aux voyageurs âgés de 2 ans ou plus de réaliser un test PCR ou antigénique de moins de 72 heures avant le vol (premier vol en cas de correspondance). En outre, il faudra vous munir d’une déclaration sur l’honneur de non-symptômes téléchargeable ici.

David Libespère : du Gers à Harlem, un cocktail à la fois

Ambulancier dans le Gers, David Libespère a tout quitté en 2009 pour les États-Unis et New York. “Je voulais me prouver que je pouvais réussir quelque chose seul, et surtout trouver ma voie”, explique le Français aujourd’hui âgé de 37 ans. 12 ans plus tard, il est co-gérant du 67 Orange St, un bar à cocktail réputé d’Harlem, et prévoit d’ouvrir une deuxième adresse à SoHo au début d’année prochaine.

“J’ai commencé tout en bas de l’échelle à mon arrivée à New York, en tant que “busser” (ndlr: celui ou celle qui débarrasse les tables) dans le restaurant français AOC de Romain Bonnans”, se rappelle David Libespère. “J’ai ensuite été embauché dans un établissement italien où on m’a laissé évoluer et créer mes propres cocktails. Je me suis découvert une passion pour la mixologie”.

Son parcours américain le mène ensuite à Miami, où le Gersois créé sa société de conseil auprès de bars et restaurants en 2016, avant de revenir sur New York l’année suivante où il est recruté au 67 Orange St en mars 2017. “Karl Franz Williams (ndlr: alors seul patron de l’établissement) a fait appel à moi pour essayer de redresser la situation du bar, qui était en difficulté. Nous avons dû nous séparer de la majeure partie du personnel, et repartir avec un fonctionnement à la française : fini les bussers, hosts et servers. Ici, nous sommes 4 barmans/mixologues à nous partager toutes les tâches quotidiennes”.

Fondé en 2008, le 67 Orange St est une institution à New York. Il tient son nom de l’adresse du premier bar tenu par un Afro-américain dans la Big Apple dans les années 1840, Almacks. Le 67 Orange St se revendique encore aujourd’hui fièrement comme un “black-owned business” avec Karl Franz Williams à sa tête. L’établissement a été également le premier à proposer des “craft cocktails” (fait à base de produits frais, locaux et d’une manière traditionnelle) dans le quartier. “Karl m’a proposé de devenir son associé en prenant des parts dans l’affaire. C’est une grande fierté de pouvoir travailler avec lui dans un endroit qui compte à Harlem”, confie David Libespère.

Le 67 Orange St offre une liste de cocktails à rallonge classée selon la base d’alcool que vous préférez (vodka, gin, tequila, mezcal, rhum, whiskey et brandy). L’établissement élabore également des cocktails de saison. Lors de notre visite du 9 août, nous avons goûté au Top Tier Daiquiri (16$), un cocktail léger et fruité à base de rhum Barbancourt huit ans d’âge, de Rockey’s (liqueur fabriquée à Brooklyn), punch suédois, jus de citron et sirop de pommes et gingembre. Notre deuxième choix s’est porté vers le Manhattan After Dark (17$), un bourbon Woodford Reserve infusé dans sa carafe avec de la fumée de cigare. Savoureux! Les boissons peuvent être accompagnées de snacks (wings, mac & cheese, etc).

Originellement un speakeasy, le 67 Orange St s’est transformé depuis la pandémie en un bar plus traditionnel. “On a dû trouver des solutions pour survivre en installant notamment une grande terrasse et en développant les ventes à emporter”, explique David Libespère. Depuis, les clients sont revenus et le bar a attiré les bonnes critiques dans les médias  américains. “On est classé deuxième meilleur bar à cocktail sur Eater à New York et dans la liste des 27 meilleurs bars des US par Esquire“, lâche fièrement le Français.

L’avenir du 67 Orange St s’écrit en double puisque David Libespère et Karl Franz Williams ont été contactés par le propriétaire d’un immeuble de SoHo qui leur propose d’ouvrir un deuxième bar dans le Downtown Manhattan. “Ce sera un vrai speakeasy en sous-sol avec ce qui a fait notre réussite à Harlem : des cocktails de qualité dans un lieu intimiste et agréable”, expose David Libespère. Ouverture prévue d’ici mars 2022.

La bossa nova de Nouvelle Vague à Los Angeles

La saison des concerts est lancée. La Nouvelle Vague, le collectif parisien mené par Marc Collin (compositeur) et Olivier Libaux (guitariste), montera sur la scène du Fonda Theatre à Los Angeles, mardi 28 septembre. Il est porté par les chanteuses Mélanie Pain et Elodie Frégé.

Créé il y a 15 ans, le groupe reprend un répertoire punk-new wave des années 70/80 (tels que The Clash, Cure ou The Smiths) en mode bossa nova. Ils se sont fait connaître avec des tubes revisités tels qu'”In Manner of speaking”. Leur dernier album “Curiosities” date de 2019.

Depuis 2004, ils ont vendu plus d’un million d’albums et organisé des concerts à travers le monde. Le collectif était notamment monté sur la scène du Hollywood Bowl et du Regent Theater.

À Miami, le groupe français BOW rachète l’enseigne tricolore Musart

Spécialisé dans les objets du quotidien à la fois design et connectés, le groupe français BOW, qui a notamment ouvert une filiale aux États-Unis en 2016, vient tout juste de faire l’acquisition de l’enseigne tricolore Musart, une boutique en ligne de produits dérivés d’oeuvres d’art de renom, créée il y a sept ans à Miami.

« Une page se tourne et un nouveau chapitre s’ouvre », confie fièrement l’entrepreneur français Vincent Grégoire, le fondateur de Musart, qui s’est donné pour mission de mettre l’art à la portée de tous. Proposant d’acheter un nain de jardin d’Ottmar Hörl, une réplique miniature de la Vénus de Milo, ou encore des reproductions officielles de Dalí, Mondrian et Warhol, le tout à un tarif raisonnable, ce féru d’art a développé sa marque grâce à l’ouverture de magasins physiques à Miami avant de se consacrer uniquement à la vente en ligne.

Aujourd’hui, souhaitant donner une nouvelle impulsion à sa société, le trentenaire a cédé la majorité de ses parts au groupe français BOW, dont le prix d’achat n’a pas été précisé. « Quand tu es seul, il est bien souvent difficile de passer à la vitesse supérieure, indique Vincent Grégoire. J’ai eu l’opportunité de faire grandir mon projet, qui restait une petite entreprise avec du potentiel, alors je l’ai saisie sans hésiter car je sais qu’il est entre de bonnes mains ».

Rendre l’art moins élitiste

« Nous souhaitons développer l’activité commerciale de Musart et accroître sa notoriété en dépassant les frontières américaines », s’enthousiasme Boris Brault, le fondateur du groupe BOW. Collectionneur d’oeuvres d’art à ses heures perdues, ce Français de 42 ans, originaire de Guadeloupe, vend chaque année près de deux millions de produits dans près d’une centaine de pays à travers ses deux marques : MyKronoz, spécialisée dans les montres connectées à des prix défiant toute concurrence, et Lexon, la célèbre marque tricolore de design que le groupe a rachetée en 2018. « Dans notre stratégie de diversification, Musart vient se greffer naturellement car elle aussi permet de rendre des produits moins élitistes et plus abordables ».

En rejoignant le groupe BOW, Musart bénéficie désormais des plateformes existantes du groupe français, comme son propre centre de recherche et développement basé à Shenzhen en Chine, ses structures de production ainsi que son réseau de points de vente. « Avec une telle force de frappe, en plus de vendre des produits sous licence officielle achetés auprès des boutiques de musées, nous allons pouvoir créer nos propres collections d’objets en réalisant notamment des collaborations avec des artistes contemporains », souligne Vincent Grégoire.

Nous réfléchissons également à d’autres stratégies de développement car le marché de l’art est en pleine mutation avec les nouvelles technologies, ajoute Boris Brault. Nos enfants consommeront l’art d’une façon totalement différente, et comme je suis d’un naturel optimiste, je me dis qu’il faut faire en sorte que Musart soit prêt afin de participer à cette révolution numérique et satisfaire cette nouvelle génération de consommateurs».

Dating : 3 signes qui montrent que vous devriez essayer une façon plus audacieuse de faire des rencontres

[Article partenaire] Célibataires, nous avons de très bonnes nouvelles pour vous. Après des mois de restrictions, le dating, le vrai, est officiellement de retour. Alors ne perdez pas de temps à swiper sans but : rencontrez de vraies personnes, dans la vraie vie. Si vous souhaitez vraiment rencontrer quelqu’un et démarrer une relation sérieuse, il est temps pour vous d’essayer quelque chose de nouveau.

Découvrez Inner Circle, l’application de rencontre qui vous fera quitter votre téléphone et rencontrer quelqu’un dans la vraie vie en un temps record. Vous n’êtes pas encore convaincu·e ? Voici trois signes qui montrent que vous devriez essayer Inner Circle :

1/ Vous êtes prêt·e à prendre les rencontres au sérieux

Photos trompeuses, mauvaises intentions… il est inutile de sortir avec quelqu’un qui n’est pas celui qu’il prétend être, et vous le savez. Vous savez aussi que votre temps est précieux, et vous ne voulez pas le perdre en discutant en ligne pendant des heures sans but. La plupart des applications de rencontre sont sournoises car elles vous gardent en ligne aussi longtemps que possible. Après tout, votre temps, c’est leur argent…

L’application Inner Circle est différente : son but est de vous faire passer à l’étape “rencontre dans la vie réelle” le plus rapidement possible, plutôt que de vous faire passer énormément de temps à échanger en ligne. De plus, une équipe vérifie tous les nouveaux utilisateurs afin d’exclure les profils mensongers, les spammeurs et les escrocs. Vous n’y trouverez que des personnes réellement intéressées par les rencontres, ce qui vous permettra de rencontrer votre moitié plus rapidement. 

2/ Vous voulez trouver quelqu’un avec qui vous avez une réelle connexion

Vous en avez assez d’être matché·e avec quelqu’un pour finalement découvrir que vous n’avez rien en commun avec cette personne ? Cela n’arrivera pas sur Inner Circle, car il est très facile de trouver des personnes partageant les mêmes idées et centres d’intérêts. Tous les profils sont riches et remplis d’informations vous permettant de vous faire une réelle idée de la personne. Et si vous ne savez pas quoi dire à votre partenaire, l’application peut aussi vous aider. Utilisez les suggestions de messages pour démarrer une conversation que vous ne voudrez jamais terminer !

Vous pouvez également appliquer des filtres pour être encore plus sélectif·ve, et pouvoir enfin emmener la personne idéale boire un verre ou un café.

3/ Vous voulez faire de vraies rencontres, sans trop savoir comment

Les applications sont idéales pour rencontrer d’autres célibataires, mais nous savons tous que la magie n’opère vraiment que dans la vie réelle. Alors, soyez audacieux, laissez votre téléphone de côté, et rencontrez votre match “en vrai”. C’est littéralement le but d’Inner Circle. Dites adieu au stress de choisir l’endroit parfait pour votre date, utilisez plutôt la fonction des “spots” de premier rendez-vous de Inner Circle. Vous pouvez même rechercher vos bars préférés pour trouver d’autres membres qui les aiment aussi. Envoyez-leur un message et invitez-les à vous rejoindre là-bas, vous avez déjà quelque-chose en commun !

Prêt à essayer une nouvelle façon de faire des rencontres ? Inscrivez-vous sur Inner Circle dès maintenant et passez aux vraies rencontres, dans la vraie vie. 

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French Expat le Podcast : Carte postale sonore de Brooklyn, NY avec Charlotte

Cet été, toute l’équipe de French Expat Le Podcast vous invite à découvrir sa ville d’expatriation.

Découvrez des cartes postales sonores avec Manon, Fanny, Charlotte, Caroline et Anne-Fleur et découvrez ou redécouvrez Houston, Mazatlán, Brooklyn, San Jose et Boston. Chaque membre de l’équipe du podcast vous fait découvrir sa ville et répond à la question : “quels conseils aurais-tu aimé que l’on te donne avant ton départ de France ?” (ou de Belgique pour Caroline, la Belge de l’équipe).

Cette semaine, on part à New York avec Charlotte Fiquemont, notre responsable relations invités.

Qui est Charlotte ?

Charlotte est originaire de région parisienne et vit avec son mari à New York. C’est lors de leur lune de miel à l’été 2016 dans les parcs de l’ouest américain qu’ils tombent amoureux des USA. À leur retour, l’envie de s’expatrier en Amérique du Nord est de plus en plus forte.

Lorsqu’un poste à NYC est proposé à son mari, ils sautent sur l’occasion de vivre l’expérience de l’expatriation. Les voici dans la grosse pomme depuis 2018, où Charlotte se charge des relations invités du podcast.

  1. Quels sont pour elle les 3 conseils qu’elle aurait aimé recevoir avant de partir en expatriation ?

Une des choses qui aurait beaucoup aidé Charlotte avant son expatriation, c’est de savoir parler anglais un peu mieux. Elle nous confie qu’elle aurait aimé se renseigner davantage sur comment apprendre la langue et ce, avant d’arriver et pas directement sur place.

Et la seconde chose qu’elle aurait aimé connaître, c’est le système du Credit Score. Pour chaque personne avec un numéro de sécurité sociale (appelé SSN) aux États-Unis, le gouvernement américain lui donne une note en fonction de ses historiques de paiement (loyers, charges, abonnements) et du remboursement de ses dettes. Sans carte de crédit aux États-Unis depuis longtemps, il est difficile d’avoir un bon Credit Score voire d’en avoir un tout court. Les banques, les propriétaires d’appartements et autres institutions vont donc avoir du mal à vous faire confiance. Pour pallier ce problème, il vous demanderont sûrement davantage de preuves de votre solvabilité pour louer un appartement, acheter une voiture ou prendre un emprunt. Le conseil que Charlotte vous donne c’est donc d’avoir beaucoup d’argent de côté. Par exemple pour payer les 4 ou 5 mois de loyer d’avance qu’un propriétaire pourrait vous demander en l’absence de Credit score. 

  1. Quels sont les endroits authentiques, les choses à sentir, à visiter ou à goûter dans sa ville d’adoption : Brooklyn, NY ?

Comme Charlotte a envie de vous propulser chez elle ce mardi matin, voici le programme d’une journée typique à New York.

9h00 Commencer la journée au Nord de Manhattan, à Harlem pour assister à une messe gospel. De nombreuses églises proposent d’y assister dans le respect de leur pratiquants bien sûr, pas de photos sur place!

11h00 Baladez vous dans Harlem et arrêtez-vous dans un restaurant typique du Sud qui vous servira un brunch comme on les aime en Louisiane : du poulet frit sur des gaufres, le tout agrémenté de beurre et de sirop. La bonne nouvelle c’est que vous allez continuer à marcher pour éliminer!

14h00 c’est l’heure de descendre vers Central Park en prenant le métro. Descendez au moins jusqu’à la 80ème rue et entrez dans le parc pour explorer ses nombreux recoins. On en nomme quelques-uns : la statue d’Alice au Pays des Merveilles, le Bow Bridge et la fontaine Bethaslda. À Central Park, il faut s’asseoir sur un banc, observer les gens passer en écoutant le chant des oiseaux et en suivant l’eau du regard avant de poser ses yeux sur la vue que l’on commence à avoir des grattes-ciels de Midtown.

16h00 Descendez ensuite pas la 5ème avenue pour voir les boutiques de luxe, St Patrick’s Cathedral et arrêtez-vous au Rockefeller Center. Si c’est en hiver, profitez-en pour faire un tour de patinoire ou prendre en photo les décorations de Noël. Prenez ensuite le temps de monter jusqu’au Top of the Rock, le dernier étage de la tour pour avoir une vue magnifique sur Central Park et l’Empire State Building. Encore mieux si vous pouvez rester pour le coucher de soleil.

18h00 Prenez la 7ème avenue pour descendre vers Times Square, le passage obligé pour prendre le pouls de la ville. En pleine nuit, vous allez en avoir plein les mirettes.

Pour les fans de homard, Charlotte vous conseille de dîner chez Burger & Lobster. Le plat typique c’est donc de manger un “surf and turf” : un plat qui mélange fruit de mer (le homard) et viande (le. burger). Attention, il faut amener son appétit! De là, vous serez juste à côté de l’Empire State Building et de Bryant Park, l’endroit parfait pour terminer la journée.

Si vous avez aimé l’épisode, rendez-vous sur Apple Podcast, Tumult ou Castbox pour lui donner 5 étoiles et un commentaire.

Retrouvez tous les épisodes, découvrez l’équipe et la mission du podcast, ainsi que tous les liens pour nous retrouver sur toutes les plateformes sur le site www.frenchexpatpodcast.com/. Suivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :

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  • ? Enregistrement et montage par Anne-Fleur Andrle
  • ? Habillage sonore et mixage par Alice Krief (Les Belles Fréquences https://www.lesbellesfrequences.com/)

 

A Los Angeles, les soirées Décadanse sont de retour

Signe que les restrictions sanitaires ont disparu à Los Angeles, les soirées Décadanse sont de retour. Après une première édition 2021 en juillet, elles reviennent en grande pompe au Grand Star Jazz Club à Chinatown le samedi 14 août dès 9pm (et jusqu’à 2 h du matin) pour célébrer leurs 10 années d’existence.

Le principe de ces soirées qui ont commencé en août 2011 au Highland Park American Legion Hall : se déhancher sur des classiques des yé-yé, du disco à la Française, mais aussi des artistes plus contemporains (du Lio au Daft Punk, en passant par du Françoise Hardy), mixés par DJ Pierrot. Pour pouvoir en profiter, il faudra être vacciné (deux doses requises) et en présenter la preuve.

Ces soirées trimestrielles, plébiscitées par les francophiles, ont été imaginées par le Californien Mark Wright, propriétaire de La Vidéothèque à Pasadena et “amoureux de la culture française”.

Les Etats-Unis déconseillent les voyages en France aux Américains

Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américain a passé la France en niveau 4, le niveau le plus élevé d’alerte COVID-19.

La France, qui était jusque là en niveau 3, rejoint ainsi plus de 80 pays dans le monde, dont le Royaume-Unie, l’Espagne ou encore les Pays-Bas. Le CDC déconseille donc aux ressortissants américains de se rendre en France et, pour ceux qui le font, d’être totalement vaccinés avant de le faire. Mais l’organisme rappelle aussi que “en raison de la situation actuelle en France, même les personnes vaccinées peuvent risquer de contracter et de propager le virus”. 

 

Pass sanitaire: plus de 12.000 QR codes remis à des Français de l’étranger en une semaine

(Article mis à jour le 10 août avec de nouvelles adresses email) Mis en place la semaine dernière, et très attendu par les Français de l’étranger actuellement en vacances en France, le système permettant aux personnes vaccinées à l’étranger de disposer du pass sanitaire est très sollicité.

En une semaine quelque 25.000 demandes sont parvenues au ministère des Affaires étrangères et environ 12.000 QR codes ont été envoyés aux demandeurs, selon des chiffres obtenus par French Morning. “Le système fonctionne, mais il est très gourmand en temps”, confie une source diplomatique. Si le système français est entièrement numérisé et centralisé, ce n’est en effet pas le cas de nombreux autres pays, notamment aux Etats-Unis. Hors Union Européenne, il était donc impossible de mettre en place un processus automatisé comme cela a pu être fait entre les pays de l’Union. “On en est donc réduit à une solution artisanale, où il faut vérifier “à la main” chaque certificat fourni, poursuit la source diplomatique. Il faut donc compter 10 à 15 minutes par dossier traité”. 

Lire aussi: Pass sanitaire pour les Français des Etats-Unis, le mode d’emploi.

Sur les réseaux sociaux, les messages de ceux qui se félicitent d’avoir reçu leur QR code rivalisent avec d’autres qui se plaignent de ne rien voir venir plusieurs jours après leur demande. Une conséquence de l’engorgement des premiers jours: de nombreux français de l’étranger attendaient de pouvoir demander leur pass depuis plusieurs semaines. Une fois le système annoncé ils se sont précipités, créant une file d’attente. Pour répondre à cet afflux, le ministère des Affaires étrangères a mobilisé une centaine de personnes pour traiter les dossiers, dont plus d’une cinquantaine de vacataires recrutés spécialement. “La bonne nouvelle ce lundi c’est que le flot semble diminuer un peu, moins de demandes arrivent, ce qui devrait nous permettre de traiter rapidement les dossiers en attente” commente une autre source.

La procédure ouverte aux touristes

Dans la foulée, le secrétaire d’Etat aux Français de l’étranger, également en charge du tourisme, a annoncé ce lundi que la procédure, d’abord réservée seulement aux citoyens français, allait être élargie aux touristes des pays comme les Etats-Unis, qui peuvent depuis le mois de juin entrer en France s’ils sont vaccinés. Comme les Français de l’étranger, ils vont donc pouvoir obtenir leur QR code sur envoi par email de leur preuve de vaccination, ainsi que passeport, billet d’avion et formulaire à remplir disponible ici. Ces pièces jointes devront être envoyées par email avec l’objet PAYS DE RESIDENCE/ NOM Prenom / Date d’arrivée en France (par exemple USA/ DOE Jane/ 15/08/2021), à une des adresses email suivantes:

– Ressortissants des Etats-Unis : area1.covid-pass@diplomatie.gouv.fr
– Ressortissants du Canada : area2.covid-pass@diplomatie.gouv.fr
– Ressortissants de tous les autres pays : area3.covid-pass@diplomatie.gouv.fr

Pour rappel, voici les adresses email concernant les demandes de pass sanitaire pour les Français de l’étranger:

-Zone 1 (Canada) : [email protected]

-Zone 2 (Etats-Unis côte est : Porto Rico, îles Vierges américaines, Bahamas, îles Turques et Caïques, îles Caïmans, Boston, Chicago, Washington, New York, La Nouvelle Orléans et Miami) : [email protected]

-Zone 3 (Etats-Unis côte ouest : Los Angeles, San Francisco, Houston et Atlanta) : [email protected]

Notre “bucket list” de cinq activités à faire cet été à New York

Il n’y a rien comme un été à New York, à condition de savoir en profiter. Voici notre “bucket list” d’activités estivales à faire et refaire cette année.

Rando le long de l’Old Croton Aqueduct Trail

Pour une belle randonnée dans la ville sans être dans la ville, nous vous recommandons de suivre les vestiges de l’Old Croton Aqueduct (photo ci-dessus), un système de conduits qui accompagna la croissance au XIXe siècle de la population new-yorkaise en permettant l’acheminement de l’eau potable depuis le réservoir Croton, au nord. Aujourd’hui, il ne reste pas grand chose de cet aqueduc, mis hors service dans les années 50, si ce n’est des “ventilateurs” aux allures de cheminées qui servaient à “aérer” l’eau. Le “trail” est bien balisé. Commencez votre marche à l’accès situé au coin de Prescott Street et Yonkers Avenue (à Yonkers) et laissez vous guider par les signes “OCA” pour une promenade de plusieurs heures entre bois, manoirs, maisons luxueuses derrière le bamboo et autres petits trésors. Vous apercevrez peut-être même une biche ou deux ! L’avantage: vous ne serez jamais loin d’une “river town”, ces villages situés le long de l’Hudson, pour faire une pause buvette. On vous recommande le pub Maud’s Tavern à Hastings-on-Hudson pour le déjeuner. Le “trail” est relativement plat. Il peut se faire en vélo. Vous pourrez facilement reprendre le train vers le sud pour rentrer au bercail si vos jambes sont trop lourdes. Infos et plans ici

Ramer sur la Bronx River

L’Hudson River et l’East River, tout le monde connaît. Attendez de voir la réaction de vos potes quand vous leur direz que vous avez fait la Bronx River ! Tout au long de l’été, ce cours d’eau qui traverse le Bronx et le Westchester accueille plusieurs activités aquatiques gratuites entre amis ou en famille. Le “Lake Paddle” est le plan le plus populaire. Ce tour guidé en canoë emmène les participants (tous les âges) dans les tronçons boisés les plus calmes du fleuve, au niveau du Jardin Botanique et du Bronx Zoo. Les réservations ouvrent deux semaines avant la date de l’activité. N’attendez pas la dernière minute car vous vous ferez doubler. Infos

Little Island, le nouveau parc sur l’eau

On ne vous en voudra pas de n’avoir toujours pas visité ce parc sur l’eau tant il est difficile de trouver un créneau de libre dans les options de réservation en ligne. Ce n’est pas une raison pour vous décourager: si vous vous y rendez entre 6am et midi, l’accès est libre. Dressée sur 132 colonnes de bétons au dessus de l’Hudson, Little Island accueille du 11 août au 5 septembre une série de performances (concerts, lectures, danse, stand up…) dans son amphithéâtre extérieur. Infos

Faire le “Sling Shot” de Coney Island

Cet été, on s’envoie en l’air… à Luna Park. Avouez que voir la boule du “Sling Shot” tirée à 140 km/h à 45 mètres au-dessus du parc d’attractions de Coney Island, ça ne vous fait pas un petit quelque chose ? Ça ne peut pas être pire que l’année que l’on a vécue ! Infos

Jet Ski autour de Manhattan

Pour apprécier New York, on peut le faire depuis la terre, dans les airs, mais aussi sur l’eau. Plusieurs compagnies de jet ski proposent des sorties autour de Manhattan pour découvrir la ville sous un autre jour. New York Harbor Jet Ski propose notamment des tours quotidiens d’une heure en solo ou en tandem (169 et 219 dollars respectivement en semaine, 199 et 249 dollars le week-end). Pour cette activité, la “plus populaire” de son offre selon la promo, vous partirez de Hoboken (New Jersey) pour une boucle qui vous emmènera jusqu’au Manhattan Bridge. D’autres options (boucle jusqu’au pont George Washington, coucher de soleil…) sont proposées aussi. Infos

Trois jours à Denver, dans le Colorado

Au pied des Rocheuses, à quelque 1609 mètres d’altitude (un mile), Denver, justement surnommée Mile High City, est la ville la plus peuplée et la capitale du Colorado. French Morning a réalisé ce petit guide illustré pour vous aider à la visiter le temps d’un long week-end.

Jour 1 : parcourir les quartiers centraux de la ville à pied ou à vélo

Commencez par Union Station, la gare, où vous pourrez arriver directement depuis l’aéroport. Situé au cœur de la partie basse du centre-ville historique (LoDo, pour Lower Downtown), le bâtiment de style Beaux-Arts a été inauguré en 1914. Complètement rénové cent ans plus tard, il abrite désormais un hôtel, ainsi que plusieurs boutiques, bars et restaurants. 16th Street Mall, grande rue piétonne et commerçante, n’est qu’à quelques pas.

Union Station, la gare de Denver (Jay Yuan/Shutterstock)

Les Highlands, quartiers voisins du centre-ville, sont nichés sur une colline de l’autre côté de la rivière South Platte et de l’autoroute 25. Autrefois établis comme municipalité indépendante, ils ont été annexés à Denver en 1896. Mélange d’architecture victorienne et moderne, ils offrent une grande diversité de bars et restaurants, dont certains surplombent la ville – la terrasse du food court Avanti Food & Beverage en est un bel exemple. A quelques pâtés de maisons, Little Man Ice Cream vous régalera en crème glacée pour le dessert. Une large partie du Denver Beer Trail, randonnée urbaine dédiée aux brasseries artisanales, traverse les Highlands.

Avanti Food & Beverage (Avanti)

Au nord-est du centre ville, RiNo (River North), est plus récent. Son emblème, le rhinocéros, signale les multiples points d’intérêts : cafés, brasseries, distilleries, établissements vinicoles, peintures murales… Les amateurs d’art urbain apprécieront pour celles-ci une visite guidée. Les grandes terrasses d’Improper City (où différents food trucks font étape chaque soir) et de Number 38 (équipée d’une scène et de deux terrains de beach volley) sont idéales pour déguster différentes bières locales. La halle du marché central (Denver Central Market) regroupe une dizaine de vendeurs, parmi lesquels les délicieuses boulangerie Izzio et pizzeria Vero.

Denver Central Market (James Florio)

Jour 2 : découvrir et célébrer la diversité culturelle

Five Points, qui tire son nom de l’intersection de cinq rues (et qui comprend RiNo en son sein), est un autre quartier ancien. Egalement connu sous le nom d’« Harlem de l’Ouest », il raconte l’histoire afro-américaine de Denver. Billie Holiday, Duke Ellington et Miles Davis ont notamment joué dans ses clubs de jazz. Welton Street Cafe y est un arrêt soul food incontournable ; The Beer Spa une destination bien-être unique ; et Coors Field une étape classique pour les férus de baseball.

Coors Field, le stade de baseball de Denver (Phillip Rubino/Shutterstock)

Plus au sud, La route de Santa Fe (« Santa Fe Drive »), aussi appelée quartier des arts, compte plusieurs dizaines de galeries et studios – très fréquentés le premier vendredi du mois à l’occasion des promenades artistiques. Son héritage latino (le Mexique a été contraint de céder – entre autres – le territoire du Colorado aux Etats-Unis en 1848) est célébré au musée des Amériques. A quelques blocs, South Broadway (SoBo) traverse le quartier de Baker. L’artère est jonchée de bars, restaurants, friperies, boutiques vintage et magasins d’antiquité. Les burritos étouffés (recouverts d’une sauce au piment vert) d’El Taco de Mexico y sont particulièrement reconnus.

« Lineas de Sangre », peinture murale réalisée par l’artiste Karma Leigh à l’extérieur du musée des Amériques (Karma Leigh)

De nombreux évènements célèbrent tout au long de l’année d’autres groupes, ethnies et populations qui font aussi partie du patrimoine de Denver : les peuples autochtones lors d’un grand pow-wow au printemps, suivis des personnes LGBTQIA+ lors de la marche des fiertés l’été venu, et des communautés asiatiques et insulaires du Pacifique au moment de la fête des bateaux-dragons à l’automne.

Marche des fiertés à Denver (Philipp Salveter/Shutterstock)

Jour 3 : se mettre au vert 

Si vous n’avez pas le temps ou l’envie d’aller jusqu’au Parc National des Montagnes Rocheuses (à environ cent kilomètres de la ville) ou au Jardin des Dieux (Garden of the Gods, à peu près à la même distance), la route scénique de la Réserve faunique nationale de l’Arsenal des montagnes Rocheuses (Rocky Mountain Arsenal National Wildlife Refuge, à moins de quinze kilomètres de Denver) est une bonne alternative. Plusieurs sentiers de randonnée parcourent également les bois et prairies. Vous pourrez y observer des bisons, des cerfs, des coyotes, des chiens de prairie et de nombreux oiseaux.

Troupeau de bisons dans la Réserve faunique nationale de l’Arsenal des montagnes Rocheuses (Alan Lipkin/Shutterstock)

En ville, les jardins botaniques (une cinquantaine, répartis sur plus de neuf hectares), se visitent toute l’année. Ils regorgent de plantes régionales, mais font aussi la part belle à la flore internationale – par exemple celle du Japon et de l’Afrique du Sud. La ville abrite en plus quarante parcs, dans lesquels balades et pique-niques sont des activités locales prisées. Le zoo et le musée d’histoire naturelle se situent tous deux dans City Park, le plus grand. Chaque été depuis 35 ans, la musique jazz y retentit et fait danser la foule dominicale rassemblée pour l’occasion. Pour tout autre concert, l’amphithéâtre de Red Rocks, dans la commune voisine de Morrison, offre une acoustique superbe, en plus d’une vue sur Denver.

Jardins botaniques de Denver (Kit Leong/Shutterstock)

En 2012, le Colorado devient le premier Etat américain (avec celui de Washington) à légaliser la consommation récréative de cannabis. Profitez de votre séjour pour visiter un ou plusieurs dispensaires – Denver en compte plus de 300 –, ou pour aller fumer au Coffee Joint. L’Eglise internationale du cannabis est également un établissement unique, qu’il est possible de visiter sans en être soi-même membre (chaque vendredi, lors d’un rituel fermé au public, les élévationnistes célèbrent le sacrement du cannabis pour approfondir la découverte de soi). Autre activité possible pour les personnes majeures : une leçon de peinture accompagnée d’un joint ou un cours de cuisine pour apprendre à confectionner des mets à base de cannabis.

Les murs et plafonds de l’Eglise internationale du cannabis, peints par l’artiste espagnol Okuda San Miguel (Eglise internationale du cannabis)