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Le parc volcanique de Lassen, une excursion sulfureuse

Situé à 400 kilomètres au Nord-Est de San Francisco, le Lassen Volcanic Park fourmille de surprises : geysers bouillonnants, mares de boues odorantes, lacs cristallins, volcans et anciennes forêts de conifères. Des paysages sauvages qu’il est préférable de visiter entre juillet et septembre. La météo, plus clémente, permet d’accéder aux différentes parties du parc. Deux jours suffisent à le traverser, mais trois sont préférables pour profiter des très nombreuses randonnées qui le sillonnent. Tour d’horizon des incontournables.

Les stars du parc : les volcans

Dans la région, la terre s’exprime depuis des millions d’années. Elle abrite ainsi quatre types de volcans : stratovolcan, bouclier, cône et dôme de lave. Le plus connu, c’est le Lassen Peak, un volcan endormi qui domine le décor du haut de ses 3187 mètres d’altitude. Ascension et sensations lunaires garanties. Sa dernière éruption, en 1914, a entraîné trois ans de forte activité volcanique, ce qui qui a redessiné les paysages alentours. Aujourd’hui, on en admire les résultats : parties désertes, détruites par des coulées de lave (comme la Devastated Area) ; dômes volcaniques comme Chaos Crags, un ensemble de débris rocheux ; ou encore cônes de cendres comme Cinder Cone (2105 mètres) aux pieds duquel s’étendent des dunes de lave recouvertes de cendres (Painted Dunes).

L’animation hydrotermale

À une vingtaine de kilomètres sous la surface, du magma en fusion provoque encore des phénomènes géothermaux. Et pour les découvrir, détour par Bumpass Hell et Sulphur Works. Le premier site concentre le plus d’activité hydrothermale du parc. Il se parcoure via une randonnée se terminant sur des passerelles en bois. Le sentier de 4,8 km aller-retour évolue entre des sources en ébullition, des marres de boue chaude et des fumerolles dont l’odeur pique le nez. Le tout sur fond montagneux. Bien balisée, la promenade permet en outre d’apprécier de près les nuances de turquoise des eaux brûlantes.

Bumpass Hell
© Charlotte Attry

Le second site, Sulphur Work, est une zone moins vaste, le long de la route principale. Elle se repère grâce au dégradé d’orange, jaune et ocre de la roche locale. On y trouve la même activité géothermale qu’à Bumpass Hell et la même odeur d’œuf pourri. Cette dernière est liée au gaz volcanique produit par le magma : l’hydrogène sulfuré.

De lac en lac

Formés à la fonte des glaciers, de nombreux lacs sont éparpillés dans l’ensemble du parc. Et si l’on emprunte la route scénique qui le traverse du Nord au Sud sur 48 kilomètres, on peut s’arrêter sur les rives de plusieurs d’entre eux, faire du kayak, pêcher ou se baigner. Parmi les plus réputés : Manzanita Lake (dont on peut faire le tour et où se trouvent des chalets, un camping et un musée), Juniper Lake (le plus grand avec les lacs de Butte et Snag), Helen Lake (à 2500 mètres d’altitude), Emerald Lake ou Summit Lake. De plus petits lacs blottis entre les monts se méritent en s’éloignant davantage.

Avec tout ça, pas étonnant que certains surnomment le Lassen Volcanic Park le Yellowstone de Californie.

7 “farmers markets” où trouver des produits locaux à Miami

Tomates gorgées de soleil, mangues sucrées et juteuses ou encore fraises parfumées : chaque saison apporte son lot de saveurs qui abondent par cageots sur les étals des marchés de producteurs locaux de Miami et ses alentours.

Coconut Grove Saturday Organic Farmers Market

Les amateurs du genre affluent chaque samedi de 10am à 7pm sur Grand Avenue dans le quartier de Coconut Grove, où depuis près de deux décennies le Coconut Grove Saturday Organic Farmers Market est un parfait exemple d’agriculture biologique. Ce marché fermier est une étape incontournable pour faire le plein de fruits et légumes frais, d’épices, de miels ou encore goûter à une panoplie de fromages artisanaux. 3300 Grand Ave, Miami – (305) 238-7747 – Infos ici

Vizcaya Village Farmers Market

Chaque dimanche de 9am à 2pm, le Vizcaya Village Farmers Market offre une pause bucolique au coeur d’un site de cinq hectares implanté dans le quartier de Coconut Grove en face de la villa Vizcaya, édifiée il y a plus d’un siècle par James Deering, et de ses jardins à la française. Ce marché bio de producteurs locaux accueille quelques étals, tous plus colorés les uns que les autres, proposant tous les produits du quotidien. 3250 S Miami Ave, Miami – (786) 600-0120 – Infos ici

Market at MDD

Aux côtés des marques mondiales clinquantes du luxueux centre commercial à ciel ouvert de Design District, qui s’articule autour de deux zones piétonnes, une poignée de producteurs et artisans locaux prennent leurs quartiers chaque dimanche de 1pm à 6pm sur Jungle Plaza à l’occasion du Market at MDD. D’un étal à l’autre, les principes sont identiques : le local et le bio règnent en maîtres. 3801 NE 1st Ave, Miami – (305) 318-6148 – Infos ici

Aventura Market

Autre temple de la consommation, Aventura Mall, l’un des plus grands centres commerciaux de Floride, abrite chaque samedi (de 10am à 9pm) et dimanche (de 12pm à 8pm) les stands colorés de plus de 80 vendeurs lors de l’Aventura Market. Vous pourrez y dénicher des objets d’artisanat local, des confitures, des confiseries, des épices ainsi que vous rafraîchir en sirotant un jus de fruits garanti sans résidus de pesticides ou encore en dégustant une glace artisanale. 19501 Biscayne Blvd, Aventura – (305) 935-1110 – Infos ici


Lincoln Road Farmers Market

S’étalant chaque dimanche de 9am à 6:30pm le long de la plus ancienne rue commerçante de Miami Beach, le Lincoln Road Farmers Market est le marché fermier le plus connu et le plus touristique de la ville. Permettant de s’approvisionner en produits frais et de qualité, tout en soutenant l’économie locale, vous y trouverez des fruits et légumes, des fleurs fraîchement coupées, quantité de pains artisanaux, du miel, ou encore des confitures faites maison. Lincoln Road, Miami Beach – (305) 531-0038 – Infos ici

Yellow Green Farmers Market

Toujours animé depuis sa création à Hollywood, le Yellow Green Farmers Market renferme chaque samedi et dimanche de 9am à 4pm bon nombre de producteurs locaux et regorge de stands rivalisant de couleurs et de saveurs. De la boucherie à la boulangerie en passant par le primeur et la poissonnerie, vous n’aurez que l’embarras du choix. À côté des étals de produits frais, le lieu accueille également une multitude de vendeurs de vêtements, d’art ou encore de bijoux, ainsi que de petits stands de restauration où vous pourrez déguster une cuisine variée et bon marché. 1940 N 30th Rd, Hollywood – (954) 513-3990 – Infos ici

Robert Is Here

Permanent et ouvert tous les jours de 9am à 6pm, Robert Is Here est une véritable institution à Homestead. Le lieu dispose de stands colorés regorgeant de fruits et légumes locaux et exotiques allant des avocats aux caramboles en passant par les sapotes et les papayes. Comme son nom l’indique, Robert Moehling, le fondateur de l’établissement, officie au quotidien derrière son comptoir et propose par ailleurs bon nombre d’épices, quelques herbes fraîches, d’appétissants chutneys ainsi qu’une vaste gamme de miels. 19200 SW 344th St, Homestead – (305) 246-1592 – Infos ici

Mode, livres, comédie, coaching de vie : les multiples vies d’Elodie Attias

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Se battre contre un cancer, suivre une carrière dans l’entreprise familiale, créer une entreprise de coaching, monter un one-woman show, écrire deux livres… Du haut de ses 39 ans, Elodie Attias semble avoir vécu plusieurs vies. Mais elles sont en fait toutes imbriquées.

Si l’entrepreneuse lance aujourd’hui The HeartWorkers, (inaugurée le 8 juillet), c’est grâce à son instinct. Une “impulsion” qui l’a notamment poussée à participer à la loterie de la carte verte en 2003 alors qu’elle devait partir finir ses études à Milan. Ce fameux sésame lui a sauvé la vie. “J’ai remporté la loterie et j’ai continué les démarches, qui comportaient une radio des poumons et un examen du sang”, explique la Française. C’est lors de ces examens que les médecins lui découvrent une tumeur osseuse.

Cette histoire et son combat contre le cancer qui durera plusieurs mois, elle les raconte dans son livre “The Lucky Card” (“La carte chance”). En rémission à l’âge de 25 ans, la jeune femme est alors tiraillée entre l’envie de poursuivre l’héritage familial, au sein d’Attias group (agent de sourcing pour l’industrie de la mode) ou d’écouter son côté artistique. La deuxième option l’emporte, Elodie Attias s’inscrit dans une école de comédie musicale.

Mais ses hésitations ont la vie dure… Au lieu de partir en tournée, elle rejoint finalement l’entreprise familiale, pour laquelle travaille déjà sa soeur jumelle. Sa vie est alors toute tracée : elle rencontre celui qui deviendra son mari, s’installe à Paris où elle crée un département accessoires chez Attias Group. “Mais je m’éteignais, je ne me sentais plus vivante”, se souvient-elle. Elle décide alors de tout quitter, “de suivre son intuition” et part à New York en 2015. Mais sa carte verte est devenue caduque.

Ce nouvel obstacle ne l’arrête pas. Elle postule à un VISA O-1 avec l’objectif de transformer son livre en script pour en faire un film. À Los Angeles, où elle subvient à ses besoins grâce à ses économies et écrit son second livre “We are heroes”, ce sont d’autres sirènes que celles d’Hollywood qui l’attirent. “Je me suis découvert une passion pour l’évolution de la conscience, dans le fait d’aider les autres et de développer mon intuition”, assure Elodie Attias. Elle se rend compte qu’elle coache naturellement les personnes qu’elle rencontre, enorgueillie par les apprentissages de ses changements de vie successifs. Cette nouvelle voie la pousse à se former au coaching ontologique, au “sound healing” (thérapie musicale) et au “restorative yoga”, jusqu’à devenir coach de vie.

“Je veux aider les gens à découvrir l’intelligence du coeur (un état de conscience qui se caractérise par la compassion, l’amour et la reconnaissance), les aider à traduire leurs émotions et à accéder à leur plein pouvoir”, définit-elle. “Grâce à mes “outils”, j’arrive à gérer mon empathie et ressens les énergies en mouvement.” Capable de parler des heures du sujet avec passion, elle rencontre ensuite Aurélie Brisac à Los Angeles, directrice de l’innovation pour l’association Green Dot Public Schools.

Les deux amies viennent de lancer ensemble The HeartWorkers, entre la France et les États-Unis. Avec cette structure, leur but est “d’aider les personnes à découvrir leur intelligence du coeur au travers de cours en ligne (un sur l’éveil et la liberté, un autre sur l’intuition), de coaching pour particuliers, ainsi que de retraites spirituelles (en physique et en virtuel). Elles ont aussi écrit une trilogie destinée aux enfants et adolescents intitulée “Rishi”, une sorte de “Petit Prince”.

Toujours aussi créative, Elodie Attias a également monté un one-woman show intitulé “Elo… Dis Nous Tout !” qu’elle a joué au Santa Monica Playhouse. La Française s’amuse à utiliser l’humour, “qui permet de se détacher de ses émotions, d’aider les gens à découvrir leur vraie nature et à faire confiance en la vie”. Plus généralement, chacun de ses projets sont “destinés à aider les gens et donner de l’espoir”. 

4 activités à faire à Puerto Escondido, la perle mexicaine du Pacifique

Puerto Escondido, le “port caché” en français, porte très bien son nom. Située à seulement une heure de vol au sud de Mexico City, cette petite ville de la côte pacifique du Mexique est un trésor encore à l’abri du tourisme de masse. Réputée pour ses magnifiques plages, ses surfeurs et sa faune marine, Puerto Escondido est la destination idéale au départ des États-Unis. Voici quatre activités pour profiter de votre séjour sur place.

Rapprochez vous au plus près des dauphins

Crédit photo : Omar’s Sportfishing & tours à Puerto Escondido

Le centre-ville de Puerto Escondido dispose d’une grande plage appelée “Playa Principal” où de nombreux bateaux sont ancrés dans l’eau, de retour de la pêche ou en attente de touristes. C’est ici que vous trouverez Chencho, un local d’une soixantaine d’années qui organise des sorties pour aller voir les dauphins dans la baie. Les départs sont organisés tout au long de la semaine au lever du soleil à 7am, et il est possible de partir entre une heure et trois heures en mer (50$ pour deux personnes l’heure). Le départ du port est impressionnant puisqu’on dispose derrière nous d’une vue sur la Sierra Madre del Sur, une chaîne de montagnes à la végétation dense où se trouve Oaxaca City, la capitale de l’Etat du même nom. Une fois au large, les dauphins ne tardent pas à faire leur apparition et à venir s’amuser en nageant autour du bateau. Lors de note visite le 28 juin, nous avons pu en voir une dizaine à un mètre de nous à peine. Trois espèces vivent dans les eaux de Puerto Escondido : grand dauphin, dauphin à long bec et dauphin tacheté. Pour contacter “Capi” Chencho par WhatsApp : +52 954 102 4023.

Surfez sur des vagues de quatre mètres

Crédit photo : Oasis Surf & Spanish School

Puerto Escondido offre une atmosphère très particulière héritée du mouvement hippie dans les années 1970. Ici, les routes sont encore en terre ou en sable par endroit, et les bars et restaurants sont fait de bric et broc. C’est aussi et surtout LE repaire des surfeurs qui viennent profiter de conditions exceptionnelles: des vagues énormes de quatre à dix mètres pendant la saison des pluies (mai à septembre). Les plus expérimentés se donnent rendez-vous sur la grande plage de Zicatella (3km de long au sud du centre ville), mais il est également possible de vous tester au surf si vous êtes débutant à la plage Carrizalillo, une magnifique crique un peu plus en retrait de l’océan où les vagues sont moins délirantes (sud-ouest du centre ville).

Observez et nagez au milieu du plancton phosphorescent

Crédit photo : Vidasurf ecotours

C’est une autre activité immanquable dans la région. Le lagon de Manialtepec se situe à une vingtaine de minutes à l’Ouest de Puerto Escondido. Plusieurs agences locales comme Vidasurf Ecotours organisent des sorties de trois heures à la tombée de la nuit pour aller observer un phénomène rare : de microscopiques organismes marins qui fabriquent de la lumière grâce un procédé chimique appelée bioluminescence. Après être arrivé sur place (vers 8pm), votre guide vous expliquera tout ce qu’il y a à savoir sur l’écosystème du lagon et sur ces mini créatures intrigantes. Vous embarquerez ensuite sur un bateau pour vous baigner dans le noir au milieu de cette lumière bleue magique… Un moment inoubliable qui vous coûtera seulement 25$ par personne.

Libérez des bébés tortue à l’eau

Crédit photo : Maxime Aubin

Les habitants de Puerto Escondido et de sa région sont très engagés dans la protection des tortues marines, une espère menacée. Située à une 40aine de kilomètres de la ville à l’Est, le centre éco-touriste Escobilla est une association composée uniquement de bénévoles qui récoltent les oeufs des tortues sur la plage Escobilla pour les mettre à l’abri des prédateurs (oiseaux et crabes principalement). Pour seulement 11$ par personne, un guide vous accompagnera jusqu’à ce sanctuaire où naissent tous les jours plus de 300 bébés tortue. Vous pourrez choisir votre ou vos petits préférés que vous relâcherez ensuite sur la plage, à quelques mètres des vagues. Observez ces bébés tortue se tirer la bourre et se diriger naturellement vers la mer est une expérience assez extraordinaire.

French Expat le Podcast : la peur en avion épargne-t-elle les expats?

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Le stress et la peur de l’avion sont des phénomènes normaux qui touchent bon nombre de personnes. On aurait tendance à penser que les expats et les grands voyageurs, ayant l’habitude, ne sont pas touchés par cette phobie. Pourtant, il semblerait que nous ayons tord. Cette semaine, le podcast part en reportage pour suivre des experts en la matière. 

Moi c’est Anne-Fleur. Vous connaissez sans doute ma voix car je suis l’hôte du podcast. Je vis aux Etats-Unis depuis un peu plus de 10 ans. J’ai toujours beaucoup voyagé, à la fois pour le boulot et pour mes loisirs. Sauf depuis environ 18 mois : avec l’arrivée de la pandémie, comme quasiment tous les habitants de la planète, j’ai dû arrêter d’un coup. Et puis il y a quelques semaines, j’ai décidé de rentrer faire une visite surprise pour le mariage de ma sœur fin mai. Et … surexcitée d’enfin retrouver ma famille, une fois les billets réservés, j’ai commencé à faire des cauchemars toutes les nuits menant à ce voyage. Moi qui n’avais jamais eu trop peur en avion, j’étais terriblement anxieuse à l’idée de me retrouver dans les airs au-dessus de l’océan. De perdre le contrôle. De mettre mon petit garçon, qui voyageait avec moi, en danger.

À mon retour, j’ai lancé un sondage sur mon compte Instagram, principalement suivi par des expats francophones autour du monde. Sur 575 réponses, pas moins de 35% des répondants m’ont avoué avoir peur en avion. Ça fait quand même plus de 200 personnes. Alors oui, je me suis sentie moins seule mais en engageant la conversation avec certains d’entre eux, j’ai réalisé que cette peur pouvait être très handicapante pour bon nombre d’expatrié.e.s. Mais aussi pour ceux qui doivent voyager pour le boulot et n’osent pas avouer leur peur, les grands-parents de nos enfants qui ont peur de monter dans l’avion pour venir rencontrer leur famille à l’autre bout du monde, les mamans qui doivent voyager seule avec leurs enfants. Les exemples ne manquent pas.

C’est le début des congés d’été. Bon nombre d’entre nous s’apprêtent à repartir en voyage pour la première fois depuis longtemps, et certains d’entre nous sont anxieux. Alors je suis partie à la rencontre du centre de gestion du stress aéronautique d’Air France pour vous faire découvrir quelques moyens de mieux vivre ce stress. J’ai aussi discuté avec Anthony Deringer, un de mes invités de la saison 1 que l’expatriation avait permis de se reconvertir en pilote de ligne.

En général, à la fin de chaque épisode, on vous donne quelques conseils pour découvrir la destination de notre invité. Aujourd’hui comme nous avons établi que la peur de l’avion n’épargne pas les expats, on a décidé de vous partager quelques pistes pour surmonter votre peur de l’avion, si comme nous vous êtes dans la team stressée (yeah ?) :

  1. Tester la sophrologie : La sophrologie est un ensemble de techniques mentales qui agissent sur le corps pour équilibrer les émotions et les sensations corporelles. Il peut s’agir d’exercices de visualisation mentale ou d’exercices de respiration par exemple. Et si vous n’avez pas le temps d’aller voir un.e sophrologue avant votre prochain vol, il existe des vidéos youtube qui en quelques minutes vous forcent à travailler sur la perception de votre environnement et votre respiration.
  2. Donner sa chance à l’hypnose. Cette méthode s’est prouvée efficace pour améliorer le sommeil, le système immunitaire, aider à arrêter de fumer ou diminuer le stress. C’est donc en toute logique qu’elle pourrait fonctionner pour la peur de l’avion. Et pour ceux qui ont peur de ne pas se souvenir de leur séance, sachez que l’hypnose ne supprime pas vos souvenirs et vous serez complètement conscient tout le long de votre session.
  3. Communiquer avec le personnel de bord : ils sont là pour vous rassurer, ça fait partie de leur entraînement et de leur job et si on en croit notre pilote interviewé, ça leur fait même plaisir :).
  4. Échanger avec un psychologue. Car oui la peur de l’avion est une phobie comme une autre, qui peut être adressée et comprise grâce à un introspection plus profonde sur les raisons de son existence.
  5. Donner un sens positif à vos déplacements en avion : l’associer à du positif en long en large et en travers. Se rappeler que voyager ça peut signifier retrouver son amoureux au bout du monde, partir en vacances, retrouver ses proches enfin!
  6. Tester le stage Anti-Stress Air France ou celui d’une autre compagnie selon où vous vous trouvez dans le monde. Ces stages sont conçus spécialement pour vous rassurer et vous donner les outils grâce à des rencontres avec du personnel naviguant ou même des exercices en simulateur.

Si vous avez aimé l’épisode, rendez-vous sur Apple Podcast, Tumult ou Castbox pour lui donner 5 étoiles et un commentaire.

Retrouvez tous les épisodes, découvrez l’équipe et la mission du podcast, ainsi que tous les liens pour nous retrouver sur toutes les plateformes sur le site www.frenchexpatpodcast.com/. Suivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :

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Phoenix, Arizona, le nouvel Eldorado pour les investisseurs immobiliers

[Article partenaire] JustInvestNow, spécialiste de l’investissement immobilier aux USA, se développe encore une fois ! Vous devinez où ?
Bienvenue à Phoenix, Arizona !

Pourquoi JIN se développe-t-il en Arizona?

– Toujours dans le but d’offrir à ses clients une diversification de patrimoine, JIN vous propose, cette fois-ci, de le faire en profitant du soleil de l’Arizona.

– L’Arizona, l’Etat du Grand Canyon et du désert de Sonora, est un marché en pleine croissance, de par son immigration constante, l’implantation de grandes entreprises et son tourisme local.

– JIN veut profiter des opportunités immobilières actuelles avant que les prix n’augmentent et deviennent inaccessibles.

Le fonctionnement de cet investissement

– Cet investissement est similaire au concept du “TimeShare“. Chaque propriété est détenue par un nombre prédéfini d’actionnaires qui se partagent les bénéfices à hauteur de leur investissement.

– Les actionnaires peuvent profiter du bien pour leurs vacances et il sera loué, le reste de l’année, en Airbnb.

– Les parts seront proposées sur la base de la valeur de la maison une fois les rénovations terminées. Le coût des parts vendues sera en général de 20% de la valeur de la maison, soit une moyenne de 5 propriétaires par maison.

JIN s’occupe de la gestion complète du bien.

Les produits de JustInvestNow à Phoenix

Localisation : Scottsdale

– Produit exclusivement de type Airbnb.
– Rendement locatif de 6 à 10%.
– Prix d’achats entre $350,000 à $1,000,000 (cela varie en fonction des quartiers, de la surface, etc).
– Toutes les maisons comprennent une piscine privée.

Pourquoi investir à Phoenix et plus précisément à Scottsdale ?

– Environ 100,000 personnes ont déménagé en Arizona en 2020 pour bénéficier d’une meilleure qualité de vie comparée à celle de Californie et ce, sans sacrifier le climat chaud. La côte californienne reste à seulement 5 heures de route.

– Scottsdale est une ville en pleine expansion située à 5 minutes de Phoenix et qui est considérée comme le Beverly Hills de Los Angeles.

– C’est aussi une ville pleinement active avec de nombreux bars, restaurants ou hôtels (800), tous récemment construits.

– Phoenix et Scottsdale sont des villes dites “neuves”.

– En quelques mots : un climat chaud et ensoleillé, une population croissante, de nouvelles entreprises qui continuent de s’implanter, une économie stable, une ville animée dont la valeur augmente, ainsi qu’une excellente plus-value pour les biens immobiliers.

Des faits

– La population de Phoenix et sa région continue de croître avec un afflux de personnes en provenance de Californie ou du Midwest.

– De nouveaux développements importants sont en cours, tels que Ritz Carlton et Fendi, avec la construction d’une sous-division de maisons à Scottsdale. Ce type de projets attire une nouvelle population, qui fait prendre de la valeur à la ville de Phoenix et sa région.

Un peu plus sur la ville de Phoenix

Phoenix, capitale de l’Arizona, est située au sud-ouest des États-Unis. Sa région est prisée pour son climat chaud et ensoleillé, mais aussi pour sa vaste zone métropolitaine, composée de plusieurs villes, surnommée la Vallée du soleil. La ville de Phoenix est connue pour ses stations thermales haut de gamme, ses parcours de golf conçus par Jack Nicklaus, et ses boîtes de nuit animées. Autre site d’intérêt : le jardin botanique du désert qui expose une grande variété de cactus et plantes locales.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de JustInvestNow.

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le groupe français Alstom va livrer ses premières rames de TGV aux Etats-Unis

L’équipementier ferroviaire Alstom a décroché il y a cinq ans le contrat de modernisation des trains de la ligne reliant Boston à Washington, D.C. La livraison des 28 rames commandées, initialement prévue pour juin dernier, est désormais imminente. « La première rame, en attente des derniers accords avec le client au niveau des inspections, est sur le point de quitter le site », indique Didier Cuadrado, directeur du projet. Leur mise en service est maintenue pour 2022.

Le Français connaît bien la boutique, où il travaille depuis 22 ans. « J’ai commencé en France en 1999, où je faisais déjà partie des équipes en charge du premier train Acela, qui circule actuellement entre Boston et Washington, D.C. » Pour cet appel d’offres, il se souvient que l’entreprise « a fait face à ses concurrents européens habituels : Siemens, Bombardier, CAF et Talgo. Les Chinois n’étaient pas présents, et les Japonais ont rapidement jeté l’éponge. »

En vertu du Buy American Act (législation protectionniste selon laquelle les achats directs du gouvernement fédéral américain concernant les transports publics doivent être produits aux Etats-Unis), la fabrication des nouvelles rames à grande vitesse est majoritairement assurée sur place, dans la petite ville new yorkaise d’Hornell. Alstom a toutefois obtenu des dérogations, qui concernent essentiellement « les chaudrons des voitures passagers, fabriqués dans notre usine en Italie ; et les composants de système de freins, qui ne sont pas disponibles en Amérique du Nord car nous utilisons une technologie européenne », explique Didier Cuadrado. Basé en banlieue de New York, il passe 80% de son temps à Hornell, dans l’ouest de l’Etat. « La ville a joué un rôle central dans la maintenance des locomotives à vapeur jusqu’à la moitié du XXe siècle, et même un peu après », rappelle-t-il. « Son déclin s’est amorcé avec l’expansion de l’automobile et de l’avion. » En 1987, Alstom y rachète une usine. Le groupe y emploie aujourd’hui plus de 800 ouvriers, se plaçant ainsi comme le premier employeur de la municipalité.

Assemblage de la voiture-bar des nouvelles rames Avelia Liberty dans l’usine Alstom à Hornell (Amtrak)

L’entreprise française assurera la construction et la maintenance des rames à grande vitesse pour Amtrak. « Sur le modèle des TGV français, chaque rame comportera deux motrices et un certain nombre de voitures passagers neuf dans le cas du modèle Avelia Liberty, dédié au marché américain », détaille Didier Cuadrado. Onze voitures donc au total, avec la possibilité d’en ajouter trois supplémentaires pour s’adapter au flux de voyageurs. La capacité de ces nouveaux trains est fixée à 386 passagers, soit une augmentation d’environ 25% par rapport aux anciens.

Amtrak envisage d’utiliser l’Avelia Liberty à 160 miles par heure, soit un peu moins de 260 kilomètres par heure. « Nous le testons à près de 280 kilomètres par heure, mais le train a été conçu pour aller jusqu’à 300 », précise Didier Cuadrado, ajoutant qu’« aux Etats-Unis, le voies ne permettent pour l’instant pas d’atteindre cette vitesse là. »

La proposition de l’administration Biden d’investir quelque 620 milliards de dollars dans les transports a été particulièrement bien accueillie par Alstom, qui « espère voir une montée assez rapide des commandes liées au fait que le gouvernement américain essaie de pousser les infrastructures ferroviaires ». Didier Cuadrado rappelle que « les Etats-Unis ont été l’un des pionniers du rail. Certains corridors régionaux ont définitivement de l’avenir : entre Boston et Washington, D.C. par exemple, mais aussi entre Saint-Louis et Chicago, Dallas et Houston, San Francisco et Los Angeles, ou encore Portland, Seattle et Vancouver. »

Moi Impat : ce métier appris à l’étranger et exercé en France

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Bucarest, Londres, Casablanca : tel fut le parcours d’expatriée d’Astrid Désveaux, notre 69ème invitée au micro de « Moi Impat ». Cette curiosité qui l’encourageait à toujours prolonger son expatriation s’est transformée en une démotivation profonde quand l’heure de rentrer en France a sonné.

Mais parce que Londres lui avait permis de poursuivre ses études, c’est en tant qu’architecte d’intérieur qu’elle débarquera en France. Un statut d’auto-entrepreneur, une nouvelle activité exercée « à l’anglaise » grâce à un réseau toujours plus fourni et une motivation enfin retrouvée.

Listen to “Episode 69: Astrid Désveaux” on Spreaker.

5 plans pour écouter de la musique en plein air cet été à New York

Les pieds dans l’herbe, un verre de rosé à la main et de la musique plein les oreilles. C’est l’une des raisons pour lesquelles on aime New York pendant l’été. Voici cinq idées pour passer juillet et août en musique.

SummerStage

Comme à son habitude, SummerStage fait bien les choses cet été. Organisé par la City Parks Foundation, un organisme qui vise à mettre en valeur les parcs new-yorkais, le festival de musique propose une fois de plus un programme éclectique sur sa scène de Central Park et dans d’autres espaces verts de la ville (à Harlem, Coney Island…). Et en plus c’est gratuit ! Entre un pot-pourri de talents de la danse (le 25 juillet), un recital du Met Opera (le 8 août), un show de saxophone avec le Harlem Symphony Orchestra, il faut vraiment le vouloir pour ne pas trouver chaussure à son pied. Au passage, Patti Smith sera au programme le 19 septembre. Les tickets ne sont plus nécessaires pour assister aux concerts. C’est “premier arrivé, premier servi” ! Infos et tickets ici.

“Sunday Amplified” au bord de l’Hudson

Attention ! Plus que deux semaines avant que cet événement ne s’auto-détruise. Tous les dimanches, le département des parcs de New York vous donne rendez-vous au Pier I (au niveau de la 70e rue et l’Hudson) pour terminer la semaine en musique (et bien commencer la suivante). Ce rendez-vous n’a lieu qu’en juillet, donc n’attendez pas. Les deux derniers “Sunday Amplified” se tiendront le 25 juillet (concert du groupe américain “Damn Tall Buildings”, au croisement du bluegrass, du blues et d’autres styles) et le 1er août (avec le groupe de funk éthiopienne Anbessa Orchestra). Les shows ont lieu de 7pm à 9pm et sont gratuits. Il faut penser à s’inscrire en ligne sur les pages des événements. À noter que le café-restaurant du Pier I sera ouvert, sauf contre-indication sur ses réseaux sociaux, avec son menu de cocktails, burgers, salades et lobster rolls.

BRIC Celebrate Brooklyn !

Ne vous fiez pas à au nom de son organisateur, l’association BRIC: le festival “Celebrate Brooklyn!” ne vous coûtera pas… une brique ! Tout l’été, les Brooklynites (et tous les autres aussi, hein!) ont rendez-vous à travers le “borough” pour des spectacles de théâtres, des concerts, des projections, des shows de danse. Cela fait depuis 1979 que ça dure. Le coup d’envoi sera donné le 31 juillet avec un concert, au Prospect Park Bandshell, de la star de la “neo-soul” Ari Lennox et d’autres artistes locaux. C’est gratuit. Le 12 août, le fameux groupe The Roots montera sur la même scène, mais cet événement caritatif est payant. Pour une liste complète des concerts de la saison 2021, c’est ici.

Jazz at the Mansion

À French Morning, on est un peu comme la lessive: on aime le 2 en 1 ! À “Jazz at the Mansion”, vous aurez l’occasion 1) de découvrir un endroit historique méconnu, la Morris-Jumel Mansion à Washington Heights, où un certain George Washington a vécu. 2) de passer un bel après-midi de jazz. Cet événement très apprécié dans le nord de Manhattan est co-organisé tous les ans par Marjorie Eliot, connue pour ses salons de jazz intimistes qui ont lieu chez elle. De 2pm à 6pm, les samedi 21 et dimanche 22 août, prenez place dans les jardins du manoir, sur un siège ou une nappe de pique-nique, et appréciez le spectacle. Gratuit. Infos 

Bryant Park Picnic Performances

Au programme de cet été: 25 performances, concerts, projections gratuits, le tout sur la scène de Bryant Park. Pour cette nouvelle édition de “Picnic Performances”, le parc a noué des partenariats avec une belle flopée d’institutions culturelles (Carnegie Hall, le New York City Opera, Joe’s Pub…) pour monter un programme qui plaira aussi bien aux amateurs d’opéra qu’aux amoureux de jazz. Le New York City Opera présentera notamment les airs de “Rigoletto” le 3 septembre; Le Lincoln Center, une soirée consacrée aux jeunes talents du jazz le 13 août; et le Carnegie Hall, un concert intitulé “Adrienne Warren and Friends” le 30 juillet, du nom de la star de Broadway (“Shuffle Along”, “Tina”…).  Programme et infos 

Entreprendre aux USA : création, rachat ou franchise pour un visa E2 ?

[Article partenaire] Les entrepreneurs souhaitant s’installer aux USA ne considèrent souvent que la création ou le rachat d’entreprise pour obtenir un visa investisseur. Il existe une alternative avantageuse : s’implanter avec une franchise américaine.

Voyons dans quel cas privilégier l’une ou l’autre de ces pistes.

La création « pure »

L’Amérique est le pays des entrepreneurs. Cependant, y lancer un nouveau concept reste une aventure risquée. Quel que soit le secteur, la concurrence est impitoyable et les clients n’ont pas les mêmes attentes qu’en Europe. De nombreux entrepreneurs expatriés en ont fait la douloureuse expérience : une bonne idée française (ou belge, suisse, tunisienne, marocaine, québécoise…) sera potentiellement un flop sur le marché américain. Ainsi, les services d’immigration américains n’accorderont un visa E-2 pour une création d’entreprise indépendante qu’avec des preuves concrètes de son potentiel, des employés américains sous contrat et un chiffre d’affaire déjà conséquent.

Dans quels cas privilégier une création pour s’implanter aux USA ?

– produits ou services innovants
– forte expertise technique
– réseau de partenaires / investisseurs établi aux USA
– budget supérieur à 300.000$
– grandes villes liées au secteur d’activité
– niveau anglais bilingue
– secteurs : sciences/médical ; high-tech ; ingénierie ; import-export

Les créateurs devront construire un réseau de partenaires sur place et patiemment étudier leur futur marché avant de se lancer.

Cette piste est plus adaptée aux domaines de pointe qu’aux commerces de proximité.

Le rachat d’entreprise

Il peut paraître rassurant de reprendre une entreprise ayant un historique et des actifs en place.

La difficulté viendra de votre situation : en tant qu’acheteur étranger, vous n’êtes pas dans une bonne position pour capter les bonnes affaires. L’inventaire est limité, il faudra être patient. Trouver la perle rare au juste prix prendra des mois, voir des années.

Gardez aussi en tête que le vendeur ne sera pas un partenaire sur la durée. Vous devrez rapidement vous adapter et prendre le business en main une fois la transaction finalisée.

Enfin, il est difficile de savoir réellement ce que l’on achète et à quel prix. Les bilans comptables à l’américaine reflètent rarement les rentabilités annoncées dans les annonces alléchantes publiées sur internet…

Dans quels cas privilégier un rachat pour s’implanter aux USA ?

– entrepreneur expérimenté
– expérience du métier
– budget supérieur à 400.000$
– zone peu concurrentielle
– anglais courant
– activité peu réglementée
– secteurs : distribution ; fabrication industrielle ; événementiel

En conclusion : c’est une piste qui a fait ses preuves pour obtenir un Visa E-2 si vous avez déjà une solide expérience professionnelle dans le même secteur d’activité, idéalement aux USA. Un rachat viable sur le long terme nécessitera des moyens importants et de la patience dans vos recherches.

La franchise

La franchise est le modèle dominant aux USA pour les commerces et services de proximité. C’est ainsi une piste privilégiée par les américains en phase de reconversion ou qui veulent diversifier leurs investissements. Cette tendance s’est accentuée avec la pandémie et beaucoup de franchiseurs américains ont eu de belles croissances en 2020.

Dans quels cas privilégier un business en franchise pour s’implanter aux USA ?

– pas d’expérience d’entrepreneur ou changement de métier
– budget inférieur à 300.000$
– zone concurrentielle
– anglais à améliorer
– investissement passif
– activité complexe, réglementée
– secteurs les plus dynamiques : restaurants ; immobilier ; services ; automobile ; animaux ; sport

La franchise présente aussi des avantages dans le cadre d’une demande de Visa investisseur :

(extrait du webinaire French Morning “Bien vivre aux USA : ouvrir une franchise”)

La franchise, c’est :

?  Un inventaire quasi illimité d’opportunités, quels que soient le lieu, le budget et le secteur d’activité ;

?  Des produits et des services déjà adaptés au marché américain ;

?  Une marque reconnue qui rassurera les services d’immigration, vous permettra d’obtenir le Visa E-2 et d’arriver aux USA avant le démarrage de l’activité ;

?  Des méthodes standardisées qui vous affranchiront des problèmes de main d’œuvre, optimiseront la rentabilité et accéléreront le développement ;

?  Une formation ciblée, puis un accompagnement opérationnel durant plusieurs années ;

?  Une réglementation qui protège l’investisseur et oblige le franchiseur à être transparent sur ses chiffres : budget détaillé, frais récurrents, résultats.

 

«Je comprends les difficultés que rencontrent les entrepreneurs qui s’implantent en indépendants aux Etats-Unis. Moi-même j’avais eu de beaux résultats avec mes restaurants en France, mais je n’aurais pas su en faire autant en arrivant ici.  
Si vous désirez vous lancer aux USA, s’appuyer sur une franchise est la solution la moins coûteuse pour optimiser vos chances de succès. Les franchiseurs américains ne font rien au hasard. Ils ont des recettes soigneusement affinées pour la réussite de leurs franchisés.»

 

Pour illustrer, voici un ordre d’idée des prix d’une franchise par secteur d’activité :

La franchise aux USA
Budget par secteur d’activité

Alimentaire : 100.000$+
– Commerce : 80.000$+
– Sport : 60.000$+
– Automobile : 70.000$+
– Animaux : 80.000$+ 
– Enfants : 60.000$+
– Beauté & bien-être : 100.000$+
– Soins à domicile : 120.000$+
– Immobilier, amélioration de l’habitat, décoration : 70.000$+
– Entretien & nettoyage : 60.000$+
– Ecologie : 50.000$
– Services aux entreprises : 65.000$
– Investissement passif : 150.000$

Budget = frais de démarrage + trésorerie

La franchise n’est pas pour autant une solution magique. Attention aux «erreurs de casting». Attirés par les belles rentabilités, certains investisseurs se précipitent par exemple vers les franchises d’immobiliers ou de fast-food, et se rendent compte trop tard que ces métiers sont trop contraignants pour leur style de vie.

Travailler avec un consultant en franchise vous évitera ces écueils.

Pour en savoir plus, contactez l’équipe de DNX Consulting et profitez d’un entretien gratuit d’évaluation de votre projet :

Prenez rendez-vous ou envoyez directement un mail à : [email protected]

Lire aussi :

– “Ne pas foncer tête baissée”: les pièges de la franchise aux Etats-Unis

– Article replay du webinaire “Bien vivre aux USA : ouvrir une franchise

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

A New York, la nouvelle vie de NKM dans la finance durable

Le rendez-vous est donné devant le café Angelina, à Bryant Park, tout près des nouveaux bureaux de Nathalie Kosciusko-Morizet. L’occasion est trop belle de faire comme les nombreux new-yorkais, par ce chaud après-midi de juillet : saisir deux chaises et engager la conversation dans le parc, chocolat froid à la main.

L’ancienne ministre française de l’Écologie, qui a quitté la politique en 2017, est depuis trois ans installée à New York. Arrivée initialement chez Cap Gemini, elle vient de changer de casquette et rejoint le monde de l’investissement, en devenant senior partner du fonds français Antin Infrastructure Partners. Ce dernier vient de lancer une initiative appelée Next Generation, qui vise à identifier les infrastructures durables de demain en Europe comme en Amérique du Nord. Nathalie Kosciusko-Morizet va diriger une équipe dédiée à cette thématique depuis New York, où Antin Infrastructure Partners compte 35 personnes de toutes origines.

Retour aux sources

« Il y a une vraie transformation en cours dans le monde des infrastructures. Le progrès technologique rencontre de nouveaux besoins en termes de respect de l’environnement, d’autonomie, de connectivité, et les infrastructures permettent de transformer ces innovations en réalité », s’enthousiasme-t-elle. Le fonds Antin Infrastructure Partners, qui a été un des pionniers à investir dans la fibre optique, vient de lever un fonds midcap de 2,2 milliards d’euros, qui sera investi en Europe et en Amérique du Nord. S’il est déjà un investisseur expert des infrastructures durables, l’objectif est de réfléchir à de nouvelles opportunités de façon transversale, multisectorielle. « C’est un retour aux sources pour moi », dit avec un sourire celle qui a commencé sa carrière au ministère des Finances en 1998, en charge de négocier l’application des Protocoles de Kyoto. « A l’époque, peu de gens connaissaient le concept de l’effet de serre, ils le confondaient avec les pluies acides. Aujourd’hui, Il y a enfin une véritable prise de conscience verte ». Elle loue ainsi le véritable « alignement des planètes » entre les innovations d’un côté et ceux qu’elle appelle les ‘enablers’ de l’autre, les pouvoirs publics ainsi que les acteurs privés comme les fonds d’investissement.

Libre à New York

Une chose est sûre, Nathalie Kosicusko-Morizet savoure l’anonymat de la vie à New York. « J’ai été surprise par la rémanence de l’image politique en France », déclare celle qui a eu du mal à trouver un employeur privé sérieusement intéressé par ses compétences lorsqu’elle a quitté la politique en 2017. A l’époque, elle noue une relation de confiance avec Paul Hermelin, le PDG de Cap Gemini, et ils conviennent ensemble que la jeune femme doit partir à l’étranger pour entamer sa nouvelle vie dans le privé. Ce sera New York, une ville de cœur où elle prend en charge l’intégration d’une ancienne filiale de Lockheed Martin, que le géant mondial du conseil vient de racheter. Avant d’être rappelée par le fonds Antin, qui l’avait déjà sollicitée dans une phase plus précoce de son développement américain.

Une reconversion très réussie, tant au niveau professionnel que personnel. « Je me sens très libre à New York. On ressent intensément que beaucoup de choses sont possibles ici, même si le quotidien est difficile ». Car la pandémie et le confinement ont été éprouvants pour Nathalie Kosciusko-Morizet et sa famille, elle qui habitait à quelques blocs de plusieurs hôpitaux dans l’Upper East Side et se souvient des bruits permanents de sirènes, si anxiogènes. Malgré tout, elle dit avoir trouvé sa place dans cette ville, qui a aussi conquis ses deux garçons de 11 et 16 ans. « Je n’avais pas réalisé à quel point ma carrière politique avait pesé sur eux en France. Je les ai vus s’épanouir pleinement à New York ». Tout comme ses enfants, Nathalie Kosciusko-Morizet compte miser sur son profil biculturel et garde, plus que jamais, un œil de chaque côté de l’Atlantique.

Dominique Ansel ouvre un nouveau commerce dédié aux viennoiseries à New York

Comme pour beaucoup de commerçants, l’année 2020 a été difficile pour Dominique Ansel. Le pâtissier-star tourne la page avec un nouveau business, Dominique Ansel Workshop, qui ouvre vendredi 16 juillet.

Située dans les locaux de sa cuisine de production près de Madison Square Park (Flatiron), cette nouvelle adresse est axée sur les viennoiseries, l’une des grandes passions du chef français. “J’ai grandi dans les cuisines françaises en faisant des viennoiseries. Pour moi, c’est un art de travailler avec la fermentation, des pâtes différentes, des farines, des beurres, raconte Dominique Ansel. J’adore travailler avec des produits vivants comme cela, et j’adore manger de bonnes viennoiseries !

Au menu: point de cronut ou autre pâtisserie hybride dont il a le secret. Le chef propose notamment une sélection de croissants de qualité, faits avec du beurre Isigny et de la farine de la marque Les Grands Moulins de Paris. “C’est un peu cocorico !“, glisse le chef. Aux côtés du croissant classique, Dominique Ansel vend des croissants à l’huile d’olive, caramélisés au sucre brun, ou encore multi-grains. S’y ajoutent une série de produits créatifs sucrés et salés, dont une brioche à la fleur d’oranger, un cube de riz-au-lait avec une confiture d’airelles maison et des gougères. Des boissons chaudes et froides sont aussi en vente.

J’avais ce projet en tête depuis longtemps, mais nous n’avions pas l’espace“, précise le chef Ansel. Il s’est installé dans ce nouveau local de Flatiron après avoir dû déménager sa cuisine de production du West Village pendant la crise sanitaire. “Comme nous avions la place, j’ai pu faire un point de vente“. Dans un premier temps, Dominique Ansel Workshop ne proposera que des viennoiseries, mais le chef y présentera prochainement sa première gamme de chocolats.