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La tendance européenne des spas à bière s’exporte aux Etats-Unis

L’industrie brassicole a la cote au pays de l’Oncle Sam : elle emploie près de 400,000 personnes et est évaluée à 112 milliards de dollars, avec plus de 8300 brasseries répertoriées sur l’ensemble du territoire en 2019, pour une consommation de 68 litres par personne majeure et par an.

Si les usages de cette boisson alcoolique fermentée semblent limités, son intégration se développe pourtant dans le secteur du bien-être, avec l’apparition de spas à bière similaires à ceux d’Europe de l’Est. Hop in The Spa (dans la ville de Sisters, en Oregon) a été le premier à ouvrir il y a cinq ans, suivi de Piva Beer Spa à Chicago en 2018. Le dernier né se trouve à Denver, dans le Colorado. The Beer Spa (By Snug) a été imaginé par l’entrepreneur français Damien Zouaoui et sa compagne américaine Jessica French, et se classe parmi les « quinze établissements de ce type à travers le monde », dévoile-t-elle. Ils en ont d’ailleurs visité une grande partie.

C’est lors d’une escale à Zakopane, en Pologne, au cours de leur voyage autour du monde qu’ils ont découvert le concept. « Nous l’avons évidemment adapté, car il ne s’agissait pas de simplement reproduire ce que dont nous avions fait l’expérience en Europe de l’Est », spécifie Damien Zouaoui. « L’idée était de parvenir à attirer les hommes dans un univers qui a toujours été féminin, et de lutter contre le stéréotype selon lequel le spa n’est une activité qui ne s’adresse qu’aux femmes. Nous avons créé un environnement accueillant pour tous, en jouant sur le marketing olfactif et visuel, mais aussi les matières et les codes du Colorado pour créer un espace ultra moderne. Le bien-être est au centre de l’expérience. »

Damien Zouaoui et Jessica French, fondateurs du Beer Spa à Denver (The Beer Spa)

New Yorkais dans l’âme (c’est là qu’ils se sont rencontrés), ils avaient notamment sélectionné Seattle, Portland, San Diego et Austin comme potentielles villes candidates à l’implantation de leur entreprise. « Des endroits où la culture de la bière est importante », souligne Damien Zouaoui. Mais “The Mile High City” l’a emporté pour plusieurs raisons : « la population y est jeune (l’âge moyen est de 36 ans), et le salaire médian par foyer relativement élevé (environ 70,000$, ce qui permet d’avoir un certain revenu disponible). Le Colorado est également l’Etat américain en meilleure santé, avec seulement 18% d’obèses », explique-t-il. Le fondateur y a d’ailleurs trouvé un public fidèle et réceptif : « La première cliente est revenue quatre fois ; et d’autres clients ont acheté dix cartes cadeaux après une séance. Beaucoup de personnes nous ont demandé de créer des abonnements mensuels, et nous réfléchissons à la formule idéale. »

Après une soirée de lancement vendredi 12 février et une ouverture officielle le 26 du même mois, ils sont « complets jusqu’à mi-avril, ce qui est assez impressionnant pour un établissement si récent. La ville et la région sont surtout réputées pour leurs activités de plein air, mais en termes d’activités en intérieur, l’offre reste limitée aux brasseries, musées et lancer de hache. » Ensemble, le couple a rénové un bâtiment vieux de plus de cent ans. « Nous sommes installés dans le quartier historique de Five Points, près du centre-ville. Surnommé le “Harlem de l’Ouest”, il était majoritairement peuplé par la communauté afro-américaine et a été beaucoup impacté par la ségrégation », explique Damien Zouaoui, qui recherchait « un emplacement qui s’inscrive dans l’ADN de Denver ». Il ajoute que « l’argent qui [lui] est prêté par la ville ne l’est qu’à condition d’être dans un quartier à revitaliser économiquement. Cela passe notamment par le fait d’employer des personnes à faible revenu. C’est ce que nous avons toujours eu à l’esprit : faire partie du changement et aider les gens à se réinsérer. »

« Beer Therapy Room », salle privée avec sauna infrarouge, douche et bain à remous (The Beer Spa)

Damien Zouaoui vante les bienfaits de l’hydro et de l’aromathérapie. « Les nutriments et la vitamine B présents dans les ingrédients de la bière fortifient les cheveux et les ongles », martèle-t-il. « Ils aident également à lutter contre le stress. » Le spa propose des réservations d’une heure dans une salle privée (appelée « beer therapy room ») avec sauna infrarouge, douche et bain à remous infusé au houblon, au malt et aux épices de saison. Le tout avec une chope bien remplie – chaque mois, une nouvelle brasserie locale est mise à l’honneur avec six bières servies à la pression. Pour ceux que la zythologie n’intéresse guère, The Beer Spa sert aussi du vin, du cidre, de la kombucha et des boissons non alcoolisées, toutes originaires de la région.

« Notre modèle économique est basé sur l’intimité. Les gens réservent leur “beer therapy room” pour une heure ; ils disposent de leur propre espace privé et se sentent en confiance. Nous avions déjà cette vision avant la pandémie, et n’avons donc aucun problème à respecter les recommandations sanitaires liées à la COVID-19. Nous disposons de quatre bassins, saunas et douches répartis dans quatre pièces. Nous n’en avions au départ prévu que trois, mais notre maître d’œuvre a insisté pour que nous retravaillions sur les dimensions des pièces afin de pouvoir en ouvrir une supplémentaire. » Ouvert sept jours sur sept (« du lundi au lundi », plaisante Damien Zouaoui), le spa fonctionne à plein régime. « Nous avons essayé d’identifier les jours les plus lents… mais il n’y en a pas. Ce qui est un bon problème à avoir », reconnaît-il. « Nous avons pour l’instant huit employés, répartis en deux équipes la conciergerie d’un côté (ceux que nous appelons les “beer therapists”) et l’équipe d’entretien de l’autre –, mais souhaitons embaucher au maximum. Nous gérons presque des mini chambres d’hôtel, et effectuons un nettoyage à profondeur de trente ou quarante minutes après le passage de chaque client. C’est un travail très physique : les bassins à remous sont vidés, lavés, désinfectés, séchés et remplis à nouveau. »

Salle de relaxation avec fauteuils de massage (The Beer Spa)

Pour une expérience complète, il est recommandé de s’arrêter dans la salle de relaxation, où quatre fauteuils de massage « zéro gravité » (une technologie mise au point par la NASA) achèveront de vous détendre pour quinze ou trente minutes avant que vous ne quittiez les lieux. Comme le reste des services proposés par le Beer Spa, ces séances de massage sont permises par un fabricant local, Positive Posture. Leur boutique vend également des bombes de bain infusées au CBD de la marque régionale Vital You ainsi que les gels douche, shampoings et après-shampoings à la bière dont la composition a été développée par leurs soins. Des projets plein la tête, les créateurs du Beer Spa rêvent déjà d’en ouvrir un deuxième, et peut-être même ensuite des franchises.

Douze films français à l’affiche du 64e San Francisco International Film Festival

La 64ème édition du San Francisco International Film Festival se tiendra du 9 au 18 avril. Avec plus de 100 films au programme, l’édition 2021 proposera des projections sur son site ainsi qu’au drive-in de Fort Mason.

La sélection comporte 42 longs-métrages, 56 courts-métrages, et 5 moyens-métrages. Les meilleurs seront récompensés par un Golden Gate Award.

Parmi les 41 pays en lice, la France sera largement représentée, avec pas moins de 12 films, dont certains seront projetés pour la première fois aux Etats-Unis. Voici la liste de ces films.

Abou Leila” d’Amin Sidi-Boumédiène (2019). Algérie, 1994. S. et Lotfi, deux amis d’enfance, traversent le désert à la recherche d’Abou Leila, un dangereux criminel. La quête semble absurde dans l’immensité du Sahara. Mais S., dont la santé mentale est vacillante, est convaincu d’y trouver Abou Leila. Lotfi, lui, n’a qu’une idée en tête : éloigner S. de la capitale. C’est en s’enfonçant dans le désert qu’ils vont se confronter à leur propre violence. Tickets. .

Poppy Field” d’Eugen Jebeleanu (2020). Un policier gay dans le placard, Cristi, perd le contrôle de sa vie après une manifestation homophobe à la projection d’un film LGBTQ+. Tickets.

“Sous le ciel d’Alice” de Chloé Mazlo (2021). Dans les années 50, la jeune Alice quitte la Suisse pour le Liban, contrée ensoleillée et exubérante. Là-bas, elle a un coup de foudre pour Joseph, un astrophysicien malicieux qui rêve d’envoyer le premier libanais dans l’espace. Alice trouve vite sa place dans la famille de ce dernier. Mais après quelques années de dolce vita, la guerre civile s’immisce dans leur paradis…Tickets.

Valley of Souls” de Nicolás Rincón Gille. José, un pêcheur colombien, rentre chez lui après une longue nuit de travail. À son retour, il découvre son village ravagé et sa fille en état de choc. Les paramilitaires ont tué ses deux fils, Dionisio et Rafael, et jeté leurs corps dans le fleuve. Submergé par la douleur, José décide de rechercher leurs dépouilles pour leur offrir une sépulture et surtout sauver leurs âmes d’une errance sans fin. Tickets.

Ma Belle, My Beauty” de Marion Hill (2021). Deux anciennes amantes se retrouvent par hasard dans le sud de la France, et analysent les causes de leur précédente rupture. Ce film a reçu le prix du public NEXT au festival de Sundance. Tickets.

Don’t Go Tellin’ Your Momma” de Topaz Jones, Jason Sondock et Simon Davis (2021). Dans les années 70, des éducateurs de Chicago produisent de nouveaux manuels scolaires qui représentent la communauté afro-américaine. Ce court-métrage a reçu le prix du jury dans la catégorie documentaire au festival de Sundance. Tickets.

“Maman pleut des cordes” (“Mum Is Pouring Rain”), de Hugo de Faucompret (2020). Ce court-métrage d’animation aborde le thème délicat de la dépression d’un parent, vu par une enfant de 8 ans. On y retrouvera avec grand plaisir la voix de Yolande Moreau. Tickets.

“Filles bleues, peur blanche” (“Blue Fear”), de Lola Halifa-Legrand et Marie Jacotey (2020). Un couple sur les routes de Provence. Nils conduit Flora chez ses parents pour la première fois, quand ils tombent dans une embuscade. Alors qu’elle est faite captive, il s’enfuit. Dans la nuit de la pinède, elle se retrouve face à ses doutes. Tickets.

“Jeûne d’été” (Summer Fasting), d’Abdenoure Ziane (2020). Dans une cité écrasée par le soleil d’été, Kader, onze ans, essaye pour la première fois de faire le ramadan. Il est accompagné malgré lui par Rudy, son meilleur ami qui, n’étant pas musulman, voit cette tradition comme un nouveau jeu. Pour survivre à cette journée, les deux enfants vont devoir tromper la faim, la soif et l’ennui. Tickets.

Maalbeek, d’Ismaël Joffroy Chandoutis (2020). Rescapée mais amnésique de l’attentat à la station de métro Maalbeek le 22 Mars 2016 à Bruxelles, Sabine cherche l’image manquante d’un événement surmédiatisé et dont elle n’a aucun souvenir. Tickets.

Sogni al Campo de Mara Cerri et Magda Guidi (2020). Un jeune garçon part à la recherche de son chat, qui se meurt. L’occasion pour l’enfant de revenir sur les moments marquants de sa vie. Tickets.

Step Into the River, Weijia Ma, China/France (2020). Un film d’animation sur les conséquences de la politique de l’enfant unique en Chine. Tickets.

A noter aussi, même si ce court-métrage concourt pour les Etats-Unis, “Tehachapi” est un documentaire qui montre comment l’artiste JR transforme la cour d’une prison de haute sécurité en oeuvre d’art. Tickets.

Huit milliardaires français des États-Unis dans le classement Forbes 2021

Les milliardaires en connaissent pas la crise. Le traditionnel classement annuel de Forbes publié cette semaine est venu de rappeler de façon cinglante. Les quelque 2.755 milliardaires recensés cumulent une fortune totale de 13.100 milliards de dollars, soit… 5.100 milliards de plus que l’an passé.

Parmi eux, pour la première fois, huit milliardaires français résidant aux Etats-Unis, dont 5 qui font leur entrée dans le classement, portés par l’exubérance boursière mais aussi, pour l’un d’entre eux, la Covid-19.

Alain et Gérard Wertheimer : en 1954, Coco Chanel a vendu Chanel SA à Pierre et Paul Wertheimer, alors propriétaires de Bourjois. Les héritiers, Alain et Gérard, aujourd’hui âgés respectivement de 72 et 68 ans, ont repris les commandes de Chanel dans les années 70, et ont placé Karl Lagerfeld à la direction artistique de la maison. Alain est domicilié à New York, Gérard à New York et Genève. Les deux frères ont aujourd’hui une fortune estimée à 34,5 milliards de dollars chacun, qui les place à la 41ème place du classement mondial. Ensemble, ils sont propriétaires de Chanel SA, des cosmétiques Bourjois, du fabricant de fusils de chasse Holland & Holland, de la marque de maillots de bains Eres et des éditions de La Martinière. La faillite l’an dernier de Maison Kayser USA, la chaîne de boulangeries qu’ils avaient financées via leur family office Mousse Partners n’a été qu’un goutte d’eau, vite oubliée.

Pierre Omidyar : le fondateur d’eBay est né à Paris d’une famille iranienne, et a été élevé à Washington, il a la double nationalité française et américaine. Diplômé d’informatique, il commence à 28 ans à développer Ebay, qui deviendra une des plus grandes success stories de la Silicon Valley et compte encore 185 millions d’utilisateurs actifs dans le monde en 2021. S’il vient de démissionner du conseil d’eBay en 2020, Pierre Omidyar et son épouse Pamela sont des philanthropes actifs, qui ont fondé le Omidyar Network. Cette fondation a récemment appelé les dirigeants politiques et économiques à définir une nouvelle version du capitalisme. Sa fortune est estimée à 22,8 milliards de dollars (81ème place).

Stéphane Bancel : au milieu d’une pandémie mondiale, un Français est parvenu à prendre de court tous les grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux. Basé à Boston, le fondateur de la biotech Moderna a réussi à commercialiser un vaccin en un temps record, puisqu’elle a démarré les essais cliniques en mars 2020, puis obtenu une autorisation d’urgence en décembre 2020, en même temps que l’américain Pfizer. Cet exploit a fait flamber le titre de Moderna en Bourse, qui a été multiplié par plus de 5 en un an. Stéphane Bancel, qui a fait ses études à Centrale Paris et a été le PDG de la société française de diagnostic Biomérieux avant de fonder Moderna, garde une participation de 8 %, aujourd’hui valorisée à 4,3 milliards de dollars, qui lui permet d’entrer dans le classement pour la première fois, à la 665ème place à l’âge de 48 ans.

Olivier Pomel et Alexis Lê Quôc : les deux Français, qui se sont rencontrés sur les bancs de Centrale Paris et sont installés à New York, ont fondé Datadog, une société de surveillance du cloud, en 2010 et en sont respectivement PDG et directeur technologique. Le groupe a fait son introduction en bourse sur le Nasdaq en septembre 2019, et a connu un succès fulgurant : le cours a été multiplié par plus de trois depuis son entrée sur les marchés, soit plus de 26 milliards de dollars de capitalisation boursière. Agés respectivement de 43 et 45 ans, ils détiennent chacun 6 % des titres, soit un patrimoine de 1,9 milliard de dollars respectivement qui les fait entrer dans le classement pour la première fois.

Benoît Dageville et Thierry Cruanes : les deux amis, l’un originaire du Sud et l’autre de Normandie, se sont rencontrés chez Oracle en Californie et leur « bromance » les a conduit à fonder Snowflake, une entreprise de services « cloud » qui connaît rapidement une croissance exponentielle. En septembre 2020, Snowflake annonce son introduction en Bourse et l’entrée du plus célèbre des actionnaires américains : Warren Buffett, l’oracle d’Omaha. L’IPO pulvérise tous les records : le groupe lève 3,4 milliards de dollars, soit la plus importante IPO de l’Histoire pour un groupe de logiciels et fait au passage des milliardaires de ses deux fondateurs. La fortune de Benoît Dageville, 54 ans et Thierry Cruanes, 53 ans, est aujourd’hui évaluée à 1,6 milliard de dollars chacun.

Élections conseillers consulaires : 4 listes à Houston

Le 29 mai prochain, les Français de la circonscription de Houston (Arkansas, Louisiane, Oklahoma et Texas) pourront élire leurs représentants consulaires. Ils auront deux choix : le premier de venir sur place, entre 8am et 6pm au consulat général de France à Houston ou celui de la Nouvelle Orléans. Le deuxième est de voter par internet entre le 21 mai à partir de 5am du matin et le 26 mai à 5am du matin. A cette occasion, les élus locaux seront choisis pour exercer un mandat exceptionnellement de 5 ans.

Ces élus représentent les Français établis hors de France auprès de l’ambassade et des multiples consulats. Leur mission est de soutenir les citoyens les plus vulnérables, défendre vos intérêts et faciliter vos démarches auprès des instances. Leur rôle est aussi de donner leurs avis sur toutes les questions d’intérêt général (la santé, l’enseignement, l’emploi ou la sécurité). Ils sont, à ce titre, membres des commissions consulaires spécifiques (Bourses, CCPAS, subventions accordées aux associations). Leur rôle est aussi politique : les 447 conseilleurs consulaires élus dans le monde élisent 90 d’entre eux à l’Assemblée des Français de l’étranger. Ils participent en outre à l’élection des sénateurs des Français de l’étranger. Six de ces sièges seront renouvelés en septembre.

A Houston, 4 sièges de conseillers consulaires sont à pourvoir. Si vous n’êtes pas inscrit sur la liste électorale consulaire vous avez jusqu’au 23 avril 2021 pour le faire, sur le site service-public. Il y a environ 8 628 personnes inscrites pour ce vote. Les listes pour la 3e circonscription consulaire de Houston, recouvrant le Texas, la Louisiane, Arkansas et Oklahoma ont été publiés le 23 mars sur le site du consulat. Les voici dans l’ordre de dépôt, assorties d’une courte biographie des têtes de listes.

Des citoyens En Marche pour vous représenter et porter les valeurs qui nous unissent

M. Yves JAKUBOWICZ. Installé depuis 11 ans aux États-Unis, travaille pour la société Eramet en tant que directeur des ventes pour les secteurs énergie et aéronautique. Engagé aux côtés de Roland Lescure depuis 3 ans, il a organisé la campagne de ce dernier pour les législatives au Texas. Il est membre de la FACC du Texas. Il a crée la plateforme FIT (French International Talent) pour aider les personnes demandeuses d’emploi.

Mme Emmanuelle CUDENNEC
M. Olivier BEAUFILS
Mme Stéphanie GUERREAU
M. Pier-Albert ROSSET
Mme Maylis CURIE
M. Patrice BROSSARD

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 Français du Texas et du Sud Ouest

M. Jean-François BONNETÉ. Depuis 24 ans à Houston, il est élu conseiller consulaire depuis 6 ans. Ancien chairman et président de la Chambre de commerce franco-américaine et toujours membre du board, et ancien membre du conseil d’administration de l’Alliance Française, il a également été membre du board de Awty International school; il siège également en tant que conseiller du Commerce Extérieur de la France. Il fait partie du conseil du développement économique international de la ville de Houston. Avec la Covid, il a crée des groupes What’s App dans chaque grande ville de la circonscription ainsi qu’une hotline pour soutenir les concitoyens. L’association SOS French in Texas a été mise en place pour aider les Français en détresse. Cet entrepreneur, président du groupe BCI spécialisé dans l’importation de produits du terroir a été nommé chevalier puis officier du Mérite Agricole. Jean-François Bonneté s’était présenté en 2014 à la tête d’une liste estampillée UMP (devenu depuis Les Républicains); sa liste se veut cette fois « apolitique et associative » car explique-t-il, il souhaite se « concentrer sur les interêts des Français localement, plutôt que la politique politicienne ».

Mme Véronique BEVIERRE
M. Bertrand PELLETIER
Mme Mireille CHAVANNE
M. Thierry RIGNOL
Mme Églantine PAUVAREL MOSS
M. Dinh THI BUI

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Alliance solidaire des Français du Centre/Sud-Ouest des États-Unis

Mme Claire MONTANT. Tête de cette toute nouvelle liste, Claire Montant est une consultante sociale spécialisée dans les droits de l’homme, la justice transitionnelle, la prévention des conflits, la politique et la diplomatie. Elle a travaillé avec différentes organisations internationales, dont le siège des Nations Unies à New York, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève. Elle a en outre mené des recherches universitaires fondées sur les droits de l’homme à l’Université de Pretoria (Afrique du Sud). Elle possède également une expérience dans le marketing diplomatique, la collecte de données et la gestion de projets.

M. Benjamin CHEVALIER
Mme Elsa DART
M. Patrick VORACHACK
Mme Sophie STELLY
M. Christophe RAIMBAULT
Mme Maïté MESEURE

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La Voix des Français d’Amérique

M. Pierre GROSDIDIER, Français de l’étranger de cinquième génération, il est à Houston depuis 35 ans. Devenu conseiller consulaire en 2018 (à la suite de l’élection de Damien Regnard, tête de liste, comme sénateur), il se présente cette fois à la tête d’une liste soutenue par Les Républicains. Il est avocat pour la ville de Houston, spécialisé dans le droit de la construction, des contentieux et de la technologie. Pendant trois ans, il fut trésorier de l’école Internationale d’Awty. Membre de la FACC du Texas, il gère aussi l’amicale des anciens combattants. .

Mme Bertile REGNARD
M. Olivier SEBAG
Mme Élodie AQUILANTI
M. Eric VENDITTI
Mme Stéphanie LABORDE
M. Marc FAVRE

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Après la finance et le Kung fu, il devient une star de la pizza à New York

Quand Walid Idriss commence ses cours de confection de pizza, il parle de l’histoire de son restaurant Macoletta à Astoria (Queens), de l’installation de son impressionnant four de 2 tonnes et montre des photos des stars pizzaiolos qu’il a rencontrées lors du salon international Pizza Expo à Las Vegas. En revanche, il parle très peu du parcours à rebondissements qui l’a mené de l’Algérie à New York. “J’ai eu mille professions”, sourit le restaurateur de 38 ans à l’énergie positive palpable, “et à chaque étape, j’ai beaucoup appris et rencontré beaucoup de gens“.

Dans sa première vie, à Alger, cet enfant de parents égyptiens scolarisé au lycée français de la ville était un amoureux de maths et de pizza. Celle de sa mère pour être précis. “Comme nous n’avions pas de produits surgelés, ma mère faisait tout de A à Z, dit-il. Quand elle n’était pas en cuisine, je m’amusais avec la farine et j’essayais d’étaler la pâte. Ça mettait le désordre, mais j’ai toujours aimé ça !“.

Le jeune homme a une autre obsession: les États-Unis, où son grand frère s’est installé après avoir gagné la carte verte en 1993. Après trois petits mois dans une université sélective, Walid Idriss parvient à convaincre ses parents de lui payer un billet d’avion entre Paris (où le footeux allait disputer un tournoi sportif) et New York. Il n’est jamais reparti. “J’avais visité la ville quand j’avais 8 ans. J’étais fasciné par la dimension des rues, les véhicules, l’ambiance… et les parts de pizza à 1 dollar. Elles me paraissaient énormes à l’époque. Enfin, elles le sont vraiment !

Aux États-Unis, il a tout de même un petit problème: “quand il est arrivé à New York, mon frère avait la carte verte. Moi, j’avais un visa de touriste !“. Pour rester dans la légalité et progresser en langue, il rejoint une école d’anglais avant d’être admis à l’université Baruch, où il étudie l’actuariat (l’évaluation des risques) et les mathématiques financières. Comme il faut bien vivre, il enchaine les jobs dans les restaurants français, comme Pastis, Café d’Alsace et Madison Bistro, du chef Claude Godard. “J’ai toujours aimé la restauration. Quand j’étais jeune, je voulais aider ma mère en cuisine, même si les garçons n’y étaient pas admis“.

Il n’y a pas que dans les restaurants qu’il trouve de quoi financer sa vie américaine et ses études: installé à Nyack (New York) avec son oncle, il travaille pendant quelques temps dans les stations-services, où il est chargé de faire les pleins. Quelques mois plus tard, les propriétaires libanais le chargent de la supervision de plusieurs de leurs pompes à essence dans le Bronx et en banlieue de New York. “Ça se mariait bien avec les études car je faisais mes tournées de stations-services le matin et j’étudiais le reste du temps“. Bizarrement, son ingénieur de père ne partage pas son enthousiasme pour les stations-services. “Mes parents avaient peur que je perdais mon temps. Ils voulaient que je rentre en France, se souvient Walid Idriss. Mais pour ma part, je voulais leur prouver que je pouvais faire ma vie ici“.

Ambitieux et un brin “têtu“, l’Algérois a l’habitude de “tout faire à 120%“. Quand il s’inscrit pendant ses études dans un cours de Kung fu pour avoir un passe-temps sain et faire des rencontres, il termine en équipe nationale américaine. “Je me suis investi dans l’école d’arts martiaux que je fréquentais et ils ont aimé mon énergie. Le maître était champion du monde et coach de l’équipe américaine“. Après des essais concluants en Indiana, il s’en va porter les couleurs de l’Oncle Sam dans des tournois internationaux. Peu importe s’il n’a pas encore la nationalité américaine. “Ce qui est bien aux États-Unis, c’est que ton origine, ta religion, c’est secondaire”, dit-il.

Mais s’il y a bien un domaine dans lequel cet “over achiever” n’a pas souhaité persévérer, c’est le monde de la finance. Après plusieurs expériences à sa sortie de Baruch College, il rejoint en 2015 la banque française Natixis à New York comme vendeur de produits dérivés. Deux ans plus tard, il est essoré. “La concurrence était intense. C’était de la concurrence en cravate, avec des gens issus de grandes écoles et de l’Ivy League. Tous les jours, nous étions comme des soldats qui allaient au front. J’étais devenu une autre personne“.

En 2017, il rejoint donc les légions de reconvertis de la finance en renouant avec ses premiers amours – la pizza – et signe le bail de Macoletta, à Astoria. Le projet est inspiré du bar à vins italien de l’un de ses anciens collègues de Madison Bistro. Tout en exerçant une activité “plus relax” dans une banque israélienne, il supervise le chantier de son futur restaurant et l’ouverture en 2018, avec l’aide de son ancien patron Claude Godard et les fonds de deux investisseurs français notamment. “Je pensais que le projet allait me coûter 250 000 dollars, mais ça a fini par être le double !“, s’exclame le restaurateur.

Le résultat: un restaurant-bar à vins humble et chaleureux, à l’image de son propriétaire, dont le mobilier a été réalisé par les Français de Chateau Brooklyn. Son pari: proposer une pizza napolitaine avec des touches du bassin méditerranéen (pissaladière, merguez…). “Je ne peux pas dire aux clients que je suis italien. J’utilise les mêmes ingrédients mais je donne à la pizza un accent égyptien, algérien. On peut faire ça à New York“, reprend-t-il.

Quitter un business stressant pour un autre business stressant (et encore plus pendant la crise sanitaire), cela valait-il vraiment le coup ? “Tout ce que je fais au restaurant dépend de ce que je donne. En finance, même si tu mets 120 heures et que tu travailles dur, il n’y a rien à faire si ton boss ne t’aime pas“. Du monde de la finance, le restaurateur a au moins retenu une leçon: “J’étais toujours nerveux avant les revues de performance avec mes boss, mes superviseurs. J’essaye de ne pas mettre ce stress et cette nervosité sur les épaules de mes employés aujourd’hui“.

Bonne nouvelle: ses parents, qui habitent désormais aux États-Unis, ne veulent plus le voir devenir ingénieur ou rentrer au bercail. “Quand ils viennent au restaurant, dit-il, ils sont très fiers“.

Consulaires 2021: les listes en course à Los Angeles

Reportées pour cause de Covid-19, les élections consulaires auront finalement lieu en mai aux États-Unis (du 21 au 26 en ligne, le samedi 29 à l’urne au consulat).

De quoi s’agit-il ? Ces élections lancées en 2014 permettent de sélectionner des “conseillers des Français de l’étranger”, des élus de proximité choisis pour représenter la communauté française auprès de chaque consulat français dans le monde. Ces élus n’ont pas de pouvoir réel: ils émettent des avis ou des recommandations sur les sujets qui touchent la communauté (éducation, sécurité, santé…) et participent au processus d’octroi de bourses pour les enfants scolarisés dans les établissements homologués, de distribution d’allocations diverses et de subventions pour les associations françaises locales. Leur rôle est aussi politique: les 447 conseillers consulaires élus dans le monde élisent 90 d’entre eux à l’Assemblée des Français de l’étranger, organisme consultatif. Ils servent également de grands électeurs pour les douze sénateurs des Français de l’étranger. Six de ces sièges seront renouvelés en septembre.

A Los Angeles, cinq sièges de conseillers sont à pourvoir. Il faut y ajouter un délégué consulaire (en raison de l’augmentation du nombre de Français dans la circonscription) : ceux-ci ne siègent pas au sein du conseil consulaire mais ont seulement pour vocation de participer à l’élection des sénateurs (ces délégués n’existent que dans les plus grandes circonscriptions consulaires du monde pour corriger la sur-représentation des plus petites circonscriptions). Si vous n’êtes pas inscrit sur la liste électorale consulaire vous avez jusqu’au 23 avril 2021 pour le faire, sur le site service-public.fr.

Les listes pour la circonscription consulaire de Los Angeles, qui recouvre les États de Californie du sud, Nevada du Sud, Arizona, Colorado et Nouveau Mexique, ont été publiées le 21 mars sur le site du consulat. Les voici dans l’ordre de dépôt, assorties d’une courte biographie des têtes de listes.

Français d’Outre-Frontières Indépendants Unis avec et pour les Français de l’Étranger

M. Patrick CARACO. Élu en 2014 dans la circonscription de Los Angeles, il est le président honoraire de l’Union des Français de l’Étranger (UFE) et membre du comité consultatif de l’Alliance Française de Los Angeles. A côté de ses activités associatives et politique, il exerce depuis 30 ans la profession d’agent immobilier et occupe le poste de directeur de l’Agence Immobilière Barnes International, à Los Angeles.

Mme Cynthia HAJJAR​
​M. Franck ROY
Mme Claire ARNAUD-AUBOUR
M. Charles OREVE
Mme Gisèle JAFFRE GRABOWSKY
M. Jean-Christophe BORNAGHI
Mme ​Martine MELLOUL
M. Omar-Pierre SOUBRA
Mme Nicole MONTGOMERY
M. Sylvestre BONO

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Ensemble !

Hélène DEMEESTERE. Élue elle aussi conseillère consulaire en 2014, Hélène Demeestere est historienne et documentaliste. Installée depuis 30 ans à Los Angeles, elle s’est toujours intéressée au sujet de l’immigration des Français, ceux du présent comme du passé, ce qui lui a valu de siéger au comité des affaires sociales et au comité des bourses ; comme à la problématique de la scolarité française à l’étranger. Sa liste est soutenue par les Français du monde-ADFE, une association française reconnue d’utilité publique qui soutient les Français établis à l’étranger depuis plus de 40 ans.

M. Alain CHARBONNIER
Mme Raphaèle COHEN BACRY
M. Manuel COVO
Mme Axelle D’EPENOUX
M. Bruno PAING
Mme Claire SCHMIDT
M. Mathias BRIEU
Mme Céline AMILIEN
M.Eric TOULAIN
Mme Pascale BERNADBEROY

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Défense, Protection et Soutien des Français établis en Amérique du Nord – Liste de proximité intergénérationnelle menée par deux élus sortants, loin des étiquettes politiques

M. Gérard MICHON. Scientifique et ancien professeur d’université (il a été décoré du Mérite National et des Palmes académiques), Gérard Michon est fortement impliqué dans la communauté et les organisations à but non lucratif comme l’Union des Français de l’étranger (UFE) dont il est le président honoraire ou l’Alliance française de Los Angeles dont il fut un administrateur. Cet ancien de l’UMP a également fondé et gère avec des bénévoles le groupe Facebook “Français d’Amérique du Nord”. Engagé en tant qu’élu des Français de l’Ouest Américain depuis 1994, il a été président de la Commission des Lois de l’Assemblée des Français de l’étranger de 2008 à 2009.

Mme Marie-Carole DE LA CRUZ
M. Karim SAHLI
Mme Valérie SWANSON-PARMENTIER
M. Christian PARIS
Mme Sophie GAYOT
M. David BISMUTH
Mme Mehrnoush KHANI
M. François MARIN
Mme Janine BOBIN
M. Jacques PALMIERI

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Ensemble, en marche! Au service du Grand ouest américain

M. Stanislas ORAND. Cette élection est une première pour Stanislas Orand qui prend la tête de liste à la place de Claude Girault (chef d’îlot du comté d’Orange). Passionné par la musique française, anglaise et américaine depuis toujours, Stanislas Orand a longtemps travaillé dans le mixage et la réalisation de modules son et musiques. Il a rejoint UCLA Health depuis 8 ans. En tant que conseiller et représentant de La République en Marche, il veut donner la priorité au service aux autres et promeut la collaboration.

Mme Géraldine TISSOT BROWN
M. Claude GIRAULT
Mme Sophie RAIMONDO
M. Thomas FERRIERE
Mme Diane HAGGIAG
M. Pierre-Olivier WEILL
Mme Florence LEMOINE
M. Laurent COULON
Mme Lina NIH
M. Ludovic FRANCOIS

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Réouverture des stades : quelles équipes allez-vous encourager à Miami ?

Les enceintes sportives de Floride, privées de supporters depuis plusieurs mois en raison de la crise sanitaire, peuvent à nouveau accueillir un nombre limité de spectateurs. Du basket au football en passant par le hockey sur glace et le baseball, voici la liste des endroits où voir votre équipe préférée à Miami et ses environs.

Miami Heat (NBA)

Les amateurs de basket peuvent à nouveau crier « Let’s go Heat! » jusqu’à s’époumoner à l’American Airlines Arena, une salle omnisports qui s’appellera prochainement FTX Arena, du nom de la société de cryptomonnaie qui vient de la sponsoriser. Cette enceinte sportive autorise de nouveau les fans à venir assister aux matchs des Miami Heat, dans la limite de 20 % de la capacité du lieu, soit environ 4.000 supporters, avec distanciation sociale et port du masque de rigueur. Parmi eux, quelque 450 « privilégiés » peuvent accéder à deux sections dans la zone inférieure, réservées aux personnes vaccinées contre la Covid-19. L’une de ces zones étant située à proximité du terrain, les fans souhaitant y accéder devront également présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures ou faire un test antigénique sur place le soir du match. 601 Biscayne Blvd, Miami – (786) 777-1000 – Tickets ici

Miami Marlins (MLB)

Implantée à quelques rues de la fameuse Calle Ocho, l’artère principale de Little Havana, le Marlins Park, où résonnaient régulièrement les hourras des supporters venus encourager les Miami Marlins, l’équipe de baseball de la ville, a retrouvé son effervescence quasi-habituelle depuis le coup d’envoi de la saison, le 1er avril. Venant tout juste d’être renommée LoanDepot Park, cette enceinte sportive a rouvert à 25 % de taux de remplissage, pouvant ainsi accueillir près de 9.000 fans. Chacun doit bien entendu respecter la distanciation sociale et porter obligatoirement un masque. 501 Marlins Way, Miami – (305) 480-1300 – Tickets ici

Florida Panthers (NHL)

À Sunrise, près de Fort Lauderdale, se détache la structure massive du BB&T Center, la salle omnisports où se rassemblent habituellement en nombre les supporters venus soutenir les Florida Panthers, la franchise professionnelle de hockey sur glace floridienne. Cette enceinte sportive est réouverte depuis le 14 janvier à 25 % de sa capacité totale, ce qui représente environ 5.000 personnes autorisées à y pénétrer. Comme partout ailleurs, vous devrez respecter les règles sanitaires : port du masque et distanciation sociale. 1 Panther Pkwy, Sunrise – (954) 835-7000 – Tickets ici

Inter Miami CF (MLS)

À Fort Lauderdale, l’Inter Miami CF, la franchise de David Beckham, jouera son premier match de Major League Soccer contre le LA Galaxy le dimanche 18 avril, la saison reprenant la veille. Cette rencontre aura lieu au Lockhart Stadium, son stade de 18.000 places qui devrait fonctionner à une capacité réduite, mais aucun détail sur le nombre de spectateurs pouvant assister aux matchs n’a encore été communiqué. En attendant, l’équipe de football, sous la direction du nouvel entraîneur Phil Neville, a programmé trois rencontres amicales à huis clos pour conclure sa pré-saison : elle affrontera l’équipe du Miami FC, qui évolue dans le USL Championship, lors de deux matchs (mercredi 7 et dimanche 11 avril) avant d’affronter le Toronto FC (dimanche 11 avril). 1350 NW 55th St, Fort Lauderdale – (305) 428-0611 – Tickets ici

[Vidéo] Générez des revenus et sécurisez votre avenir grâce à l’immobilier en France

Que l’on réside en France ou que l’on soit expatrié·e, il est important de se poser les bonnes questions quant à son patrimoine.

– Comment bien se préparer face à d’éventuelles crises futures ?

– Comment sécuriser son avenir, construire un héritage pour ses enfants, augmenter son niveau de vie ?

– Et comment faire tout cela, sans alourdir vos impôts.

Lors de ce webinaire dédié, Manuel Ravier, fondateur de la société Investissement Locatif, a tenté de répondre à ces questions en direct.

Il a abordé le sujet de l’investissement immobilier locatif, à travers notamment les questions de financement et de fiscalité (nous avons parlé par exemple du régime LMNP). Il vous a également donné les éléments clé pour que vous puissiez préparer votre retraite, développer votre patrimoine ou encore préparer votre retour en France.

Visionnez le replay du webinaire ci-dessus ou directement sur notre page YouTube.
Support de présentation à télécharger

Pour en savoir plus, contactez notre expert :
[email protected]
☎️  01 84 17 67 60

Hervé Riou, un chef français se mobilise pour les skateboarders de Brooklyn

L’alliance a de quoi surprendre: un chef français – solide marin breton installé à New York depuis plus de 30 ans-, devient le porte-parole de jeunes skateboarders de Brooklyn, et se bat pour tenter de leur offrir un “skate park” d’un nouveau genre, au milieu d’un vrai jardin.

C’est un drame familial qui est à la source de cet engagement d’Hervé Riou: le décès accidentel en 2019 de Pablo Ramirez, le fils de son épouse, Loren Michelle. Pablo était skateboarder  professionnel, musicien de jazz et artiste. Après son décès -survenu à la suite d’un accident de la circulation, alors qu’il était en skate-, Loren Michelle décide de créer une fondation pour venir en aide aux jeunes skateboarders, sur leur planche, mais aussi pour les aider à développer leurs talents artistiques. La fondation créé ainsi des cours de musique avec la Coltrane church de San Francisco, dont Pablo Ramirez était un habitué, ou des cours d’art, peinture, musique et skate à New York.

Mais l’ambition de la fondation va plus loin: depuis plusieurs mois, Loren Michelle et Hervé Riou se battent pour construire à Brooklyn un “skate park”. « En tant que chef, j’ai une passion particulière pour les jardins », explique Hervé Riou. Pour la société de traiteur que dirigeait Loren jusqu’à récemment, il cultivait un jardin potager urbain à Brooklyn. « Ce rapport à la nature, aux produits de la nature, est important pour moi; nous voulons apporter cette même proximité avec la nature aux gamins qui font du skate: les sortir des terrains vagues sous les ponts d’autoroute où on les confine aujourd’hui, pour les mettre dans les parcs ». 

La fondation souhaite donc construire, aux alentours de Prospect Park, un “community skate garden” qui se veut un espace d’un genre nouveau, alliant skateboard, jardinage et arts. Pour ce faire, elle présente un projet au vote des habitants. La procédure porte un nom: “budget participatif”. Chaque année, elle permet aux habitants du “district 39” (qui comprend les quartiers de Cobble Hill, Carroll Gardens, Gowanus, Park Slope (notamment), de voter pour choisir un projet proposé par des résidents, qui sera alors financé par la ville. Loren Michelle et Hervé Riou demandent 300.000 dollars pour pouvoir lancer le projet. Ils sont en compétition avec, entre autres, des toilettes d’une école locale ou une piste de danse pour une autre école. (Le vote se fait par internet est ouvert à tout résident de la zone de plus de 11 ans, jusqu’au 14 avril).

Passionné de voile, cuisinier depuis plus de 40 ans, Hervé Riou l’avoue : « le skate n’a jamais été une passion personnelle (il a fait ses premiers pas sur une planche il y a quelques mois), mais il faut ouvrir son âme, s’ouvrir aux autres. J’ai eu cette idée du jardin marié au skate après un rêve dans lequel j’étais avec Pablo dans un jardin… » Le chef, amoureux de la nature, est ainsi devenu le défenseur des intérêts d’une bande de jeunes skaters, rêvant de reconnecter la culture très urbaine du skate avec la nature et le jardin.

French Boss, Yamina Hakem : « du développement commercial tous les jours »

French Boss, le rendez-vous de French Morning consacré aux voyageurs entrepreneurs, accueille cette semaine une “Espionne Internationale Autorisée”, comme elle se décrit elle-même.

Originaire du Massif Central, Yamina Hakem annonce très vite la couleur de ce que sera sa vie en décrochant deux diplômes, un de langue, et un de business. Depuis, son éclectisme s’est enrichi de plusieurs autres passions, l’information, la science, la pharmacie et “last but not least”, la data, l’Intelligence Artificielle. Elle vit désormais à San Francisco, où elle dirige la société GlobalReachBI qu’elle a elle-même créée, et s’efforce au quotidien de mixer ces compétences pour en faire son gagne-pain. Si Yamina est en mesure de réussir ce pari, il en est un en revanche contre lequel elle se bat encore : expliquer son métier. Cette demi-heure d’entretien va surtout laisser percer l’image d’une femme ultra volontariste, et qui finalement, derrière des mots souvent ésotériques, brandit en permanence quelques idées simples qui elles, à l’inverse, appartiennent bien au monde du réel : la solidarité, le collectif, la diversité…

L’université de Stanford a appris à Yamina l’Intelligence Artificielle, sa vie professionnelle quotidienne la confronte à l’intelligence tout court. Dans un univers totalement dérégulé par la pandémie, plus que jamais aujourd’hui, il faut avant tout savoir se battre. Et plus on a d’armes, mieux c’est !

Listen to “Episode 41: Yamina Hakem” on Spreaker.

Le baromètre de l’expatriation, enquête n°3 : le package d’expatriation

Le baromètre de l’expatriation prendra désormais de vos nouvelles chaque mois ! Lancée il y a quatre ans par Expat Communication, cette grande enquête annuelle se réforme. En partenariat, notamment, avec French Morning, le baromètre sera désormais permanent, avec un thème par mois pour encore mieux suivre le moral des expats français à travers le monde.

Pour ce troisième mois d’enquête, le baromètre s’intéresse au “package d’expatriation”, c’est à dire aux différents avantages qui vous ont été proposés (ou pas) par votre entreprise lorsque celle-ci vous a proposé de vous expatrier.

Pourquoi s’intéresser au package ? Quand est-il encore indispensable et inévitable pour un départ à l’étranger ? Doit-il compenser ou inciter ? Sans rentrer dans le détail de ce qui compose un package, cette enquête s’intéresse à son rôle dans le processus et la décision d’expatriation.

Remplissez ce formulaire en moins de 5 minutes pour donner votre avis en toute confidentialité à Expat Lab d’Expat Communication, afin de leur permettre d’avoir une vision venant du terrain et de refléter ainsi la réalité de la mobilité internationale actuellement.

The École débloque un budget d’aide financière supplémentaire et ouvre une Toute Petite Section de maternelle

[Article partenaire] Située dans le Flatiron District de New York, The École est une école bilingue franco-américaine indépendante au service d’une communauté internationale d’élèves. De la Maternelle au Collège, The École allie savamment le meilleur des systèmes éducatifs français et américain dans le but d’offrir aux élèves une alphabétisation bilingue robuste ainsi que des compétences et des connaissances complètes, dans une perspective optimiste et multiculturelle.

 

The École, qui vient de débloquer un budget d’aide financière supplémentaire pour aider les familles souhaitant inscrire leurs enfants pour la rentrée scolaire prochaine, continue de grandir et offre désormais un programme pour les enfants de deux ans dès l’année scolaire 2021-2022.

Une aide financière disponible pour les nouveaux élèves

En raison de la situation sans précédent avec le COVID-19, de nombreuses familles rencontrent des difficultés avec l’éducation de leurs enfants, en particulier dans le système des écoles publiques.

Pour certains enfants, l’apprentissage en ligne ou dans un format hybride, où ils ne peuvent pas être sur place toute la journée, peut avoir un impact considérable sur leur expérience d’apprentissage.

The École met donc un budget supplémentaire d’aide financière à la disposition des nouveaux candidats.

Ce budget supplémentaire sera alloué selon les mêmes critères que The École a retenus pour les familles ayant reçu une aide financière dans le passé :
– Situation financière, diversité et mérite
– Volonté de la famille de faire de l’éducation de ses enfants une priorité
– Jusqu’à 50% du total des frais de scolarité peuvent être couverts par l’aide financière

« Ce budget supplémentaire d’aide financière, ainsi que les cinq bourses d’études complètes pour le Collège de The École que nous avons octroyées pour l’année scolaire à venir, s’inscrivent totalement dans notre mission de faire en sorte qu’un maximum d’enfants puissent bénéficier de notre programme bilingue unique. » déclarent Philippe et Laurence Roux, les bienfaiteurs de The École, en poursuivant «Ce qui rend The École unique, c’est que les élèves n’apprennent pas seulement le français et l’anglais : ils
apprennent en français et en anglais. ».

Pour les nouveaux candidats qui pourraient avoir besoin d’un support
individualisé en anglais ou en français, The École propose gracieusement des
cours d’ESL (anglais comme seconde langue) et de FLE (français langue
étrangère).

Ouverture du programme de TPS

Suite à un processus de demande très rigoureux, The École a obtenu du Department of Health le permis d’ouvrir son programme de Toute Petite Section de Maternelle dès septembre 2021. La Toute Petite Section (ou TPS) sera pleinement intégrée au programme bilingue de The École et constituera désormais la toute première année de la Maternelle. La TPS accueillera les enfants qui auront deux ans d’ici la fin de l’année civile 2021 : ces derniers pourront désormais bénéficier du programme bilingue unique de The École.

Un programme adapté aux tout petits

Les enseignants de la maternelle de The École ont travaillé en profondeur sur tous les aspects de cette nouvelle classe, notamment sur la création du programme scolaire, de sorte à adapter aux enfants de deux ans toute la pédagogie et l’expérience d’apprentissage de The École. De plus, les enseignants ont pris en compte les besoins spécifiques de ces jeunes élèves, mais aussi de leurs parents, afin de leur offrir une transition douce et une interaction continue entre la maison et l’école.

Une petite classe, pour un accompagnement individuel

Fidèle à la volonté de The École de rester à taille humaine, la Toute Petite Section accueillera au maximum 12 élèves. Deux professeurs – un anglophone et un francophone – enseigneront et superviseront la classe.

L’ouverture de cette classe permettra notamment aux petits frères et sœurs des élèves actuels de rejoindre l’école, mais offrira également la possibilité à de nouvelles familles de rejoindre la communauté de The École.

« Nous sommes convaincus que c’est un excellent ajout à l’offre de The École, qui donnera à encore plus d’enfants la possibilité de bénéficier – dès le plus jeune âge – de notre cursus bilingue unique ! », déclarent Philippe et Laurence Roux, les bienfaiteurs de The École.

Pour plus d’informations concernant The École, rendez-vous directement sur leur site internet.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.