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Printemps 2021 : où voir des cerisiers (et d’autres arbres) en fleurs à Los Angeles

Pas la peine de partir au Japon pour profiter de la floraison des cerisiers ! Vous pouvez aussi observer le fameux “cherry blossom”, qui recouvre les arbres de rose, à Los Angeles. Dépêchez-vous car les fleurs sont sorties fin mars et ne devraient pas s’éterniser après le mois d’avril.

En raison de la conjoncture – de nombreux événements traditionnellement organisés sont uniquement virtuels ou reportés -, nous vous recommanderons d’opter pour les parcs et les jardins botaniques pour les observer cette année. Le Balboa Park dispose ainsi de plus de 2.000 cerisiers qui fleurissent en différé. C’est également le lieu parfait pour faire du pédalo ou un pique-nique en savourant le spectacle. Balboa Park, 6300 Balboa Blvd., Los Angeles.

Non loin de là, le jardin japonais de la vallée de San Fernando, SuihoEn ($5 l’entrée), promet qu’il va rouvrir ses portes “très prochainement”. Vous pourrez alors, sur rendez-vous, déambuler dans les sentiers autour de l’étang (et nourrir les carpes Koï) tout en admirant les cerisiers en fleurs. The Japanese Garden, 6100 Woodley Ave, Lake Balboa.

Vous pourrez également en prendre plein la vue au Descanso Gardens ($15 par personne) où plusieurs variétés de cerisiers sont en fleurs (Okame, Pink Cloud, Akebono et Beni Hoshi). Mais pas seulement : la floraison concerne également des tulipes, des camélias, iris ou lilas. Et pour vous simplifier la tâche, le jardin botanique dispose d’un traqueur qui informe le public de l’évolution de la floraison et il propose des visites guidées les vendredis à 1pm ou les samedis à 11am et 1pm. Descanso Garden, 1418 Descanso Dr, La Cañada Flintridge.

Caché dans le Downtown, le James Irvine Japanese Garden est petit mais permet de s’évader. Il vaut notamment le détour pour ses cerisiers en fleurs et sa cascade. James Irvine Japanese Garden, 244 San Pedro St, Los Angeles.

A Palos Verdes, le South Coast Botanic Garden ($15 l’entrée) propose à ses visiteurs une carte pour identifier les cerisiers en fleurs et autres arbres, tout en leur expliquant leurs origines (réservation obligatoire). South Coast Botanic Garden, 26300 Crenshaw Blvd, Palos Verdes Estates.

Vous aurez aussi une myriade de couleurs à observer dans les cerisiers de La Huntington Library ($25 par personne). De nombreux arbres fruitiers sont aussi en fleurs dans les jardins japonais et chinois, notamment des pêchers, des pommiers japonais et des redbud chinois. Huntington Library, 1151 Oxford Rd, San Marino.

Mais aussi des “jacarandas mimosifolia” (arbres fougères) dans les rues de Los Angeles

Il n’y a pas que les cerisiers qui interpellent les amateurs de fleurs. Comme beaucoup l’ont remarqué, certaines rues de la cité des anges ont revêtu leur robe pourpre. La floraison annuelle des “jacarandas mimosifolia”, des arbres originaires d’Amérique du Sud et qui fleurissent entre avril et juin, va émerveiller petits et grands. Pour partir à la chasse à ces trésors, il faudra vous armer d’un élément indispensable : une carte interactive de Los Angeles répertoriant les milliers d’arbres violets. Vous pourrez notamment vous aventurer du côté de Rowena avenue à Silverlake, sur Russell avenue à Los Feliz, sur la 6th près de Park La Brea, sur Fayette street à Highland Park ou sur Bronson avenue à Hollywood (liste non-exhaustive).

En plus de cela, vous en trouverez un bon millier à Santa Monica, que ce soit le long de la 20th street au nord de Colorado avenue ou sur les 11e, 12e et 31e rues juste au sud de la 10.

Liberté d’expression en France et aux US: un festival met les pieds dans le plat

C’est certainement l’un des sujets qui suscite le plus d’incompréhensions entre la France et les États-Unis: la liberté d’expression. Mais cela ne fait pas peur aux organisateurs du festival transatlantique “Liberté d’expression, Free Speech and Cancel Culture”, qui se déroulera du 23 au 25 avril.

Monté par les Services culturels de l’Ambassade de France aux États-Unis, le French Institute Alliance Française (FIAF) et la Maison française de NYU, ce rendez-vous virtuel rassemblera une dizaine d’intervenants des deux côtés de l’Atlantique, dont la documentariste Caroline Fourest, l’auteur Thomas Chatterton Williams, la philosophe Manon Garcia et le rescapé de l’attentat de Charlie Hebdo Philippe Lançon. Pendant trois jours, les intervenants exploreront successivement différentes facettes de cette liberté, à travers les thèmes de la “religion” (le 23 avril), la “sexualité” (le 24) et la “race” (le 25).

L’incompréhension franco-américaine sur ce sujet de la liberté d’expression tient à des visions différentes de ce qui constitue une culture unifiée et sur le rôle que devraient jouer les différences individuelles, qu’elles soient sexuelles, raciales, religieuses, dans une culture nationale“, résume Suzanne Nossel, la directrice de l’organisation PEN America, qui milite pour la liberté d’expression dans la littérature. Auteure du livre Dare to Speak: Defending Free Speech for All, elle ouvrira la première discussion du festival sur la religion et la laïcité.

Le festival se déroule sur fond de craintes en France et aux États-Unis sur l’état de la liberté d’expression. En juillet, près de 150 intellectuels, militants et journalistes se sont érigés dans une tribune publiée dans le magazine Harper’s contre l’émergence de la “cancel culture” à gauche après la mort de l’Afro-Américain George Floyd. Ce terme en vogue désigne les appels au boycott de personnalités ou d’entreprises dont les opinions sont jugées controversées. “L’échange libre des informations et des idées, qui est le moteur même des sociétés libérales, devient chaque jour plus limité. La censure, que l’on s’attendait plutôt à voir surgir du côté de la droite radicale, se répand largement aussi dans notre culture : intolérance à l’égard des opinions divergentes, goût pour l’humiliation publique et l’ostracisme, tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveuglante“, ont fait valoir les signataires de la tribune, dont l’écrivain Salman Rushdie et le linguiste Noam Chomsky.

L’assassinat en octobre 2020 de Samuel Paty, un enseignant de région parisienne qui avait montré à ses élèves, quelques jours auparavant, les caricatures controversées de Charlie Hedbo sur l’islam, a relancé le débat sur les menaces qui planent sur la liberté d’expression en France. Aujourd’hui, une partie de la classe politique et intellectuelle française s’inquiète de l’arrivée de la “cancel culture” et des théories identitaires américaines sur la race et le genre dans les milieux universitaires. Le débat est tel que le New York Times est allé jusqu’à se demander en février si les idées américaines (allaient) déchirer la France. “Il y a des levées de bouclier dans les deux pays, observe Suzanne Nossel. C’est la conséquence de la crainte d’une perte de privilèges et de l’inquiétude réelle que certaines idées seront supprimées ou que des opinions ne seront plus reconnues comme acceptables“.

Suzanne Nossel a constaté à son niveau la difficulté d’accorder Français et Américains sur le sujet. En 2015, la décision de PEN America de remettre un prix aux journalistes de Charlie Hebdo avait conduit six de ses membres à boycotter son gala. L’un des contestataires a mis en avant “l’intolérance culturelle” du journal satirique pour justifier sa décision.

Si la directrice de PEN America est inquiète pour l’état de la liberté d’expression aux États-Unis, où “elle est mal vue au sein des jeunes générations, qui l’associent à quelque chose qui les offense“, elle se dit “extrêmement alarmée” par la décapitation de Samuel Paty en France. “C’est l’illustration de la colère et de l’extrémisme qui habite ce débat, estime-t-elle. Mais c’est aussi une erreur de mettre en cause tous les musulmans“.

France ou États-Unis, il “n’est pas possible d’enfermer à jamais ces questions, religieuses, raciales ou autres, dans une boîte. Elles concernent des parties importantes de la population, en particulier des jeunes qui joueront demain un rôle dans les médias, la politique et les cercles professionnels. Nous devons apprendre à leur donner une voix sans pour autant compromettre les principes libéraux qui gouvernent l’échange des idées“.

[Vidéo] Entreprendre au Canada : quelles solutions pour les entrepreneurs, freelances et investisseurs ?

Entreprendre au Canada fait envie à beaucoup de Français. Mais quel programme d’immigration choisir ? Dans quel ordre faire les choses ? Combien de temps cela prend-il ? Qu’est ce qui marche au Canada et ne marche pas ?

Lors d’un webinaire dédié, nous avons abordé de manière claire et simple :
– Tous les programmes d’immigration et leur fonctionnement (entrepreneur, investisseur, travailleur autonome, création de filiale) avec Jérôme Blanchet, avocat spécialisé en droit de l’immigration
– Les différences de marchés, de coûts et de culture entre la France et le Canada, au travers du témoignage de Michael Schwartz, entrepreneur français installé au Canada depuis 2018 et ayant créé dans les deux pays

Visionnez le replay du webinaire ci-dessus ou directement sur la page YouTube de notre site canadien, Maudits Français.

Pour aller plus loin
?  Contactez Michael Schwartz : ms@conexa.ca
?  Contactez Jérôme Blanchet : [email protected]

Immobilier à Miami : le baromètre monte !

[Article partenaire] Elisabeth Gazay est conseillère immobilier licenciée et experte du marché de Miami chez Douglas Elliman. Elle nous parle du marché immobilier en Floride du Sud.

Tout le monde parle du marché immobilier en Floride du Sud qui flambe depuis quelques mois. Est-ce la réalité ? Miami a toujours eu des cycles marqués, cela vous rappelle-t-il la situation d’il y a 10 ans ?

Je dois avouer qu’installée depuis 20 ans à Miami, même en ayant connu l’essor des années 2000, la crise de 2008 et le rebond rapide de Miami juste après, je n’avais jamais vu un tel engouement. Nous sommes dans une situation tout à fait différente des cycles précédents. Après la crise de 2008, Miami avait été l’une des rares villes américaines à avoir redémarré aussi vite. A l’époque, la clientèle était plutôt internationale, composée d’investisseurs européens et latino-américains, « cash buyers » en quête de bonnes affaires voire de « soldes » notamment des terrains sur l’eau à construire, des appartements neufs qui étaient en short sales ou foreclosures etc. Actuellement, Miami est le marché le plus dynamique des Etats-Unis, et ce même sans l’impulsion de la clientèle d’Amérique Latine ! En février 2021, le comté Miami Dade enregistrait pour le 6ème mois consécutif une croissance à 2 chiffres en nombre total de transactions immobilières (+33.5% de ventes en plus en février 2021 comparé à février 2020 avant la crise). Durant ce mois de février 2021, il fallait deux fois moins de temps pour vendre une maison à Miami Beach qu’en février 2020 (avant la crise). En moyenne, les maisons à Miami sont sous contrat en 30 jours, 53% plus vite qu’il y a un an. Les appartements partent en 60 jours en moyenne, 29.4% plus rapidement qu’en 2020 (1). Dès que l’on se situe dans les quartiers en vogue, on passe à quelques jours !

Et aujourd’hui, qu’est-ce qui booste le marché ?

Le contexte est nouveau puisque nous assistons à la conjonction de différents facteurs, par ailleurs très complémentaires. Un grand nombre d’acheteurs sont issus d’autres grandes villes américaines, le pays étant encore fermé aux internationaux non-résidents. Depuis la réforme fiscale de 2016, sous l’ère Trump, nous avions déjà une première « émigration » en provenance des états très taxés comme New York ou la Californie. Cet « exode fiscal » donnait un net avantage à la Floride. Tout s’est accéléré lorsque la pandémie COVID-19 est arrivée et que de nombreuses familles se sont retrouvées en télétravail. Ceux qui en avaient les moyens ont pris conscience que l’on pouvait aussi bien travailler au soleil, avoir de l’espace, payer moins d’impôts… le tout avec des prix au mètre carré bien en deçà de villes comme New York, Boston, Los Angeles ou San Francisco. J’ai vu de nombreuses familles arriver en location pour les 6 mois de confinement et décider de ne plus repartir. A ceux-là s’ajoutent les acheteurs locaux, souvent « millennials », segment le plus dynamique sur les marchés immobiliers aujourd’hui : ils représentent 38% des acheteurs (2). Après avoir loué, notamment en appartement, ils achètent une maison et misent sur l’espace. Ils ont aussi profité des taux d’intérêts.

Est-ce une bulle ?

Je ne crois pas que le terme de « bulle » soit approprié car maintenant, les fondamentaux de Miami sont bien là. Nous avions annoncé depuis des années que Miami deviendrait l’une des grandes villes non seulement américaine mais à l’échelle mondiale, plébiscitée pour son positionnement stratégique, sa multiculturalité et son dynamisme grâce à une population de plus en plus jeune. Il faut avouer que nous n’avions pas imaginé que cela se ferait avec cette envergure et dans un timing aussi serré ! Ce qui est sain pour le long terme, c’est que tous les efforts pour attirer de nouvelles entreprises, diversifier les secteurs, développer les start ups, convaincre les VC, créer des emplois et de la valeur, ont trouvé un nouvel écho depuis la crise de la COVID-19. La façon dont l’état de Floride a géré la pandémie a également eu un impact positif : dépistages illimités, peu de confinements pour sauver l’économie, vaccination massive et rapide, autant de points qui ont accéléré l’engouement auprès d’une population diversifiée : célébrités, chefs d’entreprise, jeunes « retraités » de la nouvelle économie…  les profils sont aussi variés que les facettes de la ville.

Quels sont les quartiers les plus demandés ?

Là aussi, on a vu une évolution rapide. Pour les familles en quête de maison, le nombre de biens disponibles à Miami Beach, Coconut Grove, Coral Gables, étant de plus en plus limité, les clients ont accepté d’explorer des quartiers plus excentrés offrant aussi une belle qualité de vie : Pinecrest au sud, Miami Shores au nord, par exemple. Les amateurs de maisons sur l’eau ont même fait rapidement monter les prix dans des quartiers qui étaient en devenir comme Treasure Island ou North Bay Village.

Que conseillez-vous aux acheteurs qui se retrouvent avec le stress de la « chasse aux maisons », des situations d’offres multiples, des prix qui augmentent d’un jour à l’autre, et des biens vendus en 3 jours ?

Nous sommes clairement en situation de « seller market » et c’est valable sur toutes les échelles de budget à partir de $800,000. Il en est de même pour les plus hauts budgets, notamment sur des biens exceptionnels au-delà de 5 millions ou autour de 10 millions de dollars (waterfront, proches des meilleures écoles, etc). Le nombre de mois de stocks disponibles a baissé à 2.8 mois pour les maisons (soit -49.1%) alors qu’un marché équilibré entre vendeurs et acheteurs offre 6 à 8 mois de stocks (1). En février 2020, nous étions à 5.5 mois d’inventaire pour les maisons. Lorsqu’on est à moins de 6 mois d’inventaire, on considère que nous sommes dans un seller’s market. On s’achemine même sur une situation également plus tendue avec les condominiums (grands, rénovés ou récents, « prime location » avec la possibilité de tout faire à pied comme à Brickell, Miami Beach, Edgewater…).

Nous conseillons bien sûr d’être rapides, réactifs et créatifs dans les offres, sans sacrifier les points importants sur lesquels nous pouvons vraiment apporter notre expertise (emplacements, assurances, qualité des rénovations ou de la construction, etc.). Il faut aussi regarder la « big picture » : les prix ont parfois augmenté de 25% en 3 mois, c’est frustrant (surtout quand on voit publiquement l’historique du bien), mais si vous comparez avec ce que vous avez, dans les mêmes prix, à New York ou à San Francisco … finalement, cela reste raisonnable*. Plus que jamais, il faut s’entourer d’un Realtor (agent immobilier) expérimenté et qui a une bonne connaissance de la ville dans son ensemble afin de pouvoir diversifier ses recherches. Connaissant parfaitement les valeurs, le marché, nous pouvons aussi bien vous conseiller d’aller au-delà du prix demandé pour obtenir le bien souhaité, si cela le justifie, que de ne pas se lancer dans une surenchère qui n’en vaut pas la peine. Même dans un marché ultra-chaud, il faut penser à l’avenir, à la revente, sans oublier la qualité de vie … après tout c’est aussi pour cela que nous vivons à Miami !

(1) Source MLS Miami Association of realtors
(2) Source National Association of Realtors, Generational report

 

 *Combien de m² (en “prime properties”) pour 1 million $ ?
L’étude annuelle “2021 wealth report” de Knight Frank donne des comparaisons qui montrent que les prix à Miami restent attractifs : 

? 85m² à Miami
? 35 m² à Genève
? 34 m² à New York
? 31 m² à Londres
? 23 m² à Hong Kong
? 15 m² à Monaco

Pour recevoir la totalité du rapport, envoyez un email à Elisabeth à cette adresse : elisabeth.gazay@elliman.com ou contactez la Gazay Team par téléphone au +1 305 794 1086.

 

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de Maudits Français. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Avec les French Virtual Summer Camps, passez un été français où que vous soyez

[Agenda partenaire] Comment s’assurer que vos enfants continuent de parler français cet été tout en faisant des activités ludiques ? Où que vous soyez pendant les vacances scolaires, trouvez une formule qui plaise à vos enfants et qui les fasse progresser en français !

Une seconde édition après le succès rencontré l’année dernière

Des activités ludiques et en français pour apprendre en s’amusant, c’est ce que propose Acadomia avec sa deuxième édition du French Virtual Summer Camp. Ce dernier accueillera les enfants de 5 à 13 ans pendant 8 semaines à partir du 21 juin 2021.

Le camp d’été virtuel de l’année dernière, en partenariat avec l’Ecole Bilingue de Berkeley et LILA à Los Angeles, a rencontré un tel succès que certains élèves ont même renouvelé leur participation pendant les huit semaines consécutives du camp.

Un programme personnalisé et à la carte

Pour ce camp d’été, Acadomia propose un programme à la carte. En effet, vous pouvez inscrire vos enfants pour une semaine ou pour plusieurs, pour des journées complètes ou des demi-journées.

Les sessions ont lieu par visioconférence en tout petits groupes de 3 à 6 élèves maximum. Grâce à la qualité des enseignants et à leur créativité, même les plus jeunes élèves participent activement. Tous les niveaux de français sont acceptés et les enfants sont placés dans des groupes en fonction de leur âge et de leur maitrise de la langue.

Des activités ludiques et artistiques

Le matin sera dédié à des activités ludiques autour de la langue française, des mathématiques ou des sciences. Pour allier apprentissage et amusement, les matins prendront la forme de jeux, de théâtre, de déguisements, ou encore de cuisine. L’après-midi sera plus artistique avec, par exemple, des ateliers de dessin, de peinture ou de collage. En s’inspirant de Britto ou encore de l’art aborigène, les enfants réaliseront des pièces uniques tout en s’exprimant en français toute la journée.

Inscription

Vous pouvez inscrire vos enfants dès maintenant sur le site internet d’Acadomia ou au (305) 814-0035

Détails du camp :

Quand ? Du lundi 21 juin au vendredi 13 aout 2021
Horaires : Du lundi au vendredi, de 9:30-11 :30am/ 1-3pm
Âge des élèves : 5-13 ans

Tous les niveaux de français sont acceptés

Prix :

– $369/semaine/élève en journée complète

– $269/semaine en demi-journée

– Prix « Early Bird » pour toute réservation avant le 30 avril 2021

Acadomia est le leader du soutien scolaire en France avec plus de 100 000 élèves et 20 000 enseignants. Installés aux Etats-Unis depuis 2016, leurs tuteurs sont tous des natifs. Ils sont expérimentés dans l’apprentissage des langues pour enfants comme pour adultes et suivent les directives du Cadre européen commun de référence (CEFR).

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Le pragmatisme du cinéma belge au festival Focus on French Cinema 2021

La 16ème édition du festival Focus on French Cinema aurait dû avoir lieu l’année dernière en avril, mais la pandémie en a voulu autrement. L’Alliance Française de Greenwich dans le Connecticut a donc travaillé dur pour proposer une version en ligne de son célèbre festival de cinéma, qui aura lieu cette année du 21 au 30 avril.

“Ça a été beaucoup de travail et d’organisation avec une toute petite équipe (moins de 10 personnes). Nous espérons attirer encore plus de gens avec le passage sur internet”, explique Renée Amory Ketcham, la présidente de l’Alliance Française de Greenwich. “Nous sommes très heureux de mettre à l’honneur le cinéma belge, à l’occasion du printemps de la francophonie”. 

Pour rester dans la tradition du festival, l’Alliance Française proposera un film par jour pendant dix jours, disponible 24h en ligne. Il débutera le 21 avril par la projection de “Madly in Life” (“Une vie démente”), comédie d’Ann Sirot présentant un couple confronté à la démence d’un de leur parent dont ils vont devoir s’occuper. Parmi les autres temps forts, “SpaceBoy” le 25 avril, comédie familiale pleine d’espoir d’Olivier Pairoux sur la nostalgie des années 1980, et “A good man” le 27 avril, drame de Marie-Castille Mention-Schaar qui met en scène un couple homosexuel souhaitant avoir un enfant.

“Nous ne vivons pas la période la plus joyeuse, je pense que les gens avaient besoin de voir des films drôles”, commente Renée Amory. “Ça ne veut pas dire que les films ne traitent pas de sujets lourds, au contraire. Il y a quelque chose dans la culture belge de très pragmatique face aux problèmes et aux aléas de la vie qui est très bien présenté à l’écran dans notre sélection”.

Focus on French Cinema proposera 13 films en tout, dont une avant-première et deux films par jour le weekend. Programme détaillé ici. Comptez 75$ le pass donnant accès à l’ensemble du festival, ou 10$ par film au choix. “De nos jours, les gens sont submergés par l’offre de streaming. Parfois, on ne sait plus quoi regarder tellement il y a de choix. Notre comité de programmation a travaillé dur, en visionnant des dizaines de films pendant plusieurs mois pour vous proposer une sélection fine“, résume le directeur de la programmation Joe Meyers.

Films en français avec sous-titres anglais. Le festival Focus on French Cinema est soutenu par BNP Paribas.

Moi Impat : retour aux cours de cuisine

Deux ans, c’est court. C’est pourtant la durée de l’expatriation éclair new-yorkaise de Charlotte Leclerc et qu’elle nous raconte dans ce 62ème numéro de « Moi Impat ». Pas le temps donc d’oublier ses repères avec la France, mais juste suffisant pour regretter un système scolaire anglo-saxon qui fait la part belle au sport et qui a largement contribué à l’épanouissement de ses trois enfants.

Partie en 2018 avec les Gilets Jaunes en toile de fond, Charlotte est revenue l’été dernier dans une France déconfinée et qui reprenait lentement goût à la liberté. Moment suspendu où sa petite entreprise de cours de cuisine, en sommeil pendant ce temps, a pu reprendre du service dans cette France qu’elle avait l’impression d’avoir quittée la veille.

Listen to “Episode 62: Charlotte Leclerc” on Spreaker.

La marque de beauté bio Z&MA se lance aux États-Unis chez The Detox Market

Alors que de plus en plus de sites commercialisent des produits cosmétiques naturels français aux États-Unis, une nouvelle marque française écoresponsable fait son entrée outre-Atlantique : Z&MA. Cette marque française de produits de beauté bio vient d’être sélectionnée dans la « French capsule » du site de produits beauté naturels The Detox Market, elle-même fondée par le français Romain Gaillard à Los Angeles. Z&MA propose six produits, dont une crème hydratante, un déodorant, un sérum ou encore une huile du soir, à des prix abordables : aucun n’est à plus de 50 dollars. Elle sera en vente dans les six boutiques The Detox Market (dont une sur Houston Street à New York) d’ici trois à quatre semaines. « C’est une superbe crédibilité pour notre lancement, on est ravies de s’associer avec The Detox Market, qui a été un des précurseurs de la cosmétique bio aux États-Unis », se réjouit Virginie Chabran, cofondatrice de Z&MA.

Z&MA a été lancée en France en 2017 par deux françaises amies de longue date, Delphine Garbois et Virginie Chabran. Toutes deux mamans de trois enfants, elles ont d’abord constaté le déficit d’offre de produits naturels pour les problèmes d’acné de leurs adolescents, puis ont élargi leur gamme vers un univers multigénérationnel. « Nous voulons dépoussiérer le bio, nous mettons l’accent sur le plaisir, c’est-à-dire proposer des produits agréables, efficaces mais aussi respectueux de la peau et de la planète », explique Virginie Chabran.

Après une formation de dermo-cosmétique naturel, les fondatrices ont effectué un long travail de due diligence pour trouver un laboratoire qui réponde à leurs exigences. Elles ont trouvé la perle rare dans le Sud-Ouest, une maison qui travaille dans la certification bio depuis 45 ans. Z&MA utilise des ingrédients naturels en conformité avec le label Cosmos, n’utilise pas de packaging secondaire (les boîtes des produits), si bien qu’elle a choisi d’indiquer les formulations directement sur les produits. Pour les États-Unis, les attentes étaient encore différentes de la France : « Les Américains sont sans doute un peu moins attachés à la labellisation bio, mais recherchent davantage des produits naturels aux garanties vegan et gluten-free ».

Z&MA a commencé avec cinq produits de base : une eau miscellaire, une crème de jour hydratante, une BB Crème, un rouge à lèvres et un sérum anti-imperfections, et en commercialise aujourd’hui treize. « Nous étoffons notre gamme de manière régulière avec de nouveaux produits, tout en restant sur les essentiels de la salle de bains, en accord avec notre credo ‘less is more’ ».

Si les produits Z&MA s’adressent en priorité à la Generation Z, soit les 20-35 ans, elle se définit aussi comme accessible à tous `les genres et âges. Après le succès de ses premiers rouges à lèvres, elle s’apprête à lancer de nouvelles teintes, mais aussi un baume à lèvres et un spray purifiant. Enfin, elle travaille sur de nouveaux produits de maquillage, et en particulier sur un mascara, qui est un vrai défi en matière d’écoresponsabilité en raison de ses composants.

La « French Capsule » du site The Detox Market : https://www.thedetoxmarket.com/pages/the-french-capsule

The French Virologist, Océane Sorel, en guerre contre la désinformation sur les virus

Océane Sorel pensait que son métier de virologue était “barbant”, que “tout le monde en avait marre d’entendre parler de la Covid-19”. Mais c’était avant de voir l’intérêt reçu lors d’une conférence en ligne de l’association ADFE-Français du Monde sur le sujet à laquelle elle a participé en janvier. C’est pourquoi, il y a près d’un mois, elle a décidé de créer le compte Instagram The French Virologist sur lequel elle combat la désinformation et la propagation de rumeurs sur les virus et les vaccins, tout en vulgarisant la science. “Le but est d’éduquer sans prétention, montrer la solution plutôt que le problème”, résume-t-elle.

Un compte lancé en français, car “il y a beaucoup de “fake news” qui circulent en France, et déjà des personnes qui font ce travail de démenti en anglais”, justifie la trentenaire installée à San Diego. “J’en avais marre de lire ça, je voulais apporter des éléments de réponse à partir de sources sérieuses et vérifiées”, précise la Bretonne citant des sources institutionnelles comme le CDC, la FDA ou encore la Haute autorité de la santé. Qui plus est, elle a été poussée par ses proches et ses “followers” qui la questionnaient.

Si elle a décidé de “prendre le problème à la racine” maintenant, c’est aussi parce que “la situation a empiré avec l’apparition des vaccins”. “Il a fallu convaincre qu’ils ne sont pas une arme chimique, mais une solution.” Elle intervient alors au travers de posts quasi-quotidien et de stories sur le réseau social pour enlever cette peur de l’inconnu.

Et ainsi, vulgariser la science. “Je me suis rendu compte que les scientifiques ont du mal à communiquer avec le grand public et ils manquent de temps. Or il ne faut pas laisser les autres parler de ce que l’on fait à notre place. Dans les médias, certaines informations sont documentées, mais beaucoup sont bâclées”, abonde la virologue qui évolue depuis fin 2019 dans une entreprise de biotechnologie près de San Diego, après avoir réalisé deux “postdocs” à Los Angeles (à USC et UCI).

Et qui de mieux qu’elle ? Effectuant des recherches sur les thérapies géniques et le développement des vecteurs viraux, elle a longtemps travaillé sur les herpès, mais aussi le virus de la varicelle ou Ebola. “Ce qui m’intéresse chez les virus, c’est de suivre leur évolution, de voir comment ils s’adaptent à leurs hôtes.”

Tous les virus décortiqués

Chaque post est inspiré par les dizaines de questions qu’elle reçoit quotidiennement, que ce soit sur la Covid-19 ou d’autres virus comme Ebola, le HPV ou le HIV. Pour rendre ces concepts scientifiques intelligibles, elle réalise des vidéos à partir de dessins qu’elle anime. Une activité, réalisée sur son temps personnel, qui lui prend plusieurs heures par jour. Car chaque post nécessite un long temps de recherches en bibliothèque.

Au travers de ses réponses, la virologue essaie également de pallier au manque de communication de la part des autorités, comme pour le vaccin AstraZeneca suspendu par plusieurs pays, une décision qu’elle juge “politique”. “J’ai d’ailleurs fait un post sur les vaccins anti-Covid. La conclusion : prenez le premier disponible pour votre catégorie”, insiste Océane Sorel qui refuse de juger ; précisant : “je ne fais pas de recherches professionnelles sur les vaccins, il n’y a donc pas de conflit d’intérêt.” Son objectif est de donner confiance en la parole scientifique, en évitant de tomber dans le sensationnel ou le drame.

Je ne donne pas de conseils médicaux. La science, ce n’est pas une opinion, une religion ou une nuance politique, ce sont des faits vérifiés.”

Elle rappelle notamment que, contrairement aux rumeurs, “la mortalité du Covid-19 est dix fois supérieure à celle de la grippe. Il faut arrêter de regarder les chiffres déformés, l’espérance de vie a diminué.” Parmi les théories du complot qui reviennent le plus à ses oreilles, elle cite les idées selon lesquelles les vaccins modifieraient l’ADN, celle selon laquelle ils incorporeraient des puces 5G, le fait qu’ils causeraient l’infertilité des femmes ou de l’autisme… Pour démentir ces “fake news”, elle revient alors aux bases : “comment fonctionne un ARN (molécule issue de la transcription d’un gène et qui permet la synthèse d’une protéine) et un ADN.” Et chaque personne convaincue, qui reprend confiance en la science, est vécue “comme une victoire”. “Je veux donner un peu d’espoir, même s’il est mesuré.”

Tout en admettant que sa contribution reste “juste une goutte d’eau au milieu de l’océan”, elle préfère s’investir plutôt que rester à soupirer. Et elle ne compte pas s’arrêter avec la fin de l’épidémie. Tous les virus passeront sous le microscope de The French Virologist.

Quelques posts d’Océane Sorel:

Emmanuel Macron partage ses “ambitions” pour les Français de l’étranger

À l’approche élections consulaires, Emmanuel Macron affiche ses “ambitions” pour les Français de l’étranger. “Les mois à venir resteront marqués par la crise sanitaire. Mais celle-ci ne doit pas nous empêcher d’agir. Pour la France. Pour vous“, le chef de l’État a-t-il écrit dans une lettre mise en ligne sur le site de l’Élysée, vendredi 9 avril.

Il a défini trois chantiers pour 2021: “améliorer” le service rendu par le réseau consulaire grâce au lancement d’une plateforme appelée “France Consulaire”, accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7; poursuivre l’extension du “trésor national” qu’est le réseau des établissements français de l’étranger et le développement de solutions alternatives, comme les programmes bilingues ou FLAM (Français langue maternelle) ; encourager les Français hors de France à participer aux élections consulaires qui se dérouleront fin mai à travers le monde. Ces élections permettront de choisir des élus de proximité (“conseillers des Français de l’étranger”) dans chaque circonscription consulaire qui serviront aussi de grands électeurs pour sélectionner les sénateurs des Français de l’étranger.

Le coup de pouce présidentiel n’est pas de trop. Lors du premier scrutin en 2014, le taux de participation s’était élevé à 16%. “Aucun pays au monde n’offre à ses ressortissants une représentation politique aussi complète : à l’Assemblée nationale, au Sénat, à l’Assemblée des Français de l’étranger et dans les conseils consulaires“, a rappelé le président.

Un mois après que le Conseil d’État a suspendu la décision gouvernementale controversée de fermer les frontières françaises aux Français hors Union européenne, il a profité de sa missive pour rappeler l’aide apportée par l’État français pendant la pandémie, évoquant tour à tour le rapatriement de “370 000” ressortissants, le plan de soutien exceptionnel de 220 millions d’euros, les aides médicales et sociales apportées aux Français de l’étranger, ainsi que la suspension du délai de carence pour bénéficier de la sécurité sociale française pour ceux qui sont rentrés.

Il a précisé que les Français qui rentrent en France pourront être vaccinés “dans le respect des priorités que nous nous sommes fixées”. “Je sais, un an après le début de cette pandémie, la lassitude, la fatigue, les angoisses. Mais les vaccins sont aujourd’hui notre meilleur espoir pour sortir de la crise“, a-t-il poursuivi, appelant à “(tenir) bon ensemble” et ré-affirmant son “soutien” et son “engagement pour vous aider à traverser cette période tourmentée“.

Impôt sur le revenu américain : ce qui change en 2021

Sauf pour ceux dont c’est l’anniversaire, le 15 avril est rarement votre jour préféré si vous êtes résident fiscal américain. En particulier si votre vie est entre plusieurs pays, le casse-tête est souvent au rendez-vous. La date fatidique de déclaration arrivant à grand pas, French Morning vous a préparé un guide de la fiscalité américaine, téléchargeable gratuitement ici, qui vous donne de nombreuses clés pour vous acquitter de cette tâche sereinement. Que doit-on déclarer de chaque côté de l’Atlantique? Comment le faire? Et que risque-t-on en cas d’oubli?

Nous répondons à ces questions avec des experts et praticiens de la question, experts-comptables, avocats et fiscalistes habitués de ces dilemmes. Bien d’autres informations vous sont délivrées dans notre guide et notamment les réponses à cette question brûlante. Pour un avant-goût, voici un résumé de ce qui change pour votre déclaration 2021 (revenus de 2020):

Les aides liées à la Covid-19

L’IRS et le département du Trésor ont joué le rôle de pompier en 2020 en soutenant financièrement de nombreuses personnes au moyen de « stimulus payments » qui correspondent à des crédits d’impôt, calculés sur la base du revenu brut ajusté (Adjusted Gross Income ou AGI) 2018 et 2019. Si vous n’avez pas reçu le stimulus tout en y ayant droit, vous pourrez demander un crédit d’impôt.

300$ de déductions pour dons

La générosité est particulièrement récompensée en 2020. L’administration fiscale a annoncé que les personnes qui pratiquent la déduction standard pourront néanmoins déduire 300$ en plus au titre des dons qu’ils auront effectués au bénéfice d’associations caritatives. « On peut aussi déplafonner les déductions », précise Frédéric Blanchard, IRS enrolled agent et associé-fondateur de Orcom-KVB.

Souplesse sur les plans-retraite

Adoptés en décembre 2019 et en mars 2020, le CARES Act et le SECURE Act ont assoupli les règles relatives aux dépôts et retraits sur les IRA et 401(k). Certains assouplissements ne s’appliquent que pour l’année 2020 tandis que d’autres perdureront au-delà.

Pour les entrepreneurs individuels

Le gouvernement américain a mis en place – comme un peu partout dans le monde – des mécanismes de prêts pour aider les entrepreneurs à traverser cette période compliquée. Ces prêts ont vocation à être transformés en dons (« forgiven ») sous certaines conditions. Ils ne seront pas taxables et les charges correspondantes (les dépenses éligibles effectuées grâce à ces PPP) seront déductibles.

Pour en savoir plus sur sur les nouveautés 2021 et plus généralement pour toutes vos questions relatives à la fiscalité américaine et à vos démarches auprès des administrations fiscales aux Etats-Unis et en France, remplissez le formulaire ci-dessous pour recevoir notre guide par email gratuitement :

Consulaires 2021: inscrivez-vous avant le 23 avril pour voter

L’adage est bien connu. En avril, … inscris-toi sur la liste électorale consulaire. La démarche, possible jusqu’au 23 avril, est nécessaire pour pouvoir voter aux élections consulaires du mois de mai.

Ce scrutin mondial, qui permettra d’élire des “conseillers des Français de l’étranger”, représentants de proximité des Français dans chaque circonscription consulaire participant aussi à l’élection des sénateurs des Français de l’étranger, aura lieu du 21 au 26 mai par internet et le 29 mai à l’urne. Il est également possible d’établir une procuration.

Pour s’inscrire, il suffit de se rendre sur le portail service-public.fr et de renseigner les champs demandés. Il faudra vous munir notamment d’un justificatif de domicile pour prouver votre résidence dans la circonscription. Pour voter par internet, n’oubliez pas d’inclure votre propre adresse e-mail et numéro de téléphone au moment de remplir le document de manière à recevoir vos identifiants.

Même si vous êtes inscrit au consulat, il est conseillé de vérifier les informations que vous avez fournies pour les actualiser ou confirmer que votre inscription est toujours valide. Pour toute question sur le scrutin, s’adresser à votre consulat.