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“Un accueil auquel on ne s’attendait pas”: Angelina arrive aux États-Unis

C’est “Black Friday”. Au coin de la 40ème rue et de la 6th Avenue à Manhattan, une longue file d’attente s’est formée sur le trottoir. Au milieu des passants, entre un camion de ciment et une zone de chantier où s’affairent quelques ouvriers, Mickaël Cova s’occupe de faire rentrer les clients au compte-goutte dans le tout nouveau Angelina de New York, ouvert le 17 novembre. “C’est fou. Les New-Yorkais nous ont réservé un accueil auquel on ne s’attendait pas du fait de la conjoncture actuelle. Ils sont même prêts à faire la queue un long moment pour pouvoir vivre l’expérience Angelina“, s’exclame le Français.

Ce dernier fait partie du trio derrière ce lancement très attendu. Ancien expert-comptable, il s’est allié avec deux de ses cousins – dont le financier Julien Zerbib – pour ouvrir le fameux salon de thé à New York, première implantation de la marque aux États-Unis après l’Asie et le Moyen-Orient. Basés en France en attendant de s’installer de manière permanente aux États-Unis, ils travaillent sur place avec Anthony Battaglia, un ancien du restaurant français Le Coq Rico qui a également participé à l’ouverture des boulangeries Maison Kayser aux États-Unis. Il est le directeur des opérations de cette “master franchise”, formule où la maison-mère (le groupe Bertrand, propriétaire de plusieurs hôtels, restaurants réputés, comme la Brasserie Lipp et Le Procope, et de fast foods) et les franchisés se partagent les royalties sur des marchés stratégiques.

Avec mes associés, nous nous sommes aperçus qu’il y avait une demande aux États-Unis pour la food française de haute-qualité. Nous avons saisi l’opportunité, confie Mickaël Cova. Il y a une forte demande à New York en particulier, avec sa large communauté française et ses touristes, pour ce genre de concept. Angelina est typiquement le service qui peut plaire aux New-Yorkais”.

Le projet d’ouverture est dans les cartons depuis plus de deux ans. “Pendant tout l’été 2018, on a écumé les rues de New York à la recherche d’un espace“, se souvient-il. En début d’année, les associés ont jeté leur dévolu sur un petit espace situé au rez-de-chaussée d’un bâtiment résidentiel de luxe de 72 unités à côté de Bryant Park. Malheureusement pour les admirateurs d’Angelina, la Covid a rebattu les cartes. L’ouverture, initialement prévue pour le printemps, a dû être reportée à cause des retards pris dans la réalisation des travaux et l’obtention des permis. “La question d’arrêter ne s’est pas posée plus que ça car nous avons une clientèle loyale qui attendait l’ouverture et nous sommes conscients du potentiel de la marque à New York et dans le reste du pays“, explique Mickaël Cova.

À la différence de ses concurrents, Angelina peut compter sur une clientèle internationale déjà très fidèle, séduite par l’univers raffiné de la marque fondée en 1903 et fréquentée par Coco Chanel et d’autres célébrités. Sans oublier ses produits iconiques, dont son fameux chocolat chaud onctueux qui fait sa réputation dans le monde entier. Contrairement à Maison Kayser, qui a parié sur des ouvertures en série et une croissance rapide (avant de fermer boutique sur fond de pandémie), “nous ne voulons pas avoir des enseignes à tous les coins de rue, souligne Anthony Battaglia, qui a passé un an chez Maison Kayser USA en 2015. Si on peut avoir trois ou quatre adresses à New York, ça sera notre maximum“.

Des ouvertures sont envisagées dans d’autres villes (Miami, Washington, Dallas, Los Angeles, Las Vegas…), mais “on veut déjà voir comment la marque sera perçue avant de penser au développement en dehors de New York, ajoute Mickaël Cova. L’établissement de New York offre un large éventail de pâtisseries à emporter – dont son classique dessert Mont-Blanc – et un salon de soixante places avec un menu complet de plats américains et français, le tout dans un décor chic et lumineux doté de lustres aux allures de pièces montées, de miroirs et de peintures de paysages. Toutes les pâtisseries sont faites sur place, à l’exception des macarons, par la cheffe-pâtissière Noémie Tessier, venue de France. Angelina vend aussi des produits dérivés (thés, chocolats chauds…) sur place et en ligne. Elle a déjà reçu des commandes de Californie, du Texas et du Midwest, preuve de son rayonnement en dehors de la Grosse Pomme, selon son équipe dirigeante aux États-Unis.

Mickaël Cova et Anthony Battaglia restent discrets sur l’investissement réalisé pour ouvrir cette première adresse. (Selon le profil de l’un des associés, quelque quatre millions d’euros ont été investis dans l’opération par le groupe immobilier IDEC). Ils sont plus bavards sur d’autres chiffres: “Quand on a ouvert, on a dû réorganiser notre outil de travail pour faire face à la demande. Nous étions à 150-200 pâtisseries par jour. On en sort 1 000 maintenant“, précise Anthony Battaglia. Une bonne performance compte-tenu du fait que la Covid a vidé le quartier de Midtown, où Angelina a élu domicile, de ses touristes internationaux et d’une partie de ses résidents et bureaux. “Nos clients se réjouissent qu’on soit venu à eux car ils ne peuvent pas voyager à cause de la Covid-19, ajoute Mickaël Cova. Dans le passé, ils sont allés dans notre établissement historique de la Rue de Rivoli ou ailleurs dans le monde. Angelina a un fort potentiel de développement“.

Covid-19 & fermeture des écoles publiques : la grogne des parents s’organise dans la baie de SF

Alors que les prises de position en faveur d’une réouverture des écoles publiques encore fermées se multiplient dans la presse américaine, des parents français de la Baie de San Francisco se mobilisent pour attirer l’attention sur le sujet. Le samedi 5 décembre à 10 heures, des parents du BUSD – Berkeley Unified School District – organisent une marche et une manifestation pacifique pour se faire entendre. Avec masques et distanciation.

Virginie Goubier, mère de deux enfants scolarisés en classes de K et de 2d, fait partie des parents à l’initiative du mouvement. « On cherche à attirer l’attention de l’opinion et faire évoluer la situation. Nos enfants n’ont pas été en classe depuis le mois de mars… Ça doit être une priorité » assure-t-elle. Un point de vue partagé par d’autres parents comme Christine Polycarpe, mère d’un fils inscrit au lycée, en 10ème , et d’une fille au collège, en 7ème. « On veut secouer les puces des décisionnaires et dire aux professeurs : on comprend vos craintes de retourner enseigner en personne, mais on ne peut pas laisser tomber toute une génération par peur… ».

Céline Perier, mère de 3 garçons de 15, 13 et 8 ans, précise : « le remède est pire que le mal… ». Cette scientifique de l’université de Berkeley confie même se sentir abandonnée et espérer pouvoir ouvrir le dialogue avec la manifestation de samedi. « Mes enfants ont besoin d’aller à l’école. Moralement, c’est difficile. Surtout pour mon grand qui passe son temps sur écran à un âge où les relations sont très importantes. Mon petit lui, décroche un peu. Ce n’est pas le retard qui me fait peur, mais qu’il ne voit plus le sens, qu’il perde l’envie d’apprendre, le but… » explique-t-elle.

Défendre la santé mentale des plus jeunes

Jeanne Noble, médecin aux urgences au sein du groupe UCSF soutient la démarche de ces parents et souligne la détresse que les enfants éprouvent actuellement. « L’isolement mois après mois pour ces jeunes est un vrai problème. Nous voyons une augmentation des taux de dépression, d’anxiété et des troubles alimentaires. Les pensées suicidaires et comportements autodestructeurs ont augmenté de 160% depuis mars. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg… ». Son intervention filmée se trouve en ligne sur le site des parents de Berkeley.

Face à un tel constat, Virginie Goubier, journaliste, décide donc de faire bouger les choses. « Quand on voit qu’en France tout ferme sauf les écoles et que cette stratégie est adoptée par plusieurs pays européens, on se demande ce qu’il se passe ici ! Je râlais toute seule alors j’ai décidé de mettre ma rage dans quelque chose de constructif » raconte-elle. Après une lettre envoyée aux parents de son école, elle récolte de nombreuses réponses d’autres parents tentant d’avancer dans leur coin. Ils se rallient et lancent leur collectif. La pétition qu’ils font ensuite circuler a déjà rassemblé presque 400 signatures.

Soutenir une école égalitaire

« Je fais tout ça pour mes enfants, car je crois profondément à l’école publique. Là, ils sont en train de saccager ses valeurs. Ça se passe bien à la maison, mais je me bats pour une école plus juste ! » affirme Virginie Goubier. Car à l’heure de l’école à domicile, les inégalités entre les différents groupes socio-économiques ne cessent de se creuser. « J’ai un tuteur pour nous aider et j’ai presque honte par rapport à ceux qui ne peuvent pas se le permettre… Je crois au service public et la fermeture des écoles provoque une augmentation des inégalités dans une société déjà individualiste… » précise Céline Perier. Et Christine Polycarpe d’ajouter : “la Californie clame des valeurs de justice et d’inclusion. C’est triste qu’elle participe au décalage des richesses…“.

Les dates de rentrée officielles annoncées par les écoles publiques encore fermées varient à travers la Baie. Nombre d’entre elles visent le mois de janvier, mais l’augmentation des cas, l’arrivée du froid, des fêtes et les nouvelles mesures de restriction risquent d’empêcher ce plan. « On a tout simplement loupé le bon créneau pour ouvrir en octobre. Parce que les écoles n’étaient pas prêtes et les enseignants réticents… Maintenant, il faut que tout le monde se mette d’accord de manière transparente – le district, les syndicats et les parents – afin d’accueillir les enfants dès que l’État l’autorisera… » explique Virginie Goubier.

Plusieurs autres mouvements s’organisent dans les environs et partagent le même objectif. À l’instar de celui de San Francisco (« Decreasing the distance ») ou d’Oakland (OUSD Parents). Tous souhaitent obtenir un plan de réouverture clair et précis. “On voudrait aussi que l’État de Californie priorise l’éducation en personne avant la réouverture des bars ou des salles de sports…”  conclut Virginie Goubier. Un message récurrent qui sera affiché lors de la manifestation du samedi 05 décembre.

 

Des cadeaux de Noël pour soutenir les entrepreneurs français de Miami

La chasse aux cadeaux de Noël est lancée. French Morning vous aide en vous suggérant quelques idées originales afin de choyer vos proches tout en soutenant l’économie locale en cette période difficile.

Intérieur cosy

Coussins, lampes de table, assiettes et serviettes, l’artiste peintre Bénédicte Blanc-Fontenille propose une multitude d’accessoires inspirés de ses peintures, qui conviendront à tous les goûts. Pour peaufiner une décoration intérieure, vous pouvez également jeter un oeil aux créations originales en macramé confectionnées par la Française Zoé Bancel, qui a récemment lancé sa marque The Frenchie Knot, ou encore offrir un nain de jardin d’Ottmar Hörl ou une réplique miniature de la Vénus de Milo vendus à un tarif abordable par Musart, une boutique en ligne d’objets et de produits dérivés de différentes oeuvres d’art, créée par le Français Vincent Grégoire.

Habillé pour « l’hiver »

De la robe au tee-shirt en passant par la combinaison, la Parisienne Élise Granjot, aujourd’hui installée à Miami Beach, confectionne des créations à la fois élégantes et confortables estampillées Zélivia + Co. À la tête de la marque NATH&LA, la Française Nathella Coletta, qui a également emménagé à Miami Beach, propose de nombreuses pochettes et sacs aux couleurs de la ville. Marie-Laure Desnoulez, quant à elle, engagée dans une démarche écologique et responsable, a créé Bichōn, sa marque de tee-shirts et casquettes qui arborent une broderie revisitant certains clichés de Miami.

Accessoires chics

Les adeptes de bijoux apprécieront les montres et bracelets en bois tropicaux de la marque Enbois créée par le Franco-haïtien Maxim Thurière. De son côté, la marque SanaVibe, récemment lancée par deux Françaises installées à Miami, propose une collection de bracelets réalisés à la main avec des pierres qui apaisent et stimulent nos émotions comme  l’oeil de tigre qui éloigne notamment les énergies négatives.

Littérature francophone

Ceux qui aiment la lecture apprécieront « Un Amour de Football », le dernier ouvrage de l’écrivain Michel Tessier dans lequel un pari est lancé entre une équipe de football amateur des beaux quartiers de Paris et une équipe de Marseille. Les fans de littérature francophone dévoreront également « Irma et les autres », second roman de l’auteure Anna Alexis Michel et finaliste Prix Plume du Jury 2020, ou encore « Sweet Soul Life of A Pastry Chef », un livre autobiographique signé par le chef pâtissier Georges Berger, Meilleur ouvrier de France.

Ces deux derniers auteurs pourront vous dédicacer un exemplaire de leur livre lors du marché de Noël organisé ce samedi 5 décembre de 10am à 5pm dans les jardins de la résidence consulaire où vous trouverez par ailleurs sur les nombreuses étals d’autres idées de cadeaux originaux.

Des cadeaux de Noël “made by French” à Los Angeles

Noël arrive à grands pas… Pour la première fois, nombre de Français expatriés vont le fêter à Los Angeles. Tout en faisant plaisir à vos proches, vous pouvez soutenir les petits commerces et l’artisanat français. French Morning vous en présente quelques-uns (liste non-exhaustive).

Des chaussures pour tous les pieds

Des chaussures Golden Age. /Photo DR

Pour les chaussures, l’offre est diverse. Golden Age, qui possède deux boutiques à Los Angeles (à Hollywood et Silverlake), propose des vêtements vintage (comme des bleus de travail et des salopettes venus d’Europe), ainsi que des chaussures à talons conçues au Brésil. Elles sont imaginées par Ludovic, un ancien ingénieur pour sneakers chez Decathlon, qui rend hommage à des films de l’âge d’or hollywoodien et à des actrices mythiques. On y trouve des sandales à haut talon (dont les “Mina” qui rappellent un costume de Dracula) comme des Santiags (au moins 200 dollars par paire). Autre style : les chaussures imaginées par Alexandre Benaim, le fondateur de MOBS, qui s’est inspiré des sandales en Tanzanie “simple, élégante et fonctionnelle” (de 155 à 245 dollars). Enfin, les chaussures tout-terrain éco-responsables et vegan de Guillaume Linossier : Saola (comptez 100 dollars pour femmes et hommes). Le plus : le tissu est réalisé à partir de matériaux recyclés quand les semelles sont synthétiques ou à base d’algues.

Des oeuvres d’art pour tous les goûts
Les amateurs d’art ne seront pas en reste… De nombreuses artistes françaises, installées à Los Angeles, rivalisent d’ingéniosité : vous pourrez opter pour les affiches aux allures enfantines d’Anais Godard (à partir de 27 dollars) ou les photos uniques et surréalistes de Reine Paradis (prix sur demande).

Un livre pour tous les âges
Et pourquoi pas un peu de lecture ? L’artiste Loan Chabanol a imaginé tout un univers dans Bleuboo, l’histoire d’un monstre bleu qui rencontre la dernière chenille de la forêt. Pour les plus grands, amateurs de découvertes, pensez au guide insolite d’Emilien Crespo : “The Soul of Los Angeles”, dans lequel il offre une version condensée ce qu’il faut vivre dans la cité des anges.

Emilien Crespo tient le fruit de 10 ans de recherches entre ses mains. /Photo S.C.

Du CBD pour tous les besoins (et envies)
Quitte à être en Californie, autant profiter de ses possibilités, dont le CBD. Cette substance active extraite du plant de chanvre, voisine du THC, est particulièrement prisée pour ses effets relaxants et antalgiques, sans vous rendre “stone”. La boutique Full Spectrum Organix à West Hollywood propose toute une gamme de produits : des gouttes personnalisées, des cosmétiques (baume à lèvre, boule effervescente pour le bain, huile de massage, …) ainsi que des “edibles” (nourriture) faits maison par Anna et le Français Alexandre Benichou.

Des accessoires pour toutes les bourses
Installée à Sierra Madre, Anne-Laure Battarel (ancienne sage-femme libérale) s’est reconvertie dans la couture avec De Paris à L.A . Une marque “qui raconte un peu de notre aventure familiale”. Formée au New York Institute of Art and Design, elle conçoit et réalise à la main une gamme diverse de produits textiles dans son atelier à domicile : des accessoires (pochettes à bijoux, trousses à maquillage, pochettes de sac, porte-clés), des sacs, des articles pour enfants (gigoteuses, hochets, bavoirs, couvertures), ainsi que de la décoration de chambre d’enfants. Tous les produits peuvent être personnalisés et sont réalisés avec des tissus importés de France. Elle a aussi développé une ligne d’accessoires de beauté “eco-friendly” à usages multiples (lingettes démaquillantes, gants exfoliants), certains utilisant du bambou biologique. Prix allant de 13 à 60 dollars.

Des meubles pour les plus petits

Les jouets en plastique, c’est démodé. Place aux créations de Louis Garcia, installé à Huntington Beach, qui conçoit des meubles pour enfants d’inspiration Montessori. On y trouve des chaises en bois, des bascules, des crochets muraux ou des dominos en bois. En plus d’être esthétiques, ils seront adéquats pour les tout petits.

Des savons pour tous les corps
Et si Noël avait une saveur de Provence ? C’est possible grâce à la boutique Au Savon de Provence à Temecula (au sud de Los Angeles), tenue par un Béarnais. Vous y trouverez du savon de Marseille traditionnel ou aux senteurs du pays, ainsi que des éponges de mer, des gels douches au miel, des flocons de rose ou des boules effervescentes pour le bain. De quoi confectionner un coffret parfait (commande possible).

De la joaillerie pour toutes les femmes
Les bijoux de Karine Tellier, originaire de Québec, sont créés à Costa Mesa. Grâce à la technique à la cire perdue, elle reprend des formes inspirées de la nature et de l’architecture, travaille l’or et l’argent pour donner du relief à ses manchettes et boucles d’oreilles. Bref, des pièces uniques et féminines qui se portent au quotidien. Coup de cœur pour les “Reflect Long post earrings”. Pour les offrir, il faudra débourser entre 39 et 119 dollars.

Des lunettes pour toutes les têtes
Il n’y a pas de saison pour porter des lunettes de soleil (et plus particulièrement quand on vit en Californie). Depuis une dizaine d’années, le Français Michel Atlan utilise des montures vintage authentiques des années 70, qu’il remet au goût du jour. Un “must” que vous trouverez dans plusieurs points de vente.

Une platine vinyle révolutionnaire pour tous les mélomanes
Pour les amateurs de musique et de technologies, ne cherchez plus… Imaginée à Los Angeles par Charles-Henri Pinhas et dessinée par le designer suisse Yves Béhar, Love Turn Table est une platine vinyle intelligente et connectée. Pour ce petit bijou, une véritable innovation en matière de musique, il faudra débourser 329 dollars.

[Webinaire] Opportunités d’investissement avant la fin d’année : parlons du “non-coté”

Vous vous demandez quelles sont les solutions d’investissement à privilégier pour cette fin d’année ? L’univers feutré du “non-coté”, peu mis en avant par les banques, attire de plus en plus les investisseurs Français expatriés.

Investir dans le non coté, c’est :
? investir dans des portefeuilles diversifiés (d’obligations non cotées, d’opérations de promotion immobilière et de marchand de bien, …)
? avoir un potentiel de performance supérieur aux classes d’actifs traditionnelles (actions, obligations, immobilier)
? avoir la possibilité de réaliser de bons rendements mais accepter un certain niveau de risque sur un horizon cible
? rechercher des placements qui ont du sens en participant au développement de petites et moyennes entreprises

Lors de ce webinaire, 5 experts des groupes EQUANCE et 123IM vous ont donné de nombreux conseils et ont répondu à vos questions en direct.

Visionnez le replay ici

Pour aller plus loin :

? Contacter le Siège du Groupe Equance à [email protected] ou directement Florent HOUSSAIS, Directeur du développement et spécialiste des US Persons à [email protected]

Téléchargez le support de présentation ici.

Moi Impat : Choc culturel pour famille (très )nombreuse

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Surprise, bonheur, parfois désillusion, sont des sentiments que connaissent bien tous ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi Impat”, French Morning tend son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.

Ce 53ème numéro vous propose de suivre Agnès Gouesse dans les tribulations de son retour en France. Rencontrer Agnès c’est parler famille nombreuse. 6 filles au compteur et les problèmes inhérents à un retour inattendu : pas d’école parce que pas d’adresse, pas d’adresse parce que pas de logement. Le tout raconté avec force et optimisme.

Listen to “Episode 53: Agnès Gouesse” on Spreaker.

[Webinaire] Working from anywhere : les enjeux pour l’employeur et l’employé

Le télétravail s’est démocratisé depuis le début de la crise sanitaire : aujourd’hui de nombreux employés, parfois appelés “nomades numériques” ou “digital nomads”, peuvent travailler de n’importe où dans le monde.

Mais quels sont les risques à prendre en compte, aussi bien du côté de l’employeur que de l’employé ? Couverture sociale et médicale, immigration, impôts et taxes, etc…

Durant ce webinaire, 4 experts de KPMG vous éclairent sur le sujet au travers de deux cas concrets. Retrouvez-le en intégralité ci-dessus ou sur notre page YouTube.

CONTACTER LES EXPERT·ES

Valérie Boissou
KPMG partner-in-charge of US-French corridor – NYC
Contact : [email protected]

Sofiane Jaidi
KPMG senior manager – Global Mobility Services – NYC
Contact : [email protected]

Christina Cure
KPMG senior manager – Global Mobility Services – NYC
Contact : [email protected]

Stephanie Chartier
KPMG Avocats Director – Global Mobility Services – Paris
Contact : [email protected]

Comment investir dans l’immobilier aux États-Unis ?

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[Article partenaire] Vous faites partie de ces personnes qui trouvent qu’il est plus avantageux de faire travailler son argent en l’investissant plutôt que de le placer dans une banque ? Vous avez constaté que le marché immobilier en France croit à une vitesse grand V et qu’il est difficile de faire de bonnes affaires ?

Ainsi, vous vous dites : pourquoi ne pas investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis ? Et vous avez totalement raison. Les USA sont un eldorado pour l’immobilier. Il est encore facile de faire l’acquisition de très bonne affaires avec des rentabilités à 2 chiffres. Des études ont montré que le taux de rendement net en France tournait autour de 4%, alors qu’il est de 10% aux États-Unis !

Plusieurs options s’offrent à vous :

  1. Se débrouiller par soi-même : si c’est votre choix, vous risquez de changer d’avis après avoir lu cet article
  2. Faire appel à une agence basée en France : attention à la facturation qui risque d’être élevée, et au manque de liberté
  3. Faire appel à une agence basée aux États-Unis non francophone : veillez à vous assurer que vous avez bien compris tous les termes de l’accord pour éviter d’être déçu·e
  4. Faire appel à une agence basée aux États-Unis et francophone : c’est le meilleur choix pour un investissement serein qui minimise les risques.

La question du financement

La première question à laquelle nous devons répondre est celle du financement. En effet, si vous n’avez pas les capitaux disponibles il peut être très compliqué d’investir dans l’immobilier aux États-Unis. Les banques françaises seront frileuses de vous suivre par peur de l’inconnu. Les banques américaines prêtent très difficilement aux non-résidents permanents, ou elles demandent un apport de plus de 30%.

Cependant, rassurez-vous : tout n’est pas perdu si vous n’avez pas les capitaux. Nous vous invitons à en parler avec nous en réservant une consultation gratuite.

La question de la fiscalité

Il faut savoir qu’aux États-Unis vous avez un impôt :

– Fédéral : ce sont les impôts du pays, l’équivalent de l’impôt sur le revenu en France
– Par « state » ou état : ce sont les impôts que vous payez en fonction de l’état où se trouve votre bien. Il est différent en fonction de l’état.

La convention de non double imposition France/USA signée en 1978 vous permettra de payer vos impôts une seule fois. Cependant vous aurez à déclarer vos revenus aussi aux États-Unis.

Investir dans l’immobilier locatif : à l’année ou dans le saisonnier ?

Ce sont deux types d’investissements différents avec des biens cibles différents. Dans les deux cas vous devez faire appel à une agence de gestion locative pour gérer les locataires et les entrées/sorties. INVEST US vous propose un service clé en main qui comprend la gestion de votre bien.

En fonction du type d’investissement choisi, vous ne ciblerez pas les mêmes villes. En effet, nous vous conseillons d’investir par exemple à Cleveland pour un investissement locatif à l’année. Cleveland est une ville dite « familiale » attractive car elle offre :

– Des emplois stables
– Des activités de tous genres
– De bonnes universités
– L’immobilier y est abordable (prix d’entrée 55,000€) avec des rentabilités à 2 chiffres + 16%

Il est bon de savoir qu’aux USA il existe certains cas où les loyers peuvent être pris en charge par l’État fédéral américain, vous évitant ainsi des impayés au niveau de vos loyers. Nous appelons ces biens des “sections 8”. Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à réserver une consultation gratuite avec nous.

Si vous choisissez un investissement locatif saisonnier, nous vous conseillons des villes touristiques comme Orlando ou Miami. Les rentabilités sont moins élevées mais les touristes sont là toute l’année. Le gros avantage, c’est que vous pourriez bénéficier d’un pied-à-terre aux États-Unis.

Choisir un professionnel sur place

Le choix d’une agence immobilière local est primordial pour réussir votre investissement immobilier aux États-Unis. En effet, lorsque l’on investit dans un autre pays, il est rare que l’on connaisse tous les pièges à éviter.

Grâce à votre partenaire immobilier tel qu’INVEST US, vous serez capable d’investir aux USA et plus particulièrement à Cleveland en toute tranquillité. En effet, INVEST US est composée d’une équipe d’experts locaux et francophones. Avec plus de 400 maisons vendues et 8 ans d’expérience, INVEST US est une référence dans le domaine de l’investissement immobilier locatif.

Quelque soit votre question, ils sauront vous répondre précisément et avec professionnalisme en moins de 48h.

Voici une liste de questions dont vous pouvez déjà trouver les réponses ici :
– Peut-on acheter aux États-Unis en étant francophone et non-résident américain ?
– Quels sont les frais à prendre en compte dans le calcul de la rentabilité
– Y a-t-il d’autres frais à prévoir ?
– Faut-il prévoir des frais de travaux ?
– Quelle structure juridique pour acheter un bien aux États-Unis ?
– Doit-on acheter en son nom propre ?
– Quelles sont les étapes de l’acquisition d’un bien immobilier ?
– Est-ce à moi de m’occuper de la gestion locative de mon investissement ?
– Et si je souhaite revendre mon investissement ?
– Comment sont payés les loyers ?
– Que se passe-t-il si un locataire ne paye pas son loyer ?

Nous vous conseillons de trouver une agence immobilière qui vous proposera un service clé en main pour vous permettre d’investir depuis le confort de votre maison. C’est le cas d’INVEST US qui dans son service d’investissement passif tout inclus s’occupe pour vous :

– De trouver les meilleures opportunités, notamment à Cleveland
– De toutes les démarches administratives
– Du processus d’acquisition
– De la gestion locative du bien
– Du paiement des loyers
– De la revente si besoin

Thibaut Guéant, fondateur d’INVEST US et expert immobilier, vous conseille d’investir aux Etats-Unis et plus particulièrement dans la ville de Cleveland. Ce n’est en aucun cas une utopie ou une folie si vous êtes bien entourés.

Depuis la crise des subprimes, les prix ne cessent d’augmenter mais de très bonnes affaires vous attendent.

N’hésitez pas à réserver votre consultation gratuite en ligne avec Thibaut Guéant et à suivre INVEST US sur les réseaux sociaux :

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Plus long, le nouveau test de naturalisation américain entre en vigueur

L’administration Trump a fait un petit cadeau de fin d’année aux candidats à la citoyenneté américaine. Ceux qui soumettront leur dossier à partir du 1er décembre inclus devront passer un test de naturalisation allongé. L’annonce, faite le 13 novembre par l’USCIS (U.S. Citizenship and Immigration Services), l’agence chargée de l’immigration, a provoqué une levée de boucliers.

Administré à tout individu qui souhaite acquérir la nationalité américaine, le nouveau test comportera 20 questions posées oralement par un agent, contre 10 dans la version antérieure (qui date de 2008). Comme avant, le candidat devra répondre correctement à 60% des questions, soit douze au total (contre six pour la version précédente). Ces questions portent sur l’histoire des États-Unis, les institutions du pays, ses symboles et valeurs.

Autre changement: la liste des questions et des réponses à étudier en vue du test a été allongée. Elle passe à 128 contre 100 pour la version de 2008. Ces modifications s’inscrivent dans la révision décennale engagée par l’USCIS pour “s’assurer que le test demeure un outil qui évalue de manière exhaustive les connaissances du postulant sur l’histoire américaine, le gouvernement et les valeurs civiques“. Le nouveau test a été soumis pour examen à plusieurs organisations et volontaires à travers le pays au cours de l’été 2020, précise l’agence dans un communiqué.

La partie linguistique du test, elle, ne change pas: les postulants qui n’en sont pas exemptés en raison de leur âge ou la durée de leur présence sur le sol américain devront se soumettre à des épreuves orales, écrites et de lecture destinées à évaluer leur niveau d’anglais.

Plusieurs associations de défense des immigrés ont critiqué ce nouveau test, accusé de rendre le processus de naturalisation plus compliqué, et appellent la future administration Biden à revenir dessus. Elles craignent aussi qu’il prendra plus de temps à administrer dans un contexte où l’USCIS fait déjà face à de nombreux retards à cause de la Covid et du volume important de prétendants. En effet, dans la nouvelle version, les agents sont tenus de lire les vingt questions, même si les candidats ont donné le nombre suffisant de bonnes réponses. Auparavant, ils s’arrêtaient dès qu’un candidat avait atteint le seuil des six bonnes réponses.

En outre, le Washington Post a noté que certaines des nouvelles questions sont plus techniques et politiques. Alors que les deux tests demandent “qui représente le sénateur des États-Unis ?“, la réponse de 2008 – “toutes les personnes de l’État“- a été remplacée  en 2020 par “les citoyens de l’État“. Une nuance qui semble refléter la volonté du gouvernement Trump d’exclure les immigrés en situation irrégulière de la représentation nationale, analyse le journal.

Laurent Vonderweidt, avocat d’immigration français en Californie et à Paris, relativise les nouveaux critères de sélection. “Comparé à ce que l’on demande aux gens qui veulent devenir français, le test reste très accessible !”, souligne-t-il. Le conseil qu’il donne à ses clients est le même qu’avant: “c’est comme le permis de conduire. Il faut le prendre sérieusement, s’assoir pour étudier les réponses suffisamment à l’avance. C’était vrai hier, c’est vrai aujourd’hui. Peu de gens savent combien il y a d’étoiles sur le drapeau américain par exemple“.

L’entrée en vigueur de ce nouveau test intervient deux mois après qu’un juge fédéral en Californie a suspendu la décision de l’USCIS d’augmenter de 81% les frais liés aux dossiers de naturalisation. Ces frais seraient passés de 640 à 1 160 dollars.

Timiti : une nouvelle plateforme de vidéos en ligne vient chatouiller YouTube

Largement dominé par le géant YouTube, le marché de la vidéo en ligne a récemment vu apparaître un nouvel acteur : Timiti. Derrière ce curieux nom se cache le Suisse Jeff Auberson. Fraîchement installé en Floride, cet ancien joueur de tennis professionnel de 43 ans, qui a également fait carrière dans le domaine de l’assurance, se lance aujourd’hui dans l’aventure digitale en proposant une alternative aux créateurs de contenu ainsi qu’à leurs spectateurs.

Il aura fallu près de trois ans de développement mais aussi boucler une levée de fonds de plus de trois millions de dollars afin de donner naissance à cette plateforme de vidéos en ligne qui, contrairement à certains de ses concurrents, met un point d’honneur à ne pas diffuser de publicités pendant le visionnage. « C’est plutôt pénible d’être constamment pollué par de multiples publicités indésirables qui, bien souvent, ne sont pas ciblées et surtout ne rapportent strictement rien aux créateurs de contenu, indique Jeff Auberson. Nous préférons ainsi focaliser l’attention des spectateurs sur chacune des productions sans aucune distraction ».

Comme sur la plupart des plateformes de streaming, les vidéos peuvent être partagées gratuitement, cependant chaque utilisateur devra redoubler d’effort et compter seulement sur une bonne stratégie de contenu afin de faire augmenter son audience. « Il est impossible d’acheter des vues, des « likes » ou encore des « followers », insiste l’entrepreneur suisse. Cela risque de blesser l’égo de certains en voyant que leur communauté n’est pas aussi grande que sur d’autres plateformes mais nous misons sur les réels « followers », ceux qui sont prêts à véritablement s’engager », précise le fondateur de cette plateforme dont le nom est inspiré de Thimithi, une cérémonie hindou de marche sur le feu. « Un petit clin d’oeil pour exprimer que chaque vidéo est mise à rude épreuve ».

Alors qu’il est assez difficile d’être rémunéré en tant que créateur de contenu, l’entrepreneur suisse, lui, promet aux chefs cuisiniers, professeurs de yoga ou encore organisations caritatives de monétiser rapidement leurs productions « sans attendre d’avoir des dizaines de milliers de vues comme sur d’autres plateformes », souligne-t-il. Chaque utilisateur peut ainsi héberger des vidéos disponibles gratuitement et insérer des liens renvoyant vers leur site e-commerce ou celui de leurs sponsors afin de dynamiser leurs ventes, proposer des vidéos à la demande ou encore créer une chaîne de contenus exclusifs accessible via un abonnement. « Nous leur offrons une autonomie complète, se félicite Jeff Auberson. Et ce sont les utilisateurs qui fixent leurs prix car eux seuls connaissent la valeur de leur travail ».

Autre particularité, les spectateurs n’ont pas la possibilité de mettre des commentaires sous chacune des vidéos hébergées sur Timiti. « Nous ne sommes pas là pour épiloguer, juger et encore moins critiquer, s’exclame Jeff Auberson. Si une personne apprécie ce qu’elle voit, elle peut le faire savoir en cliquant sur le pouce levé ou en s’abonnant à la chaîne du créateur de contenu, sinon, elle peut simplement passer son chemin. Nous souhaitons que cette plateforme garde un état d’esprit positif ».

Podcast: Vaccins, nouveaux traitements, à quoi s’attendre?

Pour ce nouvel épisode de Sounds like Portrait, Philippe Ungar poursuit sa série spéciale Covid-19. Alors que les Etats-Unis font face à une nouvelle résurgence des cas, il reçoit Jérémy Goc, chercheur en immunologie à Weill Cornell à New York.

Où en est la créativité des chercheurs ? Où en sont les vaccins ? Où en sont les nouveaux traitements ? Plus généralement, qu’a-t-on appris d’essentiel depuis le printemps sur le Sars-Cov-2 ? Nous étions dans une grande incertitude au début de la pandémie, a-t-on acquis des certitudes depuis à propos du virus ? Et quel genre de certitudes ?

A écouter ici:

Des cadeaux de Noël pour soutenir les commerces français à New York

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Rendre au moins un proche heureux tout en soutenant les petits commerces français qui en ont bien besoin en ce moment: si cela vous parait être une bonne idée, cette liste de cadeaux de Noël est pour vous.

Les produits 100% français de French Wink

L’incontournable boutique française en ligne French Wink propose une large sélection de produits alimentaires bien de chez nous, mais aussi des objets, ustensiles et accessoires en tout genre. Habits pour enfants, produits pour le corps, livres, tableaux: si vous ne trouvez pas votre bonheur, c’est que vous êtes un brin difficile ! Tous les articles vendus sur cette plateforme ont été confectionnés par des Français.e.s, des peintures de l’artiste Carole Jury aux t-shirts de French-York. Certains de ses produits sont en vente dans la boutique de French Wink dans les locaux du restaurant de Chelsea OCabanon.

Acheter des livres francophones

Promouvoir la littérature francophone aux États-Unis, telle est la noble mission que s’est fixée Sandrine Mehrez Kukurudz, romancière et fondatrice des Rencontres des auteurs francophones. En plus d’animer une émission régulière pour mettre en avant ces plumes diverses, la Française vend aussi leurs livres dans sa boutique en ligne et sur le site de French Wink. On trouve des romans, des livres de témoignages et des ouvrages pour enfants parmi les dizaines d’oeuvres disponibles. Livraison sur tous les US. À noter que la librairie des Services culturels de l’Ambassade de France, Albertine, propose aussi une large sélection de livres à acheter en ligne, de même que des décorations de Noël présentées sur son compte Instagram. Pour des livres pour enfants en VF, direction La librairie des enfants, en personne ou en ligne. 

Le marché du réseau féminin She for S.H.E

Le réseau de femmes francophones She for S.H.E organise une nouvelle édition de son marché de Noël. Sa particularité: le SHE Market met en avant les services et produits créés par ses membres. Le menu est aussi varié que leurs profils: les soins ayurvédiques de Marie Viellard (UMA Center), une expérience de conseil en image personnalisé par Fanny Pradier de S_ignature by F.P ou encore les jouets pour enfants de Merci Bisous.

Soutenir un restaurant, une épicerie ou une boutique française

Pour aider les Français et les francophiles du Tri-State (New York, New Jersey, Connecticut) à identifier les commerces français, le consulat de France à New York s’est allié avec le réseau mapstr, pour créer une carte interactive des restaurants, épiceries et magasins divers de la région. Près de 300 adresses sont listées sur cet outil utile et solidaire. Et comme toutes les cartes mapstr, celle-ci se veut collaborative: vous pouvez ajouter des lieux à votre guise.

Produits écolos et locaux sur Closiist

Closiist, la nouvelle plateforme fondée par Julie et Benjamin Thibault-Dury, deux Français de New York, propose une large sélection de produits verts, comme des kits zéro déchet, des graines à planter ou des pailles réutilisables. Il y a bien d’autres cadeaux (habits, accessoires de cuisine, chaussures…) à dénicher sur ce site tout beau tout neuf dédié à l’artisanat local.