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Voici une bonne raison de regarder les playoffs NBA : Timothé Luwawu-Cabarrot

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Les playoffs NBA ont démarré le 17 août dans la “bulle” d’Orlando par un alléchant Jazz-Nuggets remporté par l’équipe de Denver, malgré les 17 points de Rudy Gobert. Mais un autre Français impressionne depuis la reprise du championnat du côté des Brooklyn Nets, Timothé Luwawu-Cabarrot.

Drafté en 2016 par les Sixers, l’ailier de 25 ans avait été transféré au Thunder puis aux Bulls sans parvenir à s’imposer, avant de signer son premier contrat “longue durée” en NBA avec Brooklyn en février. L’équipe new-yorkaise a eu raison de lui faire confiance puisque “TLC” a signé 26 points face aux Raptors le 17 août, soit la meilleure performance d’un Français lors d’un premier match de playoffs.

S’il n’a pas pu empêcher la défaite des siens (134-110), le Français de 2,01m enchaîne les bonnes performances à Orlando. Il avait déjà battu son record personnel de points sur un match (26) face au Bucks le 4 août, avant de coller 24 points au Magic le 11 août puis 19 aux Trail Blazers deux jours plus tard.

Les regards seront de nouveau tournés vers lui le 19 août pour son deuxième match de playoffs. Mais “TLC” aura fort à faire face aux Raptors, le champion en titre, dans cette série qui se joue aux meilleurs des sept matches.

Julie Duhaut-Bedos nommée Consule Générale de Los Angeles

Il y a deux ans, la polémique avait enflé. Philippe Besson était pressenti pour être nommé Consul de Los Angeles. Après le recours de la CFDT du ministère des Affaires étrangères, le Conseil d’Etat a annulé le décret pris par le gouvernement en août 2018 pour nommer l’écrivain réputé proche des Macron.

Après le départ de Christophe Lemoine l’été dernier, le Consulat était dans l’expectative, et Nathalie Soirat assurait l’intérim.

La page est définitivement tournée : un décret paru jeudi 13 août annonce la prise de poste de Julie Duhaut-Bedos, actuellement en fonction comme Première Conseillère à l’ambassade de France à Camberra (Australie).

Diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris, cette cadre du Quai d’Orsay entame sa vingtième année de services avec cette nomination prestigieuse.

En pleine crise sanitaire, les cinémas “drive-in” ont le vent en poupe à Miami

En attendant de pouvoir retourner dans les salles obscures, les cinémas “drive-in” fleurissent un peu partout à Miami et ses alentours. Tandis que certains exploitants annoncent une réouverture progressive, comme AMC qui espère attirer ses clients dans une centaine de salles à partir du jeudi 20 août avec des places vendues à 15 centimes, soit le prix de vente de ses premiers tickets il y a cent ans dans le Missouri, d’autres misent sur le cinéma en plein air. Voici quelques options pour expérimenter ce concept qui a vu le jour aux États-Unis dans les années 1930.

Parmi les derniers-nés, Carpool Cinema Wynwood propose de visionner un film sous les étoiles tout en étant confortablement assis sur la banquette arrière de sa voiture. Ouvert du jeudi au dimanche, ce cinéma en plein air, niché au coeur du quartier de street art de la ville, permet de découvrir ou redécouvrir certaines réalisations incontournables du septième art comme « Retour vers le futur 3 », « La Momie » de Stephen Sommers, sans oublier « Karaté Kid », le tout sans prendre de risque. Comptez $45 par véhicule (six personnes maximum). 2418 N Miami Ave, Miami – Infos et réservations ici

Le film culte « Grease » ou encore le long-métrage d’animation « Shrek » sont à l’affiche du Drive In at the Fair organisé du vendredi 21 au dimanche 23 août à 7pm par 3FEO, une agence événementielle de Coral Gables. Au programme : un écran géant et des voitures garées à plusieurs mètres les unes des autres pour une sortie au goût vintage adaptée à la situation actuelle. $11 dollars par personne. 10901 SW 24th St, Miami – Infos et réservations ici

Jusqu’au mois d’octobre, les parkings de 160 magasins Walmart aux États-Unis se transforment en cinéma “drive-in”, dont celui de l’enseigne située sur Flagler Street à Miami. En partenariat avec la société cinématographique Tribeca Enterprises, soutenue par Robert De Niro, la chaîne de grande distribution américaine propose notamment de profiter d’une projection gratuite de « L’Incroyable Histoire de Winter le dauphin » avec Morgan Freeman (mardi 25 août à 7:30pm) ou encore de « Selena », un film biographique qui raconte la vie de la chanteuse éponyme d’origine mexicaine (mercredi 26 août à 7:30 pm). 9191 W Flagler St – Infos et réservation ici

Après avoir accueilli en février dernier le Super Bowl, la finale du championnat de football américain, le Hard Rock Stadium de Miami Gardens s’est transformé en cinéma “drive-in”. La pelouse du stade des Dolphins permet d’accueillir plus de 200 véhicules le temps d’une projection sous les étoiles, et un petit cinéma en plein air a également été aménagé du côté sud de l’enceinte sportive. À partir de $12 par personne. 347 Don Shula Dr, Miami Gardens – Infos et réservations ici

Les adeptes du septième art pourront également se laisser séduire par une séance de cinéma flottant. Ces projections insolites, qui se tiendront à Miami du mercredi 9 au dimanche 13 septembre, sont proposées par l’entreprise australienne Beyond Cinema. Entre 12 et 24 bateaux accueilleront jusqu’à huit personnes par embarcation le temps d’une projection sur l’eau. Le lieu exact, le tarif ainsi que la programmation n’ont pas encore été dévoilés par les organisateurs. Infos et pré-inscriptions ici

Les établissements indépendants Savor Cinema et Cinema Paradiso proposent également de se faire une toile depuis le siège de son véhicule. Les deux enseignes organisent des projections en plein air sur le parking d’une marina de Fort Lauderdale. Comptez $30 dollars par véhicule. 2150 SE 17th St, Fort Lauderdale – Infos et réservations ici. Les deux cinémas se sont par ailleurs lancés dans un programme virtuel. Cela ne remplace pas un bon fauteuil dans l’une de leurs salles, mais cela permet de voir ou revoir une cinquantaine de films indépendants tout en les soutenant. Prévoyez entre $4 et $18 selon le titre choisi. Infos ici.

Enfin, ouvert depuis plus d’une cinquantaine d’années, le Swap Shop Drive-In de Fort Lauderdale est l’un des plus grands cinémas “drive-in” des États-Unis. Disposant de 13 écrans, sa programmation est d’actualité et les films sont diffusés à raison d’une à deux séances par jour. Les spectateurs peuvent également commander des boissons et du pop-corn. 3291 W Sunrise Blvd, Fort Lauderdale – Infos et réservations ici

Quelles sont les alternatives au cinéma traditionnel à Los Angeles ?

Se faire une toile en cette période est devenu compliqué, les cinémas n’ayant pas pu rouvrir leurs portes à Los Angeles. Heureusement, le cinéma se déploie en plein air. French Morning a recensé pour vous des alternatives aux salles obscures.

La tendance «drive-in»

Voir un film sous les étoiles tout en restant dans sa voiture, le concept a le vent en poupe avec ses écrans géants et ses véhicules garées à trois mètres les uns des autres. Plusieurs options sont possibles (attention, le port du masque est obligatoire en dehors du véhicule) :

– Des séances sont annoncées au compte-goutte par Electric Dusk, qui s’installe le week-end au sommet de l’ancien parking Sears à Glendale. Cet été, le drive-in propose deux films cultes chaque vendredi et samedi.

– Le Drive-in San Fernando Valley Summer a su asseoir sa réputation depuis quelques années. Situé à Westfield Fashion Square à Sherman Oaks, il projettera “Clueless” et “Ferris Bueller’s Day Off” le 11 septembre, “Edward Scissorhands” et “Pet Sematary” le 16 octobre ou encore “Hotel Transylvania” et “Scream” le 24 octobre.

– Spécialiste des cinémas en plein air, Street Food Cinema a su s’improviser en drive-in dans plusieurs lieux autour de la cité des anges : Lakeview Park (Orange County), Brandeis Bardin Campus (Simi Valley) et King Gillette Ranch (Malibu). “The Big Lebowski” sera diffusé le 29 août, “The Breakfast Club” le 30 août et “Bridesmaids” le 4 septembre. Comme d’habitude, des food-trucks seront de la partie.

– Chez PCH Movies & Moonlight à Long Beach, la politique est «premier arrivé, premier servi». Il faudra donc vous rendre en haut du parking de Whole Foods le plus tôt possible pour voir “Moana” le 28 août, “Selena” le 4 septembre ou “Fast and Furious” le 24 septembre.

– Direction Montclair pour une ambiance et une décoration polynésienne avec le Mission Tiki Drive In, ouvert toute l’année (billets en vente sur place). Chaque soir, deux films sont projetés sur les quatre écrans (soit un choix délirant), mélangeant de grands classiques comme “The Goonies” aux derniers blockbusters.

Paramount Drive In, près de Compton à Los Angeles, a divisé par deux sa capacité en raison des règles sanitaires. Deux films différents (des sorties uniquement) sont diffusés chaque soir sur deux écrans.

Le cinéma flottant

Et pourquoi ne pas aller plus loin ? Entre le 2 septembre et le 6 septembre, des séances ciné seront proposées sur l’eau. Le lieu exact, les tarifs et la programmation ne sont pas encore dévoilés par Beyond Cinema, l’entreprise australienne derrière cette initiative insolite. Ce que l’on sait : les nouveautés côtoieront les classiques et entre 12 et 24 bateaux accueilleront jusqu’à huit personnes par embarcation. Afin de pouvoir y assister, les cinéphiles doivent d’abord s’inscrire ici et patienter.

Du cinéma en hauteur

Un rooftop fait de la résistance à Hollywood : le Montalban propose un programme allégé en cette fin d’été, où la distanciation sociale est de mise avec des sièges espacés, le port du masque et une vérification de la température. Vous pourrez y voir “Grease” le 22 août, “Fight Club” le 28 août ou “Black Panther” le 30 août.

3 endroits exceptionnels où faire du camping sauvage à Yellowstone

On ne présente plus Yellowstone et ses 9 000 km2 de forêts et de lacs peuplés d’ours, de loups et autres bisons. Situé principalement dans le Wyoming à cinq heures de vol de New York et deux heures de San Francisco, le parc s’étend aussi au sud du Montana et à l’est de l’Idaho. C’est l’endroit idéal pour randonner quelques jours dans une nature préservée et observer des animaux sauvages. Voici trois endroits où planter votre tente à l’abri de la civilisation.

Grebe Lake

Grebe Lake, Yellowstone. Crédit photo : Maxime Aubin

Le camping sauvage à Yellowstone est encadré et requiert l’obtention d’un “backcountry permit”. Pour ce faire, il vous faut d’abord préparer votre itinéraire sur la carte suivante qui répertorie tous les lieux de camping sauvage disponibles dans le parc. Quand votre choix est fait, remplissez votre permis et envoyez le par e-mail. La dernière étape consiste à appeler le parc (307 344-2160) moins de deux jours avant votre arrivée et communiquer aux rangers votre itinéraire (comptez entre 3 et 5$ par personne par nuit). Munissez vous également d’un répulsif anti-ours en cas de rencontre inattendue (30-40$). Pour une première randonnée dépaysante et sans touriste à seulement neuf kilomètres de la route principale et dix kilomètres du village le plus proche, Canyon Village, nous vous conseillons Grebe Lake. Ce magnifique lac à taille humaine entouré de forêt est accessible en prenant le Grebe Lake Trail, une randonnée assez plate de trois heures alternant entre forêt et clairière où vous pourrez observer des rongeurs (tamias, écureuils), des animaux à bois comme le wapiti et les dégâts encore visibles du grand incendie de Yellowstone de 1988.

Un fois arrivé au lac, on vous conseille de sortir votre canne à pêche car le Grebe Lake regorge de truites (à remettre à l’eau ensuite). Les jumelles sont un autre accessoire indispensable pour ce voyage. L’été, les animaux sortent principalement tôt le matin et en fin de journée en raison des fortes chaleurs dans le parc. Les pieds dans l’eau à la tombée de la nuit, observez la rive en face de vous. Vous y verrez avec un peu de chance un ours ou une meute de loups chasser un cerf. Nous avons passé la nuit du 29 juillet sur place, bercés par les hurlements des loups. A notre réveil le lendemain au petit matin, un orignal (“moose” en anglais) s’abreuvait tranquillement à seulement une vingtaine de mètres de nous. Extraordinaire !

Shoshone Lake

Shoshone Lake, Yellowstone. Crédit photo : Maxime Aubin

A une heure de route au sud de Canyon Village se trouve Old Faithful, cet immense geyser aux couleurs orange et bleue. Très (trop?) célèbre à Yellowstone, l’endroit est bondé en haute-saison (juillet-août). Mais Old Faithful est également le point de départ d’une randonnée exceptionnelle, le Howard Eaton Trail, qui rejoint ensuite le Shoshone Lake en empruntant le Shoshone Lake Trail. Comptez environ 30 kilomètres pour ces deux randonnées qui vous feront arriver au deuxième plus gros lac de Yellowstone.

Très différentes du Grebe Lake Trail, ces deux chemins permettent d’observer l’activité géothermique du parc. On passe d’abord par le petit frère du geyser d’Old Faifthful, le Lone Star Geyser, qui crache tout de même à plus de dix mètres de haut. Puis on emprunte un sentier avec des cours d’eau chaude et des orifices naturels dans le sol. Après cinq heures de marche, on a mérité une bonne baignade dans l’eau fraîche (environ 20 degrés) de ce lac aux dimensions folles. L’endroit, très sauvage et préservé, est entouré d’une forêt de pins très dense. Là encore, vous pourrez pêcher et passer une nouvelle soirée contemplative au bord de l’eau, à observer les étoiles. Comptez encore 20 à 25 kilomètres de marche le lendemain pour longer le lac et revenir jusqu’à la route, au sud d’Old Faifthul. Nous n’avons pas vu beaucoup d’animaux ces deux jours là (31 juillet et 1er août) à part un serpent d’un mètre environ et des rongeurs, mais les grosses traces de griffes sur la base de nombreux arbres nous ont rappelé qu’un ours rodait dans les environs.

Lamar Valley

Lamar Valley, Yellowstone. Crédit photo : Maxime Aubin

A deux heures de route au nord-est d’Old Faifthul se trouve Lamar Valley et ses grandes plaines verdoyantes entourées de montagnes. C’est l’endroit le plus réputé pour observer la faune sauvage. Prenez le départ du Slough Creek Trail (10 kilomètres aller-retour) pour vous enfoncer dans la forêt jusqu’à arriver à une rivière et une immense plaine où quelques pêcheurs à la mouche s’activent sur fond de montagnes enneigées. Un paysage de carte postale ! C’est l’endroit idéal pour sortir vos jumelles et observer une nature exceptionnelle à perte de vue. Sur le chemin retour le 2 août, nous avons pu voir au loin une carcasse de bison gisant au sol. Un photographe nous a expliqué avoir observé la veille au soir un grizzly et plusieurs loups se partager le gâteau. Nous n’avons pas vu d’animal dans la région. Nous vous conseillons en revanche la Hayden Valley, entre le Yellowstone Lake et Canyon Village, une route plutôt touristique mais sur laquelle nous avons vu un troupeau de bisons passer à seulement un mètre de notre voiture ainsi qu’un ours à une centaine de mètres de la route.

Census 2020: N’oubliez pas de vous faire recenser

Il n’a jamais été aussi facile et difficile de participer au “census” qu’en 2020. “Facile” car, pour la première fois, le formulaire du recensement est largement disponible en ligne. “Difficile” car les équipes de volontaires qui frappent d’ordinaire aux portes pour faire des rappels sont freinées par la pandémie.

Organisé tous les dix ans, le recensement américain vise à compter toutes les personnes aux États-Unis, américaines ou pas, en situation régulière ou non. Les données transmises au Bureau du recensement sont confidentielles. Si vous n’avez pas encore rempli le formulaire, vous avez jusqu’au 30 septembre pour le faire.

Les données issues du recensement sont très importantes. Elles permettent notamment de déterminer le découpage des circonscriptions électorales et la taille de la représentation politique de chaque État au Congrès, mais servent aussi de base pour allouer plus de mille milliards de dollars à des projets d’infrastructures et de services publics (écoles, hôpitaux, transports…).

Blaise Matuidi : “j’ai décidé de rejoindre mon ami David Beckham à Miami”

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La rumeur enflait depuis quelques jours, c’est désormais officiel : le milieu de terrain international français Blaise Matuidi s’est engagé le 13 août en MLS avec le club de l’Inter Miami. Le joueur a expliqué son choix dans une longue vidéo postée sur Twitter et réalisée par l’agence de communication Bros Stories.

“Ça a été un choix rapide mais réfléchi, je me sentais prêt aujourd’hui à vivre une telle expérience”, explique le désormais ex-turinois de 33 ans également passé par le PSG. “Les contacts remontent à six mois, mais ma tête était bien sûr à la Juventus. Ensuite il y a eu la Covid, puis l’opportunité est venue de nouveau. (…) J’ai décidé de jouer pour l’équipe de mon ami David Beckham”. 

Les deux hommes ont joué ensemble sous le maillot parisien de janvier à mai 2013, où David Beckham a pris sa retraite de joueur. La star anglaise est devenue ensuite propriétaire de l’Inter Miami en 2018, le club effectue cette année sa première saison en MLS. Blaise Matuidi s’est engagé pour trois saisons en Floride après avoir été libéré de sa dernière année de contrat à la Juventus suite à l’élimination en Ligue des Champions le 7 août face à l’Olympique lyonnais. “Ça fait dix ans que je joue tous les trois jours, avec une grosse pression. Je veux aujourd’hui prendre du plaisir et connaître le bien-être familial”, justifie le champion du monde qui est père de trois enfants.

Blaise Matuidi n’arrive pas pour autant à l’Inter Miami en pré-retraite. “Ma carrière n’est pas finie, loin de là, je suis un compétiteur. Je serai attendu, je le sais, et je vais continuer à donner le meilleur de moi-même”. Il n’empêche qu’à un an de l’Euro (reporté à juin 2021), le milieu de terrain met en danger sa carrière internationale. “J’en ai discuté avec le sélectionneur (Didier Deschamps). Je suis prêt à tout entendre mais il sait qu’il pourra toujours compter sur moi. (…) J’ai toujours eu pour habitude d’en surprendre plus d’un, alors ça va continuer”. 

Blaise Matuidi a été formé à l’ES Troyes AC avant de se révéler à l’AS Saint-Etienne entre 2007 et 2011. Il signe ensuite au Paris Saint-Germain où il gagnera cinq titres de champion de France en sept ans. Il jouait à la Juventus de Turin ces trois dernières saisons avec qui il a remporté six titres nationaux. Le milieu de terrain aux 84 sélections a été finaliste du championnat d’Europe en 2016 avec l’Equipe de France et champion du monde en 2018.

Profitez de l’été pour réaliser un atelier “Street Art” en famille à Bushwick

Family Way vous propose quelques chouettes activités à réaliser à New York avec vos enfants durant l’été. L’occasion de vivre une expérience tous ensemble ou simplement de s’occuper pendant une période que l’on n’avait pas forcément prévu de passer ici. Et vous verrez que les activités ne manquent pas à New York, et qu’elles ont toutes été adaptées en raison la Covid-19. 

Pour une activité divertissante qui captive tous les âges et garantit des souvenirs inoubliables en famille, tester le Street Art Workshop.

Initiation à la technique du graffiti avec un artiste local 

Grâce à ces ateliers, vous apprendrez les techniques du graffiti avec un expert. Il vous expliquera comment manier la bombe de peinture, vous donnera des astuces pour créer l’effet désiré et réaliser des essais en direct. Tout au long de l’atelier, vous verrez votre toile prendre vie en traits, puis en tags jusqu’à votre création finale. Et n’ayez pas peur de vous tromper, car les erreurs peuvent être recouvertes à la couche de peinture suivante. 

Des ateliers avec une offre “tout inclus” au coeur de Bushwick

En plus de l’accompagnement d’un artiste, la plupart des ateliers vous proposent une offre intégrant toutes les fournitures nécessaires à la réalisation, des protections (gants voir tabliers) et vous permettent de repartir avec votre toile. Pendant cette période de COVID, les ateliers sont proposés en petit groupe privé dans des lieux adaptés. Par exemple, avec Brooklyn Unplugged Tours, ils ont lieu à l’extérieur au coeur du Bushwick Market, tandis qu’avec Graff tours, ils sont organisés au coeur d’un studio d’artistes, bien ventilé pour ce type d’activité.

Ne repartez pas sans avoir visité le quartier emblématique du Street Art

Profitez de votre déplacement à Bushwick pour découvrir le quartier devenu le temple du Street Art à New York. Vous pouvez le faire avant l’atelier pour bénéficier d’un peu d’inspiration, ou après, ce qui laissera le temps à votre toile de sécher avant de pouvoir la récupérer.

Vous pouvez bien sûr opter pour des visites guidées, proposées par les mêmes sociétés, ou découvrir le quartier par vous même en parcourant notamment Troutman St et Jefferson St (à proximité du métro Jefferson St). Pour rajouter un peu de “fun” à votre visite, plusieurs options s’offrent à vous : 

-Vous pouvez installer l’application gratuite FlashInvaders et partir en quête d’une des célèbres mosaïques réalisées sur les murs par l’artiste français Invader, la “flasher” et cumuler des points. 

-Vous pouvez aussi relever l’un des défis proposés par Family Way dans ce quartier qui vous fera découvrir un autre artiste français renommé.

Un bon moment en famille garanti pour les enfants, les ados et même les adultes !

À New York, The École sera complètement de retour dans ses locaux à la rentrée

[Article partenaire] The École, école franco-américaine privée située dans le quartier de Flatiron à New York, prévoit d’être complètement de retour dans ses bâtiments dès le premier jour de la rentrée scolaire le 1er septembre 2020.

Cette décision est l’aboutissement de plusieurs semaines de planification et de délibération par le “Back Onsite Committee”, de concert avec les bienfaiteurs de l’école, Philippe et Laurence Roux. Le comité, qui se compose de parents, d’enseignants, de personnel et de membres de l’équipe administrative, a été formé dans le but de créer un plan détaillé pour la rentrée.

The École, qui a fêté ses 10 ans en 2019, s’est toujours engagée à maintenir des classes de petite taille, et la structure de son double cursus implique que chaque classe compte au moins deux enseignants. C’est en grande partie grâce à son ratio élève-enseignant favorable ainsi qu’à la récente expansion de son campus principal au 111 East 22nd Street, doublant ainsi la superficie disponible, que The École pourra être pleinement de retour dans leurs campus à l’automne, tout en respectant largement les protocoles de distanciation en place.

Les bienfaiteurs Philippe et Laurence Roux expliquent : « Nous avons demandé à notre architecte d’examiner les plans de nos deux bâtiments pour déterminer combien d’élèves nous pourrions avoir en toute sécurité dans chaque classe. Sur la base de ces chiffres, nous avons divisé les étudiants en cohortes—des groupes qui resteront ensemble tout au long de la journée. Nous sommes très fiers et ravis d’accueillir nos étudiants et notre personnel dans nos locaux à nouveau ! »

Alors que chaque cohorte restera dans la même salle de classe pendant la majeure partie de la journée pour minimiser les contacts avec les autres, les enseignants francophones et anglophones de la classe alterneront selon un horaire fixe.

Les cohortes ne sont qu’une partie du “Back Onsite Plan” qui permettra aux élèves d’être de retour en personne à The École en septembre. Vous pouvez consulter le plan détaillé sur le site web de The École, et retrouver ci-dessous une liste non exhaustive de certaines des autres mesures qui seront mises en place :

– La distanciation sociale sera mise en place et respectée.
– Des masques seront requis pour tout le personnel et pour tous les élèves.
– Une désinfection en profondeur des deux bâtiments aura lieu tous les soirs. De plus, les « points sensibles », tels que les poignées de porte ou les toilettes, seront nettoyés tout au long de la journée.
– Les heures d’arrivée et de départ des élèves seront échelonnées pour toutes les classes afin de limiter les rassemblements trop importants d’élèves et de parents.
– La circulation dans les bâtiments sera ajustée, avec des escaliers et des couloirs à sens unique pour limiter les contacts avec les autres.
– L’apprentissage à distance sera accessible à tous les élèves qui souhaitent continuer The École en ligne à l’automne. Les étudiants en ligne se connecteront à leur classe via une caméra et un microphone installés dans la salle de cours.

Même si la rentrée de cette année scolaire sera certainement différente des précédentes, The École est ravie d’être de retour dans ses bâtiments en septembre. Et si The École reste agile et prête à s’adapter à mesure que les exigences changent et que la situation évolue, elle est également ouverte à ceux qui ne font actuellement pas partie de sa communauté.

Pour toutes les familles qui recherchent pour leur enfant une expérience d’apprentissage bilingue franco-américaine en présentiel dès le 1er septembre, sachez qu’il y a encore des places disponibles à The École !

Apprenez-en plus sur The École et comment s’inscrire sur leur site Web.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Webinaire] Point Immigration 2020 – Où en sommes-nous ?

En cette période proche de la rentrée, Columbus Consulting Group fait un point sur la situation de l’immigration aux U.S.

Depuis mars dernier, l’immigration a subi de nombreuses restrictions : « travel ban », fermeture des consulats, etc.

Columbus vous fait un récapitulatif de la situation actuelle, notamment concernant la délivrance de visas, les possibilités de voyage (particulièrement la possibilité de rentrer aux U.S.), ainsi que les restrictions toujours en place.

Rendez-vous mercredi 19 août à 1pm ET · 12pm CT · 10 am PT. Vous aurez l’occasion de poser vos questions aux intervenantes en direct pendant le webinaire.

[Inscription ici]

Sweet Lily Bakery, une histoire d’amour et de pâtisseries à Los Angeles

Pour beaucoup, ouvrir une boulangerie ou un restaurant est le meilleur moyen de se reconvertir et de s’expatrier aux Etats-Unis. Pour Thibaut Leymarie et Marine Le Faucheur, issus du milieu de la restauration, c’est tout l’inverse. Après s’être imprégnés de Los Angeles durant plusieurs années, les deux Français vont ouvrir le 17 août près du studio Universal la boulangerie Sweet Lily Bakery.

Les deux trentenaires sont tombés amoureux à Los Angeles après que Marine Le Faucheur ait travaillé en tant que serveuse à Cannes puis comme manageur du restaurant Got Kosher à Los Angeles. Thibaut Leymarie a quant à lui fondé deux boulangeries dans le Val d’Oise, avant de travailler pour La Parisienne dans la Cité des anges. La naissance de leur fille Lily les a inspirés à fonder Sweet Lily Bakery. “Thibaut voulait ramener son savoir-faire, montrer ce qu’il sait faire”, explique Marine Le Faucheur.

Le chemin fut, toutefois, plus ardu qu’ils ne l’anticipaient. “Et notamment pour trouver un local”, admet la Française, titulaire d’une carte verte. “Les banques ne voulaient pas nous prêter car Thibaut possède un Visa E2 ; les propriétaires étaient méfiants car nous sommes étrangers et que nous n’avons qu’un petit budget.” Le couple multiplie les recherches et les visites pendant un an et demi, tentant de convaincre les propriétaires avec leur projet. Ils finissent par dénicher un espace de 400 m2, bien équipé pour la restauration, et dont les travaux sont minimes.

Dans ce lieu aéré, ils disposent de 62 places assises et proposent des produits du petit-déjeuner jusqu’au goûter, en passant par le lunch (avec une formule à 18 dollars) et les brunchs le week-end. Boulangerie-pâtisserie traditionnelle, Sweet Lily Bakery offre une grande variété de pain, de viennoiseries, de gâteaux (dont le millefeuille, Paris-Brest, fraisier) mais aussi des quiches, des pizzas et des sandwichs à des prix raisonnables. “On a ajouté une touche américaine, avec des oeufs Bénédicte et des bagels. On sait que la cuisine française ne plait pas à tout le monde”, commente Marine Le Faucheur, expatriée aux Etats-Unis depuis neuf ans. Le petit plus : Thibaut Leymarie, qui a obtenu le prix du meilleur éclair au chocolat de Paris en 2012 (entre-autres), est un orfèvre des pièces montées, capable de reproduire la Tour Eiffel ou une guitare, en aiguisant votre gourmandise.

“Dès que nous aurons mis de l’argent de côté, nous prévoyons de développer un côté retail”, détaille Marine Le Faucheur. Et leur projet ne s’arrête pas là : ils aimeraient également organiser des soirées pour les mamans et des après-midi pâtisserie pour les enfants. Ils espèrent séduire le voisinage, jusqu’alors dépourvu d’établissements de restauration et qui héberge de nombreux bureaux, des studios de cinéma et des résidences.

En raison de l’épidémie de la Covid-19 et de l’incapacité à servir les clients à l’intérieur, les deux amoureux vont d’abord se focaliser sur la vente à emporter et les repas en terrasse. “Tout le monde a pensé qu’on était fou d’ouvrir en pleine pandémie, mais les gens ont toujours besoin de se nourrir”, rappelle la Française pour qui la plus grosse contrainte reste le report de leur inauguration, qu’ils prévoyaient en grande pompe. En attendant de pouvoir être complètement ouvert, ils multiplient les partenariats avec les restaurants, à qui ils vendent des pains et pâtisseries. “Thibaut rêve aussi d’ouvrir une seconde boulangerie dans une autre ville, comme San Francisco ou Chicago.” Mais chaque chose en son temps, le couple se dédie pour l’heure à son premier bébé entrepreneurial.

The Thing About France, ep.3 : Lauren Collins

Liesl Schillinger reçoit Lauren Collins pour ce troisième épisode de la saison 3 de The Thing About France.

Journaliste pour le New Yorker à Paris, Lauren Collins est l’auteur du livre When in French : Love in a Second Language. Mutée à Londres en 2010, elle y raconte sa rencontre avec Olivier, un Français qui deviendra son futur mari. Après l’avoir suivi à Genève, elle décide de se mettre à la langue française, puis de déménager à Paris où elle a aujourd’hui deux enfants avec lui. Elle décortique dans ce livre et dans cet entretien avec Liesl Schilinger son apprentissage du français, les mystères et curiosités des langues, et ce qu’elles disent de nous.