La première fois que j’en ai vu une, c’était sur le dos de mon fils à la gare ferroviaire de Silver Spring au mois d’août dernier. À première vue, l’insecte avait l’air sympathique et assez joli. Quelques minutes après, mon mari l’écrasait et expliquait à mon fils qu’il fallait absolument les tuer. Horrifiée, je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Puis, j’en ai vu une dizaine autour de nous.
Il faut dire qu’avec ses ailes tachetées et son éclat rouge vif, le fulgore tacheté (Lycorma delicatula), ou spotted lanternfly, pourrait presque passer pour un papillon inoffensif. Mais sur la Côte Est...
Los Angeles : choisir son quartier, une affaire de style de vie
[Article partenaire] Los Angeles fascine par son immensité et sa diversité. Pour un futur résident, la première question n’est pas tant « acheter ou louer ? » que « où poser ses valises ? ». Car ici, chaque quartier est une ville dans la ville, avec une identité propre et un style de vie qui influence profondément le quotidien. Être accompagné est une étape essentielle pour faire le bon choix, comme l’explique Marc de Longeville.
L’océan, la montagne ou l’urbain ?
À Venice ou Santa Monica, on vit au rythme des plages, du surf matinal et des couchers de soleil sur le Pacifique. À Pasadena, ce sont les collines verdoyantes, les écoles réputées et une atmosphère plus résidentielle qui séduisent. À Silver Lake ou Echo Park, l’énergie est artistique, bohème, tournée vers les cafés indépendants et la scène musicale. Tandis qu’à Beverly Hills ou Brentwood, on retrouve le glamour, la tranquillité et des propriétés spacieuses prisées par les familles comme par les investisseurs.
Une ville pensée pour les contrastes
Cette mosaïque peut enthousiasmer, mais aussi dérouter ceux qui découvrent Los Angeles pour la première fois. Car au-delà des cartes postales, choisir son quartier signifie aussi choisir son rythme de vie :
- Trajets et mobilité : vivre près de son lieu de travail reste un luxe rare.
- Écoles et communauté : certains quartiers sont incontournables pour les familles.
- Ambiance et culture : chaque zone attire un profil bien particulier d’habitants.
- Quand le choix devient stratégique
Ce n’est pas un hasard si les expatriés francophones se tournent vers des professionnels capables d’éclairer ces différences. Marc de Longeville, implanté depuis plusieurs années à Los Angeles, insiste souvent sur l’importance de visiter les quartiers, d’y passer du temps avant de prendre une décision. Son rôle dépasse la transaction : il s’agit de guider ses clients vers un choix cohérent avec leur style de vie, leurs projets et leurs priorités, qu’il s’agisse d’un appartement citadin ou d’une maison familiale avec jardin.
Bien plus qu’un marché immobilier
S’installer à Los Angeles, c’est choisir une façon de vivre autant qu’une adresse. Et c’est précisément ce subtil équilibre entre qualité de vie, investissement et projection dans l’avenir qui rend l’accompagnement expert essentiel.
Pour être accompagné par Marc de Longeville, rendez-vous sur son site internet.
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Notre hôte était Julien Raynard, fondateur de Investir.us.
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