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Les labyrinthes du dating à l’américaine

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Les “Four bases”, confirmation des rendez-vous jusqu’à la dernière minute, manque de spontanéité, l’exclusivité… Entre choc culturel et incompréhension mutuelle, les règles de l’amour peuvent dérouter les célibataires francophones qui viennent d’arriver fraîchement aux Etats-Unis. 

Par amour pour un Américain, Servane a débarqué en Californie (San Francisco) il y a onze ans. Mais après huit ans de relation, le couple se sépare et la Française se retrouve à nouveau sur le marché du célibat. Elle a l’impression que les rencontres qu’elle fait sont beaucoup moins spontanées aux Etats-Unis qu’en France. Elle estime que “les Américains sont plus puritains et il y a très peu de drague dans les cafés, les transports ou au resto”.

Dans le lot de ses dates, elle fait de chouettes rencontres et d’autres qu’elle préférerait oublier. “Le mec qui te parle de software 2h30 d’affilée sans se rendre compte que tu regardes la télé du bar, celui qui a le téléphone qui sonne toutes les cinq minutes parce que sa vie est régie par les alarmes, celui qui te donne plus de nouvelles ou ceux qui, passés les échanges par mails, disparaissent, sûrement mariés… “.

Exclusif ou pas, telle est la question

Pour Marine, une jeune Française 21 ans basée à Sterling (Virginie), ce qui l’a le plus troublée, c’est cette question d’exclusivité. “Quand j’étais au-pair, j’ai essayé Tinder et je suis sortie en date avec des garçons”, jusqu’à qu’elle rencontre son futur mari Daniel, avec qui elle a eu la conversation. “Il voyait une autre fille, mais au bout d’un mois, il m’a fait une demande officielle d’exclusivité”, se souvient-elle.

Fatiguée du dating à l’américaine comme Servane, Valérie-Anne Demulier, une Belge de 32 ans, a créé un concept de dating entre Français à New York, R&S pour Robert et Simone, en mai 2019. “J’ai eu l’idée quand j’étais encore célibataire, et j’observais que plein de francophones autour de moi n’aimaient pas dater sur les apps, et que certaines copines avaient des sordides histoires de date sur cette question de l’exclusivité”.

La créatrice de l’application est arrivée à New York en 2015 en couple avec un Européen. “On s’est séparé peu de temps après. J’ai fait du dating sur les apps, c’était fructueux, j’ai fait pas mal de rencontres,  mais le côté relation ‘non-exclusive’ était curieux pour moi, chez nous on est en couple où on ne l’est pas”

Un mois après le lancement de R&S, Valérie-Anne Demulier a rencontré Sean, un Américain de 37 ans originaire de SF. “J’étais surprise car je pensais que ce serait plus facile avec des francophones”, explique-t-elle. “Au bout d’une semaine, on a eu un ‘talk’, je lui ai dit que je ne voulais pas sortir avec d’autres personnes.” Sa réponse a été positive, puis deux jours plus tard, il a demandé à Valérie-Anne : ‘si on est exclusifs, ça veut dire qu’on est officiellement boyfriend and girlfriend?’  “J’ai trouvé ça très mignon”, se souvient-elle.

L’entretien d’embauche

Le système de “talk” et d’exclusivité n’est pas la seule chose qui chagrine Marine quand elle commence à “dater”. Elle a l’impression que ce système est une sorte de “période d’essai”. Pour Alexandra, Française expatriée à San Francisco et divorcée d’un Américain, les hommes rencontrés étaient “dans le pragmatisme” et viennent à une soirée “comme ils cherchent un job”. “Ils te posent des questions et les réponses doivent cocher les bonnes cases : mariage, plan d’une nuit, une ‘connection’. En fait, ils définissent le produit et après ce n’est ni plus ni moins que du management de projet !”, analyse-t-elle.

Une impression que partage Catherine, 35 ans, professeure de français dans des community colleges de Los Angeles. “Pendant un rendez-vous, il faut agir comme dans un entretien professionnel, dérouler son CV et ses qualités”. Elle cite notamment l’exemple d’un “date” qu’elle nomme volontiers “le polyglotte” qui, après avoir baragouiné quelques mots en français, avait lâché : “je ne vais pas te mentir, je parle cinq langues”. Lors de ce genre de “recrutements de la femme parfaite”, on lui demande toujours ses passions, et une question plus déconcertante revient parfois : “pourquoi es-tu célibataire ?”. Atterrée, elle préfère utiliser le second degré français pour y répondre, au risque de dérouter le mâle américain. Cet interrogatoire est destiné à vérifier si elle peut pourvoir au rôle de “femme idéale pour la photo de famille”.

Alexandra dénonce également le protocole qu’il y a derrière le dating à la sauce américaine, tous “ces codes non-dits qui règlent chaque rendez-vous.” “Il faut toujours reconfirmer le rendez-vous quelques heures avant, sinon ils ne viennent pas”, cite ainsi Catherine, qui a compris cette règle quand un de ses soupirants virtuels lui a “posé un lapin”. 

Mais Catherine a également été surprise par l’honnêteté de certaines de ses dates : “un homme m’a dit qu’il cherchait une femme sophistiquée, et qu’en tant que Française, je pouvais correspondre. Il cherchait ainsi à confirmer son statut social”. A contrario, elle a déjà eu l’anti candidat en face d’elle : un prétendant lui a avoué, au détour d’une conversation, être un grand consommateur de films pornographiques et avoir une addiction à la cocaïne. “Une bonne soirée sans pression”, s’amuse Catherine.

Si beaucoup finissent tout de même par trouver sinon l’âme soeur, en tout cas des relations satisfaisantes, pour d’autres le choc culturel est insurmontable. Alexandra a ainsi décidé  “de ne plus dater d’Américains […]. Il y a une incompatibilité irréconciliable, une philosophie de la vie fondamentalement différente”. Ce qu’elle recherche :  “davantage de naturel, ce côté latin d’aller à l’aventure, de se draguer, de se laisser vivre”. Et pour son plus grand plaisir, elle vient juste de rencontrer… un Allemand !   

Avec Jeanne Moulin (San Francisco), Sandra Cazenave (Los Angeles), Nastasia Peteuil (Washington DC) et Maxime Aubin (New York).

Infographie : la langue française aux États-Unis

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L’usage du français est beaucoup plus répandu qu’on pourrait le croire aux Etats-Unis. D’après une étude conduite entre 2013 et 2017 par le U.S. Census Bureau, 1 203 941 personnes parlent français à la maison (en incluant le français cadien et le créole).

C’est 7,4% de moins que lors du dernier recensement en 2013, mais la langue française reste la 5ème langue étrangère la plus parlée aux Etats-Unis après l’espagnol, le chinois, le vietnamien et le tagalog.

New York arrive en tête des Etats où l’on parle le plus Français avec 131 977 Francophones, devant la Californie (126 686) et la Floride (105 435). Le South Dakota arrive en queue de liste avec seulement 906 Francophones.

Les premiers à parler français aux Etats-Unis sont les Américains issus de l’immigration française ancienne. Ils sont plus de 10 millions à avoir des ancêtres français ou franco-canadiens, dont une petite partie à préserver l’usage de la langue de Molière. Les autres francophones sont issus d’une immigration plus récente, en provenance de la France, d’Haïti et des pays africains dont notamment le Sénégal, le Mali, la Côte d’ivoire et la RDC.

French Bee ouvre Paris New York le 10 juin

(Article partenaire) Si à chaque retour en France, vous devez poser deux congés supplémentaires pour comparer la multitude d’offres de vols New York-Paris, sachez que vous n’êtes pas seul·e.

La liaison entre New York et la France est devenue très concurrentielle, et le dernier arrivé dans cette course de haute voltige pour assurer la navette entre les deux villes va en intéresser plus d’un.

French Bee : 1re compagnie française low-cost et long-courrier

« Un prix bas auquel chacun peut ajouter une multitude de services ajustés à ses besoins » : voilà la promesse de la compagnie aérienne French Bee, qui permet déjà à des milliers d’expatriés de voyager au juste prix entre la France et la côte ouest des États-Unis. C’est sûr, leur nouvelle ligne New York-Paris va faire des heureux.

Avec un départ quotidien de Newark à 23h55 à compter du 10 juin 2020, l’atterrissage se fera en douceur à Orly à 13h20 le lendemain. Un confort inédit sur des long-courriers low cost rendu possible grâce à des avions flambant neufs ainsi qu’aux nouvelles technologies conçues au service du confort des passagers. À bord, l’air se renouvelle toutes les 3 minutes, l’isolation phonique y est encore inégalée et un éclairage 100% LED vous réveille de façon progressive.

« Le mal d’altitude en avion, c’est fini ! »

La cabine est ultra spacieuse et l’inclinaison des parois diminue la sensation d’espace clos. Ainsi, les passagers témoignent d’une sensation de fatigue moins importante que s’ils avaient voyagé dans un autre appareil. Même les habitués du standing de la business class ne seront pas déçus.

Un service à la carte avec trois tranches de tarifs

– Le billet « Basic », à partir de $139 l’aller simple, avec un bagage à main compris.

– Le billet « Smart », à partir de $209 l’aller simple, avec en plus un bagage en soute et un repas.

– Le billet « Premium », à partir de $469 l’aller simple, comprend un siège en classe Premium Blue, deux bagages en soute, un repas et un snack.

Les voyageurs peuvent également personnaliser leur voyage selon leurs envies et leur budget, en sélectionnant les options parmi un large choix de services et de produits. 

Une autre façon de voyager !

Vous pouvez d’ores et déjà réserver vos billets en ligne.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Mika revient aux Etats-Unis

En septembre dernier, le chanteur anglo-libanais avait conquis New York, San Francisco et Los Angeles lors de sa tournée intitulée Tiny Love Tiny Tour. Il revient en 2020 pour sa “Revelation Tour” avec une série de concerts qui suivent la sortie du nouvel album de l’artiste “My Name Is Michael Holbrook” le 4 octobre 2019, quatre ans après “No Place in Heaven”.

La tournée américaine du chanteur passera par 13 villes en commençant le 13 avril par San Francisco, puis en passant notamment à Seattle, New York, Philadelphie et Washington DC. Il fera une apparition aux deux week-ends de Coachella.

Le chanteur a récemment publié un clip pour sa chanson “Dear Jealousy, Live at Brooklyn Steel” en même temps que l’annonce de sa tournée. Deux des spectacles que Mika a joués dans cette salle de concert new-yorkaise sont sortis le 31 janvier dernier sous le nom de “Mika, Live from Brooklyn Steel”.

Le chanteur, célèbre coach de The Voice France (émission sur TF1), s’est fait connaître en 2006 avec le titre “Grace Kelly”, uniquement diffusé sur Internet. Depuis, l’interprète des succès “Relax, Take It Easy” et “Boum Boum Boum” a sorti cinq albums.

NBA: un deuxième Français signe un contrat long-terme à New York

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Drafté par les New York Knicks pour quatre ans en 2017, Frank Ntilikina a montré la voie à l’un de ses compatriotes. Le site américain The Athletic a annoncé le 7 février que Timothé Luwawu-Cabarrot s’était engagé “pour plusieurs saisons avec les Brooklyn Nets”.

C’est une très bonne nouvelle pour le Cannois de 24 ans qui avait signé en octobre un “two-way contract”, qui le limitait à 45 jours avec l’équipe première des Nets, puis deux contrats successifs de seulement 10 jours.

Le coach des Nets, Kenny Atkinson, a été convaincu par le début de saison de l’arrière français qui a joué 25 matches pour 5.2 points, 2,1 rebonds en 15.3 minutes de jeu par match. “TLC” a été drafté en NBA en 2016 par les Sixers où il a joué deux saisons avant d’être transféré au Thunder puis aux Bulls sans parvenir à s’imposer.

Grâce à son nouveau contrat chez les Nets, le Français touchera 632 000$ sur le reste de la saison, puis 1.8 millions minimum l’année prochaine.

Bon Entendeur en tournée nord-américaine : “On fait danser les Français loin de chez eux”

22 h 30, mardi 4 février, dans le club The Echo à Los Angeles. La musique électronique, assortie de sonorités funk et disco, s’emparent frénétiquement des corps de l’assemblée. Ce soir-là, les “sorry” ont laissé place aux “pardon” et les “hi” aux “salut”. Pour entendre le DJ set de Bon Entendeur, les Français expatriés de Los Angeles se sont déplacés en masse. Au point qu’on se croirait dans une boîte parisienne. “Nous sommes comme le camembert reçu en colis, nous aidons à pallier le mal du pays”, s’amuse Arnaud Bonet, l’un des trois membres du collectif musical composé de Pierre Della Monica et de Nicolas Boisseleau.

Le trio sait bien qu’il rassemble les Français de l’étranger, après avoir fait deux fois “sold out” à New York en 2019, puis la même à San Francisco, le lundi 3 février. Et ils n’en espèrent pas moins pour leur retour dans la grosse pomme -où ils jouent les 8 et 9 février. “On fait danser les Français loin de chez eux, c’est un sentiment spécial”, reconnaît Pierre Della Monica. “Et ils sont encore plus chauds qu’en France”, ajoute Nicolas Boisseleau.

Les trois amis mordus de son, aux allures d’étudiants en école de commerce, ne mentent pas. L’enchaînement de titres de leur premier album “Aller-retour”, avec notamment le carton “L’amour, l’amour, l’amour” repris à l’unisson par le public, mais aussi la mixtape de Pierre Niney et des remix de nouveaux morceaux ont déchaîné l’audience de compatriotes à Los Angeles.

Faire découvrir des chansons françaises sous un prisme électro

Bon Entendeur était loin de s’imaginer jouer dans des mégalopoles américaines, il y a encore 8 ans de cela. Arnaud Bonet lançait alors un projet de playlists mensuelles postées sur sa chaîne YouTube. Rapidement rejoint par son ami d’enfance Pierre Della Monica, les playlists deviennent des mixtapes, la première reprenant des brides d’interviews de Dominique Strauss-Kahn s’expliquant sur l’affaire du Sofitel, entre des morceaux électro, hip hop, disco dénichés sur le Net. “On avait fait ça comme une blague”, remémore Arnaud Bonet, surpris par le succès. “Et vite, on a eu mille autres idées de personnalités éloquentes.” Nicolas Boisseleau se greffe dès 2014 au projet. Ensemble, ils ont été jusqu’à réaliser des entretiens originaux, dont ceux de Pierre Ninet, Frédéric Beigbeder et Patrick Poivre d’Arvor. Outre la cinquantaine de mixtapes à leur actif, ceux qui se définissent comme des “geeks” ont également développé une application mobile, travaillent sur une web-radio, et ont réalisé des remix de chansons françaises.

“Monaco”, “La Rua Madureira”, “Le Temps est bon” d’Isabelle Pierre (plus de 8 millions de vues sur Youtube) : les remix de Bon Entendeur ont touché une large audience. “L’idée est de faire renaître des morceaux, les faire découvrir sous une approche plus électronique”, résume Arnaud Bonet. Mais comment choisissent-ils les chansons ? “On écoute beaucoup de musique, et notamment des années 1960 et 1970. Il faut que la mélodie reste dans la tête”, explique Pierre Della Monica. “Après, il faut aussi obtenir l’autorisation pour avoir les droits.”

Et la chanson française se porte bien. Comme le rappelle le collectif, le top 10 des artistes les plus écoutés par les utilisateurs de Spotify en France en 2019 sont 100% francophones. “C’est dommage d’écouter un artiste sans jamais le voir en concert, et les stars américaines viennent peu souvent” dans l’hexagone, commente Arnaud Bonet.

Un projet difficile à internationaliser

Après une timide incursion sur le sol américain l’an dernier, ils sont revenus un peu plus fort avec davantage de dates cette année – à San Francisco, Los Angeles, Montréal et New York, organisées par le tourneur UTA. “L’idée est de jauger à chaque fois et d’augmenter la jauge au besoin (comme à New York où ils passent d’une salle d’une capacité de 300 à 750 personnes) ; pour à terme se produire dans des salles plus grandes, tout en commençant à proposer des concerts dans de nouvelles villes comme Seattle et Miami”, présente Nicolas Boisseleau, qui à l’instar de ses compères, préfère se montrer précautionneux et commencer petit. Et pourtant, le collectif a déjà rassemblé près de 3000 personnes à L’Olympia à Paris, et se produira en mars au Zénith.

Bon Entendeur s’imagine alors bien suivre les traces de Polo & Pan, quasiment “sold out” à chaque concert outre-Atlantique.

“Ce n’est pas évident d’internationaliser notre projet car ce sont des chansons et des mixtapes en français, mais cela reste un défi”, admet Pierre Della Monica. En incluant des mixtapes en anglais ? Pas forcément : “Je crains que le message soit confus. Comme ce n’est pas notre langue, ce sera difficile de comprendre les sensibilités.” Il y aurait alors l’aura qu’apporte le festival Coachella. “Ca crédibiliserait le projet à l’international”, concède Pierre Della Monica, qui ajoute que le collectif “ne vit pas pour ça”. Car, finalement, une carrière aux Etats-Unis n’est pas leur rêve, mais les concerts y sont “un kiff”. “Et surtout de voyager à travers le monde grâce à la musique”, insiste Nicolas Boisseleau.

Après ou avant leurs DJ sets, les Parisiens ont ainsi pris quelques jours pour explorer les villes californiennes, qu’ils découvraient de leurs yeux d’adultes. “On a adoré San Francisco, on s’imagine bien y vivre”, lâche Arnaud Bonet, qui a apprécié voir des gens apaisés, promener leur chien en bord de mer et un trafic délesté. “Ca ressemblait à un dimanche matin, mais en semaine.”

Moi Impat : “Les recruteurs sont frileux avec les impatriés “.

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Pour ce 43ème numéro de “Moi Impat”, nous avons rencontré une “serial” expat, Delphine Marteau. Cinq destinations différentes, deux impatriations et un bouquin* plus tard, Delphine a eu besoin de « re-sentir la France ». Marseille puis Paris pour poser ses valises et tenter sa chance auprès des recruteurs. «Quand on s’installe quelque part, on reconstruit une vie ». Et Delphine nous le confirme, la petite flamme est toujours là.

*« L’expatriation au féminin » éditions L’harmattan

Listen to “Moi Impat : “Les recruteurs sont frileux avec les impatriés “.” on Spreaker.

4 camps français pour le Spring Break à Washington DC

Vous cherchez quoi faire des enfants pendant les vacances de printemps? On a ce qu’il vous faut: notre liste de 4 camps francophones.

Alliance française (Washington DC)

L’Alliance française de Washington DC organise des camps lors de toutes les vacances scolaires, au plus grand bonheur des enfants et des parents. Du 13 au 17 avril, les éducateurs accueillent les enfants âgés de 5 à 11 ans. La semaine coûte 450 dollars pour les membres et 500 dollars pour les non-membres. Les enfants peuvent choisir de ne venir que pour la journée, 95 dollars pour les membres et 105 dollars pour les non-membres. Rendez-vous de 8:30am à 3:30pm avec la possibilité d’inscrire les enfants en garderie de 3:30pm à 5:30pm (coût supplémentaire). Pour plus d’informations sur le thème et les activités, il faut envoyer un email à children@francedc.org. 2142 Wyoming Ave NW. Site.

Rochambeau (Bethesda, Maryland)

Comme chaque année, l’Ecole internationale française Rochambeau organise “Les Camps de printemps” lors des vacances d’avril calées sur le calendrier français, du 20 avril au 1er mai cette année. Sur le campus de Bradley, des activités sont proposées pour les enfants âgés de 2 à 5 ans. Sur le campus de Forest Road, ce sont les enfants de 5 à 12 ans qui sont accueillis pour deux semaines. Les activités incluent l’art et de la cuisine en plein air. Ce printemps, l’école intègre un atelier de judo pour grâce aux clubs de judo parascolaires actuels. Comptez 350 dollars pour la semaine, ou 80 dollars la journée de 8:30am à 3:30pm avec possibilité de rester jusqu’à 5:30pm pour 20 dollars de plus. Rendez-vous à 9600 Forest Rd, Bethesda. Site.

Kids Language Arts (McLean, Virginie)

Du 6 au 10 avril, la Kids Language Arts accueille les enfants âgés de 3 à 12 ans pour une semaine d’activité. La langue française est approfondie à travers l’art, le théâtre et par les conversations menée entre les enfants et les éducateurs. Comptez 495 dollars pour la semaine, de 9am à 6pm. Rendez-vous à 1481 Chain Bridge Rd #103, McLean. Site.

Kids & Culture Camp (Washington DC)

Du 13 au 17 avril, le camp va organiser des activités autour de “L’héritage haïtien héroïque” pour les enfants âgés de 3 à 12 ans. Au programme, des jeux autour de l’histoire, de la géographie, de l’art, des mathématiques. Des séances de yoga sont aussi intégrées. Comptez 300 dollars la semaine, de 9am à 3pm, pour les inscriptions faites avant le 15 février, puis 320 dollars après. Possibilité de garderie de 7.45am à 9am pour 60 dollars, et de 3pm à 5pm pour 80 dollars. Rendez-vous à DC Bilingual, 33 Riggs Rd NE. Site.

Un soir avec Montand

Pierre Cassignard a privilégié dans ce spectacle musical les chansons d’Yves Montand qui racontent une histoire, celles qui campent de vrais personnages. On retrouve donc un champion de boxe aveugle, un énigmatique Lord Anglais ou une vieille prostituée attendrissante…

Vingt-deux chansons qui font un recital plein de fantaisie, de joie de vivre débordante et d’infinie tendresse. Bien-sûr on vous conseille de venir… à bicyclette !

Pierre Cassignard accompagné au piano par Patrice Peyriéras.

Concert de la Francophonie à Houston

Organisé pour la huitième année par les Services culturels de l’Ambassade de France, le 2020 French Cultures Festival célèbre la lague française et les cultures francophones tout au long du mois de mars au Texas, Oklahoma et Arkansas.

L’évènement commence par un grand concert gratuit le vendredi 6 mars au Discovery Green Park à Houston. Au programme : le Français CharlElie Couture, la Québecoise Ariane Roy et le groupe texan Vodi.

Hommage à Tomi Ungerer avec l’Union Alsacienne

Il y a tout juste un an, les Strasbourgeois s’étaient pressés dans la cathédrale pour rendre hommage à Tomi Ungerer, tout juste après sa mort. Un hommage très international, l’image de la vie du dessinateur, né en Alsace, mais qui vivait depuis plusieurs décennies en Irelande et était célèbre notamment aux Etats-Unis.

Un an plus tard, l’Union Alsacienne de New York et le Paris American Club lui rendent hommage le 13 février au National Arts Club pour commémorer l’artiste à l’occasion du premier anniversaire de sa mort.

Mr. Ungerer burst onto the children’s-book scene in 1957 with “The Mellops Go Flying,” the first in a series about an adventurous family of pigs.Décédé à l’âge de 87 ans, Tomi Ungerer laisse une oeuvre aussi riche que diverse, allant des illustrations pour enfants aux dessins érotiques. Il s’est d’abord fait connaître aux Etats-Unis en 1957 avec la publication du premier numéro de la longue série des Mellops, une famille de cochons particulièrement aventuriers.

Très vite, tout en continuant de publier des livres pour enfants à succès, il dessina également pour les adultes. Dans les années 1960, ses dessins anti-guerre du Vietnam lui assurèrent un surcroit de popularité -et d’ennemis.

C’est plus récemment que sa place et son rôle avant-gardiste dans les arts graphiques a été reconnu, avec notamment une rétrospective au Drawing Center de New York.

Sugar Sammy, roi de l’impro, à New York

Superstar au Canada, Sugar Sammy a conquis la France depuis quelques années avec son talent rare pour l’improvisation -et l’humour bi-culturel.

Il est de retour en Amérique du Nord pour une tournée -en anglais- et de passage à New York du 27 au 29 février au Carolines sur Broadway. Le Canadien anglophone d’origine indienne excelle à improviser et à jouer avec les accents et les langues qu’il maîtrise parfaitement (français, punjabi, hindi…). Son talent à provoquer le rire et et l’indignation lui ont valu le succès dans plus de 30 pays à travers le monde.