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La soirée raclette de French Morning revient à New York le 8 février

En France, on aime tellement la raclette qu’on est prêt à tout pour justifier notre passion. Un magazine féminin a même récemment réussi à expliquer que la raclette était “bonne pour votre corps”… Nous, on ne vous promet pas que vous perdrez des kilos, mais on vous garantit que vous passerez une belle soirée, conviviale et chaleureuse.

La recette est simple: du fromage -beaucoup-, des pommes-de-terre, de la bonne charcuterie et surtout des amis. C’est ce qu’on vous propose le 8 février 2020, pour la grande soirée raclette organisée par French Morning à Manhattan !

Venez entre amis ou en famille, installez-vous confortablement autour des tables du District et passez un moment délicieusement convivial.

Pour assurer le succès, nous avons changé de partenaire cette année et choisi l’excellente équipe du District pour accueillir cette raclette. Les places sont limitées et nous vous conseillons de réserver au plus vite.

La soirée sera composée de 2 services : un premier de 6:30pm à 8:30pm et un deuxième de 9:30pm à 11:30pm.

Cette année, en plus de votre repas, votre billet vous donne accès à des tarifs préférentiels aux 2 bars du District pendant 30 minutes avant chaque service.

A vos marques, prêt, raclette!

Merci à nos partenaires Le District et Les Trois Petits Cochons.

François Penguilly : “L’éducation bilingue est une de nos priorités”

François Penguilly s’est installé au 4101 Reservoir Rd depuis le 3 septembre dernier avec enthousiasme. Pour son premier poste de consul général, Washington est une ville qu’il a aimée instantanément. “J’ai été surpris de voir un environnement si champêtre et forestier”, admet-il. Les musées gratuits, le côté familial de la capitale, et les activités sportives à porter de main ont séduit le consul et sa famille. 

Après quatre années à Abou Dabi en tant que premier conseiller à l’Ambassade de France aux Emirats Arabes Unis, François Penguilly a succédé à Michel Charbonnier, qui était en poste depuis 2015. Entre le Moyen-Orient et les Etats-Unis, il découvre un nouveau monde. Après un poste de conseiller politique à Alger, puis à Jérusalem en tant que consul général adjoint, et enfin aux Emirats Arabes Unis, François Penguilly ne connaissait des Etats-Unis que New York et l’ONU en tant que rédacteur à la direction des Nations Unies, son premier poste au quai d’Orsay. “Dès mon arrivée, j’ai senti la vitalité de la communauté française”, souligne-t-il. 

Il a vite compris que l’une des priorités de cette communauté, c’est le bilinguisme. “L’éducation bilingue est une de nos priorités”, affirme-t-il. “C’est aussi une question de diplomatie d’influence, et comment faire pour élargir et toucher les publics jeunes”, confie-t-il, en ajoutant qu’il travaille sur un volet de formations professionnelles. 

François Penguilly a été très touché quand une école de Baltimore a récité le serment d’allégeance en cinq langues, dont le français, ce qui “était assez extraordinaire” selon lui. Il a ressenti les mêmes émotions en visitant Rochambeau à Bethesda ou l’école française de Philadelphie. L’éducation bilingue, c’est aussi miser sur “l’attractivité de la France pour les publics américains et les résidents”, souligne-t-il, notamment pour attirer des étudiants et des chercheurs. “Comment attirer les meilleurs vers nos universités françaises?”, se questionne-t-il. 

L’autre priorité du nouveau consul, c’est la diplomatie économique. “Nous travaillons à promouvoir l’implantation des entreprises françaises, et surtout des PME”, explique-t-il, rappelant que le consulat à pour mission d’aider l’installation des entreprises françaises aux Etats-Unis. A l’inverse, il travaille aussi à promouvoir la France comme une destination économique pour les Américains. “Les différences de cadre fiscale et de droit du travail peuvent inquiéter des acteurs économiques américains”, admet-il, tout en rappelant que “il y a quand même énormément de projets qui se concrétisent et les Etats-Unis restent le premier investisseur étranger en France!”.

Dans un autre volet, le changement climatique est aussi dans le viseur du consul général. “Il y a des coopérations en place entre les villes, Washington DC avec Paris, ou encore le Maryland avec les Haut-de-France, il y a beaucoup à faire”, souligne-t-il. 

Parmi les autres missions du consulat, François Penguilly rappelle les avantages de s’inscrire à voter dans la capitale, notamment avec les élections consulaires du 16 mai prochain. “J’invite tous les Français de notre circonscription de procéder à une inscription en ligne ou sur rendez-vous”, rappelle-t-il. 

Pour marquer son arrivée, François Penguilly a ouvert le premier compte twitter pour le consul général de Washington sur lequel il documente les activités de l’institution, comme dernièrement, en décembre, la rencontre entre l’ambassadeur, le consul général et la maire de Washington

Esther Duflo à la Nuit des idées 2020 à Brooklyn

La Nuit des idées revient à la Brooklyn Library dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 février. L’évènement, co-produit par les services culturels de l’ambassade de France, attire chaque année des milliers de personnes qui viennent réfléchir et philosopher de 7h du soir à 7h du matin.

Cette année, ce marathon intello accueillera notamment Esther Duflo, la toute récente prix Nobel d’économie, qui lancera la soirée par un discours inaugural d’une demi-heure.

Parmi les autres conférenciers, on trouve notamment le sociologue Didier Fassin, la philosophes Catherine Malabou et Barbara Stiegler, l’auteure Maïa Mazaurette et bien d’autres.

Voir le programme complet ici

 

Faut-il faire confiance aux “walk-in clinics”?

En quelques années, l’explosion des cabinets médicaux sans rendez-vous, qu’on les appelle “urgent care centers” ou “walk-in clinics”, ont changé radicalement l’offre de santé à New York. Faut-il leur faire confiance? 

Lorsqu’elle est arrivée à New York, il y a 3 ans, Lorraine (qui n’a pas souhaité communiquer son nom de famille) était bien décidée à trouver un médecin généraliste : “J’ai une bonne assurance, donc je me suis dit que ce ne serait pas trop difficile. Bêtement je suis allée frapper au cabinet médical à côté de chez moi et là on m’a expliqué que le médecin ne prenait pas de nouveaux patients.” Un deuxième a exigé le paiement d’un “concierge fee” de 1.500 dollars par an, en plus du prix des visites. Le troisième a finalement accepté de la prendre sans difficulté mais en lui fixant un rendez-vous… trois mois plus tard. 

“Résultat, quand j’ai eu une angine quelques semaines après être arrivée, j’ai poussé la porte d’une boutique sur la devanture de laquelle était écrite ‘Urgent care center’. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais j’ai été agréablement surprise. Dix minutes après être entrée, j’ai pu voir un médecin qui m’a vraiment auscultée et donné le diagnostic”, se souvient-elle.

Comme Lorraine, ils sont de plus en plus nombreux à expérimenter ce qu’on appelle au choix les “urgent care centers” ou “walk-in clinics” (littéralement : “clinique sans rendez-vous”). Le plus souvent elle ont vitrine sur rue, une salle d’attente pimpante et des heures d’ouverture plus qu’accommodantes. Selon les cas, les visites sont assurées par des médecins généralistes, par des infirmières ou d’autres professionnels de santé non médecins. Depuis une dizaine d’année aux Etats-Unis, leur nombre a explosé. A New York, des chaînes comme City MD, Med Rite ou UMD Care ont ouvert des dizaines de centres, que l’on trouve également au sein des pharmacies comme CVS.

A cette croissance spectaculaire correspond une autre réalité de la santé américaine : le médecin de famille se meurt. D’après l’organisme indépendant Health Care Cost Institute, entre 2012 et 2016, les visites chez un médecin généraliste (“primary care doctor”) ont diminué de 18% aux Etats-Unis, alors que toutes les autres dépenses de santé, notamment les visites chez les spécialistes, augmentaient. Les médecins de famille sont attaqués de toutes parts. Ils sont d’abord victimes des changements de modes de vie. 

“Les patients veulent avant tout la facilité d’accès, sans attente, plutôt que la qualité de la relation entre médecin et patient”, constate Eric Kenworthy, médecin de famille à Brooklyn depuis trente ans qui a vu une bonne part de sa clientèle le quitter pour les “minute clinics”. Et dans le même temps, la pression économique exercée par les assurances – accentuée par Obamacare – conduit de nombreux médecins indépendants à rejoindre des réseaux d’hôpitaux gigantesques. En 2012, d’après Medicare, 25% des médecins américains travaillaient pour un hôpital. Ils sont aujourd’hui 45%. “Toutes les études montrent que ce mouvement n’offre pas une meilleure qualité de soins aux patients, souligne Aditi Sen, professeur à Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, mais en revanche, cela fait augmenter les coûts !”

Devant cette disparition du médecin de famille, les “walk-in clinics” ont un bel avenir et une utilité certaine pour le système de santé : elles évitent d’encombrer inutilement les services d’urgence des hôpitaux, et coûtent dix à quinze fois moins cher. Mais c’est surtout le confort d’utilisation qui fait leur succès auprès des patients. “Ce n’est pas un hasard si les ‘millennials’ sont les meilleurs clients de nos centres, insiste Laurel Stoimenoff, directrice de l’association professionnelle Urgent Care. Ils ont une exigence en matière de service que n’ont pas forcément les générations précédentes, lorsque l’on parle santé et médecine.” 

Selon une étude de la même association, la quasi totalité (96%) des avis négatifs donnés par des patients sur un médecin sont en fait liés à la qualité de service (accueil, délai d’attente, etc.) et non pas à la qualité des soins prodigués. Parce qu’ils mettent l’accent sur le service, ces cabinets médicaux du XXIe siècle répondent à la demande des patients. Une évolution que les “entrepreneurs-médecins” qui sont souvent derrière ces nouvelles chaînes ont bien senti. 

“Nous sommes à une ère où le patient est devenu consommateur; tout doit être pratique et aller vite”, dit ainsi Richard Park, co-fondateur de CityMD, une des chaînes qui a le vent en poupe à New York et compte quelque 120 cabinets dans l’agglomération. Il aime raconter que, plus encore que l’école de médecine, c’est son expérience dans un magasin de tirages de photos en une heure, alors qu’il était étudiant, qui lui a appris “ce qui fait la différence : qualité du service et rapidité d’exécution”

Ce fils d’immigrants coréens, élevé à Queens à New York, se dit fier d’avoir installé le plus grand cabinet de sa chaîne à Jacksons Height, le quartier d’immigrés où il a grandi. Une manière d’illustrer ce qu’il décrit comme la philosophie de CityMD : “Nous ne sommes pas là seulement pour soigner les malades, mais aussi plus largement pour ‘prendre soin’ des gens, des communautés où nous sommes implantés.”

Ce n’est pas le moindre paradoxe de l’expansion des “urgent care clinics” : sur le papier au moins et dans les discours de leurs défenseurs, elles revendiquent un rôle social qui fut celui du médecin de famille, dont elles contribuent pourtant à accélérer la disparition. “Toutes les start-ups ne parlent que de ‘disruption’, dit Richard Park. Pour nous la vraie disruption, c’est de revenir aux fondamentaux, remettre l’humain au coeur de notre activité et regagner la confiance des patients en leur offrant les meilleurs soins à des prix accessibles à tous.”

Hippocampe fou en concert à Brooklyn

Le rappeur français, auteur et interprète, Hippocampe Fou, vit à Brooklyn depuis trois ans. Avant de retourner en France dans quelques mois, il se produit le samedi 8 février à 4 pm pour un concert destiné aux grands comme aux petits.

Reconnu pour son “flow” fluide au débit ultra rapide et sa technique qui oscille entre slam et rap, Hippocampe Fou s’est fait une place en France et une réputation de maître des “flows” les plus acrobatiques. Il sert ses textes inventifs sur tout type de rythme et de “bpm”.

Le programme:

– 3pm:  Activités, jeux et cadeaux pour tous les âges, autour de la musique et des paroles d’Hippocampe Fou
– 4pm: Apéro (goûter pour les enfants) et concert d’Hippocampe Fou avec plusieurs invités surprises.

Hélène David-Weill: “collectionner n’est pas accumuler”

Sa parole est aussi rare que son influence est grande dans le monde de la philanthropie franco-américaine. Hélène David-Weill est l’invitée de Philippe Ungar, pour le premier épisode de la collaboration entre French Morning et Sounds Like Portraits, une série de podcasts qui explore la créativité des deux côtés de l’Atlantique.

Epouse du très influent banquier Michel David-Weill, ancien président de la banque Lazard Frères, elle est celle vers laquelle toutes les institutions culturelles françaises se tournent lorsqu’elles veulent une entrée dans le monde philanthropique new-yorkais. Elle fut présidente de The Friends of the Centre Pompidou, ainsi que du Musée des Arts Décoratifs à Paris. Elles est membre du conseil d’administration du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, du Musée Carnavalet, de Parsons School Paris, de Bard Graduate Center New York et de FRAME aux États-Unis…

Mais Hélène David-Weill est surtout une grande collectionneuse -bien qu’elle s’en défende dans cette interview- et amateur d’art. Elle nous parle de ce qui fait une collection, de son goût pour les arts décoratifs et du mécénat en 2020.

La NYFACS forme les managers interculturels de demain

(Article partenaire) Les bienfaits du bilinguisme et de l’interculturalité aussi bien sur le développement personnel que professionnel des individus n’est plus à prouver. À New York, de plus en plus d’écoles proposent des programmes multilingues pour répondre à cette prise de conscience et à cette demande croissantes.

Parmi elles, la New York French American Charter School (NYFACS) va plus loin en se donnant pour mission de former des citoyens du monde afin de leur permettre d’assumer des postes de responsabilité dans une société multiculturelle.

La méthode NYFACS : associer les exigences académiques les plus strictes de la pédagogie française à l’approche américaine qui valorise l’individualité et la pensée critique.

Cet enseignement unique et rigoureux sert de véritable tremplin aux élèves qui en ressortent préparés pour de prestigieuses écoles aussi bien anglophones que francophones à travers le monde.

La diversité culturelle au coeur de l’apprentissage

Chez NYFACS, la diversité culturelle se vit au quotidien et des deux côtés du bureau, avec par exemple des enseignants de français réellement originaires de pays francophones.

De nombreuses nationalités et cultures sont représentées et cohabitent au quotidien, ce qui permet aux élèves de développer non seulement un respect envers l’autre et une meilleure compréhension de la culture et des coutumes d’autrui, mais aussi une curiosité envers le monde.

L’école accueille des élèves de la moyenne section jusqu’à la classe de 5ème, avec un accent mis sur l’inclusivité notamment pour les élèves ayant un IEP (Plan d’Éducation Individuel).

Sont ainsi proposés des services d’orthophonie, d’ergothérapie, du conseil psychologique et des classes de co-enseignement intégrés dans l’établissement. Un soutien scolaire particulier pour les élèves qui ne parlent pas ou ne maîtrisent pas tout à fait l’anglais avec des cours d’anglais en tant que langue étrangère sont également disponibles, ainsi que des cours de français en tant que langue étrangère aux élèves qui n’ont jamais ou très peu été exposés à la langue française.

Une école conçue pour l’excellence académique et le rayonnement

Les exigences académiques sont élevées à la NYFACS, et de nombreux programmes d’enrichissement sont proposés, comme la natation pour les élèves de CE1, les cours de yoga pour les classes de maternelle, le Saturday Academy pour un renfort en français avec les élèves volontaires du Lycée Français de New York, un after school ou encore des voyages culturels en fin d’année scolaire.

L’admission à la NYFACS se fait par loterie. Il est tout de même possible d’aller visiter l’école lors des journées Portes Ouvertes organisées chaque mercredi de 10am à 11am jusqu’à la fin du mois de mars : l’occasion de rencontrer une communauté diverse et unique et de découvrir un programme dispensé dans un environnement sain et réconfortant pour la croissance et l’épanouissement des élèves.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La Nouvelle Vague déferle sur le National Arts Club à New York

La Nouvelle Vague française en quatre courts-métrages: voilà le programme de “Savvy Sirens of the French New Wave”, la soirée-cinéma du National Arts Club (NAC) qui se déroulera mardi 21 janvier. Le NAC est un illustre club privé de Gramercy Park, mais la soirée est ouverte à tous.

Les films courts montrés lors de l’événement datent tous de la période 1956-1965. Ils sont issus de la collection personnelle d’Erik Carlson, un membre de NAC et grand francophile américain. Le programme n’a pas été révélé, mais les oeuvres, rarement projetées, comprennent une présence féminine inhabituellement forte pour l’époque, selon l’organisateur.

Erik Carlson fera aussi une présentation sur la Nouvelle Vague, période de ré-invention du cinéma français et de rejet des conventions du 7ème Art au milieu du XXème siècle. Il est conseillé de se présenter une demi-heure avant la projection pour être assuré d’avoir une place.

 

Rétrospectice Bernard-Henry Lévy au Nuart Theatre

Bernard-Henry Lévy est à Los Angeles, pour deux jours, le temps d’une rétrospective de ses documentaires, suivis de discussions avec le public.

On pourra voir “Peshmerga”, son film de 2016 sur les combattants kurdes contre les djihadistes en Irak, qui fut sélectionné à Cannes; “La Bataille de Mossul”, un road movie le long des 1000 kilomètres de ligne de front entre les Kurdes et Daech, au moment de la chute de l’organisation de l’Etat islamique; “Bosna”, film de 1994 sur le génocide subit par les populations bosniaques et le silence occidental de l’époque; le Serment de Tobrouk, film de 2012 sur le conflit en Libye, où l’écrivain réalisateur se met en scène, négociant avec le Conseil national de transition et plaidant pour l’intervention occidentale contre le colonel Kadhafi.

Les projections consécutives de “Peshmerga” et “La Bataille de Mossoul” seront suivies d’une discussion avec Bernard-Henry Lévy.

Le programme complet:

  • Vendredi 17 janvier
    19h00hrs – Projections de “Peshmerga” et “La Bataille de Mossoul”, suivies d’un question-réponse avec Bernard-Henry Lévy.
  • Samedi 18 janvier
    13:20hrs – Projection de “Bosna !”, avec introduction par l’auteur.
    16:20hrs – Projection du “Serment de Tobrouk”, avec introduction par l’auteur.
  • 19:00hrs – Projections de “Peshmerga” et “La Bataille de Mossoul”, suivies d’un question-réponse avec Bernard-Henry Lévy.

MyPrivateCoachApp, le “Uber” du coaching

(Agenda partenaire) Vous êtes coach ou investisseur ? Découvrez MyPrivateCoachApp, la première marketplace de coaching.

Rejoignez-nous le mercredi 29 janvier de 6:30pm à 8pm à Midtown (Manhattan) pour venir découvrir MyPrivateCoachapp, l’app qui révolutionne le coaching en ligne, et échanger avec les fondateurs Bérénice et Florent Baudouin autour d’un buffet.

Pourquoi ce concept ?

Le coaching est en train de se démocratiser mais il n’existe pas vraiment de marketplace dédiée aux USA. La mission de MyPrivateCoachApp est de révolutionner l’industrie du coaching en permettant à des experts (amour, travail, développement personnel, bien-être, sport, nutrition, mode, cuisine, etc.) de partager leurs connaissances et expériences avec ceux qui en ont besoin – de permettre à monsieur et madame tout le monde d’obtenir des conseils à moindre coût, n’importe où et n’importe quand sur tous les sujets qui leur tiennent à coeur.

L’histoire de MyPrivateCoachApp

En janvier 2019, la psychologue Bérénice Boursier-Baudouin, constatant les bénéfices des thérapies/coaching à distance VS en cabinet (cela fait plus de 15 ans qu’elle fait des thérapies par téléphone avec des personnes de tout âge et ayant différentes cultures et activités), décida de lancer un package unique de conseil par “text message” auprès de la communauté française expatriée aux USA. Elle a reçu plus de 350 demandes en moins de 45 jours !

C’est alors en juin 2019 que le développement de l’application a démarré. Le lancement pour le grand public est prévu pour 1er Juillet 2020. Les 6 prochains mois seront dédiés aux recrutements de 10,000+ coachs qualifiés dans notre réseau et à améliorer la plateforme.

MyPrivateCoachApp aujourd’hui, c’est :

– 25,000 candidatures de coachs
– 10,000 utilisateurs dans la database en liste d’attente
– 10 employés basés à Miami
– 15 médias ont parlé du projet dont Les Echos, en attendant une trentaine d’autres dans le courant du 1er trimestre 2020 dont Voici, Challenges et Le Figaro Madame.
– 2 business models totalement diffèrent :
1) APPLICATION : coaching en ligne entre coachs et utilisateurs
2) WEBSITE : mise à disposition d’outils technologiques et marketing pour les coachs (site web, réseau, référencement, service & conseil marketing, promotion digitale, advertising, création d’événements)

Rendez-vous le mercredi 29 janvier !

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Podcast: Comment les bilingues apprennent à lire

Dans quelle langue doit-on commencer à lire ? Quelles sont les bonnes pratiques d’enseignement de la lecture et de l’écriture en contexte bilingue ?
Quels conseils donner aux parents qui n’ont pas accès à une école bilingue pour développer le bilinguisme. Voici quelques questions abordées dans ce nouvel épisode de Révolution bilingue avec Marie Bouteillon, une pédagogue passionnante et engagée dans le développement de l’enseignement en deux langues, qui nous parle du rapport parfois tendu qui existe entre la langue dominante et la langue seconde et le rôle essentiel, et parfois difficile, que jouent les enseignants dans le processus d’apprentissage de la lecture et de l’écriture en deux langues.

Révolution Bilingue est soutenu par la fondation CALEC (Center for Advancement of Languages, Cultures and Communities).

Listen to “Podcast: Comment les bilingues apprennent à lire” on Spreaker.

Deux françaises ouvrent un centre de médecine alternative à Manhattan

Si réaligner vos chakras fait partie de vos résolutions pour 2020, Julie Fotis et Marie Viellard ont un plan pour vous.

« L’idée c’est ce concept de body, mind and soul, de reconnecter le corps, l’esprit et l’âme » confie Julie Fotis, co-fondatrice de l’Uma center, et spécialiste de l’Akashic, une thérapie spirituelle utilisée pour dénouer certains blocages chroniques.

Après avoir travaillé ensemble pendant une année dans l’ancien cabinet de Marie Viellard, spécialiste de l’Ayurveda, la médecine traditionnelle Indienne, les deux coachs décident de s’agrandir et ouvrent l’Uma Center, un centre de santé holistique, dans l’Upper East Side. A côté du cabinet, un espace est dédié au yoga, au pilate et à différents ateliers.

Les deux Françaises pratiquent la médecine holistique, dite alternative ou parallèle, qui appréhende l’individu dans son intégralité, à savoir son corps, ses émotions, son mental et son esprit. « La médecine que tout le monde connait soigne la maladie, nous on a plus une approche globale, on est dans la compréhension, on va chercher les sources du problème, du côté des émotions », explique Marie Viellard.

Avec l’Ayurveda, la Française originaire de Bretagne de 40 ans travaille sur l’alimentation, utilise des plantes, les techniques du massage et d’acupression, et recommande certains changements dans l’hygiène de vie. « On explique aux gens qu’ils sont maîtres et responsables de leur santé, et qu’elle ne dépend pas forcément de l’extérieur ».

Leurs patients viennent les voir pour des insomnies, un mal de dos, des problèmes digestifs, des déséquilibres hormonaux, du stress, une dépression. « On peut tout traiter explique Marie Viellard, les gens en ont marre de prendre des médicaments, ils n’ont pas confiance en le système de santé américain. Parfois en modifiant peu de chose dans son quotidien, on voit beaucoup de changements ».

La médecine holistique a l’ambition de proposer un traitement personnalisé, adapté à chaque individu et s’attaque à la maladie et aux dysfonctionnements sous des angles différents de la médecine dite allopathique, la médecine générale en occident. « On ne soigne pas chaque patient de la même façon, comme on le ferait par médicament. Le traitement dépend de la cause du mal et du profil de la personne. On essaye de comprendre comment les gens fonctionnent » précise Marie Viellard.

De patientes à praticiennes, les deux femmes comprennent bien la démarche de ceux qui sollicitent leurs services. Passées par Paris et installées à New York depuis respectivement 3 et 7 ans, les deux Françaises ont changé de vie grâce à ces pratiques. 

Alors qu’elle est assistante-trader pour une banque d’investissement, Julie Fotis, n’arrivait pas à avoir d’enfant, et décide de travailler sur les énergies grâce à l’Akashi, une méthode de méditation suivie, transmise par sa maman.  « Je suis tombée enceinte, j’ai quitté mon travail et j’ai entamé une formation de coach santé ».

De son côté, Marie Vieillard évoque sa vie d’avocate à Paris avant de passer 10 ans au Mexique, où elle exerce les professions de photographe et de prof de yoga. « Je me rappelle dans l’état dans lequel j’étais, avec le style de vie que j’avais, je comprends maintenant pourquoi j’étais tout le temps malade ». Depuis 2012, elle se consacre à la pratique Ayurvédique, après avoir fait ses classes à l’European Institute of Vedic Studies, en Suisse puis en Inde.

Les deux femmes travaillent main dans la main, parfois avec la même clientèle, qui est pour l’essentiel composée à 80% de femmes, en majorité françaises, entre 30 et 60 ans.

Avec l’espace complémentaire à côté du cabinet, les deux fondatrices du centre veulent créer une « vraie communauté, qui partagent les mêmes idées et les mêmes valeur, espère Julie Fotis, on fait se rencontrer le maximum de personnes, on fait venir le maximum de thérapeutes pour partager les expériences et multiplier les solutions. »

Côté tarif, il faut compter environ $200 la séance de consultation, qui dure entre une heure et une heure et demie.