Accueil Blog Page 447

Chandeleur 2020 : où manger de bonnes crêpes à Miami ?

Le dimanche 2 février n’est pas seulement synonyme de Super Bowl. Pendant que certains regarderont le match, d’autres dégusteront de bonnes crêpes à l’occasion de la Chandeleur. Voici une sélection non-exhaustive d’adresses où vous régaler à Miami et autour.

Parmi les petits nouveaux, Matthieu Cartron, qui a récemment ouvert la boulangerie-bistrot La Croquantine à Doral, réalise différentes crêpes salées et sucrées. Optez pour la « Campagnarde » au poulet, mozzarella et champignons, avant de vous laisser séduire par une crêpe sucrée au chocolat noir ou à la confiture. Prévoyez de 8 à 13,50 dollars selon la recette. 7930 NW 36th St #30, Doral – (786) 899-0509

Les crêpes sucrées concoctées par Blue Paris Bakery & Bistro à Miami Beach devraient également ravir les papilles des plus gourmands. L’enseigne qui a ouvert ses portes en octobre dernier près de Lincoln Road propose les traditionnelles crêpes au sucre et à la confiture ainsi qu’une création aux myrtilles et cotija, un fromage mexicain, le tout surmonté de sirop d’érable. 1629 Collins Ave, Miami Beach – (786) 536-7255

À l’occasion de la Chandeleur, A La Folie Cafe Francais met aussi la main à la pâte à crêpe. Cet établissement de Miami Beach, installé sur Española Way, offre un large choix de galettes salées à la farine de sarrasin. Cédez à la tentation face à l’« Impériale », la signature de la maison, aux champignons et à l’huile de truffe agrémentée d’une cuisse de canard confite. S’il vous reste encore un peu de place, succombez à une crêpe à la crème de marron, au miel ou encore aux poires caramélisées. Comptez de 5 à 18 dollars selon la création. 516 Española Way, Miami Beach – (305) 538-4484

À Crepe Connection Café à Miami, vous pourrez déguster des recettes traditionnelles bretonnes, mais aussi remises au goût du jour comme la « Tropical Chicken » au poulet grillé, oignons sautés, champignons et ananas ou encore la « The Cuban » au steak grillé, poivron et champignons, le tout relevé d’une sauce à l’oignon. Côté sucré, la « Fruity Monkey » à la banane et aux fraises arrosées de chocolat fait également saliver. Les prix varient de 5,50 à 13 dollars. 14264 SW 8th St, Miami – (305) 485-0085

À Wilton Manors, près de Fort Lauderdale, la Bretonne Sylvie Le Nouail fait sauter les galettes à base de farine de sarrasin dans la pure tradition de sa région natale. À la carte de son établissement Voo La Voo Cafe figurent des recettes classiques comme l’incontournable complète au jambon, fromage et oeuf, mais aussi des créations plus originales comme « La Printanière » au fromage de chèvre, poires, fraises, noix caramélisées et avocat, sans oublier plusieurs recettes sucrées. Prévoyez de 8 à 14 dollars la crêpe. 2430 NE 13th Ave, Wilton Manors – (754) 200-5285

Salées comme sucrées, les créations de La Bonne Crêpe à Fort Lauderdale satisferont toutes les envies. L’enseigne, installée sur Las Olas Boulevard, ne fait pas dans la dentelle et propose notamment une longue liste de galettes à la sauce américaine comme la « The American » avec de la viande hachée, du cheddar, des tomates, des oignons caramélisés ainsi que des cornichons ou encore la « Ocean » au saumon et aux brocolis arrosés d’une bisque de crabe. La galette est facturée de 7 à 26 dollars selon la recette. 815 E Las Olas Blvd, Fort Lauderdale – (954) 761-1515

Comme il n’est jamais trop tard pour fêter la Chandeleur, Bucks, fermé le dimanche 2 février, accueillera ses clients dès le lendemain. Cet établissement, qui a récemment pris ses quartiers dans le food hall Central Fare à la gare ferroviaire Virgin MiamiCentral, propose des galettes et des crêpes sous une forme rectangulaire. Au menu : la traditionnelle complète mais aussi des recettes plus originales et locales. Comptez de 5 à 12 dollars la crêpe. 600 NW 1st Ave, Miami – (833) 327-3737

Enfin, vous pourrez également fêter la Chandeleur après l’heure chez Mirabelle, l’enseigne du meilleur ouvrier de France Georges Berger implantée à Downtown Miami, ou encore au Semilla à Miami Beach, puisque les deux établissements concoctent différentes recettes dont la reine des crêpes françaises : la « Suzette », flambée au Grand Marnier et aromatisée aux zestes d’orange.

Emilien Crespo capture “The Soul of Los Angeles” au travers de 30 expériences

“Quand les gens critiquent Los Angeles, c’est généralement qu’ils ont peur d’explorer et ont probablement trop l’habitude de villes où ils n’ont pas à creuser pour trouver de belles choses” : le Français Emilien Crespo reprend cette citation du chanteur Moby comme un mantra, et l’incipit de son guide Soul of Los Angeles : guide des 30 meilleures expériences, paru aux éditions Jonglez. Disponible en anglais aux Etats-Unis depuis mi-décembre et à compter du 7 février dans sa version française, ce livre “loin des clichés” offre une version condensée ce qu’il faut vivre dans la cité des anges. Le Français va jusqu’à parler d’“une lettre d’amour à la ville”.

“L.A. est un terrain de jeu extraordinaire, elle doit se prendre comme une chasse aux trésors, où il ne faut pas avoir peur de faire des kilomètres supplémentaires”, plaide l’entrepreneur aux airs de dandy, qui explore Los Angeles depuis son expatriation en 2009. Pour se faire, il s’est notamment inspiré de son idole, le feu Jonathan Gold, critique de restaurants du Los Angeles Times et célèbre pour sa liste des 101 meilleurs restaurants de la ville. Une liste qu’il compare à “une boussole”. “J’ai appréhendé L.A. de la même façon pour le retail, le stand-up, les plages, les randonnées…”, décrit celui qui avoue avoir testé 1700 lieux en une décennie.

Sur 123 pages, il livre un condensé sélectif de ses explorations incessantes, “ce qui fait l’âme de L.A”, dont une toile au cinéma de Quentin Tarantino, l’avocado toast si particulier de Squirl, une plage secrète de Malibu, le menu secret du fast-food californien In-N-Out, ainsi que des lieux exclusifs – et jamais cités. “Le guide s’adresse aux locaux, comme aux touristes pour qui L.A. est une ville difficile d’accès”, assure l’entrepreneur qui livre sa demi-journée parfaite à Los Angeles, composée d’une visite de la Stahl House, d’un repas à Night+Market, suivi d’un verre à Jumbo’s Clown room.

Des expériences, parfois assorties d’interviews (dont une de Jonathan Gold), et illustrées par les dessins et photographies colorées d’expatriées comme lui, la photographe espagnole Pia Riverola et l’illustratrice bretonne Clara Mari.

Une vie professionnelle frénétique

La concrétisation de ce projet est dû à la réputation -et au charisme- d’Emilien Crespo. Mais aussi à sa rencontre avec Fanny Pechiodat, la co-fondatrice de My Little Paris qui a créé cette collection de guides. Captivée par la personnalité “folle, vibrante et excessive” de cet expatrié, comme elle l’écrit dans la préface, elle lui a demandé de participer à l’aventure, il y a un an et demi.

Un nouveau challenge qui emballe directement cet entrepreneur, débarqué il y a dix ans sur la côte ouest. A l’époque, il est responsable de stratégie culturelle pour le groupe Apple. Une mission qui lui sied et qu’il assurera jusqu’en 2017, moment où Emilien Crespo décide de laisser s’exprimer sa fibre entrepreneuriale. Il crée notamment la société Ordinary Flame, qui a vocation à vendre des éditions limitées d’artistes contemporains au profit d’oeuvres de charité. Il propose par ailleurs ses services de consultant avec Sublime Project.

En parallèle de ses activités professionnelles et de ses expériences -à coup d’un restaurant par jour-, il collabore avec plusieurs magazines comme Purple, News en Italie ou Autre. “Dans le journalisme, comme avec ce guide, j’aime partager”, admet celui qui a débuté dans des radios étudiantes quand il faisait ses études à Sciences Po Paris.

Désormais, il est la voix de Los Angeles, une ville qui “ne cesse de (l’)étonner par sa réinvention permanente”, et qu’il appelle volontiers “home”.

Les conseils de chefs français d’Amérique pour des crêpes comme à la maison

Le dimanche 2 février n’est pas seulement le jour du Superbowl. Alors que certains iront trouver les meilleures crêperies de leur ville pour fêter la chandeleur comme il se doit, d’autres vont s’appliquer à faire leurs crêpes en famille. French Morning a demandé aux chefs français basés aux Etats-Unis leurs secrets pour une crêpe maison bien réussie. 

Gilles Renusson, instructeur à la Secchia Institute for Culinary Education à Grand Rapids, dans le Michigan, se rappelle de la recette par coeur. “Il y a 50 ans pile, j’entrais dans un hôtel comme apprenti, et j’ai dû apprendre une cinquantaine de recettes par coeur, dont celle de la pâte à crêpe”. Immédiatement, le chef récite la recette qu’il connaît sur le bout des doigts. “Il faut un litre de lait, 400 grammes de farine, 7 oeufs, 50 grammes de beurre et de sucre et une demi cuillère à café de sel”. 

Il rappelle que “la poêle ne doit pas être trop chaude, c’est essentiel pour une bonne cuisson”. Son petit secret pour ajouter le beurre dans le mélange? “Il faut le laisser brunir un peu, et l’ajouter de suite à la pâte et bien remuer, et ensuite mettre la pâte au réfrigérateur la veille de la cuisson”. Le chef français précise que l’on peut y ajouter “du Grand Marinier ou cognac”. 

Pour Romain Cornu, chef pâtissier pour le Hakkasan Group à Las Vegas, “le plus important, c’est le beurre. J’utilise le beurre salé irlandais, c’est le top du beurre aux Etats-Unis. Ca donne plus de goût.” Une autre technique, qui rend la pâte plus légère, “c’est de battre les blancs avant de les ajouter au reste de la pâte”. Et pour toutes ses pâtisseries, Romain Cornu confie qu’il prend exclusivement “de la Fleur de sel”. Et pour le lait, “le lait bio, qui a plus de gras, est aussi le top”. 

Alors que pour Jean-Claude Perennou, chef-pâtissier à Cannelle Lic, à New York, “le plus important, c’est la farine, je prends la ‘King Arthur’ qui est une bonne qualité”. Ce Breton rappelle que “ce qu’il ne faut pas oublier, c’est qui faut laisser reposer la pâte au moins 4 heures, ça l’a rend moins élastique” afin que l’amidon de la farine puisse gonfler. Et une fois la crêpe prête, selon lui, “pour les crêpes sucrées, le combo gagnant, c’est banane, nutella avec une boule de glace”. 

Le problème que l’on rencontre souvent, ce sont les grumeaux qui se forment dans la pâte. Yannick Dumonceau, originaire de Lyon et chef pâtissier à ONE65 San Francisco, donne son petit secret : “il faut verser du lait tiède pour éviter les grumeaux”. Son soupçon d’amour : une goutte de rhum ou de la fleur d’oranger pour donner un goût différent à la crêpe.

Elodie Pouliquen-Darmon, de La Chouquette à Los Angeles, confie que “mon secret, c’est la bière blonde!”. Cette Parisienne, d’origine bretonne, a déménagé à Los Angeles il y a trois ans pour ouvrir la pâtisserie, La Chouquette. “Le plus important pour moi, c’est le beurre, je prends le beurre breton que l’on trouve à Trader Joe”. Pour la phase dégustation, elle aime rester “simple”. “Je mets du sucre et du jus de citron, c’est délicieux!”, explique-t-elle. 

Faire sauter la crêpe n’est pas seulement fait pour impressionner les amis américains. “Si l’on tient une pièce dans la main gauche, et que l’on fait sauter la crêpe de la main droite, cela apportera prospérité!”, rappelle Gilles Renusson. A vos poêles!

L’institut du monde arabe inaugure l’exposition “Cités Millénaires” à Washington

Pour la première fois, une exposition de l’Institut du monde arabe est exposée aux Etats-Unis. Pour marquer l’occasion, le président de l’Institut du monde Arabe a fait le déplacement à Washington. Jeudi 22 janvier, Jack Lang était l’invité du prestigieux Smithsonian national museum of Asian Art pour inaugurer l’exposition “Cités Millénaires. Un voyage virtuel de Palmyre à Mossoul”. Organisée et créée par l’Institut du monde arabe, l’exposition ressuscite virtuellement plusieurs sites historiques d’Alep et de Palmyre en Syrie, et Mossoul en Irak.

“Un signe de confiance de la part d’un musée unique”

“C’est une consécration que l’exposition soit à Washington, surtout pour les personnes qui aident à la protection de l’héritage”, s’est réjouit l’ancien Ministre de la Culture. Chase F. Robinson, le directeur de la galerie Arthur M.Sackler, a officiellement ouvert l’inauguration en rappelant : “La Syrie et l’Irak ont été les témoins de guerres et de massacres. Cette exposition refait vivre ces icônes historiques virtuellement.” 

“L’ouverture de cette exposition est un signe de confiance de la part d’un musée unique”, a renchéri Jack Lang, qui a insisté sur l’importance de protéger l’héritage du monde arabe dont une partie des vestiges millénaires é été bombardée et détruits par l’Organisation islamique, entre 2011 et 2017.

Une exposition entièrement virtuelle conçue par une société de jeux vidéos

Grâce à des procédés technologiques de pointe, l’exposition propose de découvrir les sites historiques détruits par l’Organisation islamique. Affublés de lunettes 3D et d’un casque spécial, les visiteurs ont l’impression de se promener au milieu du célèbre souk d’Alep en plein effervescence. Sons de rue, vue à 360 degrés, précisions des structures… Pour réussir son pari, l’Institut du monde arabe s’est entouré de la société de jeux vidéo Ubisoft, ainsi que d’Iconem et de l’Unesco.

L’exposition redonne vie virtuellement à des merveilles aujourd’hui disparues, comme le temple de Baalshamin de Palmyre, le souk d’Alep, les Tunnels de Nabi Yunus, l’Eglise Notre-Dame-de-L’Heure, ainsi que la célèbre Grande mosquée Al-Nouri à Mossoul en Irak. Grâce au procédé du 3D, les visiteurs peuvent également marcher au milieu des ruines ou dans des passages rendus normalement impossible à visiter à cause de l’érosion des sites. “Age Old Cities” permet également de connaître le quotidien de millions d’habitants en Syrie et en Irak pendant ces six années de guerre, grâce à des films courts projetés près des reconstitutions virtuelles. Un plongeon dans l’Histoire qui redonne de l’espoir, puisque ce voyage virtuel est également une aide précieuse pour une éventuelle reconstruction de certains sites historiques.

L’exposition “Age Old Cities” est présentée au Smithsonian’s National Museum of Asian Art, à la Freer Gallery of Art  entre le 25 janvier et le 26 octobre 2020. Plus d’informations ici

Immobilier : offrez-vous la Floride avec Vaneau Luxury Real Estate

(Article partenaire) Si vous aussi, vous voulez être au soleil tous les jours et vivre à deux pas de la plage sous les palmiers, Vaneau Luxury Real Estate peut faire de vos rêves une réalité. 

Vous souhaitez investir ou vous installer en Floride dans une ville ayant une position stratégique à l’échelle mondiale et avec une croissance économique stable ? Les équipes de Vaneau Miami sont à votre disposition pour vous accompagner dans toutes vos démarches ! 

Vaneau Luxury Real Estate est spécialisé depuis plus de 45 ans dans la vente et la location de biens immobiliers de prestige à Paris, Neuilly, Boulogne, Bruxelles, Marrakech, Dubaï, en Chine, sur la Côte d’Azur et à Miami. A travers ses 27 agences et bureaux, Vaneau est la référence de l’immobilier de prestige

La volonté première de Vaneau est de répondre à tous les besoins de ses clients. Grâce à sa gamme complète de services en immobilier et gestion de patrimoine, Vaneau accompagne ses clients dans leurs projets immobiliers en France et à l’international. 

C’est dans cet esprit de performance et d’excellence que Vaneau Luxury Real Estate s’est implanté à Miami, en ouvrant son agence Vaneau Miami. L’agence est dirigée par Gilles Danard, spécialiste dans la gestion de patrimoine, la vente et la location immobilière. Ses 15 ans d’expérience en France et les 10 ans aux Etats-Unis font de lui la personne idéale pour vous accompagner dans vos démarches immobilières en Floride. Gilles vous accompagne tout au long de votre projet. 

L’agence immobilière Vaneau Miami accompagne les acheteurs, vendeurs, propriétaires et locataires dans tous types de biens ou de transactions immobilières. La présence de Vaneau Luxury Real Estate à l’international permet aux clients d’être accompagnés dans la gestion de leur bien en France mais aussi, en même temps, lors de leurs démarches en Floride. Vaneau aide également ses clients, à travers les sociétés du groupe, à trouver des solutions à leurs problématiques civiles, fiscales et patrimoniales. Aussi, il est essentiel, afin de mener à bien un projet à Miami, de pouvoir communiquer en anglais et en espagnol. C’est pourquoi Gilles Danard est la personne idéale pour votre projet : trilingue en anglais, français et espagnol.

Un service de qualité, une expérience internationale et un accompagnement sur mesure pour répondre à toutes vos attentes : c’est la promesse de Vaneau Miami.

N’hésitez plus, si vous souhaitez acheter, vendre, mettre en location ou louer un bien en Floride du Sud : retrouvez l’agence immobilière Vaneau Miami dans le quartier de Sunset Harbour à Miami Beach et sur leur site internet où vous pourrez consulter toutes les annonces immobilières disponibles en Floride du Sud.

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi les Etats-Unis ont-ils un “designated survivor”?

Si vous ne l’avez pas encore regardée, la série de Netflix “Designated Survivor” raconte l’histoire du secrétaire américain au Logement et au Développement urbain, Tom Kirkman (Kiefer Sutherland), qui devient président après que le Capitole explose alors que le président-élu donne son discours sur l’état de l’Union. De la fiction à la réalité, il n’y a qu’un pas : ce rôle est réel, et lors de rassemblement du gouvernement, une personne est choisie pour être le “survivant désigné”.

Ainsi, le 4 février prochain, alors que le président américain Donald Trump va se rendre au Congrès pour prononcer son discours sur l’état de l’Union, une personne du gouvernement sera dans un lieu inconnu, surveillée par les services secrets. Une personne? C’est seulement au moment de l’événement que l’on connaît le nom de la personne, un fonctionnaire du Cabinet dans la ligne directe de la succession présidentielle en cas de catastrophe, d’attaque ou d’événement imprévu.

Il faut savoir que la Constitution n’exige pas directement un survivant désigné. La ligne de succession présidentielle est couverte à la fois par l’article II, section 1 de la Constitution, qui a ensuite été modifiée et clarifiée par le 20e amendement, et elle est détaillée dans la loi sur la succession présidentielle. Mais ni l’un ni l’autre n’exige une “séquestration” dans la pratique. La procédure a apparemment commencé à la fin des années 1950 pendant la guerre froide, et le gouvernement américain n’a publiquement reconnu le statut de survivant désigné qu’en 1981, lorsque le secrétaire à l’Éducation, Terrel Bell, est absent lors d’un discours du président Ronald Reagan devant le Congrès.

Depuis lors, un survivant désigné a été utilisé pour le discours sur l’état de l’Union, les inaugurations et les discours présidentiels aux sessions conjointes du Congrès. La Maison Blanche ne révèle pas exactement comment le survivant désigné est choisi. Jon Favreau, l’ancien rédacteur en chef de Barack Obama, avait expliqué à The Ringer le processus de sélection des survivants désignés en 2016. Selon lui, le processus est “entièrement aléatoire“, mais parfois, le choix du survivant désigné dépend de ce que le président a l’intention de dire dans son discours. “Je me souviens des années où l’éducation était un gros problème dans le discours et donc Arne Duncan, qui était le secrétaire à l’éducation à l’époque, ne pouvait pas être le survivant désigné.”

En 2000, Bill Richardson, le secrétaire à l’Energie sous Bill Clinton, a été le survivant désigné. “Je pensais avoir fait quelque chose de mal”, avait-il confié à ABC News avant l’état de l’Union de 2018. “J’ai été déçu de ne pas y aller“, a-t-il déclaré. L’année dernière, le secrétaire à l’Agriculture Sonny Perdue a occupé le poste de survivant désigné. Selon une étude de l’Université de Californie, les membres du Cabinet des départements de l’agriculture et de l’intérieur ont le plus servi de survivant désigné pour l’État de l’Union, à six reprises depuis 1984.

Le groupe L’Imperatrice débarque à New York, DC et Boston

Après un concert à Los Angeles en 2019 et juste avant leur participation à Coachella en avril, L’Impératrice arrive fin mars sur la Côte Est. Le groupe de pop-disco, fondé par Charles de Boisseguin, jouera son premier album “Matahari” (sorti en mars 2018) lors de leur passage à New York (le 25 mars), Washington DC (le 27 mars) et Boston (le 28 mars).

Pour la réédition de leur album, L’Impératrice a invité de grands artistes tels que Yuksek, Joe Goddard de Hot Chip, Onra, Red Axes et Lomepal à travailler sur leurs tubes. Trois morceaux ont ainsi été traduits en anglais à l’occasion de leur tournée mondiale.

En plus de Flore Benguigui au chant, le groupe est composé exclusivement de musiciens, dont Charles de Boisseguin qui pianote sur son ordinateur, Hagni Kwon au clavier, David Gaugué à la guitare basse, Tom Daveau à la batterie et David Trocellier à la guitare électrique. Ils se sont fait connaître grâce à leur morceau “Vanille Fraise” en 2016, récoltant plus de 7 millions de vues sur Youtube.

Le monde du sport français pleure Kobe Bryant

Kobe Bryant est mort et la nouvelle est toujours aussi dure à avaler. L’étoile du basket américain et sa fille Gianna ont été tués dans un accident d’hélicoptère au nord-ouest de Los Angeles dimanche, au côté de 7 autres victimes.

Sa mort a fait réagir de nombreux sportifs français, à commencer par ceux qui l’ont côtoyé en NBA. Pour Tony Parker, l’ancienne gloire des San Antonio Spurs aujourd’hui à la retraite, Kobe Bryant était “une vraie légende et un ami”. Le Français de 37 ans explique sur Instagram avoir “le coeur brisé”, et envoie ses “pensées et prières à sa femme et ses enfants”.

Toujours sur Instagram, Frank Ntilikina a choisi de s’adresser directement à lui avec ses mots : “j’ai eu la chance de te rencontrer une fois, et je n’oublierai jamais ce jour et tes conseils”. Pour l’actuel joueur des New York Knicks, Kobe Bryant était bien plus qu’un basketteur. Il aimait l’observer “sur et hors du terrain”, car il était “si dédié à tout ce qu’il aimait dans la vie: sa famille, son sport “. 

Choqué, le pivot français des Utah Jazz Rudy Gobert a réagi une première fois sur Twitter : “ça ne peut pas être vrai”. Il a posté ensuite un deuxième message. “Profitez de chaque jour, nous sommes toujours préoccupés par des choses qui ne sont en réalité pas importantes. La vie est précieuse et vous ne savez pas quand elle peut se terminer”. 

Gran fan de football, Kobe Bryant s’est rendu plusieurs fois à Paris au centre d’entraînement du PSG et aux matches. Il avait rencontré à cette occasion Kylian Mbappé le 20 octobre 2017. Le joueur français de 20 ans a publié la photo de leur rencontre en noir et blanc sur ses comptes Instagram et Twitter accompagnée du message “Repose en paix légende”.

Paul Pogba a également fait dans la sobriété avec en publiant une photo de Kobe Bryant sur Instagram avec la mention “1978-2020” et le message : “les héros vont et viennent, les légendes restent pour toujours”. 

Thierry Henry a rencontré l’ancienne gloire des Los Angeles Lakers a plusieurs reprises ces derniers années. Il avoue sur Instagram avoir été “littéralement dévasté d’apprendre la nouvelle”. “Mes pensées et mes prières sont avec sa famille et celle des autres victimes”, a ensuite ajouté l’entraîneur de l’Impact Montréal en MLS.

Réputé pour son caractère et sa force de travail, Kobe Bryant a influencé des sportifs au delà du basket et du football. Le champion de Judo Teddy Riner semblait lui aussi choqué hier, en publiant ce message sur Twitter: “toujours du mal à y croire”. Mathieu Bastareaud, ancien capitaine de l’Equipe de France de Rugby et désormais joueur à New York, a également publié une photo de Kobe Bryant en noir et blanc avec le message : “repose en paix”. 

View this post on Instagram

Repose en Paix ??? #légende#goat#lakers#blackmanba#8#24

A post shared by MB (@mathieubastareaud) on

Dadju reporte sa tournée aux Etats-Unis à septembre

Après avoir rempli l’Arena à Paris, le Zénith de Pau et l’Arkea Arena de Bordeaux, Dadju devait enchaîner sur une tournée aux Etats-Unis en février, intitulée le P.O.A tour.

Mais l’organisateur, Le Noir Entertainment, a annoncé dans un communiqué publié sur Instagram le 24 janvier que la tournée “est repoussée à septembre en raison de problèmes administratifs et d’aléas indépendants de notre volonté”. L’organisateur précise que les personnes ayant déjà acheté leurs tickets seront remboursées intégralement.

Révélation des NRJ Music Awards en 2018, Dadju, petit frère du rappeur Gims, a battu des records de ventes d’albums en France. Il devait se produire à New York, Miami, Dallas, San Francisco et Los Angeles.

Sept courts-métrages sur le grand écran du TRK lors de la French Short Films Night

A quelques jours de la cérémonie des Oscars, le cinéma français va être mis à l’honneur. La French Short Films Night se déroule le jeudi 6 février au Théâtre Raymond Kabbaz à Los Angeles. Des courts-métrages éclectiques (sous-titrés en anglais), sortis en 2018 et 2019, ont été sélectionnés par un jury composé de l’équipe du théâtre et du bureau de l’Alliance française.

Le rideau se lèvera sur la fiction de William Laboury, “Yandere”, où vous partagerez la première peine de coeur de Maïko, une fille holographique.

Ce film laissera place à “Grand-père” (“Grandfather”), réalisé par Maximilian Badier-Rosenthal. Dans ce drame, la vie d’un grand-père vietnamien va être perturbée par le cadeau de son petit-fils, un confortable fauteuil en cuir.

Ce court-métrage sera suivi par le film d’animation “À l’ouest” (“Disoriented”), signé Jéremie Cousin. Il conte l’escapade d’un père et ses fils qui naviguent sur un voilier lorsqu’ils percutent un rocher.

Puis, “Nefta Football Club”, le film d’Yves Piat sélectionné aux Césars 2020, vous plongera dans un village tunisien qui va être remué par la découverte de sacs contenant une poudre blanche.

Une soirée entrecoupée de vin et fromages

Après l’entracte et ses dégustations de vins et de fromages, trois courts-métrages épateront le public. Le documentaire “Ce n’est qu’après” (“Only After”) de Vincent Pouplard met en scène les témoignages de jeunes de 20 ans.

Réalisé par Jean-Claude Rozec, le dessin-animé “Tétard” (“Tadpole”) raconte l’arrivée d’un nouvel enfant dans une famille, au travers du regard de sa grande-soeur.

La soirée se conclura par la fiction “Air Comprimé” (“Shooters”) d’Antoine Giorgini qui nous raconte l’histoire d’un couple qui va être traumatisé après être attaqué par un tireur de paintball. Si la soirée vous tente, n’hésitez plus longtemps, les billets partent comme des petits pains.

Mon enfant va à l’école française : deviendra-t-il tout de même bilingue ? 

(Article partenaire) Les écoles françaises sont présentes dans 139 pays du monde et proposent le programme du Ministère de l’éducation Nationale français aux élèves de l’école maternelle au baccalauréat. Pour les familles françaises, les bénéfices sont évidents – une continuité de l’enseignement en conformité avec les programmes et une garantie de qualité.

Mais vivre dans un autre pays, c’est aussi découvrir une autre langue, une autre culture. Des études démontrent que les personnes bilingues ont souvent l’impression d’avoir une identité différente quand elles parlent l’autre langue (Nairan Ramírez-Esparza, 2006).

Pour les Français comme la plupart des Américains, être bilingue reste exceptionnel et offrir le bilinguisme à ses enfants est un rêve mais aussi une opportunité qu’il est possible de saisir à Rochambeau The French International School !

Alors, en inscrivant mon enfant à Rochambeau, mon enfant deviendra-t-il bilingue ?

Le programme d’anglais

Le programme d’anglais à Rochambeau a été spécialement conçu pour combiner les meilleures pratiques de l’école américaine, les compétences du “Common Core” et la rigueur du curriculum français. Les enseignants, de langue maternelle anglaise, offrent aux élèves une variété d’expériences, de livres de littérature et de sujets qui facilitent le transfert des compétences entre les deux langues et leur permettent d’acquérir des bases solides pour atteindre le même niveau académique en anglais et en français : parler, lire et écrire avec la même aisance quelle que soit la langue pratiquée.

Dès l’école maternelle, les enfants vont apprendre les comptines en français ainsi que les “nursery rhymes” américaines. Lors des temps de co-enseignement bilingue (l’enseignant en anglais et l’enseignant en français sont tous les deux dans la classe), les élèves peuvent s’exprimer dans la langue de leur choix et découvrir les différentes subtilités culturelles. Saviez-vous, par exemple, qu’en anglais on compte sur les doigts de la main en commençant avec l’index, et en français avec le pouce ?

Mais la force de Rochambeau réside dans l’adaptation du programme d’anglais au niveau de l’enfant, de son accompagnement et de son suivi. Pour les élèves arrivant de France ou de l’étranger, l’accent est mis sur l’oral avant d’aborder la lecture et l’écriture dans une petite classe de 12 élèves maximum.  L’objectif est de les amener progressivement au bilinguisme.

Pour les élèves déjà bilingues, les cours sont conçus pour que les élèves soient au même niveau académique que leurs pairs en école américaine. Au collège, les élèves qui optent pour la Section Internationale suivent des cours en anglais en littérature, en histoire et géographie dans un style d’enseignement anglo-saxon et une perspective américaine. Ces cours ouvrent la voie vers l’option bilingue et biculturelle OIB*. Enfin, à partir de 2021, les élèves bilingues auront le choix d’entre le baccalauréat Français et le Diplôme du Baccalauréat International IB*(sous réserve d’accréditation). 

L’acquisition d’une seconde langue en milieu bilingue varie selon l’enfant, l’âge du début de l’apprentissage, sa volonté d’apprendre et l’implication de sa famille pour le soutenir dans la langue cible. Devenir bilingue, comme tout apprentissage, est un travail de longue haleine. Rochambeau offre les conditions nécessaires pour envisager ce voyage sereinement, soutenues par une communauté de familles forte de plus de 80 nationalités.     

*l’OIB (Option Internationale du Baccalauréat). En 2021, Rochambeau proposera aussi le diplôme bilingue du International Baccalaureate (IB).

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La skieuse française Tess Ledeux remporte l’or en big air aux X Games d’Aspen

La skieuse acrobatique Tess Ledeux est montée sur la plus haute marche du podium ce week-end à Aspen, dans le Colorado. Elle représentait la France aux États-Unis à l’occasion de la 24ème édition des X Games (jeux extrêmes) d’hiver, et a remporté l’or en big air (figure acrobatique sur tremplin). A seulement 18 ans, Tess Ledeux a déjà un palmarès impressionnant : la jeune Plagnarde est quintuple championne du monde de slopestyle (descente acrobatique), mais aussi championne du monde de big air.

Elle a remporté l’or vendredi soir, devant les Suissesses Mathilde Gremaud et Sarah Höfflin, dont elle a salué la performance : « Ça fait plaisir de voir qu’elles font de très belles choses aussi. Le niveau était très élevé, elles ont très bien skié et n’ont pas démérité. » Gréogry Guenet, son entraîneur, explique que « Tess ne redoutait personne à part elle-même. Ce qui compte, c’est surtout d’être en forme, de bien faire ses sauts. Nous sommes restés concentrés sur ce que nous avions à faire ».

Les figures qui lui ont valu la victoire ? « Un double cork 1260 et un switch 1080 », répond-t-elle fièrement. Explications : trois rotations et demi sur deux axes différents ; et trois rotations avec un décollage et un atterrissage en arrière. « C’est la première fois que je posais ces tricks. J’ai essayé la veille aux entraînements, sans succès. Pendant l’épreuve, je me suis dit : c’est l’or ou rien. Et ça a marché, c’est incroyable ! »

« Sur un nuage »

Tess se remémore ses premiers X Games : « C’était il y a quatre saisons. Je me souviens ne pas m’être sentie prête, être beaucoup tombée aux entraînements et avoir fini la semaine complètement cassée, mais j’avais aussi gagné ma première médaille d’argent. »

Remporter l’or en big air, « c’est un rêve qui se réalise. Je regarde les X Games à la télé depuis que je suis toute petite, et pour moi, ces jeux passent au dessus de toutes les autres compétitions. Il y a vraiment à Aspen une ambiance particulière que l’on ne retrouve pas ailleurs. Une médaille d’or ici a encore plus de valeur que n’importe quelle médaille d’or des X Games. Ce qui vient de se passer est un peu fou, je suis sur un nuage. C’est ma première médaille d’or à Aspen, l’endroit mythique des X Games. » La skieuse a désormais cinq médailles au compteur pour six participations aux jeux extrêmes, toutes éditions confondues.

Son entraîneur renchérit : « L’origine des X Games est ici, à Aspen. Ça n’a pas la même aura que quand on va faire des X Games ailleurs. D’ailleurs, briller à Aspen pour ces athlètes, c’est aussi un rêve de gosse. Faire une médaille d’or ici a une autre saveur, mais également un autre impact : dans notre sport, ça donne à la fois un peu plus de crédibilité et ça a aussi du bon pour la carrière sportive médiatique. »

Cette victoire du vendredi 24 janvier coïncidait avec la Journée Internationale du Sport Féminin, dont l’objectif est de permettre au sport féminin de gagner en visibilité. « C’est toujours une fierté de représenter mon pays à l’international, mais la médiatisation des disciplines freestyle reste faible, en particulier pour les filles », reconnaît Tess Ledeux.

Tess Ledeux pendant l’épreuve de big air aux X Games d’Aspen (Matt Morning/ESPN Images)

Un entraînement de championne

La skieuse a décliné plusieurs compétitions depuis l’automne dernier pour se concentrer sur la préparation des X Games. Grégory Guenet revient sur le parcours de la championne : « Tess s’est blessée en septembre, au moment d’une période de préparation assez importante. Nous avons fait le choix de ne pas participer à deux compétitions et de reprendre à Font-Romeu pour la Coupe du Monde en janvier, où elle a été médaillée. Les résultats nous donnent raison. Pourvu que ça dure ! » 

Les clés du succès, ajoute-t-il, c’est d’« être constant, de se donner des objectifs, et d’essayer de ne pas trop se satisfaire pour pouvoir toujours élever son niveau d’exigence. Il y a aussi une petite part de don et de talent. » Il précise : « Ce qui change des sports traditionnels quand on pratique un sport considéré comme extrême, c’est que les athlètes mettent en jeu leur santé. Ce qui fait la différence, c’est la force mentale et la confiance entre l’entraîneur et l’athlète ».

La compétition a changé depuis l’an dernier. « Le nouveau format est particulier : avant, les juges prenaient en compte le meilleur de deux ou trois runs, donc on avait le droit à l’erreur. On a plus de tentatives maintenant, mais la chute est lourdement sanctionnée. Il faut faire quatre runs sans tomber, en proposant un maximum de variété et de difficulté. Ça change la manière d’aborder la compétition », explique Grégory Guenet. « La force de Tess, ici, a été de ne pas tomber. Sur cinq runs proposés, elle n’en a pas raté un, alors que ses concurrentes directes, qui ont remporté l’argent et le bronze, sont tombées sur l’une de leurs tentatives. Elle a ajouté à cela la difficulté et le style. »

Dimanche, elle est passée à côté de la victoire en slopestyle. Après trois chutes et une légère blessure, elle décide de ne pas effectuer de quatrième passage. Grégory Guenet explique : « Quand tu tombes deux fois, c’est compliqué de garder foi en la compétition. Tess est tombée sur son troisième run et s’est fait un peu mal, et nous avons décidé qu’il ne servait à rien de faire le quatrième run et de courir le risque de se faire encore plus mal. » Il précise toutefois que la championne va bien et qu’elle est ravie de sa performance en big air. Et c’est tant mieux, car son parcours américain ne s’arrête pas à Aspen : elle participe cette semaine au Grand Prix américain de freeski et de snowboard à Mammoth, en Californie ; et est également attendue début février sur le Winter Dew Tour à Copper Mountain, dans le Colorado.