Accueil Blog Page 450

Mon enfant va à l’école française : deviendra-t-il tout de même bilingue ? 

(Article partenaire) Les écoles françaises sont présentes dans 139 pays du monde et proposent le programme du Ministère de l’éducation Nationale français aux élèves de l’école maternelle au baccalauréat. Pour les familles françaises, les bénéfices sont évidents – une continuité de l’enseignement en conformité avec les programmes et une garantie de qualité.

Mais vivre dans un autre pays, c’est aussi découvrir une autre langue, une autre culture. Des études démontrent que les personnes bilingues ont souvent l’impression d’avoir une identité différente quand elles parlent l’autre langue (Nairan Ramírez-Esparza, 2006).

Pour les Français comme la plupart des Américains, être bilingue reste exceptionnel et offrir le bilinguisme à ses enfants est un rêve mais aussi une opportunité qu’il est possible de saisir à Rochambeau The French International School !

Alors, en inscrivant mon enfant à Rochambeau, mon enfant deviendra-t-il bilingue ?

Le programme d’anglais

Le programme d’anglais à Rochambeau a été spécialement conçu pour combiner les meilleures pratiques de l’école américaine, les compétences du “Common Core” et la rigueur du curriculum français. Les enseignants, de langue maternelle anglaise, offrent aux élèves une variété d’expériences, de livres de littérature et de sujets qui facilitent le transfert des compétences entre les deux langues et leur permettent d’acquérir des bases solides pour atteindre le même niveau académique en anglais et en français : parler, lire et écrire avec la même aisance quelle que soit la langue pratiquée.

Dès l’école maternelle, les enfants vont apprendre les comptines en français ainsi que les “nursery rhymes” américaines. Lors des temps de co-enseignement bilingue (l’enseignant en anglais et l’enseignant en français sont tous les deux dans la classe), les élèves peuvent s’exprimer dans la langue de leur choix et découvrir les différentes subtilités culturelles. Saviez-vous, par exemple, qu’en anglais on compte sur les doigts de la main en commençant avec l’index, et en français avec le pouce ?

Mais la force de Rochambeau réside dans l’adaptation du programme d’anglais au niveau de l’enfant, de son accompagnement et de son suivi. Pour les élèves arrivant de France ou de l’étranger, l’accent est mis sur l’oral avant d’aborder la lecture et l’écriture dans une petite classe de 12 élèves maximum.  L’objectif est de les amener progressivement au bilinguisme.

Pour les élèves déjà bilingues, les cours sont conçus pour que les élèves soient au même niveau académique que leurs pairs en école américaine. Au collège, les élèves qui optent pour la Section Internationale suivent des cours en anglais en littérature, en histoire et géographie dans un style d’enseignement anglo-saxon et une perspective américaine. Ces cours ouvrent la voie vers l’option bilingue et biculturelle OIB*. Enfin, à partir de 2021, les élèves bilingues auront le choix d’entre le baccalauréat Français et le Diplôme du Baccalauréat International IB*(sous réserve d’accréditation). 

L’acquisition d’une seconde langue en milieu bilingue varie selon l’enfant, l’âge du début de l’apprentissage, sa volonté d’apprendre et l’implication de sa famille pour le soutenir dans la langue cible. Devenir bilingue, comme tout apprentissage, est un travail de longue haleine. Rochambeau offre les conditions nécessaires pour envisager ce voyage sereinement, soutenues par une communauté de familles forte de plus de 80 nationalités.     

*l’OIB (Option Internationale du Baccalauréat). En 2021, Rochambeau proposera aussi le diplôme bilingue du International Baccalaureate (IB).

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La skieuse française Tess Ledeux remporte l’or en big air aux X Games d’Aspen

La skieuse acrobatique Tess Ledeux est montée sur la plus haute marche du podium ce week-end à Aspen, dans le Colorado. Elle représentait la France aux États-Unis à l’occasion de la 24ème édition des X Games (jeux extrêmes) d’hiver, et a remporté l’or en big air (figure acrobatique sur tremplin). A seulement 18 ans, Tess Ledeux a déjà un palmarès impressionnant : la jeune Plagnarde est quintuple championne du monde de slopestyle (descente acrobatique), mais aussi championne du monde de big air.

Elle a remporté l’or vendredi soir, devant les Suissesses Mathilde Gremaud et Sarah Höfflin, dont elle a salué la performance : « Ça fait plaisir de voir qu’elles font de très belles choses aussi. Le niveau était très élevé, elles ont très bien skié et n’ont pas démérité. » Gréogry Guenet, son entraîneur, explique que « Tess ne redoutait personne à part elle-même. Ce qui compte, c’est surtout d’être en forme, de bien faire ses sauts. Nous sommes restés concentrés sur ce que nous avions à faire ».

Les figures qui lui ont valu la victoire ? « Un double cork 1260 et un switch 1080 », répond-t-elle fièrement. Explications : trois rotations et demi sur deux axes différents ; et trois rotations avec un décollage et un atterrissage en arrière. « C’est la première fois que je posais ces tricks. J’ai essayé la veille aux entraînements, sans succès. Pendant l’épreuve, je me suis dit : c’est l’or ou rien. Et ça a marché, c’est incroyable ! »

« Sur un nuage »

Tess se remémore ses premiers X Games : « C’était il y a quatre saisons. Je me souviens ne pas m’être sentie prête, être beaucoup tombée aux entraînements et avoir fini la semaine complètement cassée, mais j’avais aussi gagné ma première médaille d’argent. »

Remporter l’or en big air, « c’est un rêve qui se réalise. Je regarde les X Games à la télé depuis que je suis toute petite, et pour moi, ces jeux passent au dessus de toutes les autres compétitions. Il y a vraiment à Aspen une ambiance particulière que l’on ne retrouve pas ailleurs. Une médaille d’or ici a encore plus de valeur que n’importe quelle médaille d’or des X Games. Ce qui vient de se passer est un peu fou, je suis sur un nuage. C’est ma première médaille d’or à Aspen, l’endroit mythique des X Games. » La skieuse a désormais cinq médailles au compteur pour six participations aux jeux extrêmes, toutes éditions confondues.

Son entraîneur renchérit : « L’origine des X Games est ici, à Aspen. Ça n’a pas la même aura que quand on va faire des X Games ailleurs. D’ailleurs, briller à Aspen pour ces athlètes, c’est aussi un rêve de gosse. Faire une médaille d’or ici a une autre saveur, mais également un autre impact : dans notre sport, ça donne à la fois un peu plus de crédibilité et ça a aussi du bon pour la carrière sportive médiatique. »

Cette victoire du vendredi 24 janvier coïncidait avec la Journée Internationale du Sport Féminin, dont l’objectif est de permettre au sport féminin de gagner en visibilité. « C’est toujours une fierté de représenter mon pays à l’international, mais la médiatisation des disciplines freestyle reste faible, en particulier pour les filles », reconnaît Tess Ledeux.

Tess Ledeux pendant l’épreuve de big air aux X Games d’Aspen (Matt Morning/ESPN Images)

Un entraînement de championne

La skieuse a décliné plusieurs compétitions depuis l’automne dernier pour se concentrer sur la préparation des X Games. Grégory Guenet revient sur le parcours de la championne : « Tess s’est blessée en septembre, au moment d’une période de préparation assez importante. Nous avons fait le choix de ne pas participer à deux compétitions et de reprendre à Font-Romeu pour la Coupe du Monde en janvier, où elle a été médaillée. Les résultats nous donnent raison. Pourvu que ça dure ! » 

Les clés du succès, ajoute-t-il, c’est d’« être constant, de se donner des objectifs, et d’essayer de ne pas trop se satisfaire pour pouvoir toujours élever son niveau d’exigence. Il y a aussi une petite part de don et de talent. » Il précise : « Ce qui change des sports traditionnels quand on pratique un sport considéré comme extrême, c’est que les athlètes mettent en jeu leur santé. Ce qui fait la différence, c’est la force mentale et la confiance entre l’entraîneur et l’athlète ».

La compétition a changé depuis l’an dernier. « Le nouveau format est particulier : avant, les juges prenaient en compte le meilleur de deux ou trois runs, donc on avait le droit à l’erreur. On a plus de tentatives maintenant, mais la chute est lourdement sanctionnée. Il faut faire quatre runs sans tomber, en proposant un maximum de variété et de difficulté. Ça change la manière d’aborder la compétition », explique Grégory Guenet. « La force de Tess, ici, a été de ne pas tomber. Sur cinq runs proposés, elle n’en a pas raté un, alors que ses concurrentes directes, qui ont remporté l’argent et le bronze, sont tombées sur l’une de leurs tentatives. Elle a ajouté à cela la difficulté et le style. »

Dimanche, elle est passée à côté de la victoire en slopestyle. Après trois chutes et une légère blessure, elle décide de ne pas effectuer de quatrième passage. Grégory Guenet explique : « Quand tu tombes deux fois, c’est compliqué de garder foi en la compétition. Tess est tombée sur son troisième run et s’est fait un peu mal, et nous avons décidé qu’il ne servait à rien de faire le quatrième run et de courir le risque de se faire encore plus mal. » Il précise toutefois que la championne va bien et qu’elle est ravie de sa performance en big air. Et c’est tant mieux, car son parcours américain ne s’arrête pas à Aspen : elle participe cette semaine au Grand Prix américain de freeski et de snowboard à Mammoth, en Californie ; et est également attendue début février sur le Winter Dew Tour à Copper Mountain, dans le Colorado.

Dadju en concert à Dallas

UPDATE: Tournée annulée.

En pleine tournée des Zéniths de France, il vient faire une incursion américaine, pour la deuxième année consécutive, pour ce qu’il appelle le P.O.A tour. Il sera à Dallas le 22 février.

De son nom complet Dadju Djuna Nsungula, l’artiste français est issu d’une famille de musiciens : son père Djuna Djanana chantait dans le groupe Viva La Musica de Papa Wemba et le rappeur Gims est son frère.

Il débute sa carrière solo en 2016, sortant son premier album “Gentleman 2.0.” où figure le titre “Reine”, qui connaît un succès retentissant. Révélation des NRJ Music Awards en 2018, il a battu des records de ventes d’albums en France. Sur la scène du Globe Theatre, l’idole de la jeunesse française présentera les tubes de son dernier album “Poison Ou Antidote”, tels que “Compliqué” et “Ma vie”.

 

Patrick Timsit: “Après le spectacle, les gens appellent leur mère…”

“Parfois des gens viennent au spectacle parce qu’ils ont vu mon nom, en pensant qu’ils vont bien rire… Ce qui est formidable, c’est qu’ils sont surpris, découvrent l’émotion, pleurent même parfois, mais ils me disent après qu’ils ont adoré”. Avec “Le Livre de ma mère”, tiré du livre d’Albert Cohen, Patrick Timsit a choisi un registre qui n’est décidément pas celui de ses one man shows. Il est cette semaine à New York pour deux représentations exceptionnelles au FIAF (les 29 et 30 janvier).

Après près de 3 ans de tournée en France -et de succès critique et d’audience-, il vit ses dernières représentations (il sera à Los Angeles après New York les 31 janvier et 1er février) avant de passer à autre chose. En attendant, le comédien profite de quelques jours en famille à New York. Il a répondu à nos questions entre shopping et une partie de bowling “qui sera bien sûr  le moment fort de ce voyage”, dit-il en souriant. Le comique n’est jamais bien loin, mais “Le Livre de ma mère” n’est pourtant pas le premier spectacle “dramatique” qu’il joue (il y eut “Inconnu à cette adresse” avec Thierry Lhermitte ou “Les derniers jours de Stephen Zweig” avec Elsa Zylberstein au théâtre, ou “Le Cousin”, notamment au cinéma). “Dans tous les cas, dit-il, je ne me dis pas ‘il faut que je fasse un drame’. C’est toujours le projet qui décide. Est-ce que le texte, la pièce, le sujet m’intéressent?” En l’occurrence, le projet a 30 ans. Timsit a découvert le livre d’Albert Cohen dans un atelier de théâtre. “J’en avais joué des scènes, que je gardais en mémoire, comme la première phrase, célèbre: ‘Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte’”.

Il attendait, dit-il, la maturité de pouvoir jouer ce texte; la maturité d’acteur, “d’oser ne rien faire, laisser l’émotion jouer sans tomber dans le pathos”. La critique en France a salué la performance d’acteur, et la sobriété justement, de Patrick Timsit face à un texte si fort en émotions. De phrases comme : “Fils des mères encore vivante, n’oubliez plus que vos mères sont mortelles… Je n’aurai pas écrit tout cela en vain si l’un de vous ce soir après avoir écouté mon chant de mort est plus doux avec sa mère…” Après ça, dit Patrick Timsit, “en général, ceux qui ont la chance de l’avoir encore, appellent leur mère en sortant du spectacle…”

La question était évidente: “comment a réagi votre mère à vous?” Je lui avais interdit de venir à la première parisienne, répond l’acteur. Ca m’aurait gêné de la savoir là. Mais elle est venue quand même en cachette. Elle a été évidemment submergée par l’émotion”. Le texte de Cohen n’est pas seulement un hommage à la mère il est aussi -surtout- une longue indignation contre la mort. “En le concevant, avec le metteur en scène Dominique Pitoiset, on s’est rendu compte que c’était en fait un spectacle de deuil”. Fasse à la gravité du sujet, le seul parti pris possible était “celui de la simplicité. Je ne cherche pas à faire pleurer, simplement à faire vivre un texte magnifique”. 

Si les spectacles de one-man-show sont forcément partiellement autobiographiques, “il faut avoir des codes pour le comprendre; dans ce spectacle c’est différent: le sujet est tel qu’on se livre forcément. Notre choix de mise en scène permet la confession. Et finalement, on a peu d’occasion de se livrer totalement d’une façon pudique!”.

Au FIAF, mercredi 29 janvier et jeudi 30 janvier. La performance sera suivie d’un “meet and greet” avec Patrick Timsit le mercredi et d’un Q&A jeudi.

Tickets ici

Moi Impat : “Je savais que revenir dans un cadre français allait être difficile”

Pour ce 42ème numéro de “Moi Impat”, Eric Gendry reçoit Elodie Battesti. Elodie met enfin des mots sur cette angoisse du retour qu’elle appréhendait. Après une année blanche, place au challenge professionnel. Au bout de 10 ans d’expatriation en Grande-Bretagne et en Chine, il fallait combler “ce trou dans le CV“. Et un aveu : “Dans la famille, il n’y a que moi qui ne suis pas prête à repartir.”

Retrouvez l’épisode ci-dessous ou sur iTunes.

Listen to “Episode 42 : Elodie Battesti” on Spreaker.

Dadju à San Francisco

UPDATE: Tournée annulée.

Il a rempli tous les Zéniths de France. Il est temps de traverser l’Atlantique.  Dadju est en tournée aux Etats-Unis, intitulée le P.O.A tour et passe par San Francisco le 9 février pour un concert au Great American Music Hall.

De son nom complet Dadju Djuna Nsungula, l’artiste français est issu d’une famille de musiciens : son père Djuna Djanana chantait dans le groupe Viva La Musica de Papa Wemba et le rappeur Gims est son frère.

Il débute sa carrière solo en 2016, sortant son premier album “Gentleman 2.0.” où figure le titre “Reine”, qui connaît un succès retentissant. Révélation des NRJ Music Awards en 2018, il a battu des records de ventes d’albums en France. Sur la scène du Globe Theatre, l’idole de la jeunesse française présentera les tubes de son dernier album “Poison Ou Antidote”, tels que “Compliqué” et “Ma vie”.

Au Fournil, du bon pain et un saut dans l’histoire new-yorkaise

Quand on arrive devant Le Fournil, on est un peu perdu: les noms “Moishe’s Bake Shop” et “Le Fournil” s’affichent tous les deux en devanture. Cela n’est pas une erreur: après plus de quarante ans dans ce local centenaire, “Moishe’s” a cédé sa place à la boulangerie française lancée en novembre par Jean-François Hebert. Et ce dernier n’a pas retiré le nom de son illustre prédécesseur. Une manière de respecter l’esprit de préservation du quartier, East Village.

En ouvrant Le Fournil, le Normand réalise son rêve. Petit-fils et fils de boulangers qui avaient leur propre établissement à La Haye-du-Puits (Manche), Jean-François Hebert nourrissait le projet de lancer son business à New York depuis des années. Mais il n’a pas toujours été sur les bons rails. “Je travaillais dans la boulangerie familiale depuis l’âge de 11 ans. Mais mon frère et moi ne voulions pas reprendre le flambeau. Nous étions jeunes et voyions notre famille travailler comme des chiens“. Il choisit l’immobilier, mais l’amour du pain finit par le rattraper. “Je suis venu à New York en tant que touriste et je me suis dit que c’est ici que je devais ouvrir ma boulangerie“, explique-t-il, tout en travaillant la pâte de ses futurs pains dans la cuisine au fond du local.

Il pose ses valises dans la Grosse Pomme en novembre 2011. “Il pleuvait, j’avais cinq bagages. Je ne savais pas où j’étais…“. La “petite dame de 70 ans” qui le loge lui imprime la liste des restaurants français de la ville, autour “d’une bière et d’une cigarette“, pour l’aider à trouver un job. Le premier est au légendaire restaurant breton de Midtown, Le Tout Va Bien, où il reste un an avant de partir pour plusieurs adresses françaises (Le Cercle Rouge, Café du Soleil…). Il devient manager du bar chez Félix, la table de TriBeCa, où il passe six ans.

Aujourd’hui, il a 34 ans. “C’était le moment où jamais de se lancer“, raconte-t-il. Avec Le Fournil, le Français n’a pas souhaité faire table rase du passé. Bien au contraire. Les travaux de rénovation ont permis de révéler de superbes carrelages colorés derrière les faux-murs que l’ancien propriétaire – le boulanger Moishe Perl, parti à la retraite – avait installés. De la feuille d’or est même incrustée dans certains motifs. Un petit bijou. Certaines tuiles proviendraient du métro new-yorkais. Au fond de la salle, une vieille machine qui servait à faire des bagels attire le regard.

En plus de son propre pain (baguettes, ficelles…) et viennoiseries (croissants, pains au raisin, pains au chocolat, chouquettes…), Jean-François Hebert continue de vendre certaines pâtisseries de “Moishe’s”, qui fut l’une des dernières boulangeries cacher de Manhattan. Maintenant qu’il a réalisé son rêve, le père de deux enfants veut installer son nouveau business. “C’est très gratifiant. Il y a des clients qui me font des hugs pour me remercier, raconte-t-il. Je n’ai pas étudié la boulangerie dans une école, mais je l’ai dans le sang. J’ai de bonnes recettes de famille. Mon père m’aide aussi à distance. Je retrouve la passion, le plaisir de toucher la pâte“.

Dadju veut enflammer la scène du Globe Theatre à Los Angeles

UPDATE: Tournée annulée.

Après avoir rempli l’Arena à Paris, le Zénith de Pau et l’Arkea Arena de Bordeaux, Dadju enchaîne sur une tournée aux Etats-Unis, intitulée le P.O.A tour. L’auteur-compositeur de 29 ans donnera un concert au Globe Theatre à Los Angeles, le samedi 8 février.

De son nom complet Dadju Djuna Nsungula, l’artiste français est issu d’une famille de musiciens : son père Djuna Djanana chantait dans le groupe Viva La Musica de Papa Wemba et le rappeur Gims est son frère.

Il débute sa carrière solo en 2016, sortant son premier album “Gentleman 2.0.” où figure le titre “Reine”, qui connaît un succès retentissant. Révélation des NRJ Music Awards en 2018, il a battu des records de ventes d’albums en France. Sur la scène du Globe Theatre, l’idole de la jeunesse française présentera les tubes de son dernier album “Poison Ou Antidote”, tels que “Compliqué” et “Ma vie”.

 

Dadju à Miami

UPDATE: Tournée annulée.

Après avoir rempli l’Arena à Paris, le Zénith de Pau et l’Arkea Arena de Bordeaux, Dadju enchaîne sur une tournée aux Etats-Unis, intitulée le P.O.A tour. L’auteur-compositeur de 29 ans est en concert au Mana Wynwood Convention Center le vendredi 21 février.

De son nom complet Dadju Djuna Nsungula, l’artiste français est issu d’une famille de musiciens : son père Djuna Djanana chantait dans le groupe Viva La Musica de Papa Wemba et le rappeur Gims est son frère.

Il débute sa carrière solo en 2016, sortant son premier album “Gentleman 2.0.” où figure le titre “Reine”, qui connaît un succès retentissant. Révélation des NRJ Music Awards en 2018, il a battu des records de ventes d’albums en France. Sur la scène du Globe Theatre, l’idole de la jeunesse française présentera les tubes de son dernier album “Poison Ou Antidote”, tels que “Compliqué” et “Ma vie”.

Dadju en concert à l’Apollo Theater

UPDATE: Tournée annulée.

Il rempli tous les Zéniths de France et arrive maintenant aux Etats-Unis pour une tournée intitulée le P.O.A tour. L’auteur-compositeur de 29 ans est en concert au mythique Apollo, à Harlem, le 16 février.

De son nom complet Dadju Djuna Nsungula, l’artiste français est issu d’une famille de musiciens : son père Djuna Djanana chantait dans le groupe Viva La Musica de Papa Wemba et le rappeur Gims est son frère.

Il débute sa carrière solo en 2016, sortant son premier album “Gentleman 2.0.” où figure le titre “Reine”, qui connaît un succès retentissant. Révélation des NRJ Music Awards en 2018, il a battu des records de ventes d’albums en France. Sur la scène du Globe Theatre, l’idole de la jeunesse française présentera les tubes de son dernier album “Poison Ou Antidote”, tels que “Compliqué” et “Ma vie”.

« Alegría » du Cirque du Soleil à Houston

C’est un des spectacles qui a assuré la renommée mondiale du Cirque du Soleil. Pour fêter les 25 ans de la première représentation, la multinationale de l’acrobatie offre une relecture moderne et contemporaine d’« Alegría ». Cette mouture 2019, qui a fait ses débuts en avril dernier à Montréal, est présentée du 29 février au 12 avril dans le Sam Houston Race Park à Houston.

Axée sur une lutte des classes après la disparition d’un roi qui a laissé son peuple dans l’incertitude, la trame narrative d’« Alegría », qui joue sur les dualités et cherche à illustrer le passage de l’obscurité à la lumière, est toujours présente. La nouvelle mise en scène est signée Jean-Guy Legault, qui a renouvelé sans la dénaturer la mise en scène originale de Franco Dragone.

Pour cette nouvelle mouture d’« Alegría », une cinquantaine d’artistes, sous la direction de Daniel Ross, qui fut le régisseur de l’ancienne version, se partagent la scène. Même si la plupart d’entre eux ne faisaient pas partie du spectacle original, certains ont fait leur retour au sein de la troupe qui les a fait grandir. 25 ans après, l’artiste hawaïen Lisiate Tuione Tovo prend visiblement toujours autant de plaisir à jouer avec le feu en jonglant avec ses bâtons enflammés. Elena Lev, quant à elle, autre artiste du spectacle original, s’adonne avec brio à un numéro mêlant contorsion et hula hoop.

« Ce sont en quelque sorte nos mentors qui nous guident afin que l’on se surpasse pour sublimer l’oeuvre originale », souligne l’artiste québécois Vincent Lavoie qui a intégré la troupe depuis quatre ans. « J’avais tout juste dix ans quand j’ai regardé le DVD d’« Alegría » et je suis littéralement tombé amoureux de ce spectacle, se rappelle-t-il. Cela me donne toujours autant de frissons de me dire que j’ai pu réaliser mon rêve d’enfant en faisant aujourd’hui partie de ce spectacle iconique ».

En enchaînant les numéros de mains à mains, de barres russes, de trapèzes synchronisés ou encore de sangles aériennes, la version renouvelée d’« Alegría » mise sur la plupart des prouesses acrobatiques qui avaient alors fait son succès. D’autres numéros, comme celui de la roue croisée, ont également fait leur apparition. « C’est une véritable fierté d’avoir pu intégrer l’appareil acrobatique que j’ai créé à ce spectacle », se félicite l’artiste québécois Jonathan Morin, inventeur de la roue croisée en 2005. « J’ai toujours cherché à me démarquer et la persévérance a fini par payer. C’est une vraie leçon de vie ».

La beauté des costumes, qui ont été entièrement redessinés, ajoute par ailleurs une autre dimension à cette nouvelle mouture d’« Alegría ». La trame sonore, qui comprend de nouveaux arrangements signés Jean-Phi Goncalves à partir des compositions originales de René Dupéré, y est également pour beaucoup. Mêlant des envolées électroniques et rock à des éléments acoustiques et orchestraux, la bande originale du spectacle, qui à l’époque avait eu un succès mondial avec notamment une nomination aux Grammy Awards, procure toujours autant d’émotions.

Finalement, après deux heures de spectacle, lorsque les artistes s’élancent pour saluer leur public, ce dernier en redemande. Ainsi régénéré, « Alegría » n’a pas perdu de sa superbe et permet au Cirque du Soleil de prouver une nouvelle fois qu’il arrive avec aisance à transporter ses spectateurs dans un monde féérique et poétique où chacun peut s’émerveiller.

Patrick Timsit, tout en émotion avec “Le Livre de ma mère” au FIAF

On le connaît en comique. Cette fois, Patrick Timsit n’est pas là pour vous faire rire, mais plutôt pleurer. Il est au FIAF les 29 et 30 janvier avec “Le Livre de ma mère”.

Partout en France, les spectateurs, la larme à l’oeil, lui ont fait un triomphe avec ce “Livre de ma mère”. Tiré du livre éponyme d’Albert Cohen, lettre d’amour filial à sa mère disparue, le spectacle met en scène Patrick Timsit, seul dans un décor des plus sobres. Alternant entre l’intime -les souvenirs, le vide laissé par la disparition- et l’universel, le texte magnifique de Cohen est servi par une interprétation tout en délicatesse et retenue d’un acteur qu’on re-découvre.

Plus d’informations et tickets ici.