Elle est la star des fins de repas des fêtes. Voici une sélection non-exhaustive d’adresses à Miami et sa région où trône la traditionnelle bûche de Noël, yule log comme l’appellent les Américains.
Parmi les petits nouveaux, le Villeurbannais Matthieu Bettant et sa femme Miriam, qui ont récemment ouvert Bettant Bakery à South Beach, proposent trois parfums de bûches : au chocolat, au praliné et aux fruits exotiques. Chaque dessert pouvant servir 6 personnes coûte 35 dollars. La bûchette individuelle est facturée 5 dollars. 1043 Washington Ave, Miami Beach – (305) 673-5522
Meilleur ouvrier de France, le chef pâtissier Georges Berger qui est à la tête de Mirabelle à Downtown Miami concocte des bûches qui se déclinent en deux saveurs différentes : la « Chocolate Decadent » qui se compose d’une mousse au chocolat agrémentée de vanille bourbon et de rhum sur une dacquoise pralinée, et la « Chestnut and Blackcurrant » garnie d’une mousse aux marrons et aux cassis sur un biscuit à la vanille. Chaque création nourrissant de 8 à 10 personnes coûte 38 dollars. 114 SE 1st St, Miami – (786) 440-6561
Corine Lefebvre et son mari Joël, qui ont récemment déménagé leur enseigne Buena Vista Deli dans le quartier de Midtown à Miami, raviront les papilles des gourmands grâce à leurs quatre parfums de bûches : trois créations au chocolat se déclinant en différentes saveurs – caramel, passion et framboise – ainsi qu’une recette à la crème pâtissière et chantilly sur une base de brownie et crémeux au chocolat. Comptez 38 dollars pour 6 personnes et 62 dollars pour 12 convives. 3252 NE 1st Ave Suite 107, Miami – (305) 576 3945
L’Atelier Monnier, qui dispose de quatre points de vente, mise sur trois bûches aux goûts variés. La « Lait Crunchy » composée d’une mousse au chocolat au lait et crème de praline sur une dacquoise pralinée, la « Noir Vanille » garnie d’une mousse au chocolat noir et crème de vanille sur une dacquoise aux noix de pécan, et la « Rose de Noël » à la mousse de vanille et mascarpone agrémentée d’un crémeux de compote de fruits rouges sur une dacquoise aux framboises et fraises. Prévoyez 44,95 dollars pour ces desserts qui peuvent servir 6 à 9 convives. Plusieurs adresses : Pinecrest, Brickell, South Beach et Bird Road – (305) 456-5015
À Miami Beach, Brigitte Cavallero et son fils Bastien, épaulés par le chef pâtissier Stéphane Merlat, proposent aux becs sucrés trois parfums de bûches dans leur enseigne Maison Valentine : une première aux fruits exotiques et coulis de framboises sur un biscuit à la pistache, une autre à la mousse au chocolat noir et crème brûlée garnie de caramel, et enfin une au chocolat au lait et crémeux praliné sur un biscuit croquant aux noisettes. Le dessert pour 6 personnes coûte 48 dollars et la part individuelle est affichée à 8 dollars. 1112 15th St, Miami Beach – (786) 535-1432
Comment ne pas céder à la tentation face aux bûches de Paul sur Lincoln Road à Miami Beach. L’établissement met en vente pas moins de sept créations : la « Bûche Chalet » à la mousse au chocolat et aux noisettes sur un gâteau éponge aux amandes, des bûches roulées au citron meringué ou au chocolat, d’autres aux fruits rouges, au chocolat praliné, une recette façon charlotte aux fruits frais, ainsi qu’une couronne au chocolat et praliné. Les prix varient de 24 à 39 dollars selon le dessert disponible en deux tailles : pour 4 ou 8 personnes. Il est aussi possible d’acheter des parts individuelles vendues entre 5 et 6 dollars. 450 Lincoln Road, Miami Beach – (305) 531-1200
Toujours sur Lincoln Road, la boulangerie-pâtisserie Les Moulins La Fayette met en vitrine quatre modèles de bûches : une recette aux trois chocolats, une autre inspirée du cheesecake aux fruits rouges, une bûche façon Saint-Honoré à la fraise, et celle au chocolat et caramel. Prévoyez 44,95 dollars pour 8 convives et la bûchette individuelle est facturée 6,50 dollars. 211 Lincoln Rd, Miami Beach – (786) 773-1400
Enfin, à La Bonne Adresse à Hollywood, le chef pâtissier Julien Van Steenwinckel et sa soeur Émilie, chef chocolatière, renouvellent leurs classiques et proposent aux gourmands cinq recettes à base de mousse façon entremets : chocolat praliné et framboise, citron meringué, noisettes et praliné, trois chocolats, ou encore passion, mangue et noix de coco. Chaque modèle, pour 8 personnes, coûte 60 dollars. Il est également possible d’acheter des parts individuelles. 2003 Harrison St, Hollywood – (954) 927-6458
Où trouver sa bûche de Noël à Miami ?
Les 12 commandements pour réussir son investissement immobilier à Detroit
(Article partenaire) Ce n’est pas parce que Detroit affiche une “recovery” extraordinaire, avec des milliards d’investissements et un taux de chômage tombé de 25 % à 5 % en 10 ans, qu’il faut oublier les bons réflexes d’investissement. Quelques conseils avec Immo-us, spécialiste de l’investissement immobilier aux Etats-Unis.
1/ Bien choisir son intermédiaire
Un investisseur français doit s’assurer que l’intermédiaire qui agit en France doit être en conformité avec la Loi Hoguet de 1970. Il est obligatoire de posséder la carte T de transaction immobilière ainsi qu’une assurance Responsabilité Civile Professionnelle. Placeriez-vous votre argent dans une banque qui n’aurait pas les agréments ? La plaquette commerciale et le site doivent énumérer les risques conformément aux exigences de l’AMF; De même, la fiche de présentation doit faire apparaître le montant des honoraires ainsi que le numéro de mandat.
2/ La transaction
Sur le territoire américain, la transaction doit passer absolument par une “Title Company“; immo-us exige cette étape pour votre sécurité.
3/ Les règlements
Les règlements doivent être effectués directement auprès de la “Title Company” et jamais directement auprès du promoteur sauf pour le “deposit” lors de la conclusion de la réservation.
4/ Se couvrir contre les dettes
Exigez un “Warranty Deed” qui vous couvre contre les dettes passées ( et non un “Quit Claim Deed” qui n’offre pas cette garantie)
5/ Les intermédiaires
Les intermédiaires américains doivent aussi posséder les accréditations pour commercialiser et gérer vos biens; immo-us passe des accords avec des professionnels en conformité avec la législation.
6/ S’assurer de l’évolution des travaux
Pour s’assurer que les travaux de rénovation ont bien été effectués demandez des photos ou un film. Nous exigeons maintenant d’avoir ces éléments avant de concrétiser toute vente.
7/ Bien choisir son futur locataire
Le gestionnaire doit effectuer un “back ground check” sur la qualité du futur locataire.
8/ Avoir son propre service d’entretien
Le gestionnaire toujours doit avoir son propre service d’entretien. Il faut savoir conserver les bons locataires. Pour ce faire une intervention sous 48 H est nécessaire.
9/ Ne pas oubliez les travaux d’entretiens
Dans le prévisionnel, assurez-vous qu’il y a bien un poste de charge sur l’entretien des maisons ou des immeubles. Il serait malhonnête de vous faire penser qu’aucuns travaux d’entretiens ne seraient nécessaires à travers les années d’exploitation.
10/ Faire attention aux propositions de rendement
En conséquence, éliminez les propositions de rendement supérieurs à 9 % pour les maisons individuelles et à 12 % pour les multi family et les immeubles. L’expérience montre que nous sommes plutôt entre 7 et 9 % pour les maisons individuelles et entre 9 et 12 % pour les multifamily et les immeubles. Ce qui est déjà très bien dans une période de taux très bas.
11/ Le courtier
Passez par un courtier, il connaît bien les pièges à éviter et les acteurs locaux.
12/ Ouverture compte en banque
N’ouvrez pas de comptes bancaires à distance. La personne qui fera cette opération aura la main mise sur votre argent par la suite…
Franck Noguès est titulaire d’un MBA de gestion de patrimoine en France et exerce depuis 30 ans. Après 6 ans d’expériences réussies à Miami, il est maintenant présent depuis 4 ans sur Detroit avec son site immo-us.
“La ville progresse d’une manière extraordinaire sur les traces du géant de l’automobile. Pensez qu’il y a 10 ans jours pour jours, Général Motors était en faillite. Ils sont aujourd’hui le 3ème constructeur mondial !”
La rentabilité est là lorsque le projet est mis en œuvre sur des bases sérieuses et non par des sociétés qui exercent dans l’illégalité. Le potentiel de progression est également très élevé. “Le Michigan est le deuxième Etat après la Californie en concentration d’ingénieurs par rapport à la population”. C’est pourquoi certaines banques nous suivent aussi sur les financements des maisons et des immeubles sur cette ville en plein renouveau. Notre équipe se tient à votre disposition pour tout complément d’information.
321 440 3459
+33607056701
[email protected]
Site internet
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Une salle ICE à Los Angeles, "le rêve américain" du groupe rochelais CGR Cinémas
“Il y aura un avant et un après Los Angeles pour ICE (Immersive Cinema Experience).” Ce mantra est répété inlassablement par Jocelyn Bouyssy, le directeur général du groupe rochelais CGR Cinémas. Grâce à un accord conclu lors du festival de Cannes avec AEG, géant américain de l’événementiel, il a lancé sa première salle immersive de 180 sièges sur le sol américain. Dès le mardi 10 décembre, elle ouvrira ses portes avec la projection de “Jumanji: The next level” dans l’immense complexe de divertissement L.A. Live, exploité par Regal.
Quand on pense à une salle immersive, on imagine un siège qui tremble, des effets de soufflerie… “On n’est pas au Futuroscope”, rappelle Jocelyn Bouyssy, qui décrit la salle ICE comme un concept premium alliant le confort et les innovations techniques, dont un son enveloppant et une immersion visuelle grâce à des panneaux lumino-textiles installés sur les côtés de la salle. Sollicitant la vision périphérique, la technologie LightVibes a été créée par les équipes de CGR dans leur bureau à la Rochelle, tout comme les sièges disposant de chargeurs à induction.
“C’est un concept imaginé par des exploitants pour les exploitants.” Grâce à cette offre, la part de marché et de box office des films projetés en ICE a été multipliée par deux, assure Guillaume Thomine Desmazures, responsable du développement international d’ICE. Un argument de poids pour convaincre les studios. Exploitants et distributeurs peuvent espérer vendre des tickets jusqu’à deux fois plus chers que les tickets traditionnels.
Los Angeles, “rêve de gosse”
Tout a démarré en 2016. “On a décidé de croire au cinéma. Après avoir résisté à Canal+, les VHS, les DVD, et maintenant les plateformes comme Netflix et Amazon TV, le cinéma avait besoin d’innovations technologiques”, note le patron charismatique du CGR, numéro 2 en France. “Il faut que cela reste un lieu de sortie, de socialisation.” Las de travailler avec des tiers, il décide de développer en nom propre cette technologie immersive. Trois ans plus tard, une trentaine de salles ont été construites dans l’Hexagone.
Los Angeles, la Mecque du septième art, était alors un “rêve de gosse” pour Jocelyn Bouyssy. Sans compter que cette ouverture est décisive pour l’avenir du concept à l’international. “Le challenge est désormais de trouver des contenus”, plaide Jocelyn Bouyssy, qui a démarré sa carrière comme projectionniste. Dès les débuts, il réussit à convaincre Luc Besson de diffuser “Valerian” en ICE, puis c’est au tour de Sony. Et finalement, même Disney leur a laissé leur chance avec “Maléfique : Le pouvoir du mal”. “J’ai réussi à convaincre les distributeurs quand ils sont venus en France voir un film en salle ICE. Celle de Los Angeles va permettre de faire venir les studios hollywoodiens et des réalisateurs comme James Cameron”, assure celui qui considère cette salle comme “le vaisseau amiral de la marque”. Un pari gagnant, puisque l’inauguration, mardi 3 décembre, a attiré des pontes de l’industrie.
Des rencontres qui devraient permettre au groupe français d’adapter en ICE des films qui se prêtent à la technologie, comme c’est déjà le cas pour “Top Gun 2” de Joseph Kosinski. Les films font l’objet d’un travail spécifique de post-production, au siège du CGR à Périgny, pendant environ un mois. Depuis trois ans, plus de 60 films ont été adaptés pour ces salles.
Le modèle connaît aussi une percée à l’international avec un déploiement en Arabie saoudite, via l’exploitant Vox qui a demandé une exclusivité territoriale. Le groupe rochelais ambitionne de vendre une centaine de salles aux Etats-Unis dans la prochaine année. La collaboration avec AEG pourrait se reproduire, le groupe américain gérant 5.500 salles de cinéma outre-Atlantique. Et l’ambition de Jocelyn Bouyssy, décrété ambassadeur du “made in France” dans le septième art, s’étend au-delà : “je veux imaginer une seconde version d’ICE, offrant de nouvelles options aux spectateurs.”
Une salle ICE à Los Angeles, “le rêve américain” du groupe rochelais CGR Cinémas
“Il y aura un avant et un après Los Angeles pour ICE (Immersive Cinema Experience).” Ce mantra est répété inlassablement par Jocelyn Bouyssy, le directeur général du groupe rochelais CGR Cinémas. Grâce à un accord conclu lors du festival de Cannes avec AEG, géant américain de l’événementiel, il a lancé sa première salle immersive de 180 sièges sur le sol américain. Dès le mardi 10 décembre, elle ouvrira ses portes avec la projection de “Jumanji: The next level” dans l’immense complexe de divertissement L.A. Live, exploité par Regal.
Quand on pense à une salle immersive, on imagine un siège qui tremble, des effets de soufflerie… “On n’est pas au Futuroscope”, rappelle Jocelyn Bouyssy, qui décrit la salle ICE comme un concept premium alliant le confort et les innovations techniques, dont un son enveloppant et une immersion visuelle grâce à des panneaux lumino-textiles installés sur les côtés de la salle. Sollicitant la vision périphérique, la technologie LightVibes a été créée par les équipes de CGR dans leur bureau à la Rochelle, tout comme les sièges disposant de chargeurs à induction.
“C’est un concept imaginé par des exploitants pour les exploitants.” Grâce à cette offre, la part de marché et de box office des films projetés en ICE a été multipliée par deux, assure Guillaume Thomine Desmazures, responsable du développement international d’ICE. Un argument de poids pour convaincre les studios. Exploitants et distributeurs peuvent espérer vendre des tickets jusqu’à deux fois plus chers que les tickets traditionnels.
Los Angeles, “rêve de gosse”
Tout a démarré en 2016. “On a décidé de croire au cinéma. Après avoir résisté à Canal+, les VHS, les DVD, et maintenant les plateformes comme Netflix et Amazon TV, le cinéma avait besoin d’innovations technologiques”, note le patron charismatique du CGR, numéro 2 en France. “Il faut que cela reste un lieu de sortie, de socialisation.” Las de travailler avec des tiers, il décide de développer en nom propre cette technologie immersive. Trois ans plus tard, une trentaine de salles ont été construites dans l’Hexagone.
Los Angeles, la Mecque du septième art, était alors un “rêve de gosse” pour Jocelyn Bouyssy. Sans compter que cette ouverture est décisive pour l’avenir du concept à l’international. “Le challenge est désormais de trouver des contenus”, plaide Jocelyn Bouyssy, qui a démarré sa carrière comme projectionniste. Dès les débuts, il réussit à convaincre Luc Besson de diffuser “Valerian” en ICE, puis c’est au tour de Sony. Et finalement, même Disney leur a laissé leur chance avec “Maléfique : Le pouvoir du mal”. “J’ai réussi à convaincre les distributeurs quand ils sont venus en France voir un film en salle ICE. Celle de Los Angeles va permettre de faire venir les studios hollywoodiens et des réalisateurs comme James Cameron”, assure celui qui considère cette salle comme “le vaisseau amiral de la marque”. Un pari gagnant, puisque l’inauguration, mardi 3 décembre, a attiré des pontes de l’industrie.
Des rencontres qui devraient permettre au groupe français d’adapter en ICE des films qui se prêtent à la technologie, comme c’est déjà le cas pour “Top Gun 2” de Joseph Kosinski. Les films font l’objet d’un travail spécifique de post-production, au siège du CGR à Périgny, pendant environ un mois. Depuis trois ans, plus de 60 films ont été adaptés pour ces salles.
Le modèle connaît aussi une percée à l’international avec un déploiement en Arabie saoudite, via l’exploitant Vox qui a demandé une exclusivité territoriale. Le groupe rochelais ambitionne de vendre une centaine de salles aux Etats-Unis dans la prochaine année. La collaboration avec AEG pourrait se reproduire, le groupe américain gérant 5.500 salles de cinéma outre-Atlantique. Et l’ambition de Jocelyn Bouyssy, décrété ambassadeur du “made in France” dans le septième art, s’étend au-delà : “je veux imaginer une seconde version d’ICE, offrant de nouvelles options aux spectateurs.”
Marché de Noël alsacien à New York : choucroute, bretzels et soupe à l'oignon aux chalets du District
(Agenda partenaire) Les villes de Strasbourg, Mulhouse, Colmar et la région Alsace organisent leur premier marché de Noël alsacien jusqu’au 22 décembre à Bowling Green Park à Manhattan.
Fondé en 1570, le marché de Strasbourg est plus vieux du genre en France. 30 chalets ont été importés d’Alsace pour l’occasion.
Le District, marché français incontournable du sud de Manhattan, est de la partie avec deux chalets vous proposant les meilleures spécialités alsaciennes : choucroute garnie, bretzels, soupe à l’oignon, liverwurst, quiche lorraine…
Le ventre plein, réchauffez-vous ensuite avec leurs cidres chauds à la cannelle ou leurs chocolats chauds. Le marché est ouvert tous les jours de 11am à 7pm jusqu’au 22 décembre. Prenez part à la fête !
—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Marché de Noël alsacien à New York : choucroute, bretzels et soupe à l’oignon aux chalets du District
(Agenda partenaire) Les villes de Strasbourg, Mulhouse, Colmar et la région Alsace organisent leur premier marché de Noël alsacien jusqu’au 22 décembre à Bowling Green Park à Manhattan.
Fondé en 1570, le marché de Strasbourg est plus vieux du genre en France. 30 chalets ont été importés d’Alsace pour l’occasion.
Le District, marché français incontournable du sud de Manhattan, est de la partie avec deux chalets vous proposant les meilleures spécialités alsaciennes : choucroute garnie, bretzels, soupe à l’oignon, liverwurst, quiche lorraine…
Le ventre plein, réchauffez-vous ensuite avec leurs cidres chauds à la cannelle ou leurs chocolats chauds. Le marché est ouvert tous les jours de 11am à 7pm jusqu’au 22 décembre. Prenez part à la fête !
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Des courts-métrages français sous les projecteurs de l'American Cinematheque de Los Angeles
Habituée à rendre hommage à l’œuvre des pontes du cinéma français, tels qu’Agnès Varda, Jean-Pierre Jeunet ou Jean-Pierre Melville, l’American Cinematheque de Los Angeles a décidé de mettre les cinéastes émergents sous les projecteurs. Organisé par les services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis et UniFrance, Young French Cinema Shorts aura lieu le jeudi 12 décembre à 7:30 pm à l’Egyptian Theater. Le programme inclut une sélection de courts-métrages récompensés lors des grands festivals en 2018.
La soirée débutera avec la projection du film «Les Grâcieuses» (“The Villa”), réalisé par Emmanuel Poulain-Arnaud, qui conte une transaction immobilière qui va être perturbée. Puis, «Pauline Asservie»( “Pauline Enslaved”) de Charline Bourgeois-Tacquet, révélera au public l’obsession amoureuse de Pauline, qui en séjour à la campagne, attend désespérément un message de son amant. Ce court-métrage sera suivi par «Les Indes Galantes» (“The Amorous Indies”) réalisé par Clément Cogitore. Il filme une performance de Krumping, une danse créée à Los Angeles après les émeutes de 1995.
«La Chute» (“The Fall”) de Boris Labbé, un court-métrage d’animation, vous amène dans un univers où les habitants du ciel tentent de corrompre les humains, plongeant le monde dans le chaos. Enfin, «La Persistente», réalisé par Camille Lugan, vous plongera au coeur d’une station balnéaire des Pyrénées, pour suivre la relation si spéciale qu’Ivan entretient avec sa moto, La Persistente, jusqu’à ce qu’on lui vole.
Des courts-métrages français sous les projecteurs de l’American Cinematheque de Los Angeles
Habituée à rendre hommage à l’œuvre des pontes du cinéma français, tels qu’Agnès Varda, Jean-Pierre Jeunet ou Jean-Pierre Melville, l’American Cinematheque de Los Angeles a décidé de mettre les cinéastes émergents sous les projecteurs. Organisé par les services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis et UniFrance, Young French Cinema Shorts aura lieu le jeudi 12 décembre à 7:30 pm à l’Egyptian Theater. Le programme inclut une sélection de courts-métrages récompensés lors des grands festivals en 2018.
La soirée débutera avec la projection du film «Les Grâcieuses» (“The Villa”), réalisé par Emmanuel Poulain-Arnaud, qui conte une transaction immobilière qui va être perturbée. Puis, «Pauline Asservie»( “Pauline Enslaved”) de Charline Bourgeois-Tacquet, révélera au public l’obsession amoureuse de Pauline, qui en séjour à la campagne, attend désespérément un message de son amant. Ce court-métrage sera suivi par «Les Indes Galantes» (“The Amorous Indies”) réalisé par Clément Cogitore. Il filme une performance de Krumping, une danse créée à Los Angeles après les émeutes de 1995.
«La Chute» (“The Fall”) de Boris Labbé, un court-métrage d’animation, vous amène dans un univers où les habitants du ciel tentent de corrompre les humains, plongeant le monde dans le chaos. Enfin, «La Persistente», réalisé par Camille Lugan, vous plongera au coeur d’une station balnéaire des Pyrénées, pour suivre la relation si spéciale qu’Ivan entretient avec sa moto, La Persistente, jusqu’à ce qu’on lui vole.
French Boss, ép. 15: S'expatrier pour se réinventer
Emily Crehan et Catherine Marché se partagent le micro de Eric Gendry pour ce 15ème épisode de French Boss, dans lequel on va beaucoup plus parler d’enthousiasme et de création que d’argent.
Emily Crehan, anglaise devenue française d’adoption avait fait carrière et famille en France avant de revenir à Londres. Et là, elle a vécu un choc culturel à rebours, se vivant comme étrangère dans son propre pays. Elle a finalement trouvé sa place en créant Le Moving, une agence de “relocation” aidant les familles françaises -et autres- à s’installer à Londres.
Catherine Marché, elle a fait le chemin inverse. Elle a passé plus de vingt ans à Londres, devenant aussi anglaise que française, avant de décider de laisser derrière elle une carrière dans l’informatique qui mangeait ses journées -et ses nuits. Elle a décidé de se lancer dans la confection de bijoux.
L’une et l’autre se sont réinventées professionnellement, après avoir quitté la France pour l’Angleterre. Leurs récits prouvent que la passion est bien souvent le meilleur moteur d’une réussite…
Listen to “Catherine et Emily: se réinventer dans l’expatriation” on Spreaker.
French Boss, ép. 15: S’expatrier pour se réinventer
Emily Crehan et Catherine Marché se partagent le micro de Eric Gendry pour ce 15ème épisode de French Boss, dans lequel on va beaucoup plus parler d’enthousiasme et de création que d’argent.
Emily Crehan, anglaise devenue française d’adoption avait fait carrière et famille en France avant de revenir à Londres. Et là, elle a vécu un choc culturel à rebours, se vivant comme étrangère dans son propre pays. Elle a finalement trouvé sa place en créant Le Moving, une agence de “relocation” aidant les familles françaises -et autres- à s’installer à Londres.
Catherine Marché, elle a fait le chemin inverse. Elle a passé plus de vingt ans à Londres, devenant aussi anglaise que française, avant de décider de laisser derrière elle une carrière dans l’informatique qui mangeait ses journées -et ses nuits. Elle a décidé de se lancer dans la confection de bijoux.
L’une et l’autre se sont réinventées professionnellement, après avoir quitté la France pour l’Angleterre. Leurs récits prouvent que la passion est bien souvent le meilleur moteur d’une réussite…
Listen to “Catherine et Emily: se réinventer dans l’expatriation” on Spreaker.
Grève à la française vs. grève à l'américaine
Les syndicats français l’adorent. Elle revient en odeur de sainteté aux Etats-Unis. La grève est utilisée des deux côtés de l’Atlantique pour faire pression sur les employeurs ou le gouvernement. Comment les deux pays l’utilisent-ils ? Les travailleurs américains sont-ils aussi peu adeptes des grèves qu’on le dit ? On a regardé les chiffres et les pratiques.
Oui, les Américains font grève. Et de plus en plus.
Les Français sont tentés de penser que les Américains ne se mettent jamais en grève et ne se syndiquent pas. C’est faux. Les taux de syndicalisation sont comparables dans les deux pays: environ 11%, en fort recul depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale. Côté grève, aussi. Ragaillardis par la bonne santé de l’économie et leur bonne image dans l’opinion publique, les syndicats américains y ont de plus en plus recours. En 2018, il y a eu vingt « interruptions du travail » (grèves et fermetures temporaires d’entreprises décidées par la direction en anticipation d’une grève) impliquant plus de 1 000 personnes, contre 7 en 2017, selon le Bureau of Labor Statistics. Un record depuis 1987. Au total, en 2018 les grèves aux Etats-Unis ont concerné quelque 487 000 travailleurs. Ce seuil devrait être dépassé en 2019. L’actualité sociale de cette année a notamment été marquée par la grève des 50 000 salariés du géant de l’automobile General Motors. Cela faisait douze ans que l’entreprise n’avait pas connu un mouvement de cette ampleur.
Le service public américain est plus syndiqué, mais…
Cela ne veut pas dire que les Américains sont soudainement devenus des grévistes en puissance. Vingt est bien loin des 470 “interruptions de travail” de l’année 1952 aux Etats-Unis. Si le nombre de travailleurs américains syndiqués dans le public est plus élevé aux Etats-Unis qu’en France (33,9% contre 19%), les grèves du secteur public américain sont plus rares.
Et c’est normal. Comme le note le Pew Research Center, seul onze Etats reconnaissent formellement le droit de grève des fonctionnaires. “Dans les 39 autres, les grèves du secteur public sont illégales, même si elles se produisent de manière occasionnelle. Les inquiétudes liées aux grèves ont longtemps été utilisées pour décourager les fonctionnaires de former des syndicats et d’obtenir des droits de négociation collective“. Selon le Pew, ces restrictions proviennent notamment du spectre de la grève des policiers de Boston en 1919, dont la décision de stopper le travail pour protester contre une interdiction de devenir membre de syndicats avait provoqué une hausse de la criminalité dans la ville. Ronald Reagan avait évoqué cet épisode quand il avait écrasé le mouvement de grogne des plus de 11.000 aiguilleurs du ciel en 1981, une page noire dans d’histoire du syndicalisme américain.
Le sentiment d’être “pris en otage” en France
Dans un pays centralisé comme la France, les mouvements de grève générale dans le public (enseignants, transports…), comme ceux auxquels on assiste depuis le 5 décembre au sujet de la réforme des retraites, ont un pouvoir de nuisance plus fort qu’aux Etats-Unis, où les grèves ne paralysent pas le pays. Si les grèves générales ont éclaté dans plusieurs villes américaines au début du XXème siècle, dont Seattle en 1919, elles ont progressivement disparu du paysage en raison de restrictions adoptées dans les années 40, note le magazine de gauche The Nation.
Un autre facteur obère la force de frappe des syndicats américains: le fait que ces derniers s’organisent au niveau de chaque entreprise et négocient à cette échelle (et non à celle de la branche ou du secteur d’activité). Ce système conduit les dirigeants d’entreprises à recourir à des techniques ingénieuses pour dissuader les employés de rejoindre un syndicat voire d’empêcher leur création. Le site d’information Vox explique que “la plupart des pays européens (…) ont trouvé une manière de contourner cela. Les syndicats ne négocient pas seulement au niveau de l’entreprise, mais aussi au niveau de la branche, oeuvrant ainsi pour tous les travailleurs d’un secteur plutôt qu’une entreprise seule, explique Vox. Puisque toute entreprise, quel que soit le nombre de syndiqués, doit respecter la même accord, elles sont moins incitées à décourager” la syndicalisation.
Grève à la française vs. grève à l’américaine
Les syndicats français l’adorent. Elle revient en odeur de sainteté aux Etats-Unis. La grève est utilisée des deux côtés de l’Atlantique pour faire pression sur les employeurs ou le gouvernement. Comment les deux pays l’utilisent-ils ? Les travailleurs américains sont-ils aussi peu adeptes des grèves qu’on le dit ? On a regardé les chiffres et les pratiques.
Oui, les Américains font grève. Et de plus en plus.
Les Français sont tentés de penser que les Américains ne se mettent jamais en grève et ne se syndiquent pas. C’est faux. Les taux de syndicalisation sont comparables dans les deux pays: environ 11%, en fort recul depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale. Côté grève, aussi. Ragaillardis par la bonne santé de l’économie et leur bonne image dans l’opinion publique, les syndicats américains y ont de plus en plus recours. En 2018, il y a eu vingt « interruptions du travail » (grèves et fermetures temporaires d’entreprises décidées par la direction en anticipation d’une grève) impliquant plus de 1 000 personnes, contre 7 en 2017, selon le Bureau of Labor Statistics. Un record depuis 1987. Au total, en 2018 les grèves aux Etats-Unis ont concerné quelque 487 000 travailleurs. Ce seuil devrait être dépassé en 2019. L’actualité sociale de cette année a notamment été marquée par la grève des 50 000 salariés du géant de l’automobile General Motors. Cela faisait douze ans que l’entreprise n’avait pas connu un mouvement de cette ampleur.
Le service public américain est plus syndiqué, mais…
Cela ne veut pas dire que les Américains sont soudainement devenus des grévistes en puissance. Vingt est bien loin des 470 “interruptions de travail” de l’année 1952 aux Etats-Unis. Si le nombre de travailleurs américains syndiqués dans le public est plus élevé aux Etats-Unis qu’en France (33,9% contre 19%), les grèves du secteur public américain sont plus rares.
Et c’est normal. Comme le note le Pew Research Center, seul onze Etats reconnaissent formellement le droit de grève des fonctionnaires. “Dans les 39 autres, les grèves du secteur public sont illégales, même si elles se produisent de manière occasionnelle. Les inquiétudes liées aux grèves ont longtemps été utilisées pour décourager les fonctionnaires de former des syndicats et d’obtenir des droits de négociation collective“. Selon le Pew, ces restrictions proviennent notamment du spectre de la grève des policiers de Boston en 1919, dont la décision de stopper le travail pour protester contre une interdiction de devenir membre de syndicats avait provoqué une hausse de la criminalité dans la ville. Ronald Reagan avait évoqué cet épisode quand il avait écrasé le mouvement de grogne des plus de 11.000 aiguilleurs du ciel en 1981, une page noire dans d’histoire du syndicalisme américain.
Le sentiment d’être “pris en otage” en France
Dans un pays centralisé comme la France, les mouvements de grève générale dans le public (enseignants, transports…), comme ceux auxquels on assiste depuis le 5 décembre au sujet de la réforme des retraites, ont un pouvoir de nuisance plus fort qu’aux Etats-Unis, où les grèves ne paralysent pas le pays. Si les grèves générales ont éclaté dans plusieurs villes américaines au début du XXème siècle, dont Seattle en 1919, elles ont progressivement disparu du paysage en raison de restrictions adoptées dans les années 40, note le magazine de gauche The Nation.
Un autre facteur obère la force de frappe des syndicats américains: le fait que ces derniers s’organisent au niveau de chaque entreprise et négocient à cette échelle (et non à celle de la branche ou du secteur d’activité). Ce système conduit les dirigeants d’entreprises à recourir à des techniques ingénieuses pour dissuader les employés de rejoindre un syndicat voire d’empêcher leur création. Le site d’information Vox explique que “la plupart des pays européens (…) ont trouvé une manière de contourner cela. Les syndicats ne négocient pas seulement au niveau de l’entreprise, mais aussi au niveau de la branche, oeuvrant ainsi pour tous les travailleurs d’un secteur plutôt qu’une entreprise seule, explique Vox. Puisque toute entreprise, quel que soit le nombre de syndiqués, doit respecter la même accord, elles sont moins incitées à décourager” la syndicalisation.