C’est officiel, le restaurant espagnol aux accents marins Saint Julivert Fisherie, situé à Cobble Hill, a été élu meilleur bistro de l’année à New York par Le Fooding. Ce célèbre guide parisien récompense les meilleurs bistros et concepts novateurs créés dans les 12 à 18 derniers mois, à travers quatre villes: New York, Londres, Mexico et Paris.
Pas de nappe ni de carreaux au Saint Julivert qui est un petit bar à vin de quartier qui propose de la cuisine de la mer aux accents espagnols et européens. A la barre du restaurant et de la cuisine, Alex Raif et Eder Montero, couple à la vie et au bistro, et déjà derrière les commandes des restaurants El Quinto Pino, Txikito et La Vara. La cuisine est ouverte, l’atmosphère est décontractée, européenne, un bistro qui a plu à l’équipe du Fooding. « On a comparé énormément de restaurants, et on a trouvé que c’était le meilleur, qu’il y avait ce petit quelque chose. Une bonne adresse mais où on s’ennuie, ça ne marche pas pour le Fooding », détaille son fondateur Alexandre Dumas.
Le restaurant néo-Américain Crown Shy (Financial District) et l’Indien Adda (Long Island City) font partie des autres finalistes. Ils ont été retenus par des testeurs anonymes du Fooding et par les internautes après une première sélection de 18 restaurants par l’équipe d’Alexandre Dumas.
(Article partenaire) Bagatelle, restaurant français incontournable de la Big Apple, invite la joie de vivre à la française à sa table. Tous les mercredis à partir du 4 décembre, les “Je Ne Sais Quoi dinner parties” viendront animer la grande salle de ce restaurant situé à Meatpacking District.
Venez vous installer pour dîner au service de 7pm ou de 9pm et profitez d’une soirée gastronomique accompagnée de cocktails exclusifs et de musique française.
À 10pm, l’équipe du restaurant réapparaît en costume français pour une représentation qui vous fera voyager de l’autre côté de l’Atlantique. La soirée continuera sur ce ton avec de nombreuses surprises pour tous les participants.
Réservez une table dès maintenant : [email protected] ou 212.488.2110
—————- Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
L’équipe New York Off Road sélectionne chaque mois les activités à ne pas manquer dans la grosse pomme : festivals, spectacles, expositions, parades… Faites votre programme, le meilleur est à découvrir dans l’agenda de décembre 2019 !
A partir du 3 décembre : Visite des illuminations de Dyker Heights
L’éclairage du quartier de Dyker Heights s’est imposé comme l’une des meilleures attractions de New York en décembre. Au programme : des décorations lumineuses délirantes, des pères Noël grandeur nature, des traîneaux et des bonhommes de neige illuminés ! Certaines maisons diffusent même des chants de Noël pour vous plonger dans l’ambiance. Pour une visite guidée magique, suivez les guides français de la team New York Off Road !
Le 4 décembre : L’illumination du sapin du Rockefeller Center.
L’arbre 2019 sera allumé pour la première fois le mercredi 4 décembre au Rockefeller Plaza. Chaque année, des milliers de personnes se pressent sur les trottoirs pour l’événement et des millions de personnes regardent la retransmission en direct. L’arbre restera illuminé et exposé sur la place jusqu’au vendredi 17 janvier 2020.
Le 14 décembre : SantaCon NYC
En décembre c’est l’évènement le plus festif de New York. SantaCon est un évènement caritatif qui sait comment mettre du “fun” dans la collecte de fonds. Le principe : s’habiller en pères noël, et déambuler de bars en bars (“pub crawl”) dans les quartiers de Manhattan et Brooklyn (surtout si vous souhaitez avoir accès a des emplacements spéciaux de SantaCon). Certains des meilleurs bars de New York y participent !
20, 21 et 22 décembre : Paul Winter’s Winter Solstice Célébration.
Dans la cathédrale St. John The Divine, le spectacle Paul Winter’s Winter Solstice met les new-yorkais dans l’ambiance hivernale. Au programme : des musiciens et chanteurs qui proposent de revisiter les rites anciens autour du solstice du 21 décembre dans une version actuelle, accompagnés par 25 danseurs.
21 décembre : Make Music Winter
Make Music New York organise des concerts gratuits en plein air qui rassemblent des musiciens venant pour le plaisir de jouer et partager leur musique. Le 21 décembre, c’est la nuit la plus longue de l’année ! Une sorte de “fête la musique” New Yorkaise ! Cette parade prend place dans les rues de New York invitant tous les amateurs de musique à se joindre à l’événement.
Bon mois de Décembre à tous !
La magie du fameux festival des Lumières des Lyon arrive -à petite dose- à Houston. Jusqu’au 24 février, le parc urbain de Discovery Green accueille l’exposition en plein air Paloma, crée par David Lesort et Arnaud Giroud, du studio de créations lumineuses Pitaya, qui se sont fait connaître par leurs spectaculaires créations présentées lors du festival de Lyon depuis 2006.
Les deux créateurs présentent un spectaculaire tableau composé de 200 oiseaux « origami » en aluminium, enduits de poudre, qui viennent se poser dans les arbres centenaires du parc. Ces sculptures colorées et suspendues sont illuminées par des lumières LED après le coucher du soleil pour créer l’illusion d’un vol de nuit. David Lesort et Arnaud Giroud, les deux artistes, ont conçu ce travail inspirés par les migrations des oiseaux. Cet ouvrage est mis en valeur par une installation sonore de l’artiste Lina Dib, basée à Houston, dont les sons chorégraphiés dansent le long de la Promenade Brown, laissant les visiteurs dans une expérience immersive et contemplative, au pays de l’imaginaire.
Rosalie Guillem en est convaincue: le coeur des Américains a été conquis par le “petit gâteau rond moelleux à base de pâte d’amandes a conquis le cœur des Américains”. Fondatrice de la marque Le Macaron Le Macaron, elle s’apprête à ouvrir 12 franchises dans le nord du Texas au cours des deux prochaines années à venir.
La société qui vient de fêter ses dix ans en septembre dernier, comptabilise aujourd’hui plus de 54 magasins répartis dans douze Etats différents et affiche un chiffre d’affaires de quelque onze millions de dollars. «Nous opérons une stratégie sélective au Texas sur des sites comme San Antonio et Austin où la population est jeune, dynamique et répond bien à notre concept, explique la fondatrice. Nous envisageons aussi de nous renforcer à Dallas, ville en pleine mutation. Notre nom est devenu familier dans l’État. L’économie est en pleine expansion et la diversité des cultures font du Texas un lieu optimal pour notre croissance ».
Celle qui a crée l’entreprise avec sa fille Audrey Saba-Guillem, a surtout misé sur la qualité de ce produit de luxe, confectionné par des chefs français dans leur fabrique à Sarasota en Floride, contribuant ainsi à faire de la marque un label distinctif. «L’industrie de la pâtisserie est en pleine croissance et représente un marché de 30 milliards de dollars. Nous avons aussi inclus la part du sans gluten dont le marché devrait progresser de 10% par ans pour les dix ans à venir. Notre produit est unique et haut de gamme », renchérit-elle. Le nouveau développement du mobile kiosk (chariot ambulant), opéré en automne 2018 lui permet ainsi une expansion dans un grand nombre de centres commerciaux, comme à Dallas-Fort Worth où de nouvelles franchises devraient voir le jour.
A l’avenir, Rosalie Guillem vise des emplacements dans les aéroports, voire une collaboration avec les villes pour des festivals ou des évènements sportifs et culturels avec une adaptation du matériel des franchisés à cet effet. Pour continuer à séduire, l’entreprise mise sur l’innovation en proposant sans cesse de nouvelles saveurs à une palette qui compte déjà 60 parfums. A cela s’ajoute des arômes saisonniers inattendus comme la citrouille, velours rouge, mon chéri et beurre de cacahuète. Le Macaron a d’ailleurs été récompensé en se hissant à la dixième place des 100 meilleures franchises émergentes en 2019. La société aspire maintenant à signer des accords avec des grandes marques d’hôtels au niveau national pour pouvoir aider les franchisés à fournir localement les grandes chaînes. Consciente de son atout, Rosalie Guillem préfère se renforcer aux États-Unis mais ne dit pas non à l’international (pays voisins dans un premier temps comme le Mexique) si une opportunité se présente.
Chicago offre davantage que l’ambiance d’Al Capone et des mafieux des années 1930. La capitale économique de l’Illinois est un trésor d’architecture qui n’a rien à envier à la skyline de Manhattan. Sans compter qu’elle est réputée pour ses nombreux musées (sachez que vous n’aurez jamais le temps de tous les faire), ses stand-up comedy show et ses pizzas deep-dish qui valent l’aller-retour.
Avant de découvrir tout cela, rappelons un peu les racines de la « Windy City », une histoire française notamment. Jean Baptiste Pointe du Sable, un Haïtien, fut le premier habitant de la ville où il construisit sa maison en 1779. Il y fonda un comptoir commercial à la fin du XVIIIe siècle, véritable poste de ravitaillement pour les trappeurs, les marchands et les autochtones ; avant que Chicago ne devienne une municipalité en 1833. Elle est désormais l’une des plus importantes places financières du pays et accueille la première bourse de matières premières agricoles au monde.
Pour explorer une petite partie de ses 606 km², entre mai et octobre (sinon, gare aux températures), French Morning vous embarque dans un voyage de 100 heures. Accrochez-vous ! Le “Loop” pour commencer
Pour découvrir la plus grande ville du Midwest, il faut passer du temps dans son downtown, alias le Loop. On a choisi de l’appréhender via une croisière en bateau sur la Chicago River, qui vous livrera tous les secrets de l’histoire architecturale du quartier (à partir de 45 dollars, 1h30 de traversée), au travers de ses immeubles art-déco, des stigmates de la Grande Dépression aux dernières lubies vitrifiées. Une visite indispensable pour comprendre la ville, à notre humble avis.
Enorgueilli par toutes ces informations, vous pourrez prolonger la découverte en arpentant, à pied cette fois, le Riverwalk, une passerelle de béton surplombant la Chicago River.
Si ces connaissances ont aiguisé votre appétit, arrêtez-vous chez Goddess and Baker pour une salade ou un sandwich que vous pouvez déguster à Millenium Park. Le ventre plein, profitez-en pour découvrir ce parc à l’âme artistique avec le fameux “Cloud Gate” (une sorte d’haricot géant avec des jeux de miroir) signé Anish Kapoor, mais aussi la Crown Fountain de Jaume Plensa. Ce parc citadin accueille également des expositions et des événements tout au long de l’année. Le “Cloud Gate” au Millenium Park. /Photo S.C.
Les amateurs d’art pourront poursuivre l’exploration dans le Loop : la rue Dearborn est une mine d’or avec une oeuvre de Picasso, le Flamingo de Calder et (non loin) une fresque réalisée par Chagall. Pour le street art, il faudra pousser la balade jusqu’au Wabash Art Corridor, où s’accumulent les graffitis hauts en couleurs.
Après cette déambulation, prenez de la hauteur pour avoir un angle différent sur le Loop. Pour cela, faites un arrêt par l’observatoire panoramique de 360 Chicago (à partir de 35 dollars) au coeur de Magnificent Mile, qui culmine à plus de 300 mètres de hauteur et offre une vue panoramique sur la Windy City. Pour vous remettre de vos émotions et vous mixer à la faune locale, faîtes un arrêt «apéro» par le Monk’s PUB, qui s’anime dès la sortie des bureaux. Si la faim vous guette, optez pour Lou Malnati’s, où les pizzas Chicago-style sont à tomber (et à emporter).
Les vacanciers les plus téméraires poursuivront leur périple la nuit tombée. Direction : Empty Bottle, dans le Ukrainian village. Un établissement datant de 1922 qui offre des concerts gratuits le lundi, et a vu se produire les White Stripes, Flaming Lips, Interpol, OK Go, Girl Talk ou encore The Strokes. Jour 2 : des kilomètres parcourus le long de “The 606”
Pour bien commencer cette deuxième journée sportive, il faudra vous armer d’un café chez Dark Matter Coffee. Car nous vous proposons d’arpenter The 606 (ou The Bloomingdale Trail), un ancien chemin de fer surélevé de 2,7 miles de long qui circulait d’Est en Ouest du côté Nord-Ouest de Chicago et qui a été converti en voie verte. Elle donne accès à plusieurs quartiers agréables à visiter comme Bucktown (suivant le moment de la journée, on recommandera les bières du Bucktown Pub qui dispose d’un patio agréable), Wicker Park, et Logan Square pour finir. N’hésitez pas à vous écarter de la voie pour vous perdre dans les rues. Le célèbre mur près de Logan Square. /Photo S.C.
Sur le chemin, et pour reprendre des forces, on vous recommandera un arrêt par Bang Bang Pie, une adresse réputée pour ses tartes maison et qui dispose d’un adorable patio. Puis, moment Instagram, vous pourrez vous immortaliser devant le célèbre mural “Greetings From Chicago” (2226 N Milwaukee Ave). Dans ce quartier (Logan Square toujours), il est bon de flâner dans les boutiques. Mention spéciale pour les magasins Fleur, Birdseye Rule et Wolfbait & B-girls.
Les amateurs de cinéma pourront se faire une toile à The Logan Theatre, dont la première version fut ouverte en 1915. Un véritable voyage dans le temps. Puis, il sera grand temps de se restaurer, direction Parson’s Chiken and Fish. Le burger Parson’s Hot et leur mac and cheese font de ce “fast food” un must.
Avant d’aller reposer vos jambes, faites une halte par le Rosa’s Lounge qui organise des concerts de jazz exceptionnels à 9 pm tous les soirs (15 dollars l’entrée). La vie nocturne est décidément passionnante à Chicago. Jour 3 : place à la culture
Il faut savoir que la ville du Midwest a un palmarès assez impressionnant en termes de musées (à réserver en avance). Il est difficile de les départager tant les collections sont éclectiques. Mais certains s’imposent : c’est notamment le cas du Museum Field (26 dollars) avec sa collection impressionnante de taxidermies, ainsi que son département sur les indiens d’Amérique ; de l’Art Institute (25 dollars) qui explore l’architecture, les arts antiques, africains, grecs, en passant par la peinture européenne ; ou encore (notre coup de coeur) le MCA, le musée d’art contemporain dont les expositions ambitieuses valent le détour (sans imposer plusieurs heures de visite). L’intérieur du Field, musée d’histoire naturelle. /Photo S.C.
Pour combler l’appétit creusé par les oeuvres, vous aurez l’embarras du choix. Notre option nécessitera un peu de marche (ou de Uber): Au Cheval, un diner réputé mais dont la file d’attente peut s’éterniser.
Pour poursuivre la journée, partez vers le Nord pour rejoindre le quartier de Boystown qui abrite l’une des plus importantes communautés LGBTQ du Midwest (et la marche des fiertés chaque année). Ses rues accueillent des cafés, des disquaires comme Reckless Records et des boutiques tendance. Vous pourrez faire un détour en parcourant le Legacy Walk : la rue North Halsted est devenue le premier musée en plein air LGBTQ avec une collection de pancartes honorant des personnalités comme Oscar Wilde, Harvey Milk, Antonia Pantoja ou Frida Kahlo. Dernière journée au Lake Michigan
Terminer son séjour dans la ville de Chicago sans profiter du lac Michigan, c’est décevant. Voilà pourquoi nous vous recommanderons de faire une balade en vélo autour du lac avant de retrouver votre home sweet home. Le Lakefront Trail s’étire sur 18 miles, à vous de voir la durée de votre excursion. Pour en profiter pleinement, la meilleure option reste de louer un vélo dans les bornes de la ville (Divvy) et de multiplier les arrêts comme sur la Montrose Beach ou Oak Street Beach où vous pourrez vous baigner (33 plages sont accessibles le long du lac Michigan). Pensez aux sandwichs (chez Cafecito par exemple) pour le pique-nique. Si la météo le permet, faites un plouf. /Photo S.C.
Au retour de cette balade, faîtes une halte par le Zoo Lincoln Park (gratuit, mais réservation obligatoire), en plein air. Il abrite plus de 1.000 animaux dans des enclos à l’image de leur habitat naturel, tels que des singes, des zèbres, un ours polaire ou des girafes. Puis, restez flâner dans le quartier de Old Town. Pour le dîner, on vous conseillera la terrasse du Twin Anchors Restaurant & Tavern, célèbre pour ses ribs de porc et pour un de ses anciens clients fidèles, Frank Sinatra.
L’appétit comblé, allez profiter de la scène de stand-up effervescente, avec un comedy show d’artistes locaux à Second City ou Zanies Comedy Night Club. La boucle sera alors bouclée.
Noël approche à grands pas, et il faut déjà penser à remplir sa hotte de cadeaux. Pour se mettre dans l’ambiance des fêtes de fin d’année, voici une liste de marchés de Noël à ne pas manquer. La French Winter Fair du Lycée français de San Francisco
De la charcuterie Goudy’s aux vêtements d’occasion pour enfants de chez Mini Chic, les créations pour bébés Sew Francisco, la mode chic d’Atelier Prélude, ou encore les jouets éducatifs de Little Dragon…Il y en aura pour tous les goûts à la kermesse d’hiver du Lycée français. L’artiste Gaëlle Boudier assurera l’ambiance musicale, et le Père Noël ne raterait cette Winter Fair pour rien au monde. LFSF Winter Fair, dimanche 8 décembre, de 11am à 3pm. 1201 Ortega Street, San Francisco, CA 94112. Plus d’infos. Le marché de Noël de l’Apéro et l’Alliance française de San Francisco
Pour sa deuxième édition, le marché de Noël organisé par l’AFSF s’allie à l’Apéro, connu pour la convivialité de ses événements. Le marché se tiendra au Park Central Hotel, à deux pas de Market street et Union Square, et rassemblera de nombreux artisans français. Il y aura aussi de la musique, et le Père Noël en personne sera là pour des photos mémorables. Le Marche de Noel By L’Apéro & l’Alliance Francaise SF, dimanche 15 décembre 2019, de 10am à 5pm. Park Central Hotel, 50 3rd Street, San Francisco, CA 94103. Entrée gratuite mais RSVP obligatoire ici. Plus d’infos. Le French holiday market à Berkeley
Organisé par l’Alliance française de Berkeley, San Francisco Bay Accueil et l’Ecole bilingue de Berkeley, ce marché de Noël nocturne rassemblera les produits de nouveaux artisans et entrepreneurs français locaux, tels que Fillgood, Chef Sophie, Les Petits Carreaux, Atelier Soleil ou encore Little Dragon Toys. French holiday market, Vendredi 6 décembre, de 5pm à 8pm. Alliance française de Berkeley, 2004 Woolsey St, Berkeley 94703. RSVP et infos ici. Plastic free holiday market
Et si à la débauche de plastique et à la surconsommation on préférait des fêtes de fin d’année plus respectueuses de l’environnement? Fort de la réussite de sa première édition en 2018, ce marché de Noël sans plastique met à l’honneur plus de 20 vendeurs locaux qui proposent jouets, vêtements, produits de beauté ou ménagers zéro déchet. Plastic Free Holiday Market, dimanche 8 décembre, de 10am à 5pm. Fort Mason Historic Firehouse, 99 Marina Blvd, San Francisco 94123. Plus d’infos.
Vous étiez respectivement 500 et 800 aux deux premiers Bals Français en juin et septembre. Mais Le Bal Français a décidé de faire encore plus grand le samedi 7 décembre en organisant une “Noël Party” au Lot45 à Bushwick (en face d’House of Yes).
Au programme, DJ Luigi jouera des sons français jusqu’au petit matin, d’Indochine à Aya Nakamura, en passant par Louise Attaque, Dalida, France Gall, Booba, Céline Dion, Kendji Girac ou encore Johnny. Le Père Noël sera également de la partie et distribuera de nombreux cadeaux pendant la soirée.
Enfin, les célibataires seront mis.e.s à l’honneur grâce à un partenariat avec Robert & Simone, spécialiste des soirées de dating francophones à New York, qui organiseront une animation sur place.
Les tickets pour la “Noël Party” du Bal Français sont en vente ici pour 10$. Attention, les deux premières soirées étaient complètes plusieurs jours avant l’événement. Le Bal Français est une soirée conviviale ouverte à tous les âges, à l’image des bals de campagne en France. Il est organisé par Valentin Delouis et Maxime Aubin, auteur de ses lignes.
(Article partenaire) Thierry Zanon né en France à Lyon, passionné de gastronomie avait un rêve, partir aux États-Unis ouvrir son restaurant.
En 2015, après avoir analysé le marché américain, il atteint son objectif et ouvre Omelette and Co. “En venant aux États Unis j’ai voulu comprendre les Américains en leur proposant des produits qu’ils aiment et leur correspondent.»
Fort de son expérience dans la restauration, Thierry a développé un concept innovateur en proposant des omelettes, repas riche, sympathique tout en restant rapide et abordable.
Au-delà de son concept le but de Thierry Zanon était de développer son restaurant en franchise.
Nous avons rencontré M.Zanon afin de comprendre les avantages d’être franchisé et plus particulièrement chez Omelette and Co. Il a répondu à nos questions.
Qu’est-ce qu’une franchise ?
La franchise est un contrat par lequel un commerçant dit ” le franchiseur”, concède à un autre commerçant dit ” le franchisé “, le droit d’utiliser tout ou partie des droits incorporels lui appartenant (nom commercial, marques, licences).
De plus une franchise permet d’avoir un outil de travail en main rapidement et un savoir faire acquis.
Pour vous quels sont les avantages et les difficultés d’être franchisé et quelles solutions proposez-vous ?
Tout d’abord il est important de savoir qu’aux États-Unis la population à tendance à faire d’avantage confiance à une chaine, cela rassure la clientèle, une franchise ne peut pas se permettre de décevoir. Plusieurs points sont importants afin de comprendre les avantages et les difficultés ainsi que les solutions apportées par Omelette and Co.
1/ Le débat actuel sur la durée du visa investisseur aux États-Unis est au centre des attentions. Le temps alloué pour la création de son entreprise pourrait diminuer et de ce fait soumettre à une obligation de résultats rapides, faute de quoi un retour précipité dans son pays pourrait avoir lieu.
Etre franchisé permet justement de gagner énormément de temps, en bénéficiant d’une notoriété déjà existante et de trouver des locaux plus facilement, des contrats d’assurance, des fournisseurs, une clientèle… Sans oublier de pouvoir bénéficier d’une publicité déjà en place.
2/ Toutes les franchises n’ont pas le même suivi vis-à-vis des franchisés.
Je suis arrivé aux États-Unis seul et j’ai connu les problèmes administratifs qu’engendrent une installation aux USA. C’est pour cela qu’aujourd’hui nous mettons un point d’honneur à aider les personnes voulant être franchisées par Omelette and Co. Notre aide est effective sur de nombreux aspects de votre installation : dans les recherches de locaux, dans les démarches administratives… Nous sommes avant tout une entreprise familiale.
3/ Tout au long de ma carrière dans la restauration j’ai été confronté à un problème majeur: la formation de mes cuisiniers. C’est pour cela que chez “Omelette and Co” la gestion de la cuisine a été simplifiée afin de minimiser les complications et ainsi faciliter la mise en place et l’ouverture d’un nouveau restaurant.
Cela permet a un franchiser sans connaissance en restaurant de pouvoir ouvrir ce type de concept.
Quel est le plus d’Omelette and Co ?
L’atout majeur d’Omelette and Co est tout simplement le concept. Nous sommes le premier restaurant spécialisé dans l’omelette.
Mais avant d’être un atout il a fallu faire comprendre mon concept aux Américains. L’omelette est certes très appréciée aux USA, mais il a fallu faire comprendre que nous pouvions manger une omelette pour le repas du midi comme du soir, dans un concept rapide qui est le Fast Casual. Cependant ce défi est devenu une force car nos clients apprécient de découvrir l’omelette sous une nouvelle forme. De plus, nous mettons un point d’honneur sur la qualité de nos produits.
Qu’est-ce que vous diriez aux personnes voulant être franchisées ?
Bien entendu il est primordial de savoir mettre tout en œuvre dans la réalisation de nos ambitions mais ceci sans jamais omettre notre clientèle, car ne l’oublions pas elle est notre raison d’existence.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Avant d’acheter ses billets d’avion pour venir ou pour partir de Washington DC, mieux vaut également calculer le coût et le temps qu’il faut pour aller à l’un des trois aéroports qui entourent la capitale américaine. Pour les vols nationaux : Reagan National Airport On ne va pas vous le cacher, le “Reagan National Airport” ou DCA est le plus accessible, que ce soit en temps, en argent ou en transport. Directement sur la ligne verte du métro en Virginie, il vous coûtera entre 2 et 5 dollars selon votre point de départ. En partant du centre-ville de Washington DC, on arrive à l’aéroport en moins de 20 minutes. Par Uber ou Lyft, le coût est également abordable, entre 15 et 20 dollars selon le moment de la journée. Pour les vols internationaux : Dulles International Airport Quatre moyens sont disponibles pour se rendre à l’aéroport principal de la région : le bus, le métro puis un bus, un service de bus privé, ou la voiture. Il faut compter au minimum une heure pour arriver aux terminaux, voire entre 1h30 et 2 heures s’y l’on emprunte les transports en commun. Metrobus offre un service entre l’aéroport de Dulles et le centre-ville de D.C avec le 5A. C’est l’option la plus économique. Le coût est de 7,50 dollars (3,75 dollars pour les aînés et les personnes handicapées). Ce bus fait trois arrêts à Herndon-Monroe, la station de métro Rosslyn et la station de métro L’Enfant Plaza à Washington DC. Il faut s’armer de patience : comptez entre 1h15 et 2 heures entre DC et la destination selon l’heure. Le métro Silver Line s’étendra bientôt jusqu’à l’aéroport de Dulles, reliant Arlington, en Virginie, au centre-ville de Washington. Actuellement, le point le plus proche est Wiehle-Reston East (comptez au moins 5,90 dollars). De la gare de Wiehle-Reston East, un bus relie la station de métro en 10 minutes de Dulles pour 5 dollars de plus. Les moyens les plus rapides sont donc les “shuttles”, qui prennent trois à quatre passagers par voyage pour 30 dollars, ou la voiture (entre 60 et 80 dollars pour un uber ou lyft). Pour les vols internes et internationaux : Baltimore-Washington International Parce qu’il est laborieux d’arriver jusqu’à l’aéroport de Dulles situé en Virginie, certains voyageurs débarquent dans la capitale depuis l’aéroport de Baltimore (BWI), situé entre les deux villes et facilement accessible par le train. Le MARC est un train local qui relie l’Union Station de Washington DC et la gare de Baltimore. Le train s’arrête à l’aéroport en 35 minutes et pour seulement 7 dollars. Si vous êtes pressés, l’Amtrak est aussi une option : en 20 minutes et pour environ 20 dollars, vous serez à BWI. Comme pour Dulles, un service de bus privé existe. Il coûtera de l’ordre de 30 dollars, et un service de voiture tel que uber ou lyft entre 40 et 80 dollars selon le jour et l’heure.
Même en Californie, l’hiver reste synonyme de raclette. Si comme nous, vous jalousez les photos des soirées raclette des copains de France, voici neuf adresses pour faire le plein de fromage à Los Angeles. Kustaa Wine & Cheese
Du côté de Mar Vista, Kustaa réunit tout ce que les Français adorent : vins, charcuterie, pain, fromages… Et cela inclut bien entendu la fameuse raclette : la Reading (produite par Springbrook Farm) à $22,90 le pound. Et chez eux, elle se déguste aussi sur place : la fromagerie organise des soirées raclettes tous les mercredis et samedis. 12954 W Washington Blvd, Los Angeles. Epicurus Gourmet
Le hangar d’Epicurus à North Hollywood est le paradis des Français à la recherche de produits importés (beurre de Bordier, caramels salés, caviar, truffes…). Et le lieu est célèbre chez les initiés pour sa raclette au lait cru : on y trouve notamment celle de Savoie de Joseph Paccard (à $12,64 la livre), une version suisse aux champignons (fromagerie Bergkaserei Oberberg) ; ainsi qu’une aux truffes noires (de la fromagerie française Baechler). Les prix, qui restent bon marché pour les Etats-Unis, évoluent selon les fournisseurs. 12140 Sherman Way, North Hollywood. Milk Farm
Les fans de fromages trouveront leur bonheur chez Milk Farm à Eagle Rock. Cette fromagerie, spécialisée dans les variétés primées à l’échelle nationale et internationale, propose à ses clients de la Reading du Vermont (toute l’année) à $22 la livre. Durant les fêtes, elle ajoute à sa carte un fromage à raclette suisse (AOP) dont les prix varient. 2106 Colorado Boulevard, Los Angeles. Andrew’s Cheese Shop
À Santa Monica, Andrew’s Cheese Shop propose un large choix de fromages importés : camembert, brie, bleu d’Auvergne. Ici, le pound de Reading Raclette coûte $24. Vous pourrez aussi succomber à l’option suisse : la raclette de Steiner Hochberg à Fribourg, à $31 la livre. 728 Montana Ave, Santa Monica. Lady and Larder
Chez Lady and Larder à Mar Vista, les produits américains sont mis à l’honneur. Vous y trouverez un petit lot de Reading à $25 par livre. 3759 Sawtelle Blvd, Los Angeles. Say Cheese
En vitrine de cette épicerie de Silver Lake, deux fromages à raclette vous feront de l’oeil : une variété française à $17,98 le pound et une suisse pour $21,98 dollars la livre. Elles pourront s’accompagner d’une large sélection de vins et autres condiments proposés en boutique. Les fournisseurs changent au gré des semaines. 2800 Hyperion Avenue, Los Angeles. The Cheese Store of Beverly Hills
Dans cette caverne d’Ali Baba, ouverte en 1967, on trouve près de 600 spécialités fromagères importées du monde entier. C’était donc une évidence qu’ils proposent du fromage à raclette. Ils en vendent un Suisse à $30 le pound et un Français à $35. Le lieu organise régulièrement des dégustations pour ceux qui n’ont pas d’appareil à raclette chez eux. 419 N Beverly Dr, CA 90210. Monsieur Marcel
C’est la référence en matière de fromage au Original Farmer’s Market. Monsieur Marcel vend une raclette “très crémeuse”, du Livradois de Savoie pour $19,99 la livre. Sur place, vous pourrez dénicher tout le nécessaire pour que votre soirée raclette soit réussie : des lampes chauffantes, des plateaux adaptés, de la charcuterie (jambon, bresaola, prosciutto, etc). Le fromage pourra aussi être dégusté lors des Raclette Nights, les jeudis de décembre et janvier. Monsieur Marcel, 6333 W 3rd St #150, Los Angeles. Trader Joe’s
Option plus économique : les paquets de raclette chez Trader Joe’s. Le fromage, produit en France, se vend à $6,99 la boîte de 250 grammes (demi-livre). N’hésitez pas à faire du stock, les ruptures sont fréquentes.
Sans faire de bruit, c’est un petit symbole des transports de New York qui est en train de disparaître : la fameuse MetroCard, cette petite carte jaune que tout New-Yorkais a déjà utilisée pour se déplacer.
Destiné à la remplacer, OMNY, système de paiement sans contact, a commencé à faire son apparition dans quelques stations new-yorkaises. Il sera généralisé dans les mois à venir, avant de remplacer totalement la MetroCard en 2023.
OMNY (pour One Metro New York) permet d’utiliser une carte de paiement sans contact pour circuler dans le métro et les bus : il suffit de la glisser sur le lecteur pour ouvrir le portique. La plupart des cartes de débit ou de crédit fonctionnent, mais aussi les smartphones et montres connectées, grâce à Google Pay, Apple Pay et leurs équivalents.
Le système est déjà disponible à titre expérimental dans les lignes de métro 4, 5 et 6, entre les stations Grand Central-42 Street et Atlantic Avenue-Barclays Center, mais aussi dans les bus de Staten Island.
Les prochaines stations de métro qui accueilleront OMNY, dès le mois prochain, ont été annoncées par MTA, la régie des transports de New York ; ce sera Penn Station, Whitehall Street, South Ferry, 86 St–Bay Ridge, Sutphin Blvd-Archer Av-JFK et les stations St. George et Tompkinsville du Staten Island Railway.
D’autres stations seront équipées également dès le mois de décembre sur les les lignes 1, 2, 3, 4, 5 et 6. Parmi ces stations, figurent les segments 51st Street à 125th Street sur les lignes 4, 5 et 6, 138th Street–Grand Concourse à Woodlawn sur la ligne 4, ainsi que Rector Street à 59th Street–Columbus Circle sur la ligne 1. OMNY sera ainsi disponible dans le Bronx, dernier arrondissement de New York à être équipé. Pas de cumul OMNY-MetroCard
Fait pour faciliter la vie des New-Yorkais, OMNY va commencer en leur compliquant. Car le cumul entre le nouveau système et la MetroCard n’est pas possible. Avec OMNY, l’usager doit payer chaque trajet, alors qu’avec la MetroCard, il est possible de payer soit au trajet, soit à la durée (c’est-à-dire un nombre de trajets illimités pendant 7 ou 30 jours).
A terme, OMNY proposera des offres « comparables » à la MetroCard, selon MTA, qui ne précise ni quand ni comment. Mais il est, par exemple, à ce jour impossible de prendre un métro en payant avec OMNY et de faire un changement dans un bus en utilisant sa MetroCard, sans devoir repayer un nouveau trajet. Du coup, les New-yorkais ne se précipitent guère: OMNY n’a été utilisé que 3 millions de fois du 28 mai au 5 novembre. Un chiffre à comparer aux plus de 1,7 milliard d’utilisateurs du métro new-yorkais par an (en 2017).
Mais MTA se félicitait, dans son communiqué, de la progression : le premier million a été atteint en 10 semaines, le deuxième en 7 semaines, le troisième en 6 semaines. Et le mouvement va s’accélérer dès le mois de décembre, avec l’installation des machines dans beaucoup plus de stations. Les bus de Manhattan seront équipés dès le mois de mars et l’objectif est d’équiper toutes les stations de métro et tous les bus dès la fin de l’année 2020.