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Rencontre avec Thierry Zanon, patron de la chaîne Omelette and Co

(Article partenaire) Thierry Zanon né en France à Lyon, passionné de gastronomie avait un rêve, partir aux États-Unis ouvrir son restaurant.
En 2015, après avoir analysé le marché américain, il atteint son objectif et ouvre Omelette and Co. “En venant aux États Unis j’ai voulu comprendre les Américains en leur proposant des produits qu’ils aiment et leur correspondent.»
Fort de son expérience dans la restauration, Thierry a développé un concept innovateur en proposant des omelettes, repas riche, sympathique tout en restant rapide et abordable.
Au-delà de son concept le but de Thierry Zanon était de développer son restaurant en franchise.
Nous avons rencontré M.Zanon afin de comprendre les avantages d’être franchisé et plus particulièrement chez Omelette and Co. Il a répondu à nos questions.

Qu’est-ce qu’une franchise ?

La franchise est un contrat par lequel un commerçant dit ” le franchiseur”, concède à un autre commerçant dit ” le franchisé “, le droit d’utiliser tout ou partie des droits incorporels lui appartenant (nom commercial, marques, licences).
De plus une franchise permet d’avoir un outil de travail en main rapidement et un savoir faire acquis.

Pour vous quels sont les avantages et les difficultés d’être franchisé et quelles solutions proposez-vous ?

Tout d’abord il est important de savoir qu’aux États-Unis la population à tendance à faire d’avantage confiance à une chaine, cela rassure la clientèle, une franchise ne peut pas se permettre de décevoir. Plusieurs points sont importants afin de comprendre les avantages et les difficultés ainsi que les solutions apportées par Omelette and Co.
1/ Le débat actuel sur la durée du visa investisseur aux États-Unis est au centre des attentions. Le temps alloué pour la création de son entreprise pourrait diminuer et de ce fait soumettre à une obligation de résultats rapides, faute de quoi un retour précipité dans son pays pourrait avoir lieu.
Etre franchisé permet justement de gagner énormément de temps, en bénéficiant d’une notoriété déjà existante et de trouver des locaux plus facilement, des contrats d’assurance, des fournisseurs, une clientèle… Sans oublier de pouvoir bénéficier d’une publicité déjà en place.
2/ Toutes les franchises n’ont pas le même suivi vis-à-vis des franchisés.
Je suis arrivé aux États-Unis seul et j’ai connu les problèmes administratifs qu’engendrent une installation aux USA. C’est pour cela qu’aujourd’hui nous mettons un point d’honneur à aider les personnes voulant être franchisées par Omelette and Co.  Notre aide est effective sur de nombreux aspects de votre installation : dans les recherches de locaux, dans les démarches administratives… Nous sommes avant tout une entreprise familiale.
3/ Tout au long de ma carrière dans la restauration j’ai été confronté à un problème majeur: la formation de mes cuisiniers. C’est pour cela que chez “Omelette and Co” la gestion de la cuisine a été simplifiée afin de minimiser les complications et ainsi faciliter la mise en place et l’ouverture d’un nouveau restaurant.
Cela permet a un franchiser sans connaissance en restaurant de pouvoir ouvrir ce type de concept.

Quel est le plus d’Omelette and Co ?

L’atout majeur d’Omelette and Co est tout simplement le concept. Nous sommes le premier restaurant spécialisé dans l’omelette.
Mais avant d’être un atout il a fallu faire comprendre mon concept aux Américains. L’omelette est certes très appréciée aux USA, mais il a fallu faire comprendre que nous pouvions manger une omelette pour le repas du midi comme du soir, dans un concept rapide qui est le Fast Casual. Cependant ce défi est devenu une force car nos clients apprécient de découvrir l’omelette sous une nouvelle forme. De plus, nous mettons un point d’honneur sur la qualité de nos produits.

Qu’est-ce que vous diriez aux personnes voulant être franchisées ?

Bien entendu il est primordial de savoir mettre tout en œuvre dans la réalisation de nos ambitions mais ceci sans jamais omettre notre clientèle, car ne l’oublions pas elle est notre raison d’existence.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Comment se rendre aux trois aéroports autour de Washington DC

Avant d’acheter ses billets d’avion pour venir ou pour partir de Washington DC, mieux vaut également calculer le coût et le temps qu’il faut pour aller à l’un des trois aéroports qui entourent la capitale américaine.
Pour les vols nationaux : Reagan National Airport
On ne va pas vous le cacher, le “Reagan National Airport” ou DCA est le plus accessible, que ce soit en temps, en argent ou en transport. Directement sur la ligne verte du métro en Virginie, il vous coûtera entre 2 et 5 dollars selon votre point de départ. En partant du centre-ville de Washington DC, on arrive à l’aéroport en moins de 20 minutes. Par Uber ou Lyft, le coût est également abordable, entre 15 et 20 dollars selon le moment de la journée.
Pour les vols internationaux : Dulles International Airport
Quatre moyens sont disponibles pour se rendre à l’aéroport principal de la région : le bus, le métro puis un bus, un service de bus privé, ou la voiture. Il faut compter au minimum une heure pour arriver aux terminaux, voire entre 1h30 et 2 heures s’y l’on emprunte les transports en commun.
Metrobus offre un service entre l’aéroport de Dulles et le centre-ville de D.C avec le 5A. C’est l’option la plus économique. Le coût est de 7,50 dollars (3,75 dollars pour les aînés et les personnes handicapées). Ce bus fait trois arrêts à Herndon-Monroe, la station de métro Rosslyn et la station de métro L’Enfant Plaza à Washington DC. Il faut s’armer de patience : comptez entre 1h15 et 2 heures entre DC et la destination selon l’heure.
Le métro Silver Line s’étendra bientôt jusqu’à l’aéroport de Dulles, reliant Arlington, en Virginie, au centre-ville de Washington. Actuellement, le point le plus proche est Wiehle-Reston East (comptez au moins 5,90 dollars). De la gare de Wiehle-Reston East, un bus relie la station de métro en 10 minutes de Dulles pour 5 dollars de plus.
Les moyens les plus rapides sont donc les “shuttles”, qui prennent trois à quatre passagers par voyage pour 30 dollars, ou la voiture (entre 60 et 80 dollars pour un uber ou lyft).
Pour les vols internes et internationaux : Baltimore-Washington International 
Parce qu’il est laborieux d’arriver jusqu’à l’aéroport de Dulles situé en Virginie, certains voyageurs débarquent dans la capitale depuis l’aéroport de Baltimore (BWI), situé entre les deux villes et facilement accessible par le train.
Le MARC est un train local qui relie l’Union Station de Washington DC et la gare de Baltimore. Le train s’arrête à l’aéroport en 35 minutes et pour seulement 7 dollars. Si vous êtes pressés, l’Amtrak est aussi une option : en 20 minutes et pour environ 20 dollars, vous serez à BWI.
Comme pour Dulles, un service de bus privé existe. Il coûtera de l’ordre de 30 dollars, et un service de voiture tel que uber ou lyft entre 40 et 80 dollars selon le jour et l’heure.

Neuf adresses pour faire le plein de raclette à Los Angeles

Même en Californie, l’hiver reste synonyme de raclette. Si comme nous, vous jalousez les photos des soirées raclette des copains de France, voici neuf adresses pour faire le plein de fromage à Los Angeles.
Kustaa Wine & Cheese
Du côté de Mar Vista, Kustaa réunit tout ce que les Français adorent : vins, charcuterie, pain, fromages… Et cela inclut bien entendu la fameuse raclette : la Reading (produite par Springbrook Farm) à $22,90 le pound. Et chez eux, elle se déguste aussi sur place : la fromagerie organise des soirées raclettes tous les mercredis et samedis. 12954 W Washington Blvd, Los Angeles.
Epicurus Gourmet
Le hangar d’Epicurus à North Hollywood est le paradis des Français à la recherche de produits importés (beurre de Bordier, caramels salés, caviar, truffes…). Et le lieu est célèbre chez les initiés pour sa raclette au lait cru : on y trouve notamment celle de Savoie de Joseph Paccard (à $12,64 la livre), une version suisse aux champignons (fromagerie Bergkaserei Oberberg) ; ainsi qu’une aux truffes noires (de la fromagerie française Baechler). Les prix, qui restent bon marché pour les Etats-Unis, évoluent selon les fournisseurs. 12140 Sherman Way, North Hollywood.
Milk Farm
Les fans de fromages trouveront leur bonheur chez Milk Farm à Eagle Rock. Cette fromagerie, spécialisée dans les variétés primées à l’échelle nationale et internationale, propose à ses clients de la Reading du Vermont (toute l’année) à $22 la livre. Durant les fêtes, elle ajoute à sa carte un fromage à raclette suisse (AOP) dont les prix varient. 2106 Colorado Boulevard, Los Angeles.
Andrew’s Cheese Shop
À Santa Monica, Andrew’s Cheese Shop propose un large choix de fromages importés : camembert, brie, bleu d’Auvergne. Ici, le pound de Reading Raclette coûte $24. Vous pourrez aussi succomber à l’option suisse : la raclette de Steiner Hochberg à Fribourg, à $31 la livre. 728 Montana Ave, Santa Monica.
Lady and Larder
Chez Lady and Larder à Mar Vista, les produits américains sont mis à l’honneur. Vous y trouverez un petit lot de Reading à $25 par livre. 3759 Sawtelle Blvd, Los Angeles.
Say Cheese
En vitrine de cette épicerie de Silver Lake, deux fromages à raclette vous feront de l’oeil : une variété française à $17,98 le pound et une suisse pour $21,98 dollars la livre. Elles pourront s’accompagner d’une large sélection de vins et autres condiments proposés en boutique. Les fournisseurs changent au gré des semaines. 2800 Hyperion Avenue, Los Angeles.
The Cheese Store of Beverly Hills
Dans cette caverne d’Ali Baba, ouverte en 1967, on trouve près de 600 spécialités fromagères importées du monde entier. C’était donc une évidence qu’ils proposent du fromage à raclette. Ils en vendent un Suisse à $30 le pound et un Français à $35. Le lieu organise régulièrement des dégustations pour ceux qui n’ont pas d’appareil à raclette chez eux. 419 N Beverly Dr, CA 90210.
Monsieur Marcel
C’est la référence en matière de fromage au Original Farmer’s Market. Monsieur Marcel vend une raclette “très crémeuse”, du Livradois de Savoie pour $19,99 la livre. Sur place, vous pourrez dénicher tout le nécessaire pour que votre soirée raclette soit réussie : des lampes chauffantes, des plateaux adaptés, de la charcuterie (jambon, bresaola, prosciutto, etc). Le fromage pourra aussi être dégusté lors des Raclette Nights, les jeudis de décembre et janvier. Monsieur Marcel, 6333 W 3rd St #150, Los Angeles.
Trader Joe’s
Option plus économique : les paquets de raclette chez Trader Joe’s. Le fromage, produit en France, se vend à $6,99 la boîte de 250 grammes (demi-livre). N’hésitez pas à faire du stock, les ruptures sont fréquentes.

Le métro new yorkais sans carte, comment ça marche?

Sans faire de bruit, c’est un petit symbole des transports de New York qui est en train de disparaître : la fameuse MetroCard, cette petite carte jaune que tout New-Yorkais a déjà utilisée pour se déplacer.
Destiné à la remplacer, OMNY, système de paiement sans contact, a commencé à faire son apparition dans quelques stations new-yorkaises. Il sera généralisé dans les mois à venir, avant de remplacer totalement la MetroCard en 2023.
OMNY (pour One Metro New York) permet d’utiliser une carte de paiement sans contact pour circuler dans le métro et les bus : il suffit de la glisser sur le lecteur pour ouvrir le portique. La plupart des cartes de débit ou de crédit fonctionnent, mais aussi les smartphones et montres connectées, grâce à Google Pay, Apple Pay et leurs équivalents.
Le système est déjà disponible à titre expérimental dans les lignes de métro 4, 5 et 6, entre les stations Grand Central-42 Street et Atlantic Avenue-Barclays Center, mais aussi dans les bus de Staten Island.
Les prochaines stations de métro qui accueilleront OMNY, dès le mois prochain, ont été annoncées par MTA, la régie des transports de New York ; ce sera Penn Station, Whitehall Street, South Ferry, 86 St–Bay Ridge, Sutphin Blvd-Archer Av-JFK et les stations St. George et Tompkinsville du Staten Island Railway.
D’autres stations seront équipées également dès le mois de décembre sur les les lignes 1, 2, 3, 4, 5 et 6. Parmi ces stations, figurent les segments 51st Street à 125th Street sur les lignes 4, 5 et 6, 138th Street–Grand Concourse à Woodlawn sur la ligne 4, ainsi que Rector Street à 59th Street–Columbus Circle sur la ligne 1. OMNY sera ainsi disponible dans le Bronx, dernier arrondissement de New York à être équipé.
Pas de cumul OMNY-MetroCard
Fait pour faciliter la vie des New-Yorkais, OMNY va commencer en leur compliquant. Car le cumul entre le nouveau système et la MetroCard n’est pas possible. Avec OMNY, l’usager doit payer chaque trajet, alors qu’avec la MetroCard, il est possible de payer soit au trajet, soit à la durée (c’est-à-dire un nombre de trajets illimités pendant 7 ou 30 jours).
A terme, OMNY proposera des offres « comparables » à la MetroCard, selon MTA, qui ne précise ni quand ni comment. Mais il est, par exemple, à ce jour impossible de prendre un métro en payant avec OMNY et de faire un changement dans un bus en utilisant sa MetroCard, sans devoir repayer un nouveau trajet. Du coup, les New-yorkais ne se précipitent guère: OMNY n’a été utilisé que 3 millions de fois du 28 mai au 5 novembre. Un chiffre à comparer aux plus de 1,7 milliard d’utilisateurs du métro new-yorkais par an (en 2017).
Mais MTA se félicitait, dans son communiqué, de la progression : le premier million a été atteint en 10 semaines, le deuxième en 7 semaines, le troisième en 6 semaines. Et le mouvement va s’accélérer dès le mois de décembre, avec l’installation des machines dans beaucoup plus de stations. Les bus de Manhattan seront équipés dès le mois de mars et l’objectif est d’équiper toutes les stations de métro et tous les bus dès la fin de l’année 2020.

Trois jours au Nouveau Mexique

Quand on pense au Nouveau Mexique, on imagine un décor désertique. Mais cet Etat de l’ouest américain offre bien plus. Il fait partie des territoires qui furent cédés par le Mexique en 1846, à la suite de la guerre américano-mexicaine. De ce fait, Mexicains, Espagnols, Indiens et Amerindiens y ont laissé des traces dans l’architecture, l’archéologie et les traditions. Sans compter que la ville de Santa Fe est devenue une destination culturelle. French Morning vous embarque pour passer trois jours dans cet Etat de 314 926 km2 haut en couleurs.
Jour 1 : Albuquerque – Kasha-Katuwe Tent Rocks National Monument – Santa Fe
Pour en profiter pleinement, le Nouveau Mexique s’explore en road-trip. La découverte d’Albuquerque (où vous débarquerez a priori) se fera sur une demi-journée, une matinée idéalement. Si vous avez été attiré par cette ville en dévorant la série télévisée “Breaking Bad”, la visite aura des airs de pèlerinage : du fameux Car Wash (au 9516 Snow Heights Circle NE) à la maison de Walter White (au 3828 Piermont Dr NE), en passant par le fast-food Los Pollos Hermanos qui s’appelle Twisters (au 4257 Isleta Blv SW ). Pour les non-initiés, une autre option s’offre à vous : avoir une vue surplombant la ville, via le Sandia Peak Tramway. En plus du panorama, vous pourrez, en haut, profiter d’un changement radical de décor avec de la neige durant les mois les plus froids de l’année.

Le Kasha-Katuwe Tent Rocks National Monument et ses “cheminées”. /Photo S.C.

Le déjeuner avalé (le pique-nique semble être la meilleure option), il sera temps de prendre la route, direction le Nord-est. Prochain arrêt : Kasha-Katuwe Tent Rocks National Monument à 1 heure en voiture. Ce petit parc, sur le plateau de Pajarito, tient son nom du langage des indiens Pueblos qui vivaient dans la région. Vous serez alors dominé (et impressionné) par ses spectaculaires monolithes, résultat de cendres volcaniques et roches en fusion déposées par la coulée d’une explosion volcanique survenue il y a environ 6 ou 7 millions d’années. Pour mieux apprécier cette géologie, on vous recommande d’arpenter le Slot Canyon Trail (1.5 miles) : la randonnée grimpe mais elle vous permet de traverser des canyons étroits et d’accéder à une vue incroyable. Puis, il sera temps de reprendre la route direction Santa Fe (à 1 heure de route au Nord Ouest), une cité fondée au début du XVIIe siècle, pour y passer la nuit.
Jour 2 : Santa Fe – Taos Pueblo
Canyon Road, à Santa Fe. /Photo S.C.

Santa Fe est réputée pour son effervescence artistique et ses maisons élégantes en terre battue. Une réputation que la capitale du Nouveau Mexique mérite. La journée débutera alors par une visite à pied de Canyon Road, une rue qui héberge plus de 80 galeries, avec de nombreuses sculptures (déconcertantes) exposées en extérieur. Si vous voulez être émerveillé de manière moins traditionnelle, vous poursuivrez avec l’expérience Meow Wolf, un musée immersif qui vous plonge dans une enquête et dans des mondes imaginaires le temps de deux heures (ou plus si vous le souhaitez). Pour vous restaurer (et bien continuer la journée), on vous recommandera deux lieux : Tune Up pour un breakfast burrito ou La Choza pour des plats mexicains copieux.
Le cimetière du Taos Pueblo. /Photo S.C.

Le ventre plein, il sera temps de rouler direction le Nord, à 1h30 de Santa Fe, pour remonter dans le temps. Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, El Pueblo de Taos (entrée à $16 par adulte), dont le nom signifie «l’endroit des saules rouges», est un village amérindien millénaire. A travers la visite guidée -ou par vous même-, vous découvrirez le style architectural de ce village, composé de l’ancienne église San Geronimo et de maisons en adobe (un mélange de terre, de paille et d’eau). Une communauté y vit toujours à l’ancienne, sans eau courante, ni électricité. Dès l’entrée, on vous recommandera d’éviter les interactions ou les photographies d’eux. Malgré un côté Disney Land avec des hordes de visiteurs durant l’été, ce village vaut le détour, par son histoire -c’est l’un des 21 villages amérindiens du sud-ouest américain- et sa beauté.
Pour prolonger le dépaysement, vous pourrez dormir dans une maison adobe (mais avec tout le confort moderne).
Jour 3 : Taos – Jemez Mountain Trail – Albuquerque
La dernière journée vous permettra de savourer nombre de paysages en voiture. Et le road trip démarre par un passage par le Rio Grande Gorge Bridge, connu pour avoir accueilli la scène du mariage entre Juliette Lewis et Woody Harrelson dans le film “Tueurs nés”. La vue y est époustouflante.
Plus au Sud, vous atteindrez le Bandelier National Monument (entrée payante, comprise avec la carte America the beautiful), un autre parc du Nouveau Mexique. Célèbre pour ses kivas (structures cérémonielles), ses peintures rupestres et ses ruines, il vaut particulièrement le détour pour voir les logements Anasazis, les ancêtres des Pueblos, habités du XIe siècle jusqu’au milieu du XVe siècle. Ces petites alcôves sculptées, accessibles par des échelles, se découvrent au travers du Main Loop Trail (1 heure de marche).
Les ruines de Bandelier National Monument. /Photo S.C.

De retour sur la route 4, vous roulerez vers l’ouest jusqu’à atteindre la Jemez Mountain Trail, une route spectaculaire reliant Los Alamos à Albuquerque. Condensant des paysages du sud-ouest américain sur 64 miles, elle vous émerveillera avec ses canyons rouges, ses falaises abruptes, mais aussi ses forêts de pins et ses cascades. Plusieurs stops s’imposent pour savourer le trajet : les Jemez Springs qui offrent deux piscines naturelles dans lesquelles on peut barboter après 20 minutes de marche, la montagne Battleship Rock et un arrêt gourmand à Los Ojos Saloon à Jemez Pueblo. De retour à Albuquerque, on vous recommandera d’aller boire un dernier verre à Marble Brewery pour finir le séjour en beauté.
Cette route scénique va vous en mettre plein les yeux. /Photo S.C.

Petits plus :
Si vous pouvez poursuivre le séjour, nous vous recommandons ardemment de pousser jusqu’au White Sands (comptez 7 heures aller-retour d’Albuquerque). Vous trouverez un décor lunaire composé de dunes de sable blanc, sur lesquelles vous pouvez randonner bien sûr, mais que vous pouvez aussi dévaler en luges (location à l’entrée du parc).
Comment s’y rendre ?
Au depart de Los Angeles ou du Texas, le Nouveau Mexique est proche à vol d’avion (1h50 de LA et de Dallas) et le trajet peut aussi se faire en voiture pour les amoureux de conduite (une dizaine d’heures). De New York, compter 5 heures d’avion et 2h30 de San Francisco.

Portes-ouvertes à Rochambeau The French International School

(Article partenaire) Devenir totalement bilingue, c’est-à-dire lire, écrire et parler officiellement en deux langues ou plus, est une opportunité exceptionnelle ! Choisir Rochambeau The French International School, c’est offrir à vos enfants la possibilité de l’être.
L’école propose le curriculum français allié à un solide programme en anglais aux élèves de la Maternelle à la Terminale. À partir de 2021, les élèves de Rochambeau auront aussi la possibilité de choisir entre le baccalauréat français et le baccalauréat international.
Les portes de son campus de maternelle seront ouvertes au public le vendredi 6 décembre. Les inscriptions ont lieu sur le site de l’école.
Vous n’êtes pas disponible le 6 décembre ? Retrouvez la liste complète des portes ouvertes de l’école.


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Unique Holiday Market revient à Los Angeles pour votre shopping de Noël

La saison des fêtes approche, et vous n’avez pas d’idées à emballer sous le sapin ? Pour vous aider, nombre de marchés de Noël ont lieu dans la cité des anges. L’un des plus célèbres, organisé depuis 2008, l’Unique Holiday Market aura lieu les samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre dans un bâtiment historique de Downtown.
Sur place, vous trouverez des stands de créateurs de vêtements, des artistes qui présentent leurs oeuvres, des poteries réalisées localement, mais aussi des marques locales mondialement reconnues comme Candle Co, Grey Malin ou Hedley & Bennett. Et même si vous repartez les mains vides, la balade vaut le détour avec un stand pour faire des photographies, des cafés et bars, ainsi que sets de DJs pour vous transporter dans un esprit électrique de Noël.

Florence Foresti en spectacle à New York et Miami en avril

La plus célèbre des humoristes françaises sera pour la toute première fois en spectacle aux Etats-Unis en avril 2020.
Elle jouera au Symphony Space dans l’Upper West Side à New York le 14 avril à 8pm, puis le 15 avril au North Beach Bandshell à Miami Beach à 8pm.
Florence Foresti, 46 ans, présentera son dernier spectacle “Épilogue”, dans lequel elle critique avec second degré les dérives d’une société où tout va trop vite. Les places pour ces deux spectacles seront disponibles à la vente “le 26 ou 27 novembre”, explique l’organisateur Franck Bondrille, président de Silverprod.
En 18 ans de carrière, Florence Foresti a reçu de nombreuses récompenses dont le Grand prix Sacem de l’humour en 2010 et un Globe de Cristal pour le meilleur one-man-show pour “Motherfucker” la même année. “Épilogue” a également été nommé aux Molières de l’humour en mai 2019.

Californie : ce qui va changer pour votre assurance-santé en 2020

(Article sponsorisé) La taxe mise en place, au niveau fédéral, par Barack Obama pour inciter à la souscription de contrats dits « Obamacare compliant » a été abrogée par Donald Trump à effet du 1er janvier 2019.
Pour contrer cette mesure, certains États, dont la Californie, ont décidé d’appliquer cette taxe au niveau local. La nouvelle règlementation entrera en vigueur le 1er janvier 2020.
Si vous n’avez pas d’assurance santé correspondant aux critères d’Obamacare, vous serez donc amenés à payer une taxe annuelle. Elle est de 695$ par adulte et 375.50$ par enfant
ou 2.5 % du revenu fiscal annuel par ménage, si ce montant est le plus élevé. Cette pénalité est plafonnée au montant du tarif moyen applicable pour le ménage s’il avait souscrit au plan bronze sur le marché de la santé Californien, Covered California.
Plus que jamais, il sera donc crucial d’être bien assuré à partir du 1er janvier 2020, pour échapper à cette pénalité. Pour les expatriés, cela signifie notamment choisir un plan conforme à la réglementation californienne. AgoraExpat, société de courtage en assurance santé, indépendante, installée aux États-Unis depuis plus de 20 ans vous accompagne et vous conseille dans vos démarches. Sur la base de votre situation personnelle et de vos besoins, l’équipe d’AgoraExpat se charge de trouver la solution d’assurance la plus adaptée
AgoraExpat travaille notamment avec WellAway, qui propose des solutions spécialement conçues pour les expatriés français. Vous bénéficiez des prestations de santé complètes et conformes à la réglementation californienne, tout en étant couvert lors de vos séjours à l’étranger.

Pour les adhérents à la Caisse des Français de l’étranger (CFE)

Une solution a été spécialement conçue pour vous offrir un tarif réduit de 23% lorsque vous souscrivez en complément. De plus, grâce à un partenariat entre WellAway et la CFE, le mode de remboursement est simplifié.
L’équipe d’AgoraExpat est à votre écoute. N’hésitez pas à la contacter pour obtenir une étude complète de votre situation.
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Que faire pour Thanksgiving à Miami ?

Si vous n’avez aucun plan pour le long week-end de Thanksgiving à Miami, French Morning vous aide à organiser vos journées.
Se faire une toile en plein air
La veille de Thanksgiving, prenez du pop-corn et installez-vous confortablement sur l’herbe du Soundscape Park de Miami Beach afin d’assister à la projection nocturne de la nouvelle version du film d’animation « Le Roi Lion ». Ce long-métrage réalisé par Jon Favreau sera diffusé gratuitement sur grand écran le mercredi 27 novembre à 8pm. Infos ici
Admirer la traditionnelle Winternational Thanksgiving Day Parade
Pour le plus grand bonheur des petits et des grands, la Winternational Thanksgiving Day Parade revient à North Miami. Composé de clowns, de danseurs, de musiciens ainsi que de nombreux chars colorés, le cortège de cette 45ème édition s’élancera à partir de 10am le jeudi 28 novembre et défilera le long de la 125th Street entre les avenues NE 6th et NE 12th. Infos ici
Courir pour éliminer les calories
Pour brûler quelques calories avant de passer à table, les gourmands soucieux de leur ligne pourront s’aligner au départ de la Turkey Trot de Miami. Organisée le matin de Thanksgiving, cette course à pied offre différents parcours adaptés à chaque membre de la famille : cinq et dix kilomètres pour les adultes et quelques centaines de mètres pour les plus jeunes qui auront l’occasion de courir en compagnie d’une mascotte en forme de dinde. Infos et inscriptions ici
Soutenir son équipe de sport préférée
Si vous aimez le sport mais que le jogging n’est pas votre tasse de thé, prenez simplement place dans les tribunes de l’American Airlines Arena à Downtown Miami afin d’assister à un match de basket-ball opposant l’équipe des Miami Heat à celle des Golden State Warriors de San Francisco le vendredi 29 novembre. Le coup d’envoi sera donné à 8pm. Tickets ici
Vous pourrez également assister à un match de hockey sur glace durant lequel les Florida Panthers feront face aux Nashville Predators le samedi 30 novembre à 7pm au BB&T Center de Sunrise. Tickets ici
Admirer les illuminations de Noël
Dès le lendemain de Thanksgiving, place aux festivités de Noël. Le Bayfront Holiday Village prendra ses quartiers au Bayfront Park de Miami jusqu’au mercredi 25 décembre. Au programme : un sapin géant mesurant plus de quinze mètres de haut, qui sera illuminé dès le samedi 30 novembre à 7:30pm, une patinoire éphémère, des food-trucks ainsi qu’une cinquantaine de stands d’artisanat. Infos ici
La magie de Noël enchantera par ailleurs le Gold Coast Railroad Museum de Miami où les lutins attendent avec impatience les plus jeunes afin de leur faire visiter leur atelier de confection de jouets. Les enfants pourront par ailleurs monter à bord d’un train magique en direction du Pôle Nord afin de rencontrer le Père Noël. Infos ici 
Se laisser ensorceler par Harry Potter
Le blockbuster « Harry Potter et l’Ordre du phénix », cinquième opus de la saga, sera projeté sur écran géant au Knight Concert Hall de l’Adrienne Arsht Center pendant que la bande originale du film sera interprétée en live par un orchestre symphonique. Ce ciné-concert aura lieu le samedi 30 novembre à 2pm et 8pm. Tickets ici
Déjouer le Black Friday
Le lendemain de Thanksgiving, les allergiques au shopping de masse pourront se mettre au vert en embarquant sur un hydroglisseur dans le parc national des Everglades afin d’admirer une multitude d’oiseaux et quelques alligators. Certains prestataires comme Miami Off Road proposent notamment ces visites guidées en français. Infos ici

5 nouveaux endroits à voir sur Georgia Avenue

Cette année, les quartiers sur Georgia Avenue, Park View et Petworth, ont vu l’ouverture de nombreux bars et restaurants. Le quartier mal-aimé de Washington DC a définitivement changé. 
Mr. Braxton Bar & Kitchen

(Crédit photo: Nastasia Peteuil)

S’il fallait une preuve de la branchitude de Mr Braxton, un oeil au menu de cocktails au CBD suffira. Le décor est à la hauteur. On boit un verre au bar, sur la terrasse à l’arrière, ou encore, on mange dans la salle avec des chaises traditionnelles ou dans un fauteuil sur l’une des deux tables à l’entrée. Au menu, des plats américains, notamment avec le Braxton Prime burger, qui satisfait amplement un ventre affamé. Mais on y trouve aussi de la paella, ou des tacos, spécialement le mardi. La liste des cocktails est aussi appétissante que les moules, également au menu. Mr. Braxton Bar & Kitchen, 3632 Georgia Ave NW. Site.
Tsehay
(Crédit photo: Nastasia Peteuil)
(Crédit photo: Nastasia Peteuil)

Littéralement à côté de Braxton Bar, ce restaurant éthiopien vient diversifier l’offre sur l’Avenue. Le charme de ce lieu, c’est son arrière-cour ou l’on peut manger dans un joli décor illuminé. Ne soyez pas surpris du mur tricolore rouge-vert-jaune, il est aux belles couleurs du drapeau de l’Ethiopie. Le menu est traditionnel, avec des plats allant du végétarien aux viandes crues, et le tout, sans se ruiner. Le chef promet des préparations avec des produits frais, et ca se sent! Il fait bon vivre à Tsehay, qui veut dire “soleil” en Amahric.Tsehay Ethiopian Restaurant, 3630 Georgia Ave NW. Site.
Hook Hall
Juste en face de l’historique beer garden Midlands, Hook Hall vient s’installer avec sa fausse pelouse et ses bières, et un bel espace extérieur de 1.200 mètres carrés. Entre un look bar à sport, salle de jeux et un coin plus relax avec fauteuils et poufs, c’est l’endroit parfait pour les réunions d’après-travail ou les soirées d’anniversaire. On y trouve une jolie liste de cocktails et les serveurs sont toujours disponibles pour créer des boissons selon vos goûts! Hook Hall, 3400 Georgia Ave NW, Site
No Kisses Bar
(Crédit photo: Nastasia Peteuil)

C’est le coin caché de l’Avenue. Une porte noire, et un signe “No Entry” donne l’impression d’entrer dans un speakeasy. Si l’on vient en soirée, le plafond s’illumine avec des carrés de couleurs bleu, rouge et jaune, ce qui donne un côté très psychédélique. Dès que l’on pousse la porte pour accéder à la terrasse, changement d’atmosphère. Une vingtaine de tables et chaises en bois habillent le beer garden. On y va pour les cocktails, et les couleurs du plafond qui donnent le sourire. No Kisses Bar, 3120 Georgia Ave NW, Site
Queen’s English

A deux rues de Petworth, ce restaurant est le nouveau chouchou des résidents. Le chef et co-propriétaire, Henji Cheung, prépare des mets hong-kongais gastronomiques, du jamais vu dans ce quartier historiquement latino et noir. Il faut s’y prendre au moins deux semaines à l’avance pour réserver une table dans le lieu très “faites comme chez vous”, avec un peu moins de 40 places assises. Au menu, des fruits de mer, avec des crevettes fries ou un poulpe accompagné de tofu, mais aussi des viandes très variées, entre les ailes de canard et les côtes d’agneau. La liste des vins est aussi très recherchée, et on y trouve de belles bouteilles.  
Queen’s English, 3410 11th St NW. Site.
 

Avec "Thirst", SebastiAn va enflammer Los Angeles

Huit ans après le désormais culte “Total”, sorti en plein âge d’or du label Ed Banger, l’un des princes de l’électro à la française est de retour en force aux Etats-Unis. Le DJ-compositeur-producteur SebastiAn se produira sur la scène du Fonda Theatre le mercredi 18 décembre.
Le public pourra ainsi découvrir son second album en solo, “Thirst”, paru le 8 novembre dernier, sur lequel il a travaillé avec le rappeur Allan Kingdom, Charlotte Gainsbourg et les Sparks. De l’électro au r’n’b en passant par le classique, le producteur explore divers univers musicaux dans ce nouvel opus.
Pendant sa longue absence, SebastiAn a collaboré avec Frank Ocean, produit les albums de Charlotte Gainsbourg (“Rest” en 2017), de Philippe Katerine (“Magnum” en 2014), et les défilés d’Anthony Vaccarello.