(Article partenaire) Rochambeau French International School ouvrira ses portes au public les 11 (campus du CP-CM1 à Rollingwood) et 15 novembre (campus de maternelle à Bradley). Les inscriptions ont lieu sur le site de l’école.
Ce rendez-vous permettra aux parents de découvrir les avantages d’une éducation multilingue et multiculturelle, de poser leurs questions aux différents intervenants présents, de faire une visite guidée des campus et de rencontrer l’équipe des inscriptions qui les accompagnera dans leurs démarches.
A Rochambeau French International School, les élèves de la maternelle à la terminale sont immergés dans un programme d’études français allié à un solide programme en anglais.
Vous n’êtes pas disponible à ces dates ? Retrouvez la liste complète des portes ouvertes de l’école.
———————— Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
La publication tombe à pic. L’Ambassade de France aux Etats-Unis a mis en ligne son rapport annuel “The French Economic Footprint in the U.S.” (L’empreinte économique française aux Etats-Unis) sur fond de tensions commerciales entre les Etats-Unis et l’Europe.
Le rapport portant sur l’année 2018, il ne permet pas d’évaluer l’impact de la récente annonce américaine de taxes sur plusieurs produits européens, dont certains vins français. À l’heure actuelle, “les conséquences sont excessivement compliquées à déterminer”, précise Jérémy Lauer-Stumm, conseiller économique à l’Ambassade de France aux Etats-Unis.
Le rapport est riche en indicateurs et en enseignements. On y apprend notamment que la France et les Etats-Unis ont échangé plus de 129 milliards de dollars de biens et services en 2018, soit 7,5% de plus que l’année précédente, selon les chiffres du Bureau of Economic Analysis (BEA). Après avoir investi 299 milliards de dollars aux Etats-Unis en 2017, la France y a investi 326 milliards de dollars en 2018, faisant de la France le sixième investisseur étranger aux U.S.
Dans le sens inverse, les entreprises américaines ont investi près de 87 milliards de dollars en France. “Ce n’est pas une surprise. On savait que les relations économiques bilatérales étaient fortes, explique Jérémy Lauer-Stumm. Au delà des tensions au sein du commerce international, de fait, les échanges se portent bien“.
Les entreprises françaises emploient 730 000 employés répartis dans tous les Etats américains (chiffres de 2016), ce qui fait de la France le troisième employeur étranger aux Etats-Unis. Au niveau local, c’est la Californie qui accueille le plus d’emplois créés par des entreprises françaises avec 87 500 postes. Le Texas est deuxième avec 62 800 emplois créés, devant New York et le New Jersey avec 56 700 et 45 500 postes. La Floride accueille quant à elle 31 100 emplois, la Virginie 14 900 et le District de Columbia 1 500.
En 2018, le rapport, s’appuyant sur les chiffres du BEA, estime que 13 500 emplois ont été créés par des entreprises françaises en 2018 sur le sol américain, tandis que les américaines ont créé 6 000 nouveaux emplois en France selon Business France. Les Etats-Unis représentent 21% des emplois créés par des entreprises internationales dans l’Hexagone.
“Il y a de plus en plus d’entreprises françaises qui s’implantent aux Etats-Unis. C’est un marché évident parce qu’il y a de l’investissement. Il se porte bien sur les fronts de l’emploi et du PIB“, note Jérémy Lauer-Stumm. Autres informations issues du rapport:
-l’échange de biens entre les deux pays a atteint 89,6 milliards de dollars en 2018 (+7,9% par rapport à 2017). L’échange de services représente $39,6 milliards (+ 5,2%). La France est le 9e partenaire économique des US au niveau mondial et le 3e au niveau européen. Les Etats-Unis sont le premier partenaire français (hors Europe).
-52% du montant total des biens exportés vers les US par la France sont des biens manufacturiers
-Le Texas est le premier exportateur de Texas de biens vers la France ($3.6 milliards), surtout dans le domaine énergétique
-L’Occitanie a exporté 3,1 milliards de biens vers les US l’an dernier
-L’aérospatiale constitue près de 30% des échanges franco-américains. 130 entreprises françaises du secteur sont implantées aux Etats-Unis.
-50% des investissements français aux Etats-Unis concernent le secteur manufacturier Maxime Aubin et Alexis Buisson
Depuis Sous-Vide Lane à Sterling, Bruno Goussault travaille d’arrache-pied dans sa cuisine faite sur mesure. Au fond de la pièce, il montre avec fierté les herbes qu’il fait pousser avec amour et technique. L’homme aux cheveux blancs et à la blague facile a trouvé sa place il y a plus de 30 ans au sein de Cuisine Solutions en tant que “chief scientist“, d’où il a lancé les aliments cuits et conservés sous-vide. Fondée en France en 1987, Cuisine Solutions s’est installée à Alexandria (Virginie) en 1989 pour développer la technique du sous-vide à grande échelle. Depuis, l’entreprise française a fait fleurir des bureaux et des centres de fabrication à Sterling à partir de 2014, et même en Thaïlande depuis 2017. En 2019, le fondateur Stanislas Vilgrain a posé la première pelle d’une usine à San Antonio (Texas), qui accueillera sa plus grande fabrique dans le monde. Du haut de ses 77 ans, Bruno Goussault est écouté par de nombreux chefs, passés et présents, à travers les Etats-Unis et en France, en commençant par Joël Robuchon, qu’il a connu sur un projet de la SNCF en 1983. “On est devenu très copains”, se souvient le technicien agro-alimentaire, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires (AgroParisTech). C’est à ce moment là qu’il élabore les premières techniques qui mèneront à l’invention de la cuisson sous-vide. La SNCF avait lancé la restauration à bord du TGV en 1980 avec l’aide de Bruno Goussault. Après la réussite de ce lancement, deux ans plus tard, il cherche un chef qui pourrait l’aider à améliorer les recettes à bord des trains à grande vitesse. “Nous avons fait le tour des trois étoiles Michelin, et nous avons demandé Joël Robuchon, qui accepta difficilement, explique-t-il. J’ai analysé scientifiquement ce qu’il faisait et j’ai ensuite développé le sous-vide pour arriver à créer la qualité qu’il voulait”. Le talent des deux hommes se croise pour allier la créativité de l’un et le savoir scientifique de l’autre. Alors qu’en 1987, la SNCF arrête son expérience de cuisine gastronomique à bord du TGV, le futur créateur de Cuisine Solutions, Stanislas Vilgrain, fait appel à lui pour regarder de plus près la technique de sous-vide qu’il a développée. “Nous avons pris l’équipe de la SNCF, qui avait bossé sur la technique du sous-vide, pour travailler à Cuisine Solutions en Virginie”, se rappelle-t-il. “Il y a eu une continuité intéressante”. En parallèle, Bruno Goussault lance Crea, qui forme les chefs à utiliser la fameuse technique. Si Joël Robuchon a été l’une des plus belles rencontres de sa vie, il n’en oublie pas moins son travail avec Jean-Louis Etienne, le célèbre explorateur et médecin. “J’ai passé beaucoup de temps avec lui car quand je fais quelque chose, je ne m’investis jamais à moitié, raconte-t-il avec passion. Quand il m’a dit: ‘je vais tester mes aliments en plein hiver dans le Vercors’, j’y suis allé”. Le médecin nutritionniste attendait de Bruno Goussault la création d’une technique pour manger “bon” sans avoir à porter trop d’ustensiles, ni des plats lourds. “Tout était le plus léger possible, on avait donc adopté la cuisson sous-vide de plats qu’il aimait, car un aventurier, ce qu’il veut, c’est se faire plaisir une fois par jour”, souligne le technicien culinaire. Près de sa cuisine, un prix est encadré. “Ah oui, on m’a aussi donné cela“, rit-il, comme s’il ne comprenait pas pourquoi. Le 31 septembre 2018, Bruno Goussault a reçu à Paris le Prix de la fondation Einstein attribué à l'”Un des 100 plus grands visionnaires”. Une belle lumière sur le technicien de l’ombre.
(Article partenaire) Qu’est-ce que la “cuffing season” ? Selon The Urban Dictionnary, il s’agirait d’une période entre novembre et février où les températures basses et le faible niveau d’ensoleillement nous pousseraient à chercher plus activement un partenaire, sous-entendu pour ne pas céder à la déprime. On entend tout de même par là un partenaire sérieux : “cuffing” veut dire menotter en anglais… Si vous êtes à la recherche d’une relation sérieuse, la période est donc propice à la rencontre : il ne vous reste plus qu’à suivre ces 5 conseils donnés par The Inner Circle pour mettre toutes les chances de votre côté.
“Look good, do good”
De ce côté là il n’y a pas de secret : il s’agit de mettre vos atouts en avant et de vous présenter sous le meilleur jour possible. Sur les réseaux sociaux ou applications de dating, choisissez avec attention les photos que vous souhaitez présenter. Elles doivent être de bonne qualité et récentes (ne soyez pas une arnaque…). Certaines applications de dating vont jusqu’à supprimer les photos trompeuses. C’est le cas de The Inner Circle, qui met un point d’honneur à être une “fake-free zone” : tous les profils sont vérifiés manuellement par les équipes de The Inner Circle pour s’assurer de leur authenticité. Résultat, vous savez vraiment qui vous allez rencontrez.
Choisissez bien votre application
Le choix de l’application de dating que vous allez utiliser est une étape très importante, alors n’hésitez pas à les comparer. Beaucoup d’applications ont pour but pas si bien caché que ça de continuer à vous faire “swiper” plutôt que de réellement vous faire trouver la bonne personne. The Inner Circle en revanche est une application conçue pour que vous l’utilisiez le moins possible (oui, vous avez bien lu). Leur conviction est que la seule manière de faire de vraies bonnes rencontres est d’être sélectif en ligne puis de se rencontrer dans la vie réelle le plus tôt possible.
En ligne, vous êtes un livre qui sera jugé par sa couverture
En matière de dating, la première impression compte vraiment. Concrètement, cela se traduit en deux recommandations : soignez votre photo de profil et vos phrases d’accroche. Si vous envoyez juste un “Salut”, vos chances d’avoir une réponse sont pratiquement inexistantes. Choisissez quelque-chose de plus personnel et intéressant. Une blague est souvent une bonne idée.
Le “pocket dating” n’est pas recommandé
Des heures peuvent être facilement perdues à échanger par message, mais ce n’est pourtant pas ça qui vous fera trouver un partenaire. Rencontrez-vous : cela peut paraître effrayant mais c’est la seule façon de vraiment connaître quelqu’un. Crédits photo : The Inner Circle Sur l’application The Inner Circle, vous avez accès à une liste d’endroits situés autour de vous que les autres membres ont visité et considèrent comme être parfaits pour un rendez-vous galant. Vous pouvez par exemple aller regarder ce qui se dit sur votre bar préféré et voir qui aime s’y rendre. Et pourquoi pas proposer à une des ces personnes d’aller y boire un verre ? Chiche !
Combinez la saison de la fête avec la saison de l’amour
Ce n’est pas une coïncidence si la saison de la fête et la “cuffing season” se rejoignent en ce moment. Pourquoi ne pas combiner ces deux idées et vous rendre à une soirée pour célibataires ? Les soirées de The Inner Circle ont lieu tous les mois dans les grandes villes du monde, sur des rooftops branchés ou dans les bars où vous avez toujours voulu aller. Profitez d’un cadre parfait pour rencontrer des personnes qui partagent les mêmes envies que vous. L’arrivée de la “cuffing season” vous permet donc de suivre la tendance et d’en profiter pour faire de superbes rencontres. Lancez-vous avec The Inner Circle ! —————- Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
C’est désormais officiel, le conseil municipal de New York a voté à une écrasante majorité l’interdiction du foie gras le 30 octobre. Le maire Bill de Blasio a confirmé dans la foulée qu’il ratifierait cette loi, qui va donc entrer en vigueur. Mais que contient-elle exactement? On répond à toutes vos questions. Peut-on encore consommer du foie gras à New York ?
L’interdiction du foie gras a été votée le 30 octobre mais n’entrera en application que dans trois ans. Vous avez donc au moins jusqu’au début du mois de novembre 2022 pour acheter et consommer du foie gras à New York. La loi concerne-t-elle New York City ou tout l’Etat de New York ?
La loi ne concerne que les cinq boroughs de la ville, il sera donc toujours légal de vendre ou consommer du foie gras dans l’Etat de New York après novembre 2022. Puis-je importer du foie gras dans ma valise à New York ?
La loi sur l’interdiction du foie gras à New York ne concerne pas l’importation de foie gras pour consommation personnelle. Rien ne change de ce côté là donc, le pâté et le foie gras sont interdits “s’ils ne sont pas cuits et fermés hermétiquement”, précise la CBP (Customs and Border Protection). Et s’ils le sont ? “Peut-être” pour le foie gras. Bref, c’est le douanier qui décide. On vous le déconseille cependant, étant donné l’actualité. Qu’est-ce que je risque à consommer du foie gras à New York ? La loi qui entrera en vigueur en 2022 précise qu’il sera “interdit à quiconque, vendeurs ou restaurants, de vendre ou d’offrir des produits issus du gavage”. Si des amendes sont prévues pour les vendeurs et restaurateurs (“de 500 à 2000$ à chaque vente, stockage, possession ou donation de foie gras”), rien en revanche ne fait référence à la pénalisation de la consommation du foie gras. L’interdiction du foie gras à New York est-elle définitive ?
Les professionnels de la filière peuvent encore porter l’affaire devant les tribunaux comme ce fut le cas en Californie où le foie gras a été successivement interdit, de nouveau légalisé, puis re-interdit en janvier 2019. Ariane Daguin, fondatrice de D’Artagnan, qui participa grandement à la diffusion du foie gras dans les restaurants américains, et fut en première ligne dans la bataille judiciaire en Californie assure “que oui, nous allons nous battre et porter cette interdiction devant la justice. Quand je dis nous, ce n’est pas seulement les deux éleveurs (de l’Etat de New York, NDLR) et D’Artagnan”. Les opposants devraient annoncer dans les prochaines semaines les suites judiciaires qu’ils souhaitent donner à l’affaire.
(Article partenaire) Si vous êtes expatrié·e aux États-Unis et que vous souhaitez préparer correctement votre retraite, vous vous posez certainement pléthore de questions. USAFrance Financials, cabinet de gestion privée dédié aux Français résidant aux États-Unis, nous éclaire sur les erreurs à éviter et les bons réflexes à avoir.
Une question qui en inquiète plus d’un
“Beaucoup d’incertitudes entourent la question de la retraite pour les expatrié·e·s aux États-Unis”, confie Cédric S. Sage, fondateur de USAFrance Financials. “De nombreuses personnes sentent qu’elles ne sont pas prêtes, qu’elles ne cotisent peut-être pas assez, ou bien ne savent pas vraiment par où commencer, ni comment faire afin de consolider leur retraite française et la Social Security américaine.” Aux États-Unis, le taux de remplacement des revenus de retraite fourni par les instances gouvernementales étant plutôt faible, en comparaison avec la France, il s’agit donc de pouvoir combler ce manque. Historiquement, c’étaient les compagnies qui s’occupaient de fournir à leurs employé·es une pension. Or, depuis les années 70, celles-ci ont, petit à petit, limité voire supprimé ces avantages. De fait, le risque a été transféré sur les épaules de l’employé·e pour se constituer sa propre retraite, qui devra utiliser un programme de retraite tel que le 401(k), 403(b) ou encore IRA. Mais, même si l’employé·e a bien connaissance de ce qu’il ou elle a versé sur son programme, il demeure complexe de savoir exactement comment ce capital accumulé va se matérialiser en termes de revenus de retraite.
Ce que font la plupart des Français expatriés, et pourquoi ça ne fonctionne pas
La stratégie patrimoniale dite « à la Française »
« Les Français ont tout naturellement tendance à penser à leur retraite de la même manière qu’ils l’auraient abordée en France », affirme Cédric S. Sage. C’est-à-dire ? L’idée est d’accumuler un maximum de patrimoine que l’on aura, bien évidemment, diversifié et optimisé fiscalement au cours de sa vie. Arrivé à la retraite, il s’agit ainsi de vivre des rentes générées par ce capital financier et/ou immobilier. Lors du décès, le patrimoine restant sera transmis aux héritiers. Malheureusement, même si cette stratégie semble être la meilleure stratégie à mettre en place en France, « c’est une stratégie probablement vaine voire vouée à l’échec si l’objectif est de pouvoir garder son style de vie, » continue Cédric S. Sage. Khongtham/Shutterstock.com
Ne pas négliger les risques financiers
Pour bien préparer sa retraite, il ne suffit pas de mettre de l’argent de côté, loin de là. Il s’agit d’anticiper les risques financiers qui pourraient réduire vos efforts à néant, en particulier sur un marché tel que celui des États-Unis. Mettons en exergue les 5 risques majeurs : – La longévité : C’est le risque le plus important de la planification financière car nous avons, de plus en plus, l’opportunité de vivre une très longue vie. Ce risque a également la particularité d’être un coefficient multiplicateur de tous les autres risques. – L’inflation : Au rythme de l’augmentation actuelle du coût de la vie, il faut pouvoir prévoir de doubler ses revenus de retraite tous les 15 à 20 ans pour garder son style de vie. – La taxation : Aux États-Unis, l’imposition au niveau fédéral est historiquement bas. Le taux marginal supérieur cette année est de 37 %, à comparer à 70 % dans les années 70, voire même 93 % après la crise de 1929. Or, si nous revenons à une moyenne historique, l’impact peut s’avérer être négatif sur notre revenu net après imposition. – La volatilité: Tout d’abord, c’est l’impact de l’ordre des rendements. En effet, une crise financière et/ou immobilière dans les 5 années avant la retraite ou même les 5 années après la retraite, aura un impact dévastateur sur la capacité à générer le revenu espéré à vie. Ensuite, c’est le niveau de risque choisi en fonction du rendement attendu. En effet, la forte volatilité actuelle des marchés financiers impose aux personnes qui préparent leur retraite de faire appel à une certaine prudence, qui limite donc les revenus. – Les frais de santé : Les coûts liés à la santé aux États-Unis sont élevés. Que ce soit pour se couvrir, se soigner ou encore séjourner dans un établissement médicalisé. De plus, l’inflation des coûts de santé suit une courbe exponentielle.
Mettre en place une stratégie viable pour votre retraite
Emilie Zhang/Shutterstock.com Le fait d’être, aujourd’hui, aux États-Unis nous offre des opportunités que nous n’aurions pu avoir en France, et cela sans avoir besoin de visibilité. « Il s’agit de repenser sa stratégie patrimoniale en fonction des options à notre disposition aux États-Unis », conseille Cédric S. Sage. Mettons notamment en exergue deux stratégies patrimoniales à connaître absolument :
La stratégie dite de « flooring »
Dans notre vie quotidienne, nous avons deux types de dépenses : les dépenses pour nos besoins primaires et les dépenses dites discrétionnaires. L’objectif ici est d’allouer une partie de notre capital afin d’assurer et de garantir le maintien de nos besoins vitaux pour le reste de notre vie. Les instruments typiques sont : la sécurité sociale française et les complémentaires de retraite, la Social Security, si accessible les pensions d’entreprise, et bien évidemment aux États-Unis, les « annuities ». Une fois ces frais pris en charge, nous serons plus libres de pouvoir profiter davantage de notre capital restant pour les centres d’intérêt qui nous passionnent !
La stratégie dite de « bucketing »
À la retraite, nous allons très probablement passer par 3 phases de vie : – Les Go-Go years : Ce sont les premières années à la retraite et, de fait, l’énergie, l’envie et la santé nous poussent à en profiter, et à dépenser. – Les Slow-Go years : C’est la phase où nous commençons à perdre en mobilité et motricité, et ainsi probablement dépensons un peu moins. – Les No-Go years : C’est la dernière phase de notre vie, où les pépins médicaux se multiplient et les frais de santé également. Ainsi, en matière de planification financière, la retraite n’étant pas qu’une seule période linéaire, l’objectif est de pouvoir dédier des actifs durant chacune de ces phases. À cet effet, un actif tel qu’une assurance-vie de type Whole Life* peut jouer un rôle déterminant dans une implémentation optimale de cette stratégie. Il peut à la fois servir dans la mise en place d’une réserve d’épargne, mais également aider à la succession car celui-ci se munit d’une assurance décès à vie.
Ainsi, avec l’aide de cabinets de gestion patrimoniale tels qu’USAFrance Financials, il est possible de mettre en place une stratégie globale et internationale afin de pouvoir, non seulement, améliorer son style de vie, mais également réduire drastiquement les risques, minimiser l’impact fiscal, tout en assurant sa succession. Contactez USAFrance Financials dès aujourd’hui pour réaliser un bilan personnalisé et bénéficiez de conseils avisés afin d’optimiser votre stratégie de retraite.
—————- Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
À New York, l’huître est partout. On la célèbre dans des évènements comme l’Oyster Week, des festivals comme l’Oyster Festival, qui a fêté son 36ème anniversaire cette année sur Long Island, et tous les jours dans les nombreux happy hours qui ont lieu dans la ville. Certains se spécialisent et s’auto-proclament sommeliers de l’huître. D’autres, de plus en plus nombreux, s’initient et participent à des « Oyster class ».
« Les New-Yorkaisaiment de plus en plus les huîtres. L’arrivée de nouvelles variétés et l’offre croissante d’huîtres reflètent à un vrai appétit », confie Julie Qiu, auteure du blog In a Half Shell et organisatrice d’évènements autour des huîtres.
Le bivalve fascine et se faufile dans des courants où on ne l’attend pas. Le coquillage a même conquis le monde de la mode, se retrouvant sur les imprimés de la Fashion Week ou suspendu à des boucles d’oreilles de créateurs. On ne cesse d’ailleurs de vanter les bienfaits du coquillage : bon pour la peau, bon pour le corps, bon pour la planète…
Aux États Unis, les initiatives écologiques autour de l’huitre se multiplient, à l’instar du projet de recyclage initié par Billion Oyster Project visant à filtrer eaux de la Baie de New York. Leur mission: d’ici 2035, implanter un milliard d’huîtres. À Annapolis (Maryland), l’association Oyster Recoverysuit le même chemin.
Au XIXème siècle, les huîtres se vendaient comme les hot dogs aujourd’hui : à tous les coins de rue, pour presque rien, et à toute heure de la journée ou de la nuit. « Avant le XXème siècle, quand on pensait à New York, on pensait aux huîtres », écrit Mark Kurlansky, l’auteur de The Big Oyster (2006).
L’huître a nourri la cité pendant plus de deux siècles. Au début du XVIIe siècle, dans les eaux de New York, aux côtés des dauphins et des hippocampes, cohabitait la moitié de la population mondiale d’huîtres. New York était, comme on l’appelait, la capitale internationale de l’huître.
À l’époque, l’huître n’était pas seulement servi crue et vivante dans sa coquille. Au menu des restaurants comme le mythique Delmonico’s, on trouvait des tourtes aux huîtres, des ragoûts d’huîtres, des volailles farcies aux huîtres et des sauces à l’huître pour accompagner les viandes ou les poissons. Abondantes dans le port de New York, les huîtres ont même servi à paver les routes de Manhattan et à construire certains monuments comme la célèbre Trinity Church.
La sur-exploitation, l’industrialisation et l’absence de recyclage des coquilles ont contribué à la mort de l’industrie ostréicole de la ville. En 1927, le dernier des parcs à huîtres a été fermé. Mais depuis quelques années, les projets environnementaux comme Billion Oyster Project, lancé en 2014, ont contribué à redorer son image. « Les New-Yorkais mangent beaucoup plus d’huîtres aujourd’hui. Avant, il y avait le souvenir de la baie polluée. Les consommateurs avaient peur, ce n’était plus en vogue », confie Ryan Te, manager d’un célèbre bar à huîtres de Brooklyn.
« Les Américains mangent deux fois plus d’huîtres qu’il y a 10 ou 20 ans. Avant, ils avaient peur du cru, notamment du poisson. Et puis la mode des sushis est arrivée, et maintenant les huîtres sont sur le devant de la scène »,précise le chef François Payard, directeur culinaire d’Estuary, un restaurant de fruits de mer à Brooklyn.
Si la consommation a augmenté ces dernières années, les modes de consommation eux aussi ont évolué. « Les consommateurs sont moins regardants sur les prix et plus préoccupés par le type d’huître qu’ils vont manger: East Coast ou West Coast, à quelle saison, comment et où les huîtres sont cultivées », confie Ryan Te. En témoigne, la popularité des huîtres japonaises kumamotos, vendues à 4 dollars pièce. Ces petites huîtres à la coquille profonde sont aux Etats-Unis ce que la Gillardeau est en France : la Rolls-Royce de l’huître. Le fruit de mer est désormais un plaisir qui se savoure et se paie.
Cette année, le programme de la Bilingual Fair de New York, organisée par French Morning, regorge de nouveautés et de surprises. Les activités pour enfants et ados ne sont pas en reste, avec un atelier d’écriture de rap en français animé par l’artiste français Hippocampe Fou. L’originalité des textes de cet auteur-compositeur-interprète lui valent en France une audience fidèle, accro à sa musique entre rap et slam. Vingt enfants et ados chanceux pourront participer à une session de deux heures menée par “Hippo” lui-même, couronnée par l’écriture d’une chanson en groupe, qui sera interprétée ensuite devant le public du salon. Pour Seb, alias Hippocampe Fou, “le rap est un magnifique outil d’expression orale et poétique”, qu’il prend un grand plaisir à inculquer aux plus jeunes. Ses ateliers permettent aux enfants de vivre une vraie expérience linguistique et musicale enrichissante. Pendant la première partie de l’atelier, les enfants écouteront des extraits de chansons d’artistes francophones ayant chacun un univers singulier, une approche particulière et une plume unique. “L’idée est de leur faire découvrir une grande diversité de styles tout en insistant sur l’importance de développer sa propre originalité”, nous explique Hippo. Dans un premier temps, l’attention est portée sur le fond, le message que les chansons font passer. “Derrière une chanson, il peut y avoir tellement de choses, reprend Hippo. On peut décider d’écrire un texte d’introspection en puisant dans ses propres expériences, on peut choisir de se documenter sur un thème qui nous tient à coeur et faire passer un message qui pousse à la réflexion. Ou alors on cultive son imaginaire, on incarne un personnage comme au théâtre en adoptant son point de vue… les possibilités sont infinies.” Puis, place à la forme : rimes, figures de style, assonances et allitérations, Hippo nous rappelle qu’un texte de rap est avant tout une oeuvre poétique. Une fois ces concepts expliqués, il sera temps de passer à l’étape de création. À l’aide de leur savoir fraîchement acquis, les enfants et adolescents seront accompagnés par Hippo pour créer leur propre quatrain (4 mesures). Après une répétition, les artistes en herbe seront prêts à interpréter leur oeuvre collective. Attention : la passion d’Hippo est communicative, et il se peut que la vingtaine de chanceux qui décrocheront les précieuses places en ressortent mordus de musique…
À propos d’Hippocampe Fou
Amoureux des images et des mots, Hippocampe Fou conçoit ses chansons comme des courts-métrages. Ce grand enfant manie flows acrobatiques, jeux de mots et story-telling avec une dextérité surprenante. Reconnu pour son flow fluide au débit ultra rapide, sa technique qui oscille entre slam et rap, il peut se vanter de réussir à rapper sur tout type de rythme et de bpm. Classé 2ème sur la liste des rappeurs français possédant le vocabulaire le plus large, selon le Huffington Post, Hippo maîtrise assonances, allitérations et métaphores percutantes, ce qui en fait un MC complet. Suivez Hippo en ligne via sa page Facebook ou sa chaîne Youtube. Découvrez également le teaser de son 1er spectacle “L’ODYSSÉE D’HIPPO”, co-écrit et mis en musique par Lucas Dorier, un projet à la croisée de ses passions : la musique, le spectacle vivant et le cinéma.
Il y a 1 000 manières de parler de New York. Se limiter à 100 est un petit tour de force. C’est le défi qu’a relevé la journaliste new-yorkophile Laure Watrin. La co-fondatrice des collections “Les Pintades” signe un nouveau livre de poche, Les 100 mots de New York,qui vient de sortir aux éditions “Que sais-je ?”.
Comme son nom ne l’indique pas du tout, l’auteure raconte la Grosse Pomme à travers 100 mots classés en ordre alphabétiques. Les termes attendus (“Empire State Building”, “diners”, “Park Slope Food Coop”, “hipsters”…) côtoient les mots moins connus des Français, comme “Bridges & Tunnels”, terme péjoratif utilisé par les Manhattanites pour désigner les banlieusards qui empruntaient ponts et tunnels pour venir festoyer en ville. Ou encore “Robert Moses”, le controversé commissaire des parcs et urbaniste qui a modelé la Grosse Pomme au début du XXème siècle. On y trouve même une date, “1898”, qui désigne l’année où Brooklyn, Queens et Staten Island ont été ajoutés à la municipalité, pour devenir la ville de cinq boroughs actuelle.
Deuxième plus grand festival de film français, le Festival du Film Francophone d’Angoulême (FFA) s’exporte. Il présentera une sélection de films et d’avant-premières lors d’un tout nouveau rendez-vous de films français à New York, la French Cinema Week, du mardi 12 au jeudi 14 novembre. De nombreux invités de marque feront le déplacement. Trois lieux accueilleront l’évènement : The French Institute Alliance Française (FIAF) (Midtown East), le Lycée Français de New York (Upper East Side) et le cinéma The Landmark (Midtown West).
Fondé en 2007 par Marie-France Brière et Dominique Besnehard, le festival n’arrive pas à New York par hasard. La ville de New York était considérée comme la “Nouvelle Angoulême” par les Européens, selon le surnom donné en 1524 par l’explorateur Giovanni da Verrazzano, en l’honneur du roi François Ier de France, comte d’Angoulême de 1496 jusqu’à son couronnement en 1515.
Au programme de ces retrouvailles cinématographiques, trois jours de projection, des rencontres et tables rondes avec les acteurs et les réalisateurs. Charlotte Gainsbourg, Yvan Attal, Anastasia Mikova, Yann Arthus-Bertrand, Zabou Breitman, Dominique Besnehard, Marie-France Brière et l’historien Florent Gaillard feront le déplacement.
Programme complet:
-Mardi 14 novembre : Et si New York s’appelait Angoulême, de Marie-France Brière (4pm), et Mon chien stupide, d’Yvan Attal (7:30pm), qui donnera le coup d’envoi officiel du festival. -Mercredi 15 novembre : Demain est à nous, de Gilles de Maistre (1:30pm) et Woman, de Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova (6:30pm) -Jeudi 14 novembre : Les hirondelles de Kaboul, de Zabou Breitman (6:30pm)
Les villes de Sète (sud de la France) et Los Angeles s’allient à l’occasion d’un festival d’art contemporain, qui aura lieu du 5 novembre au 8 décembre dans la cité des anges.
Coordonné par la Show Gallery et le consulat de France à Los Angeles, cet événement culturel réunit 28 artistes des deux villes, invités à participer à un dialogue artistique en créant des œuvres dans les arts visuels, la musique, la littérature, la performance et le film. En septembre, Sète a accueilli les artistes basés à Los Angeles pour une série d’expositions.
Place à la partie américaine du festival, qui aura lieu dans huit lieux à Hollywood et West Hollywood, entre les 5 et 10 novembre. Les expositions, elles, se poursuivront jusqu’au 8 décembre. Le festival débutera le mardi 5 novembre par la projection de “Mural Murals” d’Agnès Varda à l’Aero Theatre. Pour rendre hommage à la défunte réalisatrice de la Nouvelle Vague, l’artiste basée de Los Angeles, Barbara Carrasco, (dont le travail figurait dans le documentaire d’Agnès Varda “Mural Murals”) va réaliser une peinture murale à Spaulding Square, un quartier de Los Angeles.
Parmi les artistes français qui feront le déplacement, on compte Aldo Biascamano, Patricia Biascamano, Armelle Caron, André Cervera, Robert Combas, Christophe Cosentino, Jean Denant, Hervé Di Rosa, Marc Duran, Lucas Mancione, PG, Jean-Marie Picard et Topolino.
L’acteur franco-américain de 23 ans était l’invité du “Late Night” de Seth Meyers le 31 octobre.
Venu faire la promotion du film “The King” dans lequel il joue le roi Henri V, le jeune acteur portait le maillot de l’AS Saint-Etienne, un club qu’il supporte depuis son enfance. S’il est né à New York, Timothée Chalamet a en effet passé plusieurs étés chez sa grand-mère au Chambon-sur-Lignon dans sa jeunesse, à 60 kilomètres de Saint-Etienne.
Invité de l’émission radio “Boomerang” sur France Inter en février 2018, l’acteur expliquait que son rêve d’enfant était “d’être joueur de football professionnel”, et qu’il regarde “régulièrement les matches de football de l’AS Saint-Etienne”.
Timothée Chalamet a été révélé en 2017 pour son rôle dans le film “Call Me By Your Name”, pour lequel il a été nominé aux Oscars l’année suivante.