Tremble San Francisco, la révolution Apizza est en marche. L’enseigne créée par Nicolas Bernadi et Pascal Rigo a ouvert ses portes la semaine dernière en plein coeur de Pacific Heights.
Les pères fondateurs de la Boulange (devenue La Boulangerie) en 2015 se sont lancés un nouveau défi : créer la pizzeria de demain. Pour cela, pas de secret, seulement de bons ingrédients et une bonne connaissance du marché. “Avec Apizza, on veut offrir aux Américains de la bonne nourriture à petit prix, avance Nicolas Bernadi. “Ouvrir une pizzeria, ça n’a rien d’original. En revanche, utiliser de bons produits et garantir un prix qui défie toute concurrence, ça l’est. Notre pizza Margherita de 9-inches avec pâte et sauce tomate bio se vend à 2,75$. C’est du jamais vu.”
Pour parvenir à ce deal, trois années de réflexion ont été nécessaires. Le duo français s’est donné pour défi de penser “out of the box” en respectant des valeurs qui lui sont chères : qualité, efficacité, rapidité d’exécution, éco-responsabilité et unicité. Cela se traduit par énormément de travail en amont. “Contrairement aux autres pizzerias, nous n’avons pas vraiment de cuisine et de cuisiniers. Nos pâtes et notre sauce sont préparées chez un sous-traitant, puis conservées au frais. On gagne en espace et en main-d’oeuvre. Sur place, nous nous occupons de l’assemblage de la garniture et ça va très vite”, admet Nicolas Bernadi.
Au moment de la conception du menu, Nicolas Bernadi et Pascal Rigo ont été aidés par un chef cuisinier. Les pizzas ont toutes une base bio (pâte et sauce) et proposent différentes saveurs, des plus traditionnelles aux plus originales. On retrouve parmi les classiques la Pepperoni, la BBQ chicken et la royale with cheese. Le petit plus: elles sont servies dans des emballages compostables. “Nous n’avons pas de boîte à pizza, nous vendons nos pizzas dans une sorte de petit plateau en carton. Nos verres ainsi que nos pailles sont aussi recyclables. Nous encourageons même nos clients à venir avec leur propre gobelet. Lorsque c’est le cas, on enlève 30 centimes sur leur boisson.”
Sur le long-terme, le duo espère ouvrir une centaine d’Apizza à travers le pays avec pour objectif de “devenir le In-n-Out de la pizza”. Deux ouvertures sont déjà prévues d’ici la fin de l’année, dont une à Belmont.
À San Francisco, les propriétaires de La Boulangerie misent sur la pizza
Un nouveau programme bilingue dans une école publique au Texas
La rentrée scolaire texane 2019/20 prend des couleurs françaises avec l’ouverture d’un nouveau programme d’immersion à l’école publique Wimbish World Language Academy. C’est la deuxième école publique au Texas, après Mark White à Houston, à ouvrir ses portes à une filière français-anglais.
Située à Arlington, entre Fort Worth et Dallas, cet établissement propose un programme bilingue du niveau pre-Kindergarten (maternelle) au 1st grade (CP). Ce projet initié par les autorités locales, sur la demande de parents d’élèves anglophones, accueille 27 élèves. La moitié du temps d’enseignement aura lieu en anglais et l’autre moitié en français sous la houlette de deux professeurs natifs ayant pour mission d’enseigner les mathématiques et les sciences en français.
Les autres enfants inscrits de 2nd grade (CE1) à 6th grade (6eme) ne participant pas à ce programme d’immersion suivront des cours de français langue étrangère. Une Française, Isabelle Williams, spécialiste de l’instruction des langues étrangères auprès du district de Arlington, supervisera l’enseignement du français dans l’école. « C’est une montée en cohorte qui permet de gérer la montée en puissance des enseignants », précise Alexis Andres, Consul Général de France à Houston. En d’autres termes, l’école ouvrira un niveau de classe supplémentaire chaque année et renforcera les effectifs de professeurs de français.
Le processus de candidature est simple: les parents doivent assister à une réunion (obligatoire pour acceptation) sur les classes d’immersion puis inscrire leurs enfants en ligne sur le site des autorités éducatives locales.
Les élèves exploreront la langue à travers les arts, comme la danse, le théâtre, le dessin, la peinture ou encore la photographie. Pendant l’été, l’école proposera des projets spéciaux pour que les élèves puissent continuer à mettre en pratique leurs compétences linguistiques. « Ces dernières années, nous avons fait venir plusieurs auteurs jeunesse francophones dans les écoles, tels que Jérémie Royer, Sandra Lanilis ou encore Marion Bataille pour échanger avec les élèves », précise Virginie Le Tallec, attachée culturelle adjointe, chargée de coopération éducative et linguistique pour le Texas, l’Oklahoma et l’Arkansas.
Le programme est loin d’être le dernier au Texas. Des discussions sont déjà en cours sur un programme à Austin et une nouvelle école d’immersion devrait ouvrir à San Antonio en janvier 2020 en école privée. Ces deux nouveaux projets serviraient de passerelle avec le collège. Les élèves recevront d’ailleurs des crédits d’études dans cet optique.
Jean-Philippe Nuel, l’architecte designer star des hôtels de luxe, arrive à New York
(Article partenaire) Les chambres du très trendy hôtel Molitor à Paris et celles de l’InterContinental Hôtel Dieu de Lyon, dernier né des hôtels de luxe de référence en France, portent sa signature. Depuis vingt ans, Jean-Philippe Nuel est l’architecte d’intérieur que les hôtels s’arrachent de Paris à Rome et jusqu’au Japon.
À New York, il s’associe avec Sandy Despres Stevens, architecte d’intérieur, pour créer Studio Jean-Philippe Nuel & Partners, dédié spécifiquement au marché américain.
Du boutique-hôtel parisien aux grandes entreprises internationales

Jean-Philippe Nuel, architecte de formation, lance son agence à Paris et très tôt, à trente ans à peine, il réalise son premier boutique-hôtel. Ensuite, tout s’enchaîne : les boutique-hôtels à Paris, puis les grandes chaînes internationales telles que Accor, Hilton, Marriott, InterContinental… font rapidement appel à lui pour leurs marques d’hôtels de luxe et lifestyle.
Le terrain de jeu est large et diversifié : en plus des hôtels à proprement parler, le Studio Jean-Philippe Nuel réalise aussi des restaurants, souvent pour de grands chefs, des bars, des rooftops, des spas opérés par des marques de luxe et aussi des espaces de co-working.
“Cette légitimé dans les hôtels nous a amenés à être sollicités sur d’autres métiers comme l’aménagement d’espaces de bureaux où le travail se réinvente autour de lieux de vie et d’échanges, la rénovation de grands équipements sportifs ou encore la réalisation de flagship stores de marques qui ont pour ambition de dépasser leur fonction première en devenant des lieux de communication, d’échange avec les clients”, explique Sandy Despres Stevens, co-founder & CEO.

Une approche créative pour un projet unique
Car là est toute la valeur ajoutée d’un espace aménagé par le Studio Jean-Philippe Nuel : le lieu devient le théâtre d’une véritable expérience pour le client.
“Notre ambition est de raconter pour chaque projet une histoire unique qui se nourrit de l’esprit du lieu et de l’ADN de notre client. Le lieu, son environnement, son histoire doivent donner au projet toute sa signification au-delà de la dimension esthétique”, continue Sandy Despres Stevens. “Qu’il s’agisse d’une marque d’hôtel, d’une marque retail ou d’une entreprise, l’identité de la marque, sa mission, ses valeurs constituent toujours le fil rouge de notre design”.
La création de chaque projet est donc une alchimie qui permet aux architectes de créer des expériences uniques et sur mesure, une sorte de magie qui fait que le client se souviendra du lieu et de la marque.

Un des derniers nés des projets du studio est l’hôtel La Clé Champs-Élysées à Paris, ancien hôtel particulier du Groupe Hennessy maintenant reconverti en hôtel 5 étoiles. “Notre objectif était de permettre aux touristes étrangers de vivre Paris comme un parisien et de découvrir l’art de vivre à la française” confie Sandy Despres Stevens. “Chaque chambre a été conçue comme un appartement haussmannien avec parquet, moulures et cheminée d’époque”. Le studio a même été plus loin, en installant un bar à parfum dans le lobby, créant ainsi un lien entre les métiers de l’hôtellerie et du retail. “Les clients s’amusent avec les odeurs, créent et repartent avec un souvenir personnalisé”.
En s’installant à New York, les designers veulent apporter un peu de cette French touch outre-Atlantique. “Notre volonté est d’offrir à nos clients une qualité de service équivalente dans tous les pays où nous intervenons et de conserver notre taille humaine, élément fondamental de notre créativité”, note Sandy Despres Stevens. “Avoir une équipe à New York permet une proximité avec les clients et une véritable connaissance des particularités du marché américain. Notre équipe locale est d’ailleurs constituée d’architectes américains qui nous permettent de développer et d’exécuter les projets selon les règles et procédures locales.”
L’envie du Studio Jean-Philippe Nuel est donc d’accompagner plus efficacement les marques voulant se développer aux États-Unis, en leur offrant à la fois une signature unique, un savoir-faire et une vraie capacité d’exécution locale sur les aménagements d’hôtels, d’espaces de travail, création de boutiques, restaurants, SPA ou bateaux.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Une soirée Occitanie à New York le 14 novembre
Occitans de New York et amis de l’Occitanie, cette soirée est pour vous. Le 14 novembre, l’association Racines Sud, qui regroupe les expatriés du Languedoc Roussillon et de Midi-Pyrénées, organise une rencontre-dégustation-cocktail dinatoire sur les atouts de la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée à la Maison de la Région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée.
Participeront à cette soirée de promotion : Emmanuelle Darras-Rivault, fondatrice et directrice de l’association, Magali Richard, vice-présidente de Racines Sud, Cécile Lazartigues-Chartier, responsable du réseau à Montréal, Sandrine Arjaliès, responsable du réseau New York, et Pascal Ehrhardt, responsable du département attractivité à l’agence de développement économique régionale Ad’Occ.
La dégustation des vins sera assurée par Gérard Bertrand, vigneron et entrepreneur originaire du Languedoc-Roussillon. Inscription obligatoire avant le 8 novembre à [email protected]
Le réseau Main dans la Main ouvre une antenne à Los Angeles
Parce que s’installer aux Etats-Unis n’est pas toujours évident, le réseau Main dans la Main s’élargit au-delà de San Francisco en ouvrant une antenne à Los Angeles.
Fondé en 2015 par trois Françaises à San Francisco, le réseau d’entraide a pour objectif d’écouter et d’accompagner les francophones qui rencontrent des difficultés lors de leur expatriation (divorce, isolement, deuil, dépendances, maladie…).
Les bénévoles de RMDM interviennent à travers des contacts écrits et oraux. L’association organise aussi des conférences sur les défis de l’expatriation.
French Cheese Board fête Halloween avec de la mimolette
Le fromager français French Cheese Board célèbrera Halloween le jeudi 31 octobre. Il mettra à l’honneur un célèbre fromage du nord de la France au couleur d’Halloween: la mimolette.
En plus de déguster des morceaux de mimolette et de bénéficier de réductions spéciales, les gourmands pourront profiter d’un bon “Mac & Mimolette”. Les réservations sont gratuites, mais les portions seront attribuées sur la base du premier arrivé, premier servi.
Pour la couleur, pas de sorcellerie : le fromage doit sa teinte orangée au roucou, un colorant naturel utilisé pour le différencier du fromage d’edam, fabriqué au Pays-Bas au XVIIème siècle (et dont la mimolette était en faite une imitation).
Sous le coup d’un embargo d’avril 2013 à octobre 2014 aux Etats-Unis car considéré comme impropre à la consommation compte-tenu de son caractère prétendument “dégoûtant”, elle a fait son retour pour le plus grand plaisir de ses fans.
The French Apartment Gallery exporte le design contemporain français à LA
“Amener la touche française dans le design d’intérieur” : c’est le concept de The French Apartment Gallery, qui a ouvert ses portes près de Melrose Place le 13 septembre. Un projet mené tambour battant par Nadine Teboul, qui a vadrouillé à travers le monde avec sa famille avant de poser ses valises à Los Angeles.
Dans cette galerie intimiste de 100 m2, nichée au coeur d’un bâtiment des années 40, on trouve des chaises recouvertes de photographies décalées de Maurice Renoma, une table en marbre de Carrare aux dimensions hors-norme, des suspensions lumineuses en porcelaine de Limoges de Sylvie Maréchal ou encore une sculpture à base d’écorce d’arbre de Pascal Oudet. Chaque objet a une histoire, un processus de création original que Nadine Teboul restitue à ses clients. Et elle veut aller plus loin, en proposant des pièces sur-mesure et ses services de conseils pour créer un univers sur-mesure pour les personnes intéressées.
Issues d’une sélection personnelle, les pièces contemporaines présentées -de $300 à $60 000- sont toutes produites en France, en petites séries, par une dizaine de fournisseurs et d’artisans. “Ce sont des objets et meubles d’exception très peu vus aux Etats-Unis”, assure Nadine Teboul, dont l’oeil est séduit par les pièces qui offrent “une authenticité, une touche de poésie, d’impertinence ou revisite des matériaux nobles”. De nouvelles pièces débarqueront chaque trimestre dans l’antre immaculé de la galerie. Un temps attirée par les textiles, elle a choisi de ne pas en présenter dans sa galerie : “ils sont taxés à 20%”, explique-t-elle.
Après une expatriation au Japon à 27 ans -pays qui lui donnera le goût pour la vie nomade-, elle s’installe à New York, Londres, Paris, Bordeaux et Tel Aviv. Aujourd’hui, ses enfants ayant quitté le domicile familial, Nadine Teboul et son mari avaient envie de revenir sur le sol américain et de se lancer dans un projet personnel. D’autant qu’il y avait une attente à Los Angeles en terme de design d’intérieur et de pièces rares, en raison d’un marché immobilier fleurissant. “La ville sort de l’industrie du cinéma pour s’ouvrir à d’autres arts”, argue cette dynamique quinquagénaire. Tentée par Downtown, elle choisira une valeur sûre et se posera finalement à Interior Design District, un quartier de West Hollywood où les galeries se multiplient.
“En France, le design et le mobilier sont à la marge de l’art ; alors qu’ici, les passages de l’un à l’autre se font plus naturellement”, fait remarquer la Parisienne. Sans compter que le budget des Américains se prête davantage à ce type de galerie : “ils ont un regard moins acéré que les Européens, mais sont capables de dépenser si la pièce est inédite.”
De la mode à l’écologie au design d’intérieur
Dans le secteur de la mode il y a 20 ans, Nadine Teboul est vite épuisée par le rythme effréné des collections. Elle passe alors par le studio de Robert le héros à Paris, qui crée de la conception graphique au modelage de la terre. “Cette polyvalence m’a marqué”, affirme cette titulaire d’un master de l’Institut Français de la mode et du design de Paris, déjà influencée par une mère peintre et des grands-parents artisans. Au gré de ses déménagements à l’international, elle multiplie des projets de décoration pour des amis.
Son parcours paraissait tout tracé. Mais, lorsqu’elle emménage à Bordeaux, elle décide de changer de cap et s’oriente vers les énergies renouvelables. Reprenant un Master en écologie humaine à 42 ans, elle gèrera, entre 2011 et 2014, avec son époux, une société de développement de projet photovoltaïque. Une entreprise laissée de côté pour partir à Tel Aviv retrouver ses racines familiales, ultime étape avant Los Angeles.
Même si ce monde artistique n’est pas nouveau pour la Parisienne aux épaisses lunettes à écailles, cela reste un grand pas. “L’achat des pièces est un investissement important. C’est bien plus difficile que d’importer des macarons.”
Où fêter Halloween 2019 à Miami ?
Halloween approche à grands pas. French Morning vous suggère quelques idées de sorties pour vous mettre dans l’ambiance.
Reines d’Halloween, les citrouilles trôneront fièrement au Peacock Park de Coconut Grove à l’occasion du traditionnel Pumpkin Patch Festival (samedi 26 et dimanche 27 octobre de 10am à 6pm). Vous aurez l’embarras du choix parmi plusieurs centaines de citrouilles de toutes les tailles afin de donner vie à votre jack-o’-lantern grimaçante. Plusieurs attractions pour les enfants et quelques food trucks seront également de la partie. 2820 McFarlane Rd, Miami – Infos et réservation ici
Les amateurs de frissons et de sensations fortes pousseront les portes de House of Death, une maison hantée éphémère qui a pris ses quartiers à proximité du cimetière de Wynwood (jusqu’au samedi 2 novembre). Les audacieux visiteurs croiseront au détour des couloirs sombres quelques clowns maléfiques, des créatures sanguinolentes et d’autres monstres terrifiants. Âmes sensibles s’abstenir. 1700 NE 2nd Ave, Miami – Infos et réservation ici
Sorcières, vampires et fantômes terrifiants se déhancheront le temps d’une soirée endiablée lors de l’édition 2019 de HalloWYN Block Party (jeudi 31 octobre de 7pm à 3am). Cet événement gratuit, qui se tiendra au Wynwood Marketplace dans le quartier du street art de Miami, rassemblera des DJs, quelques exposants ainsi que plusieurs food trucks. 2250 NW 2nd Ave, Miami – Infos et réservation ici
Pour marquer le coup le soir d’Halloween, Miami Bar Crawls organise à Brickell une nouvelle édition de son « barathon » Monster Bar Crawl, comprenez une tournée des bars du quartier (jeudi 31 octobre de 7pm à 12am). Le concept est simple : venir costumé afin de déguster une boisson dans différents établissements en suivant un itinéraire préalablement défini. À consommer avec modération. 900 S Miami Ave #250, Miami – Infos et réservation ici
Les plus sportifs d’entre nous pourront s’aligner au départ du Halloween Half Marathon de Miami Beach (samedi 26 octobre à 7am). Le coup d’envoi de ce semi-marathon costumé sera donné au South Pointe Park. Les moins endurants, quant à eux, pourront participer au Freaky 4-Miler, une course de plus de six kilomètres, dont le départ se situe au même endroit. 1 Washington Ave, Miami Beach – Infos et réservation ici
Le jour d’Halloween c’est aussi l’occasion pour les enfants de s’adonner à la traditionnelle collecte de friandises. À Coral Gables, pour Halloween On The Mile (jeudi 31 octobre de 3:30pm à 7pm), mini-sorcières et jeunes vampires pourront crier « des bonbons ou un sort » dans les différents magasins de Miracle Mile qui se prêteront au jeu du trick-or-treating. Plusieurs animations ainsi qu’un concours du meilleur déguisement sont annoncés. Miracle Mile, Coral Gables – Infos ici
Podcast Vino Vidi Vici, ép.6: Sandrine Gimon, une oenologue frenchie en Australie
Dans l’épisode 6 de Vino Vidi Vici, Stéphanie Cabre se téléporte dans le Sud de l’Australie, cette autre région du Nouveau-Monde qui monte. Conversation du bout du monde avec la française Sandrine Gimon, oenologue, installée depuis plus de 12 ans dans l’Etat de Victoria au sud-est du pays. Elle a travaillé pendant des années pour le grand domaine Rymill Coonawarra et vient de lancer son entreprise de conseil en oenologie : Wine Rage Consulting.
Au menu, entre deux verres de Shiraz : découverte du terroir australien, anecdotes personnelles, l’égalité hommes-femmes dans les métiers du vin, des arômes d’eucalyptus et des histoires de kangourous !
Ecoutez le podcast ci-dessous ou sur iTunes
Listen to “Episode 6: Sandrine Gimon, une oenologue frenchie en Australie” on Spreaker.
French Boss, épisode 14: Gary Bravard, co-fondateur d’Adore Me
French Boss enregistré en octobre 2019.
Gary Bravard n’avait pas 25 ans quand il a lancé avec Morgan Hermand-Waiche Adore Me, site de vente de lingerie féminine. Avec comme ambition rien de moins que de battre sur son terrain le mastodonte Victoria’s Secret. Huit ans plus tard, Adore Me a, avec quelques autres start-ups, révolutionné le secteur aux États-Unis. Et dépasse maintenant les 100 millions de dollars de chiffre d’affaires.
Listen to “Episode 14: Gary Bravard, co-fondateur de Adore Me” on Spreaker.
Voici les étoilés du guide Michelin 2020 pour New York
Le verdict est tombé. Le lundi 21 octobre, le guide Michelin a révélé sa liste 2020 des étoilés pour New York.
Comme pour l’édition 2019, il y a 76 restaurants étoilés à New York et le Westchester. La liste des Bib Gourmand, dédiés à des restaurants plus abordables dignes d’intérêt, comporte 133 noms. C’est la première fois que le Michelin, guide culinaire le plus ancien au monde, s’aventure dans le Westchester, au nord de la Grosse Pomme.
Les cinq “trois étoiles” de l’an dernier conservent leur rang: Le Bernardin (Eric Ripert), Chef’s Table at Brooklyn Fare (César Ramirez), Eleven Madison Park (Daniel Humm), Masa (Masa Takayama) et Per Se (Thomas Keller).
La cuisine française est bien représentée dans la catégorie “deux étoiles”: Jean-Georges, Daniel, Gabriel Kreuther et L’Atelier de Joël Robuchon obtiennent cette distinction, aux côtés de dix autres établissements. La catégorie compte deux nouveaux-venus: Atomix, qui avait une étoile en 2019, et Blue Hill at Stone Barns, le seul restaurant étoilé de Westchester.
Les nouveaux “une étoile” sont Benno, Crown Shy, Estela, The Four Horsemen, Odo, Oaxlis, Ukiyo, et Le Jardinier, le nouveau restaurant du chef Alain Verzeroli. Côté tables françaises, Ai Fiori, Bâtard, L’Appart et Le Coucou figurent aussi dans cette catégorie.
Quand certains gagnent une étoile, d’autres en perdent. Deux bi-étoilés de 2019 en ont perdu une (Marea et Sushi Ginza Onodera), tout comme huit “une étoile”. Dans cette catégorie désormais sans étoile, on trouve Café Boulud, l’un des restaurants de Daniel Boulud dans l’Upper East Side.
La liste complète
Trois étoiles
- Chef’s Table at Brooklyn Fare
- Eleven Madison Park
- Le Bernardin
- Masa
- Per Se
Deux étoiles
- Aquavit
- Aska
- Atera
- Atomix (NEW)
- Blanca
- Blue Hill at Stone Barns (NEW)
- Daniel
- Gabriel Kreuther
- Ichimura at Uchū
- Jean-Georges
- Jungsik
- Ko
- L’Atelier de Joël Robuchon
- The Modern
Une étoile
- Agern
- Ai Fiori
- Aldea
- Bar Uchū (currently closed)
- Bâtard
- Benno (NEW)
- Blue Hill
- Bouley at Home
- Carbone
- Casa Enrique
- Casa Mono
- Caviar Russe
- Claro
- The Clocktower
- Contra
- Cote
- Crown Shy (NEW)
- Del Posto
- Estela (NEW)
- The Finch
- The Four Horsemen (NEW)
- Gotham Bar and Grill
- Gramercy Tavern
- Hirohisa
- Jewel Bako
- Kajitsu
- Kanoyama
- Kosaka
- L’Appart
- Le Coucou
- Le Jardinier (NEW)
- Marea
- Meadowsweet
- The Musket Room
- Nix
- Noda
- NoMad
- Odo (NEW)
- Okuda
- Oxalis (NEW)
- Oxomoco
- Peter Luger
- The River Café
- Satsuki
- Sushi Amane
- Sushi Ginza Onodera
- Sushi Inoue
- Sushi Nakazawa
- Sushi Noz
- Sushi Yasuda
- Tempura Matsui
- Tuome
- Ukiyo (NEW, but currently closed)
- Uncle Boons
- Wallsé
- ZZ’s Clam Bar
Halloween: les meilleurs quartiers pour faire "trick-or-treat" à Los Angeles
“Trick or treat ?” Le 31 octobre, les rues de Los Angeles seront envahies par des mini-momies, des jeunes sorcières et des monstres en tout genre. Mais pour que la récolte soit bonne pour les petits, il faudra bien choisir le quartier où déambuler le soir d’Halloween. French Morning vous livre une sélection (non-exhaustive) des rues où aller récolter des friandises.
Sierra Madre
Ce quartier, situé à l’est de la ville (au-dessus de Pasadena), offre un décor pittoresque avec ses jolies maisons nichées dans les montagnes de San Gabriel. Depuis des années, Alegria street (entre Baldwin et Mountain Trail) est notamment réputée pour ses décorations à base de squelettes, toiles d’araignée et citrouilles sculptées. Le lieu parfait pour aller toquer aux portes et réclamer des bonbons.
Venice Beach Canals
Les canaux de Venice Beach (entre Dell et Venice Boulevard) sont une destination prisée pour Halloween. Profitant de la douceur du bord de mer, vous pourrez déambuler dans les ruelles étriquées, traverser les ponts pour admirer les décorations des maisons et des barques, avant de rencontrer les propriétaires en costume qui distribuent des friandises. Conséquence de ce succès : le stationnement est parfois difficile dans le secteur, vous risquez de tourner un moment avant de trouver une place de parking.
Windsor Square
De Wilshire à Beverly, d’Arden à Van Ness, ce quartier de Central LA est réputé pour être généreux à Halloween. Vous ne serez donc pas le seul à partir à la chasse aux bonbons dans ses rues. Alors pensez à rivaliser d’ingéniosité avec votre costume pour récolter un important butin.
Hill Drive à Eagle Rock
Les hipsters ont l’habitude de traîner du côté d’Eagle Rock. A Halloween, ce quartier de l’est de la ville mérite également le détour. Sur Hill Drive, les résidents font preuve de créativité pour décorer leurs demeures. Vous en prendrez plein les yeux (et les poches).
Toluka Lake
Jusqu’à sa mort, il y a plus de 15 ans, l’humoriste et acteur Bob Hope avait l’habitude d’offrir d’importantes quantités de chocolat et des jouets durant Halloween. Son héritage perdure, les habitants de Toluka Lake (dont de nombreux directeurs de film) poursuivant cet élan de générosité le 31 octobre. Sans compter que les maisons de ce quartier du nord de la ville sont proches les unes des autres et donc accessibles à pied. Il est recommandé de débuter sa quête de bonbons devant l’ancienne maison de Bob Hope, sur Ledge Avenue et Moorpark Street.
Cheviot Hills
Les enfants de Beverlywood et de Rancho Park (à l’ouest de Los Angeles) choisissent toujours de passer la soirée de Halloween à Cheviot Hills. Selon les locaux, une maison attire particulièrement les foules sur Motor Avenue (vous la reconnaîtrez aux foules qui s’entassent devant).
Angelino Heights
Quelle que soit la période, le quartier d’Angelino Heights (près de Downtown) donne la chair de poule avec ses maisons victoriennes centenaires. Et particulièrement, Douglas Street et Carroll Avenue (cette dernière héberge le fameux manoir des sœurs Halliwell de “Charmed”, ainsi que la maison du clip “Thriller” de Michael Jackson) qui offrent une toile de fond idéale pour la nuit de Halloween.
Beverly Hills
Dans la ville la plus connue de Los Angeles, il faudra se diriger vers Beverly Hills Flats (entre Sunset Boulevard et Santa Monica Blvd, Doheny et Whittier). Dans cette zone résidentielle, on trouve une maison sortie tout droit d’un film d’horreur, celle que l’on appelle la “Beverly Hills Witches House” (516 N. Walden), où les friandises coulent à flots.
Redondo Beach
Riviera Village, à Redondo Beach, organise chaque année une fête de quartier le 31 octobre. Tous les magasins s’investissent pour créer une destination amusante dès 4pm. Après avoir accumulé les friandises, vous pourrez dîner dans un des restaurants du quartier.