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France Cinéma Floride 2019: carton plein pour les comédies françaises à Miami

La grand-messe du cinéma français revient à Miami. France Cinéma Floride reprend ses quartiers au Tower Theater de Little Havana où pas moins de sept productions françaises, dont cinq comédies, seront projetées du vendredi 1er au dimanche 3 novembre.
La quatorzième édition de cet événement cinématographique qui met à l’honneur les films qui ont fait parler d’eux en France s’ouvrira avec « Le Dindon » (vendredi 1er novembre à 7:10pm), une adaptation de la pièce de théâtre éponyme de Georges Feydeau. Pour donner vie sur grand écran à ce classique du théâtre de boulevard, le réalisateur Jalil Lespert a fait appel aux acteurs Dany Boon et Guillaume Gallienne. “Ce film donne le ton et la couleur du festival”, indique le producteur français Patrick Gimenez.
Dans cette programmation qui fait la part belle aux comédies françaises s’ajoute « Beaux-parents » (samedi 2 novembre à 5pm) un vaudeville familial dans lequel Josiane Balasko et Didier Bourdon, réunis pour la première fois à l’écran, tentent de sauver le couple de leur fille. Christian Clavier, quant à lui, tient le rôle principal du film « Ibiza » (dimanche 3 novembre à 3pm) aux côtés de Mathilde Seigner. Le comédien de la troupe du Splendid figure également à l’affiche de « Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu ? » (dimanche 3 novembre à 4:45pm) qui signe le retour de la famille Verneuil au grand complet. « Le premier opus avait fait salle comble à Miami, se souvient Patrick Gimenez. C’est donc tout naturellement que je propose la suite à mon public. Avec actuellement près de sept millions d’entrées, c’est aussi une valeur sûre ».
Et pour satisfaire tous les goûts, le polar sombre « Persona non grata » (samedi 2 novembre à 3pm) du réalisateur Roschdy Zem, dans lequel il joue aux côtés de Nicolas Duvauchelle, sera également projeté. Les amoureux du septième art français pourront par ailleurs découvrir le film dramatique « Au nom de la terre » (samedi 2 novembre à 6:40pm) qui décrit la détresse d’un agriculteur incarné par Guillaume Canet. « C’est un vrai coup de coeur qui m’a beaucoup ému, je suis même sorti de la salle les larmes aux yeux, confie Patrick Gimenez. Guillaume Canet crève l’écran et j’en suis convaincu : il est en route pour les César ».
Le clap de fin sera donné avec « La Vérité si je mens ! Les débuts » (dimanche 3 novembre à 7:10pm) qui narre les origines de la trilogie comique commencée sur grand écran en 1997. « Le casting a été renouvelé mais les scénaristes sont restés les mêmes alors forcément nous retrouvons de nombreux gags qui font toujours autant rire, souligne Patrick Gimenez. C’est aussi très agréable de replonger au coeur des années 1980 et de se remémorer sa jeunesse ».

Babeth's Feast ferme ses portes

L’aventure de Babeth’s Feast se termine. La marque de produits surgelés, souvent comparée à Picard Surgelés, a annoncé, vendredi 11 octobre, la fermeture de son site et de ses magasins. “Le concept a été bien accueilli par les clients, mais d’un point de vue financier, c’est un poids énorme pour un seul investisseur“, précise Frank Matz, le PDG de Babeth’s Feast.
L’enseigne avait été lancée en 2014 par Elisabeth de Kergorlay, investisseur dans Le Pain Quotidien, et proposait des surgelés haut-de-gamme de plats français. Elle comptait deux magasins, dans l’Upper East et l’Upper West Side de Manhattan. Frank Matz précise que la société a été vendue à Wild Fork Foods, une chaine de surgelés axée sur la viande. Basée à Miami, elle prévoit d’ouvrir plusieurs magasins sur la Côte Est et continuera de vendre les produits les plus populaires de Babeth’s Feast. “Ils étaient intéressés par notre expertise“, souligne Frank Matz. Pour ce dernier, la fermeture de Babeth’s Feast ne veut pas dire que le marché du surgelé de qualité n’a pas d’avenir aux Etats-Unis. “C’est triste que le nom disparaisse, mais l’acquisition par Wild Fork Foods, qui possède des magasins gigantesques et a une perspective de croissance, valide l’idée initiale de Babeth’s Feast. Ils vont vendre les produits à un prix plus bas. Ils peuvent se le permettre car ils ne sont pas à Manhattan“.

Le Marché de Noël de Strasbourg s'invite à New York en décembre

Noël a deux capitales: New York et Strasbourg. Les deux se rencontreront en décembre. Les villes de Strasbourg, Mulhouse, Colmar et la région Alsace organisent leur premier marché de Noël de Strasbourg-Alsace du 6 au 22 décembre à Bowling Green Park (sud de Manhattan). Fondé en 1570, le marché de Strasbourg, le plus vieux de ce genre en France, s’installe donc dans le plus vieux parc new-yorkais pour les Fêtes, note le communiqué de presse.
Une illumination de sapin, décoré d’objets faits à la main, donnera le coup d’envoi des festivités le jeudi 5 décembre de 5pm à 8pm. Dans la pure tradition strasbourgeoise, trente chalets importés d’Alsace abriteront des étals de produits alsaciens (poterie, objets pour la maison…). Les gourmands ne seront pas en reste. Ils pourront faire le plein de foie gras, bredele (petits gâteaux alsaciens), choucroute et tartes flambées, sur fond de chants de Noël.
New York n’est pas la première destination internationale pour l’illustre marché, qui attire chaque année deux millions de curieux. Il est aussi passé par Tokyo, Moscou, Pékin, Taipei et Séoul. En juin, le conseil municipal de Strasbourg a versé une subvention de 66.660 euros à l’office du tourisme local pour financer le projet. L’Eurométropole de Strasbourg (EMS) a elle aussi mis la main à la poche à hauteur de 133.340 euros.

À Salem, entre sorcières et maisons hantées

L’approche d’Halloween est marquée aux Etats-Unis par des traditions immuables. Jack-o-lanterns et autres décorations macabres peuplent les jardins, porches et fenêtres. Les enfants préparent leurs costumes pour être prêts, le jour d’Halloween (31 octobre), à collecter des bonbons de porte à porte.

Et pour quelques centaines de milliers d’Américains, il est aussi rituel de visiter Salem, ville portuaire du Massachusetts, où la célébration d’Halloween s’étend sur un mois. Selon l’organisation Destination Salem, plus de 500 000 personnes visitent Salem pendant le seul mois d’octobre, autant que pendant les autres 11 mois de l’année.

La ville de Salem, Massachusetts est connue avant tout pour un épisode tristement célèbre de l’époque coloniale américaine : le procès des sorcières de Salem. En 1692 et 1693, les autorités puritaines locales accusaient de sorcellerie plus de 200 habitants de la région. Au terme de nombreux emprisonnements et procès, dix-neuf des accusés (14 femmes et 5 hommes) étaient pendus publiquement. Un autre était lui condamné à la “peine forte et dure”, qui consistait à torturer et tuer l’accusé en l’écrasant progressivement avec de grosses pierres. Restée depuis dans l’histoire et dans l’imaginaire collectif comme la “ville des sorcières” (“Witch City”), Salem est devenue au XXe siècle une destination de choix pour Halloween.

Spectacles, foires et maisons hantées

Depuis 1982, la ville de Salem accueille pendant tout le mois d’octobre un grand festival appelé Haunted Happenings. Chaque jour, la ville est animée par de très nombreux événements, dont une série de projections de films d’horreur, concerts et lectures sous la houlette de Salem Horror Fest. En parallèle, a lieu une foire dédiée à la voyance et à la sorcellerie, The Salem Psychic Fair & Witches’ Market, et le Festival of the Dead, pendant lequel on peut apprendre entre autre à communiquer avec les morts ou simplement dîner avec eux. Le Festival of the Dead s’achève chaque année avec un grand bal masqué à l’hôtel Hawthorne, et un grand feu d’artifice clôture Haunted Happening le 31 octobre, jour de Halloween.

De nombreuses autres activités sont proposées aux visiteurs de tout âge dans les rues du centre-ville et dans le Haunted Neighborhood (quartier hanté) sur Derby Street et Liberty Street. S’y trouve notamment le Salem Wax Museum et la maison hantée Frankenstein Castle, une des attractions favorites des enfants. Des visites guidées sont aussi organisées de nuit pour partir à la découverte de l’histoire de la ville et de ses recoins les plus effrayants. Les plus populaires sont le Candlelit Ghostly Walking Tour, le Voodoo, Vampires and Ghosts Tour, et le Haunted Footsteps Ghost Tour.

Côté culture

Salem recèle aussi plusieurs musées retraçant son histoire et les fameux procès de sorcières. Le plus visité de ces musées, le Salem Witch Museum, n’est en fait pas le plus intéressant. Impressionnant de l’extérieur, ce bâtiment pseudo-gothique aux vitraux rouges déçoit par son contenu ; il présente simplement l’histoire des procès à travers un spectacle de 45 minutes figurant des mannequins de cire.

Mieux vaut se rendre directement à la Witch House, qui est la seule maison de Salem ayant un lien direct avec les fameux procès de sorcières. Construite entre 1620 et 1642, cette austère maison de bois n’appartenait pas à l’une des “sorcières” — comme son nom le laisse penser —, mais à Jonathan Corwin, l’un des juges les ayant condamnées. C’est aujourd’hui un musée où sont conservés mobilier et objets de l’époque coloniale. On y apprend beaucoup sur la vie quotidienne des colons puritains, ainsi que sur les croyances qui ont les conduits à accuser de sorcellerie certains habitants de la région.

Une autre maison coloniale, remarquable pour son architecture, intéressera aussi les amateurs de littérature et de théâtre. Il s’agit de la House of the Seven Gables, qui borde le port de Salem. Cet hôtel particulier construit en 1668 a inspiré le roman gothique de Nathaniel Hawthorne publié en 1851 et lui-même titré The House of the Seven Gables (La Maison aux sept pignons). On peut aujourd’hui visiter la maison et ses dépendances pour en apprendre plus sur Hawthorne, son œuvre et son temps. Pendant tout le mois d’octobre, y sont présentées deux courtes pièces de théâtre, l’une basée sur La Maison aux sept pignons, l’autre sur la vie de John Hathorne, l’un des juges ayant condamné les “sorcières” et arrière-grand-père de Nathaniel Hawthorne.

Nous recommandons aussi à tous ceux qui s’intéressent à l’art de visiter le Peabody Essex Museum (PEM), même si celui-ci ne présente aucune exposition liée aux procès des sorcières ou à Halloween. Ce grand musée d’art est renommé pour ses collections d’art américain de l’époque coloniale à aujourd’hui, ainsi que d’art asiatique. Y sont aussi organisées d’excellentes expositions temporaires.

Comment s’y rendre

Située à 24 km au nord de Boston, Salem est facilement accessible par la route depuis la capitale du Massachusetts. Il est aussi possible de s’y rendre en train, au départ de North Station à Boston. Mais le moyen le plus amusant de voyager entre Boston et Salem est le ferry au départ de Long Wharf, en service jusqu’au 31 octobre.

Gagnez 2 billets pour le concert de Zaz à Oakland le 13 octobre

Fans de Zaz, nous vous avons entendus. L’artiste française sera de passage à Oakland le 13 octobre 2019, et devinez quoi ? French Morning organise un tirage au sort pour vous faire gagner deux billets gratuits.
Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le tirage au sort aura lieu le 9 octobre. Alors croisez les doigts, et répétez vos chansons préférées pour peut-être les chanter à tue-tête le jour du concert…
Bonne chance à tous !
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Francosonic: la musique contemporaine française à l'honneur à Houston

Les travaux de cinq compositeurs contemporains français seront à l’honneur à Houston. Le vendredi 18 octobre, l’ensemble musical à succès Musiqa présentera “Francosonic” au Midtown Arts & Theater Center.
Au programme: des oeuvres de Raphaèle Biston (la première mondiale de “Repercussions”, commissionnée par Musiqa), du compositeur de l’année aux Victoires de la musique classique 2019 Guillaume Connesson (“Songs of Agartha”), de Marc-André Dalvabie (“Palimpseste”), Betsy Jolas (“Trio sopra ‘et sola facta'”) et Luis Naon (“Alto Voltango”). Une installation de lumière-son proposée par l’artiste français de Houston Olivier Modr sera visible pendant le concert.

La crêpe-tacos de Soraya Spencer fait son entrée à Dallas

La cheffe Soraya Spencer a décidé de mettre un classique français à la sauce texane. La propriétaire du restaurant Gather Kitchen à Dallas lance la crêpe-tacos. « Mon but est de prendre des classiques, de les revisiter pour en faire des mets sains, simples et accessibles tout en gardant le goût et l’intégrité de chaque plat », explique t-elle.
Après trente essais, le succès de sa crêpe-hybride ne s’est pas fait attendre. Elle travaille ainsi sur l’élaboration d’une farce pour la dinde de novembre avec des ingrédients franco-américains, essentiellement des herbes et des légumes. « Je veux réveiller les sens. Manger doit être excitant. C’est un challenge de casser les barrières et essayer de développer le palais des gens », commente-t-elle.
Algérienne, Soraya Spencer a grandi dans les cuisines des restaurants de son père. Elle opte pourtant de partir à 19 ans pour la France, et reste deux ans à l’université de médecine à Montpellier. A la suite de problèmes familiaux, elle abandonne ses études et bifurque vers la restauration en intégrant l’Institut Paul Bocuse.
En 2010, elle part à Shanghai où elle participe à l’ouverture de Lyon Brasserie pour la World Expo, premier restaurant école française, en partenariat avec Paul Bocuse. Puis, elle s’envole pour Hong Kong où elle est embauchée par Dining Concept, un conglomérat de restaurants réputé pour ses chefs de renommée mondiale, notamment le Britannique Gordon Ramsay.
Elle rejoint ensuite Aquagroup, grand groupe de restauration basé entre Londres et Hong Kong. Là, elle s’occupe de leur brasserie française mais s’ennuie et décide de rallier Maximal Concepts, nouvelle entreprise dans ce secteur, et participe au lancement de trois établissements (Mott32, Stockton et Fusion Meat), devenus célèbres dans la péninsule chinoise. L’aventure asiatique prend fin avec la rencontre de son mari américain qu’elle suit à Dallas. Elle étudie au Cordon Bleu pour obtenir un certificat culinaire et approfondir ses connaissances.
Installée depuis cinq ans au Texas, la jeune trentenaire veut continuer à innover. Son activité traiteur lui permet entre autre d’exercer sa cuisine créative. «Ma culture méditerranéenne, mes voyages en Asie sont mes sources d’inspiration. Ma ligne de conduite est de jouer avec les ingrédients. Pour cela, je me ressource chaque année en Europe. Je suis toujours à la recherche d’émotions nouvelles ». Son ambition: développer son enseigne à Austin, Houston et San Antonio d’ici à cinq ans.

La Soirée 2019: les tickets sont en vente

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C’est le grand événement franco-américain de la Baie (en dehors de Bastille Day bien sûr). La Soirée de la Chambre de commerce franco-américaine de San Francisco fait son retour le 8 novembre. Les tickets sont en vente.
Cette 38ème édition du gala de la Chambre aura lieu à la Mairie de San Francisco. Au menu: un espace de plus de quarante exposants, qui proposeront de bons petits plats, un concours de vin, un dîner VIP préparé par le chef français Claude Le Tohic (One65) et une légendaire soirée dansante avec DJ et open bar. La Soirée permet de lever des fonds pour soutenir les programmes de la Chambre de commerce.

Réunion publique avec le député Roland Lescure à New York

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Le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure est de passage à New York. Il tiendra une réunion publique le mardi 15 octobre à Chelsea.
L’élu fera le bilan des deux premières années de son mandat et celui d’Emmanuel Macron. Elu en juin 2017, Roland Lescure est président de la Commission des Affaires Économiques et rapporteur général de la loi PACTE (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises). Il profitera de la rencontre pour faire le point sur les chantiers de “l’acte II” du quinquennat, après la crise des Gilets jaunes.

Les meilleurs flans pâtissiers de New York

Hérité des Anglais au XIVème siècle qui l’appellent la “custard tart”, le flan pâtissier est devenu au fil des années l’une des pâtisseries les plus célèbres de l’Hexagone. Composé d’une pâte brisée et d’une crème pâtissière onctueuse à base d’oeufs, de lait, de crème, de sucre, de maïzena et de vanille, le flan pâtissier manque aux plus gourmands d’entre nous. Bonne nouvelle, voici où en trouver à New York.
Miss Madeleine


Pour un flan pâtissier traditionnel comme on l’aime en France, direction Miss Madeleine, la petite boulangerie de Peggy et Gérald Huteau située dans l’Upper East Side. “C’est la recette de ma grand-mère que j’ai apprise en Bretagne”, explique Peggy Huteau. Pour la boulangère, un bon flan pâtissier doit se faire “avec du vrai beurre et sans ajout d’additifs ni de conservateur”. Comptez 4,5$ la part (très) généreuse, disponible toute l’année en boutique ou en commande sur leur site. Miss Madeleine, 400 E 82nd St, (646) 896-1227. 
Epicerie Boulud


La boulangerie du célèbre chef français Daniel Boulud sert également un délicieux flan pâtissier au bon goût de vanille. Sa texture est surprenante avec une crème pâtissière assez molle, mais qui se marie parfaitement avec sa pâte brisée croustillante. Comptez 6$ la part énorme qu’on peut facilement partager à deux. Disponible seulement à l’automne et en hiver dans l’un de leurs trois établissements à Manhattan. Epicerie Boulud Lincoln Center, 1900 Broadway, (212) 595-9606; Epicerie Boulud World Trade Center, 185 Greenwich St LL 4000, (212) 595-9605; Epicerie Boulud The Plaza Food Hall, 1 W 59th St, (212) 933-5330.
Cannelle Pâtisserie


Cannelle Pâtisserie a choisi le pari de l’originalité. La boulangerie, qui dispose de deux établissements à Jackson Heights et Long Island City à Queens, propose un flan découpé en parts rectangulaires revisité avec une pâte feuilletée et une garniture aux fruits de la passion (disponible également à la cerise). On recommande vivement ce flan fruité présenté à 4$ la part. Cannelle LIC, 5-11 47th Ave, (718) 937-8500; Cannelle Patisserie, 7559 31st Ave, (718) 565-6200.
Eclair Bakery


A la différence des autres flans de cette liste, le flan pâtissier d’Eclair Bakery se présente sous forme d’une petite tarte individuelle. Il contient par conséquent plus de pâte brisée et moins de crème pâtissière, ce qui donne à l’ensemble un côté léger et plus équilibré. Comptez 5,75$ la tarte dans cette boulangerie située à Midtown East. Eclair Bakery, 305 E 53rd St, (212) 371-3459.
Financier Pâtisserie


Cela fait 17 ans que Financier Pâtisserie prépare le même flan à New York “à partir d’une recette traditionnelle apprise à Paris en 1974″, explique le chef boulanger Eric Bedoucha. La part, découpée en rectangle, vous coûtera 4,25$. Disponible dans l’une des cinq boulangeries de la chaîne à Manhattan. Financier Patisserie.
Le District


Vous retrouverez également un flan pâtissier au District, préparé par le chef boulanger de Financier Pâtisserie. Comptez 5,25$ la part. Le Cafe District, 225 Liberty Street, (212) 981-8588.
Joey Bats Café

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Thank you! #Repost @onthemoveforfood ・・・ Pastéis de Nata always bring me happy memories of family outings and childhood treats due to the very similar Chinese equivalent of 蛋挞 (danta). The pastéis at @joeybatscafe are no exception with their hot out the oven gooey custard cores and their flakey buttery crusts. Also, while the cinnamon and powdered sugar topping isn’t something I grew up with, it’s a ? ? ? addition. #sweettreats . . . . #nycfoodie #joeybatscafe #pasteisdenata #pastry #desserttable #nycdessert #yolkporn #蛋挞 #baltimorefoodies #deliciously #foodies #eatup #foodporn #comfortfood #dineanddash #yumyumyum #foodphotography #yum #eatmore #eatgoodfeelgood #foodlover #baltimore #mybmore #eater #eatfamous #food #forkyeah #zipkick @infatuation @zagat @beautifulcuisines @thrillist

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Au-delà de l’Angleterre, le Portugal aussi a sa version du flan pâtissier. Appelée “pastel de nata”, cette pâtisserie prend la forme d’une petite tartelette individuelle à la pâte feuilletée et fourrée à la crème pâtissière. On en trouve à New York dans la boulangerie Joey Bats Café dans le Lower East Side. Comptez 3$ l’unité pour un résultat très proche du flan pâtissier français. Joey Bats Café, 127 Allen St, (212) 519-2289.

Bienvenue à nos 125 nouveaux actionnaires !

Une fois de plus, la communauté des lecteurs de French Morning a été au rendez-vous. Notre dernière campagne de levée de fonds, en “equity crowdfunding” a permis à 125 actionnaires de nous rejoindre.
Au total, nous avons levé près de 100.000 dollars, soit deux fois le minimum nécessaire pour confirmer la campagne. La moyenne des investissements s’élève à 750 dollars, mais les contributions sont très variées: de 105$ -le minimum requis- à 25.000$. Toute l’équipe de French Morning Media Group adresse un grand merci à tous.
Ces nouveaux investisseurs sont principalement basés aux Etats-Unis (à 84%), mais on en compte une dizaine au Royaume-Uni et cinq au Québec, fruits de notre récente implantation à Londres et Montréal. Sur le territoire américain, c’est la Californie qui remporte la palme, avec 20 investisseurs, devant la Floride et New York à égalité (15 chacun).
Notre objectif initial était de 200.000 dollars. Nous allons donc continuer l’effort, hors crowdfunding, auprès de”business angels”, tout en commençant à préparer notre lancement en Asie, but de cette campagne. De ce point de vue, les évènements à Hong Kong nous obligent notamment à réviser les plans initiaux, mais nous visons toujours une première ouverture sur le continent asiatique au cours de l’année 2020, tout en continuant de développer les éditions de Montréal et Londres, lancées à la suite de la précédente opération de crowdfunding, il y a deux ans.

Éducation : chassez les fantômes en mode bilingue

(Article partenaire) Halloween approche à grands pas. Pour l’occasion, l’App Maternelle Montessori se laisse envahir par de sympathiques fantômes, que vos enfants prendront plaisir à chasser. A partir de cette activité, ils pourront bénéficier de tous les bienfaits éducatifs de ce programme conçu pour les 3-8 ans.
À l’origine de l’application, il y a des enseignantes Montessori, raconte Sylvain Lumbroso, un des fondateurs d’Edoki Academy. Comme dans une école Montessori, tout est fait pour que les enfants apprennent, en l’occurrence les maths, le français, l’anglais et le mandarin, grâce à des activités ludiques.
L’enfant se promène dans l’App, comme il le ferait dans une école, passant des salles de classe à la cantine, au jardin ou à la bibliothèque. Tout est interactif : les légumes poussent dans le potager, la cuisinière prépare des plats avec les ingrédients qu’on lui tend, on nourrit le poisson ou le hamster… L’enfant peut aussi passer du temps dans les “ateliers de créativité”, où il apprend par exemple à concevoir ses premiers algorithmes. Chaque mois, de nouvelles activités sont ajoutées dans l’application.

La Maternelle Montessori compte déjà plus de 200 000 utilisateurs. Ils l’ont adoptée pour mettre à profit le temps d’écran de leurs enfants. C’est l’application à télécharger d’urgence pour que les enfants progressent rapidement. Elle est idéale pour accompagner vos trajets notamment. La Maternelle Montessori maintient les enfants concentrés et leur permet de faire des progrès en s’amusant.
Un seul abonnement permet à toute la famille d’accéder à l’application sur tous les appareils disponibles, smartphones ou tablettes (Apple, Android, Amazon).
Et bonne nouvelle pour les lecteurs de French Morning : vous pouvez bénéficier d’une réduction de 50% sur la formule d’abonnement et d’une période d’essai gratuite pour tester l’App.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.