L’Alliance Française de San Francisco fête ses 130 ans cette année… tout comme la Tour Eiffel. Pour l’occasion, une soirée est organisée jeudi 17 octobre à l’Autodesk Gallery, près d’Embarcadero Plaza.
L’Alliance Française a initialement été créée en 1883 par un groupe comprenant des personnalités comme Jules Verne et Louis Pasteur pour développer la langue et la culture française à l’étranger. En 1889, année où la construction de la Tour Eiffel à été terminée, l’organisation s’est installée pour la première fois aux États-Unis, à San Francisco.
Jeudi 17 octobre, les convives (ils devront être majeurs) pourront profiter de l’open bar et de la musique du groupe Rue 66 et des chanteurs du programme Adler Fellows du San Francisco Opera. Un buffet et des assiettes de charcuterie et de fromage sont au menu.
L'Alliance Française de San Francisco célèbre son 130ème anniversaire
Pourquoi les lignes électriques ne sont-elles toujours pas enfouies en Californie ?
Le noir total. Dès mardi 8 octobre, le courant a été coupé dans des centaines de milliers de foyers en Californie du Nord. Des coupures préventives en raison des feux de forêt, réalisées par l’opérateur privé Pacific Gas & Electric (PG&E), qui fournit en électricité 5,4 millions de clients du Golden State.
Comme on pouvait s’y attendre, cette mesure a entraîné une vague de critiques. Le gouverneur de Californie Gavin Newsom insiste notamment pour que ces mesures ne deviennent pas “la nouvelle norme”, reprochant à l’opérateur de ne pas avoir investi dans la modernisation de son réseau.
Pourquoi ne pas avoir enterré les lignes électriques (et notamment celles sujettes aux incendies) ? “C’est la réponse la plus logique et la plus sûre”, selon un éditorial de Slate. En effet, PG&E va le faire dans la ville de Paradise, ravagée par un incendie en 2018.
Certains avancent la crainte du Big One, le fameux tremblement de terre qui détruirait une partie de la Californie. Que nenni. La raison principale est son coût. Comme le notait le PG&E sur son site, l’installation de lignes électriques souterraines coûte au minimum 3 millions de dollars par mile (contre 800.000 dollars par mile pour des lignes aériennes). Et un rapport de l’Edison Electric Institute, intitulé “Out of Sight, Out of Mind, An Updated Study on the Undergrounding of Overhead Power Lines”, va plus loin, évoquant 5 millions de dollars par mile en zone urbaine. Les travaux nécessaires coûtent cher: creuser des tranchées, repaver les routes, prendre en compte les risques environnementaux dans l’installation…
Les compagnies électriques californiennes ne peuvent pas financer de tels investissements. Encore moins PG&E qui a déposé son bilan en janvier, ses équipements étant accusés d’être responsables de l’incendie baptisé “Camp Fire”, rappelle le New York Times. Seule solution : faire participer le contribuable. La California Public Utilities Commission (CPUC) estime que les résidents d’un quartier qui veulent des lignes électriques souterraines mettent la main à la poche eux-mêmes, en grande partie. Mais ce programme ne donne pas la priorité aux lignes situées dans les zones à risque élevé d’incendie, ce que veulent changer des résidents de Malibu et Rancho Palo Verde, rapporte The Desert Sun.
Le refus d’enterrer les lignes répond également à une question de temps : selon la CPUC, citée dans USA Today, il faudrait plus de 1 000 ans pour enterrer toutes les lignes. En effet, la Californie compte 25 526 miles (41 080 km) de lignes électriques à haute tension et 239 557 miles (385 529 km) de lignes de distribution ; et moins de 100 miles (161 km) de ligne peuvent être enterrées chaque année.
“Les préoccupations environnementales seraient également élevées si des milliers de kilomètres de tranchées étaient creusées dans des forêts ou des zones rurales”, expliquait Severin Borenstein, économiste expert en politique énergétique à Desert Sun. Pour lui, l’enfouissement des lignes pourrait avoir des points négatifs : les animaux peuvent mâcher les lignes et la foudre peut court-circuiter les connexions au sol. Une explication que reprend la société PG&E qui estime que “les lignes souterraines ne sont pas à l’abri des intempéries et sont vulnérables aux éclairs, inondations, tremblements de terre et aux dommages causés par les travaux de terrassement”. Sans compter que “les réparations sous terre prennent plus de temps”. La société préfère donc miser sur des coupures de courant préventives.
Elles Project, les entrepreneuses francophones s'entraident à Miami
Initiée à Miami par deux Françaises dans la finance, Laurence Verriez et Mylène Carreres, l’organisation à but non lucratif Elles Project a pour mission de mettre en réseau et fédérer les femmes entrepreneuses de la communauté francophone.
« L’aventure entrepreneuriale peut être semée d’embûches et les périodes de doute sont inévitables », indique Laurence Verriez, installée depuis plus de vingt ans aux États-Unis, qui s’est lancée en 2016 dans le monde de l’entrepreneuriat. « J’ai eu la chance d’être bien entourée par des personnes qui m’ont apporté un soutien moral et de nombreux conseils me permettant ainsi de mener à bien mon projet », raconte la jeune quadra qui souhaite aujourd’hui reproduire ce cercle d’amies à plus grande échelle.
Après plusieurs mois de réflexion et épaulées par plusieurs amies, Laurence Verriez et Mylène Carreres, elle aussi jeune entrepreneuse, ont lancé Elles Project, une organisation à destination d’un public exclusivement féminin. « Entre femmes, nous sommes bienveillantes, souligne la co-fondatrice. Il est primordial de se soutenir mutuellement car une femme seule a du pouvoir mais collectivement nous avons de l’impact ».
L’organisation, qui repose sur le volontariat, veut rassembler les entrepreneuses francophones de Miami autour de rendez-vous divers: des tables-rondes, des rencontres d’affaires, ainsi que des conférences menées par des femmes venant partager un témoignage sur leur parcours professionnel. « Chacune peut alors partager son expérience afin que les autres s’en inspirent et ainsi prospérent ».
Elles Project entend par ailleurs organiser des soirées à thème mensuelles pour permettre à ses membres d’échanger dans une ambiance conviviale. L’organisation souhaite également mener régulièrement des actions humanitaires. « Nous sommes là pour épauler nos membres mais aussi pour venir en aide à ceux qui en ont également besoin », explique Laurence Verriez qui prévoit ainsi de participer à des opérations de nettoyage de plages ou encore de participer à des courses caritatives. « Cela permet également de souder notre groupe et d’apprendre à mieux nous connaître »
Pour rejoindre ce réseau dynamique, qui compte d’ores-et-déjà plus d’une vingtaine de membres, chacune des entrepreneuses francophones peut souscrire à un abonnement mensuel fonctionnant actuellement sur le principe du parrainage. « Nous souhaitons miser sur une organisation qualitative plutôt que quantitative, insiste la co-fondatrice. Il est important de rassembler des femmes qui se connaissent et qui ont envie de développer un projet tout en donnant un peu de leur temps ».
La nouvelle saison de NBA est plus excitante que jamais. Mode d'emploi.
Cela fait quatre mois que les fans de basket attendent ça. La NBA version 2019-2020 reprendra ses droits le 22 octobre. Voici cinq raisons de suivre cette nouvelle saison qui s’annonce plus excitante que jamais.
Une ligue enfin équilibrée
Après cinq ans de règne sur la ligue (cinq finales d’affilée dont quatre victoires), la “dream team” des Golden State Warriors s’est disloquée cet été avec le départ de la star Kevin Durant vers les Brooklyn Nets. Beaucoup de joueurs vedettes l’ont imité en changeant également de club, ce qui rend la ligue plus ouverte que jamais. Parmi les mouvements les plus notables, Kyrie Irving a rejoint Kevin Durant à Brooklyn, l’ailier Anthony Davis a quitté les Pelicans pour les Los Angeles Lakers de LeBron James. Le récent MVP des playoffs avec Toronto Kawhi Leonard s’est engagé avec les Los Angeles Clippers tout comme Paul George, et Russell Westbrook s’est envolé vers Houston Rockets où il sera associé à James Harden. Toutes ces équipes, mise à part Brooklyn où Kevin Durant est blessé pour plusieurs mois, peuvent rêver d’un titre de champion dès cette année. Il ne faudra pas non plus enterrer Golden State qui garde une équipe redoutable notamment grâce à ses shooteurs Stephen Curry et Klay Thompson. D’autres équipes pourraient également créer la surprise comme les Milwaukee Bucks, les Utah Jazz, et les Philadelphia Sixers.
Un coude à coude à Los Angeles
Parmi tous les favoris évoqués, les deux équipes de Los Angeles se livreront une bataille de titans. Outre la star Anthony Davis, les Lakers ont recruté ”malin” en récupérant l’expérimenté ailier et récent champion NBA avec les Toronto Raptors Danny Green, l’ancien pivot des Wizards Dwight Howard et l’ancien meneur de Memphis Avery Bradley. De leur côté, les Clippers ont tout simplement recruté le meilleur joueur de la ligue Kawhi Leonard, et le deuxième meilleur marqueur de la saison dernière Paul George (28 points de moyenne par match).
Le retour de New York sur le devant de la scène
Il faut respectivement remonter à 17 et 21 ans pour retrouver la trace d’une finale NBA jouée par les Nets et les Knicks. Les premiers devraient aller en playoffs cette année et pourquoi pas se hisser jusqu’en finale de conférence. Ils seront des candidats sérieux au titre de champion dans deux ans avec le retour de Kevin Durant sur les parquets après sa blessure. Pour les Knicks, il est l’heure de la reconstruction après avoir terminé à la dernière place de la ligue la saison passée. Mais la nouvelle équipe a montré de belles choses en match de pré-saison, notamment portée par le tout jeune rookie R.J. Barrett, troisième choix de la draft cet été, et par le vétéran Marcus Morris, arrivé en provenance de Boston.
Des “rookies” déjà très attendus
Zion Williamson est déjà comparé aux meilleurs comme LeBron James et Michael Jordan. Ce monstre physique (2,01m pour 129kg) a été recruté au premier choix de la draft universitaire le 20 juin par les New Orleans Pelicans. Déjà affuté, le jeune ailier enchaîne les dunks et les matches de haut niveau en pré-saison. Il sera attendu au tournant pour ses débuts en match officiel le 22 octobre face aux Raptors. L’ancien coéquipier de Zion Williamson à Duke R.J. Barrett est également déjà très bon en matches de pré-saison avec les New York Knicks. Recruté au troisième choix de la draft, le Canadien aura la lourde tâche de redonner des couleurs à une équipe à la dérive l’année dernière. A suivre également, la première saison de Ja Morant (Memphis Grizzlies), Cobby White (Chicago Bulls), et de Michael Porter Jr (Denver Nuggets).
11 Français aux statuts divers
Auteurs d’une belle coupe du monde avec l’Equipe de France en septembre (3ème place), Rudy Gobert (Utah Jazz), Evan Fournier (Orlando Magic) et Nicolas Batum (Charlotte Hornets) devront confirmer cette saison leur statut de cadre avec leurs équipes respectives. Frank Ntilikina essaiera quant à lui de s’imposer enfin chez les New York Knicks après deux premières saisons en demi-teinte. Le pivot Ian Mahinmi espérera gratter plus de temps de jeu avec les Washington Wizards. Enfin, des petits nouveaux tenteront également de faire leur trou : Sekou Doumbouya aux Detroit Pistons, Jaylen Hoard aux Portland Trail Blazers, Vincent Poirier aux Boston Celtics, William Howard aux Utah Jazz, Adam Mokoka aux Chicago Bulls et Elie Okobo dont ce sera la deuxième saison avec les Phoenix Suns.
Gilles Epié prend la tête des fourneaux du Montage Beverly Hills
Au Montage Beverly Hills, l’été fut placé sous le signe de la gastronomie française avec le restaurant pop-up “Summer of Ludo & Gilles”, mené tambour battant par les chefs Ludo Lefebvre et Gilles Epié. “Il s’est terminé dimanche 6 octobre, ça a très bien marché”, affirme Gilles Epié, qui a débarqué à Los Angeles il y a six mois. Au vu du succès, l’établissement a proposé à ce chef nantais de continuer seul, le restaurant devenant Gilles @ Montage Beverly Hills le mercredi 9 octobre.
Dans le même esprit que le pop-up estival, le plus jeune chef étoilé français propose “une cuisine de saison, avec des plats classiques de la gastronomie française”. A la carte, on trouve notamment une soupe à l’oignon, une salade niçoise, un filet mignon au poivre ou une sole meunière. Après avoir “amélioré la qualité du menu”, Gilles Epié annonce que le décor du restaurant de Beverly Hills sera renouvelé dans quelques semaines.
Le concept devrait être dupliqué dans d’autres restaurants du groupe. “Une douzaine d’ouvertures sont annoncées dans les prochaines années, c’est un gros challenge à venir”, se réjouit le chef nantais qui a dirigé la cuisine de L’Orangerie, l’un des plus prestigieux restaurants de Los Angeles il y a quelques années. Après un détour par Juvia à Miami Beach, il va cuisiner pour une clientèle de célébrités dans cet établissement réputé de Beverly Hills.
"The Lazy Frenchie in LA": les lieux instagrammables préférés d'Aurélie Hagen dans un guide
Contrairement à ce que laisse penser son blaze, The Lazy Frenchie est une exploratrice, une épicurienne… et Belge. Aurélie Hagen, de son vrai nom, vient de sortir son second guide aux éditions Lannoo, intitulé The Lazy Frenchie in LA: Lifestyle Guide for Instagram Lovers, disponible depuis le lundi 14 octobre (sur Amazon, Barnes & Noble, la Fnac, mais aussi dans des librairies locales comme Book Soup).
Il se retrouve dans les rayons (et les paniers Amazon) un an après celui sur New York, la ville de coeur de l’auteure. Contrairement aux guides traditionnels, celui d’Aurélie Hagen ne bombarde pas ses lecteurs de commentaires. Elle partage ses photographies préférées (un brunch qu’elle adore, un café mignon, un fleuriste spécialisé dans les cactus, du street-art, un jardin communautaire parfait pour lire, mais aussi des dizaines de portes colorées qu’elle a immortalisé avec son smartphone…).
Chaque cliché est accompagné d’une légende de hashtags et de sa localisation. Chaque lieu est répertorié sur des cartes de quartiers. “Avec des photographies colorées, je voulais montrer une image pop dynamique et fun des villes”.
Cette pimpante belge a débarqué seule fin 2011 à New York, après avoir déniché un poste d’assistante de production dans une société qui organise des défilés de mode. “Ca m’a appris à travailler à l’américaine, et ça a aussi ouvert ma créativité”, reconnaît-elle. Mais le salaire insuffisant la pousse à changer de boulot, sa carte verte -obtenue en épousant un Américain- lui ouvre d’autres portes. Aurélie Hagen commence alors à donner des cours de français, mais se rend vite compte qu’ils manquent de ludique.
En 2015, elle crée alors le blog The Lazy Frenchie, pour offrir un apprentissage du français de manière “lazy”, au travers de petits textes de sa composition sur le lifestyle. “De fil en aiguille, je me suis lâchée dans l’écriture”, se souvient-elle, devenant également rédactrice pour des blogs (comme celui de Caroline Receveur, la Team Paillettes et le Huffington Post). En parallèle, elle multiplie les articles et les photographies de ses lieux préférées, qu’elle publie sur son blog. Jusqu’à convaincre une maison d’édition de publier son guide. “Ici, les gens sans réseau, ni background littéraire, arrivent à avoir des opportunités. Ca m’a motivé.”
Le deuxième guide, sur Los Angeles, est lié à un choix de vie. Son mari, avocat, a aussi écrit un livre qui a été retenu pour être adapté en série. Une opportunité qui les pousse à déménager dans la cité des anges en 2017. Ne connaissant pas la ville, elle décide d’étudier Google Maps, avant d’aller explorer un quartier. “Dans ce guide, il y a mes 300 adresses testées et approuvées, dont une majorité à West Hollywood où je me déplace beaucoup”, explique-t-elle. Pour elle, Los Angeles n’a pas été aussi évident à faire que New York: “c’est une ville où il y a moins de spontanéité, qui est plus difficile à comprendre pour les touristes.” C’est une “ville tellement chill que c’est déconcertant. Il faut y passer du temps, se laisser porter, c’est un vrai lifestyle.”
Collaborant en parallèle sur un documentaire sur la mode responsable avec une Française, elle aspire désormais à travailler sur des projets littéraires différents, et pourquoi pas sur son idée de départ, l’apprentissage du français.
Regardez ces Américains parler français
Après s’être moqué (gentiment) du niveau d’anglais des Parisiens, French Morning a décidé d’inverser les rôles en évaluant le niveau des Américains en français. Parlent-ils bien la langue de Molière ? Que connaissent-ils de la France et apprécient-ils les Français ? Réponse dans cette vidéo qui (attention spoiler) contient des mignonneries.
Que faire pour Halloween à Washington ?
Le jeudi 31 octobre, les Américains fêtent Halloween. À Washington, de nombreuses activités sont organisées pour petits et grands, pour les adeptes du grand frisson ou pour ceux qui préfèrent profiter du week-end pour siroter une boisson à la citrouille ou distribuer des bonbons.
Suivre une visite hantée dans les rues de Washington
Savez-vous que la Maison-Blanche est réputée être hantée par de nombreux anciens présidents américains ? Si les histoires hantées vous donnent la chair de poule, vous pouvez rejoindre l’une des visites organisées par Washington Walks, chaque vendredi et samedi jusqu’au 26 octobre à partir de 7:30pm (comptez 20 dollars, sans réservation.) Vous y découvrirez les différents secrets de Lafayette Park et de différents monuments de la ville. Le Congressional Cemetery organise des visites du cimetière et de ses célèbres occupants, le vendredi et samedi entre le 18 et le 26 octobre (25 dollars par personne). Pour les passionnés d’Histoire américaine, la ville historique d’Alexandria, accessible en métro, organise des visites nocturnes à la lueur des bougies, tous les soirs jusqu’au 31 octobre à 7:30pm (15 dollars par personne).
Rencontrer des zombies dans les parcs d’attractions
Jusqu’au 3 novembre, le célèbre parc d’attraction Six Flags organise une nouvelle édition de Fright Fest. Au programme : déferlement de zombies dans le parc, attractions hantées, animations musicales… Attention tout de même, le parc prévient que les animations peuvent être trop intenses pour les moins de 13 ans. Pour les plus jeunes, le Smithsonian National Zoo organise Boo at the Zoo, entre le 18 et 20 octobre. Les enfants peuvent nourrir les animaux, participer à des tours de magie et à un karaoké.
Emmener les enfants à l’un des nombreux “Trick or Treat”
Halloween ne serait pas Halloween sans la tradition du “Trick or Treat” pendant laquelle les enfants partent à la recherche de sucreries. Comme chaque année, plusieurs endroits symboliques comme Tudor Place et le Mount Vernon organisent un Trick and Treat le samedi 26 octobre.
Participer à un concours de déguisements
De nombreux événements permettent d’arborer son déguisement tout au long du mois d’octobre, mais s’il fallait en choisir un, ce serait sans hésiter le 17th Street High Heel Race. Organisée le mardi 29 octobre sur 17th Street, cette course très populaire depuis plus de 30 ans, n’est pas seulement un concours de déguisements, mais aussi des plus hauts talons. Que vous soyez participants ou spectateurs, les fous rires sont garantis. Pour ceux qui préfèrent se rendre dans un bar, le quartier de Dupont Circle s’anime le samedi 26 octobre, avec Nightmare on M Street. De nombreux bars du quartier proposent des offres spéciales et organisent des événements entre 1 et 9pm.
Conférence franco-américaine sur le plastique dans les océans à Washington
Il y a la plastique qui flotte à la surface des océans. Et il y a celui qui se cache dans les mers, sous la forme de micro-plastiques, et qui est beaucoup plus important. La Maison française de l’Ambassade de France consacre une conférence, mardi 5 novembre, à ce plastique caché qui empoisonne la flore et la faune marine.
Au programme de cette soirée: la projection de “Oceans, The Mystery of the Missing Plastic”, un documentaire de Vincent Pérazio qui se concentre sur les 99% de plastiques immergés dans les profondeurs. Elle sera suivie d’une discussion entre Ika Paul-Pont, spécialiste en “éco-toxicologie” marine au CNRS, et Nancy Wallace, directrice des programme des déchets marins de la NOAA.
Gagnez 2 places pour Paris! The Show à Washington le 22 octobre
Le célèbre metteur en scène français Gil Marsalla va faire des heureux à Washington DC. Avec sa nouvelle comédie musicale Paris! The Show, il rend hommage à la chanson française avec notamment des titres d’Édith Piaf, de Charles Aznavour mais aussi Jacques Brel et Maurice Chevalier.
Suivez Françoise, jeune provinciale qui rêve d’emménager à Paris et de devenir une artiste célèbre. Sur sa route vers le succès, elle se liera d’amitié avec la chanteuse Édith Piaf, et tombera amoureuse d’un peintre menant une vie de bohème à Pigalle, Charles Aznavour.
Le spectacle aura lieu au Lisner Auditorium de la George Washington University pour une unique représentation, le 22 octobre.
Pour tenter de gagner 2 places pour ce spectacle, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le tirage au sort aura lieu le 18 octobre.
Bonne chance à tous !
Ce formulaire n’est plus disponible
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