Accueil Blog Page 484

Lupita et ses livres trilingues inédits arrivent à New York pour la rentrée

(Article partenaire) La nouvelle tortue préférée des enfants arrive à New York. Lupita et ses amis, livres trilingues français-anglais-espagnol lancés par l’auteure et éditrice française Keren Benoliel, débarquent pile à l’heure pour la rentrée. Un bonheur pour les familles expatriées qui veulent que leur enfant conserve la maîtrise de plusieurs langues, ce qui s’avère parfois difficile. 

Un outil parfait pour les enfants expatriés


En expatriation, la langue peut vite devenir un problème pour les enfants. Soit ils ne s’adaptent pas facilement à leur nouvelle langue, soit il s’y adaptent complètement et oublient leur langue maternelle. Ce véritable casse-tête pour les parents a maintenant une solution : avec les livres Lupita et ses amis, vos enfants continueront à pratiquer plusieurs langues et à enrichir leur vocabulaire tout en s’amusant ! Ils embarquent avec Lupita dans des aventures multicolores qui éveillent leur curiosité et les font grandir.

Des livres qui prennent les petits pour des grands


Les livres Lupita et ses amis ont été écrits en suivant la tradition de la littérature française pour enfants”, explique Keren Benoliel. Le vocabulaire est riche, des mots savants et des références culturelles sont injectées dans le texte. “Nous croyons que l’utilisation d’un vocabulaire choisi, dans un bon registre de langage, permet aux enfants d’apprendre en permanence. Ils comprennent facilement que toute langue a ses codes, son charme, son rythme et sa mélodie.
Ainsi l’enfant s’instruit, et surtout pose des questions : de là naissent des moments de partage privilégiés entre les parents et l’enfant.

L’histoire de Lupita, ou la folle aventure d’une Française expatriée


Keren Benoliel, auteure, directrice artistique et éditrice française, est loin d’avoir eu un parcours classique. Journaliste de formation, elle a pratiqué ce métier pendant 20 ans en le conjuguant avec de nombreux projets trépidants dans le monde du cinéma et de la mode. Passionnée de voyage, elle collectionne les folles aventures aux quatre coins du monde. Il y a un peu plus de huit ans, elle s’installe à Buenos Aires pour y fonder une famille.
Soucieuse de transmettre sa culture française à ses enfants franco-argentins, Keren Benoliel reprend alors l’écriture pour créer des histoires en français pour ses enfants. Après avoir été témoin et émue de l’enthousiasme de ses enfants pour ses histoires, Keren décide de les partager avec d’autres enfants, et pourquoi pas partout dans le monde… 
C’est ainsi qu’elle crée la maison d’édition Quel Toupet!, afin de distribuer ses livres pour enfants dans le monde : déjà disponibles à Buenos Aires, Paris, New York, Londres, mais aussi à Tel Aviv, au Chili, en Uruguay et en Colombie, ils le seront prochainement au Japon !
Entrepreneure courageuse, elle s’est lancée dans cette aventure seule, et a bravé tous les obstacles. “C’était un peu David face à Goliath, se rappelle Keren Benoliel. J’étais en face de grandes maisons d’édition. J’étais toute seule au début puis avec une toute petite équipe, mais je n’ai pas renoncé. Je croyais en mon projet et je suis convaincue que lorsque l’on fait les choses avec passion, détermination et volonté, peu importe la taille des défis ou des obstacles, les projets finissent toujours par aboutir.
C’est en effet ce qui s’est passé pour l’auteure, qui distribue aujourd’hui avec une grande fierté la deuxième édition de ses livres à travers le monde. Ce n’était pas gagné car, à l’époque, l’idée d’éducation bilingue en était encore à ses balbutiements. Nous avons eu un coup d’avance sur ce terrain-là, et ça a merveilleusement bien pris.

Une saga à suivre

L’équipe de Keren part à la rencontre des enfants en Argentine

Chez French Morning, nous sommes bien décidés à suivre les aventures de Lupita, mais aussi celles de Keren ! De nombreux projets se profilent pour cette Française hyperactive, avec notamment une participation à la Bilingual Fair de New York le 23 novembre, un programme d’apprentissage du français bientôt lancé en partenariat avec l’Alliance Française de Buenos Aires, et le projet fou de faire lire les aventures de Lupita au royal baby !
Le premier livre de la collection que j’ai écrit et publié s’appelle Lupita et son ami Artchi et parle d’un petit garçon roux adorable et créatif. Quand j’ai appris la naissance du petit Archie, dernier bébé royal du Royaume-Uni, et ses petits cheveux roux, je me suis dit que c’était un signe ! Comme j’aime ce genre de projets fous, j’ai sauté sur l’occasion : je viens de faire envoyer la collection au Buckingham Palace. Vous imaginez si la famille royale devenait fan de Lupita ?Une affaire à suivre !
Retrouvez Keren et Lupita sur Instagram et sur Facebook, et achetez les livres de la collection Lupita et ses amis à New York aux adresses suivantes :

La Librairie des Enfants New York, 163 East 92nd Street New York, NY
Strand Book Store, 828 Broadway, New York NY

—————-
Note: “Article partenaire” écrit par French Morning sur commande d’un partenaire annonceur

Un gala pour l'environnement avec Jean-Michel Cousteau et le chef Raoni à New York

0

Il y a aura du beau monde au Westin Grand Central, dimanche 22 septembre, pour soutenir l’environnement et la bio-diversité.
L’explorateur-documentariste Jean-Michel Cousteau, le chef Raoni, figure emblématique de la lutte pour préserver la forêt amazonienne, Kiera Chaplin, la fille de l’acteur Charlie Chaplin, et le life coach Tony Robbins font partie des invités du gala du Monaco Better World Forum, organisé au bénéfice de deux organisations environnementales pendant le Sommet sur le climat des Nations-Unies.
Pendant la soirée, un hommage spécial sera rendu à l’ancien secrétaire général de l’ONU Kofi Annan, en présence de son fils. Les invités auront la possibilité de participer à une vente aux enchères pour participer à la prochaine expédition sous-marine Aquatica dans les Caraïbes en mars 2020.
Le gala conclura une journée d’événements consacrés à l’environnement au French Institute Alliance Française (FIAF): une conférence sur “l’adaption climatique intelligente” dans les Caraïbes à 11am; un déjeuner VIP avec le président du Monaco Better World Forum, Manuel Collas de La Roche, et Jean-Michel Cousteau à 1pm; et la projection, à 2:30pm, du documentaire “Wonders of the Sea 3D” réalisé par Jean-Michel Cousteau et François Mantello avec une narration d’Arnold Schwarzenegger.

Permanence avec le Secrétaire d'Etat aux Français de l'étranger à New York

Le Secrétaire d’Etat aux Français de l’étranger Jean-Baptiste Lemoyne tiendra une permanence ministérielle au consulat de France le lundi 23 septembre, à l’occasion de sa venue à New York dans le cadre de l’ouverture de l’Assemblée générale de l’ONU. Les inscriptions sont ouvertes.
Il recevra les Français de la circonscription (New York, New Jersey et Connecticut) pour des rendez-vous individuels de 5:30pm à 7:30pm. Les premiers à répondre seront sélectionnés dans la limite du possible. Ils seront informés de leur heure de passage par e-mail, indique le consulat.

Une série "Agnès Varda en Californie" à San Rafael

Agnès Varda et la Californie, c’est une belle histoire d’amour. La cinéaste a souvent utilisé les décors du Golden State dans ses films. Le California Film Institute à San Rafael en projettera trois les dimanche 22 et 29 septembre.
Le 22, deux courts-métrages seront proposés: “Black Panthers”, immersion unique dans le mouvement noir qui a vu le jour à Oakland, et “Uncle Yanko”, où elle retrace la vie d’immigré d’un membre de sa famille qu’elle n’a jamais rencontré et qui a vécu dans la Baie de San Francisco.
Le 29, cela sera au tour de “L’une chante, l’autre pas”, le long-métrage de la réalisatruce sur les relations entre deux amies qui prenne des trajectoires de vie différentes.

Le Bal Français revient faire danser New York le 28 septembre

Fatigué.e des soirées guindées new-yorkaises? Venez danser entre copains et copines à la deuxième soirée du Bal Français le samedi 28 septembre.
Après la réussite d’un premier événement qui avait accueilli plus de 500 personnes le 1er juin, Le Bal Français revient à Gran Torino (ancien Diviera Drive) en plein coeur de Williamsburg. “C’est le lieu parfait avec sa grande terrasse fumeurs, avec ses quatre bars et ses deux salles”, détaille Valentin Delouis, co-fondateur du Bal Français avec l’auteur de ces lignes. “Le prix des boissons est également moins élevé qu’à Manhattan et le quartier accueille de nombreux Français”. 
Au programme de cette deuxième soirée : des classiques intemporels tels qu’Indochine, France Gall, Johnny mais aussi des tubes plus récents comme Vegedream, Magic System et Aya Nakamura. “Nous vous préparons également une grosse surprise avec notamment la distribution de cadeaux”, confie Valentin Delouis.
Le Bal Français est gratuit et ouvert à tous, à condition de réserver sa place ici. “Quand on vit à New York depuis quelques temps, on organise plus souvent des soirées entre potes, qui se terminent en chantant et dansant sur des tubes français. C’est un peu un retour aux sources, à l’image des bals de campagne”, résume Valentin Delouis, qui sera aux platines pendant la soirée avec un autre ami, Louis Marty.

Startup Tour 2019: un concours, des prix et des poids lourds du business

La finale du Startup Tour approche à grands pas. L’édition 2019 de ce grand rendez-vous business franco-américain aura lieu le 24 septembre à partir de midi dans les locaux de BNP Paribas. Le réseau FrenchFounders a concocté un beau programme pour l’occasion.
L’après-midi comportera trois volets: un concours de startups, un “forum des leaders transatlantiques” et une remise de prix pour les créateurs d’entreprises qui se sont illustrés aux Etats-Unis.
Le forum rassemblera plusieurs grands noms du monde des affaires. Parmi eux, Luc Julia (décrit comme le “grand-père” de Siri), Frédéric Mazzella (fondateur de la société de co-voiturage Blablacar), Matt Salzberg (fondateur de Blue Apron) ou encore Ian Rogers (chef du digital à LVMH) et Bertrand Piccard (Solar Impulse). Ils interviendront dans la salle principale de l’événement. Deux conférences auront lieu en parallèle: l’une sur les tendances dans le monde de la beauté avec Constantin Sklavenitis, le PDG de MAC, et Jenifer Geller, responsable des ventes à Jellysmack (ex-Keli Network); l’autre sur Rubicon Global, une licorne spécialisée dans la gestion des déchets.
Sept jeunes pousses françaises et deux américaines participeront au concours de startups, qui aura lieu après le forum. Elles seront départagées par un jury constitué de figures de la tech.
Cette troisième édition se conclura par une remise de récompenses, en partenariat avec le journal Les Echos, pour honorer plusieurs “fondateurs francophones” qui ont réalisé des levées de fonds de plus de 25 millions de dollars en 2018 ou 2019. Trois d’entre eux participeront sur scène à une discussion sur leur développement américain: Jonathan Cherki (Content Square), Olivier Pailhès (Aircall) et Charles Gorra (Rebag).

Wax Tailor balance le son à Los Angeles

“Que sera” va être reprise en coeur par les fans de Wax Tailor à Los Angeles. L’auteur-compositeur français se produira à Lot 613 le 26 septembre. Durant cette nouvelle tournée américaine, d’Atlanta à Portland, il propose un “DJ set”, (re)mixant ses propres tubes, des sons de son dernier album “The Shadow Of Their Suns”, ou encore des musiques qu’il affectionne.
C’est au début des années 90 et en plein âge d’or du rap que Jean-Christophe Le Saoût (alias Wax Tailor) commence à dompter les ondes dans une émission de la radio Droit de Cité. En 2004, il sort “Lost the Way”, son premier EP qui va le propulser sur le devant de la scène. Considéré comme le chef de file de la scène trip-hop et hip-hop cinématique, il a été récompensé à plusieurs reprises aux Victoires de la musique. Une renommée qui a dépassé l’hexagone : l’artiste vient régulièrement aux Etats-Unis, où sa musique reçoit de bonnes critiques et où il décroche un “Indie Music Award”.
Son nom est aujourd’hui incontournable dans le monde de la musique et ses nombreuses collaborations, notamment avec Keziah Jones, Aloe Blacc, Charlie Winston, General Elektriks, montrent une fois de plus que l’electro française sait parfaitement s’exporter outre-Atlantique.

Jonathan Boulingrin-Diaz, un ex-danseur dans la crêpe à Los Angeles

Des pas de bourrée aux pointes, en passant par le breakdance et le hip-hop, Jonathan Boulingrin-Diaz a enchaîné les pirouettes.
Depuis quelques mois, le danseur aux dreadlocks a décidé de remiser la danse au rang de passion afin de lancer son entreprise: Petite Crepe LA. Il arpente les événements avec son chariot à roulettes. Assurant le show avec sa crêpière, il surprend ses clients avec des créations originales comme les crêpes vegan, des burritos re-visités, des blinis ou des gâteaux de pancakes.
Avant de se spécialiser dans la crêpe, Jonathan Boulingrin-Diaz s’est réalisé dans la danse. “A 18 ans, j’ai tout quitté pour faire les castings pour la comédie musicale Le Roi Soleil. J’ai été pris en tant que remplaçant, sans avoir la chance de monter sur scène”, se souvient ce Valentinois. Cette expérience lui offre une porte d’entrée vers l’Académie internationale de danse, et des projets comme la comédie musicale Cléopâtre et des spectacles de cabaret.
Il décide de s’installer à Los Angeles après une visite rendue à un ami danseur en novembre 2011. “Il y avait une vrai facilité professionnelle avec les agents de danseurs, alors qu’en France on est livré à soi-même”, raconte celui qui obtint un visa O-1. Le Français multiplie les castings, décrochant un contrat pour un clip de Pharrell Williams et pour danser sur la tournée de Cheryl Cole.
Mais le rêve finit par s’éloigner. “Je n’arrivais plus à faire ce que j’aimais, du travail de compagnie et de la création originale”, argue le trentenaire, qui déplore le manque de subventions aux Etats-Unis pour aider les artistes. “On est une marionnette, on peut être viré du jour au lendemain. A Los Angeles, on est obligé de combiner la danse avec un travail dans les restaurants.”
Il décide alors de démarrer un projet complètement différent : acheter un “café-cart”. “Mais cela requérait beaucoup de licences, et il y avait les difficultés liées à la régulation sur le lait”, se souvient Jonathan Boulingrin-Diaz. Il a alors l’idée de se lancer dans la crêpe, alors qu’il travaille pour un traiteur français. “Ca me rappelle l’enfance, les dimanches après-midi chez ma grand-mère.” Il débute en faisant des anniversaires pour son entourage. Le bouche-à-oreille fonctionne, jusqu’au lancement officiel de Petite Crepe LA en 2019.
La petite entreprise propose du catering pour particuliers et entreprises. Elle démarre bien avec un événement pour la chaîne NBC où Jonathan Boulingrin-Diaz a concocté quelques 400 crêpes. “Le modèle des restaurants est dépassé, la street-food marche mieux”, assure cet autodidacte. Mais il a aussi des désagréments, comme l’absence d’électricité dans certains parcs. Pour se développer, il aspire à multiplier les “pop-ups”, dans les festivals et les bureaux. Il participe tous les premiers dimanches du mois au Friendly Market à Silverlake.
Pour autant, il n’en oublie pas la danse. Il continue de se produire avec deux compagnies. “La scène me manque, avoue-t-il, et particulièrement quand je vois ma femme, circassienne, en spectacle”.

Un concours de fraisiers à Miami

Amateurs de fraisier, c’est un jour à marquer d’une pierre blanche. Le mercredi 18 septembre, la Chambre de commerce franco-américaine de Floride organise un concours de fraisiers et un cocktail dans les locaux de Mirabelle.
Quatre patisseries participeront à l’événement: Maison Valentine, Bonjour Bakery Miami, Thierry Isambert et La Croquantine.
Le concours sera précédé, dès 2:30pm, d’un atelier de confection de fraisiers avec Madeleine & Co et Georges Berger, le Meilleur Ouvrier de France (MOF) propriétaire de Mirabelle.
 

9 raisons de visiter l'Islande dès maintenant

Pour ses vols pas chers vers Reykjavik au départ de New York

Crédit photo: Facebook Icelandair

Devenue une destination à la mode il y a une vingtaine d’années, l’Islande est très bien desservie par la compagnie low-cost Icelandair. Des avions décollent tous les jours au départ de New York et Newark vers la capitale Reykjavik, à des prix très intéressants. Comptez entre 400 et 600$ le vol aller-retour peu importe la saison à condition de réserver ses billets plusieurs semaines à l’avance.

Pour ses nombreux volcans

Crédit photo: Axel Kristinsson Wikipédia

L’Islande est située à la frontière entre les plaques tectoniques américaines et eurasiennes, ce qui explique sa géologie si unique. Le pays compte plus de 200 cratères dont 130 volcans encore actifs. L’un d’entre eux, l’imprononçable ejafjallajökull, était entré en éruption en 2010, causant l’arrêt du trafic aérien européen pendant une semaine. On vous conseille d’aller voir le Snæfellsjökull, situé dans le nord-ouest de Reykjavik dans le parc naturel du même nom (photo ci-dessus). Ce volcan culminant à 1 446 mètres d’altitude est surmonté d’une calotte glaciaire. En été, on peut approcher son sommet en 4×4 en prenant la route en terre F570 longeant ce parc national puis en s’enfonçant dans un autre petit chemin de terre. Il faut ensuite terminer à pied pour admirer son cratère dissimulé dans un épais brouillard. Si vous souhaitez vous attaquer au plus haut volcan du pays, rendez-vous au sud-est dans le parc national Skaftafell où Öræfajökull culmine à 2 110 mètres.

Pour la région montagneuse de Landmannalaugar


C’est notre coup de coeur du voyage. Landmannalaugar est situé à seulement trois heures de route de Reykjavik, mais il faut emprunter en 4×4 un chemin bosselé en terre pendant une bonne heure avant d’arriver jusqu’au camping de Brennisteinsalda. La situation de ce refuge est exceptionnel, à flan de montagnes colorées. C’est le spot idéal pour les randonneurs avec de nombreuses balades au départ du camping vers une nature faite de champs de lave, de vallées profondes, d’un volcan surmonté d’un glacier et d’un lac de cratère. Cerise sur le gâteau en fin de journée où une source d’eau chaude coule le long du camping. Les visiteurs s’y baignent au clair de lune après une longue journée de marche.

Pour le glacier Vatnajökull


Il est l’un des plus gros glaciers d’Europe, couvrant à lui seul 8% de la surface totale de l’Islande. Mais cet immense édifice de glace est plus que jamais menacé par le réchauffement climatique. Le glacier perd un mètre de surface chaque année et les experts estiment qu’il pourrait disparaitre dans le siècle prochain. Il est possible de le visiter d’ici là. Des compagnies comme Local Guide proposent des excursions d’environ trois heures sur sa glace d’octobre à avril. En été, une randonnée de 16,7 kilomètres (Skaftafellsheiði) est accessible au départ du Skaftafell Visitor Centre (Vatnajökull National Park, Skaftafellsstofa, 785 Öraefi). Elle permet de s’approcher au plus près du glacier et contient des vues magnifiques sur les sommets environnants.

Pour les cascades de Gullfoss et de Fjaðrárgljúfur

Crédit photo: Nickspix Wikipédia

Qui dit fonte des glaciers et météo capricieuse en Islande dit cascades. Le pays en compte des centaines toutes aussi belles les unes que les autres. Parmi celles à ne pas manquer, on vous conseille Gullfoss, située dans le canyon de la rivière Hvita au sud ouest du pays (1h45 en voiture de Reykjavik). Cette cascade au débit très impressionnant fait 32 mètres de haut par 70 mètres de large. Un chemin piéton permet de s’y approcher tout près et d’admirer l’arc-en-ciel visible en continu au-dessus. A trois heures de voiture plus loin à l’ouest se trouve un autre canyon, Fjaðrárgljúfur. Ici la pente est beaucoup plus dramatique (presque 100 mètres!) et la végétation donne au lieu des allures de paysages écossais. Un chemin piéton permet d’accéder à une plate-forme au dessus du vide face à la cascade.

Pour ses sources d’eaux chaudes naturelles


La position de l’Islande entre deux plaques tectoniques est à l’origine de phénomènes géothermiques fascinants comme la formation de sources d’eau chaude naturelles. La plus connue d’entre elles est celle du Blue Lagoon, avec son eau bleue à l’aspect laiteux qui contraste avec la lave noire environnante. L’endroit, situé à seulement 20 minutes en voiture de l’aéroport de Reykjavik, est devenu très touristique. A tel point qu’il faut réserver plusieurs jours à l’avance. Beaucoup plus au nord du pays, à 1h30 de route de la deuxième plus grande ville du pays Akureyri, se trouve la piscine de Hofsós. Bâtie à flan de montagne, cette piscine est sans doute l’une des plus belles du pays. Ici, très peu de touristes mais des locaux qui se prélassent dans une eau chaude naturelle à 40 degrés avec vue sur le fjord Skagafjörður. Vous souhaitez vivre une expérience plus authentique ? Direction le camping de Brennisteinsalda (évoqué juste avant) où l’on peut se baigner toute l’année en pleine nature dans une rivière à l’eau naturellement chaude.

Pour le village de Seyðisfjörður

Crédit photo: Facebook Visit Seyðisfjörður

Isolé à la pointe nord est du pays, ce charmant village doit sa beauté à ses maisons colorées et à sa situation au pied d’un fjord. Le village et sa route entortillée ont notamment été rendus célèbre grâce au film “La vie rêvée de Walter Mitty”, dans lequel Ben Stiller, qui joue Walter Mitty, roule en skateboard jusqu’au centre du village. On ne vous conseille pas de faire la même chose mais plutôt de vous mettre au chaud au Café Lara, un bar-restaurant aux allures de chalet qui sert de très bonnes pâtisseries.

Pour ses macareux-moines

Crédit photo: Facebook VisitVík

Ils ressemblent à un oiseau des tropiques avec leur robe blanche et leur bec rouge, et pourtant ils ont élu domicile en Islande. Les macareux-moines sont tellement nombreux (près de 10 millions) et tellement mignons qu’ils sont devenus l’un des emblèmes du pays. On en trouve à peu près partout sur les côtes, mais le meilleur endroit pour les observer et les prendre en photo reste la plage de sable noir de Vik, au sud de l’île.

Pour le cheval islandais et ses cinq allures

Crédit photo: Jennifer Boyer Flickr

C’est un autre animal presque sacré en Islande au même titre que les macareux-moines. La particularité du cheval islandais est de proposer cinq allures au lieu de trois pour un cheval classique (le tölt et l’amble en plus du pas, du trot et galop). Que vous soyez débutant ou cavalier confirmé, profitez de votre séjour pour randonner à cheval dans la campagne islandaise. De très nombreux loueurs proposent des balades dans de nombreuses régions du pays. On vous recommande Kverná Horse Rental si vous passez par le village de Grundarfjörður dans la magnifique péninsule de snæfellsnes.

French Boss, épisode 11: deux aventures londoniennes, Emilie Corel et Cécile Della Torre

0

Pour ce 11ème épisode de notre podcast sur les entrepreneurs français à travers le monde, French Boss, Eric Gendry donne la parole deux femmes aux parcours bien différents.
L’une – Emilie Corel – est agent immobilier, l’autre -Cécile Della Torre – est prof de français. L’une et l’autre vivent à Londres. Leurs histoires, bien que différentes, sont la preuve que la création d’entreprise séduit toutes les générations.
Listen to “Episode 11: Deux aventures londoniennes, Emilie Corel et Cécile Della Torre” on Spreaker.

Réouverture du Washington Monument le jeudi 19 septembre

Bonne nouvelle pour ses 500 000 visiteurs annuels. Le Washington Monument, l’un des symboles de la capitale américaine, va enfin rouvrir le jeudi 19 septembre. Il avait été fermé en août 2016. Le service des parcs nationaux (NPS) en a fait l’annonce le 16 août dernier.
Au fil de la décennie, la structure de marbre et de granite de 169 mètres de hauteur (555 feet) avait déjà été fermée après les dégâts causés par le séisme de 2011. Cette catastrophe avait forcé sa fermeture pendant deux ans et demi, et les réparations ont coûté environ 15 millions de dollars. Les travaux avaient été financés par le gouvernement et un don de 7,5 millions de dollars de l’homme d’affaires washingtonien David Rubenstein.
Les ennuis ont continué pour ce monument-hommage au président George Washington. Entre 2014 – année de sa réouverture après le tremblement de terre – et 2016, l’ascenseur du monument est tombé en panne 24 fois, bloquant souvent les visiteurs. Grâce à un don supplémentaire de 3 millions de dollars de David Rubenstein, et des fonds du gouvernement, le NPS a démarré des travaux supplémentaires pour construire un nouveau centre de contrôle de sécurité.
Le monument devait rouvrir au printemps dernier, avant que le NPS n’émette des doutes sur “des sols potentiellement contaminés“, sans préciser la nature de la contamination.
Lors de la publication de l’annonce sur la ré-ouverture du 19 septembre, de nombreux Washingtoniens ont été choqués par un paragraphe inhabituel sur l’administration en place, saluée pour la fin de travaux fédéraux. Dans son communiqué de presse, le NPS explique en effet que “la réouverture est un autre exemple de la manière dont l’administration Trump améliore l’expérience des visiteurs dans les parcs nationaux grâce à une meilleure maintenance des infrastructures“. Le budget des travaux avait été lancé en décembre 2016… sous l’administration Obama.
Comme il est indiqué sur le site national, pour visiter le monument entre le jeudi 19 septembre et le vendredi 18 octobre, aucune réservation n’est nécessaire. L’entrée est gratuite le jour même et disponible selon le principe du “premier arrivé, premier servi”. Rendez-vous à partir de 8:30am au Washington Monument Lodge, sur la 15th Street, entre Madison Drive, NW et Jefferson Drive, SW.
Pour les visites après le 19 octobre, il est possible de réserver ses billets à l’avance. A partir du 10 octobre à 10am, rendez-vous en ligne ou par téléphone au 877 444-6777. Des entrées gratuites seront encore disponibles à partir de 8:30am directement au Logde. Dans tous les cas, le Monument sera ouvert tous les jours de 9am à 5pm.