Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce 32ème épisode, Mélanie Sage raconte comment elle a vécu son impatriation, alors qu’elle n’était qu’adolescente. A 46 ans, la maman de deux enfants se souvient encore de son retour en France en 1984, après une expatriation avec ses parents de plusieurs années à Abou Dabi aux Emirats Arabes Unis. “L’hiver 1984 était froid en France, se rappelle-t-elle, je rentrais en sixième et je devais me faire de nouveaux amis. J’avais l’impression d’être un OVNI parce que je parlais déjà deux langues, dont l’arabe”. Mais l’adaptation s’est rapidement faite, à un détail près. “On a ressenti un très gros manque de soleil, on ne se sentait pas bien”.
Si, pour elle, les choses se sont bien déroulées, il n’en est pas de même pour d’autres jeunes. “J’avais une amie à cette période-là qui a vécu très difficilement son impatriation. Cela a été choc terrible. Elle en voulait à ses parents”, lui a-t-elle confié quelques années plus tard, “elle s’était mise à ‘zoner’ avec des gens pas très fréquentables”. Mélanie Sage parle même d’enfants ex-expatriés ayant eu des problèmes de drogues.
Mais de son côté, elle ne retient que du bon de son impatriation. Elle ne refuserait pas d’ailleurs pas de repartir vivre à l’étranger. “Tout est une question d’opportunités”, conclut-elle.
Listen to “Episode 32 : Mélanie Sage” on Spreaker.
Moi, impat: le retour au pays peut être douloureux pour les enfants
French Morning et Challenges lancent le hors série "Bien Vivre à New York"
Il est tout chaud et disponible en France et à New York. Réalisé par la rédaction de French Morning, le magazine de 150 pages est co-publié avec Challenges. Objectif: guider tous ceux qui vivent à New York, veulent s’y installer ou simplement visiter la ville autrement.
C’est le tout premier magazine imprimé entièrement réalisé par French Morning et nous n’en sommes pas peu fiers. Tiré à 40 000 exemplaires, il est disponible dans tous les bons kiosques de France. A New York, vous pourrez le trouver notamment ce samedi lors de notre Salon Bien Vivre à New York, organisé au Consulat, ou le commander ci-dessous pour le recevoir par la poste.
Ecrit par les journalistes de French Morning, et le correspondant de Challenges à New York Philippe Boulet-Gercourt, sous la direction de Capucine Moulas, ce hors série a le goût du French Morning que vous connaissez. Vous y retrouverez le mélange de conseils pratiques, d’idées de sorties et des histoires de Français qui vivent leur rêve américain. De l’ancienne ministre Nathalie Kosciusko-Morizet à l’écrivain Marc Lévy, en passant par le pâtissier star Dominique Ansel et des dizaines d’autres, vous découvrirez leurs histoires de New-Yorkais d’adoption.
Nous avons aussi demandé à des Français de la Big Apple de partager leurs bons plans pour maitriser les transports en commun, trouver un logement, s’assurer, faire du sport, dénicher une école, etc… On y a même mis des recettes de cuisine et des quiz pour s’amuser ensemble!
Lisez-le et dites nous ce que vous en pensez!
Acheter le hors série (expédition aux Etats-Unis seulement):
À l'Ironman de Nice, un Américain qui veut aider les toxicomanes à s'en sortir
Imaginez enfiler votre maillot de bain pour une course de 3,8km à la nage, sortir de l’eau et enfourcher votre vélo pour 180km, avant de finir par un marathon (42km). C’est le défi que va relever pour la 31ème fois de sa carrière Todd Crandell. Cet Américain de 52 ans sera au départ de l’ironman de Nice samedi 7 septembre.
Toxicomane et alcoolique repenti grâce au sport, il a fondé l’association Racing for Recovery en 2001. Son objectif? Aider les gens dans le besoin à sortir de leur addiction grâce à la pratique du sport intensif. “Nous offrons un soutien psychologique, des groupes de parole, des conférences, du mentoring, des cours de fitness et de sport aux personnes dans le besoin tout en associant leurs familles et leurs amis au processus pour de meilleurs résultats”, explique Todd Crandell. L’association a aidé en 18 ans des dizaines de milliers de toxicomanes et alcooliques à sortir de leur addiction.
Après le succès de ses méthodes aux Etats-Unis, Todd Crandell souhaite maintenant développer son association en France. “J’ai participé à mon premier Ironman à Nice en juin, lors d’un voyage que j’avais organisé avec ma fille. Je suis tombé amoureux de la région et de la ville”, confie le triathlète, qui espère rencontrer des associations, des partenaires, et des sponsors potentiels en marge de la course.
Il enchaînera le 12 octobre par un autre ironman à Hawaii, l’un des plus difficiles au monde, avec toujours le même message à faire passer : “tout est possible quand on est sobre”.
Marco Senghor: “Je peux maintenant relever la tête”
“Je ne pouvais espérer meilleur verdict!” Attablé dans un café de la Mission, sa maison depuis plusieurs décennies, Marco Senghor est tout sourire, quelques jours après la décision rendue par la justice américaine sur l’obtention irrégulière de sa citoyenneté américaine. Condamné à un an de sursis, Marco Senghor assume. “Je me sens désormais en paix avec ma conscience. J’ai toujours cru dans la justice de ce pays, et j’ai eu raison: elle sait qui je suis, ce que j’ai apporté à ce quartier depuis plus de 20 ans. Je peux maintenant relever la tête et y croire encore.”
Contraint de vendre le Bissap Baobab, son restaurant et club sénégalais ouvert en 1999, afin de payer ses frais d’avocats, Marco Senghor réfléchit déjà à sa prochaine aventure san franciscaine: “Il faut se relever vite dans ce pays qui applique la loi du plus fort”, prévient-il. En mai, il a réouvert le Bissap Baobab d’Oakland, qu’il avait fermé il y a quelques années, mais n’envisage pas d’y recréer l’ambiance de celui de San Francisco. “J’aurais l’impression de revenir 20 ans en arrière, et j’ai plutôt envie de tenter quelque chose de nouveau, à San Francisco. Le business ne va pas me changer, c’est a moi d’adapter mon business pour ne pas en être esclave”, affirme-t-il.
A deux pas de feu Bissap Baobab, Little Baobab est toujours debout, mais sans la capacité d’accueillir les foules qui se pressaient jadis chez son voisin: “C’est une perte incroyable”, regrette Marco Senghor. “Chaque soir, près de 1 000 personnes venaient à Bissap Baobab: la cuisine n’était pas chère, les cocktails au tamarin et à l’hibiscus étaient reputés, les gens venaient de loin pour manger et danser.” Little Baobab ne peut accueillir qu’une poignée de clients, et Marco Senghor sait qu’il ne peut s’en contenter: “Avec un petit resto ethnique qui ne propose que quatre plats, je suis voué à l’échec. Parfois, je ressens un peu de pitié de la part de clients, et ce n’est pas un sentiment que j’aime.”
Né d’un père sénégalais, neveu du président Léopold Sedar Senghor, et d’une mère nîmoise, Marc-Olivier (son vrai nom) Senghor s’est affranchi du poids de son nom en débarquant à San Francisco en 1989, et en répondant à ses aspirations entrepreneuriales dans la restauration. “Il y a vingt ans, personne ne venait ici, le quartier était aux mains de gangs. On m’a même donné six mois de loyer gratuit en pensant que je n’y arriverai pas. J’ai retiré des balles des murs du restaurant pour ne pas effrayer la clientèle…” La liste des anecdotes est longue, et Marco Senghor s’étonne encore sans fausse modestie du succès de ses entreprises.
Désormais confiant quant à son avenir, Marco Senghor ne manque pas d’idées ni d’énergie pour écrire le nouveau chapitre de son aventure américaine: “Jus de fruits, glaces, restaurant multi-ethnique, salle de spectacles….ma décision n’est pas encore prise. Une chose est sûre: j’ai encore beaucoup à donner.”
Pourquoi le drapeau texan flotte-t-il à la même hauteur que le drapeau américain ?
Les drapeaux texans et américains sont souvent hissés à la même hauteur. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.
Pour répondre à cette question, il faut se replonger dans l’Histoire: à l’issue de la bataille de San Jacinto, le Texas sortit grand vainqueur de la guerre menée contre le gouvernement mexicain de Santa Anna. Le 21 avril 1836, l’État accéda à son indépendance et Sam Houston fut nommé premier président de cette nouvelle république.
Cette nation souveraine fut officiellement reconnue par de nombreux pays, y compris les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Belgique et la Hollande. Elle possédait même sa propre marine. Le sénateur William Wharton proposa le « Lone Star Flag », drapeau à l’étoile solitaire, comme bannière officielle. Mais très vite la nouvelle république fut agitée : le financement du nouveau gouvernement s’avérait difficile, les investisseurs étrangers se méfiaient des emprunts et les résidents du Texas ne manifestaient guère d’intérêt à payer des impôts.
Au bout de neuf ans, un nombre croissant de Texans vint à préférer l’annexion aux États-Unis au maintien de l’indépendance et votèrent dans ce sens. Le Congrès américain entérina le rattachement du Texas le 29 décembre 1845. En devenant le 28e État de l’Union, son drapeau national devint celui de l’État. “Pour nous Texans, c’est un symbole et une question de fierté. Nous avons renoncé à la revendication de la souveraineté, explique James Nelson, Texan et ancien de l’US Navy. Nous sommes les seuls à avoir été une République, l’étoile sur notre drapeau le rappelle. C’est pour cela que la bannière étoilée flotte toujours à la droite, c’est réglementaire, celui de l’Etat se tient toujours sur la gauche quand ils sont sur deux mâts séparés”.
Compte-tenu de cette exception texane, il serait aisé de penser que le “Lone State State” jouit de privilèges pour hisser son drapeau. Or, ce n’est pas le cas. Le Code du Drapeau des Etats-Unis autorise tous les Etats américains à hisser leur drapeau à la même auteur que le drapeau national quand ils sont sur deux mâts. Quand il n’y en a qu’un seul mât, en revanche, le drapeau texan (et les autres) est monté en-dessous de celui de la Nation.
Devinera-t-on ce que vous avez rapporté de France cet été ?
L’été se termine et le temps de rentrer aux États-Unis est arrivé. On se doute que vous allez remplir vos valises de produits français qui vous manquent et qui sont difficilement trouvables aux US. Biscuits, fromages, livres… Il est l’heure de refaire vos stocks, voici notre top 11 des produits à mettre dans vos valises !
Des livres en français
Un peu de lecture.
Gants de toilette
Pour bien commencer et finir la journée.
Un pot de crème de marrons
A l’Ardèche, la France reconnaissante.
Du savon de Marseille
Ça sent bon et c’est naturel !
Galettes Saint-Michel
Le bon goût de l’enfance.
Du sirop
Le sirop, un produit basique en France, est inconnu des Américains, qui ne boivent ni grenadine, ni sirop d’orgeat ni menthe à l’eau. Certes, ce n’est pas léger, mais ça dure longtemps.
Des magazines français
Ça permet aussi de s’occuper dans l’avion.
Des fromages
Evidemment ! Mais pas n’importe lesquels : les fromages au lait cru sont interdits de voyages transatlantiques (et pourront vous valoir une amende).
Sauce soja sucrée
Bien meilleure que la sauce soja salée !
Le gel nettoyant Avène
On a tous eu ce gel nettoyant… Aux États-Unis, il coûte deux fois plus cher.
Une bonne bouteille
Parce qu’il y a dix fois plus de choix… Et que les grands crus y sont bien moins chers qu’ici.
Des soupes en sachets
Parce que l’hiver, c’est pratique, et que les soupes lyophilisées que l’on trouve aux Etats-Unis sont nettement moins bonnes et moins variées.
Ordinateur avec un clavier AZERTY
C’est plus pratique pour les accents.
Des espadrilles achetées au marché
Vous n’en trouverez pas aux États-Unis !
Des alternatives au Nutella
Car il faut penser à la planète et à sa santé.
Des épices
Bien plus abordables en France.
De la moutarde (vraiment) forte
Celles que l’on trouve aux Etats-Unis n’ont jamais la puissance des moutardes françaises.
Un "apéro des nouveaux" et un barbecue avec Austin Accueil
Austin Accueil fait ce qu’elle sait faire de mieux en septembre: elle accueille. L’association d’accompagnement des nouveaux immigrés francophones à Austin organise son “apéro des nouveaux” le vendredi 6 septembre au domicile de l’une des membres. Cet apéro s’adresse aux Français qui viennent d’arriver en ville. Pour s’inscrire, écrire à presidence@austinaccueil.org
Le 15 septembre, l’association déroule la nappe pour son “BBQ pique-nique” de rentrée au Pease Park (1100 Kingsbury St). Formule potluck. Les participants sont invités à venir avec leurs plats sucrés ou salés. Austin Accueil fournira les boissons et les grillades. Inscription avant le 12 septembre à l’adresse suivante : [email protected]. $5 pour les non-membres
Lever de rideau sur "Roméo et Juliette" au San Francisco Opera
La 97ème saison de l’Opéra de San Francisco sera lancée le vendredi 6 septembre avec l’adaptation de l’oeuvre de William Shakespeare, Romeo and Juliet, par le compositeur français Charles Gounod (1818-1893).
Sous la direction du chef d’orchestre franco-canadien Yves Abel et du metteur en scène français Jean-Louis Grinda, directeur de l’opéra de Monte Carlo, la pièce sera jouée jusqu’au 1er octobre.
Roméo et Juliette n’avait pas été produite sur la scène du San Francisco Opera depuis 32 ans. Gounod a écrit sa version en 1867, soit huit ans après son chef d’oeuvre Faust. Pour interpréter un tel monument classique, deux chanteurs ayant sévi dans les salles d’opéra les plus prestigieuses du monde : le ténor Bryan Hymel (Roméo) et la soprano Nadine Sierra (Juliette). L’opéra sera chanté en français et sous-titré en anglais.
Houston Expat Pro fait son déjeuner de rentrée (et il y aura des crêpes)
L’heure de la rentrée a sonné. Ce n’est pas Houston Expat Pro (HEP) qui dira le contraire. L’association de conjoints d’expatriés de Houston se retrouve le vendredi 6 septembre pour son déjeuner de rentrée chez Julie’s French Pastries. L’inscription est obligatoire.
Les participants auront la possibilité de renouveler leur adhésion ou de s’inscrire, tout en profitant de bonnes crêpes salées et sucrées. L’association en profitera aussi pour présenter son nouveau conseil d’administration et le programme de l’année 2019-2020. Une formule déjeuner (quiche + salade + thé ou café simple à $12.50 hors taxes) sera proposée à la charge des participants.
Fondé en 2014, HEP est un réseau d’entraide pour conjoints d’expatriés. L’association organise des ateliers et des salons visant à mettre en avant les produits et les services proposés par ses membres.
Nicolas Sarkozy invité du gala de la Sciences Po American Foundation à New York
Pour son gala 2019, la Sciences Po American Foundation s’offre un invité de marque. L’ancien président Nicolas Sarkozy sera l’invité d’honneur de cette soirée, qui aura lieu le 18 novembre à Gotham Hall.
Pendant l’événement, l’ex-chef de l’Etat participera à un entretien avec la journaliste Hala Gorani, présentatrice de l’émission Hala Gorani Tonight et correspondante à Londres de la chaine d’information internationale CNN International. Les tables et tickets vont de 1 250 dollars à 50 000. Il est possible d’acheter des places individuelles en rejoignant une liste d’attente.
La fondation lève de fonds pour accroitre la visibilité et l’attractivité de Sciences Po aux Etats-Unis. Elle a notamment pour mission de faire la promotion des programmes de l’Institut auprès des étudiants et enseignants américains.
Le légendaire Paris Theatre ferme ses portes après 71 ans à New York
C’est par une note imprimée et affichée sur la porte que les habitués ont appris la mauvaise nouvelle. Après la fermeture du Ziegfeld Theatre en 2016, le Paris Theatre, seul cinéma à écran unique à New York, a fermé ses portes faute de pouvoir renouveler son bail.
Ouvert par Pathé Cinéma en 1948 et inaugurée par l’actrice Marlène Dietrich, le « Paris » avait tout d’une icône du cinéma. Pendant longtemps, on y passait un seul film par semaine et sans publicité. « Ces modèles sont difficiles à tenir parce que le business s’appuie sur un seul film » précise Adeline Monzier, représentante d’UniFrance pour les Etats-Unis.
Situé à proximité du Plaza Hotel et de Central Park, à quelques pas de la Cinquième avenue, le Paris fut longtemps un vrai repère, lieu de rencontre et d’échanges entre amateurs du 7ème art, intellectuels et stars hollywoodiennes. Selon Adeline Monzier, « c’était une salle qui avait son succès, ses fidèles, qui travaillait avec des distributeurs indépendants et qui mettait en avant des films d’auteurs porteurs, étrangers, français, mais aussi allemands ou italiens ».
Le théâtre aux 586 places était l’un des plus anciens cinémas d’art et d’essai aux Etats-Unis. Cette fermeture, et celle du Lincoln Plaza Cinema en 2018, ont un « vrai impact pour ce genre de distributeurs indépendants”, explique Adeline Monzier. C‘est « une ère qui s’achève à Midtown ».
Ouragan Dorian : l’appel à la générosité pour les sinistrés des Bahamas
Dorian a semé le chaos aux Bahamas. À la suite du passage dévastateur de l’ouragan sur cet archipel des Caraïbes, les appels aux dons se sont multipliés pour venir en aide aux populations sinistrées.
Miami a échappé au pire de l’ouragan, mais se mobilise pour ses voisins, via plusieurs associations qui organisent des collectes de produits de première nécessité. Bouteilles d’eau, boîtes de conserves ou encore couches pour bébé peuvent être déposées dans une quinzaine de points de collecte répartis dans la ville. À Miami Beach, les pompiers font appel à la générosité des citoyens. Les quatre casernes de la ville ont ouvert leurs portes afin de recueillir également des denrées non périssables.
La division des Bahamas de la Croix Rouge a également appelé à la solidarité pour venir en aide aux enfants et aux familles qui ont tout perdu suite au passage de l’ouragan.
L’ouragan Dorian qui s’est abattu dimanche 1er septembre sur les îles Abacos, deuxième plus grand territoire de l’archipel des Bahamas, avant de poursuivre sa trajectoire vers Grand Bahama, a engendré des dégâts considérables. Il aurait fait 7 morts et des dizaines de blessés et aurait détruit plus de 13.000 habitations. Un bilan provisoire qui pourrait encore s’alourdir selon les autorités bahaméennes.
Actuellement, Dorian, rétrogradé en ouragan de catégorie 2, poursuit sa route le long de la Côte Est de la Floride, la Géorgie et la Caroline du Sud.