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EFNY lance un after-school français dans l'Upper East Side

Désolé de le rappeler: l’heure de la rentrée approche. L’association d’after-schools en français EFNY (Education Française New York) vient d’ouvrir les inscriptions pour son nouveau programme, qui démarrera le mardi 10 septembre à PS 527 (East Side School for Social Action) dans l’Upper East Side. Il est destiné aux locuteurs français natifs et à ceux qui veulent l’apprendre.
Pour les jeunes francophones, plusieurs after-schools sont disponibles en fonction de l’âge (maternelle et First Grade, 2nd et 3rd grade). Ces deux classes auront lieu les mardis après-midi, de 2:30pm à 5:30pm. Les enfants anglophones (K-1st, 2nd-4th grade) peuvent eux aussi s’améliorer en français grâce à un cours adapté, tous les jeudis après-midi, également de 2:30pm à 5:30pm. Dans les différents cours, l’accent sera mis sur le développement de compétences linguistiques à l’oral, l’écrit et en lecture.
Les cours se termineront jeudi 23 janvier. Pour un semestre, les prix varient de $625 pour les natifs à $660 pour les anglophones.

Miami Spice 2019 bat son plein jusqu'au 30 septembre

S’offrir un bon restaurant à prix abordable ? C’est possible grâce à Miami Spice, l’événement favori des foodies de Miami. Du 1er août au 30 septembre, découvrez les meilleurs restaurants de la ville et de ses alentours pour 23$ le déjeuner/brunch et 39$ le dîner (entrée-plat-dessert).
C’est l’occasion de déguster les plats de chefs cuisiniers réputés à prix réduit dans les 258 restaurants participants répartis dans une vingtaine de quartiers: cuisine italienne chez Scarpetta by Scott Conant, cuisine française à La Petite Maison ou encore fruits de mer chez Lure Fishbar… Il y en a pour tous les goûts.
Vingt-et-un restaurants ont rejoint l’événement cette année. Parmi eux: Ad Lib (Coral Gables), Bakan (Wynwood), La Cerveceria de Barrio (Miami Beach), La Estacion American Brasserie (Central Fare), La Placita (MiMo) ou encore the Jim and Neesie (au sein de Generator Miami). C’est la 18e édition de ce grand rendez-vous des gourmands et des gourmets. Réservation conseillée.

Odile Roujol, marraine française de la Beauty Tech à Los Angeles

Qu’une Française ait créé une communauté Fab Fashion and Beauty Tech n’est pas surprenant. Quand on sait qu’elle fut PDG de Lancôme International à l’âge de 37 ans, cela prend un autre sens.
Enhardie par vingt ans d’expérience dans la cosmétique, Odile Roujol a commencé l’aventure à San Francisco. Son pari: regrouper les entrepreneurs de la tech qui évoluent dans l’industrie de la mode et de la beauté. “La première réunion s’est déroulée dans mon salon en septembre 2017, on était soixante-dix”, se rappelle-t-elle. L’objectif de ces meet up : partager des expériences et créer des connexions entre investisseurs et start-ups. “C’est une conversation, pas un monologue de l’invité”, insiste la Française, précisant que l’audience est à 70% féminine.
Aujourd’hui, cette communauté s’est étendue. Elle a rassemblé en 2018 plus de 1.500 personnes sur quinze réunions à New York, Berlin, Londres, Sao Paulo, Shanghaï (liste non-exhaustive), ou encore Los Angeles, où le lancement a eu lieu le 17 janvier. La prochaine rencontre aura lieu le 17 septembre à Upfront Ventures, à Los Angeles. A l’instar des autres chapitres, la communauté locale est animée par une volontaire, Camille Çabale-Téhard, une ancienne du réseau FrenchFounders. “On adapte les thèmes des réunions aux écosystèmes. A Los Angeles, par exemple, il y a une diversité culturelle, l’influence du lifestyle, une conscience environnementale, ainsi que beaucoup de micro-investisseurs et de fournisseurs locaux. L.A est amenée à jouer un rôle important pour les marques en “direct-to-consumer” mode ou beauté.”
Odile Roujol aspire à faire évoluer la communauté en incorporant davantage l’aspect mode, et en proposant plus de services, telle qu’une aide au recrutement de talents. “Je pense que dans un proche futur, notre communauté pourrait atteindre les 5.000 membres, entrepreneurs et équipes proches.”
Après treize années dans le groupe L’Oréal – et notamment chez Lancôme -, elle est devenue directrice de la communication, puis responsable des données et de la stratégie chez Orange. Au cours de voyages pour rencontrer les acteurs de la Silicon Valley, elle découvre San Francisco et en apprécie l’esprit humble (“ici le succès n’est jamais acquis et on continue à apprendre tous les jours”). Depuis trois ans, elle a emménagé sur les hauteurs de Corona Heights à San Francisco. Sur place, Odile Roujol va frapper aux portes… Résultat : elle conseille aujourd’hui des start-ups, comme des sociétés de capital risque (VC). Forte de son réseau local, une amie lui a alors suggéré l’idée d’animer une communauté autour de la beauty tech “pour le plaisir”.
A ce moment-là, elle regrettait le peu d’intérêt de la Bay Area pour ce secteur. “Si vous lancez une innovation pour des bougies ou des soutien-gorges, les investisseurs ne sont pas dans leur zone de confort. Ici, on est au royaume du B2B et de l’intelligence artificielle.” Elle déplore ainsi que seuls 2% des fonds investis soient destinés aux entreprises fondées par des femmes alors qu’elles représentent 16% des entrepreneurs. “C’est en train de changer doucement, et je pense que les investisseurs sont plus sensibles au sujet qu’il y a quelques années.”
Pour elle, le futur de cette industrie passera par l’application de la computer vision (vision par ordinateur) aux vidéos. “Elevée par les tutoriels et YouTube, la nouvelle génération veut plus d’expériences et d’interactions avec une communauté.” Autre versant : l’application de l’intelligence artificielle pour trouver de nouveaux clients, tout en respectant la propriété privée, que ce soit pour offrir des consultations en ligne ou des soins sur mesure.
L’Asie va également jouer un rôle important. “La Chine représentera bientôt plus de 50% des volumes dans le luxe ; quand l’Indonésie est la quatrième population mondiale et a 50% de clients potentiels en dessous de 30 ans”. Après Dubaï, elle va donc démarrer un chapitre Fab Fashion and Beauty Tech Singapour.

Elodie Attias monte sur les planches à Los Angeles

Alors que les Américains ne jurent que par Amy Schumer et Ali Wong, les Français pourraient être séduits par leur représentante locale. Elodie Attias présentera à Los Angeles, où elle vit, son premier one woman show. “Elo…Dis nous tout” sera joué sur la scène du Santa Monica Playhouse le jeudi 22 août à 8pm.
Dans ce spectacle humoristique, la Française revient sur son parcours, sa vie et ses affres. Expatriée depuis plus de deux années, la trentenaire s’est déjà confrontée au public en dehors des planches. Elle a publié “La Carte blanche” aux éditions JC Lattes, un livre dans lequel elle retrace son combat contre son cancer des os, diagnostiqué en 2005, alors qu’elle a 23 ans. Et comment la carte verte lui a sauvé la vie.

L'Atelier de Joël Robuchon et Le Jardinier ouvrent enfin à Miami

L’Atelier de Joël Robuchon et Le Jardinier ouvrent enfin leurs portes dans le Design District de Miami. Déjà présent à New York, Las Vegas, Paris, Londres et Tokyo, L’Atelier de Joël Robuchon accueillera ses premiers clients à partir du mercredi 28 août. Le Jardinier verra le jour le 16 août. Les deux restaurants seront situés à Paradise Plaza, au 151 N.E. 41st St.
Localisé à l’étage, L’Atelier disposera de 34 places au comptoir qui donnera sur une cuisine ouverte et de 20 places aux tables. Au rez-de-chaussée, Le Jardinier mettra l’accent sur les légumes et en cultivera notamment dans un jardin sur le toit. Plus grand que L’Atelier de Joël Robuchon, il accueillera jusqu’à 108 personnes en salle, dont 64 en terrasse et 17 à son comptoir en marbre, selon le South Florida Business Journal. Le Jardinier existe déjà à New York, où il est dirigé par le chef Alain Verzeroli, qui a passé 21 ans dans les cuisines de Joël Robuchon en France et en Asie.
Le Jardinier ne figurait pas dans le projet initial d’Invest Hospitality, la société new-yorkaise à l’origine de cette implantation prévue en 2016. L’Atelier devait être associé à un espace lounge, Le Bar. La Boutique, une boulangerie-pâtisserie proposant du pain fabriqué sur place ainsi que des gourmandises sucrées, devait également voir le jour.

Révolution bilingue, Ep. 10: Marc Maurice et son "école de la francophonie" à Harlem

Chef d’établissement, éducateur passionné et défenseur de la diversité linguistique et culturelle, Marc Maurice est l’invité du 10ème épisode de notre podcast Révolution Bilingue.
Né en Haïti et installé aux États-Unis depuis les années 70, il nous parle de son intégration difficile dans ce pays, du multilinguisme en Haïti et de la New York French-American Charter School (NYFACS), une école bilingue unique en son genre qu’il dirige depuis quelques années à Harlem.
Le podcast “Révolution Bilingue” est proposé par French Morning avec le soutien de CALEC (Center for the Advancement of Languages, Education, and Communities).
Écoutez l’épisode ici, sur le site de French Morning ou sur iTunes Podcast.
Listen to “Episode 10: Marc Maurice, à l’école de la francophonie” on Spreaker.

Carte verte, visas: Donald Trump veut favoriser les immigrés les plus fortunés

Le gouvernement Trump donne un nouveau tour de vis migratoire. Le Department of Homeland Security (DHS) a annoncé, lundi 12 août, la mise en oeuvre d’une nouvelle réglementation qui rendra plus difficile l’obtention du statut de résident permanent ou temporaire pour les immigrés susceptibles de représenter une charge financière pour l’Etat américain. La règle, qui doit être publiée le 14 août sur le site de DHS, doit entrer en vigueur le 15 octobre.
L’objectif de l’administration Trump: favoriser les immigrés qui ont les ressources nécessaires (via leurs propres fonds, ceux de leur famille ou d’un organisme privé) pour être “auto-suffisants” aux Etats-Unis et ainsi ne pas avoir recours aux programmes d’assistance publics. Cette exigence ne date pas de Donald Trump, mais la nouvelle règle précise les conditions d’inéligibilité. Elle définit par exemple comme “charge publique” tout individu ayant bénéficié de certaines aides publiques pendant au moins douze mois sur une période de trente-six mois (deux aides reçues le même mois comptent pour deux mois, précise l’agence). Elle énumère également les programmes dans les domaines de la santé, de l’alimentaire ou encore du logement par exemple qui peuvent donner lieu à un rejet du dossier.
Outre les ressources financières, d’autres facteurs seront davantage pris en compte au moment de l’étude du dossier, comme la santé, l’âge et le niveau d’éducation du demandeur, selon plusieurs médias et associations. D’après l’administration, ces facteurs sont susceptibles de peser sur la décision d’un individu de recourir à l’aide sociale.
Sont exclues les personnes qui immigrent aux Etats-Unis pour des raisons humanitaires et certaines catégories spécifiques d’individus (enfants adoptés, membres de l’armée…). “L’administration parle de plus en plus de mettre l’accent sur l’immigration dite de qualité, c’est à dire les personnes qui peuvent apporter une valeur ajoutée par leurs investissements ou leurs compétences“, explique Me Nathaniel Muller, avocat d’immigration à New York.
Dans notre histoire, l’auto-suffisance a été au coeur du rêve américain, a justifié Ken Cuccinelli, directeur par intérim de l’USCIS, l’agence chargée de l’immigration. L’auto-suffisance, le travail, la persévérance ont servi de base à notre nation et forgé des générations d’immigrés travaillant dur et cherchant des opportunités aux Etats-Unis“. Plusieurs groupes ont condamné cette mesure, craignant qu’elle ne pousse les immigrés les plus fragiles à renoncer aux programmes d’aides par peur de représailles. Les comtés de San Francisco et Santa Clara ont initié des poursuites judiciaires pour bloquer ce nouveau règlement.
 

Le programme bilingue de PS 5 à Brooklyn cherche un.e enseignant.e

Avis aux enseignants francophones. L’école publique PS 5 Dr Ronald McNair, située dans le quartier de Bed Stuy, recherche un.e instituteur.rice pour son nouveau programme bilingue français-anglais. Celui-ci doit voir le jour à la rentrée.
L’école est à la recherche d’un.e enseignant.e de Pre-K certifié.e par l’Etat de New York et qui doit être capable de parler, d’écrire et de lire en français. Les candidats sont priés de contacter l’enseignante Cindi Van Petten à [email protected] ou au 718-218-2444. Lancé à l’initiative du Français Benoit Busseuil, parent d’élève à PS 5, le programme bilingue est le seul cursus français-anglais à voir le jour dans le public new-yorkais à la rentrée. Ces programmes d’immersion comprennent généralement des groupes d’enfants francophones et anglophones qui suivent les enseignements dans les deux langues.

Les visites guidées de Washington en français

Vous souhaitez visiter la capitale américaine, mais votre niveau d’anglais ne vous permet pas de comprendre un guide raconter la vie d’Abraham Lincoln en anglais ? Pas de panique, il existe quelques visites guidées en français à Washington.
Caminando Tour DC 
Originaire de Puerto Rico, Rafael Cortes a vécu et étudié à Lyon et à Paris pendant plusieurs années. Après avoir porté son sac à dos dans 75 pays, le jeune homme a décidé de poser ses valises à Washington et a monté son entreprise de visites guidées en 2016. Dans un français presque parfait, le jeune homme propose plusieurs visites, qui durent entre deux et quatre heures. Du Washington Mall au Tidal Bassin (le plus populaire), en passant par Capitol Hill, Georgetown ou encore le cimetière d’Arlington, Rafael Cortes arpente les rues de la capitale américaine, qu’il connaît par cœur. Les tarifs varient entre 35 et 50 dollars par personne, gratuit pour les moins de 11 ans. Visites sur réservation. Plus d’informations ici.
Washington en français 
Franco-allemande et expatriée à Washington depuis 2013, Catherine Rochereul a vécu en Allemagne pendant une vingtaine d’années. En 2018, elle a fondé Washington en français, une société de visites guidées de Washington en français. Issue d’une carrière dans le marketing et l’interculturel, elle a décidé de proposer des tours de la capitale en fonction de quartiers et de thèmes bien précis, comme la visite de Washington pour les “Accros du ciné”. En parallèle, elle partage son expérience sur son blog HowToGuide.org, un blog professionnel en anglais. Comptez entre 49 dollars pour “Washington et les accros du ciné” et 59 dollars pour le “Très Grand Tour de Washington”. Les visites sont entièrement en français et durent entre 3,5 et 5 heures.
Les visites culturelles de Washington Accueil Association
L’association francophone propose des visites de quartier de Washington et de ses environs une fois par mois. Animées gratuitement par des guides professionnels et par la Française Valérie Capdevila, les visites sont en anglais et en français en fonction du guide. Chaque tour dure environ 2h30, les thèmes des visites sont uniques et évoquent des périodes historiques méconnues du public. Pour participer, il faut adhérer annuellement à Washington Accueil Association (50 dollars pour l’année).
Prendre le “Big bus”

Si la météo le permet, vous pouvez vous lancer dans une visite en bus de la capitale. Les célèbres “Big Bus” arpentent les grandes avenues et s’arrêtent à 35 endroits emblématiques de Washington. Certes, c’est touristique, mais c’est également un moyen de découvrir les principaux bâtiments de Washington. Le circuit se déroule en anglais, mais des commentaires enregistrés sont disponibles en français. Comptez environ 50 dollars pour un ticket valable une journée.

L'Alliance française de Westchester fête la rentrée

C’est plus sympa que la rentrée des classes. L’Alliance française de Westchester organise sa “Fête de la Rentrée” le 20 septembre. Membres et non-membres sont conviés.
L’Alliance promet du vin, de la musique live et des petits fours lors de cette “soirée de l’amitié“. Elle en profitera pour parler du calendrier de l’automne 2019. Les membres sont invités à venir avec un ami francophile gratuitement. L’entrée pour les non-membres coûtera 25 dollars. Ils pourront devenir membre de l’Alliance sur place. Fondé en 1962, l’organisme propose des cours de français pour tous les niveaux et organise des programmes culturels divers en lien avec la France.

Avec l’application MyPrivateCoach, Bérénice Boursier-Baudouin révolutionne le coaching en ligne

(Article partenaire) Si vous avez déjà ressenti le besoin de consulter un coach personnel pour savoir comment gérer certains problèmes dans votre vie ou être motivé·e et conseillé·e, l’application MyPrivateCoach est faite pour vous.
Créée par la psychanalyste française Bérénice Boursier-Baudouin, l’application est une plateforme de mise en relation entre particuliers et coaches certifiés, qui permet à ses utilisateurs de trouver facilement des coaches experts dans leur domaine pour un service sur-mesure en fonction de leurs besoins. L’application sera disponible dès septembre sur l’Apple Store et Google Play.

Le but : révolutionner le monde du coaching en ligne et le mettre à la portée de tous

En rendant les services de coaches expérimentés accessibles à toutes et à tous, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, le but de cette application est de démocratiser le coaching en ligne. Bérénice Boursier-Baudouin, la fondatrice de MyPrivateCoach, a plus de 20 ans d’expérience en coaching à son actif. Elle est aujourd’hui établie à Miami et spécialisée dans l’expatriation et les traumas de la vie. Elle explique sa démarche: Bien que basée aux États-Unis, je réalise de nombreuses consultations et séances de coaching et thérapie par téléphone ou vidéoconférence avec des francophones du monde entier. J’ai remarqué que les patients avec lesquels j’effectue ces consultations en ligne ou par téléphone ont beaucoup plus de facilité à s’ouvrir, et à parler sans tabou de leurs problèmes afin d’obtenir des réponses rapidement.”
Pourquoi cette différence ? “C’est très simple : les thérapies ou les séances de coaching en ligne donnent de la souplesse et de la liberté à l’échange, sans ce sentiment d’être jugé ou étiqueté qui peut être présent quand le coach et le patient vivent dans la même ville et connaissent potentiellement les mêmes personnes. De plus, les nouvelles générations préfèrent les services en ligne, où ils n’ont pas besoin de se déplacer : c’est rapide, efficace et beaucoup moins cher.
« Avec MyPrivateCoach, je souhaite démocratiser le monde du coaching afin que toute personne à la recherche de soutien moral, d’écoute, de conseils ou de motivation puisse l’obtenir facilement, à moindre coût et en gardant l’anonymat, sans se déplacer en cabinet », continue-t-elle.
Les utilisateurs de l’application pourront en effet être rapidement mis en relation avec un coach qu’ils auront choisi, et commencer à dialoguer par SMS pour être conseillés, motivés, et atteindre leurs objectifs dans de très nombreux domaines tels que : l’amour, le sport, la nutrition, le travail, la beauté, la famille, le bien-être…

Une sélection rigoureuse des coaches

Pour être sélectionnés et pouvoir proposer leurs services sur MyPrivateCoach, les coaches doivent pouvoir justifier d’une certification reconnue et d’un minimum de 2 ans d’expérience. À la suite d’un premier test en ligne, ils doivent ensuite passer un entretien téléphonique permettant d’évaluer leurs motivations et leurs aptitudes relationnelles. Si la candidature est retenue, le coach pourra alors se créer un espace personnalisé sur la plateforme et commencer à proposer ses services.
À la fin d’une séance de coaching, les utilisateurs peuvent laisser une évaluation afin de communiquer sur leur niveau de satisfaction.

Plus de visibilité pour de nouvelles opportunités

Les coaches sélectionnés pour exercer sur MyPrivateCoach bénéficieront d’une visibilité unique et d’une véritable souplesse de travail. Ils pourront organiser leur agenda en fonction des creux dans leur activité principale, leur permettant ainsi de générer un revenu complémentaire notable. Ils auront également la liberté de pouvoir exercer leur activité où ils le souhaitent puisque la seule contrainte est de posséder un smartphone et une bonne connexion internet.
L’application MyPrivateCoach sera disponible dès septembre sur l’Apple Store et Google Play. Inscrivez-vous dès aujourd’hui et recevez des sessions de coaching gratuites ! Les coaches peuvent dès à présent envoyer leur candidature sur le site myprivatecoachapp.com.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Affaire Epstein: le nom du Français Jean-Luc Brunel refait surface

Un Français figure parmi les noms des hommes puissants impliqués dans l’affaire Epstein, le milliardaire américain inculpé en juillet pour trafic sexuel et décédé samedi 10 août. L’agent de mannequins Jean-Luc Brunel, dont l’entreprise MC 2 Model Management est basée à New York, Miami et Tel Aviv, est cité dans des documents judiciaires rendus publics vendredi 9 août, la veille du suicide de Jeffrey Epstein dans sa cellule à New York.
Jean-Luc Brunel serait impliqué dans le recrutement des jeunes filles, souvent mineures, avec lequel le financier déchu a eu des rapports sexuels dans ses nombreuses propriétés. L’avocat du Français n’a pas souhaité commenter ces accusations.
Celles-ci sont portées par Virginia Roberts Giuffre, que Jeffrey Epstein aurait forcé à avoir des relations sexuelles avec lui et d’autres hommes de pouvoir. Outre Jean-Luc Brunel, l’ancien gouverneur du Nouveau Mexique Bill Richardson, le Prince Andrew, un ancien sénateur, un financier et un ancien scientifique du MIT sont cités dans ces documents, qui proviennent d’une plainte pour diffamation initiée en 2016 par l’ancienne compagne de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell. Virginia Roberts Giuffre accusait cette dernière d’avoir participé au recrutement de jeunes filles pour le compte de son ex-compagnon.
Ce n’est pas la première fois que le nom de Jean-Luc Brunel, connu pour avoir découvert Christy Turlington et Milla Jovovich notamment, est associé à celui d’Epstein. En 2015, Virginia Roberts Giuffre avait accusé le Français d’avoir recruté des “dizaines de mineures” pour “nourrir le fort appétit” de Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell “pour avoir des rapports sexuels avec des mineurs“. Elle a aussi affirmé avoir participé à des orgies avec l’agent et eu des relations sexuelles avec lui à plusieurs reprises entre 16 et 19 ans. À l’époque, il avait “nié fortement” avoir “participé, directement ou indirectement, aux actions dont est accusé M. Jeffrey Epstein“. Aucun des hommes nommés dans les documents révélés vendredi n’a été poursuivi en lien avec l’affaire.