Comme en 2017 pour l’ouragan Irma, la chaine de Solidarité Hébergement a été ré-activée à l’approche de l’ouragan Dorian pour les Français du Sud-Est. L’initiative a été lancée par Elisabeth Marchal, conseillère consulaire pour la circonscription d’Atlanta (Alabama, Georgie, Mississippi, les Carolines et le Tennessee), qui couvre plusieurs Etats exposés à l’ouragan dévastateur.
Le principe: si vous avez besoin d’un hébergement ou que vous êtes en mesure d’accueillir des évacués, envoyez un e-mail à [email protected].
Après avoir balayé le nord des Bahamas comme ouragan de catégorie 5 – le plus puissant enregistré dans cette région -, dimanche 1er septembre et lundi 2, Dorian menace à présent la côte Est de Floride, la Georgie, la Caroline du Nord et du Sud. L’évacuation de plusieurs comtés a d’ores-et-déjà été décrétée dans ces différents Etats. Pour toute information sur l’évolution de l’ouragan Dorian, consulter la page du National Hurricane Center, le site des consulats de France à Atlanta et à Miami.
Ouragan Dorian: la chaine "Solidarité Hébergement" relancée à Atlanta
Bien Vivre à New York : le premier salon pour répondre à toutes les questions des expatriés français
La vie d’expatrié·e peut être un challenge. Que l’on soit fraîchement arrivé·e dans la Big Apple ou déjà installé·e depuis plusieurs années, on se pose forcément des tonnes de questions pratiques sur la manière de bien vivre notre expatriation.
Qui ne s’est jamais heurté à un credit score en se demandant ce que c’était, et surtout comment en voir un ? Si vous avez un patrimoine en France, savez-vous quelles sont les meilleures pratiques pour le gérer depuis les États-Unis ? Quant à la nourriture, qui nous est si chère, nous nous sommes tous déjà demandés comment continuer à manger sain (et bon) en vivant à New York, sans se ruiner pour autant…
C’est pour répondre à toutes ces questions et bien d’autres encore que French Morning organise ce 7 septembre le premier salon Bien Vivre à New York. Présenté par USAFrance Financials et organisé sous le haut patronage de Mme la Consule Générale Anne-Claire Legendre, ce salon sera l’occasion pour vous de venir rencontrer des experts francophones exerçant dans de nombreux domaines : finance, santé, éducation, domaine juridique, immobilier… Ils seront là pour répondre à toutes vos questions.
Le salon se déroulera de 10am à 5pm et sera divisé en deux espaces : d’un côté un espace de rencontres où vous pourrez discuter avec les experts francophones présents et leur poser vos questions tout au long de la journée, et de l’autre une salle de conférence avec un large programme d’interventions (liste complète ci-dessous).
L’accès au salon et aux conférences est gratuit, il vous suffit de vous inscrire ici.
PROGRAMME COMPLET DES CONFÉRENCES
10:00am – 10:30am
New York pour les nuls : ce qu’il faut savoir pour une installation réussie
10:35am – 11:20am
Vivre l’expatriation en couple : témoignages et conseils pour bien réussir à deux
11:30am – 12pm
S’expatrier en famille : les impacts juridiques sur votre vie personnelle
12:05pm – 12:50pm
Gérer votre patrimoine et votre fiscalité franco-américaine
12:55pm – 1:35pm
Acheter à New York : les conseils de professionnels pour acquérir un logement
1:45pm – 2:25pm
Expatriation et reconversion : se réinventer en lançant son business
2:30pm – 3:15pm
Je suis endetté donc je suis : tout comprendre du Credit américain
3:25pm – 4:05pm
Guide de survie alimentaire : manger sain et au bon prix à New York
4:15pm – 4:45pm
Trois ans de visa et après… : les réponses à vos questions sur l’immigration
En savoir plus sur les intervenants et exposants
Que faire à New York en septembre 2019 ?
L’équipe New York Off Road sélectionne chaque mois les activités à ne pas manquer dans la grosse pomme : festivals, spectacles, expositions, parades… Faites votre programme, le meilleur est à découvrir dans l’agenda de septembre 2019.
NYC Broadway Week
NYC Broadway Week (ci-dessus) est de retour du mardi 3 au dimanche 16 septembre. Profitez de la promotion “deux tickets pour un” pour voir ou revoir des classiques de Broadway comme “Wicked” et “Chicago” ou des nouvelles productions comme “Anastasia”, “Frozen” ou “Carousel”.
The Gospel at Colonus
La saison des événements gratuits à Central Park touche à sa fin. Profitez encore un peu du Delacorte Theater avec The Gospel at Colonus du mardi 4 au dimanche 9 septembre. Plus d’une quarantaine de chanteurs animent ce show exubérant et puissant qui revisite le classique “Oedipus at Colonus” en version blues et gospel.
Brooklyn Music Festival

Une journée de musique et d’art pour célébrer la diversité de Brooklyn avec la 5e édition du Brooklyn Music Festival le dimanche 16 septembre. Des artistes éclectiques et des concerts live de pop, disco, funk, rock alternatif, hip hop et house vous attendent au Erie Basin Park. Après plusieurs éditions sur Governors Island, l’événement est en effet de retour à Red Hook.
The Amazing Maize Maze

The Queens County Farm Museum propose des événements afin de sensibiliser le public aux pratiques agricoles durables. L’une des activités de l’automne est l’installation d’un labyrinthe dans un champ de maïs. Êtes-vous prêts à trouver les indices pour sortir de cet Amazing Maize Maze ? À partir du samedi 23 septembre et tous les week-ends jusqu’au samedi 29 octobre.
Tribute in light

En commémoration des attentats du 11 septembre 2001, Tribute in Light est un hommage en lumière à la mémoire des victimes. Au coucher du soleil et jusqu’à l’aube, deux projecteurs retracent dans le ciel le souvenir des tours jumelles. Le Mémorial reste ouvert jusqu’à minuit pour les visites. Un moment émouvant et symbolique.
"Au nom des pères": Mathieu Tazo replonge en 1942 à New York
Mathieu Tazo présentera son troisième roman Au nom des pères le samedi 14 septembre à la librairie Albertine. L’auteur répondra aux questions de Maurin Picard, journaliste et auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire américaine et la Seconde Guerre Mondiale.
Fruit de quatre années de travail, Au nom des pères est un récit historique qui se déroule en novembre 1942 à Marseille et Toulon, où l’auteur a grandi. Il retrace l’amitié entre trois jeunes résistants français sous l’Occupation, et remonte le fil de l’histoire jusqu’à leurs pères, soldats de la Première Guerre mondiale, pour tisser la filiation des haines et amitiés franco-allemandes.
L’auteur d’Au nom des pères a eu plusieurs vies avant de faire son entrée dans le cercle des écrivains. Footballeur jusqu’à l’âge de 18 ans en Provence, il passe ensuite par Paris où il suit son premier atelier d’écriture, avant de vivre à Londres. Il s’installe à New York il y a sept ans, où il travaille dans la banque.
Des exemplaires du roman seront disponibles à l’achat et à la signature.
Vino, Vidi, Vici, épisode 5: Julien Fayard, le "king" du rosé dans la Napa Valley
Dans l’épisode 5 de Vino Vidi Vici, Stéphanie Cabre nous emmène en virée dans la star des régions viticoles de Californie.
Elle s’entretient avec le “winemaker” originaire de Provence, Julien Fayard, qui a décidé notamment de se spécialiser dans la production de vin rosé au sein de sa société Azur. Alors que la France est le premier producteur et le premier exportateur de rosé, le Français a décidé de faire le sien aux Etats-Unis selon sa méthode provençale. Et ça marche! Car les Américains sont aujourd’hui de plus en plus fous de ce nectar qui met du soleil dans nos verres l’été.
Au menu de cette conversation : comment le rosé, longtemps critiqué, a repris ses lettres de noblesse, comment reconnait-on un rosé sec, l’effet Instagram sur les ventes de rosé aux Etats-Unis, les secrets de vinification et les particularités du terroir de la Napa Valley…
Cheers!
Ecoutez ici ou retrouvez-nous sur iTunes (et n’oubliez pas de donner 5 étoiles si vous aimez!)
Listen to “Episode 5: Julien Fayard, le king du rosé dans la Napa Valley” on Spreaker.
Il abandonne l’informatique pour devenir viticulteur au Texas
Benjamin Calais aime les défis. Au point d’en relever un qui ne s’avère pas des plus simples: devenir viticulteur… au Texas. Originaire de Calais, cet ancien consultant en informatique a implanté son entreprise viticole Calais Winery au cœur de la Texas Hill Country.
Cette région viticole, située à environ trois heures d’Austin et de Dallas, est aussi surnommée la route du vin. Au détour d’un virage, un drapeau français flotte discrètement au bord de la Highway 290 et conduit jusqu’à la cave. Casquette arborant les couleurs de son pays, t-shirt à l’effigie du vin, le jeune viticulteur tient à représenter la France. Trois fois par semaine, il anime des dégustations pour les nombreux curieux et adeptes de bouteilles haut de gamme.
“Je suis né en 1982, c’est la meilleure année de Bordeaux des 45 dernières années. Mon grand-père avait acheté beaucoup de vin de cette année, des Saint-Émilion grands crus. Depuis, ce vin a toujours une place spéciale pour moi”, se souvient le viticulteur de 36 ans.
Le jeune homme se tourne d’abord vers une autre voie et effectue des études d’ingénieur. Devenu consultant informatique pour une entreprise française, cette carrière lui ouvre les portes du Texas. Attirée par le boom des hautes-technologies qui font alors vibrer les grandes villes texanes, son entreprise lui propose un contrat d’expatrié pour participer au lancement d’un centre de recherche à Dallas. Benjamin Calais arrive en 2007 en terre conquise, puisqu’il y était allé plusieurs fois dans le cadre de son travail. “J’avais déjà goûté tous les vins du Texas et c’est allé vite, car peu de vins étaient bons”, se souvient-il.
Le passionné de vin n’a pas oublié le goût enivrant du Saint-Émilion de son grand-père. À peine arrivé à Dallas, il achète des vignes et créé Calais Winery. Après un peu plus d’un an, il se sépare de la société pour laquelle il était venu au Texas et se consacre entièrement à la production de vin. Avec un visa Investisseur (E-2) en poche, il arpente alors les vignes texanes à la recherche de bons terroirs.
En 2007, le Texas comptait une centaine de licences viticoles, dont la plupart utilisait des raisins originaires de Californie pour confectionner leur vin. Tout est à découvrir. Benjamin Calais a alors une idée : produire du vin haut de gamme sur le sol semi-aride du Texas.
Malgré plusieurs récoltes difficiles, il n’a jamais laissé tomber son rêve américain. Sa production est récoltée au Texas à base de cépages principaux de Bordelais. Calais Winery produit environ 2 500 caisses par an (30 000 bouteilles) et possède près de 7 hectares de vignes. “C’est évident que cela n’aurait pas été possible en France, il n’y a plus trop d’espace pour créer une petite exploitation. Le Texas était parfait, car il y a un aspect très libre. Il n’y a pas énormément d’endroits sur la planète où c’est encore réalisable”.
Le Texas est composé essentiellement de petits producteurs, ce qui réjouit le Français : “Nous vendons l’intégralité de notre vin par notre cave, ce qui est le rêve de nombreux exploitants en France. Nous avons une relation avec l’intégralité de nos clients”, s’enthousiasme-t-il. Après onze ans au Texas, le passionné souhaite désormais participer à l’amélioration de la qualité du vin texan, en plein essor.
La révision des visas E-1 et E-2 pour la France est reportée
Mis à jour avec le commentaire du Département d’Etat
Le raccourcissement des visas E devait entrer en vigueur le jeudi 29 août. Cela ne sera pas le cas.
L’Ambassade des Etats-Unis en France annonce sur son site, dans une formule laconique, que le “programme de réciprocité” des visas E pour la France sera désormais effectif le 26 septembre, sans préciser si la nouvelle durée prévue pour ces visas est maintenue à 15 mois. Le Département d’Etat a indiqué dans un e-mail, jeudi 29 août, que “tout changement ou mise à jour du programme de réciprocité du visa sera annoncé avant la date du 26 septembre“.
Ce changement de date donnera certainement un peu de répit aux investisseurs et entrepreneurs français aux Etats-Unis qui avaient manifesté de vives inquiétudes à l’annonce surprise, fin août, du raccourcissement de ce visa de 60 mois (5 ans) à 15 mois. Les autorités américaines avaient indiqué alors qu’elles s’alignaient sur la durée de validité de visas similaires en France.
Les visas E sont attribués aux citoyens de pays qui ont un traité de commerce et de navigation avec les Etats-Unis, comme la France. Le visa E-2 est accordé aux individus qui réalisent un investissement substantiel sur le sol américain, comme les créateurs d’entreprises. Le visa E-1, lui, est donné aux personnes qui participent aux échanges commerciaux (services, biens, finance, tourisme…) avec les Etats-Unis. L’entreprise du demandeur doit être en mesure de prouver qu’elle réalise des échanges “substantiels” – c’est-à-dire “continus” et impliquant des transactions “de taille conséquente” – avec les US.
Selon Hervé Linder, avocat d’immigration à New York au sein du cabinet Ernst & Linder, ce report suggère qu’ils “sont en train de négocier la durée” du visa E pour arriver à un “compromis“. En France, les investisseurs étrangers peuvent demander un visa de longue durée d’un an, puis un titre de séjour de quatre ans en fonction de leur profil. “S’ils ont changé la date sans préciser de nouvelle durée, c’est qu’ils sont en train en parler.”
L’Ambassade de France aux Etats-Unis s’est félicitée de ce report et indique que les services de l’Etat continuent à travailler avec le Département d’Etat. Le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure a indiqué sur twitter, jeudi, que les autorités françaises poursuivaient leurs “efforts pour des conditions plus favorables“.
Luc Julia: “J’en ai un peu marre qu’on me parle de Siri”
Constamment décrit comme le grand-père de Siri, Luc Julia fait partie de ces Français de la Baie de San Francisco qu’on ne présente plus. Spécialiste des interfaces homme-machine, conférencier, CTO et vice président de l’innovation chez Samsung Electronics: il touche à tout mais surtout à la technologie.
Le mardi 3 septembre, il participera à l’inauguration du groupe Sorbonne Alumni où il présentera son premier livre, “L’intelligence artificielle n’existe pas”, aux côtés d’Arnaud Auger Sengupta, responsable du club à San Francisco. Et le 24 septembre, il sera à New York où il s’exprimera lors de la finale du concours de startups, le Startup Tour.
Celui qui est devenu l’avocat de l’IA (intelligence artificielle) s’intéresse depuis longtemps au monde de la tech. À l’âge de 9 ans, cet inventeur en herbe a construit son propre robot pour faire son lit. Cette soif de créer et de simplifier le quotidien humain ne l’a jamais quitté. “Je suis arrivé dans la tech au moment même où l’informatique personnelle commençait à se développer, tout comme l’internet. J’ai pu vivre ces grands moments depuis la Silicon Valley et ce, dès mon arrivée en 1993.”
En l’espace d’une vingtaine d’années, il a eu l’occasion de travailler pour de nombreuses compagnies, dont Hewlett-Packard, Apple et Samsung. Il a passé un nombre incalculable d’heures dans les laboratoires de l’entreprise de recherche scientifique SRI International à penser les innovations de demain et a breveté plus d’une quarantaine d’inventions. La plus connue s’appelle Siri. A la fin des années 90, il créé aux côtés d’Adam Cheyer la fonctionnalité la plus loquace de l’iPhone. Aujourd’hui encore, la voix d’Apple revendique plus de 500 millions d’utilisateurs par mois. Un succès satisfaisant pour Luc Julia, qui a malgré tout fini par s’en lasser.
“On résume souvent ma carrière à Siri, on me présente souvent comme son grand-père fondateur et pour être honnête, j’en ai un peu marre, avoue-t-il. Qu’on ne me méprenne pas, je suis très heureux du succès qu’on a eu et je ne ferai absolument pas les choses différemment. Seulement, Siri n’a rien d’extraordinaire. Au moment de sa sortie, ça semblait incroyable et révolutionnaire. Aujourd’hui, c’est une technologie qui a assez mal vieilli.”
Lancée en 2011 par Apple, Siri a été rapidement rendue obsolète par ses concurrents (Alexa et Google Home). Pour Luc Julia, cela n’a rien de surprenant. “On a fait croire que Siri était plus que ce que c’était alors qu’on a seulement scénarisé les interactions potentielles. On a rajouté ce que j’appelle de la stupidité artificielle pour alimenter des small talks.”
L’intelligence artificielle est actuellement en vogue, mais elle est souvent associée dans l’imaginaire collectif à l’apocalypse ou aux robots qui asservissent les humains. Fatigué de ces clichés, Luc Julia a souhaité partager son opinion dans “L’intelligence artificielle n’existe pas”. “Le but de mon livre était de rétablir la vérité et d’expliquer ce qu’est véritablement l’IA. La vraie intelligence artificielle, ce n’est pas celle que l’on voit au cinéma. Ce n’est pas celle qui, une fois robotisée, causera la fin du monde.”
En l’espace d’une centaine de pages, il revient sur l’histoire de ce concept technologique qui a changé nos vies depuis 1956. Il croise son parcours au sien, de sa ville natale à la Silicon Valley où le monde de demain s’invente. Son objectif: rassurer l’opinion publique. “Je reçois souvent des messages de collègues qui me remercient pour avoir remis les pendules à l’heure. Il y a aussi beaucoup de Monsieur-Madame tout le monde qui me contactent car ils se sentent rassurés.”
Seuls en Scène, du théâtre français gratuit à Princeton en septembre
Le festival Seuls en Scène, qui fait le bonheur des amoureux de théâtre français depuis 2012 à Princeton University, revient du jeudi 19 au samedi 28 septembre pour sa huitième édition. Organisé par Florent Masse, directeur artistique de l’Avant-Scène, l’atelier de théâtre du Département de français et d’italien de la prestigieuse université, le festival présentera huit pièces qui ont connu un retentissement en France.
Parmi elles, Le Marteau et la faucille de Julien Gosselin qui s’intéresse à notre rapport à l’argent, La loi des prodiges de François de Brauer, un one-man show dans lequel l’artiste interprète une vingtaine de personnages, ou encore Radio libre, pièce écrite par les journalistes Aurélie Charon et Caroline Gille à partir de rencontres faites à travers le monde.
Les spectacles sont présentés en français (sauf Radio Libre) et la plupart sont sous-titrés. L’entrée est gratuite mais la réservation est obligatoire.
Le programme complet:
Jeudi 19 à 8pm et vendredi 20 septembre à 6pm : Le désordre du discours, de Fanny de Chaillé. À McCosh 10, McCosh Hall. En français, avec sous-titres anglais.
Vendredi 20 et samedi 21 septembre à 8pm : Le Marteau et la faucille, de Julien Gosselin. Au Wallace Theater Lewis Arts Complex. En français, avec des sous-titres anglais.
Samedi 21 septembre à 2pm : Qui a tué mon père, de Stanislas Nordey. À Matthews Acting Studio, 185 Nassau Street. En français, avec des sous-titres anglais.
Dimanche 22 septembre à 5pm : Avignon à vie, de Pascal Rambert. Au Hearst Dance Theater Lewis Arts Complex. En français.
Mercredi 25 septembre à 4 et 8pm : blablabla, d’Emmanuelle Lafon, Joris Lacoste. Au Wallace Theater Lewis Arts Complex. En français.
Jeudi 26 et vendredi 27 septembre à 8pm : La Loi des prodiges, de François de Brauer. Au Matthews Acting Studio, 185 Nassau Street. En français.
Samedi 28 septembre à 2 et 8pm : Radio Live, d’Aurélie Charon, Caroline Gillet et Amélie Bonnin. Au Wallace Theater Lewis Arts Complex. En anglais.
Finale du Startup Tour: des prix réduits pour les lecteurs de French Morning
C’est l’événement business franco-américain de la rentrée. La finale du Startup Tour, organisée par le réseau FrenchFounders, aura lieu le 24 septembre à New York en présence de plusieurs entrepreneurs et cadres dirigeants de grandes entreprises, dont Ian Rogers, patron du digital au sein du groupe de luxe LVMH.
FrenchFounders offre pour l’occasion 50 tickets à prix réduits (-30%) pour les lecteurs de French Morning. Pour profiter de l’offre, il suffit de remplir les formulaires “early bird” ou “regular ticket” avant le 15 septembre et d’appliquer le code FM-STguest.
Sept jeunes entreprises françaises souhaitant se développer aux Etats-Unis et trois américaines visant le marché français se retrouveront dans le grand auditorium de BNP Paribas pour pitcher et tenter de remporter ce grand concours. À la clé, des séances de mentoring offertes par des membres du réseau et un bureau dans le co-working de FrenchFounders à New York, entre autres.
Les startups en lice pour le prix français sont:
–Sampler
–Ubees
–Crossing Minds
–Decidata
–Datadome
–Aceup
–Yobs Technology
Et pour le prix américain:
–OndaVia
–Parkwise
–Kova
Elles seront départagées par un jury constitué de figures de la tech, dont le fantasque business angel Fabrice Grinda, Paul Sagan du fonds d’investissement General Catalyst ou encore Géraldine le Meur, fondatrice de The Refiners. Le public pourra aussi voter pour son candidat favori. Egalement au programme de l’événement: discussions, networking et remise de prix à trente leaders business francophones aux Etats-Unis…