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Le bon jazz du French Twist Swing Quintet à New York

Ils vont replonger New York dans l’ambiance musicale des années 40-50 en France. Les musiciens du French Twist Swing Quintet donnent un concert le jeudi 18 avril au Feinstein’s 54 below.
Au programme: des classiques du jazz français (Yves Montand, Charles Trenet) et américain. Inspirés par le Hot Club de France, un club de jazzistes fondé en 1934 par le guitariste Django Reinhardt et le violoniste Stéphane Grappelli et actif jusque dans les années 40, ils joueront également leurs propres morceaux pour faire découvrir au public leur vision du swing moderne.
Le groupe est emmené par le pianiste Pierre Alexandre Petiot, qui a joué avec Charles Aznavour. Il comprend aussi la chanteuse Chloé Perrier, Yvonnick Prené (harmonica), Jim Robertson (basse) et Rodrigo Recabarren (percussion).
La soirée sera marquée par un hommage au chanteur Charles Aznavour, décédé en octobre.

Les peintures Instagram de Laurence de Valmy à San Francisco

L’une des foires d’art les plus prestigieuses de la baie de San Francisco vous ouvre ses portes. Du jeudi 25 avril au dimanche 28 avril, plus de soixante-dix galeries d’art moderne et contemporain, provenant du monde entier, ont rendez-vous au Fort Mason Center pour Art Market San Francisco.
La Kahn Gallery présentera le travail de la Française de Philadelphie Laurence de Valmy. Dans la série intitulée “POST”, elle créé des peintures qui se présentent comme des posts Instagram, basés sur la vie et les travaux de grands artistes (Vincent Van Gogh, Piet Mondrian, Andy Warhol, Manet et Berthe Morisot pour ne citer qu’eux). Le texte qui accompagne chaque image est un dialogue qui aurait pu se faire entre l’artiste et ceux qui le suivent si Instagram avait existé à l’époque.
D’autres galeries fondées par des Français participeront à la 9e édition de la foire: Azart Gallery et Muriel Guépin à New York, Nil Gallery à Paris…

Chez Gem, le chef a 20 ans

Flynn Mc Garry a tout d’un grand! Ce jeune prodige a officiellement débuté sa carrière de chef à l’âge de 11 ans! Oui, vous avez bien lu: 11 ans!
Grâce au soutien indéfectible de sa maman qui a su laisser son talent inné s’exprimer, il a ouvert son premier restaurant Eurêka, à l’âge de 13 ans à Los Angeles, suivi trois ans plus tard d’un pop-up à New York.
Repéré par Daniel Humm, il a fait ses classes au Eleven Madison Park et s’est installé l’année dernière dans le Lower East Side pour créer sa propre marque : Gem.
Avec sa bouille d’enfant et sa mèche rebelle, les media l’ont surnommé le “Justin Bieber de la cuisine” mais ne vous fiez pas aux apparences, à 20 ans à peine, il est l’un des chefs les plus prometteurs et reconnus de la ville.
Ses menus, composés d’une dizaine de plats, au gré de ses envies et des produits du marché, sont délicats et inventifs. Les saveurs sont subtiles et aussi surprenantes qu’improbables.
C’est lui-même qui assure les deux services, chaque soir, en salle pour les 16 couverts et qui décline ses recettes avec un brin de timidité, ce qui le rend très attachant.
Avant d’y aller, débrouillez-vous absolument pour visionner le très beau film-documentaire qui lui est consacré “Chef Flynn“. Un petit joyau.
Et sinon ?
Pour un drink dans le quartier, on vous recommande les bars du Public Hotel ou du Bowery Hotel. Après, un verre ou 2, si vos papilles font de la résistance et que vous recherchez une expérience moins gastronomique et plus animée, filez chez Freemans à quelques blocs. Un vrai cabinet de curiosité.

Denise Duesing, 85 ans et policière aux Etats-Unis

A 85 ans, Denise Duesing ne court pas après les gangsters un revolver à la main. Elle aide en revanche tous les jours depuis 40 ans les enfants de l’école de Richmond en Virginie à traverser la rue. “Je commence à 7h du matin. J’arrête le trafic, je siffle et je remets le trafic en route”, explique l’octogénaire française née à Jarny en Meurthe-et-Moselle. “A 7h40, je rentre chez moi et je reviens ensuite à 14h”.
Denise Duesing a déménagé aux Etats-Unis il y a 53 ans. “J’ai rencontré mon mari sur la base militaire de Chambley-Bussière (Meurthe-et-Moselle, fermée depuis). Je l’ai ensuite suivi au Nebraska quant-il a été affecté là-bas. Je n’avais pas envie d’habiter aux Etats-Unis à l’époque, mais sous la présidence de De Gaulle, les Américains n’étaient plus les bienvenus en France”.
Aux Etats-Unis, la Française est d’abord comptable au club des officiers de la base militaire d’Offutt (Nebraska). Là-bas, elle fait de belles rencontres comme celle de l’ancien président américain John Fitzgerald Kennedy et de l’acteur star d’Hollywood à l’époque James Stewart. Elle déménage avec son mari et ses sept enfants en 1965 pour la Virginie et le comté de Henrico. “C’est l’un de mes fils qui a trouvé une annonce de garde d’école pour la police de Henricot dans le journal. J’ai été prise tout de suite. Quand j’ai commencé, j’allais travailler avec mon plus jeune de 4 ans sur les bras“, se souvient-elle.
Elle ne quittera plus ce métier. “Mes enfants se sont mariés, mon mari est décédé il y a six ans, je vis seule dans une grande maison. Garder une activité m’occupe et me rend heureuse”, explique celle qui est connue et aimée de tous à Richmond. “On me traite bien et il y a une très bonne ambiance que ce soit avec le commandant, les parents ou les enfants”. 
Mamie hyperactive, Denise Duesing est aussi bénévole dans un hôpital de la ville où elle apporte “la communion à des malades en fin de vie“. Elle est également membre d’une amicale française, qui lui permet de ne pas perdre sa langue maternelle. “On se retrouve chaque mois avec une vingtaine de Français et de francophiles. On cuisine français et on ne parle que français”.
Denise Duesing garde un lien avec la France, où ses deux frères habitent toujours. “Je vais les voir tous les deux à trois ans pendant 15 jours. L’un d’eux habite d’ailleurs dans la maison d’enfance où nous avons grandi”. La Française de 85 ans n’exclut pas de rentrer un jour. “Les maisons de retraite sont très chères ici. On s’était dit avec mes belles-soeurs et cousines qu’on se retrouverait un jour dans une une maison de retraite à Jarny, et qu’on ferait la fête!”, confie l’octogénaire dans un sourire.
Enthousiaste et positive, Denise Duesing tient à donner sa recette du bonheur. “Quand je me suis mariée, deux amis m’ont acheté le livre “Le bonheur est en vous” de Marcelle Auclair. Ça m’a aidé spirituellement. Je n’ai toujours vu que le bien chez les gens et ils me le rendent bien”.

Les faux fruits du pâtissier Cédric Grolet vendus à New York

Ça ressemble à des fruits, mais ce ne sont pas des fruits. Les desserts aussi magiques que trompeurs du pâtissiers Cédric Grolet seront en vente à New York du vendredi 5 au dimanche 7 avril, dans la Dominique Ansel Bakery à SoHo. Le chef a été invité par Dominique Ansel à partager ses surprenantes créations.
Pendant ces trois jours gourmands, le chef-pâtissier du Meurice présentera quelques-uns de ses “fruits” en trompe l’oeil, qui lui valent d’être une star sur Instagram: le citron (rempli d’une marmelade au citron), la fraise (avec de la compote de fraise), la noisette (ganache de noisette, caramel, biscuit de noisette avec une touche d’or). Le Français, qui officie au Meurice depuis 2012, est considéré comme l’un des meilleurs chefs pâtissiers au monde.
Il est conseillé d’arriver tôt à la pâtisserie de Dominique Ansel pour cueillir les “fruits” de Cédric Grolet. Il seront en vente pour 18 dollars dès l’ouverture de la boutique.

Après "Les Chatouilles", la "vie va dans le bon sens" pour Andréa Bescond

Il y a un an tout juste, Andréa Bescond recevait une standing ovation au Théâtre du Lycée Français (TLF) après son interprétation de la pièce “Les Chatouilles”, largement inspirée des abus sexuels dont la comédienne a été victime enfant.
C’est donc sans bouder son plaisir qu’elle y revient le samedi 6 avril, pour en présenter l’adaption cinématographique en compagnie d’Eric Métayer, son co-réalisateur et compagnon. “On est super heureux de revenir, confie Andréa Bescond. On espère toucher un large public: “Les Chatouilles” parle surtout de reconstruction, sans scène choquante. On peut y venir en famille, à partir de 10 ans.” Le film sera en outre sous-titré en anglais, et une discussion avec les deux réalisateurs aura lieu à l’issue de la projection.
Entre ces deux passages à San Francisco, l’année 2018 a été riche en émotions. “Nous étions en plein jet lag, au retour de Californie, quand on nous a annoncé que le film avait été retenu pour la sélection “Un certain regard” au festival de Cannes.” Un mois plus tard, “Les Chatouilles” est projeté pour la première fois en public: “Un premier film, à Cannes en plus, et on reçoit une standing ovation de 20 minutes! C’est un des plus grands souvenirs de nos vies artistiques“, se remémore Andréa Bescond.
Les six mois suivants sont consacrés à faire la promotion du film grâce à une série d’avant-premières dans toute la France, jusqu’à sa sortie officielle, le 14 novembre 2018. “La première journée a été très bonne, mais la crise des gilets jaunes a commencé le week-end suivant, entraînant une désertion des salles. Heureusement, au final, nous avons comptabilisé 400.000 entrées, ce qui était au delà de nos espérances.
La consécration continue avec cinq nominations aux Césars: “On est allé à la cérémonie comme deux gamins qui vont à un anniversaire, le sourire jusqu’aux oreilles car on était sans doute les seuls à ne pas être blasés, plaisante Andréa Bescond. On pensait bien que Karin Viard obtiendrait le César du meilleur second rôle car elle faisait l’unanimité, mais le cadeau ultime, c’était le César de la meilleure adaptation car il symbolisait toute l’histoire de ce projet.”
Après cette année chargée, “riche en adrénaline“, Andréa Bescond ressent un apaisement certain: “La vie va dans le bon sens: grâce aux Chatouilles, la souffrance liée aux abus sexuels est mieux comprise et reconnue. J’ai reçu beaucoup d’amour, et cette légitimité est gratifiante. On se sent utile à la société car on a réussi à créer un outil artistique qui va aider plein de gens.
La comédienne ne compte pas pour autant se reposer. Côté théâtre, elle vient de passer trois semaines à Tahiti pour remonter “Les Chatouilles” avec Deborah Moreau dans le rôle principal d’Odette, et travaille avec Eric Métayer sur une autre pièce sur l’euthanasie qui sera présentée au festival d’Avignon. Côté cinéma, “le succès d’un premier film nous a ouvert beaucoup de portes: nous pensons déjà au prochain, qui aura pour sujet les maisons de retraite. Un autre thème qui nous est proche.

Une bataille d'oreillers géante à Austin

Vous avez passé une mauvaise semaine ? C’est le moment de vous défouler. La bataille de polochons d’Austin prend ses droits au 1200 Town Creek Drive le 6 avril à partir de 3pm.
L’événement est gratuit et ouvert à tous. Il s’inscrit dans le cadre de l’International Pillow Fight Day, des batailles d’oreillers qui se déroulent dans les grandes villes des Etats-Unis et dans le reste du monde. Les consignes sont simples: venir avec un oreiller ou de quoi filmer, participer à la bagarre ou rester sur le côté en spectateur, laisser votre oreiller sur place pour qu’il soit donné à des sans-abris. Des tirages au sort pour gagner des prix auront lieu pendant l’événement.

Le Festival des cinq continents fête la création littéraire francophone à New York

La littérature francophone est à l’honneur à New York. Du jeudi 4 avril au samedi 6 avril se tiendra la deuxième édition du Festival Des cinq continents dans plusieurs lieux new-yorkais (New York University, les Nations Unies, le Nuyorican Poets Cafe, Arlene’s Grocery et le Parkside Lounge).
Présenté par le NYU Center For French Langage And Cultures et l’Organisation Internationale De La Francophonie, ce festival abordera les défis de la création littéraire sous toutes ses formes. Le public pourra ainsi assister à des tables-rondes sur le travail d’historiens et d’écrivains pour mettre en lumière des voix oubliées par les récits historiques officiels, la subjectivité de la traduction ou encore l’expression à travers la musique et les gestes. Un concert de la rappeuse québécoise Sarahmée et une lecture publique de poésie sont également au programme les 5 et 6 avril respectivement. Le festival rassemblera des artistes, écrivains, historiens, professeurs issus de la francophonie, dont le réalisateur-producteur et écrivain belge Jean-Marc Turine, lauréat du Prix des Cinq continents, qui participera à la soirée d’ouverture le 4 avril.
 

Céline Dion en tournée aux Etats-Unis fin 2019-début 2020

Pour une nouvelle, c’est une grande nouvelle. Surtout pour les fans de la star québécoise. Céline Dion vient d’annoncer qu’elle entamera une tournée mondiale intitulée “Courage” dès le 18 septembre.
La star se produira ensuite dans plus de 50 villes à travers les États-Unis et le Canada, incluant Montréal, Ottawa, Chicago, Toronto, Boston, Miami, Houston, Dallas, San Antonio, Philadelphie, Brooklyn, Los Angeles, San Francisco, Vancouver, entre autres. Dans un communiqué, l’artiste aux multiples Grammy Awards promet “un tout nouveau spectacle” à ses fans nord-américains et un nouvel album qui sortira “plus tard cette année“. Les billets pour la première portion de la tournée, qui inclut les dates de Québec à Pittsburgh, seront mis en vente au public ce vendredi 12 avril.

Projection et discussion autour du film "Sofia" à Harlem

Il a gagné le prix du meilleur scénario dans la sélection “Un certain regard” à Cannes en 2018. Aujourd’hui, il arrive à Harlem. Le film “Sofia” sera projeté dans le cadre de la série Uptown Flicks le jeudi 4 avril au Maysles Cinema. French Morning est partenaire de la série.
Dans ce film, la réalisatrice marocaine Meryem Benm’ Barek raconte l’histoire d’une femme qui tombe enceinte hors-mariage alors que les relations sexuelles extra-maritales sont illégales au Maroc. La projection sera précédée d’un court-métrage intitulé “Les Indes galantes”, où un morceau de ballet des Indes Galantes de Jean-Philippe Rameau est interprété par des danseurs de Krump, un style né dans les ghettos du Los Angeles des années 90. Après “Sofia”, la professeure de Columbia Madeleine Dobie, spécialiste de littérature et de cinéma maghrébin, participera à une discussion. Un cocktail-buffet couronnera le tout.
 
 

The Shed, la touche artistique de Hudson Yards

Les perceuses sont toujours à l’oeuvre alors que les journalistes se pressent au Shed pour une présentation-presse. Ce mercredi, les ouvriers apportaient la dernière touche à l’édifice, reconnaissable à sa chrysalide mobile posée le long de la Highline. Le centre culturel et artistique de Hudson Yards ouvre officiellement vendredi 5 avril après quatre ans de travaux.
Proposé en 2008 lors d’un appel à projets pour créer un site culturel dans le futur Hudson Yards, The Shed veut servir de vitrine aux artistes émergents new-yorkais, américains et internationaux, actifs dans des champs variés (musique, cinéma, danse, arts visuels…). L’espace se veut adaptable. Outre deux galeries, une salle de spectacle de 500 places et un espace de performances plus petit au 8ème niveau avec une vue sur The Vessel, The Shed est équipé d’une “carapace” qui peut glisser sur des rails pour doubler l’espace du site et accueillir des installations et performances de grande taille.
Cette “extension” est susceptible d’abriter 1.250 places assises et 2.000 personnes debout et peut se combiner à d’autres espaces dans la structure de base. “Nous avons travaillé à ce que cet endroit soit très différent de ce qui existait ailleurs à New York”, raconte Dan Doctoroff, président du conseil d’administration du Shed (et par ailleurs président de Sidewalk Labs, l’entreprise d’innovation urbaine d’Alphabet, la maison-mère de Google). Il décrit The Shed comme un “couteau-suisse” pour l’art et la culture. “À l’heure d’internet, où tout le monde communique et collabore, les artistes s’affranchissent des disciplines et des distances et produisent des oeuvres qui ne rentrent pas dans les cases des institutions traditionnelles. D’où cette notion de flexibilité“.
Nous nous sommes demandés comment faire un bâtiment adapté à l’art en mouvement, a raconté devant les journalistes l’architecte Elizabeth Diller, à qui l’on doit également la Highline et le Broad Museum de Los Angeles. Ce bâtiment répondra aux défis amenés par les artistes“.
“Liz” Diller n’est pas le seul grand nom associé à ce projet dont la construction a coûté quelque 404 millions de dollars. Le conseil d’administration comprend quelques pointures de la philanthropie new-yorkaise et du monde des affaires, comme la styliste Diane von Furstenberg, le propriétaire de l’Olympique de Marseille Frank H. McCourt, Jr. et le co-propriétaire des Giants Jonathan Tisch.
Côté programmation, The Shed essuiera les plâtres avec une série de concerts, “Soundtrack of America”, qui met en avant la richesse de la musique afro-américaine à travers une nouvelle génération d’artistes réfléchissant sur leurs racines. Le concert de lancement affiche complet, mais pas les suivants. Dès lendemain (6 avril), débuteront une exposition de l’artiste Trisha Donnelly et une exposition immersive basée sur le travaux des compositeurs Steve Reich et Arvo Pärt et du peintre Gerhard Richter. Toujours le 6, la cantatrice Renée Fleming et l’acteur Ben Whishaw joueront dans “Norma Jeane Baker of Troy”, une performance parlée et chantée sur Marilyn Monroe et Hélène de Troie. Le reste de la saison comprend de nombreuses commissions: un spectacle multimédia de Björk, une conférence du réalisateur Boots Riley dans le cadre d’un programme sur la résistance à travers la poésie et un spectacle du chorégraphe William Forsythe.
The Shed veut également mettre en avant des artistes new-yorkais. Son programme Open Call présentera, dès le 30 mai, les travaux de 52 artistes locaux. Soucieuse de ne pas paraitre élitiste au milieu des gratte-ciel hors de prix de Hudson Yards, l’institution a noué des partenariats avec des écoles locales et NYCHA, l’administration chargée des logements pour les habitants à faibles revenus. Une grande partie des performances et expositions seront gratuites ou accessibles pour 10 dollars seulement. Et l’accès sera gratuit pour les moins de 18 ans. “On estime qu’au bout d’un an, la moitié de notre public sera venu soit gratuitement soit pour 10 dollars“, indique Alex Poots, directeur artistique et PDG de The Shed. “Nous avons toujours cru qu’il était essentiel d’avoir un coeur culturel à ce nouveau West Side de Manhattan et de disposer d’une structure qui pouvait changer dans le temps pour permettre à New York de rester un leader dans le monde pour la culture, dit Dan Doctoroff. Espérons que cette institution nous permettra de nous adapter au futur“.

Podcast Vino Vidi Vici, épisode 1: Charles-Henri de Coussergues, un vigneron chez les chercheurs d'or du Québec

Vino, Vidi, Vici, c’est le tout nouveau podcast de French Morning. Chaque mois, Stéphanie Cabre, journaliste française elle-même expatriée (à Montréal) et grande amatrice de vin, part à la rencontre de vignerons français et autres « french experts » du vin à l’étranger. Des contreforts de l’Himalaya au grand nord québecois, ils racontent leurs aventures oenologiques qui portent haut les couleurs de l’oenologie tricolore à travers le monde.
Pour ce premier épisode de Vino Vidi Vici, Charles-Henri de Coussergues, vigneron et co-propriétaire du vignoble de l’Orpailleur, parle de son pari fou de venir planter des vignes au Québec il y a plus de 30 ans, de sa vie de Français installé dans la belle province, de la rigueur des hivers québécois, de la naissance de la viticulture commerciale québécoise et de l’essor de cette dernière au cours de ces dernières années et, bien sûr, de ces vins favoris. Cheers! Et surtout, partagez sur iTunes si vous aimez!
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