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À Williamsburg, un bar dans un réservoir d'eau

Perché au sommet du Williamsburg Hotel, le nouveau Water Tower Bar est, comme son nom le laisse présager, un bar à l’intérieur d’un des emblématiques réservoirs d’eau de New York.
Effet waouhh garanti!
Tout comme son célèbre voisin le Westlight, ce bar sur le toit du monde offre une vue sur la skyline totalement exceptionnelle.
Avec un truc en plus : la configuration intimiste du lieu lui confère une dimension féerique incomparable.
L’éclairage est subtil et les punchlines murales en fond sont parfaites pour attirer l’oeil et provoquer des rafales de selfies, côté pile et côté face du bar.
Une fois l’excitation passée, on pose son téléphone et on savoure les délicieux cocktails aux appellations aussi improbables que le lieu.
Fermez les yeux sur le 1er de la liste à 150 dollars. Rassurez-vous le reste de la carte est tout à fait raisonnable.
On en a encore des étoiles plein les cieux.

Minute promo

Si cherchez une bonne comédie à la française, interprétée par une troupe d’amateurs très professionnelle, ne loupez pas “La Lumière à tous les étages” de Guillaume Ropert-Sirvent, les 3, 4 et 5 avril au Producers Club Theaters.

Vidéo: Best Baguette Miami 2019

Le concours de la meilleure baguette a rendu son verdict à Miami. Les amateurs de bon pain avaient rendez-vous au National Hotel de Miami Beach dimanche 17 mars pour la grande finale de la compétition « Best Baguette Miami 2019 », organisée par French Morning.
Le jury de professionnels a sacré à l’unanimité la baguette de Madruga, boulangerie installée en plein coeur de Coral Gables, comme la meilleure de Miami. Une autre adresse à Miami, connue des amateurs de cuisine italienne raffinée, s’est aussi illustrée grâce au « Prix du pain spécial » : Casa Tua Cucina.

Black Flour Crepes, des galettes bretonnes sur roues à Los Angeles

“Il y a quinze ans, les Parisiens croyaient que le hamburger était juste du pain mou et du steak haché surgelé. Aujourd’hui, cette image a bien changé. Nous voulons faire la même chose avec les crêpes, sortir du folklore”, raconte le chef américain Jamie Young, rejoint dans ce constat par sa femme Marie Ravel.
Avec leur food truck Black Flour Crepes, qui tourne dans Los Angeles, le couple franco-américain veut redonner ses lettres de noblesse aux galettes de sarrasin. “La crêpe bretonne est mal représentée”, estime Marie Ravel, originaire de Nîmes. “La pâte est noire, il faut l’assumer même si c’est exotique ici.” Expatriés à Los Angeles depuis trois ans avec leurs trois enfants, ils conservent la tradition de la recette, tout “en dépoussiérant l’image de la crêpe Suzette”. Un concept qui n’est pas passé inaperçu. Ils ont été retenus pour participer à la première saison de l’émission “Food Truck Nation” sur Cooking Channel. Ils figurent dans l’épisode du 23 mars.
Durant les deux jours de tournage en septembre, ils ont montré ce qui fait leur succès : l’utilisation de la farine de sarrasin biologique (sans gluten), de produits frais et locaux, et beaucoup de “fait maison” comme la confiture et le boeuf bourguignon (avec lequel ils garnissent des “french tacos”). “S’il ne cuisine pas, mon mari s’ennuie”, assure Marie Ravel.
Des entrepreneurs créatifs
Tombé amoureux de ce produit breton à Paris, Jamie Young voulait lancer un restaurant de crêpes à Los Angeles avec un crêpier qui ferait le show comme un DJ. “Mais ici, cela ne fonctionne pas avec les banques, mais avec des investisseurs privés. Or, nous n’avons pas su les trouver”, regrette sa femme. Le couple décide alors de faire évoluer son plan initial et achète un food truck pour 100.000 dollars. Un achat rendu possible grâce aux revenus tirés d’une publicité pour Airbnb.
Le couple n’en est pas à son coup d’essai dans la restauration. Tout a commencé après leur rencontre lors d’un tournage au Maroc – Marie Ravel ayant longtemps été actrice et Jamie Young scénariste. Pour apprendre le français, cet Américain trouve un emploi dans les cuisines d’une crêperie à Montmartre. Autodidacte – il a commencé aux Etats-Unis en épluchant les pommes de terre pour payer ses frais de scolarité -, il apprend alors les rudiments des galettes.
En 2000, le couple rachète le petit restaurant. Quatre ans plus tard, les amoureux le revendent pour lancer le concept Pink Flamingo Pizza dans la capitale française, “des pizzas gourmets et créatives avec des saveurs originales”, décrit la Française, fière de dire qu’ils étaient “les premiers livreurs de nourriture à vélo dans Paris”. Ils ont également ouvert Floyd’s, un barbecue digne du Kansas. Fiers de ce succès – ils ont jusqu’à neuf restaurants dans le monde-, ils vendent le droit d’exploitation et s’expatrient à Los Angeles en 2015 pour permettre à leurs enfants de s’enrichir de leur double-culture.
Avec Black Flour, ils ré-inventent les galettes bretonnes avec des saveurs ou des noms californiens, comme la “Skinny French Guy from Los Feliz” (la complète), la “Fixie Rider from Arts District” (brie et raisin) ou la “Hippy Girl from Topanga” (qui rappelle le toast à l’avocat). En revanche, ils ne feront aucune concession. Malgré la forte demande, les frites sont exclues du menu.
Outre la recherche de financement, trouver un lieu fut difficile. Aujourd’hui, ils ont trois rendez-vous hebdomadaires et multiplient les services de traiteur pour les compagnies et les particuliers (dont des événements français comme l’anniversaire du LILA et le festival de film Colcoa). Avec la promotion de l’émission, Marie Ravel et Jamie Young espèrent se faire remarquer par des investisseurs pour ouvrir un restaurant dans l’ouest de la ville et se sédentariser.

Lorraine Goumot: "Débuter sa carrière en Asie, une opportunité"

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce 22ème épisode, Lorraine Goumot se confie sur sa reconversion professionnelle. La Française, qui travaillait dans une des filiales de Pernod Ricard en Chine, a changé de métier en rentrant en France. Elle est désormais journaliste pour la chaîne d’information BFM Business. Cette impatriée de longue date – elle a vécu à l’étranger pendant huit ans entre les Etats-Unis et la Chine – a repris ses études et est diplômée de Sciences Po Aix-en-Provence. “En revenant, j’ai redémarré de zéro”, explique-t-elle, “j’ai dû apprendre à me créer un réseau professionnel dans une nouvelle ville et région”. La Parisienne d’origine a également dû s’adapter à la culture du Sud, mais encore plus difficile, à celle de la France. “Ici, on vit à un autre rythme, basé davantage sur la saisonnalité”. Vacances, jours fériés… Tout ce qu’elle n’avait pas connu à Hong Kong, où “le rythme est plus soutenu”.
Mais Lorraine Goumot ne regrette pas son retour. “La France est un chouette pays, où il est possible de reprendre ses études quasiment gratuitement”. Ses expériences à l’étranger ont forgé la jeune femme de 32 ans qui reconnaît que cela l’a beaucoup aidé à “tisser son réseau”.
Listen to “Episode 22 : Lorraine Goumot” on Spreaker.

Le groupe l'Impératrice à la conquête de Los Angeles

Après des concerts dans toute la France et en Europe, l’Impératrice part en tournée américaine. Le groupe de pop-disco, fondé par Charles de Boisseguin, présentera son premier album «Matahari» (sorti en mars 2018) au Regent Theater à Los Angeles, le jeudi 9 mai.
En plus de Flore Benguigui au chant, le groupe est composé exclusivement de musiciens, dont Charles de Boisseguin qui pianote sur son ordinateur, Hagni Kwon au clavier, David Gaugué à la guitare basse, Tom Daveau à la batterie et David Trocellier à la guitare électrique. Ils se sont fait connaître via leur single «Vanille Fraise» en 2016, récoltant plus de 7 millions de vues sur Youtube.
Pour la réédition de leur album, l’Impératrice a invité de grands artistes tels que Yuksek, Joe Goddard de Hot Chip, Onra, Red Axes et Lomepal à travailler sur leurs tubes. Trois morceaux ont ainsi été traduits en anglais à l’occasion de leur tournée mondiale. Groove, funk, voix suave: leur musique est une invitation au voyage.

Le Paris de Haussmann et Napoléon III disséqué à Miami

« Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie », tel est le nom de la campagne de transformation urbaine orchestrée par l’Empereur Napoléon III et le Baron Haussmann pour moderniser Paris au cours du XIXe siècle.
C’est également le thème de la conférence qui aura lieu le jeudi 28 mars dans les locaux de l’Alliance Française Miami Metro. Troisième et dernière partie de la série « The Making of Paris : Henry IV, Louis XIV, and Napoléon III », cette conférence revient sur les grands chapitres de la construction de la Ville-Lumière.
Animée par Russel Kelley, auteur s’intéressant à l’évolution du paysage urbain à Paris, la présentation portera sur la transformation de la ville sous Napoléon III. Ce dernier avait décidé d’engager des travaux inédits afin de sauver Paris, gangrénée par l’insalubrité des logements et l’étroitesse des rues, du déclin. L’évènement sera en anglais.

"The Visitors" font renaître ABBA à Miami

Nostalgique du mythique groupe de pop suédoise ABBA ? “The Visitors”, la bande d’artistes reprenant depuis des années leurs chansons, se produit le jeudi 4 avril au Fillmore Miami Beach pour un hommage en musique: “ABBA The Concert”.
Grâce à eux, vous allez enfin pouvoir chanter et danser sur les titres qui ont fait les beaux jours des années 1970 et 1980, tels que “Gimme! Gimme! Gimme!”, “Dancing Queen” ou encore “S.O.S”.
Les artistes venus de Stockholm n’en sont pas à leur premier concert. Déjà passés plusieurs fois par les États-Unis mais aussi l’Europe et l’Asie, ils prévoient de chanter dans les prochains mois à Nashville, Los Angeles ou encore Salisbury.

Jean Vigo mis à l'honneur à l'Austin Film Society

Plongez-vous dans la filmographie avant-gardiste et audacieuse du réalisateur français Jean Vigo à Austin. Du jeudi 21 et dimanche 31 mars, dans le cadre du French Cultures Festival, l’Austin Film Society programmera les quatre films du cinéaste, qui a vécu de 1905 à 1934. Pendant sa courte carrière, il a ouvert la voie à la Nouvelle Vague.
Au programme: « À propos de Nice » (1930), documentaire filmant la ville de Nice et ses inégalités sociales, et « Zéro de conduite » (1933) film censuré jusqu’en 1946 sur la rébellion d’élèves contre l’autorité étouffante des professeurs, seront projetés le 21 mars à 7pm et le 24 à 2pm.
Puis, le 28 et dimanche 31, à 7pm et 2pm respectivement, place à « La Natation par Jean Taris » (1931), documentaire sur le sportif du même nom ponctué de nouvelles techniques comme les ralentis et des plans sous-marins, ainsi qu’à « L’Atalante » (1934) sur la vie mouvementé d’un couple à bord d’une péniche.

Stëf Delarouge expose sa création numérique à Los Angeles

Une Bretonne a attiré l’attention d’une galerie de Los Angeles. L’artiste Stëf Delarouge présente l’une de ses créations numériques au Los Angeles Center For Digital Art, dans le cadre de l’exposition collective “Open Source”, installée jusqu’au 6 avril.
Graphiste de formation et photographe autodidacte, elle crée des tableaux numériques (art digital) au travers de photographies prises par ses soins. Elle les retravaille en numérique. L’artiste se laisse alors porter par l’émotion d’un détail et apporte sa touche personnelle sur une palette graphique, donnant ainsi naissance à des oeuvres sur toile ou sur support métallique. Le bord de mer est son thème de prédilection, ainsi que le végétal.

Après San Francisco, L'Apéro s'installe à New York

L’Apéro, les populaires rencontres de San Francisco pour Français, francophiles et tous les autres, arrive à New York. Le premier de la Grosse Pomme aura lieu dimanche 24 mars au bar à vin Amélie (West Village). “On a commencé à San Francisco car je m’y suis installé, mais New York est l’endroit de prédilection pour L’Apéro, souligne Pierre Bee, l’un des fondateurs français du rendez-vous. La taille de la communauté à New York est plus importante. Au niveau du lifestyle, la ville se prête à un événement très festif et convivial. Il y a beaucoup de jeunes professionnels qui viennent y commencer leur carrière“.
L’Apéro a démarré il y a quatre ans dans la Baie de San Francisco quand Pierre Bee, qui travaille dans le milieu de l’hôtellerie depuis 14 ans, a voulu mettre en relation les professionnels français et américains de l’hôtellerie et de la restauration. “Je rencontrais des managers d’hôtels français qui travaillaient à deux blocks l’un de l’autre mais qui ne se connaissaient pas“.
De quatre personnes autour d’un verre, l’événement a grandi pour s’étendre à un public de non-professionnels du secteur. Aujourd’hui, L’Apéro s’adresse à “tout le monde“, même les non-francophones et francophiles, et reste organisé par des bénévoles. “Il y a beaucoup de personnes qui ne savent pas ce qu’est un apéro. L’idée, c’est de participer à un événement culturel”. Les rencontres attirent entre 40 et 600 personnes à San Francisco, précise Pierre Bee. “On doit être proche de 5.000 participants sur quatre ans. Ça commence à être quelque chose, dit-il. À San Francisco, on est complet. On doit refuser du monde”. 
Pour lancer L’Apéro à New York, Pierre Bee s’est allié à Florane Gambert-Jouan, représentante des Jambons de Bayonne aux Etats-Unis. Pour le premier événement new-yorkais, les organisateurs répliqueront le concept de L’Apéro Bateau de San Francisco, où les participants étaient invités à venir avec des habits et accessoires inspirés de l’univers marin. Pour L’Apéro Marinière, le nom de l’événement à New York, il est conseillé de venir… en marinière. “Avoir une quarantaine de personnes serait bien pour un premier Apéro”, indique Pierre Bee.
À New York, L’Apéro aura lieu tous les deux mois. “On est un outil de liaison entre la France et les Etats-Unis. On n’est pas les French Tuesdays. On n’est pas un networking. Je veux qu’on vienne pour s’amuser et prendre un apéro tranquille après une longue journée“.

Un tournoi de tennis francophone à Washington et autour

Vous cherchez une occasion de démontrer vos talents sur le court ? Le “Francophone Tennis Open” débarque à Washington à partir du 23 mars. Organisé par l’association de promotion du français The French Heritage, l’évènement sportif est ouvert à tous les francophones de la région de Washington. La compétition se joue en simple, double, double-mixte et en duo parent/enfant (plus de douze ans).
Le premier tour de la compétition contient trois rencontres qui s’étalent du 23 mars au 15 mai. En cas de qualification, les joueurs participeront au deuxième tour du 15 mai au 15 juin avec un match à élimination directe. Pour ces matches, les personnes inscrites choisissent leur court en fonction de leur adversaire et de leur localisation. Les finales auront lieu le samedi 15 juin au complexe sportif Bretton Woods Recreation Center dans le Maryland. Elles seront suivies d’une remise de prix et d’une soirée champagne. Pour participer, inscrivez vous avant le jeudi 21 mars.

Que faire lors du Cherry Blossom 2019 à Washington DC ?

Comme chaque année, le printemps de Washington est rythmé par la floraison des cerisiers. Le National Park Service vient d’annoncer que le “pic” de floraison aura lieu entre le 3 et le 6 avril. Le moment idéal pour découvrir la Capitale sous ses plus beaux apparat. French Morning vous explique comment profiter du “Cherry Blossom” cette année. Nul besoin d’attendre jusque-là pour se mettre dans l’ambiance.
Voir les cerisiers
Nastasia Peteuil
Traditionnellement, pour voir les cerisiers, les aficionados se retrouvent au Tidal Basin, le bassin situé entre les mémoriaux de Jefferson et de Roosevelt. C’est dans ce lieu que sont plantés les cerisiers offerts par le Japon en 1912. Si vous voulez échapper à la foule, d’autres lieux sont idéaux pour faire de belles photos et profiter de l’ambiance printanière. L’Arboretum par exemple, le Stanton Park près de Capitol Hill, Foxhall Village ou Kenwood Village sont très beaux. Anacostia Park abrite aussi de magnifiques cerisiers, tout comme Dumbarton Oaks à Georgetown.
Pour ceux qui tiennent absolument à aller sur le National Mall, il faut s’y rendre de bonne heure, au lever du soleil, entre 6 heures et 6h30. La semaine est évidemment plus calme que le week-end.
Pour s’y rendre, il faut oublier sa voiture. Il est quasiment impossible de se garer du côté du Tidal Basin. Le métro (Smithsonian est la station la plus proche), à pied ou encore à vélo sont les meilleures options.
Le festival du Cherry Blossom
Photo officielle du festival
Le festival qui célèbre les cerisiers en fleur fait durer le plaisir avec un mois de festivités. Du 20 mars au 14 avril, une cinquantaine d’événements sont organisés partout dans Washington.
Parmi les moments-clés: la Fête des cerfs-volants devant le Washington Monument près de la 17ème rue et de Constitution Ave, le 30 mars de 10am à 4:30pm. Une sortie gratuite, idéale pour les familles. Pour les sportifs, la course “Cherry Blossom 10 Mile Run” et le “5 Mile Walk” ont lieu le 7 avril de 7:30am à 10:30am. Les inscriptions sont fermées depuis longtemps mais vous pouvez venir soutenir les coureurs.
Pour s’en mettre plein les yeux, le 6 avril, rendez-vous au Wharf pour les feux d’artifice pendant le festival Petapalooza. Les festivités démarrent à 12pm et le feu d’artifice à 8:30pm.
La grande parade du festival, gratuite pour ceux qui ne veulent pas s’asseoir, se déroule le 13 avril de 10am à midi sur Constitution Avenue entre la 9ème et la 15ème rue. En parallèle, le festival de rue Sakura Matsuri, entre 10am et 6pm, célèbre la culture japonaise.
Les événements liés

Le pop-up bar Cherry Blossom est de retour pour une quatrième année consécutive avec plein des cocktails originaux inspirés du Japon et un décor de quelque 90.000 fleurs de cerisiers, et ce, jusqu’au 21 avril.
Pour les enfants, la Freer Gallery of Art ouvre gratuitement ses portes pour donner un cours sur l’art japonais, le 6 avril à 10:30am.
La galerie d’art interactive Artechouse propose son exposition “In Peak Bloom” entre 16 et 20 dollars, du 20 mars au 27 mai pour voir la floraison version digitale. En bonus, l’espace est ouvert exclusivement au plus de 21 ans en soirée pour regarder les oeuvres multimédia un verre à la main.