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Investissement locatif : panorama de l'immobilier parisien en 2019

(Article partenaire) Dans le marché de l’immobilier parisien, on constate un réel écart de prix au mètre carré entre les différents arrondissements. En effet, la capitale regroupe des quartiers bourgeois, où le mètre carré peut atteindre 13.190 €, et des quartiers plus populaires où il est estimé à 9.724€ en moyenne. L’emplacement du bien immobilier est une décision importante dans le projet d’investissement d’un acheteur.

Les quartiers les plus chers de Paris

Les arrondissements du centre de la capitale (1er, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e et 8e) sont les plus chers. Le prix au mètre carré dans ces quartiers dépasse bien les 10.000 €.

Dans quelques rues du 7e arrondissement, comme la rue de Bellechasse, ou encore l’avenue Charles Floquet qui longe le Champs de Mars et la Tour Eiffel, le mètre carré peut arriver à 20.000  €. Sur la prestigieuse avenue Montaigne, le prix du mètre carré moyen s’élève à 17.300 € environ.

L’acquisition d’un appartement de 40 m2 dans l’un de ces quartiers coûterait entre 440.000 € et 530.000 €. Pour un investissement locatif, nous considérons que le centre de Paris n’est pas le meilleur choix. D’abord, car le prix d’achat est bien plus élevé que dans d’autres quartiers. Aussi, le loyer ne suit pas ce même écart : le loyer moyen au mètre carré dans ces quartiers chers de Paris fluctue aux alentours des 31 €. Dans les quartiers moins bourgeois, comme le 11e par exemple, le loyer moyen au mètre carré est de 28 €, ou 27,3 € dans le 17e

Toutefois, l’évolution des prix d’un arrondissement à un autre a permis de réduire l’écart du prix au mètre carré. Mais, ceci n’est pas le cas pour le 8e arrondissement, qui a vu sa valeur diminuer ces cinq dernière années.

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Les quartiers les plus rentables de Paris

A l’opposé des quartiers les plus chers, une partie du 18e, le 19e et le 20e arrondissements de la capitale sont considérés comme étant des arrondissements plus populaires à prix faibles.

En effet, dans ces zones, le prix moyen au m2 ne dépasse pas les 10.000 €. Celui-ci varie entre 7.918 € et 8.900 € par mètre carré. Un appartement de 40 m2 nécessiterait un budget de 336.000 € en moyenne, soit 100.000 ou même 200.000 € de moins que dans le centre parisien.

Le prix d’achat et le loyer qui est aux alentours de 25 € par m2 sont des conditions intéressantes en terme de rentabilité dans le cadre d’un investissement locatif. Ce niveau de prix permet d’assurer une meilleure fréquence de location. De plus, l’évolution des prix du secteur est un élément avantageux dans le cas d’une revente.

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Les quartiers rentables à des prix moyens de Paris

Le 9e, 10e, 11e, 12e, 13e, 14e, 15e, 16e, 17e et une partie du 18e arrondissement sont catégorisés comme étant des arrondissements rentables, à des prix moyens. Ces derniers varient entre 8.300 € et 10.400 € au mètre carré.

Donc, pour un appartement de 40 m2 , il faudrait compter 380.000 € environ.

Ces quartiers de Paris voient une évolution positive des prix, notamment 3,3% pour le 9e arrondissement, 5,4% pour le 15e, et 4,5% pour le 17e. En plus de cela, ces coins de la ville lumière sont dynamiques ; d’un point de vue immobilier, ils représentent un juste milieu entre emplacement, qualité de vie et rentabilité.

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Avec quelle surface faire un investissement locatif à Paris ?

Lorsqu’on parle d’investissement locatif, les surfaces plutôt petites ou moyennes sont souvent privilégiées. Les studios ou les 2 pièces, d’une surface de 20 m2 à 40 m2 ont une meilleure fréquence de location.

Paris séduit principalement les étudiants et les jeunes travailleurs. En cinq ans, le nombre d’étudiants a augmenté de 225.000 dans la capitale. Cette population jeune et dynamique ne peut généralement pas payer des loyers flambants. Ils préfèrent plutôt les studios ou les deux pièces pour les jeunes couples qui ont un budget plus important.

Alors, dans le cadre d’un investissement locatif, il est conseillé d’acquérir un bien immobilier qui pourra répondre aux besoins de cette population jeune.

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Les projets parisiens en 2019

De nombreux projets, avec des ampleurs plus ou moins importantes, ont lieu cette année dans la capitale. On parle par exemple de l’aménagement de la place de la Madeleine et de la place de la Bastille, ou encore l’inauguration des Serres d’Auteuil.

L’attractivité de Paris se reflète réellement sur l’évolution des prix de ses biens immobiliers. Le troisième trimestre de 2018 a connu une accélération plus importante des prix. Le 1e, 19e et 20e arrondissement ont connu une hausse de 11,2%, 10,7% et 8,3% respectivement. Le 7e, le 15e et le 13e ont vu leur prix accroître de moins de 4%.

C’est la première fois que le prix moyen du mètre carré dépasse les 7.000 € dans tous les arrondissements de la ville.

La capitale de la France est une valeur sûre et rentable pour un investissement immobilier. La demande dynamique, le rendement et la plus-value à la revente rendent ce marché attractif, et créent une tension immobilière très avantageuse.

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Malade, je rentre me faire soigner en France

Il ne fait bon être malade nulle part, encore moins aux Etats-Unis. Sans grande surprise, la santé est l’une des causes principales d’endettement dans le pays de l’Oncle Sam. Pour les Français expatriés, la pilule est généralement difficile à avaler.
Hanna* (le prénom a été changé), 28 ans, s’en est rendue compte quand on lui a découvert un kyste ovarien de 6cm il y a trois ans. Jusqu’alors, elle ne disposait d’aucune mutuelle américaine. “En général, je profite de mon séjour annuel en France pour voir le gynécologue, le dermatologue et l’ophtalmo. En cas d’urgence, je vais à l’urgent care”, structure de prise en charge d’urgence. À l’été 2016, quand elle rentre en France, son gynécologue lui trouve cette anomalie kystique.
Elle doit alors réaliser une nouvelle échographie deux mois plus tard, afin de vérifier si le kyste continue de grossir. Mais ce fut bien plus compliqué à Los Angeles où elle vit le reste de l’année. “J’ai dû aller à l’urgent care où j’ai payé près de 200 dollars pour avoir une ordonnance, puis 90 dollars pour l’échographie. J’ai dû y retourner pour l’interprétation… Au lieu d’un seul gynécologue, j’ai eu affaire à l’administration, aux personnes des laboratoires, aux médecins, ça a pris des semaines”, se souvient-elle.
Alors que son médecin américain lui recommande de “surveiller l’évolution du kyste”, sa gynécologue parisienne lui offre “une autre lecture” et lui propose de prendre un rendez-vous avec un chirurgien. Elle choisit cette deuxième option pour une question de confort. En se renseignant sur le tarif de cette prestation en France et aux États-Unis, Hanna décide sans la moindre hésitation de prendre ses billets d’avion- 800 dollars. Elle est couverte par la sécurité sociale mais n’a pas de mutuelle. “À Los Angeles, le prix de l’opération variait entre 5.000 et 40.000 dollars, et sans y passer la nuit.”
Outre l’aspect financier, elle préférait être opérée en France “où il y a un vrai suivi”. Si les prix avaient été les mêmes, elle aurait sans aucun doute pris la même décision. “J’ai souvent entendu que les soins étaient déshumanisés aux États-Unis, surtout quand on n’a pas de mutuelle, avance Hanna. En France, la chirurgienne m’a donné des conseils, ça m’a rassuré d’autant plus que c’était ma première opération sous anesthésie.
Si Marianne a vécu une expérience différente de celle de Hanna, elle l’a rejoint sur ce point. Cette septuagénaire américaine naturalisée française vit six mois de l’année dans la Bay Area et six autres dans la région de Grenoble. En 2017, alors qu’elle se sent affaiblie depuis plusieurs mois, on finit par lui découvrir un type de lymphome très rare. “J’ai vu de nombreux médecins aux États-Unis et en France avant que mon cancer ne soit détecté. Tous étaient persuadés qu’il y avait quelque chose d’anormal dû à la couleur jaunâtre de mon teint, mais personne n’a rien vu jusqu’a ce que je consulte un kiné français pour une sciatique”. En palpant son corps, il a remarqué que sa rate était extrêmement gonflée et lui a demandé de faire des examens spécifiques et complets. “Dans un système comme celui des États-Unis, on ne fait pas cette démarche parce que ça coûte trop cher. C’est pour ça que je suis restée dans l’ignorance un moment.”
À l’issue des résultats, Marianne a été rapidement prise en charge par les médecins du CHU de Grenoble. Ils lui proposent un traitement léger à base de chimio et d’immunothérapie pour six mois. Deux ans après, elle se sent véritablement chanceuse et reconnaissante de l’intérêt que lui a porté son équipe médicale. “Si c’était à refaire, je le referais. Après chaque traitement d’immunothérapie, on me demandait de rester sur place pour être sûre que je ne faisais aucune réaction. Ça n’aurait jamais été le cas ici. Le plus vite vous êtes réexpédié chez vous, le mieux on se porte, avance l’Américaine. C’était comme ça une fois par semaine pendant six mois. On venait me voir dans ma chambre, juste pour me demander comment j’allais. Je ne m’attendais pas à ça.” Au-delà de ça, elle apprécie le fait que tout a été simplifié pour elle: pas de paperasse inutile, pas de question de contrat d’assurance, pas de fournisseurs de soins (“providers“)…
Interrogée sur ce phénomène d’exode médical, Catherine Collins, médecin française installée aux États-Unis depuis une vingtaine d’années, considère qu’“il s’agit d’un faux problème”. Si l’aspect financier peut-être considéré comme un argument valable pour rentrer en Europe, cela dépend de chacun et de chaque assurance. Cette professionnelle défend l’accès aux soins sur le sol américain. “En tant que médecin pour Air France et KLM, j’ai eu un patient qui avait des problèmes neurologiques. J’ai réussi à lui faire voir un ORL le même jour et une IRM le lendemain. En contactant son médecin traitant, il m’a dit qu’en ambulatoire (traitement d’un patient sans hospitalisation, ndr) en France, ça n’aurait jamais été aussi rapide. Quand on a la bonne équipe et bonne connaissance du network, l’accès aux soins se fait très rapidement.”
De manière générale, elle admet que Français et Américains n’ont pas la même approche face à la santé. “La santé aux États-Unis est très réglementée et organisée, ça rend notre travail plus simple, mais ça peut le déshumaniser. J’arrive à comprendre que certaines personnes comparent le médical à un business. Ce n’est pas le cas en France où le relationnel prime tout comme le cas par cas. Ici, on suit des guidelines acceptées par tous. Vous verrez très rarement des gens venir pour une consultation le premier jour d’un rhume. 
Joanna Valdant (San Francisco) et Sandra Cazenave (Los Angeles)

À New York, Muriel Pénicaud "pitche" son index de l'égalité salariale

Muriel Pénicaud veut faire connaitre son nouvel index de l’égalité salariale hommes-femmes au monde entier.
En déplacement aux Etats-Unis pour préparer la réunion des ministres du Travail du G7, le “G7 Social”, prévu pour les 6 et 7 juin à Paris, la ministre du Travail a indiqué qu’elle avait l’intention d’en parler à ses interlocuteurs lors de ces deux jours de visite, qui l’emmèneront lundi 11 et mardi 12 mars à New York et Washington.
Elle doit s’entretenir avec des responsables de l’ONU, du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale, mais aussi des journalistes américains et des acteurs du monde financier. “Ça fait 46 ans que la loi dit en France “à travail égal, salaire égal”. C’est l’une des seules lois qui est massivement non-appliquée“, a-t-elle noté lors d’une rencontre publique dimanche 10 mars organisé à New York par l’antenne locale d’En Marche!. Je me suis dit qu’il fallait profiter du momentum généré par #MeToo (…) On a décidé d’aller vers une obligation de résultats“.
Cet index de 100 points permet d’accorder une “note” aux entreprises en fonction de plusieurs critères (l’écart hommes-femmes dans les rémunérations, les promotions ou les augmentations notamment). Les sociétés qui recueillent moins de 75 points ont pour obligation de se mettre en conformité dans les trois ans, sous peine de sanctions financières. Les entreprises de plus de 1.000 salariés avaient jusqu’au 1er mars pour publier leur index. L’obligation sera progressivement étendue au reste des entreprises pour concerner toutes les compagnies de plus de 50 salariés.
Même si seulement 52% des 1.400 entreprises de plus de 1.000 salariés avaient publié leur index une semaine après la date-butoir, Murlel Pénicaud a vanté ce nouvel outil, moteur selon elle de “compétition positive“. “Presque toutes les semaines, je dîne avec des responsables de grandes entreprises. Au dîner de lundi, ils parlaient tous de leur note, confie-t-elle. En terme de conduite du changement, ça peut être très positif pour les femmes comme pour les entreprises qui veulent être plus performantes“.
Dès lundi matin, la ministre doit rencontrer plusieurs investisseurs pour évoquer les réformes du marché du travail en France, avant de participer à la conférence Women in Business, en présence de PDG, d’investisseurs et responsables politiques. Elle a l’intention d’encourager “les fonds d’investissement à intégrer dans leurs critères financiers des éléments sociaux et environnementaux, dont ce sujet“.

"Rémi sans Famille", un film beau et dur à San Francisco

Un enfant apprend que son père n’est pas vraiment son père. Il échappe à l’orphelinat parce qu’il est recueilli par un vieux musicien qui le recrute comme saltimbanque et lui apprend à chanter. Mais le garçon, que la vie n’épargne décidément pas, connait une succession d’épreuves douloureuses quand son mentor est jeté en prison. Heureusement, de belles rencontres vont ponctuer ses aventures.
“Rémi sans famille”, le long-métrage à la fois dur et plein d’espoir d’Antoine Blossier, sera projeté au Théâtre du Lycée Français (TLF) le 22 mars. Dans ce film inspiré du roman d’Hector Malot, le jeune Maleaume Paquin, 13 ans, donne la réplique à Daniel Auteuil, l’artiste qui le sort de l’orphelinat et lui permet de voyager à travers la France en quête de ses origines. Le reste du casting comprend Virginie Ledoyen, Jonathan Zaccaï, Jacques Perrin et Ludivine Sagnier notamment.
Le film sera projeté en français mais sous-titré en anglais.

Uptown Flicks replonge en "Eigth Grade" à Harlem

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À 13 ans, la vie n’est pas toujours simple. Uptown Flicks organise la projection de la comédie “Eigth Grade” le mardi 12 mars à Silvana, à Harlem. Ce film de Bo Burnham a été encensé par le public et la critique à sa sortie aux Etats-Unis l’an dernier, décrochant même une nomination aux Golden Globes et plusieurs récompenses.
“Eigth Grade” appartient au genre très américain des films “coming of age”, sur la transition dans la vie adulte. Il raconte l’histoire de Kayla, 13 ans, lors de sa dernière semaine au collège. Il plonge le spectateur avec humour dans la vie de la Génération Z (individus nés à cheval entre la fin des années 90 et le début des années 2000), avec sa dépendance des réseaux sociaux, ses angoisses existentielles et ses questionnements sur la sexualité.
L’entrée comprend une boisson.

Vincent Van Gogh, un génie torturé à Houston

Le Museum of Fine Arts de Houston (MFAH) ouvre ses portes à une exposition unique dédiée à Vincent Van Gogh. “His Life in Art” présente, du 10 mars au 27 juin, les moments charnières de sa vie – depuis ses premières esquisses à sa peinture finale – et raconte sa quête pour devenir artiste.
Cette exposition regroupe plus de 50 toiles, dessins, ébauches et répliques de lettres laissés par Vincent Van Gogh. Cet événement conçu avec l’aide du musée Van Gogh à Amsterdam et du musée Kröller-Müller à Otterlo accorde une attention particulière au début moins connu de la carrière de Van Gogh. « Il est passé de ses premières peintures noires et rugueuses à ses chefs-d’œuvre radiants en un temps incroyablement court », explique David Bomford, commissaire de l’exposition.
Ses dessins, composés uniquement de traits, de points, de cercles, de virgules, renvoient aux oubliettes toutes les anciennes techniques de l’art en Europe. L’exposition offrira aux visiteurs un portrait vivant de son évolution : ses débuts aux Pays-Bas, sa période lumineuse à Paris, sa quête de couleurs dans le sud de la France et son exploration de la nature comme source d’inspiration à Saint-Rémy de Provence.
Plusieurs peintures contiennent aussi des indices contextuels sur son état mental fragile, comme « Nature morte avec oignons » réalisée quelques jours après que Vincent Van Gogh se soit tranché l’oreille. « De toute évidence, Van Gogh a utilisé son art comme auto-thérapie pour apaiser ses souffrances », renchérit Gary Tinterow, directeur du MFAH.
Le maître hollandais capture aussi la vie rurale comme dans le tableau « les mangeurs de pommes de terre » (1885), la joie, la décadence, la bohème jusqu’à la lumière transcendantale des paysages à la fin de sa vie. On y trouve des chefs d’oeuvre ayant rarement voyagé, comme le célèbre tableau  « L’Allée des Alyscamps » (1888), vendu en 2015 par Sotheby’s pour 66 millions de dollars à un collectionneur privé.
De ses premiers dessins à ses dernières réalisations, ses œuvres illustrent la manière dont il s’est formé, copiant parfois des tableaux de Delacroix et de Jean-François Millet. Parallèlement à ces compositions qui retracent le parcours torturé de Vincent Van Gogh, les fac-similés de lettres à son frère Théo décrit ses coups de pinceaux agressifs, cet élan spontané à dessiner avec vivacité un sujet ou un paysage. « Vincent Van Gogh a bouleversé le monde artistique avec cette habileté immense à traduire ce qu’il voit ce qu’il pense en émotion de la main. C’est le sommet de son art», explique David Bomford. L’une de ses dernières compositions, « le jardin de l’asile à Saint Rémy » (1889), en est la preuve.

La vie d'expatrié français à New York : une conférence à ne pas rater

(Agenda partenaire) Participez à un cocktail/conférence qui répondra à toutes vos questions sur la vie d’expatrié français à New York.
Lundi 18 mars, à 6:30pm, Le District vous accueille pour une conférence immanquable. Plusieurs intervenants prestigieux seront présents pour vous conseiller et répondre à vos interrogations sur différents aspects de la vie d’expatrié (santé, droit, immobilier…)
Parmi les intervenants : Anne de Louvigny Stone, vice-présidente de Merrill Lynch, Nathaniel Muller de Law Offices of Nathaniel Muller PC, Sylvaine Dominguez, décoratrice d’intérieur, Rachel Scharly du Petit Journal, Dominique Dutronc de Homeis, et Patrick Ben Hayoun, agent immobilier français basé à New York.
Avec ces 25 ans d’expérience dans la Big Apple, ce dernier vous aidera à appréhender le marché immobilier new-yorkais et ses spécificités. Spécialisé dans la clientèle européenne, il met son expertise au service des particuliers comme des entreprises, pour la location et l’achat. « J’aide les clients aussi bien pour la location d’un studio que pour l’achat d’un grand appartement de luxe », résume-t-il.
Mais sa connaissance de la ville est loin d’être son seul atout. « J’aide les acheteurs/locataires dans toutes leurs démarches administratives de A à Z », ajoute l’agent immobilier. Autrement dit, vous pouvez compter sur lui pour trouver votre avocat, un maçon pour refaire votre appartement, un architecte ou même une entreprise de déménagement.
Contactez-le dès aujourd’hui pour réserver votre place pour la conférence : Patrick.BenHayoun@elliman.com
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L'Apéro Bateau, ça va tanguer à San Francisco

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On ne va pas boire la tasse. Du bon vin, par contre… L’Apéro Bateau largue des amarres jeudi 14 mars au bar à vin Amélie sur Polk Street.
Pendant cette soirée organisée par la fine équipe des rendez-vous des professionnels de l’hôtellerie et de la restauration L’Apéro, chacun est invité à venir déguisé en moussaillon ou avec des accessoires qui évoquent l’univers marin. Bouées, masques, tubas, marinières, chapeaux de mouss’ font partie des suggestions. Le DJ Franky Boissy fera danser l’équipage. Les participants pourront gagner une croisière d’une heure-et-demie dans la baie et repartir avec une coiffe de marin pour les premiers inscrits.
Evénement pour les plus de 21 ans uniquement.

4 endroits où célébrer l'histoire irlandaise à New York

Les histoires de l’Irlande et de New York sont intimement liées depuis la fin du XIXème siècle et l’arrivée des premières vagues d’immigrants irlandais dans la Big Apple. Profitez de la Saint-Patrick le 17 mars pour visiter l’un de ces lieux emblématiques célébrant l’héritage irlandais de New York.
Irish Hunger Memorial
L’Irish Hunger Memorial est un véritable morceau de campagne irlandaise en plein Manhattan. Situé à Battery Park City sur les rives de l’Hudson River, ce mémorial a été construit en hommage aux victimes de la Grande Famine, une période de famine majeure qu’a traversée l’Irlande entre 1845 et 1852, et qui a poussé de nombreux habitants à s’exiler vers les Etats-Unis. Réalisé par l’artiste américain Brian Tolle, cette construction de 50 mètres de long représente un paysage rural avec sa maison de pierre en ruine, ses champs de pommes de terre en jachère et la flore des terres humides de Connacht, province de l’ouest de l’Irlande. Le socle de l’Irish Hunger Memorial ainsi que ses pierres ont toutes été importées d’Irlande. North End Ave & Vesey St, (212) 267-9700.
Irish Repertory Theatre
L’Irlande n’est pas qu’une campagne verte et luxuriante. C’est aussi un héritage musical, de danse et de théâtre que la compagnie Irish Repertory Theatre a décidé de mettre en avant. Fondé par deux Irlandais en 1988, cette troupe met en scène les œuvres de dramaturges irlandais et irlando-américains classiques et contemporains. Le théâtre présente en ce moment trois pièces de Sean O’Casey, un auteur de premier plan, ainsi que des lectures et des projections de film sur son travail. Places en vente sur le site du théâtre. 132 W 22nd St, (212) 727-2737.
Basilica of St. Patrick’s Old Cathedral
Tout le monde connait la cathédrale Saint Patrick actuelle située au milieu des gratte-ciel de Midtown. Mais saviez-vous qu’une autre cathédrale Saint-Patrick lui a précédé à NoLiTa ? Ouverte en 1815, la St. Patrick’s Old Cathedral était autrefois le siège de l’archidiocèse de New York, avec à sa tête l’évêque irlandais John Connolly. Jusqu’en 1830, la vieille cathédrale était le point d’arrivée de la grande parade de la Saint-Patrick et a accueilli de nombreux immigrants irlandais en son sein. En 1879 et l’ouverture de la nouvelle cathédrale Saint Patrick, elle a été reléguée au rang d’église paroissiale avant de recevoir le titre honorifique de basilique. Pour une visite vraiment unique, vous pouvez visiter “à la bougie” la crypte de la cathédrale et ses nombreuses sépultures irlandaises. Plus d’informations ici. 263 Mulberry St.
Mc Sorley’s Old Ale House
Toutes ces visites vous ont donné soif ? Direction la plus vieille taverne irlandaise de New York, Mc Sorley’s Old Ale House, fondée en 1854 par un immigrant irlandais, John McSorley. Initialement réservée aux ouvriers et interdits aux femmes, cette vieille échoppe d’East Village a gardé tout son charme d’antan avec son sol couvert de sciure, ses wishbones (des os de poulet sensés porter bonheur) pendus au dessus du bar et ses murs aux affiches centenaires. Demandez aux barmen de vous raconter l’histoire mythique du lieu, entre deux bières bon marché (3$ l’unité). 15 E 7th St, (212) 473-9148.

L'Europe se dote d'un ESTA pour les voyageurs américains

C’est l’équivalent européen de l’ESTA américain. L’Union européenne a annoncé, vendredi 8 mars, la création d’une autorisation pour les voyageurs américains qui souhaitent se rendre en Europe. L’European Travel Information and Authorization System (ETIAS) rentrera en vigueur le 1er janvier 2021 et concernera les Américains (adultes et mineurs) ayant pour destination un des pays de l’espace Schengen.
Dans les cartons depuis 2016, année où elle a été adoptée par la Commission européenne, cette nouvelle autorisation de voyage vise à mieux contrôler l’identité des personnes arrivant des Etats-Unis et lutter plus efficacement contre le terrorisme et l’immigration illégale.
Conçu pour les séjours de moins de 90 jours, l’ETIAS sera valable pour une durée de trois ans. Pendant cette durée, il sera possible d’entrer et sortir à plusieurs reprises de n’importe quel pays de l’espace Schengen. Au total, les ressortissants de soixante pays doivent utiliser l’ETIAS pour voyager en Europe.

Infographie: les inégalités hommes-femmes en France et aux Etats-Unis

La célébration du Mois des femmes aux Etats-Unis, tout au long de mars, rappelle chaque année le chemin restant à parcourir pour les droits des femmes et la réduction des inégalités au travail et dans la vie quotidienne.
En France et aux Etats-Unis, les femmes restent moins bien payées que les hommes: une femme américaine touche 0,80$, une femme française 0,84$ quand un homme américain touche 1$. Dans les deux pays, encore un tiers des femmes sont sans activité professionnelle. Les chiffres sur les agressions sexuelles font froid dans le dos: une femme sur sept sera violée au cours de sa vie aux Etats-Unis, une sur 26 en France. Une femme sur trois subira une forme de violence sexuelle dans sa vie aux Etats-Unis, c’est une femme sur sept en France.

Au Musée du Chien à New York, médor est roi

De la poussette pour chien au manteau, en passant par les chaussures, les jeux, le spa canin, le club de rencontres, le dog hair stylist ou encore le classement en “support émotionnel” pour pouvoir accompagner ses maîtres partout, on croyait avoir tout vu à New York…
C’était sans compter sur le nouveau AKC Museum of the Dog, un musée du chien qui vient d’ouvrir sur la très chic Park avenue.
Attention, pas de second degré ici, ni d’accessoire kitch. Tout est traité avec beaucoup, beaucoup de sérieux.
Ce musée qui glorifie l’espèce canine avait été fondé à New York en 1982 mais avait déménagé à Saint Louis, Missouri, cinq ans plus tard. Conçu en partenariat avec l’American Kennel Club (AKC), une institution datant de 1884 qui recense les chiens de race et organise encore aujourd’hui des shows canins internationaux, il fait donc son retour dans la Grosse Pomme, capitale du toutou par excellence.
Nancy Lindsay et Dorothy Welsh, deux généreuses âmes, passionnées de chiens, sont à l’origine de cette collection d’oeuvres d’art impressionnante.
Des peintures, des sculptures, des bronzes d’Herbe-Alfred Jacquemart et de Pierre-Jules Mène, des porcelaines, des esquisses, des médailles, des concours… L’inventaire est vaste et vaut le détour si l’on aime vraiment les chiens.
On peut même apprendre à dresser son animal de compagnie ou tout savoir sur sa lignée grâce à une bibliothèque dédiée et des animations de réalité virtuelle.
Quelle vie de chiens…

Et sinon

Si les chiens ne sont pas votre truc mais que vous aimez les musées, vous pouvez déjeuner dans la Morgan Dining Room, le restaurant de la sublime Morgan Library, dont l’expo du moment consacrée au génialissime Tolkien.