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Un nouveau numéro dédié pour le service des impôts des non-résidents

La direction des impôts des non-résidents a souhaité faciliter l’accueil des contribuables en mettant en place un nouveau numéro dédié pour les Français de l’étranger. Depuis vendredi 1er février, ils pourront directement contacter le service au (00 33) 01 72 95 20 42, du lundi au vendredi de 9am à 4pm (heure de Paris). Attention, les anciens numéros ne sont plus actifs.
Le but de cette mesure est d’améliorer l’accès de la direction des impôts des non-résidents, qui peuvent toujours contacter les services fiscaux via leur messagerie sécurisée accessible depuis leur compte personnel en ligne.

24 magasins français et leurs équivalents américains

Pas toujours facile de s’y retrouver dans la jungle de la consommation américaine quand on a nos habitudes chez Carrefour ou Casto en France. Voici une liste d’enseignes françaises et leurs équivalents américains, réalisée avec l’aide d’Estelle Tracy, auteure du Guide de survie alimentaire aux Etats-Unis, pour les recommandations alimentaires.
Carrefour, Auchan : Les chaînes de grande surface où l’on trouve aussi bien de l’alimentaire et des produits du quotidien ne manquent pas aux Etats-Unis : on trouve notamment des enseignes telles que Kroger, Wegmans, C-Town (dans le nord-est uniquement) ou les Walmart Super Centers, dont l’offre est plus large que dans les Walmart classiques (oui, c’est possible).
Leclerc : Les supermarchés dédiés uniquement à la nourriture sont eux aussi légions. Les plus communs : Giant, Shop Rite (tous deux dans le nord-est du pays), Safeway (dans l’ouest et le centre), Publix (dans le sud-est), Ralphs (dans le sud-ouest), HEB (dans le sud).
Naturalia, Biocoop : Les magasins bio sont assez courant sur le sol américain. Estelle Tracy recommande notamment de consulter la liste de l’Association des magasins indépendants de nourriture naturelle pour trouver des adresses locales partout aux Etats-Unis. Plus généralement, les chaînes Whole Foods, Sprouts Farmers Market, Natural Grocers (dans le centre pour ces derniers) et Mom’s Organic Market (dans le nord-est) sont spécialisés dans les produits dits « organic ».
Monoprix : Ces magasins urbains, plutôt spécialisés dans les produits non-alimentaires, ont pour équivalents les établissements Target, dont les déclinaisons Mini-Target sont la traduction de nos Monop’. Il n’est cependant pas rare de trouver des Target plus grands dans des zones excentrées.
Lidl, Leader Price : Les groupes Aldi et Lidl, présents en France, ont également déployé plusieurs enseignes aux Etats-Unis.
Métro (Paris) : Si le grossiste parisien s’adresse exclusivement aux professionnels adhérents, des équivalents semi-grossistes aux Etats-Unis comme Costco, BJ’s (dans l’est) ou Sam’s Club sont également ouverts aux particuliers.
Picard : Malgré la profusion d’enseignes alimentaires, les Etats-Unis boudent les produits surgelés. Un établissement, Babeth’s Feast, a cependant ouvert en 2014 à New York et propose des livraisons dans tout le pays. Estelle Tracy recommande également la section « surgelés » de Trader Joe’s, très complète.
Epiceries de proximité, 8 à Huit : Pour les courses d’appoint en ville, les magasins CVS (qui servent également de pharmacies), les 7-Eleven ou encore les enseignes Wawa (dans l’est des Etats-Unis uniquement) proposent des produits de dépannage non-alimentaires et quelques snacks.
Sephora : Les magasins Sephora sont largement implantés aux Etats-Unis. Pour trouver des produits de beauté, les Américains prisent également les boutiques Ulta Beauty et Bath & Body Works.
Tati : La chaîne Century 21 (dans le nord-est) vend des vêtements, des chaussures et des objets de maison à prix réduit. Les magasins T.J. Maxx, Marshalls et Home Goods proposent également des produits discount et de la vente de surplus.
Etam : Pour les sous-vêtements de femmes basiques ou plus haut-de-gamme, Victoria’s Secret est implanté partout aux Etats-Unis.
La Halle aux Chaussures : Pour trouver chaussure à son pied, Famous Footwear (pour des chaussures de marque) propose des gammes femmes, hommes et enfants.
Décathlon : Même si San Francisco peut se targuer d’avoir le premier Décathlon américain depuis 2017, les magasins d’équipements de sport comme REI ou Dick’s Sporting Goods seront des alternatives beaucoup plus courantes.
Darty : La chaîne Best Buy propose, comme son homologue français, des produits électroniques et électroménagers.
Fnac : Si Barnes & Noble ne propose pas de produits électroniques, il s’agit de la plus grande chaîne de librairies des Etats-Unis.
Galeries Lafayette : les grands magasins Macy’s, Nordstrom et Bloomingdale’s vendent des sélections de produits de marques haut de gamme.
Conforama, But : Le groupe suédois Ikea est présent aux Etats-Unis. Bed, Bath & Beyond propose également du mobilier et des produits pour la maison.
Castorama, Bricorama, Leroy Merlin : Pour les bricoleurs, les enseignes Home Depot et Lowe’s offrent un large choix de produits.

Où regarder les Oscars 2019 à New York ?

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Ambiance française au bar-restaurant Le Privé
Situé dans le quartier de Hell’s Kitchen, ce restaurant français connu pour ses apéros networking du lundi, invite à profiter de la 91e cérémonie des Oscars dimanche 24 février tout en dégustant quelques-uns de ses plats traditionnels français. Les places sont limitées, ne tardez pas à réserver. L’équipe vous donne rendez-vous à partir de 8pm. 626 10th Avenue. Tickets ici.
Soirée chic et glamour au National Arts Club 
Sortez votre plus belle tenue et montez les marches du National Arts Club, illustre club de Gramercy, le temps d’une soirée. Ouverte à tous, la projection des Oscars s’accompagnera d’une soirée mémorable composée d’interviews sur le tapis rouge et d’une remise de prix alternatifs. Vous êtes invités à venir déguisés en personnage de cinéma ou en célébrité. L’entrée s’élève à 40$. 15 Gramercy Park South. Inscriptions ici.
Quiz au Poisson Rouge
Regardez les Oscars, mais prouvez aussi à tous que vous avez une meilleure culture ciné qu’eux: c’est ce qui vous attend au Poisson Rouge à NoHo à partir de 5:30pm. Le grand quiz, qui fête cette année sa 7ème édition, aura lieu avant la projection des “Academy Awards”. 158 Bleecker St, New York. 10$, inscriptions ici.
Journée “Oscars” au Nitehawk de Prospect Park
La salle de ciné-dîner propose une journée de projections consacrée aux Oscars. Retrouvez dans l’après-midi de dimanche plusieurs courts-métrages d’animation nominés, mais aussi des films qui se disputeront les statuettes ce soir-là: “Vice”, le bio-pic sur l’ancien vice-président Dick Cheney, “Bohemian Rhapsody” sur l’épopée de Freddie Mercury et le groupe Queen pour ne citer qu’eux… Infos et réservations ici
Un “Barbès Oscar Dinner” à Hoboken
Hoboken est en fête aussi. Le restaurant Barbès à Hoboken organise un dîner spécial à trois plats à 35$ pour profiter de la soirée Oscars à partir de 7pm. Les clients pourront bénéficier d’un happy hour tout au long de la soirée. 1300 Park Avenue, Hoboken. Réservations ici

Conférence à Paris: s'implanter aux USA, les 10 erreurs à ne pas commettre

Vous avez pour projet d’implanter votre société aux Etats-Unis ?
French Morning, en partenariat avec Axelia Partners, McDermott Will & Emery et Kinesis Partners, organise une conférence pour vous.
Mercredi 13 mars, de 18h30 à 20h30, rendez-vous au Salon Opéra des Galeries Lafayette pour assister à une heure de conférence pendant laquelle les intervenants détailleront les dix erreurs à éviter dans le cadre de votre projet et vous donneront de nombreux et précieux conseils pour réussir votre implantation.

Au programme notamment : adopter une approche américaine du marché, choisir la bonne solution d’implantation, gérer les différences culturelles dans le cadre du travail, préparer une levée de fonds aux Etats-Unis, gérer les aspects légaux (droit social, propriété intellectuelle…)
La conférence sera suivie d’une heure de cocktail-networking vous permettant de poser toutes vos questions aux intervenants.
Pour participer, complétez le formulaire ici.

"Raoul Taburin" au New York International Children’s Film Festival

C’est le festival de Cannes pour les enfants. Du vendredi 22 février au dimanche 17 mars, le New York International Children’s Film Festival se tiendra dans plusieurs cinémas de New York.
Pendant ce festival, devenu une référence du 7ème art pour petits, une sélection de films pour la jeunesse (de 3 à 18 ans) sera présentée. Plusieurs films français sont au programme: “Raoul Taburin” de Pierre Godeau, avec Benoît Poelvoorde et Édouard Baer. Cette adaptation du livre de Jean-Jacques Sempé conte l’histoire d’un homme devant cacher aux yeux de tous son incapacité totale à monter à vélo. Une séance de questions-réponses se tiendra en compagnie de Pierre Godeau, le 9 mars à 1pm au SVA Theater, à l’issue de la projection.

On retrouvera aussi “Aïlo: une odyssée en Laponie”, film de Guillaume Maidatchevsky se concentrant sur la survie d’un petit renne dans une Laponie aussi belle qu’impitoyable,  “Dilili à Paris”, film du maitre de l’animation Michel Ocelot, une petite fille et un triporteur enquêtent sur le kidnapping de jeunes filles à Paris; « Minuscule 2 : Les  Mandibules du Bout du Monde», film d’animation de Thomas Szabo et Hélène Giraud; « Panique Au Village », un autre film d’animation signé Stéphane Aubier et Vincent Patar sur les aventures folles de trois figurines : Cowboy, Indien et Cheval; et enfin « Pachamama », film d’animation de Juan Antin contant le périple d’une troupe courageuse voulant récupérer leur idole sacrée. Des courts-métrages sont aussi prévus. Les films sont projetés sur plusieurs jours à des horaires différents.
 

Leila Slimani : "Il n’y a pas de femme plus libre que la femme française"

Aux Etats-Unis pour promouvoir Adele, la traduction anglophone de son premier roman Dans le jardin de l’ogre, la romancière franco-marocaine Leïla Slimani sera à Austin le 25 février.
«Lorsque le scandale DSK a éclaté, j’ai lu beaucoup d’articles dans la presse française sur l’addiction sexuelle. C’est ainsi qu’est né le personnage d’Adèle », explique Leïla Slimani. Son héroïne, Adèle Robinson, a tout de la jeune femme bien comme il faut. Journaliste, elle vit dans le « beau XVIIIe » avec son époux chirurgien et leur fils, Lucien. Mais elle multiplie depuis longtemps les amants, et de manière compulsive.
La romancière raconte l’existence de cette mère de famille comme la descente aux enfers d’une toxicomane : Adèle subit son addiction au sexe et la double vie sordide que celle-ci impose. « J’ai voulu faire le portrait d’une femme qui n’a pas les qualités habituelles que l’on impose à un personnage de roman, ajoute Leïla Slimani. Adèle est passive, nymphomane, mais je ne la juge pas. J’essaie de susciter une forme d’empathie chez le lecteur ».
L’auteur a grandi à Rabat dans une famille franco-marocaine « très libre ». Ce premier roman est d’ailleurs dédicacé à ses parents, « passionnés d’art et de littérature », qui l’ont toujours soutenue et encouragée à écrire. « Je pense qu’il auraient eux-même rêvés d’être écrivains ».
Journaliste, elle quitte le journal Jeune Afrique 2012 pour se consacrer à l’écriture littéraire. Son deuxième livre, Chanson douce (The Perfect Nanny pour la version anglophone) lui a valu le prix Goncourt en 2016. Également inspiré de faits réels -l’assassinat de deux jeunes enfants par leur nourrice-, il s’est retrouvé­ en tête de la liste des best-sellers du Washington Post et a dépassé les 100.000 exemplaires vendus aux Etats-Unis : « Les lecteurs américains portent un regard très différent de celui du public français sur mes romans, ils ont une façon de lire très politique, souligne Leïla Slimani. The Perfect Nanny a suscité de nombreuses discussions sur les inégalités sociales et les races – “un mot que nous n’employons pas en Français et que je ne supporte pas! »
Avec Adele, l’auteur s’attend à des débats passionnés sur la sexualité. « Il n’y pas de femme plus libre dans le monde que la femme française ! La société américaine est plus prude, avec un rapport à la religion délicat ». Sur le plan culturel et artistique, les Etats-Unis la fascinent :« C’est un pays d’une créativité incroyable. J’aime les écrivains du sud des Etats-Unis: Carson McCullers, Faulkner, Fitzgerald, les sociologues de leur temps. Je lis aussi beaucoup d’auteurs contemporains, même si je trouve qu’on retrouve souvent les mêmes schémas dans les romans américains dernièrement. C’est certainement lié à la popularité des ateliers de Creative Writing… »
Pourrait-elle s’y installer ? « Non, les Etats-Unis me fascinent autant qu’ils me font peur. J’associe ce pays à une extrême violence, autant sociale que physique. Le port d’arme, par exemple, est quelque chose qui pour moi reste complètement incompréhensible. »
Elle travaille actuellement à son troisième roman. Est-ce difficile de se remettre à l’écriture après le Goncourt ? « Non, répond-t-elle en riant. Le plus difficile, c’est de trouver le temps d’écrire ! »

Où voir les Oscars à San Francisco et ses environs ?

La 91e cérémonie des Oscars se tiendra ce dimanche 24 février à 5pm PDT, au Dolby Theatre de Los Angeles. Loin des paillettes d’Hollywood, la Bay Area se prépare aussi à célébrer le cinéma, avec plusieurs sorties sur ce thème. Voici notre sélection.
Bingo et mimosas à volonté dans SOMA
Au StrEat Food Park du quartier de Soma, le champagne coulera à flots dès 4pm. Le tapis rouge et la cérémonie des Oscars seront retransmis en direct: vous pourrez voter sur place pour vos favoris, et remplir une feuille de bingo en rapport avec le cinéma. Ambiance assurée, et tenue de soirée recommandée. L’entrée est gratuite, mais le RSVP est conseillé.
StrEat Food Park, 428 11th St, San Francisco 94103. Dimanche 24 février, 2pm-10pm. Infos et RSVP.
Tester ses connaissances en cinéma autour d’une bière, à Potrero Hill
La Brasserie Anchor met le cinéma à l’honneur de sa trivia night: entre deux manches de questions sur les “Academy Awards”, on pourra étancher sa soif avec l’une des 19 bières produites sur place. Réservation obligatoire. Anchor Public Taps, 495 De Haro St., San Francisco. Jeudi 21 février, 7-9pm. Info.
(Re)voir ses classiques, accompagnés par l’orchestre symphonique de San Francisco
Deux films primés aux Oscars sont au programme: “La la land” de Damien Chazelle a remporté 6 Oscars en 2017 et sera projeté les 27 et 28 février, tandis que “Rencontres du troisième type”, réalisé par Spielberg et qui remporta deux Oscars en 1978, est programmé pour les 1er et 2 mars. L’orchestre symphonique jouera la musique originale de chaque film “live”. Davies Symphony Hall, 201 Van Ness Ave, San Francisco, CA 94102. Tickets pour “La la land”; tickets pour “Rencontres du troisième type”.
Se prendre pour une star à Vallejo
Vêtu(e) de vos plus beaux atours ou de ceux de votre star préférée, vous prendrez place dans une limousine, et une coupe de champagne vous accompagnera jusqu’à l’Empress Theatre: parterre d’admirateurs et tapis rouge vous attendront pour une soirée VIP digne d’Hollywood. La cérémonie sera ensuite projetée sur grand écran. Empress Theatre, 330 Virginia St, Vallejo, CA 94590. Dimanche 24 février, 3:30pm. Info.
Soirée spéciale célibataires à Emeryville
Qui n’a pas rêvé de rencontrer son prince charmant en regardant “La la land”? La Society of Single Professionals prend le prétexte des Oscars pour organiser une rencontre entre célibataires. Au programme: jeux et apéritifs, et pourquoi pas regarder ensuite la cérémonie à deux ? Hyatt Place, 5700 Bay St, Emeryville CA. Dimanche 25 février, 3-8pm. Infos.

Elisez la meilleure baguette de San Francisco

Qui succédera à Jane the Bakery comme “meilleure baguette” de San Francisco ? French Morning organise une nouvelle édition de son très populaire concours de la meilleure baguette. Et une fois de plus, nous avons besoin de vous !
C’est, en effet, aux lecteurs de French Morning qu’incombe la lourde tache de sélectionner les finalistes de ce grand concours (en remplissant le formulaire ci-dessous). Il n’y a aucune restriction: les chaînes, les épiceries et les petites boulangeries de quartier sont admises, à condition qu’elles fassent elles-mêmes leur pain de A à Z.
Les boulangers seront ensuite départagés par un jury de professionnels lors d’une grande dégustation ouverte au public. Le lieu et la date seront annoncés prochainement.
Lors de l’événement, le public pourra se promener de stand en stand pour se faire sa propre opinion. Il votera pour attribuer “Prix du public”.
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Best Baguette New York 2019 : et les finalistes sont….

Le suspense est à son comble. Vous allez enfin connaitre les finalistes qui s’affronteront dimanche 24 février au bar-restaurant SPIN pour remporter le concours 2019 de la meilleure baguette de New York, organisé par French Morning. Pour assister à la finale, inscrivez-vous sans attendre.
Avant de dévoiler l’identité des finalistes, désignés par quelque 800 lecteurs de French Morning, quelques mots sur la finale: les participants pourront déambuler de stand en stand pour déguster les pains des boulangers retenus. Il y aura aussi de la confiture, du café et du vin. Pour les plus gourmands, une formule “brunch” est en vente.
Plusieurs récompenses seront attribuées: le “Prix du public” est décerné par les participants – vous – au terme d’une dégustation de pains. En parallèle, un panel de juges goûtera à l’aveugle les baguettes des finalistes et décernera le “Grand Prix” de ce concours.
Parmi les membres du jury cette année, on retrouve : le chef Antoine Westermann, célèbre cuisinier alsacien avec trois étoiles Michelin pour son restaurant le Buerehiesel à Strasbourg ; le spécialiste-ès-pain Charles Van Over, qui est chef, boulanger et consultant alimentaire ; le célèbre romancier Marc Levy ; le chef Richard Farnabe ; et le chef exécutif du Gourmet Garage Georges Masraff.
Les boulangeries finalistes sont répertoriées par ordre alphabétique :

Almondine

Bread items at Almondine Bakery, DUMBO, Brooklyn

À Almondine Bakery, nous vendons uniquement du pain fraîchement cuit, cuisiné de manière traditionnelle“: c’est ce qu’assure cette boulangerie de DUMBO (Brooklyn), fondée en 2004 par le boulanger Hervé Poussot, sur son site. Elle aurait pu ne jamais participer à ce concours: la tempête Sandy a manqué de peu de la faire fermer. Almondine fabrique tout type de pain : la baguette française qu’on connait, une baguette “Almondine”, le pain de campagne, le pain multi-graines, le pain aux raisins. Une vraie boulangerie de quartier dont ses clients ne peuvent plus se passer. Site

Epicerie Boulud

Crédits : Épicerie Boulud

C’est la deuxième participation en deux éditions de la meilleure baguette pour ce café. Encensé par la presse, le chef boulanger-pâtissier François Brunet est responsable depuis 2014 des viennoiseries et des pains au sein du groupe de Daniel Boulud Dinex. Présente près du Lincoln Center, au Plaza Food Court et au World Trade Center, Epicerie Boulud offre une belle sélection de pâtisseries et de produits français, comme les macarons, les croissants et les canelés. Site

Breads Bakery


Avec des pains fabriqués de façon artisanale et certifiés “faits à la main”, Breads Bakery a été nommé par le site culinaire Eater parmi les quinze boulangeries essentielles de New York en 2018. La boulangerie, qui s’attache à utiliser des ingrédients naturels et biologique, s’est développée depuis sa création en 2013. Elle dispose aujourd’hui de trois points de vente à Bryant Park, Lincoln Center et Union Square et sert différents pains, dont la hallah, un pain traditionnel juif. Site

Choc O Pain


Créée en 2012 par la Française Clémence Danko, une ancienne de la pharma qui s’est formée aux joies de la boulangerie aux Etats-Unis, Choc O Pain apporte une touche française dans le New Jersey. La petite boulangerie, qui dispose de quatre adresses entre Hoboken, Jersey City et Jersey City Heights, a remporté le “Prix du public” lors de la dernière édition de notre concours. Ici, on vend du bon pain, mais aussi des croissants et pains au chocolat faits sur place, des kouign-amann, des chouquettes et d’autres petits délices. Site

La Boulangerie

Crédits : La Boulangerie

Située à Forest Hills à Queens, La Boulangerie participe pour une seconde fois au grand concours de la meilleure baguette. Créé par le Breton Francois Danielo en 2011, un ancien ingénieur passionné de boulangerie, l’établissement offre de nombreuses sortes de baguettes (tradition, campagne, céréales…), de viennoiseries (kouign-amann, meringues, beignets…) et de pâtisseries (fraisier, opéra…) artisanales. Page Facebook 

Récolte

Crédits : Récolte

Conçue par le chef pâtissier et boulanger primé Peng-Chieh Wang, la boulangerie Récolte combine saveurs européennes classiques et influences asiatiques. La boutique de l’Upper West Side, qui fait aussi partie du classement des 15 boulangeries essentielles de New York du site Eater, excelle aussi dans l’art de la pâtisserie puisqu’un bar à desserts (Récolte Dessert Bar) a ouvert cet hiver en collaboration avec le chef pâtissier renommé Michael Laiskonis. Site

Le District

Crédits : Le District

“Marché” français dans le centre commercial Brookfield Place à Lower Manhattan, Le District propose divers services : rôtisserie, poissonnerie, bar à frites, boucherie… et bien sûr boulangerie. Ici, on sert du pain frais tous les jours, avec de très bonnes viennoiseries qui font le bonheur des nombreuses familles de Battery Park City. Décrit comme un “Eataly français”, Le District a ouvert ses portes en 2015. Site 

Le French Dad Boulangerie


Cette petite boulangerie sans prétention installée à Montclair (New Jersey) utilise des ingrédients naturels, organiques et (autant que possible) locaux pour faire ses pains et ses viennoiseries tous les jours. Site

Maison Kayser


Raflant le “Prix du Jury” et le “Prix des lecteurs” lors de dernière édition de Best Baguette en 2016, Maison Kayser est sans conteste le favori de cette nouvelle édition. Avec des boulangeries qui ne cessent de se multiplier à New York et deux adresses à Washington, la petite entreprise artisanale du boulanger Eric Kayser n’en finit pas de grandir. Elle est présente dans une vingtaine de pays. L’aventure américaine a commencé, elle, en 2012, soit six ans après l’ouverture du premier Maison Kayser rue Monge à Paris. Son secret: des pains faits sur place tous les jours et une technique de fabrication murie par Eric Kayser, un ancien “Compagnon du Devoir” issu d’une longue lignée de boulangers. Site

Orwashers


En place depuis 1916 à New York, Orwashers est une institution pour les amateurs de pain. Lancée dans l’Upper East Side pour servir du pain artisanal aux populations immigrées venues d’Europe, l’enseigne travaille aujourd’hui avec les fermiers de la région pour obtenir une farine “faite 100% au sein de l’Etat de New York”. Au rayon “pains”: des produits divers et variés, allant des grands classiques à des variétés plus insolites comme les “pains au vin”. Orwashers est présent également dans l’Upper West Side, à Fort Green (Brooklyn) et vend ses produits dans d’innombrables marchés fermiers new-yorkais. Site

Pain d’Avignon

Crédits : Pain d’Avignon

Tout en simplicité, la petite boulangerie de Queens défend sa passion pour l’artisanat du pain. Mêlant traditions françaises et touches new-yorkaises, le pain est livré chaque matin dans les trois boutiques du Café d’Avignon situées à l’Essex Street Market, au Plaza Food Hall et Dekalb Market Hall. Site

Silver Moon Bakery

Crédits : Silver Moon Bakery

Réputé pour ses pains artisanaux, ses gâteaux et ses pâtisseries sophistiquées, Silver Moon Bakery a obtenu une certaine renommée depuis l’année 2000, quand elle est devenue la première boulangerie artisanale à ouvrir ses portes depuis trop longtemps dans le nord de Manhattan. Située dans l’Upper West Side, la boulangerie de Judith Norell et Georgia Stamoulis est devenue une institution bien au-delà de New York. Site

Vaucluse

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A bread lovers dream ?

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Brasserie élégante de Park Avenue, Vaucluse n’est pas une boulangerie, mais le chef Michael White et son équipe confectionnent tous les jours une collection de pains cuits pour les clients. Le reste du menu vaut aussi le détour si la France vous manque: des pâtes faites à la main, caviar Petrossian, une belle côte d’agneau ou encore un steak-frites se partagent le menu de plats français classiques et novateurs. Site
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Fort Worth et Nîmes sont désormais jumelles

Au terme d’un processus de trois ans, le partenariat officiel de jumelage entre les villes de Nîmes et de Fort Worth a été signé le 13 février. Ces deux villes de taille moyenne présentent de nombreuses similitudes sur le plan économique, culturel mais aussi industriel et entrepreneurial.
Notre volonté est d’étendre une coopération dans tous les domaines de l’art, du sport, de l’éducatif, du tourisme et de la santé. L’impact global de tous les jumelages rapporte 14 millions de dollars à la ville de Fort Worth par an”, déclare Mae Ferguson, présidente-directrice générale de Fort Worth Sister Cities International, le comité de jumelage pour la ville, et aussi représentante de l’Etat du Texas. Fort Worth compte neuf villes jumelles dans le monde.
Cette première union avec une ville française permettra l’échange d’étudiants et des collaborations dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cela doit aboutir à la signature d’une convention entre l’Université de Nîmes et la Texas Christian University, la Wesleyan University et l’University of North Texas. Actuellement, Fort Worth reçoit une délégation d’élèves français du lycée Albert Camus de Nîmes jusqu’au 25 février.
Sur le plan économique, le nombre d’entreprises dans la région des Cévennes n’a cessé de s’accroitre pour atteindre plus de 25.000 en 2018. Pour la ville gardoise, le développement à l’international est une opportunité. En effet, Fort Worth est fortement positionnée dans le secteur de l’aéronautique. Elle s’apprête à accueillir le nouveau centre de données de Facebook.
Lorsque le maire de Fort Worth, Betsy Price, conduira une délégation à Nîmes en septembre, les discussions se poursuivront pour établir un calendrier des échanges entre les deux villes pour 2020, renchérit Mae Ferguson. “Entre le rodéo de Fort Worth et la corrida de Nîmes, la compréhension est totale”, explique-t-elle.
Les projets de jumelage ne s’arrêtent pas là : le conseil d’administration du comité de jumelage international pour Fort Worth dispose d’un plan à long terme qui inclut l’ajout de villes d’Amérique du Sud et du Canada, mais aucun calendrier n’a été fixé.

FaceLove, une "gym" qui en met plein la figure à New York

Le marché américain truste les 1ères places du Botox Office, on ne vous apprend rien.
Ici, les femmes – et quelques hommes tirés à quatre épingles – vouent un culte démesuré au make-up et aux soins rajeunissants. Et font exploser les compteurs du marché de la dermo-cosmétique et de la chirurgie esthétique.
Face à ce fléau parfois ravageur qui chasse le naturel sans vraiment lui permettre de revenir au galop, on a déniché une alternative aux retouches artificielles et au bistouri : FaceLove, une technique de massage qu’on vient de tester et qu’on recommande.
Rachel Lang, la jeune Canadienne à l’origine du concept FaceLove, vient d’ouvrir un espace dédié à son approche personnalisée. Elle surfe sur un concept en vogue actuellement à New York : la gymnastique faciale. Son équipe d’esthéticiennes aux doigts de fées palpent, étirent et tonifient les 57 muscles qui composent le visage, tout en conseillant des exercices pour raffermir la peau et en affiner le grain.
C’est l’occasion d’apprendre que 21 de ces 57 muscles sont responsables des expressions de notre visage et qu’eux aussi, il faut les entretenir pour garder la forme.
On sort complètement épanoui de cette séance de gym d’un genre différent. Détendu et heu-reux. Et bonne nouvelle, l’épidémie de bonheur est très contagieuse cette année…

Un petit creux ?

Après cette cure de jouvence, on vous recommande pour rester dans le thème du bien-être à l’intérieur qui se voit à l’extérieur, un plat chez Villanelle, un petit resto farm-to-table calme et cosy.

Discussion avec le VP "conduite autonome" de Lyft, Luc Vincent, à San Francisco

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C’est l’un des artisans des voitures autonomes, sujet très en vogue dans la Valley et en dehors. Le Français Luc Vincent, vice-président chargé de la technologie de conduite autonome à Lyft, est l’invité de la Chambre de commerce franco-américaine de San Francisco (FACC) le lundi 4 mars à la Silicon Foundry.
Cet ancien de Google Maps, qui a travaillé notamment sur “Street View”, a été recruté par le service de transports Lyft, dont le siège se trouve à San Francisco. Il parlera des moments forts de sa carrière aux Etats-Unis, mais aussi de ses hauts et de ses bas. Il sera interrogé par Clara Terrien, investisseur à Hewlett Packard Ventures.
Un cocktail suivra la discussion. Inscriptions avant le 1er mars.