(Agenda partenaire) Participez à un cocktail/conférence qui répondra à toutes vos questions sur la vie d’expatrié français à New York.
Lundi 18 mars, à 6:30pm, Le District vous accueille pour une conférence immanquable. Plusieurs intervenants prestigieux seront présents pour vous conseiller et répondre à vos interrogations sur différents aspects de la vie d’expatrié (santé, droit, immobilier…)
Parmi les intervenants : Anne de Louvigny Stone, vice-présidente de Merrill Lynch, Nathaniel Muller de Law Offices of Nathaniel Muller PC, Sylvaine Dominguez, décoratrice d’intérieur, Rachel Scharly du Petit Journal, Dominique Dutronc de Homeis, et Patrick Ben Hayoun, agent immobilier français basé à New York.
Avec ces 25 ans d’expérience dans la Big Apple, ce dernier vous aidera à appréhender le marché immobilier new-yorkais et ses spécificités. Spécialisé dans la clientèle européenne, il met son expertise au service des particuliers comme des entreprises, pour la location et l’achat. « J’aide les clients aussi bien pour la location d’un studio que pour l’achat d’un grand appartement de luxe », résume-t-il.
Mais sa connaissance de la ville est loin d’être son seul atout. « J’aide les acheteurs/locataires dans toutes leurs démarches administratives de A à Z », ajoute l’agent immobilier. Autrement dit, vous pouvez compter sur lui pour trouver votre avocat, un maçon pour refaire votre appartement, un architecte ou même une entreprise de déménagement.
Contactez-le dès aujourd’hui pour réserver votre place pour la conférence : Patrick.BenHayoun@elliman.com
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Note: les “agendas partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
La vie d'expatrié français à New York : une conférence à ne pas rater
L'Europe se dote d'un ESTA pour les voyageurs américains
C’est l’équivalent européen de l’ESTA américain. L’Union européenne a annoncé, vendredi 8 mars, la création d’une autorisation pour les voyageurs américains qui souhaitent se rendre en Europe. L’European Travel Information and Authorization System (ETIAS) rentrera en vigueur le 1er janvier 2021 et concernera les Américains (adultes et mineurs) ayant pour destination un des pays de l’espace Schengen.
Dans les cartons depuis 2016, année où elle a été adoptée par la Commission européenne, cette nouvelle autorisation de voyage vise à mieux contrôler l’identité des personnes arrivant des Etats-Unis et lutter plus efficacement contre le terrorisme et l’immigration illégale.
Conçu pour les séjours de moins de 90 jours, l’ETIAS sera valable pour une durée de trois ans. Pendant cette durée, il sera possible d’entrer et sortir à plusieurs reprises de n’importe quel pays de l’espace Schengen. Au total, les ressortissants de soixante pays doivent utiliser l’ETIAS pour voyager en Europe.
Infographie: les inégalités hommes-femmes en France et aux Etats-Unis
La célébration du Mois des femmes aux Etats-Unis, tout au long de mars, rappelle chaque année le chemin restant à parcourir pour les droits des femmes et la réduction des inégalités au travail et dans la vie quotidienne.
En France et aux Etats-Unis, les femmes restent moins bien payées que les hommes: une femme américaine touche 0,80$, une femme française 0,84$ quand un homme américain touche 1$. Dans les deux pays, encore un tiers des femmes sont sans activité professionnelle. Les chiffres sur les agressions sexuelles font froid dans le dos: une femme sur sept sera violée au cours de sa vie aux Etats-Unis, une sur 26 en France. Une femme sur trois subira une forme de violence sexuelle dans sa vie aux Etats-Unis, c’est une femme sur sept en France.
Au Musée du Chien à New York, médor est roi
De la poussette pour chien au manteau, en passant par les chaussures, les jeux, le spa canin, le club de rencontres, le dog hair stylist ou encore le classement en “support émotionnel” pour pouvoir accompagner ses maîtres partout, on croyait avoir tout vu à New York…
C’était sans compter sur le nouveau AKC Museum of the Dog, un musée du chien qui vient d’ouvrir sur la très chic Park avenue.
Attention, pas de second degré ici, ni d’accessoire kitch. Tout est traité avec beaucoup, beaucoup de sérieux.
Ce musée qui glorifie l’espèce canine avait été fondé à New York en 1982 mais avait déménagé à Saint Louis, Missouri, cinq ans plus tard. Conçu en partenariat avec l’American Kennel Club (AKC), une institution datant de 1884 qui recense les chiens de race et organise encore aujourd’hui des shows canins internationaux, il fait donc son retour dans la Grosse Pomme, capitale du toutou par excellence.
Nancy Lindsay et Dorothy Welsh, deux généreuses âmes, passionnées de chiens, sont à l’origine de cette collection d’oeuvres d’art impressionnante.
Des peintures, des sculptures, des bronzes d’Herbe-Alfred Jacquemart et de Pierre-Jules Mène, des porcelaines, des esquisses, des médailles, des concours… L’inventaire est vaste et vaut le détour si l’on aime vraiment les chiens.
On peut même apprendre à dresser son animal de compagnie ou tout savoir sur sa lignée grâce à une bibliothèque dédiée et des animations de réalité virtuelle.
Quelle vie de chiens…
Et sinon
Si les chiens ne sont pas votre truc mais que vous aimez les musées, vous pouvez déjeuner dans la Morgan Dining Room, le restaurant de la sublime Morgan Library, dont l’expo du moment consacrée au génialissime Tolkien.
La Saint Patrick se fête en parade à Hermosa Beach
Hermosa Beach n’a rien d’irlandais de prime abord. Et pourtant, la parade annuelle de la Saint Patrick y est une référence. Ce défilé, qui aura lieu le 16 mars à partir de 11 am, débutera au City Hall sur Valley Drive, avant de prendre la direction de Pier Avenue, pour terminer au niveau de Hermosa Avenue/10th Street.
Plus de 100 entreprises locales, organisations civiques et fanfares d’écoles participeront au défilé qui traversera sept rues résidentielles. Devenue une tradition populaire, cette Saint-Patrick est célèbre pour ses joueurs de cornemuse de la Société Emerald, ses chars émeraude, son défilé des chevaux et de chiots. Chaque année, l’événement attire près de 20.000 spectateurs.
French Tech4Good: une conférence sur l'impact social de la tech à Austin
Comment l’innovation et la technologie peuvent-elles avoir un impact social positif ? C’est la question que se posera le réseau French Tech le dimanche 10 mars lors d’un événement inédit au Palm Door on Sixth à Austin: une conférence-débat baptisée “The French Tech4Good”, en marge de SxSW. Elle se penchera sur les cas de la France et d’Austin comme foyers d’innovation pour le bien social.
La conférence sera animée par Henri Jeantet, co-fondateur d’Inconnus, une société de conseil en stratégie et innovation business, et sera ouverte par le consul de France à Houston Alexis Andres et le maire-adjoint de Marseille Didier Parakian.
Plusieurs personnalités du monde de l’innovation interviendront: la directrice de la French Tech Mission Kat Borlongan, le directeur de l’innovation stratégique et de la planification chez DELL Christophe Daguet, le directeur marketing, digital et innovation de RATP Dev Cyrille Giraudat, la co-fondatrice et cheffe des opérations de Konexio Binta Jammeh et le PDG de Linagora Alexandre Zapolsky.
Le groupe de rock indépendant parisien Stuck in the Sound montera sur scène à 8pm pour un intermède musicale. L’évènement est gratuit et ouvert à tous.
Pour Code For Fun, un premier gala et des ambitions
Après cinq années d’existence, l’association Code for Fun fait appel à la générosité des techies de la Silicon Valley. L’association, qui milite pour l’apprentissage de l’informatique chez les 5-18 ans organise son premier gala. Cela se passe au Mitchell Park Community Center samedi 9 mars.
A l’occasion de cet événement minutieusement pensé par Servane Demol (fondatrice de Code for Fun), Laure Tuchscherer (bénévole) et Hélène Gsell (membre de l’association et chargée de développement), une soixantaine d’invités seront réunis. Outre l’aspect financier, l’équipe de Code for Fun veut éveiller les consciences sur un manque éducatif en matière de technologie. “On a fait un constat: de nombreux élèves quittent le High School sans jamais avoir été exposés ou éduqués au fonctionnement d’un ordinateur. Ces élèves ont grandi dans la région même où Steve Jobs, Mark Zuckerberg et autres se sont enrichis grâce à la technologie. Pourtant, ils ne sont pas plus favorisés qu’ailleurs”, s’alarme Hélène Gsell.
Grâce à l’argent levé lors du gala, Code for Fun espère multiplier ses interventions dans le scolaire en formant davantage de professeurs dans les écoles de Title 1 (East Palo Alto, East Menlo Park, Hayward, San Jose…). L’association espère également accroître ses nombres de visites dans ces établissements pour garantir le succès des cours qu’ils y donnent. Elle veut aussi créer des labos sur la tech et soutenir financièrement les cours qu’elle dispense gratuitement chaque samedi à l’école 42 à San Francisco.
Sur le long terme, l’association s’est fixée deux objectifs. “Parmi nos missions, il y a réduire le gender gap. On veut que les femmes actives de demain s’éveillent dès à présent au Computer sciences. Il y a un vrai écart qui peut se réduire si on casse les clichés, explique Hélène Gsell. La seconde, c’est de compenser le fossé qui existe entre école publique et privée en rendant accessible l’apprentissage d’outils technologiques. C’est par exemple nos heures de cours à l’école 42. Certains élèves peuvent valider cette matière en AP pour éviter de le faire à l’université. Sur 150 participants l’an dernier, 10 l’ont fait.”
Pour les épauler lors de ce premier événement caritatif, Code For Fun pourra compter sur le soutien de quatre intervenants: Vivek Ravisankar (CEO de Hacker Rank) Britta Cox (fondatrice de la marque Aquis), Mark Loundy (professeur spécialisé dans la Technologie au Cupertino School District) et Caryn Brandon (fondatrice de ItouchUp). Chacun d’entre eux donnera un discours d’une dizaine de minutes au fil de la soirée dans un décor particulier: celui de la saga Matrix.
Un "Grand Débat" avec Marlène Schiappa à New York
De passage à New York pour participer à la conférence “Women in Business”, la Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa participera à une réunion du Grand Débat National le mardi 12 mars dans les locaux du consulat de France. Les inscriptions sont ouvertes.
L’événement est organisé par les conseillers consulaires de la circonscription de New York (Annie Michel, Julien Ducourneau, Gérard Epelbaum, Patrick Pagni, et Richard Ortoli) ainsi que Pascale Richard, suppléante du député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure. Il aura pour thème “démocratie et citoyenneté”, un des quatre sujets fixés par Emmanuel Macron pour cette discussion qui se déroule jusqu’au 15 mars en France et à l’étranger en réponse à la crise des Gilets jaunes.
Les discussions sont Grand Débat National sont gratuites et ouvertes à tous.
Scott Tixier, un violoniste français dans l'ombre des stars
Scott Tixier ne perd pas son temps. Tout juste honoré d’un “Grammy Certificate”, accordé à un artiste qui a participé à l’élaboration d’une oeuvre récompensée d’un Grammy (en l’occurence l’album “Gumbo” de PJ Morton), le violoniste français sera la tête d’affiche du concert de lancement du French Cultures Festival, vendredi 8 mars à Houston.
Une scène relativement proche de la maison pour l’artiste français de Dallas, qui a joué dans les plus grandes salles américaines, du Carnegie Hall au Madison Square Garden en passant par Radio City Music Hall. « Pour moi, la musique est une constante improvisation, une ouverture sur d’autres mondes, qui est sans fin reliée à mes expériences personnelles. Je laisse parler mon instinct et je joue comme je suis. Je change au gré des périodes, des rencontres, des saisons », confie le virtuose.
Né en 1986 à Montreuil dans une famille d’artistes, rien ne prédestinait l’artiste de 33 ans à devenir une star du milieu aux Etats-Unis. Son père est acteur de théâtre et sa mère, pianiste. Lui et son frère jumeau commencent le solfège à l’âge de 4 ans, et il découvre le jazz à 13 ans qu’il va étudier tout seul dans sa chambre. Après ses études au conservatoire municipal de Rosny, il intègre le conservatoire de Paris d’où il en ressort avec un Master en violon classique et décroche dans la foulée le premier Prix du concours « Les Trophées de Sunside », un des concours de référence pour les jeunes jazzistes, en 2005.
Sur les conseils du violoniste et compositeur de jazz français Jean-Luc Ponty, il part à 19 ans tenter sa chance à New York. Il sera repéré lors du show immersif à succès « Sleep no more» par un agent qui l’invite à venir jouer dans le « Late Night Show » de David Letterman pour accompagner l’artiste allemand Zedd.
Grâce à cette émission, ce musicien hors pair va enchaîner les passages télévisuels dans les shows américains les plus populaires: « The Tonight Show » de Jimmy Fallon, « The Late Show » de Stephen Colbert, «The Late Night » avec Seth Meyers et sera présent durant trois saisons dans « America’s Got Talent ». Les artistes de renom le repèrent aussi. Stevie Wonder le laisse jouer en solo pendant sa tournée américaine. Il se produira également aux côtés de Christina Aguilera, d’Elton John, de John Legend, d’Ariana Grande et bien d’autres. Son parcours l’emmène aussi à travailler avec Hollywood. Il participe notamment à la chanson “Glory” du film “Selma”, qui a remporté un Golden Globe Award. « Aux États-Unis, la conception de la musique est très différente de la nôtre. C’est une émulation constante entre les générations », explique t-il.
Musicien pressé, il enchaine les projets. Il travaille comme compositeur à un film de Disney qui sortira cet été. Ensuite, il ira enseigner en Italie avant de s’envoler pour Shanghaï où il donnera un concert au Conservatoire pour terminer à Hollywood où il travaillera sur d’autres musiques de film. Il travaille aussi sur son futur album, qui sortira en 2020.
Avec tout cela, il pense aussi à transmettre son savoir à la génération qui suit. En septembre, The University of North Texas (UNT), réputée pour son collège de musique, lui a proposé de créer un programme sur l’improvisation sur cordes. « La musique ne m’appartient pas. Que je m’associe à un autre musicien ou que je sois dans mon propre groupe, je veux être flexible, servir la musique. J’essaye de m’oublier, de laisser la musique prendre le dessus. Je me libère de mes peurs, de mon ego. C’est un art d’équilibriste. Il faut avoir une grande discipline et savoir lâcher prise ».