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Fêtez la Chandeleur après l'heure avec l'Alliance française de Dallas

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Il n’est jamais trop tard pour fêter la Chandeleur. L’Alliance française de Dallas convie ses membres et les non-membres le dimanche 17 février à manger des crêpes à la librairie indépendante The Wild Detectives.
Au menu: une crêpe sucrée, une boisson chaude ou un soda. Les boissons alcoolisées ne sont pas incluses. Il est conseillé de réserver rapidement car les places sont limitées. 10 dollars pour les membres de l’Alliance française, 15 dollars pour les non-membres. Les crêpes seront préparées par la crêperie Whisk Crepes Café.
 

Life Project 4 Youth organise son gala 2019

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Life Project 4 Youth se met sur son 31. LP4Y, l’association fondée par des Français de Westchester, organise le jeudi 7 mars son gala de charité à Guastavino’s. La soirée débutera par un cocktail de bienvenue, suivi d’un dîner et d’une vente aux enchères.
L’association vient en aide à des jeunes adultes en très grande difficulté en les insérant dans le monde de l’entrepreneuriat, essentiellement dans des pays asiatiques. Participeront à cette soirée destinée à lever des fonds pour l’association: Sagar Sahu, diplômé 2018 de LP4Y, et Laure Delaporte, co-fondatrice de l’association.

Dating, sexe: comment drague-t-on aux Etats-Unis ?

Saint-Valentin oblige, l’heure est venue de tenter de comprendre les différences entre les codes de séduction français et américains. Et cela n’est pas une mince affaire. « Je vais vous citer “La Vérité si je mens !”. On demande au cousin Patrick comment ça se passe aux Etats-Unis et il répond : “Là-bas, tu dates. C’est-à-dire que tu crois que tu vas niquer mais en fait tu niques jamais” », sourit Bérénice Boursier, psychanalyste et sexologue française entre Miami et New York. Tout est dit.
Le dating, qu’est-ce que c’est ?
Elle explique : « Chez les Américains, en général, il y a des codes très précis et des protocoles dans la séduction: le garçon va prendre rendez-vous avec la fille, il va y avoir du flirt, peut-être un bisou, mais surtout pas un french kiss, que les Américains vont trouver dégoûtant ! Ça sera un bisou hollywoodien », décrit l’experte.
« Ensuite, si on s’apprécie, on continue, on se voit au restaurant, au bowling ou au cinéma et au bout d’un certain nombre de “dates”, peut-être quatre, cinq ou six, on va coucher ensemble, poursuit-elle. Mais avant de coucher avec une fille, le garçon va devoir faire chauffer sa carte bleue ! », prévient-elle.
Alexandre Cormont, « love coach » et expert en relations amoureuses lui aussi à Miami, fait le même constat. Le processus du “dating” permet de tester l’autre plutôt que de se jeter dans les bras du premier venu. « Il y a cette volonté de vouloir s’assurer qu’on a un bon parti. » Il se souvient notamment de ses premiers « dates » quand il est arrivé à Washington en 2015. « On m’a posé des questions très spécifiques du genre: “est-ce que tu as une assurance santé qui couvre les soins dentaires ?” »
Lorsqu’à grand renfort de “dates”, les partenaires amoureux décident de passer aux choses sérieuses, vient le temps de la question qui tue : « Aux Etats-Unis, on se déclare en couple et on se demande : “Veux-tu devenir ma girlfriend ou mon boyfriend ?” », illustre Alexandre Cormont. Cette clarification a même un nom, comme pour renforcer son côté quasi-solennel: “The Talk” ou “DTR” (Define The Relationship”). C’est seulement au terme de cette discussion, qui peut intervenir après plusieurs mois (soyez donc patient.e.s!) que le couple devient “exclusive”, c’est-à-dire qu’il accepte officiellement de ne fréquenter personne d’autre.
Le Français “too much”
Cette approche américaine très pragmatique et codifiée vient se heurter au romantisme à la française beaucoup moins figé. « La séduction à la française se lit plus sur le moment présent, il y a plus de charme, plus de place pour mettre sa personnalité en avant », poursuit le spécialiste.
Ce dernier prêche la transparence, que les Français ont tendance à négliger. « Le Français va avoir un discours plus serpenté. Il n’est peut-être pas assez direct et clair s’il veut une relation de “sex friends” par exemple », constate le coach. Il peut aussi assumer qu’une relation est “exclusive” alors que cela ne va pas du tout de soi pour le partenaire américain. « C’est tout à fait normal pour les Américains d’avoir plusieurs partenaires sexuels quand on est dans une phase de dating ».
Résultat : les Américains ont tendance à trouver les Français est « un peu trop poussifs, un peu trop entreprenants, un peu trop séducteurs. Un peu too much en fait », poursuit-il.
Ce côté séducteur peut parfois même s’avérer dangereux s’il prend des formes extrêmes. « J’avais un patient qui, au supermarché, avait pour habitude d’offrir des fleurs à la plus belle femme qu’il voyait et son avocat l’a mis en garde : ça peut être considéré comme du harcèlement sexuel. Il ne faut surtout pas se jeter sur la fille car on peut se retrouver en prison ! », insiste Bérénice Boursier.
Ces décalages culturels peuvent être une vraie source de souffrance pour les expatriés, observe Marc Pistorio, psychologue clinicien à Los Angeles et auteur du livre Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu es. « Ça crée le sentiment d’une adaptation plus difficile, l’impression de moins savoir comment entrer en contact avec les autres et ça renforce l’isolement social », souligne-t-il. À New York, où le marché des coeurs à prendre est impitoyable, on ne compte pas le nombre de Françaises qui choisissent de rentrer au bercail faute d’avoir trouvé la perle rare.
Son conseil : « établir des rapports, pas qu’amoureux d’ailleurs mais aussi amicaux, pour plonger dans la culture américaine avant même d’être présent dans le pays et comprendre ces codes dans lesquels les Français ne se retrouvent pas toujours », grâce aux réseaux sociaux ou aux associations d’expatriés, par exemple.

Lou Doillon sur scène à New York en juillet

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Elle vient de sortir un nouveau CD et le partagera avec ses fans à New York. La chanteuse Lou Doillon montera sur la scène du Poisson Rouge le lundi 1er juillet. Les tickets sont en vente.
L’auteure-compositrice-interprète française, fille du cinéaste Jacques Doillon et de la chanteuse Jane Birkin, fera la promotion de son troisième album, “Soliloquy”. Celui-ci comporte douze chansons “foisonnantes“, a noté Le Parisien dans un interview récente de l’artiste, qui contrastent avec ses deux premiers albums plutôt sombres. Plusieurs autres voix ont collaboré sur ce disque, dont l’Américaine Cat Power.

SeaBubbles : la start-up française fait voler des bateaux à Miami

C’est un rêve d’enfant devenu réalité pour l’ancien skipper français Alain Thébault. À 56 ans, après avoir passé plus de vingt ans à faire voler son Hydroptère, un trimaran futuriste, le disciple du célèbre navigateur Éric Tabarly a co-fondé SeaBubbles, une start-up spécialisée dans la conception de bateaux volants. Sa société vient de signer son premier contrat avec un client américain dont le nom sera dévoilé lors du Miami International Boat Show organisé du 14 au 18 février sur Virginia Key.
« Il y a quelques années nous utilisions les fleuves et les lacs, mais aujourd’hui la voiture a largement pris le dessus, les villes sont polluées et les rives congestionnées, raconte le recordman de vitesse à la voile. Il est important de se réapproprier ces voies navigables qui représentent le futur de la mobilité ». 
Partant de ce constat, le Bourguignon, épaulé par son ami suédois Anders Bringdal, quadruple champion du monde de planche à voile, a dessiné les croquis de son embarcation insubmersible capable de se déplacer au-dessus des flots. « J’ai réussi à mêler certains codes des industries du secteur de l’automobile, de l’aéronautique et de la construction navale, indique-t-il. Nos bulles, comme je les surnomme, arborent le design d’une voiture, se déplacent comme un avion et flottent comme un bateau quand elles sont à l’arrêt ».
Montées sur des foils – des ailes profilées sur lesquelles sont fixées de petites hélices – et propulsées par un système de batteries à énergies propres, les SeaBubbles, qui ont été expérimentées sur la Seine, peuvent atteindre une vitesse de 25 noeuds, soit plus de 46 km/h. « Elles ne polluent pas et ne font pas de bruit, insiste Alain Thébault. Et surtout, à une certaine vitesse, elles s’élèvent au-dessus de l’eau ce qui permet d’augmenter leur stabilité tout en réduisant le frein de près de 40% ».
En naviguant au-dessus des flots, ces embarcations, commercialisées entre 140.000 et 200.000 dollars et pouvant accueillir jusqu’à quatre passagers en plus du pilote, présentent aussi l’avantage de ne faire aucune vague. Un détail qui a son importance, notamment en Floride où il est interdit de laisser un sillage sur l’eau dans certaines zones. « C’est pourquoi nous avons ciblé en priorité des villes comme Miami qui sont touchées de plein fouet par l’érosion du littoral due aux mouvements des eaux pour y implanter nos bulles », précise Alain Thébault.
Après avoir levé plus de 15 millions de dollars en trois ans, l’entrepreneur français, qui a quitté les bancs de l’école sans aucun diplôme, s’apprête à se lancer dans une nouvelle levée de fonds. « Nous souhaitons améliorer les performances des bulles en intégrant notamment un moteur à hydrogène qui permettra d’augmenter leur autonomie tout en diminuant le temps de charge grâce à l’utilisation d’une pile à combustible », souligne le père. Alain Thébault espère notamment developper des SeaBubbles pouvant accueillir plusieurs dizaines de personnes et d’autres qui pourraient même voler sans conducteur.

Phoenix et Breakbot à l'affiche du Just Like Heaven Festival à Long Beach

Yeah Yeah Yeahs, MGMT, Beach House, Passion Pit (entre autres) : un nouveau festival va vous faire voyager dans le passé. Les 3 et 4 mai auront lieu la première édition de Just Like Heaven Festival à Long Beach. Alors que le samedi 4 mai est déjà “sold out”, les organisateurs ont rajouté la date du vendredi 3 mai, dont les tickets seront en vente le vendredi 15 février à 10 am.
Dans le programme dédié au rock électronique et alternatif, on retrouve deux grands noms de la scène francophone : le groupe Phoenix et Breakbot, habitués des scènes californiennes. Tête d’affiche, le quatuor français jouera ses plus grands tubes, tels que “If I ever Feel Better”, “Lisztomania” ou “1901”. Quant au DJ du label Ed Banger, il embarquera le public du Queen Mary Park dans un voyage disco‐funk.

À Brooklyn, les "Enfants terribles" du cheveu s'agrandissent

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Les Enfants terribles Haircut Bar s’agrandit. Le Marseillais Benoit Peyrouse a ouvert en janvier un salon de coloration juste en face de son salon de coiffure de Bergen Street (Brooklyn) pour séparer les deux activités.
Dans le milieu du cheveu depuis l’âge de 14 ans à Marseille, Benoit Peyrouse ouvre son premier salon à Nice à 20 ans, puis crée un site de vente de produits de coiffure. Mais l’entrepreneur provençal a décidé de se donner un peu d’air et de tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique. “Ça faisait neuf ans que j’avais mon salon à Nice, ça marchait super fort, mais je m’ennuyais et j’avais envie de voir autre chose. Je ne parlais pas anglais donc je me suis dis: pourquoi pas les États-Unis ! J’adore me lancer des défis, j’avais ce pays en tête et je me suis lancé”, confie-t-il.
Installé aux Etats-Unis depuis sept ans, il est passé par Los Angeles, mais pose finalement ses valises à Brooklyn. “Je n’ai pas du tout aimé Los Angeles, la mentalité n’est pas du tout la même qu’ici.” Il rencontre son associé actuel, le Floridien Matthew Previtera, dans un salon de Brooklyn. Ensemble, les “Enfants terribles” comme ils se surnomment, ouvrent leur premier salon en 2017.
Chez eux, il n’est pas uniquement question de coloration et de coupes de cheveux: les clients peuvent profiter de boissons alcoolisées (ou non) offertes par la maison: sodas, eau pétillante, bières, whisky, rhum…),. “Nos clients ne payent pas leurs consommations, donc nous n’avons pas besoin de licence. C’est aussi cela qui donne une ambiance décontractée, car ils viennent se faire couper les cheveux avant de rentrer chez eux le soir et aiment bien se détendre autour d’un verre. Mais on ne fait pas de cocktails par contre !”, sourit le coiffeur.
Les deux entrepreneurs ne comptent pas s’arrêter là et ont des projets à venir : “On peut espérer l’ouverture début 2020 d’un deuxième Haircut Bar, toujours à Brooklyn. Pas de Manhattan pour le moment. C’est trop d’énergie négative, on est constamment dans le bruit. À Brooklyn, il y a beaucoup plus de luminosité, ce n’est pas du tout le même environnement”, confie-t-il.
Avec un business florissant, le duo de coiffeurs franco-américains se veut optimiste pour la suite : “Notre projet continue à évoluer dans le bon sens. Moi qui ai eu des business en France et aux États-Unis, je pense que la grande différence entre les deux est la liberté que j’ai avec mon salon. J’y suis complètement détaché. En France, c’était impossible de s’absenter parce que la moitié de ma clientèle ne venait plus, alors qu’ici les gens viennent avant tout pour l’ambiance et moins pour la personne qui va les coiffer”, explique Benoit Peyrouse. Le salon compte désormais une dizaine d’employés sur les deux espaces: le salon de coiffure est ouvert sept jours sur sept et le salon de coloration cinq jours sur sept.

Baisse du nombre officiel de Français à l'étranger, stabilité aux Etats-Unis

Il y a moins de Français officiellement établis à l’étranger, c’est en tous les cas ce que conclut le rapport annuel du ministère des Affaires étrangères. Au 31 décembre 2018, le nombre d’inscrits au registre des Français tenu par les consulats dans le monde entier s’élève à 1.802.382, soit -1.05% par rapport à 2017. Si l’on en prend en compte les non-inscrits, le ministère estime le nombre global de Français vivant à l’étranger s’élève à 2,5 millions.
“Après une année marquée par de nombreuses inscriptions dans la perspective des élections présidentielle et législatives, 2018 observe une légère baisse des inscrits au registre des Français”, résume le document. Cela pourrait s’expliquer par la radiation de certains “qui séjournaient temporairement à l’étranger, comme c’est le cas pour les étudiants, les saisonniers ou encore les personnes avec des contrats temporaires”. En 2018, 16.406 usagers ont été retirés des registres. 

Une forte présence en Europe et dans les pays du G20

60,3% de la communauté française inscrite réside dans l’un des pays du G20 et près de 40% des Français établis à l’étranger habitent dans un des pays membres de plein droit de l’Organisation internationale de la Francophonie. A l’échelle régionale, la communauté française se répartit de la façon suivante : 48.32% en Europe (UE et hors UE), 20.29% dans les Amériques (du Nord et du Sud), 14.49% en Afrique du Nord et Moyen-Orient, 7.9% en Asie-Océanie et 7.97% en Afrique subsaharienne et Océan indien.
Les cinq premiers pays d’accueil de la communauté inscrite au registre restent les mêmes que les années précédentes: Suisse, États-Unis, Royaume-Uni, Belgique, Allemagne dans l’ordre. Avec un nombre d’inscrits allant de plus de 146.000 au Royaume-Uni ou encore 112.000 pour l’Allemagne à près de 190.000 pour la Suisse, ces cinq pays concentrent 40.8% de la communauté française inscrite au registre. 
Cependant, trois de ces cinq pays ont enregistré une baisse du nombre de Français officiellement établis : -2.99% pour l’Allemagne, -2.65% pour la Belgique, et -0.88% pour le Royaume-Uni qui sort son épingle du jeu malgré le contexte du Brexit. Le nombre de Français inscrits aux Etats-Unis est quant à lui resté stable (+0.51% à 164.542 inscrits), de même qu’en Suisse (+0.78%).
Les plus fortes hausses concernent certains pays scandinaves, comme la Suède avec une augmentation de 6.75% (passant de 8.261 à 8.819 Français) ou encore la Norvège avec +2.91% (de 5.576 à 5.738). Dans les autres pays européens, la baisse est significative notamment en Italie avec -5.32% d’inscrits, au Portugal avec -4.71% et l’Espagne avec -2.10%. Au Canada, le nombre d’inscrits recule de 3.74%, à 100.356 personnes.
La Turquie a en revanche attiré plus de Français avec une hausse de 7.33% passant de 10.895 à 11.694 inscrits. Mais la plus forte baisse du nombre de Français à l’étranger a été enregistrée en Libye avec une chute de 49.10% d’inscrits entre 2017 et 2018. Le Brésil (-7.22%), le Pérou (-4.44%) et la Chine (-4.65%) font également partie des perdants.

Une répartition par âge et par genre qui reste stable

Selon le ministère des Affaires étrangères, la répartition des Français inscrits par genre est stable sur les dernières années. Avec 50% de femmes parmi les inscrits au registre en 2018, la population française établie à l’étranger est légèrement moins féminisée que la population française métropolitaine qui compte 51.6% de femmes.
Il existe cependant des différences selon les zones géographiques. Ainsi, les femmes sont toujours moins présentes en Asie-Océanie (45%) et plus présentes dans les États membres de l’Union européenne (52.3%).
La structure par âge de la communauté française établie à l’étranger est stable par rapport à l’année précédente. 34.3% des inscrits ont moins de 25 ans quand 50.5% ont entre 25 et 60 ans et 15.2% plus de 60 ans.

Discussion avec Sandra Muller, créatrice de #BalanceTonPorc, à Washington

Nouveaux médias, nouveaux enjeux… L’Alliance Française de Washington (AFW) accueille, le jeudi 28 février, un débat sur l’activisme politique à l’ère du digital.
La journaliste Sandra Muller, créatrice de #Balancetonporc, sera présente. Ce hashtag, lancé par la Française en 2017, a permis de libérer la parole de nombreuses femmes victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles. Sandra Muller figurait parmi les personnalités de l’année du magazine Time en 2017 aux côtés d’autres femmes qui ont osé briser le silence.
La directrice de l’Alliance française Sarah Diligenti animera la discussion. À la fin du débat, les participants pourront bénéficier de rafraichissements et acheter le livre #Balance ton porc. Cet évènement est entièrement en anglais.
 

Soirée "Escape Game" avec French Morning à Miami

Si vous n’avez jamais fait d'”escape game” ou que vous souhaitez en découvrir une nouvelle, cette soirée est pour vous. French Morning organise une soirée à Escape Hunt, l’espace de jeux d’évasion de la Française Noëlle Barraque à Miami le jeudi 28 février.
Les participants pourront choisir de jouer dans l’une des trois salles proposées: “Missing From the Speakeasy” qui vous fera partir sur les traces d’une danseuse disparue, “Miami Nightmare” où les joueurs tenteront de collecter des preuves pour prouver la culpabilité d’un suspect avant l’arrivée d’un ouragan de catégorie 5, et “Blackbeard’s Treasure”, où vous partirez à la recherche d’un trésor dans un bateau qui coule.
Chaque ticket donne accès à une boisson. N’attendez pas pour réserver. Les places sont limitées.

Un concours pour jeunes critiques à Rendez-vous with French Cinema

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Jeunes cinéphiles, à vos plumes ! UniFrance et The Film Society at Lincoln Center relancent leur concours de critiques cinéma à l’occasion de l’édition 2019 de Rendez-vous With French Cinema du 28 février au 10 mars. L’initiative est sponsorisée par Frenchly, site d’information du French Morning Media Group pour les Américains francophiles.
Le principe de “Salut les Jeunes Critiques”: les participants devront soumettre avant le 8 mars la critique de l’un des films projetés pendant le festival de films français, qui rassemblera une fois de plus plusieurs cinéastes de l’Hexagone à New York pour une série de projections et de discussions. Le texte doit être en anglais et faire moins de 800 mots. Son auteur.e doit avoir moins de 30 ans pour participer.
L’auteur.e gagnera un voyage pour Paris et un abonnement d’un an à TV5 Monde. La critique sera publiée sur Frenchly et le site du Film Society of Lincoln Center.

Nos terrasses chauffées favorites à Washington

Il fait froid mais pas trop non plus, la température parfaite pour prendre un verre tout en humant l’air hivernal, sans pour autant geler sur place. French Morning a fait pour vous une sélection d’adresses des meilleures terrasses chauffées de la ville.
The Midlands
Connu dans le quartier de Columbia Heights pour sa grande sélection de bières locales, The Midlands s’anime particulièrement les soirs et les week-end, lorsque les écrans géants diffusent les matches de basket ou de football américain dans une ambiance décontractée. La vaste terrasse est éclairée grâce à la lumière tamisée des lanternes. Plusieurs braseros et des cheminées d’extérieur sont placés près des banquettes. The Midlands, 3333 Georgia Avenue NW. Ouvert du lundi au jeudi de 4pm à minuit, le vendredi de 4pm à 3am, le samedi de 11am à 3am et le dimanche de 11am à minuit. 
Iron Gate
Installé dans le quartier historique de Dupont Circle depuis 1923, Iron Gate est avant tout un restaurant réputé depuis près d’un siècle. Ici, tout est fait pour évoquer la nostalgie de ce lieu : les deux grandes lanternes à l’entrée, le long bar en bois foncé, les menus reliés en cuir… Mais le charme d’Iron Gate se trouve à l’arrière du restaurant. Entièrement chauffé et éclairé, le patio s’anime chaque soir à la lumière des lanternes. Iron Gate, 1734 N St NW. Ouvert le lundi de 5.30pm à 10pm, du mardi au jeudi entre 11.30am et 2pm puis entre 5.30pm et 10pm, le vendredi et samedi entre 11.30am et 2pm puis entre 5.30pm et 11pm et le dimanche entre 11.30 am et 2pm puis entre 5.30pm et 9pm. 
Dirty Habits
Situé au cœur du quartier de Penn Quarter, à deux pas du célèbre Spy Museum, Dirty Habits est un restaurant et bar luxueux de style moderne. La terrasse est grande et prisée, en particulier le week-end. Parfait pour un verre, si on recherche une ambiance calme. Dirty Habits, 555 8th St, NW. Ouvert du lundi au jeudi de 10.30am à 1am, du vendredi au samedi de 10.30am à 2am et le dimanche de 10.30am à 11pm.
Dacha Beer Garden
En 2013, deux amis d’enfance décident d’ouvrir un bar ensemble et achètent un terrain dans le quartier de Shaw. Depuis, le Dacha Beer Garden est devenu une institution et la terrasse est remplie, même en plein hiver ! Spécialisé dans les bières allemandes, belges et américaines, Dacha Bar s’inspire du style bavarois. Depuis 2015, le célèbre bar propose également des bagels. Un espace privé a ouvert en 2016, le Dacha Loft. Le bar est aussi connu pour l’immense portrait d’Elizabeth Taylor peint sur l’un des murs de la terrasse. Des événements sont organisés chaque semaine. Il est également possible de privatiser la terrasse. L’endroit parfait pour une soirée entre amis. Dacha Beer Garden, 1600 7th Street NW. Ouvert du mercredi au jeudi de 4pm à 10.30pm, le vendredi de 4pm à minuit, le samedi de 12pm à minuit et le dimanche de 12pm à 10.30pm. Fermé le lundi et mardi. 
Hazel 
Si vous êtes à la recherche d’un endroit familial, Hazel est le rendez-vous parfait. En plus d’une salle intérieure, un patio entièrement chauffé et entouré de murs colorés permet de boire un verre ou de déguster un dîner à l’extérieur. Le menu est original, puisque chaque plat cuisiné est originaire d’un pays différent.  Hazel, 808 V St., NW. Ouvert du lundi au samedi de 5pm à 10.30pm, le dimanche de 11am à 10.30pm.