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À TheArtpark à Miami, tout est en mouvement

Patrice Meignan passe la vitesse supérieure. Après avoir créé en 2015 TheArsenale, un marché en ligne consacré aux véhicules d’exception et à la mobilité en général, le Français, fraîchement installé à Miami, vient d’inaugurer TheArtpark, le premier showroom de la marque, en plein coeur du quartier de Design District.
Sur plus de 1.000 mètres carrés, TheArtpark a vocation à mettre en lumière des véhicules d’exception, atypiques et parfois innovants de constructeurs qui sont le plus souvent indépendants. « Ils sont moins formatés que les grands industriels qui restent plutôt traditionnels, indique Patrice Meignan. Les indépendants, eux, peuvent s’affranchir de certains codes ce qui leur permet d’innover rapidement et de créer des designs originaux et débridés ».
« La mobilité est un sujet atemporel qui se retrouve intensifiée dans le monde actuel où chacun est en mouvement. Les moyens de déplacement sur terre, sur l’eau ou encore dans les airs sont de plus en plus nombreux et génèrent à chaque fois une certaine frénésie », poursuit le quadragénaire passionné qui a souhaité se frotter au bitume de Miami pour y implanter son premier concept store. « Miami est une ville démesurée par nature et tous les ingrédients sont réunis afin d’accueillir l’exubérance et le côté hors-norme des créations que je représente, souligne-t-il. Il y a une certaine image luxueuse, de belles routes ainsi qu’une culture des voitures et des bateaux qui est omniprésente ».
En plus d’être un concept store, TheArtpark est aussi une véritable galerie d’art. Un projet qui est né de la rencontre de l’entrepreneur français et du galeriste parisien Philippe Combres. « Nous avons souhaité apporter une autre dimension à cet espace et surtout offrir une proposition visuelle différente, insiste Philippe Combres. Nous jouons ainsi sur la frontière entre l’art et la mobilité qui est poreuse, ce qui implique parfois de se demander s’il s’agit d’une oeuvre d’artiste ou d’une pièce de constructeur ».
Ainsi, au milieu des voitures d’exception et des motos de sport se côtoient des oeuvres axées sur le mouvement réalisées par des artistes contemporains aussi variés que Luka Sabbat, Noah Dillon, le chanteur américain Pharrell Williams, qui en plus de cultiver la passion de la gastronomie s’est découvert une vocation de designer, ou encore Frances Wilks. « Le monde de l’art et celui de la mobilité sont intimement liés depuis de nombreuses années, mais bien souvent les plasticiens et les designers ne se connaissent pas, précise Patrice Meignan. Nous avons donc voulu créer un véritable terrain d’échange et d’innovation pour que chacun puisse s’exprimer afin de faire naître de nouvelles créations originales ».

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Chaise “Tank” dont le design est signé Pharrell Williams © TheArtpark

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“Shine On” de Frances Wilks © TheArtpark

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1968 Chevrolet El Camino © TheArtpark

Un concert inédit d'André Manoukian à Los Angeles

Si vous ne connaissez pas le pianiste de jazz, vous reconnaîtrez l’homme à son phrasé de philosophe cosmique. Le musicien André Manoukian donne un concert inédit au Globe Theatre à Los Angeles, le mercredi 20 février. Sur scène, il sera accompagné par le musicien arménien Jivan Gasparyan Jr.
Bavard et passionné, André Manoukian s’est fait connaître du grand public en participant au jury à l’émission musicale “À la recherche de la nouvelle star” de 2003 à 2016. Après avoir accompagné au piano nombre de chanteurs, ce chroniqueur sur France Inter est revenu à ses racines musicales arméniennes, le piano et le jazz. Outre les concerts, il consacre également son temps à Muzeek, ​​une start-up dans le domaine de la musique basée sur l’Intelligence artificielle.

Ce concert est présenté par Philippe Guillaud pour les Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF) et Cynthia Hajjar pour l’Union des Français de l’Étranger (UFE). Il est soutenu par les consulats de France et d’Arménie.

Grand Débat National : la plateforme de contributions en ligne ouvre ses portes

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Bonne nouvelle pour les Français de l’étranger. La plateforme de discussion citoyenne du Grand Débat National a été ouverte le mardi 22 janvier.
Les citoyens français pourront utiliser cet outil pour s’exprimer en partageant leurs propositions sur un ou plusieurs des quatre thèmes choisis par le gouvernement : transition écologique, fiscalité et dépenses publiques, démocratie et citoyenneté, ou encore organisation de l’État et des services publics. Ils seront ensuite inviter à répondre à quelques questions autour de ces thèmes.
Pour rappel, les Français de l’étranger peuvent également organiser des réunions citoyennes de proximité jusqu’au 15 mars, date de fin du Grand Débat National. Elles seront ensuite relayées sur le site du Grand Débat National.
 

La Nuit des idées 2019 va faire réfléchir Los Angeles

Elle vous avait manqué l’an passé, la Nuit des idées revient en 2019 à Los Angeles. Cette nouvelle édition, en collaboration avec le Consulat général de France à Los Angeles, aura lieu le 1er février de 6 pm à minuit au Musée d’histoire naturelle. Les premiers billets mis en vente sont déjà partis, mais le Musée en remet en ligne 1.300 dès le 22 janvier.
Dans les murs de cette institution prestigieuse, le thème “Face au présent : lignes de fronts” permettra d’échanger et de réfléchir sur les défis environnementaux, politiques et technologiques qui font désormais partie de notre quotidien, le tout dans une atmosphère festive.
Les galeries, les salles, les théâtres et les espaces publics du musée seront ainsi ouverts à plus de 50 intervenants – philosophes, écrivains, scientifiques, artistes et politiciens comme Christophe Girard, maire-adjoint de Paris chargé de la culture, et Robert Lempert, lauréat du prix Nobel de la paix en 2007.
Outre les discussions, plusieurs performances musicales, projections et installations attendent les visiteurs. Ils auront l’occasion de se plonger dans un “bain sonore” pour communier avec des loups gris, des caribous et des ours polaires (premier arrivé, premier servi). L’un des temps forts de l’événement sera un défilé de mode avec des vêtements vegan, organisé par Emmanuelle Rienda, la fondatrice de l’agence de création Le French Lab à L.A. (qui est spécialisée dans la mode éthique) et grande militante des droits des animaux.

Deux conférences sur les retraites des Français de New York

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Avis aux futurs retraités français de New York. Deux conférences sur les conditions d’obtention des retraites aux Etats-Unis ainsi que sur leur calcul auront lieu les jeudi 24 et vendredi 25 janvier dans les locaux de Compass.
Deux spécialistes des retraites participeront à cette réunion d’information: Sylvie Pregevole, fondatrice et consultante de Maison Pregevole-1968, une société spécialisée dans la gestion privée et la retraite de l’expatrié; Stéphanie Taccon, spécialiste de mobilité mondiale et de fiscalité à TFD Expat Services.
Places gratuites limitées. Réservation ici.

Le visa E-2 pour investisseurs tient le choc

(Article Partenaire) Dans un climat très incertain aux États-Unis, les possibilités de sécuriser des autorisations de séjour et de travail se font rares. Mais il reste un visa temporaire qui résiste aux attaques de l’administration actuelle: le visa d’investisseur E-2 qui appartient à la catégorie des visas dits “non-immigrants”. Les explications de l’avocat Florian Dauny.
La possibilité de faire une demande de visa E-2 provient de Traités de Commerce et de Navigation qui sont des accords bilatéraux entre les États-Unis et certains pays étrangers.  Plus de 80 pays ont signé un Traité de Commerce et de Navigation avec les États-Unis dont la France, le Canada, la Belgique, la Suisse, etc.
L’investisseur E-2 doit investir un montant substantiel dans la société, ce qui correspond à un montant suffisant pour couvrir les coûts de démarrage de l’activité aux États-Unis.  L’investissement peut prendre plusieurs formes: achat de produits/services, achat/location de locaux (caution et loyers d’avance), frais juridiques, marketing, site internet, etc.  L’investisseur peut également racheter une activité existante. Il n’existe pas de minimum légal à investir mais plus l’investissement sera important plus il sera aisé de faire approuver un dossier.
L’investisseur doit mettre en place une réelle activité commerciale qui aura un impact significatif sur le tissu économique local. Cela signifie que l’activité devra générer suffisamment de revenus pour permettre à l’investisseur d’en vivre avec sa famille et devra créer des emplois pour des travailleurs américains.
Il est possible de faire venir aux États Unis sous visa E-2 des « investisseurs » : des personnes qui auront investi dans la société E-2 et qui viendront pour contrôler et diriger leur investissement. Il est également possible de faire venir des « employés » : des personnes de la même nationalité que l’investisseur principal qui occuperont des postes de Managers ou de Spécialistes.
La durée maximale du visa E-2 est déterminée par le Traité de Commerce et de Navigation applicable. La plupart de Traités prévoient une durée de visa de 5 ans*, renouvelable indéfiniment – c’est le cas à l’heure actuelle des Traités applicables avec le Canada, la France et la Belgique. Le Traité avec la Suisse prévoit une durée maximale de visa de 4 ans (renouvelable indéfiniment).
*Depuis novembre 2019, la durée du visa E-2 est passée à 2 ans (25 mois) pour les Français
Si les conditions sont réunies et si le Traité le permet, il sera possible de renouveler le visa E-2 ou d’étendre le statut E-2 auprès de USCIS (U.S. Citizenship and Immigration Services). Il n’existe pas à l’heure actuelle de procédure permettant de transformer automatiquement un visa E-2 en une carte verte (autorisation de séjour et de travail permanente). Cependant, le fait d’être aux États Unis sous visa E-2 ne vous empêchera pas de bénéficier d’une des voies d’accès existantes à la carte verte (EB-1, EB-2, EB-5, etc.).
Pour plus d’informations
Florian J. DAUNY
Site
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Ces Français qui subissent le "shutdown" de plein fouet

Le “shutdown” dure depuis plus d’un mois. Quelque 800.000 employés fédéraux et un grand nombre de contractuels ne sont plus payés. Parmi eux, des Français.
Depuis mai 2016, Delphine Nna Mvondo travaille pour un projet financé par la NASA. Chimiste en sciences planétaires, elle n’est pas une employée fédérale, mais son poste est touché. “Mon salaire de janvier a été réduit de 50%, et je n’aurai peut-être pas celui de février, s’inquiète-t-elle. Le shutdown semble un événement parmi d’autres aux Etats-Unis et je suis consternée de voir que les gens et les travailleurs fédéraux ne se mobilisent pas davantage. La passivité et le désintérêt des institutions fédérales et des fonctionnaires sont déstabilisants”. Rappelons que les employés fédéraux n’ont pas le droit de faire grève. 
Dans le même cas, Emilie Pinder s’est retrouvée sans travail. Infirmière contractuelle pour deux agences fédérales, elle se retrouve en congé sans solde faute de missions. “La première semaine, j’ai travaillé trois jours, puis l’autre deux jours, dans le New Hampshire, et cette semaine, on m’a proposé un seul jour“, explique-t-elle, lassée par la situation.  
J’ai commencé à conduire pour Uber, et je fais des livraisons de courses pour les clients d’une application”, explique cette jeune mère d’un bébé de 15 mois. Les factures d’électricité commencent à s’empiler. “J’ai appelé notre fournisseur, mais ils ne veulent rien entendre, nous devons payer la totalité en temps et en heure”. Son mari, lui, ne sait pas s’il continuera à travailler après le 31 janvier.
De son côté, Delphine Nna Mvondo a tenu sa famille au courant de la situation. “Ma soeur est prête à m’accueillir, ce n’est pas ce dont je rêvais à 43 ans”, explique-t-elle. Sous visa J-1, elle a pour obligation d’avoir une assurance-maladie et un travail. Elle a peur que son visa soit révoqué à tout moment.
Les stagiaires sont, eux aussi, touchés par le shutdown. Le 7 janvier dernier, une étudiante française, qui a souhaité rester anonyme, aurait dû commencer un stage de deux mois dans un musée américain de renom. Un stage prestigieux qui lui glisse entre les mains. “C’est un événement qui pourrait directement et négativement impacter le cours de ma carrière dans la conservation du patrimoine”, a-t-elle confié. Son stage arrive en fin de son cycle d’étude.
J’avais placé beaucoup d’espoirs, c’était l’opportunité de me faire connaître”, souligne-t-elle. “Je veux rester, même si c’est pour trois semaines de stage”, insiste-elle car elle espère faire carrière aux Etats-Unis.
Heureusement, face à cette situation compliquée, une belle solidarité s’est rapidement mise en place. Depuis le début du shutdown, des nombreuses entreprises, bars et restaurants, offrent des réductions pour aider les employés touchés. La semaine dernière, José Andrès, un chef bien connu de Washington D.C., a offert des repas gratuits à World Central Kitchen sur Pennsylvania Avenue et lancé la campagne #ChefsForFeds
Emilie Pinder essaie de voir ce qui est disponible à Silver Spring, où elle réside. “Quelqu’un m’a appelée pour me donner des couches, raconte-t-elle. Et nous sommes aussi allés dans un supermarché qui donnait des fruits et des légumes frais”. 

Soirée dédicaces et jazz avec Jean-Paul Vignon au Petit Paris de Los Angeles

Afin de célébrer le lancement de sa biographie en France et au Québec, le chanteur et acteur Jean-Paul Vignon donne rendez-vous à ses fans mercredi 23 janvier au restaurant Le Petit Paris. Il profitera de ce moment pour dédicacer son livre From Ethiopia to Utopia, tout en répondant aux questions du public. La soirée se poursuivra par un concert de jazz dans ce restaurant de Downtown.
De sa naissance en Éthiopie au début de sa carrière à Paris en passant par New York, il a chanté sur scène et à l’écran avec les plus grandes vedettes de sa génération (Liza Minnelli, Jean-Pierre Aumont, Gloria Swanson, Edith Piaf et Farrah Fawcett). Dans sa biographie disponible en anglais et en français, Jean-Paul Vignon revient sur son parcours professionnel, mais aussi sur les expériences romantiques qui ont marqué sa vie.

La saison 3 de "Dix pour cent" est arrivée sur Netflix US

Jean Dujardin, Isabelle Huppert, Monica Bellucci ou encore Gérard Lanvin sont quelques-uns des “guests” de la troisième saison de la série “Call My Agent” (“Dix pour cent”). Diffusée dès le 14 novembre sur France 2 en France et rassemblant en moyenne 3,35 millions de téléspectateurs, elle est désormais accessible sur Netflix US. Les abonnés à la plateforme de streaming peuvent revoir ou rattraper les six épisodes depuis la mi-janvier.
Mélangeant comédie et drame, la série décrit la vie de la prestigieuse agence d’acteurs ASK après la mort accidentelle de son fondateur. À chaque épisode, une star du cinéma joue son propre rôle avec une certaine autodérision.
En essayant de ne pas succomber au binge-watching, le public retrouvera dans cette nouvelle saison les quatre agents d’ASK (Andrea, Matthias, Gabriel et Arlette) confrontés aux caprices des stars et aux situations incongrues. On croise notamment Jean Dujardin totalement hanté par son dernier rôle, qui vit comme un reclus dans son jardin et mange des lapins crus…
Les magouilles et trahisons seront toujours de la partie. Outre les critiques sur la gestion de l’agence par Icham et la rupture de Gabriel et Sophia, cette nouvelle saison est également marquée par un changement de taille : la maternité d’Andrea.
Une quatrième saison est d’ores-et-déjà annoncée. Mais «Dix pour cent» devra faire sans sa scénariste et créatrice Fanny Herrero.

Animation et amour à l'honneur au prochain Uptown Flicks à Harlem

La Saint-Valentin approchant, la série mensuelle de films français Uptown Flicks propose deux projections à Harlem : “Plaire, aimer et courir vite” (“Sorry Angel”) au célèbre Maysles Cinema le jeudi 31 janvier en version française sous titrée anglais et “Phantom Boy” le dimanche 3 février en version anglaise à Silvana. French Morning est partenaire d’Uptown Flicks.
En sélection officielle au festival de Cannes 2018 pour la Palme d’Or, “Plaire, aimer et courir vite” est une véritable romance des années 1990 signée Christophe Honoré. C’est l’histoire d’une rencontre entre un étudiant provincial de 20 ans (joué par Vincent Lacoste) et un écrivain parisien atteint du Sida (Pierre Deladonchamps). L’un débute tout juste sa vie, l’autre va bientôt achever la sienne.
Avec notamment Audrey Tautou, Edouard Baer et Jean-Pierre Marielle en voix off, le film d’animation “Phantom Boy” raconte, pour sa part, l’histoire de Leo, 11 ans, qui, à la suite d’une hospitalisation, fait la rencontre d’un policier blessé avec lequel il va nouer une relation particulière. Mais Leo n’est pas un garçon comme les autres : sa triste maladie lui a conférer un pouvoir extraordinaire lui permettant de se transformer en véritable fantôme invisible tout en conservant son corps d’origine. C’est le deuxième film d’Alain Gagnol et de Jean-Loup Felicioli après “Une vie de chat”, nominé pour le meilleur film d’animation à la fois aux Oscar et aux César 2011.
 

Nos bons plans pour se réchauffer cet hiver à Washington

Face aux degrés qui s’effondrent, French Morning vous donne des conseils pour vous réchauffer dans les semaines à venir.

Manger une raclette ou une fondue

Pour les amateurs de fromages qui veulent se réchauffer, de nombreux restaurants proposent des plats de raclette ou de fondue. Sur U street, The Fainting Goat, qui se targue de seulement cuisiner avec des produits locaux, propose une fondue accompagnée de pain grillé pour 13 dollars. 1330 U Street, NW. Site.
Si vous êtes plutôt raclette, le restaurant de Petworth, Homestead, offre son assiette de raclette pour 12 dollars. 3911 Georgia Ave NW. Site.
Sur H street, le restaurant suisse-américain Stable DC fait les choses sérieusement. Pour une raclette, il faut réserver à l’avance et être au minimum 4 (35 dollars par personne). Du côté de la fondue, on trouve trois versions différentes entre 27 et 30 dollars. 1324 H Street NE. Site.
A Shaw, le bar à vin et restaurant La Jambe relance son thème “Après-ski” à partir du 29 janvier (jusqu’au 17 février). Au menu, une fondue savoyarde, un boeuf bourguignon et une raclette au choix. 1550 7th street NW. Site.

Faire un sauna (et ne jamais en ressortir?)

Pour stimuler votre circulation sanguine et booster vos défenses immunitaires, rien de tel qu’un sauna dont la température oscille généralement entre 70 et 100°C. A Alexandria, le Synergy Float Center propose des sessions de sauna infrarouge pendant 30 minutes pour 39 dollars. 1240 North Pitt Street, Alexandria. Site.
A Spa World situé à Centreville, il faut compter 40 dollars pour faire une séance sauna, mais l’entrée donne également accès au centre de sport et aux piscines. 13830 Braddock Road, Centreville. Site.

Boire un chocolat chaud

Le chocolat chaud version Le diplomate est un mélange de chocolat Valrhona, de crème de chartreuse et de guimauves faites-maison pour 14 dollars. Comptez 8 dollars pour la version sans alcool. 1601 14th St. NW. Site.
Si vous trouvez le courage pour aller faire les marchés, rendez-vous à Peregrine expresso à Union et Eastern Market. Leurs chocolats chauds faits à partir de fèves de chocolat cultivées au Ghana sont vendus à 4 dollars. 660 Pennsylvania Ave SE (Eastern Market) ou 1309 5th St NE (Union Market). Site.
Au coeur d’Adams Morgan, le café Tryst sert un chocolat chaud avec un sirop de lavande fait maison ou une version classique. Les deux sont à 4 dollars. 2459 18th Street NW. Site.

Boire un cocktail d’hiver

Vous avez froid jusqu’au os ? Certains bars de DC ont sorti leurs épices pour préparer des cocktails qui réchauffent n’importe quel estomac en quelques secondes.
La star de la boisson saisonnière au bar du Café Dupont est l’“Apple Mule” avec de la vodka, du jus de pomme, des canneberges, du jus de citron vert et de la bière au gingembre pour 13 dollars. 1500 New Hampshire Ave. Site.
A Meatball Shop, leur cocktail épicé d’hiver est un mélange de rhum Cruzan, de citrouille, de piment de la Jamaïque et de citron. 1720 14th St, NW. Site.

Hommage à Bocuse et Robuchon par une armée de grands chefs à DC

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Pour rendre hommage à Paul Bocuse et Joël Robuchon, deux monstres de la gastronomie française qui nous ont quitté respectivement le 20 janvier et 6 août 2018, le Comité tricolore organise son premier “dîner du siècle”. Seize chefs étoilés ou maîtres cuisiniers de France prépareront leurs plats dans les cuisines de la maison de l’ambassadeur le mercredi 27 février prochain de 6.30 pm à 10pm.
Sans surprise, l’Américain Patrick O’Connell, chef du restaurant trois étoiles The Inn at Little Washington, figure parmi cette liste impressionnante de talents gastronomiques. A ses côtés, on retrouve Cédric Maupillier, propriétaire de Convivial et Mintwood, Gaël Cruchet, chef du Ritz-Carlton, ou encore Jean-Louis Dumonet, ancien propriétaire du restaurant Dumonet à Brooklyn.
Les chefs s’appliqueront à reproduire les plus grandes recettes de Paul Bocuse, connu pour sa soupe aux truffes ou son loup en croûte sauce Choron, et de Joël Robuchon avec sa célèbre purée de pommes de terre.
Le dîner est organisé dans le but de lever des fonds. Les premiers prix commencent à 1.000 dollars pour une place et 1.800 dollars pour deux.