Vous auriez aimé vivre pendant les années 20 ? Replongez dans l’ambiance des “Roaring Twenties” le temps de la soirée Great Gatsby Party, qui fait son retour à New York les vendredi 30 novembre et samedi 1er décembre de 9pm à 2am, à Capitale.
Chaque soirée attire plusieurs centaines de curieux. Il y a de quoi: la grande fête, où il ne manque de Leonardo DiCaprio, est ponctuée de mini-spectacles de musique, danse, contorsions et de marche sur échasses, le tout arrosé au champagne. Pour se mettre dans l’ambiance du roman de F. Scott Fitzgerald, les dames doivent venir parées de leur plus belle robe à clapet et de gants de velours. Les hommes devront ressortir leurs tuxedo et hauts-de-forme.
Un premier marché de Noël zéro déchet à San Francisco
Le samedi 1er décembre aura lieu un premier marché de Noël zéro déchet à Fort Mason, à San Francisco. “L’objectif est simple: il s’agit de montrer qu’on peut choisir des cadeaux respectueux de l’environnement, sans plastique, sans consommer à outrance. Chaque année, les fêtes de fin d’année génèrent une masse de déchets colossale, 25% supérieure au reste de l’année, et nous tentons d’y apporter une réponse grâce à ce marché de Noël“, explique Stéphanie Regni, co-organisatrice de l’événement, et fervente supportrice du mouvement zéro déchet.
Fondatrice de l’entreprise Fillgood, qui livre produits de beauté et d’entretien durables à domicile, elle cogitait sur ce projet depuis un an. Elle s’est alliée avec Carolynn Box et Eva Holman, créatrices de Goods Holding Company, une entreprise locale qui produit des contenants en verre pour les produits de tous les jours.
Biberons, produits de beauté, chaussures…
La sélection des exposants pour ce marché un peu spécial a été très stricte: “Nous avons reçu de nombreuses candidatures, et nous n’en avons retenu qu’une vingtaine, selon des critères de produits utilisés, et d’implication dans le respect de l’environnement et le développement durable.”
L’offre sera variée: on retrouvera aussi bien du prêt-à-porter que des produits de beauté, des bijoux ou des objets du quotidien: “La marque Tonlé fabrique des vêtements avec des chutes de tissus dont les grandes enseignes ne veulent plus“, explique Stéphanie Regni. Mason Bottle propose un biberon fait à partir d’une Mason jar, un bocal en verre. Albatross fabrique des rasoirs, Mohinders des chaussures, Anato du shampooing et du baume à lèvres… “La plupart de ces entreprises sont locales, et certaines ont déjà un rayonnement à travers tous les Etats-Unis comme les lunchboxes d’ECOLunchbox.”
La communauté française sera bien représentée, avec Fillgood, Tonlé, Mini-Chic, magasin de vêtements d’occasion pour enfants, Look it Maman et ses accessoires pour bébés, Peekagreen et sa sélection de cadeaux durables, et les céramiques de Carole Neilson.
La sensibilisation à l’importance du zéro déchet passera aussi par des mini-conférences et un atelier d’emballage de cadeaux: pas question de gaspiller du papier, on y apprendra l’art du Furoshiki, une technique japonaise qui utilise des tissus. “Plus de la moitié du papier utilisé aux Etats-Unis l’est pour emballer des cadeaux et finit à la poubelle, ça fait réfléchir…“
Prenez "Le Dernier Métro" avec François Truffaut à Palo Alto
Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, François Truffaut. Tout ce beau monde se retrouve à l’Alliance française Silicon Valley (AFSV) vendredi 14 décembre pour la projection du film “Le Dernier Métro” à Emerson School de Palo Alto.
Sortie en 1980, cette oeuvre de Truffaut a reçu dix César, dont “meilleur acteur” et “meilleure actrice” pour Depardieu et Deneuve. Elle nous emmène dans la vie d’un théâtre parisien qui brave la censure nazie pendant la Seconde guerre mondiale. La projection sera suivie d’une discussion animée par Hélène Laroche Davis, professeure d’études cinématographiques. L’Alliance en profitera pour faire sa traditionnelle fête de Noël à grands renforts de bûches. Vous êtes invités à venir avec la vôtre.
Le Paris de Brassaï s'expose au SFMOMA
Le Museum of Modern Art de San Francisco propose une visite guidée en noir en blanc du Paris des années 1930, vu à travers l’objectif du photographe Brassaï. L’exposition “Brassaï” sera visible jusqu’au 18 février 2019.
Regroupées autour de 18 thèmes, les photos font tantôt découvrir Paris la nuit, le jour, les détails du corps féminin, des cabarets et bals populaires, des portraits et des autoportraits. On suit aussi Brassaï dans ses voyages en France et à l’étranger, en particulier en Espagne.
Né Gyula Halász en 1899, l’émigré de Brasso en Transylvanie arrive à Paris en 1924. Installé à Montparnasse, il se consacre d’abord au journalisme avant de se tourner vers la photographie, d’abord pour illustrer ses articles, puis comme activité principale. La publication de son livre Paris de nuit, en 1933, est un grand succès. Brassaï capture les rues solitaires, les escaliers, les ponts et les monuments, mais aussi le Paris interlope, celui des prostituées et des maisons de passe.
Les années 30 sont synonymes de bouillonnement artistique: Brassaï fréquente et photographie Picasso, Dali, Matisse, Jacques Prévert, Henry Miller, dont on retrouve les portraits dans l’exposition du SFMOMA.
Pendant la Deuxième guerre mondiale, Brassaï arrête la photo, refusant de soumettre ses clichés à la censure allemande. Il revient alors vers l’écriture, puis reprend son appareil au lendemain de l’armistice. Il meurt à l’âge de 84 ans, dans le sud de la France, laissant derrière lui des milliers de clichés, des films, et de nombreux écrits. La rétrospective proposée par le SFMOMA permet d’apprécier les multiples facettes du talent de Brassaï.
Les meilleurs kouign-amanns de New York
Originaire de Douarnenez en Bretagne, le kouign-amann a trouvé en New York son nouvel eldorado. « C’est le produit que nous vendons le plus », confie Dominique Ansel, célèbre chef pâtissier français aux Etats-Unis qui a importé la célèbre pâtisserie à base de beurre et de sucre il y a sept ans.
A l’origine, le kouign-amann était un gâteau anti-gaspillage. A une époque où l’on ne jetait rien, les boulangers utilisaient le reste de leur pâte à pain, ajoutaient du beurre et du sucre comme moyen de conservation et le dégustaient au goûter.
Pâtisserie-phare de l’ouest, elle a mis quelques années avant de quitter sa région. « On a commencé à proposer des kouign-amanns à l’ouverture de la boutique en 2011. C’était méconnu avant. On l’a fait découvrir aux Américains », raconte Dominique Ansel.
Mais qu’est-ce qui fait un bon kouign-amann ? Evidement, l’important est qu’il soit croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur. “La pâte à pain doit avoir beaucoup d’élasticité”. Son défaut ? C’est très lourd. Le challenge est donc de rendre le tout léger et aéré. Contrairement à la France, où l’on propose le gâteau sous forme de tarte, ici le kouign-amann est vendu en portion individuelle.
Si le chef pâtissier français peut se vanter d’avoir mis en lumière la pâtisserie dans le pays de l’Oncle Sam, il n’est plus le seul aujourd’hui à en produire. La rédaction s’est mis en quête des meilleurs kouign-amanns de New York.
Bouchon Bakery
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Bouchon Bakery est la boulangerie de Thomas Keller. Son kouign-amann est à la hauteur de la réputation du chef, qui compte parmi les meilleurs aux Etats-Unis. Son enveloppe caramélisée est bien croquante. Attention, ça colle aux dents. Ses couches feuilletées au bon goût de beurre se superposent délicatement à l’intérieur du petit gâteau rond. C’est un de plus onéreux de New York, comptez 5,75$. The Shops at Columbus Circle, Third Floor, New York.
Cannelle Patisserie
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Du côté de Long Island City et de Jackson Heights (Queens), Jean-Claude Perennou, ancien chef-pâtissier du Waldorf-Astoria, a fondé Cannelle Patisserie. Originaire de Quimper, il sait de quoi il parle quand il s’agit de kouignn-amann. Le sien offre un croustillant caramélisée avec une pointe de sel. Pas plus grandes qu’un pouce, les couches de feuilletées sont roulées en cercle comme un escargot. Comptez 3,50$. 5-11 47th Ave, Long Island City et 7559 31st Ave, East Elmhurst.
Dominique Ansel
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Impossible de parler de kouign-amann aux USA sans évoquer celui de Dominique Ansel. Pour son kouign-amann, le chef français a pensé à tout : un nom facilement prononçable par les américains : DKA (Dominique’s Kouign Amann) et deux versions pour plaire à tous (traditionnelle ou au sucre brun). Le DKA est fait de tendres couches feuilletées fondantes enfermées dans une croûte croquante. A déguster chaud et au petit déjeuner. Le chef Dominique Ansel nous a confié en manger un tous les matins. Comptez 5,50$. Pour découvrir sa recette en vidéo, c’est par ici. Dominique Ansel Kitchen, 137 7th Avenue South, New York.
Pain d’Avignon
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Pain d’Avignon est né à Cape Cod dans le Massachusetts en 1992. Créé par trois amis serbes, l’enseigne compte trois boutiques. Inspirée des boulangeries traditionnelles françaises avec une touche new-yorkaise, la chef Françoise Ip conçoit son kouign-amann avec une pointe de miel, ce qui lui apporte de la douceur. Le sucre sur le dessus croustille sous la dent. Pour l’honnête somme de 3$. Essex Market, 120 Essex Street; Plaza Food Hall, 1 West 58th Street; Dekalb Market Hall, 445 Albee Sq West, Brooklyn.
Ladurée
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Ladurée et ces « Brunettes ». Ces petites brioches aux allures de kouign-amann ne ressemblent pas vraiment à ceux que l’on retrouve chez nos amis bretons. Mais cela reste délicieux. La célèbre enseigne de macarons françaises propose ces brioches fourrées aux saveurs de framboise et noisette. La purée de framboises est fraîche et la noisette crémeuse. Comptez 4,50$ par Brunette. Soho, 398 W Broadway, New York; 864 Madison Ave, New York, NY 10021.
Choc O Pain
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Direction de l’autre côté de l’Hudson River, dans le New Jersey. Ouvertes en 2012 par la Française Clémence Danko, les boulangeries Choc O Pain ont fait florès. À Hoboken et Jersey City, Choc O Pain Bakery propose un « Petit Kouign » aux saveurs multiples: abricot, pomme, framboise et chocolat. De taille mini, sa croûte de sucre en forme de flocons offre un croquant parfait. Chaque “Petit Kouign” est à 3,35$. Hoboken, 157 First Street, Hoboken; 1500 Hudson Street, Tea Building, Hoboken; Jersey City, 530 Jersey Avenue, Jersey City, NJ; 330-332 Palisade Avenue, Jersey City.
Récolte
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Le maitre boulanger de Récolte, Jay Wang, a été sacré champion des Masters de la Boulangerie 2018, un concours mettant en compétition les 18 meilleurs boulangers au monde. La brioche de son kouign-amann à la forme originale est légère et aérée. Le manque de croustillant lui enlève la lourdeur. Comptez 3,75$. 300 Amsterdam Ave, New York.
Epicerie Boulud
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Le kouign-amann d’Epicerie Boulud s’est adapté à la tradition bretonne. On peut avoir confiance dans le chef, François Brunet, originaire de Bretagne et sa sous-chef, Mélanie Legoupil. Il utilise la farine de sarrasin, très répandue dans la région, ce qui donne de l’authenticité à la petite boule croustillante. Tout en gardant une texture légère, son dessus caramélisé se marie parfaitement avec sa brioche tendre au goût vanillé. Ils sont vendus uniquement le week-end pour 3,50$. World Trade Center, 185 Greenwich St, LL 4000; Lincoln Center, 1900 Broadway at 64t St; Plaza Food Hall, 768 5th Avenue.
Laurent Lespagnol, le "Flying Frenchy" de la police de Dallas
Si vous vous rendez au centre des opérations de la police de Dallas, ne demandez pas Laurent Lespagnol. On ne vous répondrait pas. Là-bas, tout le monde le connaît sous le nom de “Frenchy”. Officier de la police de Dallas depuis 2000, il y est pilote d’hélicoptère depuis 2007.
Passionné d’aviation et d’hélicoptères depuis son enfance, cet originaire de Paris arrive aux États Unis en 1990, à l’âge de 18 ans, pour suivre une formation de pilote pendant 6 mois à Grand Prairie, à l’ouest de Dallas. « Le but était juste de me former pour pouvoir voler en France. C’était meilleur marché aux US et cinq fois moins cher également de commencer par les avions pour passer sur les hélicoptères ensuite. » Six mois qui vont changer sa vie puisqu’il rencontre sa future femme. Il décide de rester avec l’espoir secret de pouvoir un jour intégrer la police.
Pendant dix ans, jusqu’à l’obtention de la nationalité américaine nécessaire pour intégrer les forces de police, il travaille, entre autres, comme gardien de prison ou pilote privé. C’est en 2000 qu’il est reçu au concours de la police qu’il intègre en tant qu’apprenti. Pendant sept ans il patrouille la nuit en voiture dans le sud de la ville, le quartier défavorisé, jusqu’à devenir “senior corporal”. Père de deux filles, il a toujours travaillé la nuit, de 8pm à 6am. « Ce n’est pas toujours évident, surtout pour la vie de famille, mais l’augmentation de salaire est substantielle. »
Ce n’est qu’en 2007 qu’une place de pilote d’hélicoptère se libère et qu’il accède à l’emploi de ses rêves : « J’avais deux passions quand j’étais petit, les hélicoptères et la police. J’ai eu la chance de pouvoir conjuguer les deux. Ce qui n’aurait pas été possible en France étant donné que la police nationale ne dispose pas d’hélicoptères. » Depuis bientôt douze ans, il patrouille la nuit dans le ciel de Dallas. Il assiste les forces au sol sur des fusillades, des cambriolages ou des poursuites « Grâce à une caméra infrarouge, on peut suivre des suspects à 2.000 pieds sans qu’ils ne s’en rendent compte. »
En plus de ses 40 heures hebdomadaires de service, il occupe deux ou trois emplois à temps partiel, en tant qu’agent de sécurité pour un centre commercial ou pour Apple notamment. « Je suis en uniforme et je fais la même chose que mon travail de flic, sauf que je suis payé par une société privée. La police de Dallas nous donne l’opportunité d’occuper d’autres fonctions. Ce qui est bénéfique pour tout le monde en fin de compte, même si cela serait inimaginable dans la police française. »
Laurent Lespagnol partira à la retraite en 2020 après 20 ans de service dans la police de Dallas. Il a écrit ses mémoires et recherche un éditeur.
Le concours de cassoulet de Brooklyn fait son retour
Fans de cassoulet, réjouissez-vous ! Il y aura (à nouveau) un arrière-goût de Sud-Ouest français à Brooklyn samedi 26 janvier 2019. Pour la 11e fois, le Cassoulet Cookoff organisé par le restaurateur new-yorkais Jimmy Carbone ouvrira ses portes aux cuisiniers amateurs et professionnels qui souhaitent rendre hommage ou revisiter ce plat traditionnel à base de haricots.
L’événement se tiendra dans l’espace Biba Williamsburg et sera clôturé par une remise de Prix. Les 15 cuisiniers sélectionnés amèneront leurs préparations déjà prêtes à partir de 11am et seront évalués par un jury désigné et par le public (les tickets sont à réserver à l’avance) de 1pm à 4pm.
Les cuisiniers peuvent s’inscrire à l’événement en envoyant leur nom complet, leur numéro de téléphone et leurs éventuelles références culinaires à l’adresse [email protected]. Le concours, co-organisé par Lew Bryson, auteur de Tasting Whiskey, proposera également des dégustations de whiskey, de bières artisanales, de cidre et de vin. A vos casseroles !
Benoît Lecomte, le nageur du Pacifique, jette l’éponge
Après près de six mois en mer, le nageur français du Texas Benoît Lecomte renonce à sa tentative de traversée du Pacifique à la nage.
French Morning l’avait rencontré avant son départ maintes fois reporté, et il nous avait confié ne pas avoir peur des éléments qu’il ne pouvait pas contrôler. C’est finalement une violente tempête qui aura eu raison de son pari fou.
Après avoir nagé plus de 1.500 miles nautiques (2.700 kms sur les 9.000 prévus), et alors qu’il approchait du « sixième continent », la décharge de plastique flottante au milieu du Pacifique, Discoverer, le bateau d’assistance qui l’accompagnait, a essuyé une tempête sans précédent, causant des dommages irréparables à sa grand-voile.
« Nous avons rencontré des vents dévastateurs, de la pluie et une houle qui nous ont forcés à changer de cap, mais une rafale insurmontable a déchiré la voile de façon irréparable », a déclaré le nageur de 51 ans dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux.
Il semble pourtant qu’il n’y ait pas eu de consensus sur la décision de renoncer. « Je connaissais la position de chacun. Ils ont tous pensé qu’aller plus loin pourrait compromettre notre sécurité. J’étais le seul qui souhaitait continuer et tenter de repousser les limites », a-t-il publié sur son blog.
Mais, plus que la tentative de record sportif de la plus grande distance parcourue à la nage, l’ambition de l’expédition baptisée The Swim était d’attirer l’attention sur la pollution plastique des océans et de récolter des données scientifiques inédites sur une si longue période, en plein cœur du Pacifique. Une ambition qui demeure intacte : « Aujourd’hui, The Swim en tant que record du monde s’est arrêté, mais The Swim en tant que plateforme continue car cela a toujours été l’objectif premier de l’expédition », explique le nageur.
En collaboration avec 27 institutions scientifiques, dont la NASA et la Woods Hole Oceanographic Institution du Massachusetts, l’équipage a pu collecter presque 1.100 échantillons de plastique depuis le début de l’expédition.
Pandacraft, l’abonnement jeunesse génial livré partout dans le monde
(Article partenaire) Nous vous en parlions en septembre dernier : Pandacraft, l’abonnement coup de coeur des petits Français, a déjà conquis plus de 25.000 enfants expatriés dans le monde. Et leur aventure ne risque pas de s’arrêter là. Alors que Noël approche, offrir un abonnement mensuel est une idée de cadeau absolument géniale pour les enfants. Pourquoi ? On vous donne trois raisons qui vont vous convaincre.
Raison n°1 : un cadeau qui revient chaque mois dans la boîte aux lettres….même au bout du monde !
Pandacraft, c’est donc un kit éducatif et créatif chaque mois sur un thème différent que les enfants abonnés reçoivent par courrier. Imaginez l’excitation et la fierté de votre enfant quand il découvrira une jolie enveloppe craft à son nom ! Alors évidemment, si vous habitez à New York, Sydney, Londres, Tokyo ou qu’importe où dans le monde, l’effet de surprise sera encore plus incroyable pour lui.
Et le plus pour vous, l’entreprise garantit un service de livraison de qualité dans le monde entier : des délais de livraison vraiment corrects, maximum dix jours, et vous pouvez être certains que votre kit arrivera entier, à la bonne adresse et ce, chaque mois !
Raison n°2 : un cadeau qui rapproche toute la famille
Une fois que votre enfant aura découvert son kit dans la boîte aux lettres, il voudra à coup sûr l’ouvrir tout de suite et réaliser le kit dans la journée même. Au programme : un thème à explorer (les inuits, l’hibernation, le corps humain,etc.) grâce à une activité manuelle, un magazine éducatif et une application mobile.
Accrochez-vous, top départ pour une grande après-midi en famille autour du kit Pandacraft! L’entreprise française a justement conçu ses kits pour favoriser la créativité, la curiosité, la confiance en soi et surtout l’esprit collaboratif. Et leur pari est réussi : en cinq ans, Pandacraft est devenu le rendez-vous créatif mensuel de plus 60.000 familles en France et dans le monde.
Raison n°3 : un cadeau vraiment éducatif
Dans la folie des achats de Noël, les parents ont souvent tendance à céder aux caprices de leurs enfants et à leur offrir un cadeau qui est plutôt de l’ordre du gadget… Offrir un abonnement jeunesse est donc un excellent moyen d’offrir un cadeau qui soit à la fois créatif, amusant, familial ET AUSSI éducatif ! En effet, les abonnement proposés par Pandacraft s’adaptent à la tranche d’âge de votre enfant pour lui permettre découvrir le Monde qui l’entoure selon son stade de développement.
La version pour les 3-7 ans permet à l’enfant d’appréhender pour la première fois des thèmes de façon simple et ludique : les plantes, les animaux, des différentes cultures, etc.
Et la version pour les 8-12 ans, elle, approfondit les thèmes traités pour permettre à l’enfant de mieux les comprendre.
Alors, vous êtes convaincus ?
Si oui, rendez-vous vite sur leur site internet pour profiter de leur offre de Noel : un kit est offert pour l’achat d’un abonnement 3, 6 ou 12 mois !
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Alain Godon et l'"Imaginary Friend" de Kaï s'exposent à Miami
(Agenda partenaire) Le peintre et sculpteur français Alain Godon prend ses quartiers chez Markowicz Fine Art jusqu’au 9 décembre dans une exposition inspirée de l’oeuvre de Henri Matisse.
“Matisse – Godon; New York – Tahiti: Architecture of Dreams” a d’abord été présentée en France au musée Matisse du Cateau-Cambrésis d’octobre 2017 à mars 2018. Le musée a donné carte blanche à Alain Godon pour “redonner vie et offrir une nouvelle perspective sur les travaux Matisse“, explique la galerie dans son communiqué. Le résultat est une exposition joyeuse et haute-en-couleur inspirée du voyage de Matisse à Tahiti, qui a beaucoup influencé l’artiste du début du XXème siècle.
Markowicz Fine Art organisera également un cocktail de réception en présence d’Alain Godon le jeudi 6 décembre de 7pm à 10pm.
Exposé à Miami à l’occasion du festival CONTEXT Art Miami, le célèbre street-artist américain Kaï sera lui aussi de passage chez Markowicz Fine Art le soir du samedi 8 décembre. L’artiste y dévoilera plusieurs pièces de sa collection et se prêtera au jeu des questions-réponses. Les visiteurs pourront profiter de la réception co-organisée par French Morning pour goûter au whisky de la marque Stillhouse, ou pour se faire tatouer l’”Imaginary Friend” de Kaï, son célèbre personnage. Les vins français Patriarche sont également partenaires de cet événement accessible sur invitation. Contacter la galerie à: pr@kaiart.com
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Miami Art Week 2018 : mode d'emploi
C’est le rendez-vous incontournable des artistes contemporains en Floride. La Miami Art Week se déroulera du 3 au 9 décembre avec, comme point d’orgue, l’édition 2018 d’Art Basel Miami Beach sans oublier les nombreuses foires et expositions satellites. Suivez le guide.
Le point d’orgue
Que vous soyez collectionneur, amateur ou simplement curieux, c’est le rendez-vous à ne pas manquer. Art Basel Miami Beach, initiée en 2002, accueillera du 6 au 9 décembre au Miami Beach Convention Center la dix-septième édition de cette foire qui attire chaque année plus de 70.000 visiteurs et près de 200 galeries venues du monde entier afin d’exposer les œuvres de plus de 4.000 artistes. Quatre jours de festivités durant lesquels l’art se déclinera sous toutes ses formes : sculpture, peinture, vidéo, impression ou encore photographie. L’occasion de découvrir notamment les oeuvres de grands peintres européens de l’après-guerre comme Dubuffet, Poliakoff ou encore Soulages exposées par la galerie parisienne Applicat-Prazan. Infos ici
Les satellites
Le marathon culturel passera aussi par la vingtaine de foires satellites réparties dans toute la ville. Figurant parmi les plus anciennes, Scope Miami Beach fait la promotion des travaux les plus innovants. Plus de 140 galeristes venus de Paris, Londres, Berlin, Los Angeles ou encore New York seront présents du 4 au 9 décembre au Scope Pavilion situé sur Ocean Drive à Miami Beach. La Française Emmanuelle Grelier exposera notamment les oeuvres de l’Américaine Gigi Mills et du Brésilien Luiz d’Orey. Infos ici
NADA Miami, seule foire d’art des États-Unis gérée par une organisation à but non lucratif, mettra en lumière l’art nouveau ou sous-exposé. Une centaine de jeunes galeries d’art émergentes internationales se retrouveront ainsi du 6 au 9 décembre au Ice Palace Studios de Miami. Infos ici
Dédiée aux objets d’art décoratifs aux lignes futuristes allant du mobilier aux bijoux, la foire internationale Design Miami rassemblera de nombreuses galeries internationales, dont celles des Français Philippe Gravier et François Laffanour, du 5 au 9 décembre à proximité du Miami Convention Center de Miami Beach. Infos ici
L’Aqua Art Miami, quant à elle, sera implantée du 5 au 9 décembre dans l’hôtel éponyme au style Art déco sur Collins Avenue en plein coeur de South Beach. Cette foire permettra au visiteur d’errer de chambre en chambre, chacune d’entre elles faisant office de salle d’exposition, où plus d’une cinquantaine de galeries internationales présenteront les œuvres d’artistes en milieu de carrière. Infos ici
Ceux qui souhaitent découvrir et acquérir des œuvres d’artistes locaux et internationaux émergents ne feront pas l’impasse sur Pulse. Cette foire d’art contemporain, qui se tiendra du 6 au 9 décembre à l’Indian Beach Park de Miami Beach, permettra notamment de se laisser subjuguer par les œuvres de Louis Granet, un Parisien de 27 ans qui a fondé sa pratique artistique sur les liens entre la bande dessinée et la peinture. Infos ici
Les expositions
La Miami Art Week voit également fleurir bon nombre d’expositions aux quatre coins de la ville. « The Art of Banksy » rassemblera notamment plusieurs dizaines d’oeuvres de l’artiste britannique du 1er décembre au 28 février à Magic City Studios dans le quartier de Little Haiti à Miami. Steve Lazarides, ancien manager de Banksy et organisateur de l’exposition, promet la plus grande rétrospective jamais consacrée à l’artiste. Ce dernier désapprouve par ailleurs cet événement payant organisé sans son accord. Infos ici
Dans le quartier de Design District à Miami, la galerie Markowicz Fine Art accueille « Matisse – Godon : New York – Tahiti : Architecture of Dreams » jusqu’au 9 décembre. Une exposition du peintre et sculpteur français Alain Godon qui s’est interrogé sur l’importance du voyage dans l’œuvre de Henri Matisse. Infos ici
Markowicz Fine Art organisera également une soirée le 8 décembre en présence du street artiste américain Kaï, qui exposera par ailleurs les pièces de sa collection à CONTEXT Art Miami, l’une des foires satellites qui se tiendra du 4 au 9 décembre en plein coeur de la ville. Infos ici
Les deux street artistes français Noty Aroz, quant à eux, présenteront une exposition interactive autour de la « Mythologeny », une mythologie contemporaine qu’ils ont créée autour de personnages masqués de fictions populaires et de cultures ancestrales. À découvrir du 1er au 12 décembre à The Collective dans le quartier de Wynwood à Miami. Infos ici
Le Français Régis Perray prend aussi part à ce grand rendez-vous de l’art contemporain. L’artiste plasticien présentera « Les Petites Fleurs de l’Apocalypse » du 6 au 9 décembre à la Miami Beach Community Church. Une exposition rassemblant plusieurs fleurs en papier peint inspirées des fleurs de la « Tenture de l’Apocalypse » un ensemble de tapisseries médiévales. Infos ici
Coup de projecteur sur des photographes amateurs. Le Français Frédéric Friedmann, qui est à la tête de l’association Miami Photo Center, décernera les prix du concours « Vision Excellence Awards ». Les vainqueurs des quatre catégories – beaux-arts, photographie de rue, portrait et thème libre – verront par ailleurs leurs clichés exposés à partir du 4 décembre à la Miami International University of Art & Design. Infos ici
L’enseigne française de décoration et ameublement d’intérieur Maisons du Monde profite, quant à elle, de la Miami Art Week afin de prendre pied aux États-Unis. Son premier magasin américain ouvrira le 7 décembre dans le quartier de Wynwood à Miami. Infos ici