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La French-American Business Week s'interroge sur "l'effet Macron"

Appel du pied aux entreprises américaines, efforts pour donner de la France une image “business friendly”… La French American Business Week, organisée par la Chambre de Commerce franco-américaine de Washington D.C. à l’Ambassade de France, posera la question de “l’effet Macron” sur le business franco-américain.
Jeudi 18 octobre, au second jour de ce rendez-vous d’affaires franco-américain, deux panels aborderont la réalité de ce phénomène. Lors d’une première discussion, de 2.15pm à 3.30 pm, quatre professionnels décriront l’impact de la stratégie macronnienne sur l’économie et les entreprises. Dans un deuxième temps, de 4 pm à 5.30 pm, quatre experts discuteront de la question de la coopération franco-américaine dans le contexte des présidences Macron et Trump.

Comparé à d’autres présidents français, Emmanuel Macron a un effet médiatique aux Etats-Unis“, estime Denis Chazelle, directeur exécutif de la Chambre de Commerce franco-américaine à Washington D.C. “Il a donné une visibilité à la France, avec son slogan ‘France is back’“.
Depuis le début de sa présidence, Emmanuel Macron tente d’attirer les entreprises internationales, en particulier américaines, en France à grands renforts d’annonces et de discours en anglais. En janvier, il a organisé un fastueux diner à Versailles pour encourager 140 dirigeants de multinationales à s’implanter en France.  Lors de sa visite d’Etat à Washington en avril, le président français avait pris rendez-vous avec les grands patrons américains. La société de logiciels de gestion de clientèle Salesforce, présente à la rencontre, avait alors annoncé un investissement de 2,2 milliards de dollars sur cinq ans pour renforcer sa présence en France.
Dans le même temps, plusieurs entrepreneurs en France ont fait entendre leurs voix dans la presse pour regretter la lenteur de la mise en place des réformes promises par le chef de l’Etat. Un article publié en septembre sur le site d’information financier Bloomberg mettait en avant les difficultés persistantes rencontrées par les startupeurs dans un pays qu’Emmanuel Macron a promis de transformer en “start up nation“.
La discussion sur “l’effet Macron” intervient sur fond de chiffres économiques franco-américains encourageants. Selon le dernier rapport économique de l’Ambassade de France, les échanges de biens et de services entre la France et les Etats-Unis ont représenté 139 milliards de dollars en 2017, soit une augmentation de 16% depuis 2016. Les entreprises américaines emploient quelque 481.000 personnes en France.

Après La Brea, la Tropézienne Bakery s'installe à West Hollywood

Leurs croissants leur ont valu le prix du public lors du concours Best croissant de French Morning en juin. La Tropézienne a ouvert une nouvelle boulangerie le 8 octobre sur Santa Monica Boulevard à West Hollywood.
En plus de ses viennoiseries, l’établissement propose des éclairs, des tartes meringuées, macarons, quiches et sandwiches (comme le pain bagnat) concoctés par le chef Jonathan Breter. Le lieu de presque 100 m2 offre un décor raffiné avec ses tables en marbre et chaises en osier, sublimé par une peinture du Français Alexander Partman représentant Saint-Tropez.
Après La Brea et West Hollywood, les propriétaires Jonathan Khalifa et Philippe Ktorza continuent le développement de l’enseigne française. Ils vont ouvrir une Tropézienne Bakery à Downtown d’ici une quinzaine de jours. “Nos clients apprécient nos produits très français et nous le disent tous les jours. Notre développement se poursuivra encore autour de Los Angeles, indique Philippe Ktorza. Nous avons également l’ambition d’aller conquérir d’autres villes.”

"Moi impat": "On ne se sent pas chez soi en France"

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Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce douzième épisode, la parole a été donnée à Gabriela Prunier. La Française a connu l’expatriation depuis sa plus tendre enfance. A 3 ans, sa famille part vivre au Canada avant de s’envoler trois ans plus tard pour l’Egypte. Elle se confie sur sa vision d’enfant sur cette expatriation et son impatriation, un retour au pays qui aura été difficile pour l’adolescente de 13 ans de l’époque qui n’avait jamais vraiment connu la France.
Ces expériences lui ont donné envie, une fois adulte, de regoûter à l’expatriation. Son diplôme en poche, elle part pour l’Inde pendant 7 ans pour une mission professionnelle. A son nouveau retour en France, ce sont ses propres enfants qui expérimentent l’impatriation. Comme elle plus petite, ils n’avaient jamais connu la France.
Listen to “Episode 12 : Gabriela Prunier” on Spreaker.

Gagnez des places pour découvrir la saison 4 du "Bureau des légendes" à LA

French Morning vous propose de gagner des places pour assister à la projection en avant-première à Los Angeles de la saison 4 de la série “Le bureau des légendes” (“The Bureau” en anglais), le 22 octobre à 7pm au James Bridges Theater à UCLA. Pour participer, inscrivez votre nom, prénom et email ci-dessous.
Cette série française (avec Mathieu Kassovitz) raconte le quotidien d’un département de la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure), appelé le Bureau des légendes. Il pilote à distance les agents les plus importants des services de renseignements français, les clandestins, en immersion dans des pays hostiles. Leur mission consiste à repérer les personnes susceptibles d’être recrutées comme sources.
Lors de cette première, seront présents son créateur et producteur Eric Rochant, ainsi qu’Alex Berger (producteur délégué). Ils se livreront à une séance de Q&A orchestrée par Teri Schwartz, responsable du département Film et télévision à UCLA.
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La présidente de la BnF Laurence Engel en conférence à Stanford

Comme toutes les grandes bibliothèques, la BnF (Bibliothèque nationale de France) doit faire face aux défis de l’ère digitale. Laurence Engel, présidente de cette vénérable institution parisienne, riche de nombreuses collections historiques, parlera à Stanford des innovations menées par la bibliothèque et de ses partenariats aux Etats-Unis. La conférence aura lieu le lundi 29 octobre.
À la tête de la BnF depuis 2016, Laurence Engel évoquera notamment les différentes initiatives conduites pour élargir l’accès à sa base digitale. Avant de rejoindre la bibliothèque nationale, elle a occupé plusieurs postes au sein du monde culturel français (Arte, ministère de la Culture, Ville de Paris, Institut National de l’Histoire de l’Art…).
La conférence est gratuite et ouverte à tous. RSVP obligatoire.

Combien ça coûte de se meubler à Miami ?

Les magasins d’ameublement et de décoration ne manquent pas à Miami. Comment s’y retrouver et préparer son budget afin de se meubler ? French Morning vous donne un coup de pouce.
En classe business
Pour ceux qui ont un porte-monnaie bien garni, le concept-store HOEM, qui a récemment ouvert ses portes à Design District, met à l’honneur du mobilier de créateurs européens. Pour donner vie à votre intérieur, vous pouvez miser sur un canapé à 13.500 dollars imaginé par le designer français Alain Gilles ou sur une chaise ludique et ultra graphique, qui a notamment été exposée au prestigieux MoMA de New York, à 590 dollars signée Moustache.
Si vous aimez le style rétro, Victoria’s Armoire et Kakar House of Design disposent d’une sélection éclectique de meubles d’inspiration vintage, et ce n’est pas donné. Comptez un peu moins de 3.000 dollars pour une armoire en bois massif de style japonais ou encore 2.500 dollars pour des fauteuils en velours rouge.
Là encore, si votre budget vous le permet, l’enseigne Anima Domus propose de quoi apporter une touche contemporaine à toutes les pièces de votre intérieur. Prévoyez un budget avoisinant les 15.000 dollars pour aménager une chambre et plus de 25.000 dollars pour un salon.
Les adeptes d’antiquité, quant à eux, devraient trouver leur bonheur chez Alhambra Antiques. Lustres en cristal à 12.500 dollars, chaises en rotin à 595 dollars et objets décoratifs datant du XVIIème siècle garnissent les rayons de la boutique.
En classe éco
Pour un mobilier moderne et des accessoires de décoration à des tarifs plus abordables, rendez-vous dans les chaînes de magasins de meubles comme Rooms To Go et Ashley Furniture HomeStore. Vous pourrez y acquérir un canapé à moins de 500 dollars ou trouver des tables de salle à manger aux alentours de 300 dollars.
Les centres commerciaux de Miami regorgent d’enseignes comme Target, Walmart et JC Penney qui disposent également de rayons où vous pourrez vous équiper à moindre coût. Comptez entre 69 et 399 dollars pour un matelas « queen size » et prévoyez entre 29 et 49 dollars pour du linge de lit en coton.
Pour les bricoleurs, nul besoin de présenter Ikea, la célèbre enseigne suédoise qui propose des meubles à monter soi-même et à des prix défiant souvent toute concurrence. Vous y trouverez des tables basses à moins de 15 dollars et des meubles de salle de bain aux alentours de 50 dollars.
Avez-vous par ailleurs pensé à louer vos meubles ? De la machine à laver au lecteur Blu-ray en passant par le matelas et les plantes vertes, Cort Furniture Rental propose des locations au mois ou à l’année avec des tarifs dégressifs. Comptez 60 dollars par mois pour un canapé loué durant trois mois et une mensualité de 40 dollars si vous souhaitez garder ce même canapé pendant un an. Le principe est simple : vous commandez en ligne, la société vous livre et installe le mobilier puis revient le chercher à la fin du contrat.
En low cost
Pour se meubler avec un petit budget à Miami, soyez à l’affut des pancartes « garage sale » qui fleurissent dans les rues de la ville. Ces vide-greniers permettent de mettre la main sur des meubles d’occasion et de nombreux objets de décoration sans se ruiner.
Les bonnes affaires se font également en ligne sur les sites de petites annonces comme Craigslist et Offer Up. Vous y trouverez vraiment tout et n’importe quoi : de la corbeille à papier en inox affichée à 10 dollars à un vase de Chine datant du XVème siècle estimé à 35.550 dollars. Il faudra faire preuve de patience avant de dénicher la perle rare parmi le flot d’annonces, mais le jeu en vaut la chandelle.
En mode débrouille
Avant de courir dans les boutiques, demandez à votre famille et vos amis s’ils n’ont pas du mobilier qui encombre leurs garages. Un message laissé sur les réseaux sociaux peut également s’avérer très utile.
Enfin, il n’y a pas qu’auprès de vos proches que vous trouverez votre bonheur. Vous pouvez notamment glaner quelques trésors directement sur le trottoir. L’occasion de donner une seconde vie à des objets destinés à finir à la poubelle sans rien débourser.

Goomics: un Français raconte le quotidien de Google en BD

Je suis un irréductible Gaulois qui se moque de ce qu’il voit!” Ingénieur software depuis 2007 chez Google, Manu Cornet vient de publier Goomics, un recueil de 200 bandes-dessinées inspirées de son quotidien à Google. Clamant son admiration pour Franquin, le père de Gaston Lagaffe, le Français a commencé à publier ses dessins en 2010, sur une version de Google Plus réservée aux employés.
J’ai toujours dessiné, je suis un grand enfant qui s’inscrit dans une tradition française de la satire: j’aime me moquer de la vie privilégiée dont on bénéficie ici, et je me moque des gens qui se prennent trop au sérieux.
Les plaintes des employées sur la piscine non chauffée, le manque de M&M’s, les trajets dans le Google Bus, le jargon omniprésent, les 7 kilos pris en moyenne par chaque nouvel employé, le flop des Google Glass… Rien n’échappe à l’oeil amusé et aiguisé de Manu Cornet, qui ne censure aucun sujet: “Dès que je vois quelque chose de marrant ou de risible, j’en fais un dessin.” D’abord diffusés de manière assez confidentielle sur la version interne de Google Plus, les BD de Manu Cornet sont désormais envoyées à plus de 10.000 employés qui ont souscrit à une liste de diffusion: “Entendre quelqu’un éclater de rire en lisant ma dernière BD est ma plus belle récompense“, reconnaît l’ingénieur.
Les retours sur les BD de Manu Cornet sont en général positifs, mais il arrive que ses dessins froissent certaines personnes: “Je n’adhère pas au politiquement correct, ce qui ne passe pas toujours au sein d’une entreprise américaine. Mon objectif est de faire rire, et je m’excuse quand mes dessins blessent quelqu’un.
Certaines bandes-dessinées ont mis en lumière certains dysfonctionnements au sein de l’entreprise et ont débouché sur des améliorations: “Notre annuaire interne comportait une fonction qui montrait qui l’avait visité récemment. Les employées avaient l’impression d’être suivis, et j’ai publié une BD sur ce sujet. Depuis, cette fonction a été désactivée.
Suite à la publication du memo hautement controversé de James Damore, un ingénieur de Google qui expliquait que les femmes n’avaient pas les mêmes capacités pour occuper des postes d’ingénieurs que les hommes, Manu Cornet a répondu en publiant les portraits de 100 femmes ingénieurs nommées par leurs pairs pour leurs contributions aux différents produits Google. “Ces dessins ont aidé à remonter le moral des employés, au plus bas après toute cette mauvaise presse.
L’équipe dirigeante de Google, passée ou présente, n’est pas épargnée dans Goomics: “Les gens représentés sont facilement reconnaissables, et souvent très haut placés. Je ne me soucie pas de leur retour, mais je reste dans les limites de la politesse. Je suis, en quelque sorte, le bouffon du roi de l’entreprise.
Manu Cornet envisage de publier un deuxième tome de Goomics d’ici quelques années, afin de couvrir les années 2015-2020. “Mon métier d’ingénieur est presque devenu secondaire, par rapport à l’impact du dessin. Dans 10 ans, le code que j’ai écrit aura sans doute disparu alors que mes BD seront toujours là.
 

4 musées éphémères à découvrir cet automne à New York

Si les feuilles mortes tombent à la pelle, les musées éphémères, eux, fleurissent. L’occasion de faire le plein de découvertes et d’améliorer ses performances sur Instagram. Voici notre sélection.
Rosé Mansion, le temple du rosé

La baignoire de pétales de roses, crédit Photo : Ewa Kuczynski

Les Etats-Unis connaissent une véritable rosé-mania ces dernières années. Ce n’était qu’une question de temps avant que le breuvage rose n’ait son musée. Rosé Mansion est une plongée dans l’univers du rosé, avec quelques dégustations à la clé tout de même. Au bas des marches de l’escalier qui amorce le parcours, un guide explique avec humour que l’alcool est à consommer avec modération. Chaque pièce transporte le public dans des pays différents. Les visiteurs apprennent à saisir la différence entre les grappes de raisin, matière première du vin. Ils appréhendent également toutes les subtilités du breuvage à la robe rose : notes sucrées, fruitées et épicées, sans oublier les dates qui ont marqué les temps forts du vin rosé.
Une pièce entière est également dédiée au champagne de cette variété. L’expérience se veut également immersive avec une piscine à bulles, des murs d’illustrations, des spots à selfies et une baignoire de pétales de roses dans laquelle on plonge volontiers pour une photo. Le coup de cœur de la rédaction reste néanmoins le « Blending Lab », où chacun peut concocter son propre breuvage selon ses goûts et son humeur. Un bar aux couleurs pop et rosées marque la fin du parcours. Adultes à 45$, 35$ les week-end jusqu’à 4.30 pm. Visible jusqu’au 31 octobre. Rosé Mansion, 445 5th Avenue.
Human’s Best Friend, l’exposition qui a du chien
Le tunnel arc-en-ciel, crédit photo : Human’s Best Friend

Quelques musées new-yorkais ont du flair pour recruter leur public. C’est le cas de Human’s Best Friend qui s’adresse aux meilleurs amis de l’Homme. Tout a été conçu pour que les propriétaires passent un moment de rêve avec leur toutou : parcours, piscines de jouets et de peluches, bars à croquettes, tables dressées, assiettes garnies de côtelettes et de croquettes. Des estrades ont également été prévues pour que les heureux propriétaires puissent prendre quelques clichés-souvenirs avec leur toutou. Si l’expérience se veut divertissante, elle met également l’accent sur les chiens abandonnés et l’adoption. Une partie des recettes est reversée à un refuge pour chiens abandonnés. Places à 29$ si vous venez seul, 39$ avec votre chien. Jusqu’au 12 novembre. Human’s Best Friend, 15 7th Avenue. 
La parenthèse enchantée de Wonderworld
La “Dreamy Room”, crédit photo : Ewa Kuczynski

C’est dans un décor digne des plus beaux contes de fées que Wonderworld a pris ses quartiers. Logée dans un ancien studio occupé auparavant par Andy Warhol, cette rétrospective retrace étape par étape le conte d’Alice au Pays des Merveilles. La visite débute dès l’instant où Alice dévore un champignon et se retrouve réduite à la taille d’un petit pois. S’en suit alors une promenade magique pour les yeux. De la “Dreamy room” aux murs de fleurs et de couleurs, Wonderworld accueille des artistes internationaux. Petit clin d’œil à la Fashion Week, des designers exposent, ça et là, des créations que les visiteurs peuvent acheter.
Sur les marches des escaliers, quelques phrases extraites du célèbre conte de fées. Cette exposition “instagrammable” est idéale tant pour les passionnés de photographie que pour les familles ou les groupes d’ami(e)s. French Morning vous recommande la salle aux miroirs, dont les différentes perspectives offrent une possibilité infinie de prises de vues originales. Places adultes à 26$, 22$ à partir de deux personnes. Jusqu’au 4 novembre. Wonderworld, 76 Wooster Street.
 Une “expo” excentrique et sucrée à Candytopia


Après une première ouverture à Santa Monica au printemps, le musée dédié au bonbon pose ses valises à New York. Les visiteurs sont invités à déambuler dans une dizaine de pièces très “instagrammables” et excentriques, où des confettis pleuvent au milieu de licornes en bonbon et de cochons ailés. Dans un décor digne du film “Charlie et la chocolaterie”, Candytopia présente des reproductions d’oeuvres célèbres faites intégralement en bonbon, comme la Joconde ou le portrait de Frida Kahlo. La cerise sur le gâteau se trouve dans la dernière pièce où une piscine géante de guimauves vous attend. Candytopia régalera également les plus gourmands avec des bonbons et chocolats distribués tout au long de la visite. Un musée idéal pour les enfants (mois pour les diabétiques). Jusqu’au 15 novembre, places adulte à $34, 26$ pour les enfants (4 à 12 ans). Candytopia, Pennsylvania Plaza, 145 W 32nd St.

Ewa Kuczynski et Maxime Aubin

Dans quoi investir avec 300.000 euros de budget ?

(Article partenaire) Les faibles taux d’intérêts actuels entraînent un important gain de pouvoir d’achat immobilier pour les investisseurs. Avec un budget de 300.000 euros, vous pouvez construire un projet solide et rentable sur la durée. Découvrez quel investissement immobilier est possible avec 300.000 euros de budget.

Votre situation financière

Vous disposez de 300 000 € en cash

Vous pouvez devenir propriétaire très rapidement. Et même envisager un investissement d’une valeur supérieure à cette somme. Avec un tel apport, les banquiers vous accueilleront à bras ouverts et n’hésiteront pas à vous proposer des taux d’emprunt très avantageux.

Vous avez d’une capacité d’endettement de 300 000 €

En cette fin d’été 2018, on peut emprunter sur 25 ans avec un taux au minimum de 1,25 % en étant expatrié (source : Carte Financement). Un taux légèrement inférieur à l’an passé. De quoi doper votre budget. Emprunter 300.000 euros coûte en moyenne 100.000 euros… soit 50.000 de moins qu’en 2014 !

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Pour s’assurer de votre stabilité financière, les banques peuvent demander un apport compris entre 10 % et 20 % de la somme empruntée. On compte donc 30.000 à 60.000 euros dans le cas présent. Il n’est cependant pas rare de se voir demander 30 % pour couvrir tous les frais lorsqu’on est non-résidents français.

Avec des mensualités en moyenne de 1.000 euros par mois, vous avez toutes les chances d’obtenir un accord favorable de votre banquier si ce montant n’excède pas 33 % des revenus de votre ménage (charges fixes déduites).

Quels biens s’offrir ?

A Paris, capitale des prix élevés, le prix du mètre carré oscille entre 6.000 et 14.000 euros. Avec un budget de 300.000 euros, vous pouvez devenir propriétaire d’un deux pièces avoisinant les 40 mètres carrés. Dans les quartiers les plus chers (mais aussi les plus recherchés), ciblez plutôt un beau studio de 20m².

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Vous pouvez pousser un plus les murs en province. À Lyon, optez par exemple pour un appartement de 60 m² situé en centre-ville, et équipé d’une terrasse ! Le prix du mètre carré étant assez similaire à Bordeaux (hors hyper centre), vous pouvez viser les mêmes types de biens.

Ce que cela peut vous rapporter

Difficile de promettre un chiffre précis quant à la rentabilité de votre investissement. Les petites surfaces sont réputées pour de meilleurs rendements, mais les locataires changent plus souvent et les remises en l’état sont plus fréquentes. Investir dans des quartiers résidentiels cotés entraîne une rentabilité moins forte en raison du prix élevé des logements. Mais vous aurez moins de chances d’être confrontés à une vacance locative.

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Comparé aux assurances-vie qui rapportent entre 1,50 et 1,80 % en moyenne, l’investissement locatif fait facilement mieux. En 2018, la rentabilité est en moyenne de 5,16 % à Lyon, 5,19 % à Bordeaux et 3,42 % à Paris (source : Immoprix). Ces chiffres peuvent encore grimper si vous êtes attentifs à deux critères fondamentaux : la qualité du logement et sa localisation. Un appartement proche des transports en commun, de grandes écoles ou de commerces sera bien plus prisé. A vous aussi de savoir miser sur les futurs quartiers attractifs.

Votre investissement locatif ne sera pleinement réussi que s’il cadre avec vos attentes personnelles. Prenez donc soin de définir vos objectifs avant de vous lancer : loger un enfant, se loger à la retraite, revendre pour dégager une plus-value… Vous serez ainsi en mesure de vous bâtir un patrimoine durable.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Petit Biscuit: "Je fais une musique du monde"

“C’est un peu le rêve américain pour le petit gamin que je suis”. Petit Biscuit s’apprête à enflammer les scènes nord-américaines. Il sera à New York, Washington, Austin, Dallas, Los Angeles et d’autres villes dans le cadre de sa tournée “Presence North American Tour”.
Jeune virtuose, le Franco-Marocain Mehdi Benjelloun de son vrai nom a séduit le monde entier à seulement 18 ans. Tout a débuté dans l’école de musique de son quartier rouennais où il commence à jouer du violoncelle à 5 ans. « J’en ai fait pendant treize ans. Après ça, je me suis intéressé tout seul à plein d’instruments, plein de techniques de jeu », explique l’artiste. A 11 ans, l’histoire se poursuit dans sa chambre devant son ordinateur. « Je suis tombé sur des vidéos sur Internet où j’ai vu des gars faire de la musique. J’ai téléchargé un logiciel. Au début, c’était très compliqué, puis j’en ai trouvé un qui me convenait. J’ai commencé à faire des tracks, revisiter des chansons que je connaissais ».
Petit Biscuit est né. Le public découvre le titre-phare de l’artiste « Sunset Lover » sur la plateforme de streaming musical Soundcloud en 2015. Un électro envoûtant aux sonorités douces et sensuelles. « J’ai créé mon style petit à petit ». Et ce petit bijou n’est pas tombé dans les oreilles de sourds. « C’est passé de 100 écoutes à plus de 20.000 très vite ».
« Je n’arrive pas à mettre de mots sur ma musique. Je dirais qu’elle est éclectique, vivante. C’est une musique du monde ». Longtemps qualifiée d’« électro posé », la musique de Petit Biscuit fait désormais danser. « Les gens pensent que ma musique est toute gentille ». L’artiste s’en défend dans son album « Presence », pour lequel il a su bien s’entourer. Bipolar Sunshine, Møme, Lido et d’autres collaborations ont rendu cet opus de 14 titres dynamique et percutant, tout en gardant la « patte » Petit Biscuit.
Japon, Australie, Malaisie, Canada, France, Angleterre, Pays-Bas, la liste des pays où il s’est produit est longue. « La musique électronique est plus exportable que la chanson française. J’ai toujours été attiré par toutes les cultures. C’est cool de pouvoir parler à tout le monde ». Les Etats-Unis ne sont pas restés insensibles à ses sons. Il s’est produit aux festivals Coachella, Lollapalooza et Hard Summer. « Je n’imaginais même pas qu’un jour ça puisse arriver, ça a été un grand tournant dans ma vie, confie l’artiste. J’adore le public aux Etats-Unis. J’adore la grandeur, ça fait du bien de se lâcher vraiment sur scène ».
Pour l’avenir, les fans de Petit Biscuit ne peuvent attendre que du bon. Après l’obtention de son baccalauréat scientifique mention Très Bien, l’artiste a stoppé ses études au mois de janvier pour se consacrer entièrement à sa carrière musicale. « Le rêve, c’est de composer encore plus, de sortir plus de titres, de me rapprocher des gens ». Une nouvelle vie pleine d’ambition et de projets démarre.

Les nouveaux modèles du retail en question à New York

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Avec l’explosion du commerce en ligne, les espaces traditionnels de retail ont du changer leur fusil d’épaule en redéfinissant leurs missions.
Pour évoquer ces nouveaux modèles du retail, le réseau FrenchFounders organise ni plus ni moins qu’une matinée de discussions, le jeudi 18 octobre, à l’Innovation Labs BNP Paribas à New York en présence de plusieurs acteurs du secteur. Edouard Dinichert, directeur chez Amazon, ouvrira les débats. S’en suivra une conférence sur la nécessaire transformation du retail traditionnel avec Ben Gillham (Nestlé Purina), Edouard Dinichert et Gina Pak (Theory). Un atelier réunissant des “start-ups qui réinventent le retail”, comme Acuity Al, Multifold, Storefront et Bouquet.ai, conclura la matinée.
L’événement est ouvert aux membres de FrenchFounders. Les non-membres doivent faire une demande de participation. 

Steinway & Sons Factory, le piano debout à Astoria

La Steinway & Sons Factory d’Astoria se mérite. Avant de pouvoir visiter cette usine fondée en 1860 par Henrich Steinweg, un jeune émigré allemand qui a américanisé son patronyme en Steinway, il vous faudra affronter une longue, très longue, liste d’attente.
Mais comme tout vient à point à qui sait attendre, notre patience a été doublement récompensée. D’abord, parce que ce lieu mythique – berceau de l’excellence musicale – est chargé de good vibes, que l’on ressent dès qu’on approche de l’usine historique.
Ici, tous les employés sont des artistes au même titre que les pianistes stars et sont considérés comme des membres à part entière de la famille Steinway… Le “We Are Family”, brandi tel un étendard dans chaque atelier, est bien plus qu’un slogan: c’est la valeur essentielle de la marque, prônée depuis des générations.
Ensuite, parce qu’on a eu la chance – celle qui sourit aux audacieux – de faire une belle rencontre : Robert S. Singleton, un violoniste émérite (le piano est aussi dans ses cordes, heureusement), charmant monsieur, passionné par la saga familiale des Steinway.
Robert connaît chaque recoin de l’usine, chaque ouvrier, chaque morceau de bois précieux utilisé pour confectionner avec minutie ces pianos d’exception. Un travail d’orfèvre, vous verrez. Mais par dessus tout, Robert aime transmettre.
Il a donc accepté de partager avec nous, via la Greater Astoria Historical Society, sa passion pour les Steinway en organisant des visites en parallèle des tours officiels ! Contactez-le de notre part pour réserver le vôtre.
On ne vous en dit pas davantage, la visite ne se raconte pas, elle se vibre…

Dans le coin ?

Profitez de votre balade à Astoria pour retourner au Noguchi Museum. Posez-vous dans le jardin puis montez admirer les sculptures de l’espagnol Jorge Palacios (jusqu’au 20 janvier 2019). Pour boire des coups ou bruncher (uniquement le week-end), c’est chez The Bonnie que ça se passe.