Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera au Lincoln Theater de Washington le 10 octobre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.
Gad Elmaleh fait rire Washington en octobre 2018
"Stories to inspire": une soirée French Morning et Sézane à New York
French Morning et Sézane vous invitent à une soirée de discussion et networking dans la boutique. Ariane Daguin, Anne Busquet et Myriam Chalek partageront leurs expériences d’entrepreneuses et de femmes d’affaires à New York au cours d’une discussion modérée par Jenny Hughes, rédactrice en chef de Frenchly.
Ariane Daguin est la “reine du foie gras” aux Etats-Unis mais surtout la fondatrice de D’Artagnan, leader dans le secteur des viandes et charcuteries organiques.
Anne Busquet, fondatrice de AMB Advisors, a eu une riche carrière chez American Express et IAC, où elle a dirigé la branche Local and Media Services (comprenant Citysearch, Evite, Entertainment Publications, ServiceMagic et TripAdvisor). Elle est aussi investisseuse et mentor de nombreuses femmes entrepreneuses.
Myriam Chalek est créatrice de mode et entrepreneuse mais aussi militante en faveur de l’inclusion et de la diversité. Elle a notamment créé des défilés de mode “alternatifs”, mettant en valeur des personnes handicapées.
L’entrée est gratuite mais les places sont limitées. Discussion suivie par un cocktail. Inscription obligatoire:
Gad Elmaleh à Miami en novembre pour son "Dream Tour"
Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera à l’Adrienne Arsht Center à Miami le 15 novembre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.
Cinq espaces de co-working où il fait bon travailler à San Francisco
Rompre avec l’isolement, favoriser les synergies, bénéficier d’un environnement de travail dynamisant… les espaces de travail partagés sont là pour ça ! Mais face à l’offre grandissante, il n’est pas facile s’y retrouver. French Morning vous a sélectionné cinq co-workings où il fait bon travailler à San Francisco.
La flexibilité du Workshop Cafe
En plein coeur du quartier des affaires de San Francisco, le Workshop Cafe est le lieu idéal pour les travailleurs de passage. Ici pas de système d’adhésion mensuelle, tout se fait au jour le jour. Il suffit de s’installer à une place, puis de s’enregistrer sur l’application, via laquelle il est également possible de commander à boire et à manger.
Petit bémol : la présence du café à l’entrée rend l’endroit un peu bruyant. Ce qui ne ternit pas le succès du lieu puisqu’un deuxième Workshop Cafe a ouvert ses portes en novembre dernier, dans le quartier de SoMa. À partir de 3 $/heure. 180 Montgomery St, Financial district, San Francisco. Site web. Page Facebook.
L’éclectisme de Parisoma
Direction le quartier ultra-tech de SoMa (South of Market) où se trouve le plus français des espaces de co-working de la Fog City. Parisoma propose un grand open space au rez-de-chaussée où les membres sont installés sur des tables de ping-pong. Une organisation qui favorise l’interactivité entre des co-workers aux profils hétéroclites. Sur la mezzanine et au 3e étage, Parisoma propose aussi des bureaux dédiés ainsi que des espaces de travail fermés.
Des classes et des événements ouverts à tous ont lieu chaque semaine. Le staff chouchoute ses membres en leur servant un brunch le vendredi matin ainsi qu’un happy hour au début du mois, ce qui fait de Parisoma un co-working dynamique et convivial. Bureau partagé à partir de 325 $/mois. Café/thé à volonté et cuisine équipée. Animaux acceptés. 169 11th St, SoMa district, San Francisco. Site web. Page Facebook.
Bespoke pour les retailers
Bureaux partagés et privés, pop-ups stores, espaces pour organiser des événements et des démos… Bienvenue à Bespoke, un espace de coworking dédié aux startuppers dans le domaine du retail. Il fait 1 300 m2 et se trouve au quatrième étage du centre commercial Westfield avec pignon sur Market Street, l’artère principale de San Francisco.
Pour se dégourdir les jambes, les membres ont un mur d’escalade et un terrain de pétanque à disposition. Des espaces sont également prévus pour s’adonner à la lecture ou faire une sieste post-déjeuner ! Petit bémol : le manque de lumière naturelle. Bureau partagé à partir de 385 $/mois ou 35 $ le pass journée. Café/thé à volonté et cuisine équipée. 845 Market St, San Francisco. Site web. Page Facebook.
Le cocon ultra design de Canopy
Travailler tout en profitant de la lumière du jour ? Canopy réunit ces deux conditions. « Laisser passer la lumière sans altérer la concentration et la confidentialité », tel était l’objectif du designer suisse Yves Béhar lorsqu’il a imaginé cet espace de co-working ouvert depuis l’automne 2016. Outre les multiples fenêtres, le plafond est truffé de puits de lumière.
Canopy s’est s’implanté dans le quartier résidentiel de Pacific Heights afin de proposer une alternative à la majorité des “co-working spaces” concentrés dans le centre-ville de San Francisco. Fort de son succès, des seconds locaux vont ouvrir leurs portes à Jackson Square, dans le quartier de North Beach, au printemps 2018. Bureau partagé à partir de 595 $/mois. Café/thé/jus de fruit à volonté et cuisine équipée. 2193 Fillmore St, Fillmore district, San Francisco. Site web. Page Facebook.
La force sociale d’Impact Hub
Vous êtes un activiste, vous travaillez pour une ONG ou vous vous lancez dans l’entrepreneuriat social ? Impact Hub est l’espace de travail qu’il vous faut ! Situé dans le quartier de Mission, les trois étages de cet espace de co-working bouillonnent de projets mettant la technologie au service de l’humain et de l’environnement.
Les membres y décrivent une communauté soudée où l’entraide est le maître-mot. Le groupe possède des locaux de ce type dans 94 villes à travers le monde. Pour ceux qui n’ont pas les moyens de se payer un bureau partagé, Impact Hub recrute des volontaires (5h/semaine) en échange d’un accès à l’espace. À partir de 225 $/mois pour un accès du lundi au vendredi. Café/thé à volonté et cuisine partagée. 1885 Mission St, Mission district, San Francisco. Site web. Page Facebook.
Gad Elmaleh à San Francisco en novembre 2018
Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera au Palace of Fine Arts de San Francisco le 12 novembre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.
Gad Elmaleh à New York en octobre 2018
Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera au Lincoln Center à New York le 14 octobre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.
Le Ballet des Amériques présente son spectacle de printemps
Le Ballet des Amériques revient au Emelin Theatre de Mamaroneck (Westchester) pour son spectacle de printemps. Deux nouvelles représentations sont au programme: le samedi 16 juin et le dimanche 17 juin.
Ces deux spectacles seront l’occasion d’admirer le talent des élèves de l’école, entraînée par la chorégraphe Carole Alexis, élève de Maurice Béjart et fondatrice du Ballet des Amériques. Les danseurs en herbe danseront sur la suite d’orchestre “Jeux d’Enfants” de Georges Bizet.
Carole Alexis, d’origine bretonne et martiniquaise, a fondé le Ballet des Amériques en 2011. L’école regroupe une école de ballet pré-professionnelle et une compagnie de danse professionnelle.
Matmatah à New York: "Ce sera une belle fête"
Dix ans que leur public attendait ça. Matmatah est de retour sur scène avec un nouvel album et une tournée nord-américaine. Le groupe breton passera par New York le 19 juin pour un concert gratuit dans le cadre du festival FranceRocks Summerfest. Il a été invité par l’association des Bretons de New York BZH. “C’est notre tout premier concert à New York. On est fiers de venir jouer dans cette ville à part, mythique“, lance l’un des cinq membres du groupe, le chanteur et guitariste Tristan Nihouarn (Stan).
Après 13 ans de carrière, trois disques d’or et des tubes comme “Lambé an Dro”, “Emma”, ou “l’Apologie”, le groupe brestois s’était séparé en 2008 car “ça ne marchait plus humainement“, confie Tristan Nihouarn. Matmatah se retrouve en 2015 pour enregistrer un album best-of pour les 20 ans du groupe, avant de se reformer en 2016. “On avait des choses à dire, l’envie de composer. Alors on s’est isolé dans la campagne anglaise pour travailler sur un nouvel album”.
Sorti le 3 mars 2017, “Plates coutures” est le cinquième opus du groupe et sans doute le plus rock’n’roll. “C’était instinctif. Dès qu’on s’est retrouvé, on a eu envie de faire péter les watts“, raconte le chanteur et guitariste Emmanuel Baroux (Manu), qui a rejoint le groupe en 2015.
Les chansons de l’album sont conscientes et engagées, à l’image de “Nous y sommes”, qui dénonce une planète “en phase terminale” ou de “Petite frappe”, qui s’adresse aux terroristes. “On a tous plus de 40 balais, notre humeur et les thèmes qu’on veut aborder ont évolué”, explique Emmanuel Baroux. “Engagés? Disons que nous sommes plutôt concernés par le monde dans lequel on vit”, ajoute Tristan Nihouarn.
Après un premier concert aux Francos de Montréal le 12 juin, Matmatah promet de jouer à New York “un mélange homogène entre des vieux classiques et des nouveaux morceaux“, indique Tristan Nihouarn. “S’il pouvait y avoir des Bretons, des Français, mais aussi quelques Américains dans le public, ce serait parfait!”, ajoute le chanteur de 44 ans. “Ce sera une belle fête, comme toujours. Voyager dans le monde en faisant de la musique avec ses potes, il y a pire…”, résume Emmanuel Baroux dans un sourire.
Des repas solidaires au Refugee Food Festival à New York et San Francisco
Le Refugee Food Festival s’installe à New York et à San Francisco pour la première fois. Le temps d’un festival gourmand, des restaurateurs locaux confieront leurs fourneaux à des chefs réfugiés. Une belle initiative solidaire qui aide à la réinsertion professionnelle à travers la cuisine.
Le Refugee Food Festival est une idée de Marine Mandrila et Louis Martin, fondateurs en 2013 de l’association française Food Sweet Food. Après avoir visité 18 pays, ils ont découvert que la cuisine était une activité fédératrice.
Au-delà de partager un bon repas, l’objectif du Refugee Food Festival est de changer le regard sur le statut de réfugié. A New York, jeudi 14 juin, rendez-vous au Taim Nolita de 3pm à 9pm pour goûter les falafels du jour par la chef cuisinière iranienne Nasrin. Les réservations ne sont pas obligatoires. On le retrouvera le samedi 16 juin dans la cuisine du restaurant français Le Coq Rico de 5pm à 10:30pm pour concocter entrées, plats principaux et desserts. Réservations ici.
Dimanche 17 juin de 5:30pm à 10:30pm, les gourmets-gourmands découvriront la cuisine syrienne du chef Diaa. Originaire de Damas et derrière les fourneaux depuis ses 15 ans, il préparera un menu unique au restaurant Porsena. Les réservations, c’est ici.
Céline Karout, passionnée de cuisine, a importé le festival à New York. « Je suis convaincue que la cuisine est un langage universel. Dès qu’on touche aux sens, le contact est plus facile et les gens se rapprochent ». Grâce à ce festival déjà organisé en France, plusieurs chefs réfugiés ont réussi à intégrer de belles maisons ou à monter leur propre restaurant.
À San Francisco, le Refugee Festival Food San Francisco vous donne rendez-vous du 19 au 23 juin. Le mardi 19 juin à 4pm, le chef Pa Wah vous fera goûter la cuisine de Birmanie au Hog Island Oyster Bar. Le mercredi 20 juin, on voyage du côté de l’Irak avec la cuisine de la chef Muna Anaee au Talwa à 5:30pm. Le jeudi 21 juin, découverte des sauveurs bhoutanaises avec Anu Mapchan au DOSA à 5pm. Le vendredi 22 juin, vous pourrez goûter ou regoûter la cuisine irakienne de Muna Anaee au Son’s Addition à 5pm. Et pour finir, rendez-vous à Jardinière pour tester la cuisine sénégalaise du chef Vito à 5pm.
Au mois de juin, le Refugee Food Festival s’installe aussi à Paris, Lille, Strasbourg, Madrid, Athènes, Bruxelles, Cape Town et d’autres villes.
Donald Trump, une "chance extraordinaire" pour l'Europe selon Manuel Valls
Le commentaire n’a pas manqué de faire sourire, et a même suscité quelques applaudissements. Invité par l’antenne américaine de la LICRA et la librairie Albertine à participer à New York à une discussion sur l’avenir de la démocratie, mardi 12 juin, Manuel Valls a déclaré que Donald Trump représentait “une chance extraordinaire” pour l’Europe.
“L’Europe doit être cette articulation entre le patriotisme au sein de chaque Etat-nation (…) et l’amour de l’Europe. Nous avons peut-être une chance extraordinaire, c’est Monsieur Trump“, a-t-il noté en réponse à une question sur le ressentiment populiste envers l’Union européenne. “Parce que cela nous oblige, nous Européens, à apporter une réponse en matière de défense, de commerce international après le succès du G7 (sourire, ndr), sur la question essentielle de sauver la planète après le retrait américain de l’accord de Paris et en faisant de l’investissement dans l’avenir la priorité du budget de l’Europe“.
Manuel Valls s’est exprimé sur le thème plus large de la menace que fait peser la montée des populismes sur les démocraties occidentales. ll était invité avec Melissa Nobles (MIT) et Ruth Ben-Ghiat (NYU), deux spécialistes américaines du fascisme et de l’histoire de la démocratie.
L’Europe a occupé une grande part des interventions du désormais député de l’Essonne, “dernier représentant de l’ancien monde à l’Assemblée nationale“, a-t-il plaisanté. Inquiet de la perspective de voir l’UE “sortir de l’Histoire“, il a néanmoins reconnu que “Donald Trump, Vladimir Poutine et la stratégie de la Chine” poussaient aujourd’hui les dirigeants européens à “apporter des réponses“. “Mais il faut être actif, malgré nos paradoxes“, a-t-il noté.
Hasard du calendrier, la conférence est intervenue quelques jours après un sommet du G7 particulièrement houleux en raison de la décision américaine d’imposer des barrières tarifaires sur les exportations européennes et canadiennes vers les Etats-Unis. Un geste qui laisse présager une guerre commerciale entre nations alliées.
Face à la “guerre commerciale“, l’élu espère que les pays européens feront bloc. “Il ne suffit pas de critiquer Donald Trump, a-t-il dit confié en marge de la conférence. Il faut être capable de s’armer. La réponse n’est pas aux Etats-Unis, elle est en Europe. Dans un monde qui n’est plus celui de 1945, l’Europe doit être forte“.
Voir toute la conférence ci-dessous:
A San Francisco, Decathlon bouscule le business du sport
(Article partenaire) Comme vous avez dû l’entendre (ou le voir), Decathlon, le géant français numéro un mondial de la distribution d’articles de sport, a fait son retour aux Etats-Unis avec l’ouverture d’une boutique à San Francisco.
Le magasin a ouvert ses portes le 1er décembre 2017 et se situe sur Market Street, l’artère principale de la ville. Cette nouvelle aventure a pour but de montrer au consommateur américain que l’équipement sportif ne devrait pas être si cher aux Etats-Unis, chose dont tous les Français ont déjà pris conscience depuis longtemps.
Avec une chaîne d’approvisionnement intégrée -conception en interne, pas de marge, approvisionnement en matériaux, fabrication et livraison- Decathlon apporte des produits de qualité sur le marché américain, à des prix beaucoup plus bas que ceux que les sportifs ont l’habitude de payer. La plupart des membres de notre communauté connaissent Decathlon, la qualité et la valeur de leurs produits et de leurs marques. Nous savons aussi qu’ils ont plus de 10 000 produits couvrant plus de 70 sports. Pour beaucoup, Décathlon est synonyme de sport et l’a toujours été.
Le défi de ce géant français aux Etats-Unis n’est pas simple: les Américains sont habitués au vieux dicton “vous obtenez ce pour quoi vous payez”. Cette mentalité est en effet le plus grand mythe du marketing jamais créé, et qui a permis à de nombreuses marques de réaliser des marges élevées, permettant ainsi de générer de gros budgets marketing. Pensez à Nike et Lebron James. Devinez qui paie pour ce contrat ? Entre ensuite Decathlon, avec des prix défiant toute concurrence et des sports inconnus. La qualité des produits est par conséquent remise en question par tous les potentiels acheteurs, en raison de ses prix “irréalistes”.
La bonne nouvelle pour Decathlon, c’est que la situation est en train de changer. De plus en plus de personnes reconnaissant désormais leur valeur ajoutée. Grâce à des événements et des partenariats, Decathlon met ses produits entre les mains de potentiels sportifs. Ces derniers sont ainsi incités à promouvoir la marque et impulsent le bouche-à-oreille.
Les sports clés décollent également. Les boules de pétanque s’envolent des étagères, et les kits de rugby, planches de surf, raquettes de tennis, VTT et plus encore inondent le marché avec leur technicité et leur prix alléchants.
Les efforts vont donc être poussés durant l’été avec l’ouverture prévue de nouveaux magasins dans la région de la baie. La collection enfants ne devrait pas tarder également, ce qui va ravir les parents fatigués de payer des prix exorbitants pour du matériel sportif. Enfin, la livraison nationale est attendue pour le mois d’août, ce qui ne manquera pas de plaire à tous les Européens installés aux Etats-Unis.
Alors restez à l’affût! D’autres bonnes nouvelles sont prévues. Grâce à votre aide, vos conseils et vos commentaires, Decathlon compte bien demeurer aux Etats-Unis en changeant la vision du matériel sportif de qualité.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
À New York, un Lizarazu ré-invente les t-shirts de foot
“L’idée m’est venue de la célébration de Ravanelli (ndlr: joueur de l’OM de 1997 à 2000) qui mettait son t-shirt sur la tête pour célébrer ses buts. C’est un geste qu’on a tous fait sur un terrain et qui renvoie à une passion puissante“, explique Tximista Lizarazu.
Fils du célèbre footballeur champion du monde Bixente Lizarazu, le jeune homme de 23 ans lance en septembre 2015 la première collection de sa marque Overturn, des t-shirts “sobres à l’extérieur, fous à l’intérieur”, qui font apparaitre le visage exalté de son joueur préféré lorsqu’on les retourne. “C’était le projet de fin d’études idéal car il me prenait peu temps, et parce que je connaissais bien le monde du sport”, explique-t-il.
L’entrepreneur a été élevé par sa mère à Bordeaux. Passionné de sport, il pratique très jeune le tennis et le football mais supporte difficilement les comparaisons incessantes avec son père. “J’aurais aimé faire ça plus sérieusement mais à l’époque, mon père n’était pas là pour me dire de ne pas écouter les critiques”, confie-t-il.
Tximista Lizarazu choisit alors une autre voie, en intégrant l’école de commerce KEDGE Bordeaux en 2012. Il profite de son double master en logistique et global management pour étudier à Séoul puis à New York, où il rencontre début 2015 un autre Français, le graphiste Pierre-Alexandre Carrière. “Je lui ai demandé de me faire un dessin de Zlatan, et le résultat était dingue. J’ai eu envie de bosser avec lui”.
Deux plans plus tard, Tximista Lizarazu est de retour à New York où il développe sa marque de vêtements en parallèle d’un projet de food cart moderne et non-polluant pour l’enseigne de restauration Le Pain Quotidien.
100% coton et fabriqués en France, les t-shirts Overturn sont disponibles sur une boutique en ligne “dédiée à une clientèle française, fan de sport”. On y trouve des modèles pour adultes et enfants à l’effigie d’Antoine Griezmann, de Paul Pogba ou de Kylian Mbappe. Clin d’oeil à son père, Tximista Lizarazu a également lancé une collection spéciale pour célébrer les 20 ans de la victoire des Bleus à la coupe du monde, avec “des modèles vintage de très bonne qualité”. Parmi ceux-ci, on retrouve des pulls brodés “Zizou président” , “1998” , ou des t-shirts “Muscle ton jeu”.
Le jeune homme de 23 ans, très présent sur les réseaux sociaux, a également tapé dans l’oeil de Célio en avril. L’enseigne lui a proposé une collaboration pendant toute la coupe du monde. “Mes vêtements sont vendus dans 550 magasins à travers toute la France! C’est génial”, lance-t-il, ravi.
Une réussite que son père Bixente suit de loin. “Le business n’est pas vraiment son domaine et on se voit peu. Alors quand c’est le cas, on kiffe juste partager des moments ensemble”. Dans un avenir proche, le Français espère s’installer à Paris pour se rapprocher de sa famille et continuer à développer sa jeune marque.