Avis aux expats en mal du pays : le mercredi 9 mai à 6:30pm, le consulat général de France à Washington et l’Association démocratique des Français à l’étranger (ADFE) organisent une soirée d’information sur le retour en France.
Monique Curioni (conseillère consulaire), Cécile Walck (consule adjointe) et Hélène Conway-Mouret (sénatrice représentant les Français établis hors de France) feront part de leurs recommandations et répondront à vos questions. Jean-Noël Blanc (conseiller douanier), Bruno Eldin (attaché de coopération éducative), ainsi que Céline Jaeggy et Mikael Garnier-Lavalley (conseillers pour les Affaires sociales), participeront également à la présentation qui se terminera à 8:30pm.
Et comme dans toute soirée qui se respecte, les échanges pourront se continuer tranquillement autour d’un verre.
L’entrée est gratuite. Se munir d’une pièce d’identité pour passer les contrôles à l’entrée de l’Ambassade (les portes ouvrent à 6pm).
Les défis du retour en France expliqués à Washington
Le salon de thé parisien Mokonuts installe un pop-up à Los Angeles
Vous rêvez de retrouver les saveurs d’une des institutions du XIe arrondissement de Paris les plus courues ? Le coffee-shop Mokonuts s’installe pour le dîner chez Trois Familia, la brasserie de Ludo Lefebvre à Silver lake (Los Angeles), les jeudi 10 et vendredi 11 mai. Il y aura deux services chaque soir, à 6 pm et 8:30 pm.
Le concept : sur les tables de pique-nique de ce restaurant, l’équipe de Mokonuts – trophée « pop » du Gault&Millau 2017 – proposera un menu à cinq plats (tels que des asperges grillées, un tartare de veau au sardo ou une tarte aux fraises) qui rappellent la pâtisserie franco-japonaise. Aux fourneaux, s’affaireront la Japonaise Moko Hirayama, ancienne avocate à New York, et son époux, le Libanais Omar Koretiem. Tous deux ont abandonné une situation professionnelle confortable aux Etats-Unis pour se lancer dans la pâtisserie et ouvrir leur adresse fin 2015 à Paris.
Kicking + Screening : le rendez-vous des footeux cinéphiles à New York
C’est le moment de se mettre en jambe avant la coupe du monde. 2018 marque la 10ème année du Kicking + Screening Soccer Film Festival à New York. L’évènement se déroulera du mardi 22 mai au vendredi 25 à la Scandinavia House à Midtown Manhattan.
Ce festival pour footeux cinéphiles présente plusieurs films et documentaires sur l’univers du foot. Au programme: Messi & Me, réalisé par Renny Maslow qui raconte les liens qui se tissent entre le footballeur star et un ancien footballeur universitaire américain après que ce dernier ait fait un superbe retourné acrobatique lors d’un match de charité devant Messi. “Football for Better or worse” se plonge quant à lui dans l’univers du football féminin en se plongeant dans le combat d’un club suédois, le FC Rosengård, pour promouvoir la discipline. Enfin “Boniek et Platini” suit deux jeunes Polonais qui jouent au foot dans la rue pendant la coupe du monde 1982, alors que leur pays est sous loi martiale. Des films courts sont aussi au programme.
"Films on the Green" sous le signe de la cuisine en 2018
À taaaaable ! Le menu du nouveau Films on the Green ouvre l’appétit. L’édition 2018 du festival de films français en plein air est placée sous le signe de la gastronomie française, avec douze films explorant les liens entre la culture et la cuisine tricolores. Ils seront projetés dans différents parcs new-yorkais du 1er juin au 6 septembre.
Les festivités commenceront à Central Park (Cedar Hill) par “Le Grand Restaurant” avec Louis de Funès, Bernard Blier et Maria-Rosa Rodriguez. Dans ce classique de 1966, un chef d’Etat sud-américain disparait dans un restaurant. Le patron est rapidement considéré comme le suspect. Le programme comprend également la co-production franco-vietnamienne “L’odeur de la papaye verte” (8 juin, Washington Square Park), “Garçon!” de Claude Sautet avec Yves Montand (29 juin, Transmitter Park), “Les Saveurs du Palais” avec Catherine Frot et Jean d’Ormesson sur la cheffe de l’Elysée (27 juillet, Riverside Park Pier I) et “le Fils de l’épicier” en clôture (6 septembre, Low Memorial Library à Columbia University).
Toutes les projections sont gratuites et commencent aux alentours de 8:30pm.
Le programme complet:
- Le grand restaurant. 1er juin, Central Park, Cedar Hill
- L’odeur de la papaye verte. Le 8 juin (Washington Square Park)
- La règle du jeu. 15 juin (Washington Square Park)
- La Bûche. 22 juin (Transmitter Park, Greenpoint)
- Garçon! 29 juin (Transmitter Park)
- Le Boucher. 6 juillet (Tompkins Square Park)
- The Discreet Charm of the Bourgeoisie. 11 juillet (J. Hood Wright Park)
- Les Émotifs anonymes. 13 juillet (Tompkins Square Park)
- Tu seras mon fils. 20 juillet (Riverside Park Pier I)
- Les Saveurs du Palais. 27 juillet (Riverside Park Pier I)
- Peau d’âne. 1er septembre (Jack Alter Fort Lee Community Center)
- Le Fils de l’épicier. 6 septembre (Columbia University, Rotunda, Low Memorial Library)
Nouveau programme bilingue à Brooklyn: les inscriptions démarrent
L’offre de programmes français-anglais dans les écoles publiques de Brooklyn se renforce.
A la rentrée, PS 5 Dr Ronald McNair doit accueillir une classe bilingue pour les pre-K (dès 4 ans) ainsi qu’une classe de Kindergarten. Une ouverture permise par la mobilisation d’un parent d’élève et des Services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis. Une réunion d’information est organisée le 8 mai à 6pm à l’école pour présenter le programme et l’établissement.
L’école fait partie des 48 nouveaux programmes bilingues d’immersion et de transition annoncés par le chancelier new-yorkais Richard Carranza, jeudi 3 mai, au côté d’initiatives en arabe, mandarin, albanais, italien et russe notamment.
“Il y a quelques mois, j’ai intégré la School leadership team de l’école” avec l’objectif de trouver des initiatives pour attirer de nouvelles familles“, raconte Benoit Busseuil, papa d’un nourrisson et d’une petite fille scolarisée en Pre-K à PS 5. Il est à l’origine du projet. “J’ai pensé à la création d’un programme bilingue car j’entends beaucoup parler français quand je suis au parc avec mes enfants. Or, ces parents doivent aller jusqu’à Park Slope ou Downtown Brooklyn pour que leurs enfants puissent apprendre leur langue maternelle à l’école“. Le projet de Benoit Busseuil a très vite trouvé un écho auprès de Lena Gates, la principale de PS 5, qui a présenté un dossier.
“Il y a deux semaines nous avons appris que l’école était habilitée” se félicite le père de famille. Aussitôt, les services culturels de l’Ambassade de France ont été prévenus et Fabrice Jaumont, responsable de l’éducation, a apporté son aide et son expertise. “J’ai été très impressionné par le potentiel de l’école et la détermination de la directrice et de Benoit Busseuil. L’école sera la première à Brooklyn à offrir un pre-K bilingue complet. Elle est aussi habilitée à recruter en dehors de sa zone. Cela devrait intéresser beaucoup de parents“.
Pour pouvoir ouvrir la classe de Pre-K et de K à la rentrée, il faut maintenant obtenir des inscriptions: 20 élèves par niveau dont la moitié de francophones. “C’est une école de quartier très attachante, avec un personnel éducatif motivé”, explique Benoit Busseuil qui dresse la liste des points positifs: after-school gratuit jusqu’à 5:30pm, sport tous les jours et activités proposées le samedi.
Sous Donald Trump, la galère des autorisations de travail
Les avocats d’immigration et surtout leurs clients partout aux Etats-Unis l’ont remarqué: depuis quelques mois, obtenir une EAD (“Employment Authorization Document”) met beaucoup plus de temps, forçant certains Français et d’autres travailleurs immigrés à se mettre au chômage en attendant l’arrivée de cette autorisation officielle.
Certains demandeurs attendent jusqu’à huit mois, contre trois auparavant, pour recevoir la précieuse carte. C’est le cas de Paul, un Français de San Francisco venu en visa E-1 avec son épouse. Le trentenaire, qui a trouvé un travail en décembre, devait recevoir une nouvelle autorisation de travail en janvier. Mais celle-ci n’est pas venue en temps et en heure. “J’ai fait trois semaines au bureau, puis je leur ai dit que je n’avais pas reçu mon renouvellement. Ils m’ont dit: ‘tu sors’. J’étais au chômage technique, sans Pôle emploi derrière !”, raconte ce contrôleur financier. Heureusement, son manager a été très conciliant, l’autorisant à revenir une fois ses papiers en règle.
Selon Nathaniel Muller, avocat d’immigration à New York, le cas de Paul n’est pas isolé. “J’ai vu des procédures durer six mois. La loi n’a pas changé. Elle est la même qu’il y a cinq ou dix ans. Mais elle est davantage mise en pratique. Il y avait hier une souplesse qu’il n’y a plus aujourd’hui“, explique-t-il.
Les contrôles renforcés datant de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump ne sont pas les seuls facteurs de ce rallongement. “Les dossiers sont épluchés, pas simplement transmis. Mais il n’y pas assez de personnel pour les examiner, poursuit-il. Il faut bien se préparer, et surtout se préparer plus en avance, se donner au moins trois mois pour faire une demande“.
“C’est un gros problème, assure pour sa part Sophie Raven, avocate d’immigration à New York. Avec mon équipe, nous relançons les autorités américaines constamment. Elles s’excusent en disant que quelqu’un travaille sur le dossier et ne donnent pas d’échéance“, explique-t-elle. Elle conseille aux demandeurs de commencer la procédure “le plus tôt possible“.
L’avocate précise tout de même qu’il y a une “bonne nouvelle“: en janvier 2017, l’agence chargée de l’immigration USCIS a annoncé une extension automatique de 180 jours pour certaines autorisations de travail. Une mesure destinée à “aider à prévenir toute lacune dans l’autorisation de travailler“, selon l’agence.
Mais cette mesure ne concerne pas les premières demandes d’autorisations de travail et ne résout pas les galères des demandeurs de carte verte, d’après Sophie Raven. “La carte verte nécessite de combiner un permis de travail et de voyage. Si la partie “permis de travail” peut être renouvelée automatiquement, ce n’est pas le cas du permis de voyage. Il faut faire une demande de document de voyage d’urgence”, précise-t-elle.
Hugo, Français de Miami, attend sa carte verte depuis plus d’un an. « Il nous a fallu plus d’un an et demi pour monter le dossier, précise-t-il. Notre avocat prend davantage de précautions depuis que l’administration Trump veut réformer les lois sur l’immigration. Nous sentons bien qu’elle cherche la petite bête, sûrement pour en décourager plus d’un et ainsi limiter l’immigration sur le sol américain ».
En attendant de connaître son sort et savoir s’il pourra obtenir la résidence permanente tant convoitée, il a préféré assurer ses arrières. « Je viens de renouveler mon visa H-1B qui est en quelque sorte un parachute de secours nous permettant de rester aux États-Unis durant les trois prochaines années au cas où notre dossier pour la carte verte serait refusé », explique le trentenaire qui relève au quotidien son courrier en espérant obtenir une bonne nouvelle dans les prochains mois.
Paul, de San Francisco, a téléchargé l’application Case Tracker pour suivre l’évolution de son dossier. “J’actualisais la page toutes les deux heures. Mon dossier avait été envoyé au centre Phoenix”, relate le Français, décrivant “une attente assez horrible. On est maître de rien !”. Finalement, les choses se sont bien terminées pour lui: il a pu reprendre le travail en mars. “J’ai mis quatre mois et demi à avoir ma nouvelle carte qui est valable jusqu’en 2020 cette fois”, dit-il en relativisant : “J’ai au moins eu la chance d’avoir une boîte qui m’attendait, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.”
Avec Gregory Durieu (Miami) et Klervi Drouglazet (San Francisco)
A New York, un petit-déjeuner pour tout savoir pour investir à Miami
Envie d’acheter sous le soleil de Floride ? Qu’il s’agisse de préparer votre retraite, de vous offrir un pied-à-terre ou simplement de faire un investissement locatif, les bonnes raisons de s’intéresser au marché immobilier de Miami sont nombreuses.
Pour vous aider à prendre les bonnes décisions et à éviter les pièges fiscaux ou juridiques, French Morning organise le jeudi 17 mai à New York un petit-déjeuner avec deux experts à qui vous pourrez poser toutes vos questions:
-Brigitte Respaut Clement, fondatrice de OfCourseMiami, spécialiste de la location saisonnière et de la rentabilité immobilière à Miami.
-Alexandre Ballerini (cabinet Diaz Reus), Esq. avocat opérant dans les secteurs d’immobilier, sociétés, et planification fiscales.
Les places sont limitées. Inscrivez-vous dès maintenant ici:
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On Vous Avait Pas Dit, Saison 1, épisode 4
Chaque fin de semaine, Eric Gendry passe en revue l’actualité française pour ceux qui la suivent de loin. Cette semaine, pour le 4ème épisode de cette première saison, on parle de foot, de black blocs, de Vélib. Ah, et de foot aussi…
Olivier Babin, un galeriste-défricheur à Bushwick
Loin des galeries d’art contemporain de Chelsea et du Lower East Side, Clearing est tranquillement installée au milieu des vastes hangars à camions de Bushwick. Cette galerie créée en 2011, qui s’étale sur 700 m2, est l’une des seules du coin. Ici, les studios d’artistes côtoient les entreprises de traitement de déchets et les passants ne sont pas aussi nombreux qu’à Manhattan. “Au début, on avait envie de défricher”, commente le maître des lieux, Olivier Babin, un Français de 43 ans arrivé aux Etats-Unis en 2009.
Sept ans après sa création, la galerie a fait du chemin. Après l’ouverture d’une antenne à Bruxelles en 2012, elle s’est taillée une place de choix dans Manhattan en décembre 2017, dans le quartier huppé de l’Upper East Side. “À deux pas du Met, se réjouit Olivier Babin. J’ai accepté une proposition que l’on m’a faite. C’était excitant.”
C’est toutefois à Bushwick, où il vit, que l’on retrouve le galeriste, installé dans un bureau aux plafonds hauts. Depuis le 1er mai, l’espace brooklynite met à l’honneur l’artiste belge Harold Ancart, dont le travail, qui comprend peintures, sculptures, installations, ou encore des tirages photo géants réalisés à partir de négatifs abîmés, est exposé à travers le monde. “Harold Ancart était en 2011 le premier artiste à montrer avec la galerie”, commente Olivier Babin.

Ses artistes, Olivier Babin les compare à des “chevaux sauvages”.“Ce qui me plaît chez un artiste c’est que ce soit une personne exceptionnelle, quelqu’un qui brûle, et dont l’art implique d’être bousculé, dérangé”, dit-il.
À son arrivée à New York il y a neuf ans, ce Dijonnais n’avait pas pour ambition de mettre en avant le travail des autres, mais de créer ses propres œuvres. Alors artiste plasticien, il était venu aux Etats-Unis pour une résidence de six mois. “Je me suis senti dynamisé par le potentiel de la ville et la grande quantité de gens formidables que l’on y trouve”.
Olivier Babin fait alors des expositions et des rencontres. Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” Celui qui n’avait aucune expérience de galeriste commence à exposer les œuvres de ses amis dans son studio, qu’il vide et dans lequel il dort sur un canapé. Il s’entoure de proches et se lance “à fond” dans le projet. “Je n’ai jamais eu de plan. J’ai simplement fait les choses avec sérieux, sans me comparer aux autres.”
Désormais, il explique avoir le désir de “se rassembler”, peu étourdi par les nouvelles perspectives qui s’offrent à lui. “Le projet est de ne pas trop en avoir et de ne plus s’agrandir pour l’instant”.
Limiter les armes à feu ne marche pas. Regardez Paris, dit Trump à la NRA
Mis à jour avec la réaction du Quai d’Orsay
Le bilan humain des attentats de novembre 2015 à Paris aurait pu être beaucoup moins lourd si les personnes visées par les terroristes avaient été armées. C’est l’avis de Donald Trump et il l’a partagé, vendredi 4 mai, devant des milliers de membres de la NRA (National Rifle Association), réunis à Dallas pour la conférence annuelle de l’organisation pro-armes.
“Si un employé, un client armé ou une personne dans cette salle avait été présente avec une arme pointée dans la direction opposée, les terroristes auraient pris la fuite ou été abattus. Et l’histoire aurait été bien différente. N’est-ce pas ?“, a-t-il dit sous les applaudissements de la salle.
Le président américain a prononcé le discours lors de la NRA-ILA Leadership Conference, un événement qui rassemble plusieurs leaders du mouvement pro-armes aux Etats-Unis, dont une ribambelle d’élus. Ironie de l’histoire: plusieurs médias ont relevé que les armes à feu n’étaient pas autorisées dans l’arène où le président s’exprimait sur ordre des services secrets.
Cela n’a pas empêché le républicain, qui s’était montré ouvert après la fusillade de Parkland en février à des restrictions sur l’acquisition d’armes, de plaider pour l’armement de la population en utilisant l’exemple parisien. “Paris, France, a les lois sur les armes les plus dures au monde. Personne n’a d’armes à feu à Paris, personne, a affirmé Donald Trump. Et on se souvient tous des plus de 130 personnes, et d’innombrables autres qui ont été horriblement, horriblement blessées” dans les attentats au Bataclan et plusieurs restaurants de la capitale.
Et de regretter que les “250 personnes qui ont été horriblement blessées” ne soient “jamais mentionnées” – les attentats ont blessé en réalité 413 personnes, dont 99 grièvement.
“Ils sont morts dans un restaurant et des endroits voisins. Ils ont été brutalement tués par un petit groupe de terroristes armés. Ils ont pris leur temps pour les abattre un à un“, a poursuivi le locataire de la Maison-Blanche, imitant un pistolet avec ses doigts et faisant mine de balayer les victimes avec ses mains. “Boum ! Viens par ici! Boum !“, a-t-il répété en faisant le geste.
Le Quai d’Orsay a réagi le samedi 5 mai par voie de communiqué: “La France exprime sa ferme désapprobation des propos du président Trump au sujet des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et demande le respect de la mémoire des victimes“, a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Agnès von der Mühll.
“La France est fière d’être un pays sûr où l’acquisition et la détention d’armes à feu sont strictement réglementées“, ajoute le Quai. “Les statistiques de victimes par arme à feu ne nous conduisent pas à remettre en cause ce choix“.
Les déclarations sur Paris sont à 2:07:48
Soirée avec Benoît Cohen, le réalisateur-chauffeur de taxi
Vous connaissez Benoît Cohen pour ses films (“Nos Enfants chéris”, “Tu seras un homme”…). Et si vous lisez French Morning, vous savez que le réalisateur français installé à Brooklyn s’est récemment glissé dans la peau d’un “cab driver” pour préparer un nouveau scénario. Au lieu du film qui devait en découler, est sorti un livre, Yellow Cab, qui vient d’être traduit en anglais.
Pour fêter cette sortie, et le faire parler de son expérience au volant d’un mythique taxi jaune, le site de découverte de New York Untapped Cities organise une soirée de lancement avec l’auteur le mardi 8 mai au Centre for Social Innovation. Il sera interviewé par Michelle Young, fondatrice d’Untapped Cities.